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Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 24 janv. 2025 17:35
par Kamiye Goupile
Spartacus : « Fourrer du poisson ! Si je m’étais attendu à vivre ce genre de truc un jour. Mais comme j’ai déjà dit, un trou ça reste un trou. Et faudrait être vraiment con et aveugle pour pas voir à quel point ce sont de jolis petits paquets. En fait, faudrait seulement être con. Même aveugle, je prendrais plaisir à pétrit leurs seins ! »

L’homme-lion avait donc une patte sur un sein tout trempé et l’autre qui attrapa une queue de Simsy pour qu’elle vienne se coller tout contre lui. Mais il s’occupa d’abord de presser le téton tout dur de la naïade et de rire de cette expression mi-douloureuse mi-excitée que la « poiscaille » lui donnait.

Spartacus : « C’est toi qui vois, petite chatte. Soit je me calme dans un fourreau à écailles et je me vide comme il faut dedans. Soit tu te désignes volontaires. Mais je préfère te prévenir pendant que je suis encore dans le genre intellectuel. Je risque d’enfoncer mes griffes quand je t’enculerais par derrière. Et je n’ai aucune idée si ma nouvelle queue ne te déchirera pas de l’intérieur. »

Et donc le petit cul de Presque-Courroux échappa au nouvel hybride. Et il n’y avait pas à dire, sans sa mauvaise façon de parler, Spartacus avait le charisme d’un roi. Mais cette perspective d’avenir était intéressante car placée dans un futur. Le présent se jouait ici et maintenant entre une version de Kamiye et une « Aline ».

Presque-Courroux n’avait pas tardé à répondre au baiser d’Aline. C’était ce qu’il voulait. La prendre. La faire sienne. Il voulait être possessif. La réclamer comme son butin. Sa femelle rien qu’à lui. Et puis, en plein milieu du baiser, ses bras se resserèrent autour de sa fine taille à elle et ils plongèrent sous l’eau. En remontant presque tout de suite après, Presque-Courroux la reprit dans ses bras pour que de nouveau, Aline doive s’accrocher à lui en enserrant ses jambes autour de sa taille.

« Kamiye voulait que tu dégoulines d’eau. Il trouve ça très appétissant. Et il, je voulais aussi te reprendre dans mes bras. Sentir tes jambes fortes autour de moi. Avoir tes petits seins à hauteur de ma bouche pour faire ça. »

Ses dents vinrent se resserrer autour de ces petites pointes si nerveuses, si sensibles. II n’y avait aucune volonté de faire mal : bien au contraire ! Dans le fond, il y avait même une volonté de têter. De là à ne plus faire la différence entre vouloir une femelle et une figure maternelle… Mais ce serait exposer la psyché brisée de l’ancien esclave. Et ce n’était pas du tout l’ambiance pour.

« Kamiye te veut. Ici et maintenant. Mais aussi pour moi et plus tard. Je veux que tu sois à moi. Je me battrais contre l’homme-lion-Spartacus s’il veut te prendre par le cul. Je me battrais contre les femmes et les enfants. Contre les rois et les vieillards. Personne ne te touchera. Je veux être possessif avec toi. »

C’était en soi une déclaration d’amour. Et Presque-Courroux n’attendit pas la réponse. Sa bouche revint faire du bien en provoquant un peu de mal aux deux tétons. Il ne pouvait pas y avoir de jaloux entre les deux. Alors il donna le même traitement aux deux tétons. S’il était sauvage à cause de Courroux, il restait attentionné grâce à l’influence de Kamiye. Comme si au sein du même être, l’équilibre s’était trouvé entre civilisation et bestialité.

Tandis qu’un de ses bras restait serré autour de sa taille à elle pour ne pas qu’elle tombe (ou fuit ! Un scénario INSUPPORTABLE), l’autre main s’en alla en exploration. Elle s’insinua entre la peau et le collant noir gainé d’eau. Il n’y avait pas d’hésitation. Il n’y eut aucune demande de consentement. Presque-Courroux s’en alla glisser un doigt dans le premier trou rencontré.

« Kamiye veut savoir à quel point tes trous mouillent. Mais Kami-, je ne déchirerais pas ton vêtement. Je ne suis pas une brute, d’accord ? »

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 09 févr. 2025 21:58
par Qaye Nakhsole
Simsy vient de comprendre que le lion voulait surtout pénétrer de la sirène, car il n'a jamais eu affaire à ce genre de choses. Il fait d'ailleurs référence à la poitrine des naïades, et Simsy ne peut pas être en désaccord, étant elle-même pansexuelle, et donc pouvant aimer laper et sucer de la poitrine de naïade. Surtout que son côté neko fait que coucher avec une naïade rend cette chaire d'autant plus savoureuse.

Image "Je te l'accorde ! Leur peau et leurs sécrétions sont tellement savoureuses, je m'en suis pas passée une seconde."

Simsy se laisse complètement faire, autant par les naïades qui la poussent que par le lion qui la tire par la queue caudale, faisant qu'elle se retrouve collée dos à Spartacus. Ses queues sont sensibles, et elle n'est vraiment pas repoussée par le révolutionnaire devenu en quelque sorte cousin de par le fait qu'ils sont deux félins. Spartacus prévient naturellement la neko à deux queues, que ça pourrait lui faire mal, très mal... mais en même temps, Simsy n'est pas la plus prude des nekos, loin de là. En fait, elle le provoque même.

Image "Et pourquoi pas les deux ? Tant qu'elle veut bien que tu la prennes, bien sûr. J'ai reçu des coups de fouet pendant que je me faisais prendre à la fois la bouche, le cul et l'urètre par des bites encore plus grosses, alors les griffes de lion..."

Oui, l'urètre. Elle s'est déjà fait violer l'urètre plusieurs fois quand elle était esclave, donc c'est presque accessoire. Elle regarde alors la naïade, et lui communique par télépathie. Elle veut savoir si la naïade veut bien gober les testicules de Spartacus pendant qu'il la sodomise, et la naïade accepte sans problème, se mettant alors sous les jambes des félins, alors que Spartacus, provoqué mais aussi inhumainement excité, se met à fourrer sa queue masculine dans l'anus de Simsy, la faisant crier de plaisir. Le lion pénètre alors fort la chatte, pas si rapide, mais de manière très puissante. Chaque coup de reins, Simsy le ressent bien, mais rien ne se déchire, son corps s'est déjà habituée tant elle est élastique, alors que la naïade a mis les deux testicules de Spartacus dans la bouche, les suçant et les savourant. Deux autres naïades, les mêmes qui ont poussé la frêle neko dans les bras du puissant lion, s'approchent et en profitent pour insérer à chacune une queue caudale de la neko presque souffrante dans leur vagin. Simsy l'ayant bien senti, elle les fait bouger en tremblant par les puissants coups de reins de Spartacus. Ce sont des véritables godes vibrants au gré de la puissance du lion qu'elles ont inséré dans leur intimité.

On est rassurés du fait que ça se passe mieux que prévu, grâce à Simsy. Les naïades auraient peut-être toujours peur sans elle, je ne sais pas. En tout cas, l'ambiance est à nouveau empli de luxure. Je pense qu'au vu des intentions des naïades, on peut être rassurées. C'est là qu'on entend une personne, qu'on ne connait pas et qui nous a surpris. On se tourne dans la direction de cette voix et on voit qu'il s'agit d'un jeune elfe qui semble vraiment spécial.

Image "Mais mais qui êtes-vous ?!"

Il nous rassure donc et il sait que nos frères ont besoin de se laisser aller. C'est difficile de le contredire, après ce qu'on a vécu. On sait que c'est le calme avant la tempête. Pour l'heure, le Roi Rouge ne peut pas nous atteindre, mais une fois qu'on reprendra notre route, on sera à nouveau à sa portée... mais ça ne veut pas dire qu'on doit abandonner. Ca fait partie de l'aventure, on le sait pertinemment. On est conscients des risques.

Image "Ca tombe bien, ça ne l'a plus jamais été pour nous."

Plus jamais on ne veut se soumettre à des maîtres violents. On ne se soumet qu'à notre Déesse. Alors jamais je n'envisage d'offrir mon corps, car je ne veux plus jamais revivre ce que j'ai subi pendant des années. Il parle ensuite de cet homme-lion, Spartacus, qui a encore du mal à se maîtriser.

Image "Il a toujours été un atout quand il était encore humain, c'est sûr. Mais avec cette nouvelle forme, je suis sûre qu'il pourrait encore mieux nous aider."

D'ailleurs, Xeki ne voudrait pas prendre la place de Simsy, mais je pense personnellement que si je remplaçais Spartacus par Déesse, avec exactement les faits et gestes, j'aurais beaucoup aimé ce qu'elle aurait fait. Mais ici, c'est un homme qui prend Simsy, et c'est repoussant. Je n'ai aucune peur ni haine envers les hommes, je sais que le problème était mon ancien Maître, mais si un homme me proposait de coucher avec moi, je ne pourrai pas accepter, alors que si c'était une futanari, même sans que ce soit Déesse, j'aurais accepté sans hésiter.

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 10 févr. 2025 18:49
par Gine
Presque-Courroux l'attira sous l'eau. Gine n'ouvrit point les yeux pendant la plongée. Elle se soucia davantage de leur baiser qui, à vrai dire, n'était pas son fort. Lorsqu'ils retrouvèrent la surface, le visage et les cheveux trempés de la Saïyajin ne comptaient plus une seule goutte de sang. Une initiative plus que bienvenue de la part de l'hybride à la peau cendrée.
En l'écoutant lui faire part de ses fantasmes, la femme à queue de singe trouvait sa façon qu'il avait de lui parler assez exotique.
Elle sourit.

- Kamiye ne sait plus trop où se situer, dans tout ça, s'amusa-t-elle.

"Il", "je"... c'était un drôle de partenaire, changeant à diverses occasions, mais qui sied parfaitement à la douce Saïyajin.
Celle-ci se mordit les lèvres en sentant les dents de Presque-Courroux prendre ses tétons en étau. La réaction fut immédiate ; elle s'était cambrée en conséquence, son dos dessinant hors de l'eau une courbe tout à fait harmonieuse, ses muscles humides s'étirant agréablement au grand jour.
Ce que son amant lui adressa juste après ressemblait fort à une déclaration d'amour !
Fidèle à elle-même, Gine ne manqua point d'en rougir.

- Je préfèrerais... nous savoir tous les deux à l'abri ?

Comme ici, alors que le Spartacus en proie à ses pulsions bestiales besognait hardiment une Simsy diablement excitante ! Les cris de cette dernière contaminèrent la Saïyajin, l'enfonçant d'avantage dans ce vortex de luxure où elle n'avait fait que tremper ses orteils. Sous les assauts ciblés d'un Kamiye équilibré, Gine donna aussi de la voix. De quoi ravir les oreilles dressées du juste hybride ! Elle pointa de plus belle, sa délicieuse poitrine complètement ressortie sur son buste athlétique. Sensation qui se propagea jusqu'à son entrejambe lorsque l'homme-renard promena ses doigts dessus, par-dessous son collant dont la présence devenait de moins en moins nécessaire, pour finalement y engouffrer plusieurs phalanges.
Renonçant à l'un de ses appuis, Gine se pinça les lèvres et soupira chaudement :

- A-attends... je vais...

