Pour devenir un vrai démon, il fallait mourir. Ce n’était pas encore le cas d’Anna-Marie, mais, à défaut de devenir une vraie démone, la corruption de Valac pouvait déjà transformer son corps et son esprit. Anna-Marie commençait à prendre conscience que Père-Val’ n’était pas un croyant, et qu’elle avait sûrement affaire à ce démon qui s’était manifesté auprès de Sœur Joan. Cependant, comment refuser une telle promesse ? La manière dont il lui avait fait découvrir le sexe était exquise, et elle léchait sa queue avec envie, se moquant alors bien de tout le reste. Seul ce désir lui importait, cette envie furieuse de se faire baiser, de faire l’amour avec force. Elle léchait cette queue avec passion, glissant sa langue dessus, comme une magnifique friandise. Elle sentait son épaisseur, sa dureté, et cela lui provoquait des palpitations dans le bas-ventre, des fourmillements. Elle frémissait d’excitation, le corps traversé par l’envie de se faire de nouveau saillir par ce membre assoiffé. La jeune religieuse ne pouvait pas lutter, elle reniflait aussi l’odeur de ce sexe. Un musc fort, une odeur repoussante, mais terriblement exquise, si exquise qu’elle s’en droguait, l’inhalant, respirant près de ses poils pubiens en léchant aussi les testicules. Elle glissait sa langue sur la toison de poils, les sentant se presser contre les bourses flasques qu’elle titillait, et qu’elle embrassait, tout en serrant sa main contre la verge de l’homme.
Sous l’effet de son désir, Anna-Marie pouvait voir Valac sous sa vraie forme. Elle frémit devant cette queue rouge, tendue, contre laquelle elle frotta sa joue. Elle gémit encore quand il lui ordonna de se mettre à quatre pattes, et annonça son intention de la baiser comme une chienne. Cela la fit frémir encore, elle sentit cette bouffée de chaleur, l’emballement de son cœur. Anna-Marie trembla sur place, et réagit rapidement, en se retournant.
« Oh oui, Maître… Votre chienne vous écoute, hihi ! »
Ah, si Sœur Aponia pouvait l’entendre, elle n’en croirait pas ses yeux ! Anna-Marie se mit à quatre pattes, et se pencha ensuite. Sa tête heurta le sol, et ses fesses se redressèrent. La tête sur le côté, elle frémit en voyant son Maître, qui approchait sa verge de sa chatte. On pouvait sentir les odeurs de la cuisine qui revenaient. Elle allait devoir venir, être présente pour ne pas que les sœurs se posent des questions. Elle sentait l’odeur du ragoût, et fantasmait à l’idée de montrer à ses sœurs le bonheur auquel elles auraient droit… Puis son Maître la pénétra. Anna-Marie déglutit, et se mordilla les lèvres. Elle bavait sur place, mais, fidèle à ses instructions, s’efforçait de ne pas faire trop de bruit.
« Haaaaa M-Maître, haaaa... V-Vous êtes si beau, Maître, hmmm… !! Défoncez-moi, haaaa… O-Ouii, Maître, je suis votre salope, hihi… ♥ !! »
Sous l’effet de son désir, Anna-Marie pouvait voir Valac sous sa vraie forme. Elle frémit devant cette queue rouge, tendue, contre laquelle elle frotta sa joue. Elle gémit encore quand il lui ordonna de se mettre à quatre pattes, et annonça son intention de la baiser comme une chienne. Cela la fit frémir encore, elle sentit cette bouffée de chaleur, l’emballement de son cœur. Anna-Marie trembla sur place, et réagit rapidement, en se retournant.
« Oh oui, Maître… Votre chienne vous écoute, hihi ! »
Ah, si Sœur Aponia pouvait l’entendre, elle n’en croirait pas ses yeux ! Anna-Marie se mit à quatre pattes, et se pencha ensuite. Sa tête heurta le sol, et ses fesses se redressèrent. La tête sur le côté, elle frémit en voyant son Maître, qui approchait sa verge de sa chatte. On pouvait sentir les odeurs de la cuisine qui revenaient. Elle allait devoir venir, être présente pour ne pas que les sœurs se posent des questions. Elle sentait l’odeur du ragoût, et fantasmait à l’idée de montrer à ses sœurs le bonheur auquel elles auraient droit… Puis son Maître la pénétra. Anna-Marie déglutit, et se mordilla les lèvres. Elle bavait sur place, mais, fidèle à ses instructions, s’efforçait de ne pas faire trop de bruit.
« Haaaaa M-Maître, haaaa... V-Vous êtes si beau, Maître, hmmm… !! Défoncez-moi, haaaa… O-Ouii, Maître, je suis votre salope, hihi… ♥ !! »