Re: Quelque part entre le Roi Rouge et l'Oasis [avec Gine et Qaye]
Posté : 24 janv. 2025 17:35
Spartacus : « Fourrer du poisson ! Si je m’étais attendu à vivre ce genre de truc un jour. Mais comme j’ai déjà dit, un trou ça reste un trou. Et faudrait être vraiment con et aveugle pour pas voir à quel point ce sont de jolis petits paquets. En fait, faudrait seulement être con. Même aveugle, je prendrais plaisir à pétrit leurs seins ! »
L’homme-lion avait donc une patte sur un sein tout trempé et l’autre qui attrapa une queue de Simsy pour qu’elle vienne se coller tout contre lui. Mais il s’occupa d’abord de presser le téton tout dur de la naïade et de rire de cette expression mi-douloureuse mi-excitée que la « poiscaille » lui donnait.
Spartacus : « C’est toi qui vois, petite chatte. Soit je me calme dans un fourreau à écailles et je me vide comme il faut dedans. Soit tu te désignes volontaires. Mais je préfère te prévenir pendant que je suis encore dans le genre intellectuel. Je risque d’enfoncer mes griffes quand je t’enculerais par derrière. Et je n’ai aucune idée si ma nouvelle queue ne te déchirera pas de l’intérieur. »
Et donc le petit cul de Presque-Courroux échappa au nouvel hybride. Et il n’y avait pas à dire, sans sa mauvaise façon de parler, Spartacus avait le charisme d’un roi. Mais cette perspective d’avenir était intéressante car placée dans un futur. Le présent se jouait ici et maintenant entre une version de Kamiye et une « Aline ».
Presque-Courroux n’avait pas tardé à répondre au baiser d’Aline. C’était ce qu’il voulait. La prendre. La faire sienne. Il voulait être possessif. La réclamer comme son butin. Sa femelle rien qu’à lui. Et puis, en plein milieu du baiser, ses bras se resserèrent autour de sa fine taille à elle et ils plongèrent sous l’eau. En remontant presque tout de suite après, Presque-Courroux la reprit dans ses bras pour que de nouveau, Aline doive s’accrocher à lui en enserrant ses jambes autour de sa taille.
« Kamiye voulait que tu dégoulines d’eau. Il trouve ça très appétissant. Et il, je voulais aussi te reprendre dans mes bras. Sentir tes jambes fortes autour de moi. Avoir tes petits seins à hauteur de ma bouche pour faire ça. »
Ses dents vinrent se resserrer autour de ces petites pointes si nerveuses, si sensibles. II n’y avait aucune volonté de faire mal : bien au contraire ! Dans le fond, il y avait même une volonté de têter. De là à ne plus faire la différence entre vouloir une femelle et une figure maternelle… Mais ce serait exposer la psyché brisée de l’ancien esclave. Et ce n’était pas du tout l’ambiance pour.
« Kamiye te veut. Ici et maintenant. Mais aussi pour moi et plus tard. Je veux que tu sois à moi. Je me battrais contre l’homme-lion-Spartacus s’il veut te prendre par le cul. Je me battrais contre les femmes et les enfants. Contre les rois et les vieillards. Personne ne te touchera. Je veux être possessif avec toi. »
C’était en soi une déclaration d’amour. Et Presque-Courroux n’attendit pas la réponse. Sa bouche revint faire du bien en provoquant un peu de mal aux deux tétons. Il ne pouvait pas y avoir de jaloux entre les deux. Alors il donna le même traitement aux deux tétons. S’il était sauvage à cause de Courroux, il restait attentionné grâce à l’influence de Kamiye. Comme si au sein du même être, l’équilibre s’était trouvé entre civilisation et bestialité.
Tandis qu’un de ses bras restait serré autour de sa taille à elle pour ne pas qu’elle tombe (ou fuit ! Un scénario INSUPPORTABLE), l’autre main s’en alla en exploration. Elle s’insinua entre la peau et le collant noir gainé d’eau. Il n’y avait pas d’hésitation. Il n’y eut aucune demande de consentement. Presque-Courroux s’en alla glisser un doigt dans le premier trou rencontré.