L'aidant d'une main, se voulant conciliante, la Saïyajin fit descendre son bas jusqu'à ses genoux dépliés. Pour s'en défaire totalement, elle n'eut plus qu'à remuer les jambes. Le vêtement remonta à la surface, y flottant comme une bouée.
Presque amusée par les efforts qu'elle avait dû fournir pour se retrouver nue entre ses bras chauds, Gine souffla encore :

- L-là, c'est mieux~

En bougeant les hanches sous l'eau claire, la Saïyajin témoignait de son désir équivalent au sien. Il était en droit de la prendre. De se l'accaparer au beau milieu de cette débauche relancée par les efforts de Spartacus, des naïades et de la neko télépathe.
Gine embrassa une nouvelle fois Kamiye - ceci avec une passion sans cesse renouvelée.
Elle ne s'interrompit que pour lui annoncer, la gorge vibrante d'un désir affirmé :

- Si tu veux prendre pleinement possession de moi, il va te falloir utiliser autre chose que tes doigts, Kamiyou.

Quel surnom elle venait de lui inventer là !
Elle sentait son érection lui taquinait les fesses. Cette pointe dure et chaude qui trépignait d'impatience à l'idée de plonger dans son jardin secret. Gine était fin prête à chevaucher l'ancien esclave qui avait su, par la force des évènements, trouver une place dans son cœur fragile. Les jambes serrées autour de ses reins, elle frottait donc son bassin contre sa virilité.

- J'accepte que ce soit toi... et j'aurais aimé te le dire plus tôt.

Il n'empêche qu'ils n'auraient pas pu trouver meilleur moment que celui-ci.


Du haut de son perchoir insolite, l'érudit sourit en entendant la cheffe de tout ce beau monde s'interroger à voix haute, avec un soupçon de stupeur, sur son identité.

- Rien qu'un modeste savant de passage qui s'est fait un malin plaisir à donner un petit coup de pouce à vos quelques compagnons !

Xéki et Qaye ne le contredirent pas sur les points qu'il avait gentiment abordés. Elles savaient très bien ce qui les attendait au-delà de ces terres séparées de la civilisation. Le Roi Rouge et sa funeste suite ! Elles allaient devoir se battre, mais en attendant ce moment...
L'homme, qui avait su contourner la curiosité tout à fait naturelle du groupe, pointa du doigt la reine des naïades dont les yeux clairs étaient braqués sur celle qu'elle avait deviné être la cheffe de la résistance.

- M'est avis que vous devriez en profiter ! Ce n'est pas tous les jours que des visiteurs se perdent dans l'habitat de ces beautés aquatiques. Comme vous avez pu le constater, elles ne sont pas sauvages. Tout ce qui les intéresse, c'est de passer un moment chaleureux avec les bonnes gens que le destin à choisi pour elles. Voyez comme la reine en personne vous dévore du regard et... hm ? qu'est-ce qui pointe entre ses jambes ? Ah ! Je confirme, ce n'est pas fait pour moi~

Effectivement : un beau vit, en partie couvert d'écailles rutilantes, lui avait poussé.
Tout en se mordillant les lèvres, l'élégante reine des naïades agitait un index à l'attention de Qaye.
Bien que le message était clair, l'érudit en rajouta une couche :

- Croyez-le ou non mais les puissantes comme elle savent toujours récompenser leur partenaire. En vous offrant à elle, vous y gagnerez sans doute au change. Et j'aime autant à préciser qu'il ne sera fait aucun mal à votre enfant. Les naïades chérissent la vie ; elles ne la dévorent pas.

Après tout ce temps à nager dans le brouillard, c'était bon à savoir.

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Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 14 févr. 2025 10:50
par Kamiye Goupile
[HRP : répondre le 14 février, c’est assez bizarre, oui ? ^^ Allez, post spécial Saint-Valentin ! XD]

Couple Spartacus/Simsy

L’extrémité des griffes de Spartacus ne faisaient couler qu’un minimum de sang. Dans son excitation sexuelle à se vider sans réserve, avait-il eu la conscience de presser ses griffes contre les clavicules de la petite chatte ? Oui, il la blessait comme il l’avait prévenu. Mais les dégâts étaient limités.

Spartacus : « J’aurai jamais cru, han ! que ton petit gabarit aurait tenu le choc sous mes coups de butoir. Tu es une putain très satisfaisante, putain ! Et la poiscaille noyée au-dessous qui me boulotte mon paquet. Han ! Prends ça et, han ! Putain, ouais. La liberté ça me donne une trique incroyable ! Cette situation vaut le coup de mourir demain : ah ah ! »

Alors qu’il se sentait sur le point de cracher son foutre, Spartacus se retira du cul de Simsy. Sa main puissante s’enserra sur le cou de la féline et il vint la plaquer contre son puissant torse. Il savait qu’il lui faisait mal. Mais la bête en lui était incapable de se contenir davantage. Elle vivait et n’était pas morte, c’était déjà beaucoup.

Spartacus : « Si tu as une portée, ils seront mien autant que tu seras mienne ! »

Et le Roi-esclave éjacula dans la matrice de Simsy. Dans le même temps, sa gueule entoura la frêle épaule de celle qui donnait toujours du plaisir à deux naïades en même temps. Ses dents s’enfoncèrent dans son épaule. Le sang coula et tomba en gouttes dans l’eau. Aucune naïade ne réagit avec l’instinct d’un requin tueur. Heureusement…

A peine eut-il fini d’éjaculer qui la libéra de son vit. Il la laissa flotter sur la surface de l’eau avec le cou endolori, l’épaule ensanglanté et la chatte pleine. Très vite (trop ?) Spartacus se choisit une naïade et la trifouilla sans délicatesse. Il n’avait plus un regard pour Simsy. Désintéressé ? Très probablement que non. Mais il voulait agir en rustre. Il voulait utiliser son nouveau corps au maximum de son potentiel. Car son cerveau reptilien savait déjà que ça ne durerait pas.

Couple Gine/Kamiye

Dans son état altéré, Presque-Courroux n’était pas certain de comprendre toutes les subtilités des phrases qui sortaient difficilement de la bouche d’Aline. Heureusement que son corps à elle communiquait clairement ce dont il avait envie ! Elle le voulait lui. Elle voulait se faire prendre par lui ! Ca le rendait si dur que c’en était presque douloureux.

« Kami… Je… Kamiyou ? Rhaa ! »

Il plongea à nouveau dans l’eau. Parce que ça l’énervait de buter sur les mots comme un gros idiot. Il se rendait suffisament compte de son handicap. Et handicap signifiait faible pour le guerrier Courroux en lui. La bête assoiffée de sang qui avait déjà tué auparavant voulait simplement enchaîner les coups de butoir dans cette femelle. Mais l’esclave au cœur romantique souhaitait ardemment autre chose ! Il y avait un tel conflit d’intérêt en lui qu’il se cacha d’une part sous l’eau, et d’une autre part pour crier sans être entendu.

Ils émergèrent à nouveau hors de l’eau.

« Attends ici. »

Seulement deux mots. Deux de trop. Dans ses bras, dans son étreinte qu’il ne comptait pas desserrer de peur qu’on la lui ravisse (il grogna à l’adresse d’un Spartacus qui venait de jeter Simsy comme… un déchet ? Peu importait pour lui à ce moment. Il devait déjà gérer ses propres sentiments).

Et donc il sortit de l’eau avec son précieux paquet tout nu dans les bras. Il ne dit rien. Et si elle tenta de lui parler, il était tellement focalisé sur son objectif qu’il ne lui répondit pas. Leurs corps dégoulinèrent d’eau en passant à quelques dizaines de mètres de Qaye et de curieux personnage à la besace pleine de potions.

« Toi m’avoir dit que tu voulais être à l’abri avec moi. »

Une déclaration qui précéda le fait que le dos d’Aline retrouva la surface dure du sol. Mais ce n’était pas seulement le contact de la pierre rouge. Presque-Courroux avait pris le temps de trouver un endroit qui soit matelassé par une épaisse couche de végétation.

« Toi, bouge pas d’ici. »

Il arracha de grandes feuilles pour mettre son amante encore plus à l’aise. Satisfait, il la recouvrit de son corps partiellement transformé. Il respirait fort. Son regard était si intense qu’il avait un potentiel de transmettre la peur. La folie était dans la rétine. La folie d’un esclave brisé. La folie d’un guerrier meurtrier. Mais cette folie était entièrement tournée par le besoin de satisfaire une pulsion sexuelle. Avec elle.

« Avec Aline. Maintenant. Et maintenant, chut. »

Il posa son doigt sur ses lèvres, la privant de ses mots. Puis le doigt se retira pour laisser ses lèvres lui donner un autre baiser. Et comme tout s’enchaînait rapidement, Presque-Courroux renommé Kamiyou força le passage pour besogner son amante. Son Aline.

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 23 févr. 2025 00:47
par Qaye Nakhsole
Qui aurait cru à première vue qu'une neko aussi frêle pourrait supporter des coups de reins aussi puissants ? Spartacus ne l'aurait jamais cru, mais Simsy se connait assez pour s'offrir à un lion aussi imposant. Elle ne fait que crier de plaisir, avec un petit côté masochiste qui fait que les griffes qui se plantes dans sa peau font un mélange entre plaisir et souffrance, comme pour Qaye, à la différence près qu'elle ne le montre qu'à sa "Déesse". Elle peut plus trop parler, mais elle peut s'exprimer. Ses coups font clairement plaisir à la petite chatte, qui est surprise que Spartacus ne s'enlève du cul de la neko, avant de s'insérer dans la chatte. Ce n'était pas ça qui allait lui briser son plaisir, loin de là, mais c'était surprenant. Elle a mal autant au torse qu'à la gorge, mais ce n'est pas grave. Elle entend les mots de Spartacus disant qu'il veut bien s'occuper de ses enfants autant qu'elle va lui appartenir. Contrairement à Qaye, Simsy peut se permettre "d'appartenir" à quelqu'un d'autre que sa "Déesse", juste que la Déesse passe par-dessus tout pour elle, en tant que croyante.

Image "Oh oui, si tu veux Spartacus !!!!"

Se soumettre à un ancien esclave, pour peu que ce ne soit pas non plus en tant que maître-esclave, c'est pas ça qui va lui faire mal. Elle a aussi mal à l'épaule avec la morsure de Spartacus, une morsure jusqu'au sang, mais qui est plus satisfaisant qu'autre chose pour une neko qui s'est fait violer à plus d'une reprise. La neko se laisse alors tomber dans l'eau, se retournant pour pouvoir reprendre son souffle. C'est assez difficile pour la petite chatte de bouger rapidement après cette prise aussi brutale, alors elle se laisse reposer et regarder Spartacus se satisfaire des naïades qui aiment tant se faire pénétrer. Une des naïades profite de ce moment d'accalmie chez Simsy pour lui lécher la chatte sous creampie, faisant gémir la neko. Deux autres naïades se mettent à masser Simsy aux endroits où Spartacus l'a blessée, histoire de mieux la soulager.

Un savant de passage qui offre de l'aide à nos compagnons ? J'espère que c'est vrai, mais pour l'instant il n'a pas l'air d'être un mauvais bougre. Juste qu'il essaie d'être prévenant, car il sait que ce qui nous attend ensuite, c'est la suite d'un pèlerinage périlleux, non pas à cause du chemin à parcourir en soi, mais à cause du Roi Rouge, déterminé à tous nous tuer.

