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Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 11 déc. 2024 19:32
par La Taverne
« Au fur et à mesure que la trame dans la Taverne se déroule, les notions temporelles risquent de perdre de leur substance première. Pourquoi cela ? Pour répondre à toutes les interactions de Miss Cheelks, il va falloir aller et revenir sans cesse dans le temps. Ce n’est pas à proprement parler de voyages temporels. Mais au fur et à mesure que les « Dieux et Déesses » derrière Maggot et Arxa communiquent, les flashbacks se multiplient à un rythme qui ne serait pas vendeur dans l’industrie moderne. Enfin, moderne… Moderne, non pas pour la Taverne. Qui serait futuriste. Moderne, non pas non plus pour la hobgobeline ayant appris des technologies qui, elles, seraient qualifiées de futuristes. « Moderne » pour nos « Dieux et Déesses ». Commençons donc avec ce premier retour dans le temps, en compagnie d’une Marianne Monarque, responsable de toutes les serveuses, qui resta stoïque malgré un clin d’œil séducteur. »
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ImageMarianne : « Vile peau verte, ce n’est pas ainsi que je serais corrompu. Toutefois, je te remercie de ce geste. »
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« Et donc ? Sans ce discret sourire sur le visage de Madame Monarque, toute sa réponse aurait été froide. Coincée, stricte et tous les synonymes que vous préférez à ces deux-là. Et même sans prendre en compte ce sourire, il restait qu’à aucun moment il n’y avait eu un franc refus. Ce pouvait donc être le début d’un… jeu de séduction !

Le Narrateur que je suis frétille ! La multiplication d’intrigues secondaires. La possibilité de scènes de fesses. Mais une masse de travail importante. Avançons, donc !

La Chambre du Héros. Miss Cheelks s’y intéressait. C’était normal. Mieux, c’était écrit par avance ! Il fallait que tout passant dans la Taverne ait connaissance de cette légende. Car pour qu’un lieu devienne emblématique, il fallait bien plus qu’un propriétaire serviable et quelques serveuses bourrines. Il fallait construire une légende. Qu’elle se répande. Que les bruits la nourrissent. Que les imaginations la magnifient de couleurs chatoyantes ! Car personne ne savait vraiment ce qu’il en était. MEME PAS MOI ? VOUS RENDEZ-VOUS COMPTE ! Mais Adam Courssurpattes ? Et notre Petite Déesse ? S’il y a bien deux entités dans cette Taverne qui détiennent de vraies informations, c’est eux deux.

Mais je monologue sur la Chambre du Héros tout cela pour en revenir à un sujet bien plus trivial dans une chambre des plus ordinaires : à savoir du sexe. La petite peau verte drague effrontément le poulet-barbare sans imaginer une seule seconde qu’elle pourrait finir par pondre ! »
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ImageKrafton : « Foutue séductrice ! Tu me chauffes pour mieux me laisser sur la paille ? Tu-… »
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« Oui, oui. Désolé, Krafton mais il me fallait intervenir. Une petite recherche en sousmarin pour rapidement m’intéresser à un fait insolite sur les coqs en rapport avec les relations sexuelles. Et le simple fait que l’animal ne possède pas de pénis mais un cloaque. Cloaque ! Quel mot hideux. J’en ai frissonné sur le moment et préféré abandonner de suite mes recherches. Krafton, mon grand, ton sexe sera pareil à celui d’un être humain ! Mais probablement avec des plumes au lieu de poils autour. Sur ce, nous passerons au prochain flashback. De toute manière, la BAFFE a fait GRAND BRUIT soudainement. Krafton, mon poulet, tu as perdu l’attention de la peau verte. »
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ImageKrafton : « Foutu mauvais caractère !... »
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« Le poulet-barbare se frottait l’endroit endolori par l’attaque de la serveuse à queue d’orque. Malgré la douleur et malgré ses muscles, Krafton avait murmuré dans sa moustache. Il n’avait pas osé lever la voix pour s’en prendre une deuxième. Partant de ce constat, on pourrait arguer que la serveuse possédait plus de niveaux, plus de points de force et plus de points de charisme qu’un poulet-barbare. Mais il ne fallait pas s’arrêter à cette observation. Car s’il ne dit rien, ses yeux posés sur les collants qui auraient pu hérités d’une remarque d’une hobgobeline (elle aussi réduite au silence par la démonstration violente). Ses yeux-là dévorèrent ses fesses qui donnaient envie d’être touchés. Et que dire de ce sourire qui annonçait un scénario où les mains puissantes écartaient les deux morceaux de chairs sous la queue d’orque ?

Car mon « Dieu » a récemment trouvé une image que nous pourrions qualifier de compromettante de Kaos Doucevierge. Les commérages m’ont avoué que Linette, la belle bardesse bien trop à l’aise avec son corps, serait susceptible d’organiser une soirée entre filles. Et que tout événement de ce genre recquérait du personnel. Je parle donc d’une tenue encore plus moulante et d’un plateau apportant autre chose qu’une pinte de bière et de quoi se sustenter. Mais admirez par vous-même la beauté dissimulée de notre Kaos. Puis ce que pourrait être cette soirée entre filles. Non pas au premier degré, car l’illustration présentée serait « futuriste » pour l’ère de notre Tarvene médiéval-fantasy. »
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« Voilà que nous arrivons dans la dernière partie connue des interactions de Miss Cheelks. Donnez-moi le temps de relire ces derniers paragraphes avant de vous revenir, beau, propre, musclé et la voix charmante !

OH ! MAZETTE ! La hobgobeline avait bien caché son jeu ! Je ne le crois pas, je… voilà qu’elle se damne avec le « méchant ». Car Aleister a tout du type détestable qui pourrait devenir le très bon allié. Pour finalement mieux retourner le cerveau de tous en révélant quelques chapitres plus tard qu’il était le « mastermind » depuis le tout début. Et, pardonnez-moi ce terme fort peu médiéval, mais parlez de cerveau en place de mastermind ne possède pas le même impact percutant. Je… CHUT ! Je veux écouter les dires de notre poulet-barbare et de notre pervers se caressant les doigts tout en tirant sa langue rose. »
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ImageAleister : « Un jeu très intéressant. Trèèès intéressant… »
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ImageKrafton : « Ah bah carrément ! S’il y a moyen de te voir en petite tenue, moi je veux carrément jouer ! »
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ImageMaggot : « Hey ! Tu es sure de vouloir faire ça ? Je veux dire, je ne suis pas prude et je ne vais pas te dire de ne pas voler entre les plumes du gros costaud là. Je sais à quel point les grands peuvent être craquants… »
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« Oui, c’était une remarque qui visait Choco, le troll bleu. Bien que ce n’était pas très fin pour une gobeline du genre bourrine. Car si des aventures ici et là, de temps en temps, lui convenait totalement. Il en allait autrement du cœur mou du grand romantique à la touffe rose posée entre ses pectoraux. »
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ImageSho’Gun : « Oui. FElui-là est danfereux en plus d’être un perfers. Fe ne lui fais pas confiance… »
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ImageAleister : « Billevesés ! Tout cela parce que j’ai une relation privilégiée avec celle que tu voudrais uniquement pour toi. Hey hey… »
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ImageSho’Gun : « MAIS ! Mais !... … mais… … ……… »
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« Voyez, notre peau verte aux 100 cases n’ait pas venu prendre sa défense. Pourquoi ? Parce que la perspective de se trouve une copine de la même couleur que sa peau l’intéresse. Qu’une aventure introduisant le poulet-barbare l’intéresse. Sans compter que… oui, oui. Laissons le « méchant » s’exprimer. Et donnons du temps à mon Dieu pour trouver au moins une image d’une tenue affriolante. Car s’il écrimagine toujours à cet instant, il ne peut s’empêcher de croire qu’il est en retard. Les courses IRL que voulez-vous. Le fait de chauffer une maison. De s’enchaîner lui-même au fait de vouloir faire vivre sa Taverne. Tout cela en constante improvation totale sans savoir où il va. Si ce n’est vouloir pervertir Miss Cheelks tout en développant son concept. D’ailleurs, je reçois une de ses pensées. Laquelle veut qu’il n’ait toujours pas introduit un nouveau personnage. Et il remarque en même temps le passage de la troisième page Word. Effectivement, cher Dieu ! Nous avions déjà anticipé que cette entité plongerait toujours plus profond dans le chaos. Et ce, en déployant toujours plus de mots dans toujours plus de pages ! »
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ImageKrafton : « Moi franchement, il faudrait vraiment être mauvais pour que j’arrête le jeu. »
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ImageAleister : « Je me doute, ami à plumes. Je me doute… Donnes-moi un instant. Que je savoure cet instant où une innocente petite victime vient délibérement se jeter dans mon piège. Non pas que je l’ai dressé. Mais c’est la façon dont je vois cette situation. Tout comme il me faudra être inventif. Ne pas répéter ce que j’ai infligé à Maggot. »
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ImageKrafton : « Franchement, fous la en petite culotte et ça m’ira très bien. »
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ImageAleister : « Non. »
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« Ce fut un non catégorique. Un rictus déforma le visage d’Aleister. Cette solution si simple, si évidente, manquant cruellement de charme. »
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ImageAleister : « Elle mérite mieux. Laissez-moi la regarder. Très. Attentivement. »
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« Voilà déjà une heure IRL que je monologue ? Le temps passe vite lorsqu’on s’amuse. Mais mon « Dieu » me signale que nous allons interrompre ma journée de travail ici. J’avais entendu parler d’un « Chevalier 35H ». Il semblerait que cela vienne me toucher à mon tour. Mes heures supplémentaires ne seront pas rémunérées. Mais j’ai percé son jeu. A mon Dieu. Il a une idée derrière la tête et une simple recherche picturale ne sera pas assez. Je comprends et j’ai hâte d’assister aux fruits de ses recherches. Ce n’est donc que partie remise. »



[temps suspendu]



[10/12/2024 20 :09 > ?]



[11/12/2024 18 :37]

« Si tout cela n’est pas une pitoyable tentative de remplissage, je ne sais ce que cela peut être. Mais je dois confesser que mon « Dieu » n’est pas le plus mauvais. Il aurait eu le temps de faire vivre une autre de ses incarnations. Au lieu de cela, il a préféré déshabillé Miss Cheelks de sa salopette à l’aide de son crayon « spécial ». Couplé à une bienheureuse découverte, et voilà que nous revenons à notre trio composé d’Aleister, Krafton et de bien entendu Arxa. Ensuite, il y aura la délivrance à vos yeux de la création de mon « Dieu ». »
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ImageAleister : « Je sais. Une idée m’est venue. Du blanc pour mettre en contraste avec le verte de votre peau. Un corset pour mouler élégamment les formes féminines. De petits nœuds papillons rouge pour accessoiriser. Mais il me faut compléter cet article de choix avec autre chose. Car autrement, la nouvelle amie de Maggot se retrouverait à moitié nue. »
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ImageKrafton : « Pas pour me déplaire à moi, mon gaillard ! »
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ImageMaggot : « Je ne peux pas dire que je m’en offusquerais non plus. »
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« La gobeline aura donné un coup de coude amical dans les côtes de la hobgobeline. Elle lui aura aussi gratifié d’un clin d’œil et d’un sourire joueur. »
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ImageAleister : « J’ai trouvé. Poursuivons dans cette thématique de Noël et plus particulièrement dans cette idée de cadeau emballé. Et voilà. »
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ImageKrafton : « Vache ! C’est rapide comme tour de magie ! »
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ImageMaggot : « Ah oui oui. Le subir sans préavis, c’est pas vraiment agréable. Mais découvrir cette magie sur une autre, c’est quand même plus qu’agréable à l’œil. »
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« Il n’y avait pas eu de longue transformation très théâtralisée. La magie n’avait pas été conçu pour être animée. Elle se rapprochait plutôt d’une fainéantise dans sa rapidité. Un esprit pervers aurait argué d’un terme telle qu’une éjaculation précoce. Mais nous préférerons (et c’est un nous joli qui se rapporte uniquement à un je à moi) comparer cela à l’ellipse qui sépare deux cases d’une bande dessinée. Allez savoir pourquoi prendre l’exemple de cette œuvre d’illustrations mis bout à bout. Comment cela je fais l’innocent concernant les cent cases d’existence de notre Maggot ? »
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ImageKrafton : « Bah moi je l’ouvrirais bien ce paquet cadeau. »
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« Ce n’était pas une manière de parler. Le poulet-guerrier, s’il n’avait pas quitté sa place, tendait déjà ses gros doigts. Son corps ayant parlé avant ses mots. Comme en comparaison de l’inclinaison des pieds d’une personne qui peuvent traduire des intentions. Comme celle pointée vers la porte de sortie pour quitter son travail ou une conversation ennuyante.

Laissons donc Miss Cheelks gérer cette conversation. Miss Cheelks ? Miss Cheelks ?... Soudainement, cela me fait penser à quelqu’un d’autre. Une sorcière ? Mais aussi un canard ? Et non un canard sextoy messiers-dames ! AH ! Miss Tic, il me semble. Une femme dans l’univers d’un canard immensément riche. Mais je digresse. Une fois encore, me direz-vous. Mais au moins mon cerveau est déchargé de ce poids mental. Et qui sait ? Cela pourrait mener à d’autres associations d’idées.

La fin de mon travail pour cette épisode devrait bientôt arriver à son bout. Et, de toutes les façons possibles et imaginables, chaque mot ajouté me rapproche forcément de la fin. Je ne peux m’en éloigner en avançant. Pour en revenir à du plus concret, il serait question de continuer à « surcharger » cette Taverne d’un nouvel intervenant. Nouveau client ayant passé le contrôle de Kévin ? Peut-être un employé provenant d’une autre salle encore inconnue pour l’exploratrice des étoiles ? Allons consulter les archives picturales.

Mais oui ! Mais c’est bien sur ! C’est un choix évident. Une décision qui ne sera pas purement chaotique. Mais une mise en place pour un futur dont la distance dépendra des choix de Miss Cheelks. Et il me faudra varier mon vocabulaire. Trois fois l’utilisation de « mais » dans ce seul court paragraphe. Ce n’est pas joli. Cela pourrait même mériter une rétrogradation de mon statut. Car de salaire, non. Je n’en ai point. »
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ImageAdam : « Mademoiselle Rakasa ! »
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Image Rakasa : « Monsieur Courssurpattes. »
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ImageAdam : « Avez-vous fait bonne aventure ? Votre quête de cartographie se déroule à merveille ? »
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ImageRakasa : « Voyez par vous-même mes derniers ajouts. »
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ImageAdam : « Intéressant. Passionnant. Mais asseyez-vous, je vais vous apporter personnellement une chope de bière. Nous verrons à mon retour si vous désirez davantage. Et, s’il vous plaît, je sais que je me répète à chaque fois que nous nous revoyons : mais je vous prie de garder ces informations pour vous. »
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ImageRakasa : « Bien entendu. C’est notre accord. Je vais m’installer à cette table. »
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ImageAdam : « Faites donc ! Je n’en aurai pas pour longtemps. Sauf imprévu et… cela arrive plus que je le souhaiterais. »
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« Et il me semble que nous sommes bon. Milieu de cinquième page. L’intégralité de la dernière réponse de Miss Cheeks passée en revue. La progression de l’intrigue centrée sur Aleister et ses capacités, proposée volontairement par notre héroïne du jour ! Un délice. Nous la remercions encore. Et l’ajout d’un nouveau personnage offrant des possibilités d’explorations futures. Oui, parfait ! Je m’en vais donc me retirer. Et déléguant à un subalterne la fastidieuse tâche d’illustrer tous mes propos et d’y ajouter sa magie cryptique HTML. Ou quelque chose dans ce goût-là. Moi de goût, ce sera un mélange de pommes de terre chaudes et de fromages. Je vous souhaite bonne soirée et à la prochaine !

That’s all folks ! »

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 12 déc. 2024 16:06
par Arxa Cheelks
Oh, Marianne Monarque était donc du genre résistante ! Qu'à cela ne tienne : Arxa acceptait son cruel sobriquet de "vile peau verte". Elle aurait même pu y ajouter "petite" que l'insultée n'en aurait pas été vexée pour un sou. Parce que la peau verte, justement, avait remarqué ce discret sourire au coin des lèvres de la responsable.
Une expression limite contradictoire qu'elle considérait d'un très bon œil, naturellement~
Le moment n'est pas le mieux choisi pour insister, avait-elle décidé, toujours dans l'optique de poursuivre cette fête en large comité.
Ce n'était donc que partie remise, très chère Marianne !

En attendant, la hobgobeline avait proposé un jeu auprès de son précieux entourage. Une activité osée, certes, mais qui pouvait difficilement compter un ou une perdante. Arxa leur en avait gentiment expliqué les règles, et la seule à manifester son scepticisme n'était autre que Maggot. La gobeline qui avait déjà eu droit à son essayage en trio.
L'Ingénieuse, sans se départir de son rictus malin, haussa les épaules et répondit :

- Hu hu ! Si j'étais si sûre de mon coup, l'affaire ne serait pas aussi amusante qu'elle en a l'air~

Alors que tout aurait très bien pu s'achever sur une baffe retentissante, Aleister avait repris le dessus sur le troll bleu qui, apparemment, n'était pas parvenu à convaincre la hobgobeline de revenir sur sa chaude entreprise.
Ha ! Et cela amusait beaucoup l'intéressée d'écouter le puissant coq échanger à voix haute ses fantasmes avec son futur partenaire de jeu.
Moi, une innocente petite victime ? C'est qu'il est mignon quand il s'y met, notre coquin à la langue pendante !
Ne venait-elle pas de s'accaparer leur attention à tous les deux ? D'une certaine manière, leurs yeux gourmands étaient comme prisonniers de sa petite silhouette de métisse. Car là où Krafton bavait à l'idée de la reluquer en sous-vêtements Aleister, lui, réfléchissait à quelque chose de bien plus original.

- Oui, oui ! Laissez le donc me regarder, gloussa la hobgobeline, parfaitement détendue. Entretemps, j'ai un repas à terminer. Je n'aimerais pas que mon Galimafrée refroidisse pendant que les méninges de notre pervers de compét' fument à satisfaire les yeux de notre "ami à plumes".

Elle mangea, bien évidemment ! Et elle but aussi. Certainement pas au point de se noyer la cervelle - n'avait-elle pas opté pour la quantité de liquide appropriée ? - mais suffisamment pour se sentir prête à endosser n'importe quoi sous le regard d'une moitié congénère avertie.
Les pensées d'Aleister s'ouvrirent sur une alléchante description du sort qui l'attendait.
Cela se résumait par un corset blanc agrémenté de petits nœuds papillons rouge avec... avec... ?
Eh, bien ? On envisage déjà de me voir cul nu ? En voici un qui n'a pas usurpé sa réputation !
Le guerrier à plumes se réjouissait à cette idée. Maggot, elle, ne l'appréciait pas moins. Son coup de coude complice fit d'ailleurs remuer d'inconfort la "pauvre" reluquée.
Constat intéressant : les goûts de la jeune femme aux cheveux bicolores ne se limitaient donc pas qu'aux grands bonhommes bleus.