« Kamiye veut savoir à quel point tes trous mouillent. Mais Kami-, je ne déchirerais pas ton vêtement. Je ne suis pas une brute, d’accord ? »
L’homme-lion avait donc une patte sur un sein tout trempé et l’autre qui attrapa une queue de Simsy pour qu’elle vienne se coller tout contre lui. Mais il s’occupa d’abord de presser le téton tout dur de la naïade et de rire de cette expression mi-douloureuse mi-excitée que la « poiscaille » lui donnait.
Spartacus : « C’est toi qui vois, petite chatte. Soit je me calme dans un fourreau à écailles et je me vide comme il faut dedans. Soit tu te désignes volontaires. Mais je préfère te prévenir pendant que je suis encore dans le genre intellectuel. Je risque d’enfoncer mes griffes quand je t’enculerais par derrière. Et je n’ai aucune idée si ma nouvelle queue ne te déchirera pas de l’intérieur. »
Et donc le petit cul de Presque-Courroux échappa au nouvel hybride. Et il n’y avait pas à dire, sans sa mauvaise façon de parler, Spartacus avait le charisme d’un roi. Mais cette perspective d’avenir était intéressante car placée dans un futur. Le présent se jouait ici et maintenant entre une version de Kamiye et une « Aline ».
Presque-Courroux n’avait pas tardé à répondre au baiser d’Aline. C’était ce qu’il voulait. La prendre. La faire sienne. Il voulait être possessif. La réclamer comme son butin. Sa femelle rien qu’à lui. Et puis, en plein milieu du baiser, ses bras se resserèrent autour de sa fine taille à elle et ils plongèrent sous l’eau. En remontant presque tout de suite après, Presque-Courroux la reprit dans ses bras pour que de nouveau, Aline doive s’accrocher à lui en enserrant ses jambes autour de sa taille.
« Kamiye voulait que tu dégoulines d’eau. Il trouve ça très appétissant. Et il, je voulais aussi te reprendre dans mes bras. Sentir tes jambes fortes autour de moi. Avoir tes petits seins à hauteur de ma bouche pour faire ça. »
Ses dents vinrent se resserrer autour de ces petites pointes si nerveuses, si sensibles. II n’y avait aucune volonté de faire mal : bien au contraire ! Dans le fond, il y avait même une volonté de têter. De là à ne plus faire la différence entre vouloir une femelle et une figure maternelle… Mais ce serait exposer la psyché brisée de l’ancien esclave. Et ce n’était pas du tout l’ambiance pour.
« Kamiye te veut. Ici et maintenant. Mais aussi pour moi et plus tard. Je veux que tu sois à moi. Je me battrais contre l’homme-lion-Spartacus s’il veut te prendre par le cul. Je me battrais contre les femmes et les enfants. Contre les rois et les vieillards. Personne ne te touchera. Je veux être possessif avec toi. »
C’était en soi une déclaration d’amour. Et Presque-Courroux n’attendit pas la réponse. Sa bouche revint faire du bien en provoquant un peu de mal aux deux tétons. Il ne pouvait pas y avoir de jaloux entre les deux. Alors il donna le même traitement aux deux tétons. S’il était sauvage à cause de Courroux, il restait attentionné grâce à l’influence de Kamiye. Comme si au sein du même être, l’équilibre s’était trouvé entre civilisation et bestialité.
Tandis qu’un de ses bras restait serré autour de sa taille à elle pour ne pas qu’elle tombe (ou fuit ! Un scénario INSUPPORTABLE), l’autre main s’en alla en exploration. Elle s’insinua entre la peau et le collant noir gainé d’eau. Il n’y avait pas d’hésitation. Il n’y eut aucune demande de consentement. Presque-Courroux s’en alla glisser un doigt dans le premier trou rencontré.
« Kamiye veut savoir à quel point tes trous mouillent. Mais Kami-, je ne déchirerais pas ton vêtement. Je ne suis pas une brute, d’accord ? »