Nous voyons alors une naïade particulière, une grande naïade charismatique, habillée contrairement aux autres naïades, puissante... bref, on peut deviner que c'est la Reine quand on compare aux autres. Elle me regarde, elle me dévore même du regard, et sans un mot car j'ignore si elle sait parler, elle me pointe du doigt en se mordant les lèvres. Le savant explique que tout ce qu'elles veulent, c'est de passer un bon moment avec ceux qui sont arrivés chez elles. Il me confirme d'ailleurs qu'elle est elle-même futanari.

Image "Si belle..."

Je me lève donc, presque hypnotisée par sa beauté. Cette fois, je cède très rapidement. Xeki ayant compris qu'elles ne veulent aucun mal, et ayant confirmation qu'elles chérissent la vie, elle laisse faire, et se contente de discuter avec le savant, pour l'instant, n'étant pas fermée à l'idée de s'offrir aussi à la Reine.

Image "Je suppose que pour connaître autant ces naïades, vous êtes allé régulièrement dans ces lieux."

Je m'approche de cette femme, jusqu'à arriver à sa hauteur, en la regardant toujours. Je ne sais pas si les effets de la potion de télépathie marche encore, mais je pense que s'il le faut, elle pourrait me le faire boire.

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 24 févr. 2025 16:28
par Gine
Ses propos l'avaient embarrassé ? Lui, cet homme à moitié bête ? Gine, qui n'eut guère le temps d'en rire, cligna des yeux avant de se retrouver encore une fois la tête sous l'eau. Elle produisit des bulles cette fois-ci ! Si une plainte jaillit de sa gorge, on ne l'entendit pas du tout.

- Pouah !

La femme à queue de singe secoua la tête. Son épaisse crinière brune était gorgée d'eau. Elle ne se décrocha pas de son mâle. cela tombait bien parce qu'il ne voulait pas la lâcher, préférant plutôt la transporter ailleurs, hors du lac, dans un coin plus tranquille...
Gine ne chercha point à converser ; elle s'intéressa plutôt à leur destination. A l'endroit vers lequel son partenaire choisi se dirigeait d'un pas déterminé. Son regard survola donc Qaye, Xeki et cet érudit qui lui avait fait part de sa sombre prophétie. Etait-il en train de les prévenir du danger qu'elle était susceptible de représenter ? La Saïyajin préféra ne pas y penser. Elle avait peur d'être écartée du groupe, et si jamais cela venait à arriver maintenant... son cœur de guimauve ne le supporterait sans doute pas.
Au moment opportun, Kamiye se remit à parler. Un langage à la limite primitif, bestial mais non sans cette pointe de douceur qui appartenait à l'ancien esclave.
Tout en le regardant, Gine hocha la tête. Puis elle bascula en arrière avant de sentir le sol contre son dos. Une terre qui n'en était pas une dans la mesure où elle était couverte par la végétation...
Leur petit nid d'amour ?
Kamiye lui demanda alors, pour la seconde fois, de ne pas bouger. Elle obtempéra. Sa patience fut récompensée par l'aménagement rapide d'une couche supplémentaire de feuilles souples. La Saïyajin s'installa dessus. Elle n'eut pas un soupçon de réticence. Ici, ce n'était pas la peur qui commandait ses gestes. Malgré la démence qui brillait dans les yeux de l'hybride muté, Gine avait envie de se lier à lui. A cet entre-deux de Kamiye et de Courroux. Quitte à en souffrir un peu...

- Je-

Elle n'eut pas l'autorisation d'en dire plus. D'un index prévenant, Kamiye avait neutralisé ses lèvres. Les sourcils arqués, la femme à queue de singe loucha bêtement sur son doigt. Il l'embrassa presque tendrement. Cette distraction inattendue l'empêcha de se soucier de ce qui se passait plus bas. L'homme à demi bête s'inséra donc en elle - un coup bien placé qui la fit couiner sur le moment ! Honteuse d'avoir laissé échapper un tel son, Gine se mordit les lèvres et, pendant plusieurs secondes, alors que son corps nu remuait au rythme de l'avancée de son champion, elle contint ses gémissements jusqu'à en avoir les joues prêtes à éclater. Elle fixait Kamiye, le visage rouge comme une coquelicot, avant d'évacuer un gros soupir qui acheva de la mettre dans le bain.

- Hanmmh !!... V-vas-y, Kamiye~

C'est de ses propres mains que la Saïyajin maintenait ses cuisses écartées de sorte à ce que son solide partenaire la consommasse sans retenue. L'initiative de changer de position appartenait à ce dernier qui, au vu de la situation, s'était placé en dominant. Durant ces quelques minutes torrides, son Aline lui appartenait totalement.


La cheffe des rebelles avait été séduite par la reine des naïades. Une beauté qui n'était pas qu'illusoire, même si celle-ci dépendait principalement de sa magie. Cette apparence là, la muse aquatique était parvenue à la construire au fil des ans, grâce à son expérience quasi millénaire. L'érudit, qui avait pris le temps d'étudier ce peuple pacifiste, savait à quoi s'en tenir avec elle et ses somptueuses inférieures. Xeki, à cette occasion n'avait fait que taper dans le mille.

- Il fut une époque où, comme vous tous, je me suis laissé tenter. (Il eut un haussement d'épaules.) Je ne l'ai pas regretté, c'est le moins qu'on puisse dire ! Mais tout de même : j'y suis allé mollo en me frottant à quelques séduisants spécimens qui voguaient aux abords du troupeau. Vous avez remarqué leur nombre, n'est-ce pas ? En fonçant bille en tête au beau milieu de cette marée de merveilles, seul, j'aurais sans doute fini sur les rotules pour au moins une semaine entière !

Seul Spartacus, sous sa forme d'homme-bête, avait les moyens de satisfaire un cortège entier de ces nymphes sans s'écrouler de fatigue ! Le savant ne s'était pas risqué à utiliser la fameuse potion dans un intérêt personnel. En parlant de ce produit, l'homme de science jugea plus sage de remettre, en mains propres, à Xeki, la fameuse fiole à tête de loup, avec en prime le secret de sa conception enroulé sous forme de petit parchemin autour du goulot.
Il adressa un clin d'œil à la néko à poil noir.

- A compter de cet instant, vous en êtes la gardienne, annonça-t-il. Les autres n'auront d'autre choix que de vous demander la permission d'en boire quelques gouttes le moment venu. (Il leva un doigt.) Attention : jamais plus de cinq dans une bouche ! Sauf si vous souhaitez faire exploser le cœur du buveur. (Il rit doucement.) Mais je sais très bien que vous n'êtes pas du genre à empoisonner votre monde.

Le savant ne résista pas longtemps à cette envie de lui mettre une petite fessée ! Geste audacieux qu'il justifia d'emblée par un doigt pointé sur la reine et Qaye, ces deux là n'ayant pas mis longtemps avant de s'échanger un baiser exquis. Echange aromatisé avec le contenu de cette amphore. De quoi faciliter durablement la communication entre deux créatures d'espèces différentes, mais pas pour autant incompatibles.

- Maintenant, courrez les rejoindre ! Moi, je vais me contenter de prendre quelques notes~

En embrassant goulument la reine des naïades, la cheffe des rebelles perçut la douce signification de son chant :

- Laisse toi aller contre moi, enfant de la surface. Je veillerai bien sûr à ne pas abimer cette descendance que tu abrites en toi avec tant d'amour. Fais-moi confiance : tu repartiras de notre paradis le cœur léger, et la tête chargée de souvenirs indélébiles~

Si ce n'était pas déjà fait, la reine la débarrassa de ses vêtements avant de promener ses doigts palmés sur ses renflements mammaires. L'amphore se mit à flotter à quelques pas du couple. La naïade ne regardait plus que Qaye. Avec pour intention de mieux la stimuler, une de ses mains attentionnées vint s'attarder entre les cuisses moites de la néko.

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 26 févr. 2025 19:56
par Kamiye Goupile
« Bien que j’y vais. Je ne vais pas partir. Aline appartient à Kamiye ! »

Et la moitié de bête donna des coups de butoir sans grande retenue. Une autre que sa guerrière d’amante y aurait surement trouvé bien plus de douleur que de plaisir. Mais Gine ne se briserait pas si facilement ! N’avait-elle pas encaissé plusieurs coups d’un golem de pierre ? Elle soutiendrait donc le rythme et l’intensité de ce mâle qui alternait entre un ancien esclave et un monstre de violence.

« Kamiye ne veut pas que tu te retiennes. J’aime le son de tes gémissements. Ca m’excite beaucoup ! »

Elle s’offrait à lui. C’était évident au vu de la façon dont ses mains tenaient ses cuisses. Etait-ce la bête qui se satisfaisait de cette soumission à son pouvoir ? Ou l’ancien esclave qui découvrait qu’une personne pouvait s’offrir à lui, lui qui avait toujours vécu pour s’offrir aux autres ? L’intellect ne changeait pas grand-chose dans le fait qu’il allait et revenait sans cesse en elle. Sans grande subtilité. Sans changement. Il la pénétrait encore et encore. Ses yeux ne quittant pas les siens. Capturant chaque instant. Chaque émotion. Chaque changement dans son expression rougie était un bonheur qui le motivait d’autant plus à la faire jouir. Il voulait l’entendre crier !

« Nous sommes loin des autres. Nous sommes à l’abri. Comme Aline me l’a demandé. Ici, tu peux crier. Tu peux gémir. Tu peux perdre le contrôle de ton corps. De ton sexe. De ta conscience. Kamiye est là. Je suis là. Je te protège. Tu es à moi. »

Ses lèvres vinrent se coller aux siennes. Mais ce fut finalement pour que ses dents à moitié animales mordillent sa lèvre inférieure. Une démonstration de sa bestialité. Une façon de lui faire ouvrir les lèvres. Il ne savait pas exactement pour quoi. Pour qu’elle cesse de se contenir. Pour qu’elle lui offre un baiser. Pour tout ça et d’autres raisons. Il lui donna encore un baiser, sans jamais discontinuer de la pilonner.

« Kamiye le sent. Il peut jouir une fois et t’inonder. Et il pourra encore être dur pour une deuxième fois. Peut-être pas pour te remplir encore. Mais je pourrais alors te prendre d’une façon différente. De l’autre côté, par exemple. Ton visage tout rouge dans les feuilles. Et tes fesses tout en haut offertes pour ma concu- ma conque- ma conculpisse- rhaa ! Je sais pas pourquoi mot compiqué est venu dans ma tête. Pour que je te prenne encore ! Mais je peux aussi t’attraper et te coller contre mon torse pleins de muscles. Empaler sur moi. Tes seins contre mes pectoraux. Ton visage si proche du mien. Sans contrôle. Comme le petit d’une portée collé à son parent. »

De temps à autre, sa dentition venait laisser l’empreinte de ses dents pointues dans sa chair. Dans le creux de son cou. Dans le muscle de son bras. Il ne voulait pas lui faire mal. Mais la marquer… Mais faire apparaitre des perles de sang… Tout cela enhardissait sa nature sauvage !