- Le jury ne manque décidément pas de culot, grogna doucement Axa. Mais je suis au regret d'exiger de la part du noir pervers un minimum d'imagination et d'effort ! Le but n'est évidemment pas de vous frustrer à travers un refus : je ne tiens tout simplement pas à ce qu'un courant d'air malvenu se glisse entre mes gambettes exposées.

Avec toutes ces portes dans une salle aussi grande, il y avait malgré tout des chances que cela vienne à se produire. Même si la présence de la Petite Déesse n'était pas à négliger et que, grâce à elle, le froid ambiant ne risquait pas de mordre grand monde.
J'ai tout de même le droit de jouer la comédie, non ?
Aleister opta donc pour un accessoire saisonnier. Un long ruban rouge qui apparut - déjà enroulé et fermé sur un gros nœud ! - à même les cuisses et la taille de son modèle vert. Au passage : disparu le trio salopette brune, t-shirt blanc et manteau en laine beige ; le corset blanc s'était matérialisé lui aussi, et il ne couvrait rien de ses renflements mammaires.
Arxa baissa dessus des yeux stupéfaits.

- Waoh ! C'est... assez soudain, oui.

Ceci dit, cet ensemble aéré lui allait bien. La hobgobeline l'admettait bien volontiers. D'autant plus que ça ne laissait indifférent aucun de ses spectateurs. Il y eut d'abord Maggot, qui jugeait la chose agréable à l'œil. Puis Krafton, bien sûr ! Le grand poulet s'était penché vers elle dans l'espoir de tirer sur le ruban...
L'Ingénieuse lui infligea une tape sur le dos de la main.

- Olà ! Pas tout de suite, mon rustaud !

A défaut d'être suffisamment grande pour l'intimider en se mettant tout simplement debout, elle prit le parti de poser insolemment un pied sur la table - à côté de son assiette vide - et l'autre sur le tabouret. De quoi l'éblouir, lui qui était resté assis sur son cul, avec une vue en contreplongée sur sa silhouette de mince jeune femme.
Le sourire qu'elle arborait en cet instant évoquait à la fois l'amusement et la rébellion.

- Il est interdit de me toucher jusqu'à nouvel ordre, décréta-t-elle. Oh, je sais très bien que je suis méchamment craquante quand je veux bien le montrer ! Mais tu ne peux pas céder après m'avoir vue essayer un seul ensemble. Ce serait beaucoup trop facile, mon gaillard ! Beaucoup. (Elle lui planta un index entre les pectoraux.) Trop. (Encore une fois en avançant son visage près du sien.) Facile.

Et une dernière fois avant de descendre de son "estrade".
En coulant un fier petit regard à Maggot, elle eut alors une idée susceptible de faire - encore plus ! - trépigner d'impatience son évaluateur obscène.
Essayons ça, oui~
Avec un petit sourire en coin qui ne soulignait que trop bien la malignité de ses intentions, Arxa se glissa aux côtés de la gobeline à qui elle passa subitement un bras autour des épaules.

- En attendant, je confère à notre bien-aimée Maggot le droit de tâter la marchandise.

Elle leva une main dont l'index et le pouce collés formaient un "O" avant d'y glisser un œil goguenard.

- Pourquoi lui accorder ce privilège à elle et pas à toi ? La raison est simple : dans ce jeu, ton appréciation a plus de valeur que la sienne. Tu te déconcentrerais très vite en cherchant à me tripoter en plein milieu de la partie ! A l'inverse, si jamais j'ai le malheur de me trémousser sous tes yeux ronds dans différentes tenues choisies par notre estimé pervers, et ce pendant que Maggot promène ses doigts sur ma modeste personne, tu seras davantage en mesure de profiter du spectacle et de nous faire part de ton avis.

Arxa renouvela son rictus, ses sourcils s'affaissant sous le coup d'une indulgence parfaitement feinte.

- Bien sûr : rien ne t'empêche de contrarier notre pervers en mentant sur l'appréciation d'un de ses choix vestimentaires ! Auquel cas le jeu prendra aussitôt fin, et nous aurons peut-être l'occasion d'approfondir de façon quelque peu précipitée notre émoustillante relation dans un contexte plus intime. Mais, comme le souligne si bien le savant choix de mes mots, cette déclaration ne fait pas office de garantie ; de mon côté, je peux toujours faire la girouette et - plus cruel encore ! - demander à Maggot de prendre ta place.

Elle haussa les épaules.

- Tu finirais alors tristement sur la touche, sans plus aucune hobgobeline pour égayer ta journée de beuverie ! Ce serait dommage parce que, mine de rien, j'ai comme un petit faible pour ton côté bourru.

Elle cligna des yeux à son attention - l'image même de la jeune femme bien trop mignonne et avide de plaire à son prétendant.
Mais qu'est-ce qui la motivait le plus, au juste, dans cette histoire ? le jeu ou bien lui, le puissant Krafton, en chair et en plumes ?
Arxa était bien trop concentrée sur cette drôle de partie d'essayage pour prêter attention à la nouvelle arrivante qu'un homme, à peine perceptible en raison de sa petite taille, avait abordé avec force sympathie.
Faisant à nouveau montre d'un culot certain, la hobgobeline claqua des doigts à l'intention d'Aleister.

- Alors, Tire-la-langue ? Qu'attends-tu pour continuer à m'embellir avec tes essais ? C'est le moment de briller de perversion auprès de ton entourage ! Profites-en jusqu'à ce que notre emplumé n'en puisse plus tenir~

Etait-ce du courage ou de l'inconscience ?
Malgré son environnement d'une autre époque que la sienne, l'Ingénieuse n'avait pas l'air dépaysée.

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 15 déc. 2024 15:16
par La Taverne
« Nous pourrions convenir que Miss Cheelks a tout de la méchante en puissance. Qui pourrait résister à la tentation de tirer sur le nœud de ces rubans rouges qui lui enserrent la taille et les cuisses ? Dissimulant habilement une intimité pour rester, pour le moment, tout public ? Cette frappe à la main de notre poulet-barbare qui aurait déjà tendance à durcir sur place ? Non, décidément, c’est un jeu dangereux. Et puis, n’est-ce pas bientôt Noël ? Vous me direz, IRL, non. Dans cette réalité imaginaire ? Pourquoi pas. Il n’y a nulle mention de date quelque part. Pas plus que ce monde, cette réalité, ce plateau de scène se doit d’honorer cette fête typiquement caractéristique d’un seul monde et non de tous.

Et que Maurice Malné ou son influence se calme et s’éloigne ! Ce n’est pas parce que ce joli corset blanc possède des anneaux de décoration qu’il doit obligatoirement y avoir des chaînes. Ce serait malvenu de pendre ou d’enchaîner une peau verte en plein milieu d’une taverne, ne trouvez-vous pas ? Hum… je vois dans certains esprits que cette perspective ne serait pas si déplaisante. Mais !

Mais voilà que derrière un Krafton grognant tel un ours, la supposée victime inverse les rôles. Même Maggot n’a rien vu venir. Et pourtant, elle a très bien « vu » quand sa consoeur de couleur a posé un pied sur la table. »
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ImageMaggot : « Tâter la marchandise ? Qu- quoi ? »
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« N’oublions pas quelques éléments concernant notre précieuse gobeline. Si le sexe n’est pas une problématique dans sa vie, elle n’en est pas non une nymphomane. Ajoutons également que la demoiselle a vécu une aventurer en cent épisodes. Qu’elle en est ressortie avec de nouvelles blessures et traumatismes. Et que par-dessus cela, une pinte presque vide ralentit ses fonctions cognitives. Oh ! Et, réponses croisées oblige, il me faut m’appesantir rapidement sur l’élément de sa masse-à-trésors. Où est-elle ? Ah oui ! Elle ne peut pas être présente. Stockée dans une autre pièce pour respecter les règles de la Taverne. Si Adam Courssurpattes commence à donner des passe-droits, notre belle Marianne Monarque devra gérer un joyeux chaos qui débouchera inévitablement sur la violence. Et ces règles ont été instauré pour apporter bonne humeur et éviter destruction toutes les semaines du mobilier et plus. »
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ImageAleister : « Tire-la-langue ? Je ne saurais statuer si c’est une offense ou un délicieux sobriquet ? Je préfère penser que c’est amical. Surtout eut égard au fait que nos perversions s’entremêlent. »
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ImageKrafton : « Hey ! Arrête de parler comme des bouquins. Utilise ta magie et fous la poils. Enfin, ou presque. Bref ! Tu m’as compris, Face-de-méchant ! »
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ImageAleister : « Tire-la-langue est bien plus agréable et ingénieux à l’oreille que Face-de-méchant. Et donc… Hum, Maggot ? Nous te dérangerons peut-être ? »
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« Tandis que notre balourd et bien trop gentil troll bleu clignait de nombreuses fois des yeux, mais sans jamais détourner le regard de là où la main de celle qui partageait parfois un lit avec lui. Enfin… un lit… Comment décrire en des termes poétiques ce gourdin bleu aux proportions innaceptables pour une petite gobeline ? En comparaison de la statute gigantesque d’un troll bleu s’étant laissé aller et devenu ventripotent. Oh, ne vous en déplaise ! Il existe une archive selon laquelle Sho’Gun a un jour été habillé de puissants abdominaux. Mais l’heure n’est point à un retour en arrière. Cette histoire n’a aucun lien avec ce qui arrive présentement. Toujours est-il que le point important est que la main de Maggot glisse sur le ruban rouge. La caresse est agréable. Mais la tentation de tirer sur le nœud ? Elle devient intense. Elle devient une force contre laquelle elle peine à résister. Le regard de notre gobeline se tourne vers son « Choco ». Son autre main glisse entre ses cuisses, par-dessus la salopette. Il n’y a pas si longtemps qu’elle s’est fait brutaliser par ce grand idiot romantique. Sa main remonte. Elle pourrait de nouveau sentir la chaleur et la quantité qui a rempli son ventre. Jamais elle n’a imaginé qu’elle pourrait donner naissance à un hybride. Et… elle n’y pensera pas. Seulement mon « Dieu » qui n’avait jamais pensé à donner descendance à Maggot. Et ça n’arrivera pas. Ce personnage n’en est pas rendu à l’étape d’héritage. »
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ImageMaggot : « Hum ? Oui ? Quoi ? Pardon, je… j’étais… »
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ImageAleister : « Occupée. Il me semble que c’est un bon terme. »
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ImageKrafton : « Occupée ? Mais elle est à ça de pouvoir la mettre toute nue ! Ou de lui glisser un doigt sous le ruban ? Et moi ? MOI ! Je suis au supplice en train de, de, de devoir regarder ça ! Hey ! Faut pas croire que ça va me satisfaire. Je ne vais pas me palucher devant vous et passer à autre chose. »
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« Dans une autre époque, notre poulet-barbare aurait pu prendre en exemple le fait de se masturber derrière un écran. Mais nous devons rester raccord à l’ambiance médiévalo-fantasy. Et également redonner importance à Aleister. Ou Tire-la-langue, selon les dires de Miss Cheelks. Mais savez-vous quoi ? Il serait encore plus sadique pour notre musculeux et fébrile Krafton d’emmener ce récit ailleurs. Hum… L’essentiel des clients du propriétaire se trouve autour de cette table. Et nous pouvons affirmer que tout le monde y accorde une relative importance. Il nous resterait donc le cas de cette Rakasa tatouée. Elle attends et… Oh ! Nous risquerions d’avoir un problème. De nouvelles sources de frustration. Bientôt, très bientôt, Adam Courssurpattes va revenir. Et notre petit homme gère difficilement les débordements d’ordre « déshabillé ». C’est que faire tourner un commerce demande concentration, endurance et… choisissez donc un troisième terme pour bien faire. Cela devient donc une… course contre la montre ? Regard insistant sur Aleister. »
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ImageAleister : « Procédons donc à une nouvelle transformation. »
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« N’est-ce pas esthétique quand mes pensées sourdes deviennent coïncidences avec les paroles des acteurs en place sur scène ? Quel sera le prochain tour de magie ? Oh ! La Taverne devrait-elle bientôt remplir des formulaires administratifs pour devenir le Cabaret ? »
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(pause d’écriture)
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ImageAleister : « Voici le second habillage. Vous n’avez toujours rien vu arriver, n’est-il pas ? »
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ImageKrafton : « Mais- Tu l’as habillée plus qu’avant, pauvre con ! »
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ImageMaggot : « Ah non non. Enfin, pas vraiment. Je te jure, j’ai toujours la main sur sa cuisse. »
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ImageKrafton : « Quoi ? Mais- je ne vois rien avec ce stupide manteau long ! »
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ImageAleister : « Vous allez très vite comprendre. »
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« En effet, un nouvel intervenant… intervenait à la table. Si tout le monde avait d’abord posé ses yeux sur Juliette l’orc et entendu sa demande qui souhaitait une nouvelle chope remplie, ce fut une voix masculine et provenant de plus bas qui eut le privilège d’apparaitre entre guillemets. Et non résumé comme cette pauvre Juliette bégayante. »
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ImageAdam : « Mesdames. Messieurs. J’espère que tout se passe à merveille pour tout le monde ? Parfait. J’ai également remarqué une certaine agitation autour de cette table. Je venais m’assurer qu’il n’y avait pas plus de débordements que nécessaires. »
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ImageKrafton : « Les chopes sont vides, Grand Chef ! Et je promets de ne pas en déverser une seule goutte. »
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ImageAdam : « C’est le problème avec les gens de votre classe, monsieur Krafton. Je ne sais jamais si j’ai affaire à du premier degré ou à une plaisanterie. Quoiqu’il en soit, sachez que si vous désirez procéder à des échanges plus… physiques, je vous prierais de prendre le chemin des Chambres. Tout comme Linette, notre bardesse itinérante que vous avez du apercevoir plus tôt. Sur ce… »
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« Le propriétaire de la Taverne plissa les yeux. Oh ! Et détail qui avait son importance, Juliette s’était mise à quatre pattes pour permettre au gnome d’être à suffisante hauteur pour converser avec tout le monde.

Adam Courssurpattes plissa donc les yeux en allant du manteau noir de la hobgobeline à l’air satisfait d’Aleister. Mais n’étant pas spectateur d’une orgie, il n’alla pas plus loin dans l’inspection. »
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ImageAdam : « Je vous souhaite donc bonne continuation. N’hésitez pas à faire appel à nos serveuses, à Madame Monarque ou même à notre Petite Déesse au besoin. »
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« Et le propriétaire de la Taverne s’en alla. Alors que deux nouvelles têtes survenaient d’une porte. Deux nouvelles têtes féminines et une hyène pour être exact. Mais ce que tout le monde veut savoir présentement, c’est la description de la nouvelle tenue de Miss Cheelks. Ne perdons pas plus de temps et présentons-la en image. Une nouvelle fois dessinée par les deux mains de mon « Dieu ». »
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Image
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ImageAleister : « Vous noterez que je peux également ajouter des postiches de cheveux. Mais, pour notre ami plumé ici présent, il pourrait parfaitement les prendre pour tirer dessus et besogner à sa sauce. Tout comme vous noterez la présence d’une sucette entre ses jolies lèvres. Bien entendu, ce n’est pas une simple sucrerie qu’elle suçote. Il se pourrait qu’une substance altérant son esprit soit actuellement en train de se propager dans son organisme… »
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« Les coudes sur la table, les doigts entremêlés, Aleister ressemblait comme jamais à un méchant qui a ourdi son plan. Qui, avec son rictus et sa langue rose déballée, s’extasiait de sa réussite. Il-… »
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Image : « MAGGOT ! »
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ImageMaggot : « Candy ! »
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« Une énième peau verte. Permettez-moi de soupirer. Pff… Cette engeance apportait toujours avec elle une forme de chaos. Pour s’introduire à vous, elle m’avait interrompu moi. »
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Image
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ImageMaggot : « Qu’est-ce que tu fais là ? »
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ImageCandy : « Je te rends une petite visite ! Oh, la demoiselle aussi aime bien les sucettes ? Regarde, moi aussi ! »
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« En effet, la nouvelle gobeline en petite tenue, mais tenue arc-en-ciel ! avait à sa main une sucette toute en couleurs elle aussi. Même ceux qui ne la connaissait pas subissait son pouvoir passif : à savoir qu’elle apportait une bonne dose de sympathie, de jovialité et d’optimisme partout où elle passait ! Et ce n’était pas un « vrai » pouvoir. Seulement l’expression de sa personnalité. »
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ImageCandy : « Il faudra que tu me fasses goûter ta sucette, euh… c’est comment toi ? »
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ImageMaggot : « Hey, tu n’étais pas sensé me voir avant ? Je veux dire, dans mon aventure en cent cases ? »
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ImageCandy : « Parce qu’on peut en parler comme ça ? On ne va pas avoir de problème avec le quatrième mur ? »
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ImageMaggot : « Bof, tu sais, ils nous croient en partie folle. Pourquoi on s’en cacherait ? Je crois même que ça en émeut certains. »
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ImageCandy : « Ah oui ! Ton Choco là, tu le friendzone toujours ? »
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ImageMaggot : « CANDY ! Je… »
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ImageCandy : « Ouais, c’est définitivement pas clair et net entre vous deux. Comme d’habitude, quoi. Bref ! Faudrait qu’on arrête de papoter. Le pauvre narrateur n’a pas eu le temps de balancer ces images pour les deux nanas et leurs hyènes. »
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ImageKrafton : « Qui ça ? Quel narrateur ? Y’a personne sur scène, petite peau verte ! Par contre, si tu veux de la place, il y en a sur mes cuisses : ah ah ! »
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« En effet, à la table de la cartographe à la peau tatouée, deux femmes et une hyène étaient venues prendre place. L’une, blonde aux cheveux en chignon, donnait une allure de bourgeoise défaite par l’absinthe. En même temps qu’elle exhalait une attitude féérique. Et… effectivement, la serveuse (ne me demandez pas laquelle ! J’ai la fainéantise de regarder à quelle table la fée s’est installée et qui s’occupe de cette table. Inventez si vous avez besoin de l’information !) apporta une bouteille d’absinthe. »
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« Quant à la seconde femme, elle s’appelait… mais que conte-je, moi ? Je voulais vous dire qu’elle possédait aussi des cheveux blonds. Je me suis emporté sans prendre attention à ce que je vous racontais. Donc.. oui ! Cette blonde-ci avait quelque chose de sale. Des cheveux en dredds. Et une attitude à casser des gueules. A tous les coups, ce couple de femmes blondes était constituée d’une manieuse de sort et une autre de fer. Quant à la hyène… ais-je vraiment besoin de m’appesantir sur cette créature ? »
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ImageCandy : « HEY ! »
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« Quoi ? »
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ImageCandy : « Ah. Non, rien. Désolé. Je croyais que tu étais tellement noyé dans ton job que tu avais oublié d’afficher ma jolie bouille. Mais je viens de vérifier en remontant le fichier texte, tu y as bien pensé. C’est là, entre parenthèses. Enfin, ça ne sera plus entre parenthèses une fois que tu auras récupéré l’URL de l’image mais voilà ! C’est tout bon ! Ah ah ! »
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ImageKrafton : « Mais qu’est-ce qu’elle baragouine celle-là ! Hey ! C’est quand tu vas ouvrir ton manteau ? »
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ImageAleister : « Manteau qui nous aura permis de contrer la visite du propriétaire. Comprenez-vous pourquoi ce choix vestimentaire maintenant ? »
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ImageChoco : « Aleister, il y avait quoi dans la sucette ? »
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ImageKrafton : « On s’en branle ! Si ça la met dans un bon état pour justement me le faire, moi je prends. Son consentement, de toute façon, elle l’a déjà donné, hein ! C’est elle qu’a voulu jouer. Et elle m’a tellement allumé que ça serait une sacré salop-… »
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ImageMaggot : « Tu fermes ton bec, toi ! Tu lui parles mieux que ça à ma copine ! »
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ImageCandy : « OUAIS ! »
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ImageJuliette : « Ou-oui ! »
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« Est-ce qu’une coalition de peaux vertes voyait jour ? En tous les cas, ça permettait à cette pauvre Juliette qui avait servi de tabouret pour Adam Courssurpattes de posséder au moins une vraie ligne de dialogue dans cette réponse. Et il me semble qu’il y a là assez de matière pour Miss Cheelks. Bien que, je commence à être tenté d’augmenter encore ma charge de mots en contant ce qui se passe dans les Chambres. Avec notre Linette et son Kalkaire. Mais aussi dans le Couloir avec Kévin. Je pourrais également pousser plus loin en plongeant dans les Douves Infinies et vous narrer quels obstacles l’aarakocra au nom exécrable est actuellement en train d’affronter. Mais je n’en ferais rien. Par fainéantise pour ce coup. Et également parce que cela vous sert de teaser.