« Je laperais tes plaies après. Kamiye promets ! Mais pour le moment, NON. Kamiye veut aussi savoir si Aline veut se faire remplir. Je veux rester en toi et remplir ton ventre de tout chaud. Mais même si je te mords. Aline a le droit de se faire respecter. Si elle ne veut pas que son ventre s’arrondisse, je comprendrais. »

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 27 févr. 2025 11:23
par Gine
"Aline appartient à Kamiye."
Gine trouva presque amusant cette facilité qu'elle avait eu à se plonger dans la peau de ce personnage inventé par Presque-Courroux. En même temps, une partie d'elle appartenait à cet "avatar". Et puis, seules les deux premières lettres de son prénom avaient changé, non ?
La Saïyajin soupirait fort et chaudement alors que son vigoureux partenaire la gavait de coups de reins ! Gine fermait un œil de temps à autres, ses seins remuant sur sa poitrine au rythme des percussions qui remontaient jusqu'à la racine de ses cheveux. Face à pareil enthousiasme, la femme à queue de singe était bien incapable de contenir ses gémissements.

- Huuun !... AAaaah !... Oui !!... K-Kamiye... Kamiy-ouuhhmmm !

Ses doigts tenaient bon. Sa prise était devenue moite, presque glissante, mais la Saïyajin n'avait pas lâché ses gambettes qu'elle maintenait largement écartées. Elle n'avait pas trouvé meilleure façon de s'offrir à son amant transformé. Le regard de ce dernier ne la quittait plus. Les yeux sombres de la Saïyajin se plissaient fébrilement bien qu'elle s'efforçât de maintenir le contact visuel ; elle sentait, au plus profond de sa personne généreusement occupée, que cela contribuait à la qualité de leur partage.

- J-je vais... hh... faire de mon... uuhhn... de mon mieux~

Petit à petit, elle épousa le rythme imposé par son cavalier, ses hanches de guerrière bougeant par instinct. Cela la fit gémir un peu plus fort, et donc ouvrir la bouche encore plus grand. Occasion dont se saisit Kamiye pour se pencher sur elle et coller ses lèvres aux siennes. Il lui mordilla la lèvre inférieure à la manière d'une bête. Réaction primitive à laquelle la femme à queue de singe répondit par un baiser insistant, l'envie ayant comme explosé dans son bas-ventre pilonné.
Comme si tout cela ne suffisait pas à la faire sienne, Presque-Courroux usa de ses mots encourageants. Il s'exprimait toujours à la troisième personne, donnant l'impression que deux personnages différents se partagaient la même enveloppe. Phénomène sans doute rendu possible grâce à la potion de l'érudit ? Gine imaginait mal son Kamiye, d'ordinaire si tendre et réservé, parvenir à la prendre comme il le faisait maintenant. L'ancien esclave fantasmait sur elle là où Courroux rendait leurs ébats possibles. Hypothèse qui chatouillait la conscience d'une Saïyajin en émoi. A la vérité, peu lui importait l'homme qui se trouvait être aux commandes : l'énergie déployée, combinée au plaisir éprouvé, empêchait Gine d'avoir à s'en plaindre.

- Nnngh !... Kamiye est... (Elle dut ravaler sa salive.) ...Aaahn!... Il est mon... Huuf!... conquérant~

Les feux fous d'amour, elle renonça à ses cuisses trempées, venant plaquer ses mains transpirantes dans le dos du sauvage. Kamiye la mordit en retour, la marquant de son empreinte dentaire à différents endroits de son corps perpétuellement secoué. C'était certes un peu douloureux mais la femme à queue de singe, forte de ses gènes de Saïyajin, n'était pas moins en mesure d'en concevoir un plaisir quelque peu... masochiste ?
A chaque morsure, son petit frisson !
Alors ? Après tout ça, Kamiye s'était-il montré suffisamment convainquant pour qu'elle accepte de recevoir son feu de vie ?
En presque gentleman, l'ancien esclave et moitié monstre avait pris la peine de lui demander l'autorisation. Malgré la violence de ses gestes, le conquérant pensait toujours au bien-être de sa conquête.
Gine, entre deux profonds gémissements, ourla un sourire accueillant.

- Kamiye a dit qu'il ne partirait pas, souffla-t-elle.

La Saïyajin trouva la force de verrouiller ses jambes autour de ses reins, l'amenant encore un peu plus loin en elle.

- Hummmnnh!... Je veux aussi qu'il reste en moi... jusqu'à la fin ♥

Si quelqu'un devait devenir le père de ses enfants, ce serait lui. Sur sa planète natale, Gine n'en avait jamais eu envie. Sans doute parce qu'on ne l'avait pas considéré à sa juste valeur. Ici, Kamiye se comportait de façon totalement différente avec elle. Il lui témoignait un certain respect, en plus d'avoir les moyens de ses ambitions. Cela n'avait pas toujours été facile à vivre pour elle, mais Gine avait assisté à son évolution. Elle avait cherché à le protéger, et voilà que maintenant c'était lui qui veillait à la garder du mal. Des rôles qui tendaient à s'inverser.
Elle lui expira son plaisir au visage.

- Ensuite, tu pourras... hhh... continuer à me prendre comme une bête~

La croupe dressée, son visage tout rouge plongé dans les feuilles ?
Une posture qui lui faisait de l'œil !
Gine n'avait pas peur d'encaisser. Pas peur de supporter un second round en se faisant chevaucher comme une pouliche ! Elle était endurante, et son partenaire n'allait pas se contenter d'un seul rodéo.

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 28 févr. 2025 11:18
par Kamiye Goupile
Kamiyou le Conquérant ! Un tel maître ne put se retenir très longtemps après s’être fait ceinturer les reins doublé d’un plaisir expiré à son visage. C’était beaucoup trop pour le petit cœur mou de Kamiye derrière le physique de Courroux.

« Alors Aline aura dans son ventre ma portée : HAN ! Ah… »

Les bras de chaque côté du visage féminin rougi, le bas du corps du mâle tressautait au fur et à mesure qu’il finissait d’éjaculer en elle. Une forme de silence revint entre eux deux. Seulement perturbé par leurs souffles rapides et leurs tambours cardiaques.

Presque-Courroux n’avait pas quitté le regard d’Aline alors qu’il la réchauffait de l’intérieur.

« Tu es à moi. » (souffle souffle) « Et je t’appartiens aussi. C’est une promesse. » (souffle souffle)

Sa langue vint laper toutes les plaies qu’il avait provoqué de ses morsures. Avant chaque nettoyage, il s’extasiait du fait que les gouttes de sang se diluaient aux gouttes de sueur. Un esprit plus « Camillien » aurait pu y vor une forme d’œuvre artistique. Mais Kamiye était plus bestiale. Ses réactions l’étaient. Ce qui n’empêchait pas une douceur et une gentillesse de se manifester.

« Mon Aline est toute propre maintenant. Elle saigne encore un peu. Mais je promets que ce ne sont pas des marques de faiblesse. Ce sont des épanchements d’amour. »

Ses mains, pour le moment encore puissantes, glissèrent pour s’arrêter sur les hanches de sa femelle. La caresse devint alors prise. L’instant suivant, le ventre rempli de la chaleur d’un foyer à venir, Gine se retrouvait allongée sur le ventre. Presque-Courroux fit peser le poids de son corps sur son dos à elle. Et il vint la couvrir de baisers dans le cou.

« Kamiye va faire ce que tu lui as dit de faire. Continuer à te prendre comme une bête. Je suis encore dur pour toi. Tu le sens ? »

Son sexe turgescent reposait entre les fesses musclées de son amante. Et puis le mâle d’action, après une longue expiration qui vint balayer le côté du visage face contre les feuilles : se releva prestement. Ses mains puissantes vinrent porter les fesses plus près du ciel, se rapprochant du fameux septième. Puis ses doigts écartèrent les chairs intimes.

« C’est beau. C’est à moi. Ma chaleur. »

Sa langue vint s’imprégner de la fragrance de sa belle. Avec une possibilité de vision obstruée, Gine pouvait déjà ressentir des changements. Une force musculaire moindre. Une attention redoublée. Même l’intonation devenait plus « cérébrale ». Il y avait un changement en cours. Mais avant qu’elle ne puisse le verbaliser, son con se retrouvait assiégé. Son système nerveux remontant à toute vitesse, parcourant la distance marathonienne pour apporter tous les messages de plaisir au cerveau.

Si l’intensité était moindre, le romantisme semblait venir contre-balancer. Son amant pesait moins lourd ? Ses doigts paraissaient plus fins ? Etait-ce seulement possible ? Oui. Il aurait fallu un certain sage voyageant sur des morceaux de montagnes flottants et transportant des potions à tête de bête pour donner une explication logique. Cela importait peu. L’amour était présent à travers le sexe. Il importait vraiment si peu que Presque-Courroux soit devenu Quasi-Kamiye.

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 28 févr. 2025 18:07
par Qaye Nakhsole
La neko d'Ancarla regarde naturellement cet érudit intriguant. Alors il s'est laissé tenter pendant un temps, sans regret, mais le problème est qu'il ne peut pas tenir longtemps face à de belles naïades aussi nombreuses. Il lui fallait rester à la surface avant qu'il ne s'épuise. Xeki voit d'ailleurs l'érudit lui donner en mains propres la fiole à tête de loup qui a transformé Spartacus en bête. Elle regarde de qui il s'agit, et remarque un petit parchemin enroulé autour du goulot. Surprise, elle regarde l'érudit, qui lui fait un clin d'œil. Xeki, la gardienne, comme elle n'hésite pas à garder sa cheffe ? Elle ne s'y attendait pas vraiment. Quelques gouttes, donc, et pas plus de cinq. Ca a l'air particulièrement efficace, tellement efficace que cinq suffirait à faire exploser le cœur.

Image "Mais… je veux bien… mais qu'est-ce que c'est ?"

Il ne répondit pas, et se contente de donner une fessée à Xeki, ce qui la surprend plus qu'autre chose. Elle est peut-être dénudée et n'a pas encore pris le temps de s'habiller… de toute façon, comme beaucoup, elle n'a plus de pudeur, mais quand même. Elle attache donc la fiole sur le fourreau de sa dague. Xeki ne sait pas où se mettre, sur ce point. D'un côté, la Reine des Naïades n'est pas mauvaise du tout, elle veut juste profiter avec les autres, et elle est tentée par ça. De l'autre, qui pourrait s'assurer que tout va bien aller ? Certes, elles sont dans un lieu plongé sous le sol, mais si justement le Roi Rouge tombe dessus ? Elle ne veut pas être en danger en plein acte. De toute façon, l'érudit l'incite à y aller, et donc elle y va quand même.

La Reine me dont un long baiser langoureux, qui m'incite à fermer doucement les yeux, et après que nous nous embrassons longuement, j'entends une belle voix, une voix de sirène. Une voix chantante qui m'incite à me laisser emporter par ce désir. Un désir jamais aussi fort qu'avec Déesse, mais un désir puissant. Elle me promet d'ailleurs de ne pas faire de mal avec mon enfant, celui de Déesse. Elle me prend alors doucement le sein, me faisant doucement gémir, et je gémis plus fortement en sentant son autre main commencer à me caresser intimement, alors que je la regarde dans les yeux.

Image "Faites donc..."

Je l'embrasse à nouveau, langoureusement, posant mes mains sur ses seins, alors que je sens que la Reine se fait coller le dos. Je rouvre doucement les yeux et je vois Xeki emportée par le désir tout comme moi, qui commence à détacher la mini-veste de la naïade pour la mettre seins nus, et les masse doucement.