That’s all folks !

Oui, oui… il me faudrait trouver MA formule de fin. Mais que voulez-vous ? Je ne suis toujours pas payé assez cher pour redoubler d’inventivité. »

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 20 déc. 2024 14:40
par Arxa Cheelks
Tire-la-langue attribuait un connotation positive à son sobriquet. Ce qui n'était pas déplacé dans la mesure où Arxa Cheelks n'avait pas pensé à mal en l'appelant ainsi. Krafton, qui n'avait pas eu droit à tant d'égard de la part de l'Ingénieuse qui s'amusait à le faire tourner en bourrique, trépignait d'impatience à l'idée de se la farcir. Chose impossible pour le moment, la hobgobeline ayant remis le bien-être de sa personne entre les mains de sa moitié congénère attirée par la présence de ce petit ruban rouge. Quitte à finir le bas ventre totalement à l'air, Arxa ne regrettait pas ses petites attentions.
Même si sa proximité éveillait un intérêt pour un autre dans la psyché de Maggot.
Oh-ho ! On dirait bien qu'elle est amoureuse, la coquine-copine~
De ce troll bleu qu'elle n'avait pas manqué de zieuter.
Il n'y a pas à dire : ce mâle-là, c'est un sacré gros morceau ! Peut-être un petit peu encombré au-dessus de la ceinture, oui, mais cette imperfection fait partie de son charme de troll, j'imagine ?
Arxa Cheelks ne comptait par pour autant jouer avec le zozoteur. Elle avait deux autres cibles en tête. Dont une supposée lui servir d'intermédiaire à travers son esprit pervers.
Un jeu pour le moins complexe et risqué mais que voulez-vous ? Une vie sans épreuve ne vaut pas la peine d'être vécue !
L'Ingénieuse profitait allégrement du spectacle de pure frustration que lui offrait le grand coq baraqué. Mais en arrière-plan, la hobgobeline apercevait aussi cette nouvelle cliente tatouée dont elle avait, à force de bravades, loupé une arrivée fêtée par le patron des lieux en personne.
Exotique, la demoiselle ! Elle a une bonne tête d'aventurière. J'ai bien envie de...
Sauf que le jeu se poursuivait, Aleister ayant eu le temps de réfléchir à un ensemble d'un genre plus... complet ?
Au grand déplaisir d'un Krafton abasourdi et, en même temps, d'une Maggot invariablement satisfaite.
Les épaules couvertes par un long manteau noir, Arxa Cheelks porta une main à sa bouche. Sans mot dire, elle en sortit une... sucette, oui ! Le message érotique que lui renvoyait cette gâterie sucrée avait largement de quoi faire chauffer ses méninges.

- Effectivement, je ne l'ai pas vue venir, celle-là...

Etait-ce la main de Maggot posée sur sa cuisse qui l'excitait de façon aussi subite ?
Sensation familière, certes, mais d'une troublante efficacité !
Alors que la hobgobeline s'intéressait tout juste à ses nouvelles couettes d'un blanc conforme au reste de sa chevelure, les paroles énigmatiques de son habilleur mystique l'amenèrent à prêter davantage attention à son environnement. Parce qu'à hauteur de genou, une nouvelle voix avait éclos. Une voix pourvue d'une certaine assurance. Celle d'un homme - et non d'un garçon - venu prendre la température au sein d'un groupe victime d'une certaine... agitation.
L'Ingénieuse se passa une main dans les cheveux.
J'ai comme l'impression d'avoir déjà entendu parler de ce bonhomme...
Le "Grand Chef" énoncé par Krafton aurait dû lui mettre la puce à l'oreille quant à l'identité exacte du petit homme. Sauf que l'esprit de Cheelks était focalisé sur autre chose : son propre corps envahit d'une chaleur de plus en plus entêtante. Seul un commentaire - en accord avec ses pulsions du moment - de la part du nouveau venu, au sujet de Linette et de sa disparition dans une chambre, fut en mesure de donner un peu de grain à moudre à ses fébriles neurones.
Alors comme ça notre chanteuse nudiste s'est retirée dans une de ces chambres avec son titan membré ? Ha ! Je savais bien qu'elle allait me plaire, la joyeuse délurée~
Tandis que le "grand" gnome jaugeait prudemment la situation, le regard de l'Ingénieuse tomba sur une Juliette posée sur ses quatre pattes.
Etant donné les circonstances, pareille position venant de la serveuse ne pouvait signifier qu'une chose...
Une petite minute, ce bout d'homme serait donc son supérieur hiérarchique ?!
Hestia ne lui en avait-elle pas parlé ? Arxa, d'ordinaire si fière de son intelligence et de sa mémoire, n'en était pas très sûre...
En désespoir de cause, elle grimaça un sourire de dernière minute à l'adresse du petit boss.

- Merci pour ces précieux conseils ! Nous serons sages, Grand Chef.

Une fois l'intéressé parti, Arxa, une main posée sur le cœur, relâcha la pression en un gros soupir de soulagement.

- C'était le gérant de La Taverne ? On a eu drôlement chaud, dites donc.

Dans son cas, c'était peu de le dire ! La hobgobeline en porte-jarretelle noir n'avait toujours pas renoncé à sa sucette qu'Aleister se vantait d'y avoir injecté un produit susceptible d'agir directement sur son intellect.
Les prunelles mauves d'Arxa Cheelks se braquèrent aussitôt sur le félon encapuchonné.
Oh, le salaud !
Cette déclaration lui avait-elle donné envie de jeter sa gourmandise ?
Que dalle !
Les joues rosies, l'Ingénieuse le pointa avec sa sucette.

- T'es un sacré tordu dans ton genre, Tire-la-langue ! Je comprends mieux pourquoi Maggot ne voulait pas que tu m'approches.

Malgré ses propos peu élogieux, elle lui souriait. Chaudement.
Foutu poison ?

- J'admets que tu m'as bien eue ! Ta sournoise inventivité mériterait qu'on s'y attarde mais, comme j'ai le pressentiment que cette table n'a pas fini d'accueillir de nouvelles têtes...

Bah ? D'où lui venait ce soudain sixième sens ? de son symbiote fusionné à sa matière grise ?
Non, cela ne tenait pas debout !
Mais qui pourrait décrire le fonctionnement exact du cerveau muté d'une hobgobeline de l'espace sous l'influence d'un produit stupéfiant ?
Aucun esprit logique !
Alors fut-ce surprenant d'entendre Maggot ET Arxa appeler - en même temps - cette euphorique gobeline sortie de nulle part par son prénom ?

- Candy !

Et, au passage, cela fit beaucoup rire l'Ingénieuse qui en savait plus que le lui permettaient les saintes règles de la narration.
A bien y regarder, la dénommée Candy avait l'air tout droit sortie d'un univers outrageusement coloré où les licornes pissaient des arc-en-ciel et chiaient des bulles délicieusement parfumées.

- Ta sucette est top mais, honnêtement, ce que j'adore par-dessus tout, moi, c'est ta super tenue bariolée~

Sans nul doute, l'Ingénieuse au cerveau altéré s'était trouvée une nouvelle amie. Cette dernière dégageait un petit quelque chose d'entraînant.
Arxa Cheelks fut bien heureuse d'écouter ses deux moitiés congénères échanger au sujet de quelque chose qu'elle-même n'arrivait pas à comprendre - même dans son état, oui.
A l'image d'un Krafton, toujours chaud bouillant à l'idée de se voir occupé par une peau verte.
L'Ingénieuse eut un sourire grivois avant de... eh bien, prendre littéralement place sur ses cuisses ?

- Tu disais, mon poulet ?~

Oh ! Elle n'allait sûrement pas le laisser se faire distraire par une autre aussi facilement.
Roulant généreusement des fesses sur ses genoux solides, Arxa lui donna un modeste aperçu de ce qui l'attendait dans un cadre plus intime. Le haussement de sourcils qu'elle avait associé à son initiative était sans équivoque.
Toi et moi, ça va faire des étincelles !
Un coup d'œil vers sa proie masculine qui, encore une fois, l'invita à projeter son regard encore plus loin.
Les paroles prophétiques de Candy avaient annoncé la venue de trois nouvelles clientes : une hyène et deux blondes. Soit une fille à l'aspect sauvage et l'autre aux faux airs de...

- Dis donc ! Mais ce ne serait pas la fée Clochette, attablée là bas ? Quelle beauté lunaire ! J'n'en crois pas mes yeux !

Elles formaient un groupe ? Bon sang ! Excitée comme elle était, Arxa mourrait d'envie de se séparer en deux pour qu'une partie d'elle-même s'en aille les rejoindre.
Cette Taverne attire des gens drôlement cool ! Visez-moi un peu cette hyène. Et sa maîtresse qui en jette grave, avec son attitude relâchée !
Auto-piégée sur les genoux du volatile bourru, la hobgobeline tremblait d'un incurable désir de socialiser davantage.
Du côté de sa table, le chaos savamment nourri par la congrégation naissante des peaux vertes s'opposait aux pulsions bourrines et libidineuses d'un Krafton prêt à mordre à pleines dents dans sa part du gâteau.
Contrairement à ses protectrices, Arxa Cheelks ne ressentit aucunement le besoin d'élever la voix.

- T'en foutre royalement ne signifie pas que tu vas automatiquement t'en priver, mou poulet, lui souffla la hobgobeline avec un brin de sournoise au coin des lèvres.

Et sans prévenir, elle lui fourra la sucette dans le bec !
Des doigts de sa main droite, l'Ingénieuse caressa sa barbe touffue.

- Recrache-la et je promets de te laisser tranquille jusqu'à la fin de tes jours ; suce-la et je te garantis que nous nous n'oublierons rien de cette merveilleuse journée~

Ils ne manquaient pas de temps, non ?
Par ailleurs : plus Krafton se mettait à bouillir, plus flamboyante serait leur joute à l'abri des regards !
Mais en vue de contenter tout le monde au moment d'aménager sa retraite avec son intrépide barbare, l'Ingénieuse s'était donnée pour mission d'instaurer une ambiance de fête durable - à plus forte raison en son absence.
Malgré l'influence de la substance chimique présente dans la sucette, Arxa Cheelks avait un plan.
La hobgobeline se tourna rapidement vers ses camarades qui, elle devait bien l'admettre, l'avait émue en prenant sa défense auprès du solide guerrier.

- Candy, Maggot ! Je vais avoir besoin de vous pour convaincre Clochette, Tatouée et Sauvageonne, toutes trois installées à la table voisine, de rejoindre notre fabuleuses équipée.

Puis elle fixa Juliette. Avec des yeux capables de faire fondre les cœurs les plus tendres ! Des yeux de chatte affamée réclamant pitance auxquels il est quasiment impossible de dire "non".

- Juliette ! Si Candy et Maggot parviennent à répondre à ma supplique, serait-il possible que tu rapproches leur table de la nôtre ? J'ai toute confiance en ta force d'orque ! Et - crois-moi sur parole - je t'en serais reconnaissante à jamais, ma grande !

Au final, Arxa Cheelks en revint à son trône à plumes à qui elle tripota la barbe avec force affection. La hobgobeline enroula sensuellement un index dedans avant de lui glisser à l'oreille :

- Lorsque je t'en donnerai le signal, tu me porteras jusqu'à l'une de ces fameuses chambres mentionnées par le Grand Chef. Là-bas, je te donnerai tous les droits. Tu pourras m'arracher ce manteau que tu détestes tant, déchirer mes collants comme la brute qui se cache sous ton épais plumage, tirer sur mes couettes avec frénésie et j'en passe ! Mais avant cela, je dois m'assurer que ce que j'ai construit ici ne s'étiolera pas avant notre retour. Tu as bien saisi où je veux en venir ?

Ce n'était pas garanti !
N'avait-il pas lui aussi goûté à la sucette d'Aleister ?
Quel effet allait-elle avoir sur sa psyché de grand volatil ?
Arxa Cheelks s'avançait peut-être un peu beaucoup en lui soufflant ainsi ses projets. Il lui était déjà difficile de ne pas écarter le pagne de son siège pour s'empaler sur le mât qu'il dissimulait à grand-peine.
Krafton n'était peut-être pas aussi résilient que l'Ingénieuse.

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 26 déc. 2024 14:07
par La Taverne
ImageCandy : « Merci, copine ! Dis-je en faisant un tour sur moi-même. Et non non, il n’y a pas de problème de mauvais positionnement des guillemets. Je l’ai bien dit à haute voix ! Regard posé sur le Narrateur décorporé. »
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« Je devrais recevoir des primes qui s’élèvent exponentiellement au nombre de peaux vertes pop !ant comme des lapins en cale. A peine ai-je le temps de me concentrer sur la nouvelle venue au prénom sucré que notre Miss Cheelks au cerveau gazéifié s’en va sauter et atterrir sur les cuisses de poulet. Qu’est-ce qu’on ne me fait pas écrire, je vous jure. Personne d’autre que moi n’a eu l’image d’une pseudo-hobgobeline à califourchon sur des blancs de poulet à manger ? Non. Deviendrais-je malade à mon tour… »
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ImageKrafton : « Je ne sais plus ce que je disais. Je-… »
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« Le poulet-barbare était probablement trop ravi d’avoir enfin sa peau verte à portée de ses propres mains. Bien qu’il eut été bizarre qu’il regarde dans les hauteurs comme si-… Oh, la boulette ! J’ai pris un peu d’avance par rapport aux écrits de Miss Cheelks. Pardonnez mon erreur, très cher lectorat. Laissez-moi vous délivrez un détail grivois en attendant. Le fait que Miss Cheelks pouvait clairement ressentir, disons, un gourdin emplumé soutenir son dos tel l’assise d’une chaise. Seule votre imagination vous permettra d’en estimer la longueur et l’épaiss-, non, la largeur. Bien entendu. Ce serait idiot de parler d’épaisseur pour du « mobilier », n’est-il pas ? »
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ImageClochette : « Quelqu’un m’a appelée ? »
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ImageHyène : « Hi hi hi ! »
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ImageBlondie : « Tu n’aurais pas déjà un peu trop abusé de l’absinthe, toi ? »
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« Ah ! Voilà ! Ma chronologie écrite rejoint la chronologie lue des dernières actions de Miss Cheelks. Là ! La sucette de Tire-la-langue finit dans le bec de Krafton. »
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ImageKrafton : « Qui me parle ! »
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« Qu’ouis-je ? Quelle est cette bizarrerie ? (avez-vous noté à quel point je conte si bien qu’on croirait que je suis moi-même surpris ?) »
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ImageCandy : « Oh mais moi je crois que j’ai tout compris ! Ca va être rigolo. »
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ImageKrafton : « De quoi tu parles, la friandise ? Joue pas à la déconne avec moi. Si c’est toi qui arrives à me parler dans l’intérieur de ma tête, je te jure que je vais te faire taire d’une manière ou d’une autre ! »
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ImageMaggot : « HEY ! Tu ne me menaces pas ma copine comme ça, toi ! »
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« Mesdemoiselles ? Si vous pouviez permettre à votre Narrateur préféré de placer une réplique de temps à autre, je vous en saurai gré. »
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ImageMaggot : « Ouais bah vas-y ! »
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ImageCandy : « Qu’est-ce que tu peux avoir mauvais caractère quand tu t’y mets, Maggot. Pff… »
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ImageMaggot : « Arrête de faux-soupirer. Et toi, comment tu peux être autant positive ? Tu consommes toujours des trucs pour être chat-perché ? »
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« Mesdemoiselles ? »
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ImageCandy : « … »
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ImageMaggot : « … »
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« Merci. Je disais donc-… »
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ImageKrafton : « C’est quoi ce délire ?! »
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« Prenons un dernier instant pour revenir sur les derniers développements du plan de Miss Cheelks. Candy et Maggot firent semblant de ne pas avoir écouté mes dernières tirades de Narrateur. Ainsi, elles devaient rassembler l’essentiel des clients de la Taverne pour le bon plaisir de leur copine à la peau verte. Une grosse gourmande ? Un égo qui ne pouvait rien ignorer ? Devait-elle briller aux yeux de tous ? Ou avait-elle de tels traumatismes qu’elle se devait de brûler la chandelle par les deux extr&émités et saisir toutes les opportunités de rencontre ? »
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ImageHestia : « Arxa ? »
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« Notre Petite Déesse à tous décida d’intervenir. L’esprit du foyer et de la chaleur vint porter sa douce voix à l’oreille verte. Derrière elle, elle laissa une trainée lumineuse agréable à l’œil. Une version médiévale d’un spectacle pyrotechnique. »
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ImageHestia : « Loin de moi l’idée de vouloir faire cesser ces festivités mais, oui, je suis désolé, il y a un mais. Mais cela commence à aller trop loin pour la Salle Principale. »
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« La serveuse qui, a priori selon un Discord (et non la discorde), n’avait pas un nom très orc-ien, se vit rapidement épaulé par la terrible humaine à queue d’orque. Miss Cheelks venait d’avoir son attention redirigée ailleurs tel une victime d’un spectacle de prestidigitation. Bien que, tout le monde s’accordera à le dire, la sucette d’Aleister avait déjà provoqué assez de bazar pour lui faire perdre beaucoup en concentration. »
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ImageKrafton : « Mais c’est quoi ce BORDEL ?! Quelqu’un va finir par me répondre à la fin ? C’est quoi cette histoire avec le prénom de Juliette ? Je le trouve très bien, moi. Et puis, Shak’zhul, c’est bien trop compliqué. Je veux dire, pour un peuple censé être con, c’est foutrement chiant à écrire toutes ces lettres séparées par un signe de ponctuation. »
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« Le poulet-barbare porta ses mains à son bec alors qu’il réalisait qu’il ne parlait pas comme d’habitude. Levant la tête vers le plafond vide de toute population, il en vint même à se demander si c’était lui qui avait fait lever ses mains. Ou s’il était manipulé par une force qu’il ne parvenait pas à comprendre. »
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ImageKaos : « On attend quoi ? »
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ImageJuliette : « D-du calme, Ka…aaos. »
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« L’orc aux cheveux rouge avait réussi à contrôler son défaut d’élocution pour ne pas répéter la première syllabe de sa collègue. Elle ne désirait pas l’énerver. »
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ImageHestia : « Vous pouvez procéder, mesdames. Arxa, je suis désolé. Il ne faudra pas m’en vouloir. »
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« Il aurait été question d’une trame avec un certain Maurice Malné ou un Clan dirigé par un certain Orgueil, l’action prochaine pour Arxa Cheelks aurait été celle de se faire assommer et emmener. Mais cette Taverne est un lieu de joyeuseté. Ici, privé de leurs armes, les clients d’Adam Courssurpattes se doivent de passer du bon temps. Ce qui implique de ne pas brider à l’extrême leur libre-arbitre. Miss Cheelks avait donc encore le loisir d’empêcher sa personne de finir à l’infirmerie avec Krafton. »
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ImageKrafton : « Mais je ne suis pas malade ou blessé. Et QUI C’EST QUI ME PARLE ? »
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ImageKaos : « Toi, on t’a trop entendu. »
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« Mon travail allait se finir quelques pages avant. Contrairement à mes dernières interventions. Changer un peu le rythme n’est pas nécessairement une mauvaise chose. Et donc, le geste de Kaos ralentit jusqu’à s’immobiliser dans ce temps qui se trouve entre le moment où mon travail est posté en ligne. Et cet autre moment où une demoiselle pose ses doigts sur son clavier pour orchestré les prochains dires et actions de Miss Cheelks. Laissera-t-elle son poulet se faire assommer ? Résistera-t-elle à Juliette pour ne pas être emmené à l’Infirmerie ? »
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ImageCandy : « Et moi alors ? »
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« Toi, quoi ? »
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ImageCandy : « Non, rien. J’avais envie d’intervenir. Hi hi ! ♥ »
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« Les peaux vertes… »