Image "Ne vous inquiétez pas, je suis sa conseillère et sa garde du corps. Je peux profiter de vous avec elle."

Elle lui embrasse le cou et je commence à me baisser pour commencer à prendre son vit en main, pour le caresser doucement, sans enlever mon regard de son visage.

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 01 mars 2025 19:30
par Gine
Conscient que ses intentions se mariaient merveilleusement bien aux siennes, Kamiye se déchargea dans la matrice fertile de sa conquête. Gine se crispa en conséquence. Un long spasme de plaisir qui firent ses orteils se contracter d'un bloc. Elle retint inconsciemment sa respiration, sentant son pouls battre dans ses tempes durant ce moment inoubliable. Son soi-disant protégé, qu'elle avait fait monter en grade grâce à ses récents exploits, la fécondait. Un sourire de bienheureuse se dépeignit sur le visage de la femme à queue de singe. Le regard énamouré de son glorieux amant ne fit qu'ajouter à son bonheur. Les battements de leur cœur et leurs souffles précipités comblaient à eux seuls le silence qui s'était installé dans leur petite sphère de verdure.
La Saïyajin lui caressa la joue.

- Ça me va.

Cette promesse. Cette appartenance à double sens. Une alliance marquée par ce qui coulait dans son bas-ventre, par ce qu'elle avait accepté de porter.
Les léchouilles de Presque-Courroux lui arrachèrent autant de frissons que de petits rires. Elle avait vite appris à se faire à son côté animal. Une brutalité contenue qui avait le mérite de la maintenir dans un état d'excitation.

- J'y survivrai, Kamiyou, soupira Gine. Et puis... je n'ai pas si mal que ça ♥

Ses "épanchements d'amour" la rendaient docile, oui. Totalement détendue, la Saïyajin renonça à son étau de jambes et, invitée par son compagnon bienveillant, s'allongea sur le ventre parmi les feuilles. Presque-Courroux appliqua son poids sur son dos. Gine sentit le courant passer dans son cou à chaque fois qu'il y déposait ses baisers.

- J-je la sens, oui...

Sa virilité nichée entre ses fesses. Derrière que l'hybride empoigna après s'être redressé d'un seul coup.

- K-Kamiye... ?

Qu'était-il en train de faire ? Gine chercha à lui couler un regard par dessus son épaule, mais elle n'en eut finalement pas la force : la sensation de la langue de son homme contre sa vulve fut plus poignante ! Elle renonça à sa tentative futile, savourant la dégustation initiée par le doux dominant.
Kamiye se l'appropriait bel et bien, allant jusqu'à s'abreuver à sa source. Heureusement qu'il ne pouvait pas avaler son propre jus, enfoui trop profondément dans le ventre de sa bien-aimée.
En outre, la Saïyajin avait bien entendu perçu ce changement chez lui. Ce qui lui conférait une marge de manœuvre un peu plus importante.
Malgré les signaux envoyés par son cerveau, par ces nouveaux assauts dans sa nuque, elle remua le derrière en conséquence, perturbant exprès le bon déroulement de ce "repas langoureux".

- La chaleur est encore plus forte... hh... à l'intérieur, siffla-t-elle en se glissant une main entre les cuisses.

Là où son partenaire finit par prendre place. Moins imposant qu'avant son éjaculation, il n'en demeurait pas moins motivé par sa femelle au point d'entrechoquer énergiquement son bassin contre son fessier entraîné. Gine porta son propre poids sur ses avant-bras entre lesquels elle reposa sa tête. Cette chevauchée la fit gémir plus fort encore que tout à l'heure ! Un signe de faiblesse ? Ou de sa préférence à recevoir par derrière ? Ses jambes pliées absorbaient merveilleusement bien les chocs répétés, si bien que la Saïyajin mêla ses propres mouvements de bassin aux siens. Des efforts qui la faisaient rougir de plaisir et presque - presque ! - tirer la langue.

- En-encore, grogna-t-elle entre deux grimaces obscènes. C'est bon... Aaah !... C-c'est... si bon~

Dans d'autres circonstances, elle aurait sans doute eu honte de le reconnaître. Avec Kamiye comme cavalier, il n'en allait pas de même. Celui-ci la montait avec amour, sa bestialité typique de chez Courroux tendant à s'évaporer. Abandonnant l'un de ses appuis, elle déplia un bras pour le lui tendre comme une naufragée. Geste qui l'invita à se cambrer de manière à ce qu'elle puisse se redresser sur les genoux, son dos joliment courbé presque collé au ventre de l'hybride. En se tenant droit, il avait les moyens de plonger son nez entre ses omoplates, voire dans sa dense crinière sombre. En équilibre sur les genoux alors que les coups de reins continuaient, Gine leva une main dans son dos, venant caresser du bout des doigts la nuque de son amant.

- Embrasse-moi, soupira-t-elle, des cœurs plein les yeux, pendant que l'on... Uhhmmn !... fait l'amour ♥

Sa queue de singe vint s'enrouler autour d'une de ses cuisses masculines. Les lèvres de la Saïyajin trouvèrent à nouveau la langue parfumée de son conquérant.


Alors que Qaye goûtait à ses lèvres, la Reine des Naïades sentit Xeki presser sa poitrine contre son dos. Les deux premières remarquèrent sa présence, qui fut accueillie tout aussi proprement que la cheffe de la résistance. Avec un sourire de déesse, la muse aquatique se laissa dévêtir, dévorant du regard ce visage de femme-félin lui aussi pétri d'affection. Un mince soupir franchit le palier des lèvres bleues de la reine. Au contact des mains de Xeki, ses tétons parfaits ressortaient déjà.

- Deux pour le prix d'une. (Elle eut un rire chantant.) Tout l'honneur est pour moi, beautés de la terre~

Les baisers de la garde du corps la firent se cambrer légèrement tout contre elle. La reine leva un main dans l'intention de flatter la fontanelle de l'attentionnée néko. Elle effleura ses oreilles de ses ongles avant d'arriver à son objectif, qu'elle savait source de bien-être et de tranquillité. Puis elle baissa son regard de diamant sur le visage de Qaye, qui avait fléchi sur ses jambes sveltes afin de se tenir à hauteur de sa verge. Membre qu'elle fit doucement gonfler entre ses doigts sages. Toute sourire, la reine, de sa main libre, la récompensa aussi de ses caresses. La première sur la tête ; les suivantes sur les joues.
Les yeux jaunes de Qaye semblaient l'hypnotiser.

- Je te récompenserai pour cela, lui assura-t-elle en l'enjoignant, finalement, d'une main derrière la nuque, à approfondir son œuvre. D'abord en te faisant l'amour de la manière que tu préfères. Je te ferai jouir en présence de ta conseillère, que je gratifierai d'un traitement égal. Une fois que tout le monde en aura eu assez, vous découvrirez alors mon cadeau que, je l'espère, vous utiliserez à bon escient. (Elle fixa plus intensément Qaye.) Seras-tu apte à porter la responsabilité de ce trésor d'un monde qui n'est pas le tien ? Je le crois, mais il reste que tu vas devoir me le prouver en t'exprimant au nom de tous tes compagnons. Ce que j'attends de toi, ma belle, se sont maintenant des actes.

A commencer par un effort oral le long de ce vit qu'elle se plaisait tant à tripoter.
La reine décrocha son regard de Qaye uniquement dans l'optique d'embrasser goulument sa garde du corps, que ses doigts chauffaient au niveau de ses seins ronds à la peau si lisse.

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 02 mars 2025 12:31
par Kamiye Goupile
Dans une sorte de fusion des corps, Quasi-Kamiye avait saisi ce bras lancé au hasard par sa Belle. Il l’avait pris mais pas seulement. Ce corps qui se redressa. Son autre main de libre vint lui ceinturer le cou dans un réflexe dominateur. Mais l’influence du doux ex-esclave luttait toujours davantage. La prise de desserra pour venir agripper une touffe de cheveux. Et Kamiye lutta à nouveau. D’autant plus lorsqu’il entendit que sa Gine désirait un nouveau baiser.

*Faire l’amour. C’est si… romantique. *

Excité, il n’en demeurait pas moins qu’il se sentait plus à son aise dans le con de Gine. Ce n’était pas une question que sa Belle soit trop dilatée. Cette dernière, il l’avait senti plus d’une fois, s’était contractée de nombreuses fois sur son pénis. Pour le presser de ses muscles intimes ! Seulement, Courroux perdait la course sur Kamiye. Et Kamiye, bien qu’hybride, n’était pas monté comme un animal.

« Je suis désolé. »

Une prémices plus qu’évident à son retour définitif. Etait-ce le sexe qui bravait les effets de la potion ? Peut-être une sudation excessive au fait du coït ? Et si une partie de la potion de transformation s’en était allé dans la matrice de Gine ? Les résultats ne seraient-ils pas catastrophiques si elle devait parvenir à former la vie suite à une alchimie « magique » entre deux corps ? Et s’il l’avait empoisonné en se répandant en elle ?

« J’aime beaucoup tes lèvres. »

Il les lui ravit. Alors qu’il pensa dans le même temps « J’espère que ça ne lui fait pas mal au cou de tourner ainsi la tête vers moi. ». C’était évident, Kamiye était quasiment présent. Trop précautionneux. Il y avait matière à ruiner cette fusion des corps évoquée plus tôt (et plus haut). Mais l’excitation grandissante. L’éjaculation attaquant la dernière la ligne droite ? Tout cela permettait à l’ex-esclave de conserver une vivacité qui plaisait à son amante. Il avait encore de l’énergie à revendre. Il ne voulait pas sentir cette pression et cette intensité en lui redescendre. Alors peu importait s’il était un peu égoïste. Il jeta ses dernières forces dans cette « bataille ». Redoublant d’efforts pour être puissant. Pour être coordonnée. Pour être intense. Mais il savait déjà que tout devenait trop intellectuel. Trop émotionnel dans son conscient. Il fallait que…

« OUiiiIII ! Aaah !... » (souffle souffle)

Pour la deuxième fois, il s’était déversé en elle. Et maintenant ? Il ressentait une forme de honte. De culpabilité à l’avoir « rempli » et « sali ». Heureusement pour lui, elle avait son joli visage rougi par l’effort contre terre. Dans le moelleux des feuilles qu’il avait rassemblé.

« Je…je suis désolé. J’espère que je ne t’ai pas fait trop mal ? »

Kamiye réalisa toutes les morsures tachetant le corps de Gine. Il se souvint qu’il avait clamé qu’elle lui appartenait. Et il en connut une nouvelle bouffée de rougeur et d’embarras. Tout comme il réalisa que son sexe pendait maintenant, « la goutte au nez ».

« Je vais te laisser. Je, je vais essayer de trouver un endroit au calme dans le lac où je pourrais me nettoyer. Je… »

Il ne tenait plus qu’à elle de reprendre l’ascendant sur lui. Tout du moins les initiatives dont il ne se sentait plus la force. Pour autant, il avait une envie après tous ses événements intenses : il aurait voulu lui faire un câlin. Surtout en recevoir un, en fait. Mais…il n’avait plus la force d’exiger quoique ce soit.