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 27 déc. 2024 15:55
par Arxa Cheelks
Bien membré ? C'était le mot ! Comme l'avait espéré Arxa Cheelks, Krafton en avait sous le pagne. Heureusement que le dos de la hobgobeline dissimulait la silhouette de son dard aux yeux des autres. Le troll bleu avait peut-être eu du souci à se faire de ce côté-là, qui sait ?
Prudence, tout de même ! Le but de la manœuvre n'est pas de rendre jaloux le grand chéri de ma nouvelle amie~
Plutôt de rendre fou l'ensemble de son entourage ?
Le grand coq avait eu droit à sa sucette (sans mauvaise pensée !) et les deux gobelines devaient faire avec sa capacité à entendre des choses qu'il n'était... pas supposé entendre, oui. Cette "extra audition" retarda quelque peu les peaux vertes dans leur entreprise de rameuter toujours plus de personnes à leur table. Notamment en joignant celle des trois autres clientes et leur hyène à la leur.

- Arf. Mon petit doigt me dit que c'est pas gagné, c't'affaire...

Avait-elle commis une erreur en invitant Kraton à pénétrer (toujours aucun pensée bizarre !) dans son nouveau monde ?
Comme prête à en découdre, l'Ingénieuse fit craquer son cou et ses doigts.

- Bon ! Face à l'imprévu, il va peut-être falloir que je quitte mon siège chauffant, moi.

La Petite Déesse choisit ce moment pour se manifester. Arxa se rendit compte qu'elle l'avait peut-être un peu oubliée, la pauvre...
Elle dissimula astucieusement son embarras avant de lui répondre par un grand sourire :

- Oui ? Que puis-je faire pour toi, ma flamboyante amie ?

A force d'observation, Hestia avait finalement opté pour la sécurité de son lieu et de vie et de travail. Ce "mais" risquait fort de nuire au projet d'unité de la hobgobeline...

- Hein ? Comment ça, "trop loin" ?

Du coin de l'œil, elle vit Kaos et Juliette se mouvoir dans leur direction.
'Pas bon signe, ça.
Que faire sinon quitter ce navire dans lequel le grand poulet avait creusé un gros trou ?
Krafton, toujours attentif à une voix que personne d'autre - mis à part Candy et Maggot - n'était en mesure d'écouter, débita de nouvelles inepties. Le choc de sa propre déclaration le fit se clouer le bec alors que les serveuses, sur le point de se convertir en "videuses", se concertaient.
Que puis-je bien y faire ?
Le cerveau embué de la hobgobeline travaillait à toute vitesse.
Malheureusement, à force de gueuler par-dessus son épaule, le guerrier à la sucette psychédélique se comportait en nuisance.
Arxa prit le parti de sauter de ses genoux afin de ne pas se dresser sur le chemin de l'humaine à la queue d'orque. Elle avait vu la puissance de cet appendice ; hors de question qu'elle se le prenne en pleine tronche ! Krafton encaisserait mieux qu'elle. Et dans le meilleure des cas, il en ressortirait le cerveau tourné dans le bon sens.
Donc, si je résume bien la situation : le mieux à faire reste de ne rien faire ?
Le regard de l'ingénieuse passa d'un troupeau de têtes à l'autre.
Une décision. je dois en prendre une, et vite !
Elle se claqua simultanément les joues des deux mains avant de crier :

- TEMPS MORT !

En priant mentalement pour que tout le monde - et surtout la terrible Kaos - accède instamment à sa demande.

- Il est clair que notre braillard à crête rouge est en proie à quelques difficultés sensorielles. Tout porte à croire qu'il entend une voix qui a tendance à le rendre confus, bruyant et passablement détestable auprès de son entourage. MAIS ! (Elle jeta un rapide coup d'œil à Hestia.) J'ai bon espoir d'arriver à le calmer. Et pour ce faire, l'isoler dans une pièce serait effectivement le plus approprié. C'est donc de bon cœur que j'accepte de suivre Juliette. A l'unique condition qu'elle nous accompagne, Krafton et moi, jusqu'à un endroit adapté où JE pourrais prendre soin de sa robuste personne.

Elle s'intéressa aussitôt à ses moitiés congénères.

- Ne vous faites pas bile pour nous. Continuez à donner le meilleur de vous-mêmes, les filles ! On se retrouvera plus tard, je vous le garantis.

Un hochement de tête à l'attention de Juliette Karnage.

- Je te rassure, Juju : tu n'auras pas du tout besoin de nous bousculer pour qu'on te colle au train.

Elle détourna son attention sur Krafton et lui arracha la sucette du bec.

- Inutile de chercher à les contredire, mon poulet ! C'est le moyen le plus sûr que j'ai trouvé pour que, d'une part, tu t'en sortes sans dommage et, d'autre part, je puisse tenir la promesse que je t'ai faite.

De façon tendancieuse, elle haussa ses blancs sourcils plusieurs fois de suite.

- L'heure est venue de faire plus ample connaissance~

Même si elle mourrait d'envie de lui sauter dans les bras pour qu'il la trimballe comme une princesse, Arxa jugea préférable de le prendre par la main. Ses doigts chauds devaient le guider. Une étreinte destinée à endormir sa vigilance, à le rendre plus docile.

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 05 janv. 2025 15:26
par La Taverne
« Et me voilà stupidement en train de chercher le bouton sur lequel a été gravé « Pause »… Je vous juste, je n’ai pas un métier facile. Tout cela parce qu’une hobgobeline au cerveau doublement trituré demande un « Temps mort ». Le pire, d’une certaine façon ? C’est que Miss Cheelks a réussi sa manœuvre car tout le monde est soudainement pendu à ses lèvres. Lèvres qui échapperont encore un temps au poulet-barbare qui n’en peut plus qu’on joue avec lui. Enfin… justement, qu’on ne joue pas avec lui. Vous m’avez compris !

Donc, Miss Cheelks s’adresse à tout un tas de personnages… secondaires ? Clés ? Difficile de trouver le bon terme. Tout un tas d’interactions sur lesquels il va falloir revenir. Et ce sera fait incessamment sous peu alors qu’elle tient la grosse main d’un Krafton qui… CESSE DE ME REGARDER AVEC CES YEUX ! Tais-toi et tu pourras la fourrer ta peau verte ! Je… Excusez-moi. Je me suis laissé emporter. Mon verbe a quelque peu perdu en éclats. »
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ImageJuliette : « J-je ne sais pas si j’ai, j’ai le droit de faire ça… »
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« La terrible orc tourne son regard tout penaud vers la minuscule flamme aux formes féminines. »
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ImageHestia : « Je vais accéder à la demande de notre cliente, Juliette. Tes collègues prendront ta charge de travail. Bien entendu, à charge de revanche. Quant à toi, profite de ce moment, Juliette. »
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« La Petite Déesse vient ensuite fureter dans les airs, laissant dans son sillage une petite traînée luminescente, pour venir parler à l’oreille de Miss Cheelks. Et Miss Cheelks uniquement. »
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ImageHestia : « Attention, attention. Ce que je m’apprête à te dire, je ne tolérerais pas que tu l’ébruites à voix haute. Mais je pense qu’il serait dans l’intérêt de Juliette qu’elle fasse plus que vous accompagner. Sans entrer dans son histoire personnel, la pauvre aurait peut-être besoin d’être un peu décoincée. Je dirais sur un point de vue mental autant que physique. Pour ne pas tomber dans de la pure grivoiserie. »
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« La Petite Déesse encourage donc Juliette à une manœuvre fort dénudée. Pour autant, que Miss Cheelks ne prenne pas la grosse tête ou affiche un grand sourire lumineux digne des pancartes des casinos de Las Vegas. Car si Hestia pousse au vice, si elle ressemble étrangement à une maman voulant aider ses ouailles : elle est également le brasier qui pourrait tout dévorer. Même les os. Il faut seulement s’y reprendre à plusieurs fois selon un certain médecin belge qui passe sur les réseaux. »
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ImageCandy : « HEY ! »
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« Quoi encore ? Pourquoi toujours crier comme une aliénée en plein milieu des autres ? N’as-tu donc aucune fierté ? »
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ImageCandy : « Que dalle. La vie est absurde de toute façon. Inutile à souhait. Alors autant s’amuser comme je peux. »
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« Et donc ? Que voulais-tu me dire, sucrerie sur pattes ? »
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ImageCandy : « Je… j’ai oublié ! Ah ah ah ! Ah non ! C’est bon, j’ai retrouvé. Je voulais te dire d’arrêter de parler. Le poulet va pas y survivre. »
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« Mais si je fais cela, comment la trame narrative pourrait-elle progresser ? En vous laissant blablater à tout va, il n’y aurait plus de descriptions d’actions ni de lieux. »
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ImageCandy : « Bah je peux m’en occuper. »
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« NON. Ce sera ridicule. Je ne tolérerais pas ce genre de conversations. Non et non. Et si le poulet s’agite de trop, alors-… »
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(ENORME BRUITAGE DE BAFFE !)
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« Voilà… »
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ImageKaos : « Il arrêtera de nous les briser maintenant. Juliette, tu prends ses bras et je prends ses jambes. Je t’accompagne. Et toi tu nous suis en arrêtant de faire des histoires. »
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ImageCandy : « Moi ? »
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ImageKaos : « NON ! Elle. »
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ImageMaggot : « Toi, tu restes avec moi. »
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ImageCandy : « Mais ça avait l’air rigolo d’aller là-bas. Bon, OK ! De toute façon, on saura tout : hi hi ! »
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« Effectivement, Candy allait pouvoir suivre le reste de l’histoire eut égard à sa connexion spéciale avec votre fidèle serviteur. En espérant seulement qu’elle n’interviendrait pas trop à distance. Et, Miss Candy, merci de ne pas m’arrêter régulièrement à partir de maintenant. Voilà, je plussoie ce hochement de tête silencieux. Merci beaucoup.

Rendons-nous maintenant dans une Chambre où Kaos jettera sans ménagement le poulet-barbare sur un lit. Sur une dernière façade expressive de ce qui pourrait être un mélange de colère permanente et de dégoût, elle affirme à Juliette qu’elle se tire d’ici et qu’elle la laisse se débrouiller avec le gros morceau. Le bégaiement de l’orc n’aura jamais le temps de produire une phrase complète pour savoir si sa collègue parlait des proportions du barbare ou de la « sucrerie » spéciale que cherche à obtenir Miss Cheelks.

La Chambre, donc. Si nous savons maintenant que ses résidents sont actuellement au nombre de trois, il nous faut un instant de description pour savoir où nous avons mis les pieds. C’est une chambre typique de taverne médiévale. Mais pas une chambre « budget bas ». Le propriétaire de la Taverne y a déboursé un sacré budget pour que les menuisiers fassent correctement leur travail. Lit, mobilier et parquets au sol. Sans compter les autres corps de métier qui permettent de transformer une simple chambre en un petit oasis de confort. »
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ImageJuliette : « J-je, je vais rester là. Je, je peux t-tourner le dos aussi. »
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ImageKrafton : « Pouah, ma tête… »
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« Même si la terrible Kaos a modéré son coup, le réveil rapide du poulet-barbare est dû à sa résistance qui font de lui un parfait bouclier humain doublé d’un réel danger au corps-à-corps. S’il a perdu sa vigueur à la troisième jambe, il n’en reste pas moins qu’elle est toujours présente et exposée aux yeux de toutes. »
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ImageJuliette : « Je ne c-comprends pas pourquoi-quoi je s-suis tou-toujours i-i-i-i-ci. »
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« Une multiplication de son défaut d’élocution, ne trouvez-vous pas ? Et que dire de cette rougeur à ses joues ? De cette nervosité à ne pas savoir où mettre ses mains ? Une demoiselle un peu joueuse pourrait également remarquer un certain frottement d’une cuisse contre une autre cuisse. Si l’orc a des problèmes de gêne et de timidité (entre autres) : il semble fort apparent qu’elle aimerait se faire « bousculer » par le dénomme Krafton en train de se masser le crâne. »
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ImageKrafton : « Elle tape fort la salope ! Grr… J’ai très envie d’aller la remettre à sa place. »
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ImageJuliette : « HEY-y ! Kaos n’a n’a fait que son tr-travail. »
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ImageKrafton : « Oh, tu es là toi aussi ? Ah ah ! Je te comprends. Si moi aussi j’étais une femelle, je ne crois pas que j’arriverais à me résister. Et attention ! Je ne suis pas en train de dire que j’aime faire des combats d’épées, hein ! Si vous voyez ce que je veux dire. »
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ImageJuliette : « Je d-devrais p-peut-être vous laissez, all-llez chercher des choses à boi-boire, je ne sais p-pas, p-peut-être, euh… »

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 05 janv. 2025 21:17
par Arxa Cheelks
Après avoir consulté sa petite supérieure, Juliette obtint l'approbation de cette dernière. Mais Hestia, dans son immense sagesse, avait une presque-condition à formuler à l'oreille de son ingénieuse invitée. Sans bouger la tête, Arxa tourna ses yeux vers elle. Et elle eut franchement du mal à dissimuler sa surprise !
Ai-je bien ouï ?
Si elle avait été en possession d'une télécommande capable de la faire revenir quelques instants en arrière, la hobgobeline aurait volontiers pressé le bouton idoine ! Mais bon : comme elle avait bonne mémoire et confiance en celle-ci malgré sa récente consommation de stupéfiants déguisés en sucette, Arxa Cheelks n'allait certainement pas faire comme si elle n'avait rien entendu.

- Je marche ! (Avant de se reprendre en regardant Juliette.) Enfin, j'veux dire : nous allons marcher droit vers notre objectif, assurément. Ah-ha ! En évitant les détours, bien sûr ! Qu'est-ce qu'on attend ? En route vers la luxu-... vers le luxe d'une jolie petite pièce bien aménagée !

Puis ce fut l'instant de conversation entre Candy et un tiers invisible - sauf pour Krafton. Krafton qui, une fois la "conversation" terminée, se fit foudroyer la tronche par une queue d'orque !
Résultat des courses : un gros poulet affalé par terre, le coin de son bec encore tout fumant.
L'Ingénieuse eut une grimace de douleur.

- Ouch !... Pour le coup, je n'aurais pas aimé être à sa place.

Kaos, décidément la plus violente de toutes les serveuses, prit le coq par les jambes non sans demander à Juliette de l'imiter en empoignant ses bras. Au passage, elle demanda expressément à la moitié gobeline d'arrêter de faire parler d'elle.

- Bien compris, fit Arxa en levant innocemment les mains et en évitant soigneusement de la regarder dans les yeux. Pas d'embrouille entre nous ? Très bien ! J'en suis à deux cent pourcent.

C'est ainsi qu'elle suivit fidèlement la civière que formaient les deux serveuses mises à l'ouvrage : les mains levées de chaque côté de sa tête en s'efforçant de faire tourner sa langue autant de fois que possible dans sa bouche avant d'éventuellement se donner l'autorisation de l'ouvrir. Et donc le parcours jusqu'à la chambre se déroula dans un parfait silence. Une pièce somme toute confortable, avec son grand lit où Krafton avait été jeté en travers comme un gros sac et son mobilier en bon état.
Toujours ce petit côté rustique mais, très franchement, j'apprécie le contexte~
Avec cette suite, Arxa se sentait gâtée !
Kaos quitta la pièce peu de temps avant que Krafton récupérasse conscience ; nouvel étonnement de la part de l'Ingénieuse : le bougre s'était remis de cette baffe monumentale beaucoup plus vite qu'elle l'avait escompté. Arxa Cheelks cessa aussitôt de lorgner sur son entrejambe.
Juliette, quant à elle, ne se sentait PAS DU TOUT à sa place.
Par mesure de sécurité, l'Ingénieuse aligna trois pas vers la droite. Pour prendre place devant la porte, au cas où la grande peau verte, dans un élan de panique, voudrait s'enfuir dans le couloir.
Krafton cracha une insulte envers l'absente qui avait eu la "bonté" de l'"installer" sur le lit. Ce à quoi Arxa répondit d'un ton détaché :

- Ton langage, mon poulet. Prends-y garde : pour peu et il risquerait de nuire à tes autres charmes...

Mais la querelle entre la travailleuse désireuse de défendre l'honneur de sa collègue et le puissant guerrier macho se poursuivait. La première, pour ne pas changer, tentait de se trouver des excuses pour s'éclipser, ne serait-ce que pour un pauvre instant de répit, comme un fantôme.
Arxa Cheelks, forte d'une certain empathie, vint lui prendre délicatement la main - et quelle paluche, nom de dieu ! - avant de lui glisser ces mots :

- Si tu veux mon avis, boire davantage ne serait pas une très bonne idée. Et puis n'as-tu pas remarqué ? (Du geste du menton, elle indiqua le guerrier.) J'ai comme l'impression que les brusqueries de Kaos lui ont remis les idées en place. Ce qui signifie que nous allons pouvoir continuer à nous amuser avec lui. Et quand je dis nous...

Son regard, tourné vers Juliette, pétillait de malice. Elle déposa sa main libre sur l'avant-bras épais de la serveuse, le caressant avec tendresse.

- C'est toi.

De cette même main, Arxa Cheelks passa à sa propre poitrine, qu'elle libéra et de sa cravate et des pans de son manteau.

- Et moi~

Ouaip ! C'est toutes les deux qu'elles allaient se le farcir, ce gros poulet.
D'une poussée de la main dans le bas du dos, la hobgobeline encouragea Juliette Karnage à se rapprocher du lit.
En chemin, l'Ingénieuse fit choir son sombre manteau de ses maigres épaules. Sur elle ne restaient plus que la cravate à col blanc, son porte jarretelle et sa petite culotte en dentelle noirs.

- Oh ! peu importe les fanfaronnades de notre graaaand guerrier que la redoutable Kaos a mis KO d'un seul coup de queue. Nous allons bien nous occuper de lui, Juju, tu vas voir~

Langue tirée, la hobgobeline se glissa derrière la géante peau verte et...

- Commençons par réchauffer l'atmosphère avec un spectacle exorbitant !

...retroussa les triangles de tissu noir qui dissimulaient ses mamelons. De quoi offrir une vue privilégiée à ce cher Krafton !
Deux peaux vertes. Une petite et une plus imposante. Côte à côte, la poitrine à l'air.
Le début d'un grand show privé, pour ainsi dire !

- Juliette ? Interdit de rebrousser chemin. Cela fait aussi partie de tes responsabilités, après tout ! Tu ne voudrais pas faire de la peine à la Petite Déesse, tout de même ? Parce qu'elle croit en toi, ma bonne amie ! Et moi aussi, je te signale.

Après avoir tenté de lui faire avaler la pilule, l'Ingénieuse reprit aussitôt les commandes :

- Krafton, fais-nous le plaisir de t'étendre sur le dos, tu veux ? Juju, je vais avoir besoin de toi pour lui arracher son pagne. Parce que j'ai beau voir la bosse qui se cache en dessous, son gros bout, lui, reste inaccessible. Et ça, c'est foutrement frustrant !

D'un index sentencieux, elle ajouta à l'adresse du premier :

- Et toi, mon poulet, tu laisses ce petit plaisir à la gent féminine, tu m'entends ?! Tu te serviras de tes grosses mains plus tard. A savoir : quand je ne serais plus en état de te dire ce que tu dois faire. C'est vu ?

Puis elle se tourna vers Juliette et, d'un geste galant, lui dit avec un sourire triomphant :

- A toi l'honneur, ma Juju~

Et alors, une fois que l'épée de labour du mâle serait déployée au grand jour, Arxa jouerait habilement de ses dix doigts. Elle n'avait pas peur des objets volumineux. Surtout s'ils étaient de forme cylindrique.

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 17 janv. 2025 09:49
par La Taverne
« NON MAIS OH ! Ça ne va pas ?! Depuis quand on commence à travailler quelques minutes après minuit ? C’est écrit dans les clauses de mon contrat le fait de travailler à des heures pas possibles ? Qu’on me laisse flemmarder sous ma couette. Bien que je ne sois qu’une voix invisible, j’ai moi aussi le droit de chercher refuge dans la chaleur ! »
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Image
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« Oui, bon, d’accord. Si c’est pour l’amour des lettres et des rondeurs de… de lettres. Hmm ? Comment cela je fais acte de répétition ? Vous mettez en doute mon professionnalisme ? Mais qui vous dit que je suis un homme pensant avec autre chose que son cerveau ? Je ne suis qu’une voix invisible ! Quoi, le Narrateur ? Vous n’appelez pas les femmes également Docteur sur votre monde. Bon, voilà ! Et puis ne me cherchez pas avec, comme quoi, la Arxa est une femme et est prête à se faire bulldozer son petit corps par la Juju. Oui, oui, je perds mon langage. Miss Cheelks et Juliette. Non mais sérieusement, il est tard !

Et OUI, les peaux vertes sont très « appétissantes ». Pour rester poli. »
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ImageJuliette : « Qu-qu-quoi ?! M-m-m-mais n-n-nooOOon ! »
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« Bien évidemment, la « terrible » orc ne peut pas se faire dominer par la plus petite de leur trio. Et c’est en mentionnant la taille que je puis faire une transition avec la Petite Déesse. L’évoquer dans la bouche de Miss Cheelks la faire s’arrêter de taire. Et donc de bégayer telle une sulfateuse enfiévrée. Ses yeux s’agrandissent. Sa masse grise se met sérieusement en action. Elle ne veut pas décevoir Hestia ! Alors… »
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ImageKrafton : « Alors… »
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« Les deux mains maintenant derrière sa tête, Krafton joue avec différents muscules de son corps. Certes, il aura esquissé une grimace de douleur à cause de la bosse laissée par Kaos. Petite parenthèse rapide, savez-vous à quel point il existe des images de notre Kaos ? C’est impressionnant. Tant de poses. Tant de situations. De quoi en faire un personnage principal ! Et ce, pouvant autant évoluer dans une époque médiévaliste, contemporaine (à vous) ou même jeux-vidéo « ïenne ». Mais refermons cette parenthèse. Elle n’est pas présente. (elle pourrait l’être bientôt !). Et nous devons souiller la « pauvre petite Juju »… Mouah ah ah ! Pardon. Pardonnez-moi. Il se fait tard, vraiment. Je ne devrais pas travailler à cette heure propice aux rituels du Malin, par exemple. »
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ImageJuliette : « Si-si c’est pour notre Pe-petite Déesse. A-a-alors… »
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« Lentement, les grosses mains de l’orc quittent son opulente poitrine qu’elle avait cachée derechef. De magnifiques tétons apparaissent alors. Un œil averti y découvrira les cicatrices de perçage. En effet, dans un temps où l’orc était davantage « bestial », cette dernière menait une vie de débauche qui aurait surement plu à notre hobgobeline. Mais aujourd’hui, la dame verte a des soucis. Si ce n’est carrément des traumatismes.

Pendant ce temps, Krafton joue avec les muscles de ses pectoraux. Capable de bouger l’un sans l’autre. L’un après l’autre. Mais ce qui l’amuse réellement, c’est de faire soulever son pagne en agissant sur sa verge. Surtout qu’il voit bien que la grande gourdasse, (selon ses pensées aviaires, non les miennes !) pose régulièrement ses yeux sur son gourdin immaculé. »
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ImageKrafton : « Il va falloir que je l’aide ou… comment ça se passe ? »
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« Les mains nerveuses, Juliette se met à l’ouvrage. Ses doigts parviennent, après quelques difficultés, à venir à bout du complexe système de cordages et de différentes épaisseurs de tissus. Et d’un seul coup est brandit le glaive. (peut-être bien que la fameuse épée du Héros n’est donc qu’une allégorie d’un sexe ? Non. Bien sur que non. C’est une réelle épée. Avec quasiment 100% de chance qu’elle soit futuriste. Mais il fallait bien replacer la fameuse Chambre du Héros pour continuer d’alimenter sa légende).

Le sexe de Krafton est impressionnant. A l’image de notre monde et de ce que vous pouvez y voir sur certains de vos grimoires magiques (oui je parle d’ordinateur ! Laissez-moi romancer un peu les choses, crédidiou !), il est comparable à la verge des hommes noirs. Et si le bonhomme est plutôt du genre rustre et plumé, son engin est blanc, lisse et immaculé. »
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ImageKrafton : « Ah ah ah ! Attention de ne pas te faire assommer avec, ma mignonne. Merde alors ! T’es tellement gourde que je n’arrive pas à savoir si tu m’énerves ou si je trouve ça charmant. Peut-être que tu devrais laisser ta- Waouh ! La petite dame ne perd pas de temps. Elle sait se servir de ses dix doigts. »
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« Toujours à genou à côté du lit, Juliette observera avec grande attention le travail de Miss Cheelks. Hypnotisée pourrait-on dire. Mais elle ne passera pas à l’acte. Est-elle frigide ? Dépourvue de toute envie libidineuse ? Pas du tout. Il n’y a qu’à voir la raideur de ses gros tétons. Ce qui permet également d’exhiber à nouveau des cicatrices qui ne demanderaient pas de très gros efforts pour revenir y passer un anneau. Non, parlons plutôt de bijou pour rester dans des termes qui n’évoque pas une notion de douleur. Mais une notion de beauté.

Bon, sinon, c’est bon ? On peut arrêter là pour le moment ? Une bonne demi-heure de boulot IRL après minuit. C’est pas mal, oui ? Moi je dis que oui. Alors pause. On reprend dans quelques heures après que chacun ait fait dodo. On discutera des autres protagonistes. Et on pourra aussi esquisser davantage de manœuvres dans cette chambre. Ou ajouter un autre acteur. Ou peut-être simplement évoquer un voyeur ? Un habitant ou créature lié aux Chambres pour faire grossir le lore de ce compte/environnement. Voilà, des idées il y en a. Mais là, moi je retourne sous la couette. Et qu’on ose rompre mon contrat (inexistant) ! »
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(pause dodo, donc)


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« Petit café matinal. Oh ! Vous êtes déjà aux aguets ? Vous m’avez surpris : ah ah ! Vous voulez une suite ? Entendu, mais cela ne pourra pas concerner Miss Cheelks. Ses petites mains vertes s’occupent d’un bâton de chair couleur œuf. Par contre, étant donné que nous nous trouvons dans les Chambres, nous pourrions aller en visiter une autre. Nous pourrions également passer via Marbra Vie3 et Petite Tombe. Mais nous ne les dérangerons pas maintenant. Pour rester dans la même ambiance, observons par le trou de la serrure ce qui est en train de se dérouler avec Linette et son fidèle KalkaiRe. »
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ImageLinette : « Mon Kalkaire en a quand même une très grosse ! ♪ »

ImageKalkaire : « KalkaiRre veut pas faiRre des maux à Linette. »

ImageLinette : « Mais non, mon gros idiot. Ne t’inquiète pas pour moi. ♪ »
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« Alors… comment évoquer ce sujet, disons, « volumineux » ? Certes, nous sommes dans un monde où les choses les plus incroyables peuvent se produire. Les proportions impossibles de cet établissement par exemple. L’existence d’un petit esprit de flammes pouvant être partout à la fois comme une déesse. La liste est longue. Potentiellement infinie. Mais ce qui nous intéresse présentement, ce sont les anatomies de la bardesse et de son troll de compagnie. Lorsque la circonférence de la verge de Kalkaire est plus ou moins égale au tour de taille de Linette, nous ne pouvons pas penser à une session plaisante de sexe. Tout du moins, j’ai davantage l’image en tête d’une arme défonçant tout. Et pas dans un sens sexuel accompagné de plaisir. Dans un sens défonçage de porte au bélier médiéval. Ou encore un corps sectionné, déformé, ensanglanté avec des viscères pendant après un forçage trollesque. »
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Image
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« Oui… Oui, effectivement, tout cela nous emmène loin d’une atmosphère joviale comme ce duo a pu nous le prouver jusqu’à maintenant. Ce qui conduit à une question. Cette jolie bardesse aux cheveux longs, debout, son petit ventre plat collé contre l’enbonpoint de son compagnon. Notre Linette aux cuisses ouvertes se frottant sur ce qui pourrait avoir la taille tout à fait respectable d’un arbre. Oh ! Le petit oiseau m’a surpris ! C’est qu’il y a de la vie dans les buissons de ce fier protecteur. Buisson autour du cou tel une écharpe. Mais buisson également à la base de sa verge (heureusement !) au repos. Parlons plutôt d’une belle demi-molle. Et… effectivement, je parle et je parle. Et je n’évoque toujours pas la question. La voici : comment Linette pourrait accueillir en elle le membre ? Ce n’est pas tout d’être nudiste et potentiellement nymphomane. Encore faut-il en avoir les capacités physiques. Peut-être que nous pourrions avoir la réponse lors de la lecture de la prochaine réponse ? A savoir que ce n’est pas le Narrateur qui vous apporterait la réponse ? »
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ImageLinette : « Mon idiot à moi. Tu vois ce que je suis en train de faire ? ♪ »

ImageKalkaire : « Linette fait voiRr ses jolies fesses à moi. »

ImageLinette : « Pas seulement. Mes doigts mouillés disparaissent dans mon trou magique. Et… ? ♪ »

ImageKalkaire : « Oh ! Linette veut que mon gRros doigt dispaRraisse aussi ? »
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« Voici une solution tout à fait convenable pour le moment. Un doigtage en règle. Et quelle largeur de doigt, mes aieux ! Mais n’ayez crainte. Malgré les proportions imposantes de Kalkaire, la créature est incapable de faire le moindre mal à la jeune femme. Voyez comme il prend d’infinis précautions. L’avantage ? Cela ressemble à une douce torture pour Linette qui gesticule des reins sur l’extrémité du doigt. Voyez comme elle va d’avant en arrière pour essayer d’embrasser de ses lèvres inférieures. Un couple atypique mais, aussi bizarre que cela puisse paraitre, très mignon. »
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ImageCandy : « Coucou, mes loulous ! ♥ »
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« Est-ce que tout le monde a entendu mon profond soupir à l’interruption de cette voix caramélisée ? »
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ImageCandy : « Bien sur que non. Tu es une voix invisible. »

ImageMaggot : « Pourquoi est-ce que tu l’embêtes. Encore. On est pas bien autour de la table avec nos choppes de bière ? »

ImageCandy : « Ah bah si ! Mais bon, ce n’est pas tous les jours qu’on a droit à pareille dramaturgie ! La cousine qui part avec un poulet-barbare et une orc-serveuse ? Juste à côté d’une chambre où notre Linette trouve des solutions pour briser les lois de la physique avec le sexe énorme de Kalkaire ? Et attention ! Je ne l’ai jamais vu pleinement bander ! Vous imaginez la taille du monstre ? »

ImageMaggot : « Je préfère pas. Ce n’est plus du sexe. Ce serait une arme de destruction massive. »

ImageCandy : « Toi tu t’en fiches, tu as ton Choco si jamais tu as des besoins de largesse. »

ImageChoco : « Mais- ! Fe ne fuis pas… »

ImageMaggot : « Chut. N’essaie pas de rentrer dans son petit jeu, mon petit troll bleu. »
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« Candy pointe un doigt impérieux sur sa sœur de race. »
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ImageCandy : « Ah ! Tu vois que tu l’aimes bien. Va falloir que tu arrêtes avec ce petit jeu et que tu avoues tes sentiments un jour ou l’autre ! »

ImageMaggot : « MAIS TU VAS LA FERMER, OUI ! Et qu’est-ce que tu voulais dire au début ? Tu ne voulais pas ramener l’attention sur la cartographe et le trio à la hyène, hein ? »

ImageCandy : « Hum… Ah oui ! Mais je t’aime beaucoup trop. J’aime aussi beaucoup t’embêter. Et tu es toujours aussi sensible quand il s’agit du terrible Sho’Gun : hi hi ! ♥ »
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« Je vais profiter de cette opportunité pour reprendre la parole. Les gobelins… Une engeance conjuguée à toutes les saveurs. Parfois véritable créature insignifiante permettant aux héros de se faire de l’expérience. Parfois créatures vicieuses capables de trésors et donnant bas à une œuvre en noir et blanc. Mais notre genre à nous est du genre hyperactif à briser autant le quatrième mur que les couil-… Excusez-moi. J’ai manqué être vulgaire. »
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ImageClochette : « Il faut que j’aille faire pipi, Blondie. »

ImageBlondie : « Et alors ! »
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« La blonde barbare était toujours avachie contre le rebord de la table, les jambes allongées devant elle, à regarder tout ce qui se tramait à la table des deux gobelines. »
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ImageClochette : « Je ne veux pas y aller toute seule. Tu crois vraiment que je suis en état de me perdre là-bas ? »

ImageBlondie : (soupir…) « Tu es déjà alcoolisée à ce point ? Tu sais pourtant que la Taverne mets en garde contre ce genre de dérive. Ce n’est pas pour rien que, HEY ! »
.
« La petite grande fée s’était relevée et avait manqué de chuter dans les douves infinies. Heureusement, le reste de son équipe était venu à sa rescousse. La hyène ayant pris dans sa gueule son tutu vert. Sans le déchirer, noter la prouesse ! Et la blonde barbare l’avait rattrapé par le poignet. Ce n’est qu’une fois saine et sauve que ses ailes commencèrent à battre la cadence. Ses pieds s’envolèrent de seulement quelques centimètres au-dessus du sol. »
.
ImageBlondie : « T’es chiante quand tu t’y mets. C’est censé être toi la plus maline de nous deux. »

ImageClochette : « Gnagnagna. Avec l’intellect vient les problèmes. Tu peux pas comprendre, sale barba-… Mais AIEeuh. »

ImageBlondie : « Tu m’agites les ovaires, là ! Viens par là, toi. »

ImageHyène : « Hi hi hi ! »

ImageBlondie : « Si y’a des intéressés pour faire un groupe, c’est maintenant ou jamais ! »
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« Un appel à l’aventure : magnifique ! Certes, il n’est pas question de donjon ou encore de château démoniaque. Mais cette fin de travail pour moi se solde tout de même avec un appel à l’aventure. Une opportunité que va manquer notre Miss Cheelks. Qui est prêt à parier qu’elle s’en voudra de ne pas être ici et ailleurs à la fois ? »

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 17 janv. 2025 18:07
par Arxa Cheelks
Le petit numéro tout en muscles de Krafton attisait le désir de la plus petite peau verte ! Deux masses humanoïdes rien que pour elle, regroupées avec elle dans cette même pièce... la Taverne lui avait réservé un moment particulièrement gourmand - et, pour le moment, sans avoir à débourser un kopeck.
Seul bémol ? Juju a du mal à se lancer. Elle ne doit pas l'avoir fait depuis trop longtemps ! La mission d'Hestia s'annonce un petit peu plus compliquée que prévu...
Elle cessa donc de la brusquer. Hors de question de bousculer pareille force de la nature au risque de se recevoir une mandale de titan en travers des chicots ! Arxa Cheelks tenait à ses dents, blanches et dénuées de caries. Elle jugea plus prudent de contempler le roulis musculaire de cette statue grecque barbue dotée d'une crête rouge et d'un joli bec.