AILLEURS

Au-dessus de l’orgie, tout là-haut au niveau du désert s’étendant à perte de vue : des silhouettes sombres se penchaient dans la vaste crevasse. Un homme s’était allongé pour avoir un meilleur visuel sur ce monde souterrain.

Homme allongé : « Il a l’air de faire sacrément frais là en bas. Et qu’est-ce que c’est verdoyant ! »

Un autre homme, à côté de celui allongé, avait lui posé un genou dans le sol qui ne savait plus s’il devait être de roche ferme ou de grains de sable.

Homme agenouillé : « Nous ne sommes pas ici pour prendre du bon temps. Nous les avons retrouvés ! Je les vois ! »

Ce deuxième homme s’était exclamé plus fort pour un troisième qui était debout. Au vu de sa stature et de son armure, il était évident qu’il était le chef dans les parages. Il ne portait pas de couronne mais suffisamment de cette couleur pour être certain qu’il servait le Roi Rouge.

Homme debout : « Trouvons comment descendre. »

Homme allongé : « Il ne faudrait pas qu’il ressorte à l’opposé d’où nous allons entrer. »

Homme agenouillé : « Une course contre la montre va donc débuter. »

Homme debout : « Effectivement. Et nous avons l’avantage d’avoir l’esprit clair. Tous ces gémissements qui nous parviennent sont à notre avantage. »

Le Roi Rouge les avait retrouvé…

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 05 mars 2025 19:02
par Qaye Nakhsole
Xeki entend la voix chantante de la Reine des Naïades, et est naturellement charmée par ce son qu'elle a compris grâce aux effets restants de la potion de télépathie. Elle ne peut pas s'empêcher de ronronner en se sentant flattée, même en ayant l'habitude de par son passé. De mon côté, je continue de lui caresser son vit, alors que je reçois des caresses qui me font ronronner aussi. Le membre se gonfle doucement, alors qu'elle me dit qu'elle va ma récompenser pour cela, et sa main va vers la nuque, pour doucement l'emmener vers son membre, que je commence à laper, sans arrêter de l'écouter. Elle me fera jouir en présence de ma conseillère, et elle fera de même avec elle. Elle me promet d'ailleurs un cadeau que je devrais utiliser à bon escient.

Si je suis prête à avoir la responsabilité de cet artéfact ? Elle veut que je le prouve par des actes. Je secoue positivement la tête, sans la retirer du regard.

Image "J'en suis apte, Votre Majesté."

Je n'ai pas la foi, bien sûr. Ma foi n'est dirigée que vers Déesse, et éventuellement ses enfants ainsi que celle que je porte à l'heure actuelle, mais je suis prête à avoir sa confiance, si elle peut nous aider. J'ouvre donc ma bouche pour commencer à y mettre son vit bien gonflé, sans le lâcher pour commencer à doucement l'agiter alors que je le suce en bougeant d'avant en arrière, pendant qu'elle embrasse Xeki, qui commence à jouer avec sa langue, et gémit doucement en sentant la main sur ses seins. Xeki commence à masser les seins de la Reine des Naïades, pinçant de ses doigts aussi longs que fins les tétons de la Reine, entourée par deux belles nekos qui lui font plaisir.

Xeki finit par rompre le baiser passionné, et sourit à la Reine, qui pourrait regarder à nouveau sa Présidente.

Image "D'ailleurs, j'espère que la Déesse Phasmaria viendra vous voir une fois que vous nous accordez votre confiance. La mère de l'enfant de Dame Qaye est aussi perverse qu'elle, et elle sera toujours ravie de vous accorder plus de descendances."

Xeki se baisse un peu pour commencer à lécher un des seins, sans arrêter de masser l'autre. Elle a compris que la Reine veut toujours plus de descendances, tout comme Déesse. Elle incarne la divinité des mères et de la fertilité, et nul doute qu'elles s'entendront à merveille. J'espère qu'elle lui offrira toujours une place de choix. Je ne peux pas le dire, car je peine encore à l'utiliser, d'autant plus que mon pouvoir des ombres interromprait ce que je suis en train de faire, et je ne le permettrai pas.


Pendant ce temps, une personne sur son cheval est en train de traverser le désert. Cette personne sur son cheval noir porte un pantalon de cuir noir, une chemise à jabot féminine, des bottes cuissardes, un grand manteau et un chapeau à large bord. Il n'y a pas de doute : la cavalière vient d'Ancarla, et Xeki pourrait la reconnaître comme telle. Derrière l'Ancarléenne, une autre femme, ou plutôt une elfe avec une tenue assez classique avec une musculature qui roule sous la peau, montrant qu'elle a travaillé la terre. Elle porte également un chapeau, lui permettant de mieux voir malgré le soleil, mais son visage est moins bien caché que celui de la cavalière. Cela permet de voir que cette elfe porte un collier d'esclave autour du cou, mais elle ne semble pas du tout maltraitée.

L'Ancarléenne s'approche sans vraiment le vouloir des cavaliers du Roi Rouge. Nul doute que ceux-ci voudront l'aborder, que ce soit pour savoir comment descendre ou pour autre chose.

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 07 mars 2025 16:49
par Gine
Gine ne savait pas trop pourquoi Kamiye était désolé mais cela n'avait pas grande importance. Il se trouvait toujours en elle et, en prime, avait accepté d'échanger un nouveau baiser. La Saïyajin ne pouvait pas être plus comblée qu'en cet instant de chaleur partagée. Pas après tous les éloges qu'inspiraient son corps à l'ancien esclave. A aucun moment la femme à queue de singe ne suspectât un mensonge de sa part.

- J'aime beaucoup les tiennes aussi~

Son Kamiyou. Gine ne s'imaginait pas être sa maîtresse ou sa propriétaire mais ce surnom affectif ? Elle l'avait adopté ! Après tout, elle incarnait sa chaleur, son nid douillet, alors que lui était son doux tison de plaisir. Une brute à certaines occasions, mais Courroux, son alter égo bestial, n'était pas non plus dénué de charme. Cette personnalité n'effrayait pas la Saïyajin. En tant qu'"Aline", il était impensable que le "monstre" s'en prenne à elle.

- C-continue, Kamiyou, soupira la belle guerrière qu'il éperonnait avec de plus en plus de difficultés. Plus loin... Hunff !... Je... Aaahmmnn~

Les joues rouges, elle se mordilla la lèvre avant de basculer sur son tapis de feuilles. Les fesses en l'air, elle libéra un gémissement plus prononcé que les autres, annonçant sa jouissance peu de temps après celle de son amant redevenu l'hybride qu'elle avait connu pour la première fois dans cette prison puante. Cette pensée la fit doucement sourire. Ce jour-là, où il avait failli la laver de la tête aux pieds...
Gine ne chercha pas à se perdre plus loin dans ses souvenirs. Leur défunt géôlier, qu'elle avait exécuté froidement, ne devait pas entacher la finalité de leurs ébats.

- Je vais bien, répondit-elle, juste après avoir récupéré un rythme respiratoire plus que correct. C'est gentil de t'en soucier.

Plus qu'aimable, Kamiye avait l'air étourdi et gêné par la façon dont il s'était conduit avec elle. Sa réaction ? Tenter de se retirer. De se mettre de côté sous prétexte qu'il avait besoin de se nettoyer. Une fuite déguisée mais qui - Gine le ressentait au plus profond de ses entrailles - dissimulait le besoin d'être rassuré. La Saïyajin pivota sur ses genoux et prit l'hybride dans ses bras.

- Tu n'as pas besoin de te nettoyer, lui glissa-t-elle à l'oreille.

Le revoilà étendu sur elle. Gine lui caressa le dos, les épaules, promenant même ses doigts chauds aux environs de sa nuque fragile. Elle évacua un soupir d'aise.

- Mais si tu tiens tant à ta propreté, il me semble que c'est à mon tour de te laver, non ?

Il la rendait coquine, le bougre ! La femme à queue de singe était prête à tout pour le garder à ses côtés. Cet homme étrange qui avait su la conquérir malgré son instabilité...

- Tu n'as pas le droit de me filer entre les doigts, continua-t-elle. Pas maintenant. Pas après ce que l'on a partagé sur cette couche de feuilles~


Qaye prenait grand soin du vit de Sa majesté la mère des naïades tandis que sa seconde, pressée dans le dos de cette dernière, s'énivrait du goût de ses lèvres non sans jouer avec ses tétines. Une fois le baiser consommé, Xeki parla de la Déesse Phasmaria - celle qui avait fécondé sa cheffe - et de la possibilité d'une rencontre entre les deux têtes pensantes.

- Cela tombe bien, sourit la muse aquatique. Sache toutefois que le bon déroulement de cette alliance dépend principalement de l'usage que fera ta supérieure de mon cadeau.

Baissant les yeux sur le minois de Qaye qui la suçait, elle ouvrit la bouche un peu plus grand et souffla de bien-être. Entre cette fellation et les petites attentions de Xeki du coté de sa délicieuse poitrine, la magnifique Reine était entre de bonnes mains. Il ne fallait pourtant pas qu'elle gâche aussi tôt ses sécrétions dans la bouche experte de la néko.

- Excellent, commenta la naïade en descendant une main à hauteur du cou de l'affairée. Tu peux t'arrêter là.

Elle la caressa entre les deux oreilles avant de l'inciter bien gentiment, d'un doigt doux comme le miel, à relever le menton.

- Passons à l'étape suivante : retourne toi, que je puisse t'octroyer tout le plaisir que tu mérites de recevoir de la part d'une mère que tu es toi-même amenée à devenir~

La Reine la laissa faire tranquillement avant de refermer ses mains sur ses hanches et de répondre de sa promesse. Elle n'eut absolument aucun mal à s'insérer dans l'intimité de la glorieuse résistante, pas plus qu'elle ne ressentit la moindre peine à coulisser entre ses chairs brûlantes de désir. La naïade, en parallèle, siffla chaudement à la fidèle Xeki :

- Dévore la bouche de ta cheffe en mon nom. Je veux que ses gémissements descendent dans ta jolie gorge, pour que tu aies un avant-goût de ce que je te donnerai une fois son four bien rempli.

Qaye et Phasmaria n'étaient pas les seules à vivre de leur perversion. Cheffes, reines et déesses possédaient assurément une libido à l'épreuve des flammes les plus torrides qui soient !

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 09 mars 2025 08:09
par Kamiye Goupile
Kamiye était si fin… si blanc… si rachitique. Dans les bras de cette femme superbe et musclée, il n’était pas grand-chose. Mais c’était elle qui l’avait retenu. De corps et de mots. Elle ne lui autorisait pas à fuir. Et après seulement un petit temps d’incompréhension, il sourit et se relâcha. Ses muscles cessèrent d’être raide pour se laisser aller dans ce câlin. Dans le fond, c’est tout ce dont il souhaitait.

« Si tu veux bien me garder, longtemps, alors je ne partirais pas. »

Ayant perdu sa confiance en soi, n’ayant jamais eu une éducation sexuelle et encore moins sentimentale, il ne savait plus quoi faire de tous ses membres. Alors il n’en fit rien. Ça lui paraissait plus prudent que de commettre une erreur. Même s’il avait aussi en tête que ne rien faire était faire le choix de « faire quelque chose ». Une véritable torture…

« Ah ! Je viens de comprendre. Tu faisais mention de ce que j’ai dû te faire dans la prison ? »

Coïncidence ou signe du Destin ? Kamiye plongeait à peine dans ses sombres souvenirs qu’une ombre bougea étrangement. En tournant la tête, et surtout en la levant vers les hauteurs impossibles à escalader des flancs de falaise : il lui parut voir quelque chose. Qu’était-ce cette chose qui grondait dans son estomac ? (son instinct animal) Mais il réalisa que le grondement venait de sa gorge. Un reliquat de Courroux qui lui fit également légèrement entrouvrir les babines.