- Au moins, la vue est à croquer~

Juliette Karnage finit malgré tout par défaire le fourreau du robuste guerrier, libérant son glorieux vit sous les yeux pétillants d'une hobgobeline indubitablement en chaleur. Ses petites - mais habiles, attention ! - mains jointes collées contre sa joue, l'Ingénieuse s'exclama gaiement :

- Joli travail, Juju ! Fais-moi un peu de place, veux-tu ? Notre bon compagnon a suffisamment attendu comme ça. Il serait malavisé de le laisser s'amollir~

Inutile d'administrer un coup d'épaule à cette adorable bègue ! Arxa se glissa tout contre son flanc musclé, son épaule quasiment pressée contre une de ses impressionnantes rondeurs mammaires. Elle lui adressa d'ailleurs un clin d'œil complice couplé d'un adorable petit sourire malin.

- Observe et apprends, ma grande et délicieuse amie !

En toute délicatesse, ses dix doigts vert vinrent se poser sur la fusée du coq bien charpenté. Sans surprise aucune, l'Ingénieuse la sentait prête à décoller ! Elle se pourlécha les lèvres avec appétit.
Comme il est doux, notre engin !
Oui : elle continuait à s'en extasier. Ce qui, parallèlement, n'empêchait point ses phalanges d'opérer sur toute sa longueur. Pour le plus grand plaisir de Krafton, Arxa en accentuait bien volontiers la raideur. Des mouvements de va-et-vient effectués entre le cercle formé par ses doigts menus. Aucunement incommodée par son gabarit, la hobgobeline se posait vaguement la question si elle parviendrait seulement à le gober.
Dans mon état, je suis carrément prête à tenter ma chance~
Devait-elle maudire Tire-la-langue pour cet affront ? Aaaabsolument pas !
Toute sourire, la peau verte joueuse s'amusait à tapoter la tête rose de cette matraque contre le matelas improvisé de sa joue qu'elle avait gonflé d'un côté. Entretemps, elle avait descendu les deux mains plus bas, histoire de stimuler les gonades du rustaud.

- Je suis très curieuse, mon brave, d'apprendre de ton bec vulgaire quelle position sexuelle te conviendrait le mieux avec un poids plume comme moi ?

Autant pimenter cette partie de jambes en l'air en y ajoutant une contrainte masculine ! Ce n'est pas comme si son membre de poney n'était pas suffisamment imposant pour sa pomme, hein...
N'espérez pas me faire reculer de sitôt, les coincés du cul !
Cessant de se "flageller" le visage avec le vigoureux gourdin, Arxa tourna la tête vers son amie Juju.

- Maintenant, je veux que tu ressentes~

Fermant les yeux, l'Ingénieuse tendit le cou vers son sein le plus proche. A l'extrémité de cette pastèque affleurait un mamelon rigidifié par les circonstances. Arxa se mit à le suçoter comme un poupon tandis que ses doigts tordaient sensuellement la trique du barbare à crête.
Oh ! Rien que de s'adonner à cette double pratique la faisait mouiller dans sa petite culotte noire~
Et bien sûr, la charmante créature exagérait avec les bruits de bouche. Toujours de quoi ajouter davantage de combustible à cette ambiance particulièrement torride !

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 01 févr. 2025 10:23
par La Taverne
« Ne faites pas attention à toute l’agitation ! Je ne suis pas du tout en train de courir dans tous les sens pour rattraper la masse de RPs qui s’est empilé lors de ses dernières semaines ! Semaine, bon sang de bon sang ! Quelle perte de contrôle, mes aieux ! AH ! Et voilà qu’une idée me revient. Au sujet de la frustration de notre Miss Cheelks à ne pas pouvoir interagir avec le menu plus que gourmand que propose la Taverne ! Mais- Ah à nouveau ! C’est qu’il faudrait que je relise son dernier message. Oh, il ne sera pas bien consistant. Tout du moins, ma réponse ne la sera pas si je devais me borner qu’à celle-ci. Après tout, nous sommes entrés dans une phase de coït, oui ? Pour simplifier, ça se bornerait presque à une pénétration, un cri de jouissance et un peu de bazar à nettoyer et… oui, c’est réducteur. Et oui ! Je dois toujours aller lire cette réponse. Quel Chaos, mes aieux ! Mais quel Chaos (créatif) ! »
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ImageKrafton : « Je fais pas dans l’artistique, moi. Une bonne levrette bien efficace. Voilà comment je vais te secouer ! »
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« Bien que pour le moment, le puissant poulet-barbare restait confortablement allongé, se laissant masturber la verge sans donner signe d’éjaculation à venir. Un probable très bon signe pour Miss Cheelks qui ne souhaitait surement pas un sprinteur qui la laisserait inassouvie. Mais il était bon de s’intéresser davantage à notre Juliette. Cette dernière n’avait pas bougé, toujours agenouillée au bord du lit. Ce qui avait changé, c’était une respiration qu’elle essayait tant bien que mal de contrôler. Mais le rythme était trop puissant, trop accéléré pour réussir à ne pas faire une démonstration de dilatation de son nez. En somme, une exhibition de son côté orc. Cette facette sauvage de sa personnalité n’était pas enterrée si loin que cela. »
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ImageJuliette : « Tu… Tu ne d-devrais pas continuer à… m-me faire ça… »
.
« Oh ! Mais elle ne souffrait pas notre serveuse à peau verte. Bien au contraire. Les lèvres de Miss Cheelks combinées à son jeu de langue avait un effet indéniable sur le téton en question. Aussi dur que la verge de leur compagnon Krafton. Une poitrine qui était un parfait miroir de l’augmentation de sa cadence respiratoire. Miroir également de sa libido encagée qui semblait vouloir sortir le plus rapidement possible ! Mais alors, me direz-vous, qui était la geolière de ce désir cadenassé ? Juliette elle-même, pardi ! »
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ImageJuliette : « J-je ne veux pas te faire du mal… »
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« Ses lèvres s’ourlèrent pour exhiber ses crocs. Le bout de sa langue sortit de sa prison noire et humide pour revenir à l’intérieur de sa bouche. Sa main droite se contractait nerveusement. Notre Juliette n’avait d’yeux que pour Miss Cheelks. »
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ImageKrafton : « Vous savez, si vous voulez vous gouiner devant moi, ça me va aussi. C’est très excitant votre manège à toutes le deux. »
.
« D’un coup d’un seul ! Notre Juliette ceintura de sa grosse pogne le cou délicat de la hobgobeline. Cette dernière fut tirée contre sa volonté de l’emprise de la gravité. Pour finalement rebondir sur le matelas. A peine le temps de réaliser la sauvage manœuvre qu’une ombre verte gigantesque l’oppressait. Et c’était maintenant son petit sein qui était sous le carcan d’une main puissante. »
.
ImageJuliette : « Je t’aurai prévenu. »
.
« Aucun bégaiement. L’orc était tant excité que son défaut d’élocution s’en était allé. Ce n’était pas un phénomène nouveau. Des personnes handicapées pouvant se transformer, se magnifier lors de la réalisation d’un art ou d’un autre. Des tremblements handicapants dans la vie disparaissant pour laisser résonner une symphonie au piano. Mais trêve de fait divers musical. Notre Juliette transformée, respirant fort, et se maîtrisant à peine fit deux choses. Maltraiter le petit sein de notre Miss Cheelks. L’objectif n’était pas de faire mal. Mais une certaine brusquerie doublée d’impatience pouvait masquer l’ambition de donner du bien. Quant à la deuxième chose, elle priva la petite amante de sa capacité à parler. Sa bouche disparaissant sous le baiser d’un ogre en rut. »
.
ImageKrafton : « La vache ! Je ne suis pas prêt de débander avec vous deux, mes jolies ! »
.
« Hum ? J’aurai oublié une chose ? Ah oui, l’impossibilité physique de notre Miss Cheelks a accéder à une capacité d’ubiquité. Mais nous laisserons cela à une réponse ultérieure. L’idée étant peut-être de piéger une partie de l’âme de Miss Cheelks qui se sera décorporé suite à une jouissance pour finalement intégrer la structure impossible et magique de la Taverne. En somme, lui donner les clés du bâtiment de manière à voyager à la manière de notre Petite Déesse. Mais pour le moment, nous laisserons cette possibilité narrative de côté. »

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 01 févr. 2025 20:21
par Arxa Cheelks
Une levrette pour le puissant Krafton ? Rien de bien original mais qui ne saurait sonner mauvais aux oreilles de l'Ingénieuse ! Elle était tout à fait prête à se faire défoncer par cette brute épaisse. Elle et il avaient suffisamment attendu pour s'adonner sans retenue à des ébats de ce genre, non ? Oh ! rien que le fait de s'imaginer à quatre pattes devant le coq fit soupirer la hobgobeline, que l'emprise de la sucette n'avait toujours pas lâchée.

- Demande enregistrée, siffla-t-elle non sans agiter son manche avec ferveur. J'ai hâte de sentir tes gros doigts se refermer autour de mes hanches, mon grand poulet~

A sa déclaration, elle ajouta le mouvement. Le roulement de son derrière rebondi qui, au bout de la courbe de son échine, illustrait bien son irrépressible désir de lui en donner pour son argent.
Mais le cas de Juliette n'était pas non plus à négliger ! Comme en témoignait l'attention humide d'Arxa au bout d'un téton de l'orque, si gros qu'elle avait presque l'impression, quand il fut ressorti, d'aspirer l'extrémité d'un membre masculin.
La mince peau verte souriait en coin.
Ne pas continuer ? Alors que cela suffit à lui chauffer les entrailles ?
Elle continua, bien évidemment !
Peu lui importaient les risques, à celle-là, tant qu'elle se régalait sur cette énorme poitrine.
Afin de répondre à son ultime avertissement, Arxa, qui agitait toujours le vit de Krafton avec ses mains expertes, interrompit sa sucette au bénéfice de quelques léchouilles bien ciblées. Ce mamelon, elle s'amusait à le souligner de sa salive.
Cette expression sauvage qu'arborait la serveuse n'intimida point l'affairée.

- Ecarte-moi de ton espace vital si tu l'oses, Juju~

Mais les intentions de l'orque, à son égard, étaient tout autre ; d'une poigne de fer, Juliette Karnage - dont le nom, jusqu'ici, au sein de la Taverne, n'avait jamais été autant mérité - l'attrapa par le cou. Arxa Cheelks, les yeux ronds de surprise, fut soulevée de terre comme si elle ne pesait rien avant de basculer sur le matelas, juste à côté de Krafton pour qui le mât lui avait échappé des mains.

- Kof-kof !

Un œil fermé et passablement larmoyant, une main posée à la base de sa gorge, l'Ingénieuse, qui n'avait plus l'air si intelligente que ça, fixa cette ombre massive qui la surplombait.
J'ai presque l'impression d'avoir fait une bêtise.
Elle toussa une deuxième fois - de façon plus légère - mais à aucun moment n'entreprit de se redresser. Ce qui aurait été inutile étant donné qu'une grosse paluche de l'orque s'était écrasée sur un de ses seins, le recouvrant sans peine.

- Aaah ! ♥

Une prédatrice : voilà ce qu'elle était devenue, sa "Juju" !
La petite maso se réjouissait de cette transformation bestiale. C'était comme si l'orque se débridait, déployant une puissance trop longtemps scellée. Arxa eut même le sentiment idiot d'avoir créé quelque chose de beau et de puissant. Avec le pétrissage de son sein, elle renouvela ses gémissements.
Sous sa puissante paume, nul doute que Juliette Karnage la sentit pointer.

- Fais-moi m-Hrmmmn~

Elle n'était plus en position d'ordonner. Sa brûlante partenaire avait pris sa bouche en otage, enfournant sa langue de bœuf à l'intérieur ! Arxa répondit à ce baiser, mais il n'y avait pas à se leurrer quant à la conquête de l'oque sur son territoire buccal. Juliette était tout simplement en train de la bouffer. Ce qui excitait autant Krafton, dont les commentaires salaces ajoutaient toujours plus de combustible dans le ventre de celle qu'il avait prévu de prendre comme une chienne.
Finissant par manquer d'air - juste avant le baiser, elle avait été soulevée par le cou comme un vulgaire poulet, tout de même ! -, la hobgobeline tapota à plusieurs reprises les larges dorsaux de la dévoreuse. Elle dut carrément tambouriner dessus. Geste qui, fort heureusement, porta ses fruits : l'orque se départant de sa bouche grande ouverte sur un épais filet de leur salive.
Arxa avala une bonne goulée d'air avant de lâcher d'une traite :

- ...Tu penses pouvoir faire pareil avec ma chatte, grande sauvage ?

Ha ! La petite timbrée en demandait plus ? Son regarde fébril transitait le besoin de satisfaire ses pulsions les plus primitives. De toute évidence, l'orque n'était pas la seule dans son cas. Même si la façon que les deux femmes avaient de se comporter n'était pas identique. La hobgobeline prit la tête de Juliette entre ses mains et, d'une poussée des hanches, glissa sur le matelas avec son dos comme pour s'éloigner d'elle.
Ce n'était pas du tout le cas.
Lorsque son bassin étroit arriva à hauteur du buste de la colossale peau verte, Arxa écarta les jambes et fit passer ses mollets de chaque côté de son cou massif. Juliette n'avait qu'à baisser les yeux pour sombrer définitivement dans la luxure.

- Broute-moi le minou !

Puis elle tourna sa bouille de fripouille vers Krafton.

- Et toi ? Tu comptes te la tirer dans ton coin pendant qu'elle me baise avec sa langue ? Pff ! Ne sois pas stupide et tends moi ta grosse queue, que je remplace la sucette d'Aleister comme il se doit !

Il est bon que constater que, malgré le douloureux rapport de force, Arxa n'avait rien perdu de son aplomb.

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 08 févr. 2025 16:25
par La Taverne
« Euh…

Cessez de faire des allers-retours entre la situation de Miss Cheelks et ce paquet de mouchoirs jetables ! »
.
ImageJuliette : « Elle est à moi ! »
.
« Bienheureuse brute épaisse qui me sert de distraction et vous éloigne de ce que je faisais ou aurait pu faire. Permettez-moi de tousser d’inconfort et de manque de crédibilité… »
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ImageKrafton : « Qu’est-ce que tu racontes, maintenant ? »

ImageJuliette : « C’est ma proie. C’est ma chatte. Et c’est ma bouche. »

ImageKrafton : « Tu es sérieuse, toi ? Oh ! Nous ne sommes pas des animaux qui marquent notre territoire en répandant notre salive. »

ImageJuliette : « Ah oui ? »
.
« Le ton montait entre les deux dominants. Et pendant ce temps, Miss Cheelks, les jambes entourées autour du cou de la peau verte, devaient prendre son mal en patience. Enfin, plutôt son plaisir en patience. Quand l’expression est mal adaptée, votre Narrateur remédie à la situation.

Mais déjà les bruits de succion retournent votre attention sur ce lit fort bien rempli. Un bras vert ceintura la hobgobeline contre les seins plantureux de l’orc. De l’autre, sa main appuyait sur son ventre. Ou elle venait se caler sous la tête de sa victime pour la soutenir. Mais surtout, le sexe de Miss Cheelks était léché d’une façon animale. Au vu la Salle Principale de la Taverne si proches des Chambres, je m’aventurerais à comparer le bruit du cunnilingus à celui d’une personne avalant bruyamment des spaghettis à la bolognaise. »
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ImageJuliette : « Voilà. Ma propriété. »

ImageKrafton : « Attends. Quoi ? Tu crois que parce tu as laissé tout ton jus sur son fruit, je vais soudainement m’envoler ailleurs ? »

ImageJuliette : « Elle est à MOI, J’AI DIT ! »
.
« D’une solide frappe de paume verte, Krafton était venu rebondir sur l’épais matelas. Il n’en avait pas perdu sa trique. Une monstrueuse s’il fallait rappellait la différence de gabarit entre le poulet-barbare et la demoiselle provenant du futur. Serait-ce le moment opportun pour faire un bref rappel de la Chambre du Héros ? Non. Vous avez raison. Ne mélangeons donc pas coït et quête.

Et voilà déjà que la langue épaisse et excitée de l’orc retournait fouiner, lécher chaque paroi intime, conquérir chaque point de plaisir de sa force brute et contenue depuis si longtemps. Etait-ce pour ce manque total de contrôle de soi que Juliette se retenait ? Une personnalité si intense que son exutoire s’était vu sous la forme d’un bégaiement. Comment ? Ce n’est non plus le moment idéal pour laisser ici et là une pointe freudienne ? Entendu. »
.
ImageLinette : « Dites, je dérange ? ♪ »
.
« La bardesse à domicile fixe avait toqué, certes, mais n’avait pas attendu de réponse pour entrer. Bien entendu, nue elle était sur l’estrade. Nue elle se trouvait toujours vêtue pour découvrir un étrange ménage à trois. Dans son dos se trouvait Kalkaire qui ne présentait pas une érection durcie. Toutefois, son buisson de feuilles ne dissimulait pas une demi-molle qui ne pouvait entrer sans dommage dans sa bardesse attitrée. Pas plus qu’elle ne le pourrait chez notre Miss Cheelks. Comment ? Pourquoi cette intervention alors que la masochiste verte était sur le point, enfin, d’être contentée ? Mais pour sa santé physique, pardi ! »
.
ImageLinette : « Disons que je vous ai entendu et que je n’ai pu faire autrement que d’intervenir. Au vu des gabarits en présence, je vous propose de laisser monsieur satisfaire madame. Tandis que moi je vous ravis le petit gabarit libidineux à la sucette ? Cela convient à tout le monde ? ♫ »

ImageKalkaire : « KalkaiRe faiRe quoi ? »

ImageLinette : « Tu restes avec moi, bien entendu ! »

ImageKrafton : « HEY ! J’avais prévu de me la faire en levrette. C’est même elle qui en meurt d’envie. C’est encore ELLE qui s’est jetée dans la gueule de l’orc. Et vous voulez que-… »

ImageJuliette : « Que QUOI ? Tu as peur d’une femelle plus musclée que toi ? Tu as peur que ton sexe manque soudain de longueur pour me satisfaire ? »

ImageKrafton : « Elle va se calmer la bonne serveuse qui a fait vœu de chasteté ! J’en ai baisé des plus costaudes que toi. Je me suis déjà farcie une ogre figure-toi ! Ou une troll ?... Bref ! On s’en fout ! »
.
« Assez étrangement, l’orc et le poulet-barbare se faisait la cour. Etrange parade nuptiale à base de comparaisons de muscles et… oui oui… ah oui, tout de même ! Non, nous laisserons un pan de la vie passée (et sexuelle) de Juliette dans les limbes des entre mots. Quant à notre Miss Cheelks, par une manœuvre tout à fait subtile et en douceur de notre bardesse désignée à résidence, notre Miss Cheelks avait donc maintenant sa main enchevêtrée dans celle de Linette. Cette dernière ayant pour objectif de l’emmener dans sa chambre où elle avait fait quelques folies de son corps. Preuve en était de ses cuisses humidifiées.

Bien entendu, même avec un esprit altéré par une « sucrerie » de Tire-la-langue, Miss Cheelks détenait toujours son libre-arbitre. »
ImageJuliette : « Tu vois ! Ta queue je peux la prendre en bouche. La petite en aurait eu la mâchoire déboitée. »

ImageKrafton : « Et tu vas me faire croire que tu vas docilement t’agenouiller et lever le cul pour que je te prenne sans douceur ? »

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 10 févr. 2025 16:58
par Arxa Cheelks
Les deux brutes se chamaillaient. En les écoutant se bouffer le nez, Arxa en vint à croiser les bras sur sa poitrine et à jongler d'un regard ennuyé entre eux.

- Dites-le-moi tout de suite si je vous gêne, les tourtereaux !

Elle avait l'impression de voir une scène de ménage au sein d'un vieux couple.
Heureusement : si Krafton ne fut pas prompt à réagir, Juliette Karnage, elle, se fit fort de lui sucer le cœur de sa féminité ! Durant cet instant incroyable, Arxa crut que son vagin allait se retourner dans la bouche de la puissante affamée. Elle en avait même oublié de respirer !
J-j'ai vraiment affaire à du costaud, songea la hobgobeline, les joues en feu.
Cette fois-ci, elle ne ressentit aucune peine à laisser ses deux amants poursuivre leur dispute. Embrouille au cours de laquelle Krafton, bousculé par sa rivale, chut lourdement sur le matelas. Visiblement, il avait trouvé une guerrière à sa hauteur...
L'Ingénieuse subit un nouveau assaut qui la fit se cramponner à la chevelure rouge de l'orque et rouler des yeux au plafond. Jamais une femme ne lui avait bouffé l'entrejambe avec une telle énergie ! Si cela continuait ainsi, Juliette Karnage était bien partie pour lui siphonner jusqu'à ses neurones.

- Hrrrggllmmmn ! ♥ Oh ! Q-quel putain d'pied !

Dans son extase, elle n'entendit point que l'on frappait à la porte. Seule une apparition dans son champ de vision périphérique aiguilla sa fragile attention du côté de la porte qu'avait poussé la bardesse de la Taverne et son mastodonte de partenaire.

- Keskispass' ? bafouilla l'hobgobeline, plutôt abrutie par le violent cunnilingus de l'orque.

Arxa dut donc reporter TOUTE son attention sur le suivi des négociations de l'artiste pour comprendre le sens de sa proposition. En gros, au grand dam de Krafton qui tenait absolument à défoncer les petites fesses de celle qui l'avait allumé, Linette offrait une échappatoire de toute dernière minute à sa présumée future victime. Retraite stratégique couverte par une Juliette fermement décidée à montrer, par ses actes, que le grand coq, malgré son dard imposant, n'était point un rival à sa mesure.

- Mais... J'avais promis que...

Trop tard : l'orque guérie de son bégaiement et le présomptueux poulet barbare s'étaient lancés dans un nouvel échange acidulé.
Toute grimaçante, Arxa descendit du lit.

- Oh, et puis merde ! Qu'ils continuent donc à se prendre le bec comme des adolescents en rut, ces deux-là, pesta la hobgobeline.

Elle se taperait volontiers le ou la vainqueur. C'était de leur faute, après tout ! Incapables qu'ils étaient de se comporter comme des grands à table...
Arxa Cheelks avait accueilli sans mal la main douce de la bardesse qui, secondée par le grand Kalkaire, la tirait jusque dans sa chambre.
En chemin, elle ne put s'empêcher de descendre un regard en coin entre les gracieuses gambettes de sa compagne.

- Alors ? Vous jouiez à quoi, tous les deux, avant que les vociférations de mes rustauds partenaires parviennent à vos oreilles ?~

En parlant de ça, celles taillées en pointe légère de cette charmante elfe - ou demi-elfe ? - attiraient le regard de la rescapée.

- Ne me dis pas que tu es venue me repêcher sans arrière-pensée ! Sache, amie bardesse, que je vois parfaitement clair entre tes cuisses mouillées et que j'ai... oublié ma sucette dans la cage aux lions. (Elle porta sa main libre entres ses propres jambes tremblantes.) Fichue sucrerie ! Dans mon état, Il serait peu dire que j'ai grand besoin de compagnie. Pour combler ce manque, la tienne s'avère plus que bienvenue~

Arxa n'attendit pas son feu vert pour lui passer ses bras... verts ( hu hu~) autour du cou et l'attirer contre elle sur ce nouveau lit. Cette jolie bouche de chanteuse, la hobgobeline la vandalisa avec un appétit d'ogresse ! Disons que la brutalité de la serveuse l'avait quelque peu inspirée, pour le coup. Son intimité ruisselante ne s'en était pas encore remise. Linette pouvait d'ailleurs sentir ses cuisses collantes frotter contre les siennes.
Achevant leur savoureux baiser, Arxa put aussitôt reprendre la parole :

- Tu es quand même vachement culottée, l'artiste ! T'introduire dans notre chambre comme ça, au beau milieu de nos ébats, et me ravir à mes bêtes assoiffées de stupre... j'ai bien envie de te prouver que, même sans ton intervention, j'aurais pu les remettre à leur place. (Elle jeta un coup d'œil à Kalkaire.) Surveille la porte, rocher ambulant ! Je compte bien récompenser ta malapprise de copine pendant que tu fais le guet~

Tout en lui donnant cette consigne, l'Ingénieuse descendit une de ses mains baladeuses le long du bas-ventre de la bardesse. Elle la caressa délicatement, flattant sa vulve chaude et gonflée, avant de lui fourrer deux doigts joints.

- J'espère bien t'entendre chanter comme une adorable petite pie ♪

Elle ne se gêna pas pour la galocher à nouveau !

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 14 févr. 2025 10:12
par La Taverne
« C’était probablement un mal pour un bien, le fait que notre Miss Cheelks ait eu la tête tant siphonnée par l’orc momentanément guéri. Le sujet n’étant pas le cunnilingus mais bel et bien la perte de la sucette d’Aleister. La chaîne l’aliénant à la drogue était enfin rompue. Elle pouvait commencer à guérir et… oui, bien sur qu’on veut la voir embrasser notre bardesse ! Les imaginer sur le lit en position de ciseau ! Ou encore les voir toutes les deux tenter de comprendre à quel point le sexe de Kalkaire pouvait être long et épais ! Et- (tousse tousse). Pardonnez-moi. Parfois, il est bon se lâcher. Ce qu’il fallait retenir de cette première diatribe ? Miss Cheelks allait faire l’amour. Et elle serait ensuite suffisamment claire d’esprit pour retenir découvrir les mystères de la Taverne. »
.
ImageLinette : « Tu sembles insatiable, toi. Tu as réalisé que tu ne m’as pas laissé un instant pour te répondre à quoi que ce soit ? ♪ »
.
« Ah ! J’oubliais. Ce que je voulais écrire dans le premier paragraphe était le fait qu’il fallait que Miss Cheelks retrouve ses capacités cérébrales. Un tel jeu de mot sur la couleur verte ? Bien entendu, je ne suis pas critique et je n’ai aucune légitimité ni parchemins diplomant en ce sens. Mais tout de même. »
.
ImageKalkaire : « KalkaiRe suRveille Linette. Moi avoiR toi à l’œil. »

ImageLinette : « C’est mignon, mon Kalkaire, merci. Et elle ne voulait pas t’insulter en te nommant « rocher ambulant ». C’est à cause de l’encapuchonné à la langue qu’elle réagit comme ça. »

ImageKalkaire : « AleisteR mauvais. »
.
« Les doigts de la bardesse glissèrent sur le ventre de la hobgobeline. Elle prenait son temps et découvrait ce nouveau corps. C’était aussi une malicieuse façon de rendre nerveux ce petit corps. Linette était donc un petit peu plus grande qu’elle. Entre cette aspect purement physique et la clarté de son esprit, nous pourrions imager le fait que ce soit Linette qui tient les rênes de cette dynamique. Et bien entendu, vous visualisez à ce moment notre Miss Cheelks avec une laisse autour du cou. Peut-être même ce genre de baillon-bâton qui fait penser à l’attirail d’un cheval ?

Mais non. Linette ne verse pas dans ce genre de penchant. Totalement impudique. Totalement à l’aise avec son corps. Elle reste une grande romantique. Certes certes, la présence du golem révèle de l’insolite ! Mais Linette pourrait être traitée d’hippie dans un autre monde. Tout cela pour en venir où ? Déjà à un approfondissement de sa personnalité. Mais aussi de prolonger les préliminaires qui mettent le corps de notre Miss Cheelks aux abois. »
.
ImageLinette : « Je vais être sérieuse un instant seulement. Si la Taverne est magique, toi tu ne l’es pas. Crois-tu vraiment que ton corps aurait pu accepter celui de l’imposant Krafton ? Ce serait comme d’imaginer le titanesque attirait de Kalkaire en moi. C’est autorisé d’avoir des fantasmes. Mais il faut savoir ne pas franchir certaines limites. Maintenant, laisse-moi te prouver ce qu’une « simple femme de ta taille » peut te faire vivre. ♫ »
.
« L’imposant mais aussi bêta de Kalkaire se cacha les yeux derrière ces grosses pognes. Ce qui nous fera tous sourire sera de le voir écarter un peu les doigts pour voir au travers comme un enfant. Ce qu’il voit ? Une bardesse déposant des baisers ici et là. Un premier à la commissure des lèvres et non deçu. Joueuse, elle excite Miss Cheelks en ne se déposant pas directement sur ses lèvres qui réclament tant. Comme un poisson ouvrant la bouche à la recherche d’air. Ses baisers se déposant dans le creux de son cou. Maintenant sur une clavicule. A la base d’un sein. Ses lèvres sont maintenant au-dessus d’un téton pointé. Dressé vers ses lèvres qui ne se posent pas sur lui. Mais ce souffle chaud. A nouveau pour la titiller. Miss Cheelks est prise au piège de la « gentille héroïne aux proportions « normales » ». Comment ça des guillemets dans des guillemets ? Mon territoire d’écriture : mes règles. »
.
ImageLinette : « Oh ! ♪ Et pour te répondre à ce que tu me disais antérieurement ? J’ai effectivement des pensées très claires à ton sujet. Je t’ai pêché et tu es en mon pouvoir. Dans cette chambre, tu es mon jouet. Un poisson hors de son environnement cherchant la complétion de sa libido. J’aurai pu m’essuyer les cuisses mais je ne l’ai pas fait. Je voulais que tu vois à quel point je m’étais excitée et donnée du plaisir. Je t’ai ferré à mon piège. ♫ »
.
« Une main caressant l’intérieur des cuisses de notre Miss Cheelks, mais sans jamais caresser ses zones ô combien érogènes et demandeuses ! Sa bouche venait enfin donner de l’air. Voilà ! Notre Miss Cheelks avait tout loisir d’embrasser la bardesse. Linette était sensible à ce baiser dévorant. Ce mélange de sagesse et de sauvagerie. Cette femme qui avait les cheveux de la couleur de ceux qui réfléchissent et la peau de la couleur de ceux qui conquiert brutalement. Miss Cheelks était une amante de choix pour Linette. Elle, la simple d’esprit, la manipuleuse de mots. Elle allait prendre le contrôle et dominer ce qui pourrait être nommée engeance verte ailleurs. Elle gagnait une bataille fantasy à sa façon. »
.
ImageLinette : « Mais non, ne t’affole pas, je ne m’en vais pas loin. Vois-tu à quel point nos jambes sont faites pour s’entremêler ? Nos cuisses mouillées ne nous demandent-elles pas de glisser l’une contre l’autre ? Ne sommes-nous pas artistiquement lubrifiés pour glisser l’une contre l’autre ? Déchaînes-toi, jolie peau verte. Fais-moi chanter. Accède à ces hauteurs stratosphériques où tu offriras à mes oreilles délicates le son de tes gémissements orgasmiques ! ♫ »
.
« Hum ? Et oui, « seulement » ça. Mais que voulez-vous ? C’est une scène de sexe. Estimez-vous déjà heureux que nous soyons arrivés sur la deuxième page Word. Il faut laisser un peu de temps à notre Miss Cheelks et son plaisir. Lorsqu’elle aura joui, nous pourrons alors, éventuellement, capturé une partie de son âme. Et oui ! Nous n’avons pas oublié qu’un objectif est de la dédoubler d’une façon ou d’une autre pour que nous replongions dans la spirale infernale des réponses à cinq pages avec des personnages qui « pop ! » ici et là d’une façon absolument chaotique. Et donc, incontrôlable. Du pur masochisme pour le Narrateur que je suis à devoir suivre les pulsions autodestructicréatrices de mon « Dieu ». »

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 18 févr. 2025 19:33
par Arxa Cheelks
Les lèvres de la bardesses étaient douces. Arxa n'était pas sûre d'avoir déjà goûté à un barrage aussi doux. Sa partenaire était une elfe, après tout. Le genre de créature qui rivalisait de beauté avec les kitsunes ! Il n'était donc pas étonnant de la savoir aussi savoureuse.

- Je réalise que tu me plais beaucoup, chanteuse. J'aime les filles audacieuses dans ton genre~

Kalkaire faisait à moitié la gueule. Ce n'était pas grave ! Tant qu'il se contentait de les surveiller, celui-là...
La hobgobeline comptait bien lui emprunter sa mie pour une joyeuse partie de jambes en l'air !
Entre ses mains, l'Ingénieuse accepta de se laisser faire. Pour ne pas précipiter les choses comme elle l'avait préalablement envisagé, la peau verte retira d'abord ses deux doigts de ses chairs coulantes. Ceux de Linette trouvèrent son ventre plat, l'explorant avec douceur et dignité. Arxa en conçut quelques frissons mais, déjà, sans l'influence de la sucette, elle parvenait à contenir ses pulsions primales. Ce qui, en outre, lui permit d'écouter les sincères paroles de la judicieuse bardesse.
Selon elle, un lieu aussi magique et fantaisiste que La Taverne ne voulait pas dire que la visiteuse du future était elle aussi capable de défier la physique. A titre d'exemple, il y avait déjà l'énorme queue pendante du golem posté à l'entrée de la chambre.

- Mouais ! Ça se tient moyen, tout ça, bougonna Arxa. Je ne crois pas avoir vu aussi large que toi.

Elle avait levé la main en conséquence. De quoi créer une ouverture par laquelle se faufila Linette. Ses baisers ciblés la firent soupirer d'aise. Quelles lèvres, nom d'un Arsenal ! Cette beauté légère était envoûtante. Elle pouvait la coller autant qu'elle le souhaitait, Arxa était tout sauf en mesure de l'arrêter. Ce "piége", la hobgobeline était prête à tomber dedans autant de fois que son existence le lui permettrait.
Linette, qui n'en était pas à son premier coup d'essai, ne le sentait que trop bien. Elle le lui soufflait, au cœur de leurs ébats. Des paroles tentatrices qui émoustillaient plus fort encore la peau verte.

- Cela fait de toi... la plus belle traqueuse qu'il m'ait été donné de rencontrer, gémit-elle.

L'elfe jouait avec elle. Ses doigts lui paraissaient à la fois insupportables et désirables. Un toucher mystifiant qui la mettait dans tous ses états ! Arxa avait envie de la mordre sans pour autant oser le faire. Linette la tenait, oui. La hobgobeline jouait le jeu non sans pouvoir s'empêcher de capturer, à quelques reprises, les lèvres de cette créature impossiblement douce.
Il m'en faudrait une, comme ça, dans mon vaisseau.
Non, surtout pas : elle en deviendrait accro !
Vixen, son androïde adaptable dans sa version aussi culottée que féminine, relevait du bon compromis...
Arxa ne songeait même pas à sa création, issue d'un de ses fantasmes, pendant qu'elle batifolait avec la bardesse.
Encore une fois, le monologue de l'intrépide Linette eut raison de celle qui ne cherchait, de toute manière, plus du tout à lutter.

- Tu m'as complètement marquée avec tes bisous de muse, lui concéda Arxa. Mais figure-toi que j'ai ma fierté de "grosse tête", moi aussi. Du coup, là, ça me fait tout drôle...

Ses mains sur ses épaules blanches, l'Ingénieuse la sépara d'elle et secoua la tête.

- En raison de mon intelligence supérieure, je suis habituée à décider pour les autres. Parfois, ils attendent bien sagement que je leur dise quoi faire. Un peu comme des toutous bien dressés. A d'autres occasions, ils m'obéissent aussi mais y mettent de la hargne ! Probablement dans l'intention de me remettre à ma place, ou de me faire déchanter de plaisir, je ne sais pas... ça a tendance à varier.