« Tu vas me trouver idiot mais… non. Je n’ai rien dit. Je… »

Tourner la tête pour revoir ses yeux étincelants et cette bouille rougie par les efforts : tout cela avait fait perdre les moyens de Kamiye. Et voilà qu’une larme coula sur sa joue. Pour finir sa chute sur celle de son amante. S’il ne savait pas ce qu’était l’amour, il savait qu’il était attaché à cette femme. Ce qui lui permit de retrouver des forces pour oser aller au bout de ce qu’il avait commencé à lui dire.

« J’ai cru voir quelqu’un tout là-haut. Je… je crois qu’il faudrait qu’on se relève. Et qu’on reparte. Enfin, peut-être qu’on devrait prendre le temps de retrouver des vêtements ? Et peut-être de se laver ? Non… je ne crois pas qu’on ait le temps. Je… »

Ses yeux faisaient des allers-retours nerveux. Kamiye n’avait pas les nerfs pour une telle épreuve. Il n’y avait aucun leader en lui. Et plus il parlait, plus il doutait. Plus le temps passait et plus il croyait que ce n’était qu’une ombre étrange, probablement une branche d’un arbre qui lui avait fait croire au pire.

Voilà : il avait dû se tromper !

Sauf que…non. Il avait bien vu un des nombreux visages de ce qui voulait sa mort. A lui et à sa Gine.

AILLEURS

Le Roi Rouge avait donc embauché une division de mercenaires. Un petit groupe qui était né et avait grandi dans le désert. Les autres soldats du Roi Rouge les surnommait les « Désertiens ». Mais jamais de vive voix quand ils étaient à portée d’oreilles. Ces quatre hommes n’avaient pas besoin d’être plus nombreux. A eux quatre, ils auraient pu décimer ou presque le groupe du Roi Rouge pourchassant les esclaves en fuite. Car, aux yeux du Roi Rouge, ils étaient, resteraient et mourraient avec l’étiquette d’esclaves clouée à leur cou.

Qamar : (soupir…) « Qatil a trouvé une voie où descendre. Allons-y, camarades. »

Des quatre, Qamar était le seul à avoir le visage à découvert. C’était un bel homme au look ténébreux mais avec un aspect également blasé. Toute cette noirceur en lui était contrebalancé par une éblouissante armure en or. Une erreur stratégique ? Certainement pas. Qamar possédait un certain intellect. S’il était aussi voyant, c’était pour deux raisons principalement. La première permettait à ses trois collègues de se faire oublier car on n’avait d’yeux que pour celui qu’on surnommait également la Lune. La seconde raison était que Qamar était fort.

Qatil : « … »

Dhahab : « … »

Easifat Ramlia : « Est-ce que je devrais déchaîner les vents du désert maintenant ? Cela plongerait les esclaves en pleine confusion. Mais, cela leur apprendrait aussi notre présence. Et donc nous perdrions l’effet de surprise. »

Qamar : « Je préfère que tu ne fasses rien, Easifat Ramlia. »

La voix de Qamar avait ce quelque chose de traînant. Comme s’il se fichait de tout ça.

Qamar : « Débutons la descente. Si nous parvenons en bas sans être repéré, Qatil pourra travailler efficacement. »

Qatil : « … »
Image

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 10 mars 2025 19:51
par Qaye Nakhsole
Je n'utiliserai pas son artéfact à mauvais escient, je peux le jurer. Bien sûr, les décisions de Déesse valent plus que les miennes, mais je veux que tout se passe bien. Xeki comprend aisément, et elle s'est déjà jurée de faire en sorte que ça se passe bien. De toute manière, il s'agit de la Reine des naïades, donc je ne veux pas la décevoir.

Elle me demande alors de m'arrêter là, et je retire son vit de la bouche, malgré ma petite frustration. Je me laisse lever la tête et elle me dit de me retourner, lui offrant alors mes orifices. me cambrant même pour lui donner encore plus envie. Xeki de son côté sourit à la Reine, arrêtant ses attentions.

Image "Bien, votre Majesté."

Xeki obéit donc se mettant devant moi pour m'embrasser langoureusement. Ce n'est pas la deuxième fois qu'on a couché ensemble. Ca nous est déjà arrivé avant mon mariage avec Déesse. J'en profite d'ailleurs pour masser les seins de ma conseillère, la faisant gémir alors que je gémis encore plus fort du fait qu'elle est en train de me pénétrer. On ne veut pas décevoir la Reine, alors je fais en sorte d'accomplir ses requêtes.


Ailleurs, alors que les esclaves en fuite profitent de leur instant présent sans se douter de ce qui se passe en haut, l'Ancarléenne ainsi que son esclave entendent ce qui se passe en s'approchant du quatuor. Elle entend la discussion. Les vents du désert ? La confusion des esclaves ? L'effet de surprise ? Elle ne comprend pas, ils sont en guerre contre des esclaves ? La curiosité est un vilain défaut, mais l'Ancarléenne n'est pas connue pour réfléchir avant d'agir. Elle arrête le cheval, se tourne vers le quatuor et dit quelque chose discrètement à son esclave.

Image "Elwynn, on descend."

Sans un mot (qu'elle ne peut de toute façon pas prononcer), l'elfe descend du cheval et l'Ancarléenne aussi. Elle n'est pas sûre de ce qui se passe, et elle a clairement envie de savoir. Alors, les deux rousses suivent les quatre mercenaires, essayant de ne pas se faire repérer. Elwynn n'a pas beaucoup de difficultés avec la discrétion, alors que Nausica, l'humaine, un peu plus, mais elle fait des efforts. Doucement, elles descendent avec les quatre hommes, se tenant prêtes à intervenir au cas où… mais d'un coup, elle se met à parler comme si c'était un tic de langage, mais elle fait un effort pour que ce soit discret.

Image "Alecto !"

L'épée de Mégère, une épée abominable… mais pourquoi est-ce qu'elle prononce ce nom ? En tout cas, la femme aux yeux vairons espère que ce tic ne la repère pas, mais au cas où, elle se trouve une cachette avec Elwynn. S'ils se tournent, avec un peu de chance, ils auront l'impression que ce n'est rien. L'humaine croise les doigts, alors que l'elfe se contente de regarder attentivement, froidement et silencieusement.

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 13 mars 2025 18:09
par Gine
D'un peu plus détendu, Kamiye passa subitement au stade de la contrariété. Il avait levé le nez vers les hautes parois du gouffre en émettant une sorte de grognement qui ne lui ressemblait pas - ou du moins pas à cette version de lui-même.
Gine, qui avait toujours les bras refermés sur lui, eut un léger moment de confusion.

- Idiot ? Comment ça ?

Pourquoi se fustigeait-il de cette manière ? La Saïyajin attendit une réponse. Avant cette dernière, ce fut une unique larme qu'elle reçut sur la joue. Quelle en était la signification ? Gine n'eut pas le temps de la décrypter : son amant reprit la parole, lui annonçant qu'il croyait avoir vu quelque chose là-haut. Mais comme il n'était pas sûr de lui, Kamiye peinait à prendre une urgente décision.
Alors la femme à queue de singe comprit qu'il lui appartenait d'agir à sa place.

- Je te fais confiance, dit-elle en se redressant avec lui.

Elle pointa son regard vers les hauteurs. Bonne vue ou non, il lui était impossible d'y distinguer qui que ce fût. Elle ferma les yeux et se concentra sur les environs. Plusieurs présences apparurent à sa conscience. Elles étaient plus nombreuses du côté de Spartacus et de Simsy, un peu moins auprès de Xeki et Qaye. A force de fréquentation, Gine s'émerveilla de parvenir à les distinguer les unes des autres. En revanche, elle fut moins soulagée de sentir la présence de ces six individus qui, effectivement, descendaient furtivement à leur rencontre.
La Saïyajin rouvrit les yeux et pressa Kamiye à se remettre debout.

- Viens !

Le prenant par la main, Gine courut avec lui rejoindre les autres. En chemin, ils surprirent Xeki et Qaye en train de... et bien, forniquer avec une naïade à la beauté stupéfiante ! Cette dernière gémissait sur le dos de la cheffe de la neko enceinte, qui embrassait sa seconde tout en la pelotant.
Les joues de la spectatrice s'empourprèrent. Elle voulut les avertir mais les mots se noyèrent dans sa gorge, se transformant en un hoquet ridicule.
Ce n'est pas le moment de perdre mes moyens !
Secouant la tête, Gine raffermit son regard et, une main en porte-voix, cria à l'attention du trio libidineux :

- Nous n'avons plus le temps pour ça ! Il faut que l'on se remette en route le plus vite possible.

De sa main libre, elle manifesta son empressement.

- Un groupe d'étrangers vient vers nous. J'ignore ce qu'ils veulent, mais nous ne pouvons pas nous permettre d'être surpris en plein milieu de... de ce que vous êtes en train de faire !

Gênée, elle détourna le regard et reprit sa route en direction du groupe de Simsy et Sparcatus.

- D-désolée pour le dérangement, ajouta-t-elle, la tête basse.

Dans son trouble, Gine ne remarqua même pas l'absence de l'érudit, celui-ci ayant disparu sans laisser de trace.


Assurément, la Reine des Naïades regrettait de ne pas pouvoir poursuivre cette petite aventure en trio. L'intimité fécondée de Qaye était confortable. Elle avait épousé à merveille la circonférence de son appendice procréateur. C'est donc à regret que la royale beauté dut se retirer de la neko...

- Dommage, soupira-t-elle, mais nos responsabilités prévalent sur le plaisir de la chair. Sans elles, les nôtres ne vivraient pas longtemps et n'auraient pas non plus la chance de jouir d'un futur propre.

Elle eut un sourire peiné. Ses mains bleues trouvèrent celles de Qaye. La splendide naïade les serra doucement entre les siennes, générant une lumière chaud en grande partie étouffée par cette étreinte. En se concentrant dessus, elle fit apparaître un coquillage. Une conque bleue, absolument magnifique, sertie de joyaux infusés d'une magie liée à son invocatrice.

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S'écartant d'elle sur plusieurs pas élégants, la Reine des Naïades avait libéré les mains occupées de Qaye.

- Notre foyer est amovible, dit-elle. Il ne demeure jamais très longtemps au même endroit. Cette magie nous préserve des dangers extérieurs. Elle n'est pas parfaite mais, le plus souvent, fait son office...

Son corps dénué d'imperfection commençait déjà à disparaître dans l'eau.

- Souffle dedans, femme-chat, et cet artefact t'aménagera un passage auprès de nous.

Tels furent ses dernières paroles avant que le liquide, pourtant clair et scintillant, avale l'intégralité de sa silhouette de reine.


Avec son nerveux compagnon, Gine surprit à leur tour l'homme-lion, la neko sensorielle ainsi que tous les autres en pleine continuité de leur orgie. Les naïades paraissaient toutes infatigables ! Elles avaient beau être des pacifistes, leur endurance méritait quelques éloges. Les muses aquatiques batifolaient en poussant de charmants petits cris d'extase.
Comme il était impossible de bien se faire entendre au beau milieu de cette généreuse troupe, la Saïyajin dut prendre Kamiye dans ses bras, s'élever au dessus du lac avec lui, ouvrir la bouche et...
D'un seul coup, les naïades se figèrent de conserve, cessant aussitôt d'émettre ! Les oreilles dressées, elles semblaient écouter quelque chose que les autres ne pouvaient pas entendre.

- Qu'est-ce qui leur arrive ?

Puis, toutes sans exception, elles piquèrent une tête !
A l'instar de leur reine, les beautés du lac s'étaient éclipsé à travers la surface limpide.
Gine ferma les yeux un instant.
Je ne sens plus du tout leur présence.
Elle observa ceux qui n'avaient pas disparu - à savoir tous les anciens esclaves.

- Ecoutez-moi ! rugit-elle. Cette zone n'est plus sûre. Il est très probable qu'un nouveau danger nous guette ! Remballez vos affaires : nous partons sur-le-champ !

Sans plus de cérémonie, la Saïyajin récupéra son équipement que l'eau douce avait conservé en surface. Cela lui permit au moins de se rincer. Avec son précieux Kamiyou, oui.

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 18 mars 2025 21:11
par Kamiye Goupile
Il n’avait été plus qu’un enfant qu’on tire ici et là. Mais ça ne lui avait pas déplu. Il n’avait pas la force pour prendre des décisions et initiatives. Mais observer le dos de sa Gine prend la situation à bras-le-corps lui faisait des choses en lui. Il n’avait pas envie de cette « force » de commandement. Mais savoir qu’elle avait ça en elle : oui, ça lui plaisait.

Kamiye n’était pas à l’aise avec les différentes scènes de sexe qui se déroulaient un peu partout. Il n’y pensa pas mais, d’un point de vue extérieur, ce devait être mignon (ou risible) de voir deux farouches guerriers comme Gine et Courroux rougirent et être aussi gênés.

« Je ne pense pas que ce soit une bonne idée… »

Il avait parlé à voix basse. Peut-être que Gine avait entendu ? Mais voir Qaye et son gros ventre se faire pilonner par derrière ne lui paraissait pas sain pour le bébé à venir. Seulement, sa main était dans celle de son… « amoureuse » ?

Et que dire du moment où il se retrouva en plein vol et surtout dans ses bras ? Elle était forte. Elle avait des capacités extraordinaires. Et il était tant collé à sa peau nue qu’il pouvait presque entendre son cœur. L’expression de deux qui deviennent un prenait son sens. Il n’était qu’une sorte de poupée bringuebalée : mais il était carrément OK avec ça !

Le rugissement le tira de sa rêverie. La dure réalité le baffa. Un groupe descendait et les prenait en chasse. Leur vie était menacée. Non… leur survie. Par contre, Kamiye plongea ses yeux dans ceux de Gine qui se rinçait à l’eau douce : avec cette femme, il avait enfin une opportunité de commencer à vivre et non plus de survivre.

Il la regarda finir de se nettoyer et de s’habiller. Et…une sorte de trou de mémoire. Il ne parvenait plus à se souvenir ce qu’il portait. Des froques… des vêtements en lambeaux. L’idée de remettre ses morceaux rapiécés sur son corps ne l’intéressait pas. Particulièrement pour affronter le désert… heureusement qu’il n’était pas au courant que la Reine des naïades avait fait un présent d’une conque. Il aurait largement préféré des bons vêtements !

« … »

Quoi lui dire ? Il n’allait pas faire un caprice maintenant au sujet de textile tout de même… Et pourquoi observait-il son collant avec un soupçon d’excitation ?! C’était un vêtement de femme. Oui, peut-être que certains nobles portaient aussi des collants. Mais ce n’était pas le même genre. Bien que… il lui ait déjà traversé l’esprit de vouloir savoir ce que cela ferait sur lui.

« J’ai peur, Gine. »

Peur du groupe qui approchait. Peur du désert devant eux. Peur du Roi Rouge derrière…

« J’ai peur pour tant de choses. Mais surtout de te perdre maintenant… Je sais que je ne suis pas sain. Qu’il y a ce Courroux en moi… Que j’ai en quelque sorte fusionné Alice en toi tout à l’heure. Je suis brisé… Et j’ai peur. »

Kamiye avait conscience de ses difficultés. Mais aussi de sa « maladie ». Cette lucidité lui paraissait bien pire par rapport à l’ignorance.

« Et je sais que ce n’est pas le moment de faire ce genre de caprice. Je suis désolé… »

AILLEURS – EN TRAIN DE DESCENDRE

Les grains de sable ricochaient au fur et à mesure que le groupe des Désertiens descendaient le long des marches à flanc de falaise.

Easilat Ramlia : « Qamar… »

L’homme qui avait parlé et celui à qui on s’était adressé ralentirent un peu l’allure. Il y eut un échange de regards entre eux. S’il y eut autre chose, ils furent si discrets et si naturels que les deux femmes qui les suivaient avec un maximum de discrétion ne virent rien.

Dhahab : « Je seconde Qatil. Allons-y. »

Qatil : « Entendu… »

Les deux femmes derrière devaient se poser des questions. Pourquoi la scission du groupe qui descendait ? S’il y avait bien quelques oiseaux qui animaient les cieux de cette crevasse où l’eau du lac permettait la vie : il n’y avait eu aucun signe particulier permettant d’expliquer ce changement de stratégie. Bien que, effectivement, tout en bas, les esclaves s’agitaient. Les Désertiens avaient-ils été repérés par les esclaves ? Peu probable. Les quatre hommes étaient si hauts. Et ils avaient utilisé la position du soleil pour se dissimuler. Alors… quoi ?

Les grains de sable remontaient au fur et à mesure que le groupe des Désertiens descendaient le long des marches à flanc de falaise.

Ils ne « ricochaient » plus vers le bas. Ils REMONTAIENT…

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 28 mars 2025 12:51
par Nausica
Des milliers de questions se posent dans ma tête, mais une fois que je me suis engagée dans ce bazar, je ne peux plus retourner en arrière. Je regarde attentivement ce qui se passe avec ces quatre mercenaires qui semblent traquer des esclaves en fuite. Ce ne sont pas les mêmes qu'Elwynn, c'est sûr. Elwynn a été éduquée en tant qu'esclave, jusqu'à n'avoir aucune personnalité propre, c'est juste moi qui la pousse avec avoir son propre caractère, la faisant désapprendre certaines choses. Mais ici, les esclaves semblent avoir de la personnalité et du courage.

Je regarde attentivement ce qui se passe, et on voit des échanges de regards. Ils savent ce qu'ils ont à se dire, mais on ne peut pas savoir. Ce qui est sûr, c'est déjà deux des noms : Qamar et Qatil, et aussi qu'ils se séparent, probablement qu'ils seront dans deux groupes séparés. Je regarde alors Elwynn, en chuchotant.

Image "Elwynn, suis le groupe de l'homme à l'armure dorée. Ne commence à tirer que quand je tire moi-même."

Sans un mot ni un hochement de tête, elle obéit, suivant l'homme à l'armure dorée accompagné de l'homme à la tenue de sable, alors que je suis l'homme au masque doré accompagné de l'homme encapuchonné. Je prends mon pistolet, me préparant à électriser mes balles… mais je le range directement quand je sens de la magie affluer autour d'eux, craignant que c'est du sable qui pourrait encrasser mon pistolet, et donc me forcer à le réparer pour la journée. Je vais rester prudente, mais je crois que j'aurai besoin de ma magie pour mieux viser… ou même d'Alecto, c'est selon, mais je vais éviter de trop me précipiter.

De son côté, Elwynn est toujours imperturbable. Elle n'a même pas peur de la mort, alors s'approcher du danger ne l'inquiète pas du tout. Pour elle, si elle doit se sacrifier pour moi, elle le fait, telle est sa mission. En tout cas, elle n'a pas entendu de coup de feu, alors elle ne tire pas. C'est aussi simple que ça. Ses cordes vocales sont en mauvaise état, mais pas ses oreilles ni ses yeux.

Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]

Posté : 28 mars 2025 13:38
par Qaye Nakhsole
La surprise est de taille lorsque Gine nous crie qu'on n'a plus le temps pour passer notre temps avec la Reine. La réalité me rappelle à mon rôle de Présidente de l'Organisation. Punaise ! Ca doit être le Roi Rouge qui a envoyé des étrangers pour nous massacrer. Oh par Déesse ! Bien sûr, la Reine des Naïades aurait aimé continuer, mais elle se doute qu'en continuant, elle nous met en danger, alors elle se retire de moi. Je me relève, inquiète, et Xeki en fait de même. Elle est soulagée du fait que Gine nous a prévenus qu'on n'est plus en sécurité ici.

Je suis d'accord avec la Reine. Sans nos responsabilités, tout le monde serait en danger. Elle me prend d'ailleurs les mains, et génère une lumière chaude et je commence à sentir la texture d'un coquillage. Elle retire les mains et je vois une magnifique conque bleue incrustée de pierres précieuses. Je regarde cette conque et regarde la Reine des Naïades s'éloigner, tout en expliquant que leur foyer peut bouger quand elles le veulent pour éviter les dangers, et qu'il suffit de souffler dedans pour l'appeler. Mon visage surpris reprend son masque froid et hoche la tête.

Image "Très bien, Votre Majesté. Je vous appellerai avec ma Déesse. Je vous en fais le serment."

Elle disparait intégralement, pendant que Xeki nous ramène nos vêtements, et c'est là qu'elle se rappelle de quelque chose. Je reste torse nu car ma veste est complètement arrachée et inutilisable, mais le reste est toujours là. Je regarde ensuite Zumarr, en train de profiter des naïades qui se partagent sa verge, avant de se figer et de rentrer dans l'eau.

Image "Encore !? Mais qu'est-ce qui se passe ?!"
Image "Zumarr mets ce conque dans ton monde. On est retrouvés."
Image "Bon d'accord !"

Je lui donne alors le calanque et il fait apparaître un portail pour que j'y mette le conque, avant qu'il ne le fasse disparaître. Gine nous annonce qu'on n'est plus en sécurité, après que les naïades disparaissent. Simsy se remet de son acte avec Spartacus, ne se doutant pas que celui-ci l'ait imprégnée. Elle s'est reposée, mais elle ne se doute pas de ce qui se passe. Alors elle va pour reprendre ses vêtements, c'est là que Xeki commence à respirer fort, comme si elle souffrait. Je ne peux pas m'empêcher de courir vers Xeki pour l'assister.

Image "Xeki ! Qu'est-ce qui se passe ?!"

Je regarde ce qui se passe et vois une fiole... particulière. Une fiole ornée d'un loup contenant un liquide rouge. Cette fiole est dans sa main, alors qu'elle se met à enfler, se transformant petit à petit en une furry panthère. Je suis surprise de ce qu'elle est devenue, et je regarde à nouveau cette fiole. Est-ce que c'est ça le responsable ?

Image "Xeki ! Tout va bien ?!"
Image "Aaargh ! Ha... ha... qu'est-ce qui s'est pass..."

Elle regarde ses mains et se rend compte de sa transformation.

Image "Oh par Déesse..!"