Tout en parlant, d'abord en face à face, elle glissa son visage entre ses seins, auxquels la hobgobeline goûta au passage. Son parfum imprégna ses narines. Préludes à une odeur plus intime qui se dégageait de cette paire de cuisses dans le creux desquelles Arxa cala ses coudes. Elle lança un dernier regard coquin à Linette avant de lui tirer la langue.

- Avant de mélanger mes aromes aux tiens, grâcieuse délurée, il est impensable que je ne m'en imprègne pas la langue ♥

L'entremêlement de leurs jambes pouvait attendre encore un peu ! Linette souhaitait qu'elle la fasse chanter ? Alors des chansons elle allait en produire plusieurs - et des différentes en fonction du seuil de plaisir atteint. Arxa, pour commencer, lapa consciencieusement ses gambettes souillées par son propre plaisir sulfurique avant de déplacer sa langue dans le creux de la source. Encore une fois, la moitié peau verte prit exemple sur l'impitoyable gourmandise de Juliette Karnage. Elle consomma donc une bonne partie de son jus intime en produisant des bruits de succion qui, pour le coup, n'avaient rien d'exagérés. Pour parfaire son "travail", la hobgobeline, aussi bonne que vicieuse, utilisait aussi l'une de ses mains afin de lui ouvrir les écoutilles. Car plus il en coulait, plus la peau verte se sentait récompensée pour ses efforts. Sa paume et ses doigts pressaient le fruit collant avec un soin tout particulier.

- Tu ne peux t'en prendre qu'à toi-même, gloussa Arxa. Je me déchaîne, on est d'accord, mais toujours sous mes propres conditions~

Engeance verte. Têtue. Joueuse. Et certes un peu sournoise, oui !
L'Ingénieuse n'allait certainement pas se priver de ces quelques qualités~

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 24 févr. 2025 23:22
par La Taverne
« Ces peaux vertes ! Insupportable ! On s’échine à faire des plans. On se permet d’ellipser pour amener de nouvelles possibilités créatives. Rien de moins qu’une mini Arxa aux capacités simialires à notre Petite Déesse ! Et quoi ? Et Maaadame décide de faire la « grosse tête ». De ne pas se laisser emmener au septième ciel avec une bardesse irrésistible. Foutue peau verte ! Têtue comme de la roche ! En somme, une tête dure comme celle de Kalkaire mais aussi remplie que celle de notre Linette. Pff… »
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ImageLinette : « Ah oui ? On ne supporte pas de se faire diriger ? Ah ah ♪ »

ImageKalkaire : « Jolie Linette. La peau veRte lui fait faiRe plein de bRuits qui Rend tout duR le zizi de KalkaiRe. »
.
« Le golem de pierre était en effet en train de se caresser le zob. Oui, oui… mais comment voulez-vous que j’utilise des mots « savants » pour une créature si élémentaire ? Toujours est-il qu’avec des gestes qui sembleraient « enfantins » (comprendra ce qu’on pourra comprendre, hein…) le Kalkaire se caressait. Parfois avec seulement le pouce et l’index. Parfois avec la paume de sa main comme s’il essayait de nettoyer quelque chose avec une éponge. Heureusement, la demi molesse persistait malgré quelques duretés sanguines ici et là. »
.
ImageLinette : « Abreuves-toi à la source des Muses, têtue peau verte. Conquiers-moi et fais de moi ton trophée. Je n’ai absolument aucun problème à performer sous le rôle de la soumise ! ♫ »
.
« Parce que certains écrivains ont davantage de difficultés à lister tous les détails d’une relation coïtale, nous laisserons les deux amantes se déshydrater à leur rythme tandis que nous flânerons dans la Chambre de Linette et Kalkaire. Car c’est belle et bien une chambre dédiée. Dans le couloir, en regardant la porte actuellement gardée par le troll « habillé » de buissons de feuilles, se trouve inscrit dans le bois massif les deux prénoms de Linette et Kalkaire. Il y est aussi fait mention de la mention de « bardesse à domicile fixe ». Mais revenons dans cette chambre. Notons la présence de ce gros coffre à trésors. Cette fois, il ne s’agira pas d’une Mimique ou d’un coffre Arc-en-ciel. Mais bien d’un coffre contenant divers trésors. A la découverte tout récente (à peine quelques minutes IRL ; en allant prendre des nouvelles de la galerie de l’artiste s1bi ; que découvres-je ? Que la Linette de là-bas a obtenu un nouveau jouet qu’elle s’est empressée de fourrer en pleine nature) Cessons la parenthèse et revenons dans des phrases non cloisonnées. »
.
ImageLinette : « Si je n’ai plus de décisions à prendre, je vais avoir tout le loisir de pérorer. Il ne faut pas m’en vouloir. A jouer les dominatrices, on réveille les caractères à tendance provocatrice des ingénues. Et peut-être serait-il fairplay de ma part de te prévenir que ni le petit gabarit du propriétaire de l’établissement, ni un solide gaillard comme notre poulet-barbare ne sont capable de réellement me discipliner. Je papillonne des yeux et je souris, et notre pauvre petit gnome s’en va l’andrinople aux joues. Et que dire de ces masses musculaires qui se drainent toute seul le cerveau céruléen céleste pour abreuver le cerveau veineux méphistophélique. »
.
« Vous le saviez vous que l’antonyme de céleste proposait méphistophélique ? Oh, et notre poétesse a manqué parlé d’un cerveau céruléen. Quel magnifique terme que ce céruléen, ne trouvez-vous pas ? S’il y avait bien la connotation de ciel recherché au-dedans, c’était avant tout une couleur. Vous me direz, trêve de jolis mots et de formules alambiquées. Et je vous répondrais que la (pseudo, oui oui, je ne me remets toujours pas que notre Miss Cheelks se catégorie chez cette race) hobgobeline savait depuis le début le caractère artistique de sa compagne de jouissance. Compagne de lèvres ? J’ai hésité avec appellation. Je vous offre les deux au final. »
.
ImageLinette : « Il y a bien une stratégie pour parvenir à faire taire l’artiste. Pour cela, il faudrait que la rustre peau verte s’en aille conquérir mes trésors. De trésors physiques et non de richesses liquides, j’entends. Mais quitter le foyer de mes cuisses ruisselantes pour procéder à un pillage en règle serait-il dans tes compétences ? Ta nature voleuse et mesquine pourrait-elle prendre le pas sur l’appétit de cette langue qui boit, qui boit et qui ne se rassasie pas ? Et que pourrais-tu bien y trouver, Langue-Agile, toi qui a souffert des marchandises de Tire-la-Langue ? Des friandises colorées ? Peut-être. La pétillance de Candy et son hyper-dynamisme méritent d’être constamment ensucrés. Vous avez ce charme, vous le peuple de toutes les couleurs du vert, de rester aussi naturel que le vert de ces bois. Une sauvagerie bien plus agréable que celle des êtres humains. Qui pourtant, eux aussi, se dissimulent derrière des draps de civilisation. Et donc, pourrais-tu me demander ? Et donc tu pourrais y trouver de quoi me faire taire du présent d’un baillon ? Tout comme tu pourrais trouver de quoi te rhabiller d’une certaine forme de ceinture pour jouer les mâles conquérants ? Ou bien te laisser tenter par un artefact plus énigmatique voire chaotique à la gloire d’une libido aimant tirer dans le puits de cyprine. ♪♫♪♫♪ »
.
« Voilà voilà. Le contrat moral avec moi-même est respecté. La réponse avec le Narrateur que je suis et la Taverne que je représente sera posté dans la soirée (dans quelques minutes, mais dans la soirée était plus élégant.) Car il faudrait me laisser et laisser les dix doigts qui m’accompagnent prendre la direction du dessous de sa couette. Bien qu’il ne soit que lundi et que le week-end ait permis le sommeil : la dette de sommeil ne devrait pas être contractualisé. »

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 01 mars 2025 17:47
par Arxa Cheelks
Toujours campé près de la porte comme un gentil chien de garde, le grand benêt se triturait l'engin tout en exprimant, sans grâce aucune, son excitation grandissante. Avec les bruits plaisants qu'elle produisait, la bardesse contribuait grandement à ce phénomène presque... enfantin. Des gémissements qui, paradoxalement, n'empêchaient pas la beauté aux oreilles pointues de bavarder comme une pie.
Et avec quelle verve lyrique !
Propre à son job, oui. Linette ne devait pas son succès qu'à sa façon de "s'habiller" en public. Elle excellait dans son domaine de prédilection malgré les assauts buccaux d'une Arxa particulièrement excitée.
Cette dernière fit de son mieux pour la perturber pendant qu'elle vantait ses qualités à voix haute.
Méphistophélique ? Nom d'un Arsenal, même moi je ne connaissais pas ce mot !
A ce tarif là, bouffer le minou d'une personne aussi lettrée relevait - plus que de l'honneur - de la bénédiction.
Et ça, c'est un défi à ma hauteur~
Elle fourra donc sa langue dans cette fente humide qui, à défaut de chanter comme celle du haut, "salivait" copieusement. Pour la cochonne à la peau verte, ce fut un régal ! Un festin mouillé qui la fit se pourlécher les lèvres à plus d'une occasion. Repas liquide qui, à l'inverse d'une banale beuverie, ne l'empêchait point de boire au complet les chantantes provocations de la bardesse.
Arxa leva les yeux sur son minois faussement angélique avant de les poser sur l'énorme coffre à trésors, qu'elle conservait dans un coin de sa chambre - cette chambre !

- Tu m'incites sérieusement à fouiller dans tes affaires en un moment pareil ?

La langue tirée comme une chatte surprise en train de boire, la hobgobeline jongla d'un regard de plus en plus rapide entre ce fruit intime dont elle n'arrivait pas à se lasser et cette boîte imposante. Elle eut un mouvement d'humeur, remballant entre ses joues vertes son outil de plaisir.

- Ah, bon sang ! "Performer sous le rôle de la soumise" ? Tu parles ! D'une certaine manière, petite maligne, tu cherches toujours à avoir le contrôle sur la situation, hein ?

L'Ingénieuse se redressa, la prit par les épaules et l'embrassa de manière étonnamment possessive. Puis, au moment de la séparation de leurs lèvres, elle ajouta non sans lui planter un index entre les seins :

- Ne bouge pas de ce lit, ma chipie, je reviens très vite te chercher !~

Sautant de la couche, Arxa fondit littéralement sur le coffre aux trésors qu'elle ouvrit d'un grand geste des deux mains. Les paroles de sa propriétaire l'avaient inspirée, aussi la hobgobeline envola voler dans les quatre coins de la pièce les gadgets obscènes qu'elle jugeât inutiles au bénéfice de ceux qui l'intéressaient le plus. Sa fouille fut de bien courte durée ; la hobgobeline déposa hâtivement la majorité de son fardeau sur les draps avant de bondir dans le dos de Linette, un cordage rouge dans la main droite.

- Tu ne manques pas de matériel, chanteuse. Moi-même je ne possède pas autant de jouets que toi ! C'est dire à quel point tu es une perverse... Je me demande comment tu vas faire pour t'en sortir une fois que je t'aurai ficelée avec ça ?~

Elle lui agita sa première trouvaille sous le nez avant de la lui retirer tout aussi sèchement.

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- Même consigne que la précédente : on ne bouge plus jusqu'à nouvel ordre !

Comme pour bien se faire entendre, Arxa lui infligea une petite gifle sur le derrière. Elle se mit ensuite à travailler, enroulant astucieusement le cordage autour du cou, des épaules, de la poitrine, des bras, des poignets, des cuisses et des chevilles de la bardesse. La hobgobeline avait déjà joué à ce jeu là avec son androïde : d'où sa remarquable vitesse d'exécution ainsi que son aisance dans le moindre de ses mouvements.

- Voilà ! Ainsi ficelée, tu es encore plus à croquer ♥

En bonne sauvageonne, la hobgobeline du futur profita de leur proximité pour lui mordiller le cou. Elle y déposa un suçon claquant avant d'empoigner le bâillon rouge en forme de rose, doté d'une savante extension, qui avait eu vite fait de lui mettre l'eau à la bouche.

- Ce n'est pas pour rien que vermeille rime avec merveille, souffla-t-elle avec gourmandise alors qu'elle lui installait l'accessoire. Cette rose te va comme un gant, ma jolie ! Mais ce n'est pas elle que je m'apprête à butiner...

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Afin de bien illustrer ses propos, l'Ingénieuse s'empara de la dernière pièce de son attirail d'emprunt : une culotte rouge qu'elle enfila dans la seconde. Au bout du sous-vêtement s'étirait un membre écarlate surréaliste, ponctué de perles en argent de la pointe jusqu'à la garde.

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- Inutile de te faire remarquer que c'est le plus gros de ta collection, pas vrai ?~

L'objet était presque aussi long que son avant-bras !
Arxa gloussa avant de forcer Linette à se ramasser sur le lit, sa tête à moitié enfouie dans les oreillers. Elle se coucha sur son dos afin de lui susurrer à l'oreille :

- Maintenant que j'ai pillé ton trésor, c'est ta chatte ruisselante que je vais conquérir avec tes propres armes. Et comme tu m'as l'air d'être une très grande fan de mon peuple vert, je vais prendre exemple sur nos éléments les plus primitifs pour ne surtout pas te ménager ♥

La hobgobeline se remit droite, son tronc et ses jambes perpendiculaires à la croupe de la bardesse. Elle cala son bout entre ses cuisses chaudes, la saisit par le creux des hanches et... donna le premier coup d'envoi !

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 14 mars 2025 16:30
par La Taverne
ImageLinette : « Bouger ? Il est hors de question. Ce ne serait vraiment pas malin de ma part de provoquer celle qui cherche à me contrôler ? Vois comment je m’allonge et je m’ouvre pour toi. Pour tes futurs assauts. Car ton peuple aime beaucoup trop mélanger les arts de la guerre avec les arts de l’amour. »
.
« En effet, après s’être fait embrasser de manière possessive, la bardesse s’était allongée sur le lit pour observer Miss Cheelks fouiller dans son coffre à jouets. Plusieurs paires de coussins sous le dos lui permit d’être un peu surélevé. Le bout de ses doigts vint toucher ses lèvres. Elle frissonna à nouveau. C’était toujours excitant de voir un petit gabarit contenir un tel envahisseur en sa personne. Cette possessivité allait merveilleusement bien à la peau verte, selon la psyché nymphomane de Linette. »
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ImageLinette : « Moi ? Une perverse ? Tout cela parce que je suis en accord avec mon corps ? Faut-il être à ce point débridée lorsque ce qu’on aime, c’est ce qui nous réunit au lieu de nous éloigner ? Oui, tu pourrais me traiter de zélé à la Déesse Amour. Et de farouche ennemi au Dieu Guerre. Je préfère donner du plaisir et en recevoir. Plutôt que de faire du mal, blesser et tuer. Mais je parle et je parle, et je réalise que tu ne m’écoutes pas vraiment. Cette petite bouille concentrée que j’aperçois alors que tu me ficelles, c’est mignon. »
.
« Et oui ! Miss Cheelks avait ordonné à « sa soumise » de ne plus bouger. En aucun cas elle lui avait interdit de parler. Jouer avec les règles. Funambuler sur la corde raide entre le respect des règles et la bravoure de les ignorer. Linette s’amusait comme une petite fofolle. De toute manière, il aurait été bien hypocrite de sa part de se rebeller avec une telle quantité de jouets. »
.
ImageLinette : « Tu me laisses un petit souvenir dans mon cou ? As-tu déjà si peur que je t’oublie une fois que tu m’auras consommé et usé ? Car je ne doute pas un seul instant que ta motivation soit de m’épuiser jusqu’à ce que mes forces se compte jusqu’à néant. »
.
« Et…je me dois de jouer les ronchons. Temporairement. Et en plein milieu de préliminaires qui ferait juter deux fois un puceau et trois fois un éjaculateur précoce. C’est que l’ambiance est très dense en terme d’excitation dans cette chambre ! Une alchimiste de passage pourrait ouvrir ses éprouvettes et capturer l’essence de Magie Rose derrière ces bouchons de liège scellés sous magie. Mais je m’égare à nouveau alors que je voulais avertir que je ne plussoyais pas le modèle utilisé pour mettre en évidence cette rose rose. Ou vermeille, selon Miss Cheelks. Marin Kitagawa n’a rien demandé dans cette hitsoire. Un bon animé. Mais également un personnage très important pour Alma. Qui est un alias de Marischka Auschtwiz. Qui est également le seul personnage que la fée aux cheveux mauves n’a pas eu le loisir de rencontrer.

Mais oui, revenons à nos deux amantes. L’elfe sur le point de se faire ravager par l’orc. Certes certes, ce ne sont pas les races exactes. Mais ces deux races-ci permettent une meilleure visualisation avec davantage d’intensité. L’elfe met en exergue la beauté immaculée. Tandis que l’orc est la puissance brute et violente. Si nous commençons à parler d’humain avec du sang d’elfe et d’une hobgobeline qui ne serait qu’une humain à la coloration épidermique virant au vert… Voilà. Vous comprenez où je veux en venir. Egalement qu’un Narrateur, comme un écrivain, se doit de toujours enjoliver et magnifier. »
.
ImageLinette : « blsdgogih-sdgog. »
.
« Evidemment que j’ai appuyé de façon aléatoire sur les touches du clavier. Notre Linette est baillonnée. Privée de sa jolie voix. Incapable désormais de jouer les provocatrices. »
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ImageLinette : « blszgtzoihnzg-fdher. »
.
ImageKalkaire : « Toi faiRe des choses dangeReuses à Linette. Moi pas serein. »
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« Et oui, voir sa bardesse ligotée est une chose. Qu’elle soit incapable de parler et donc de crier à son golem qu’elle aurait besoin de son aide ? C’est qu’il y aurait un petit cœur tout mou derrière cette forteresse de pierre vivante. Et ? Et bien, avec le temps IRL qui a passé, j’ai complètement oublié la façon dont je voulais faire intervenir Kalkaire. Le Discord me parle d’une fessée. Mais ce n’était pas de ma paire de mains frappantes de touches décorées de lettres et de symboles. »
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ImageKalkaire : « Moi faiRe de la pRévention. Ensuite, toi pouRRas continuer à faiRe RougiR Linette. »
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« Oui, allons au plus simple. Mais en passant par le fait que la grosse pogne de Kalkaire vient de choper le petit cou gracile de Miss Cheelks. Kalkaire s’assoit en tailleur sur le parquet de la chambre. Sa grosse verge à moitié molle devenant une sorte de coussin chaud pour le ventre de la hobgobeline. »
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ImageKalkaire : « Ta fausse veRge est coincé entre mon zizi et ma cuisse. Pas agRéable. »
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« La main du golem de pierre vient asséner une première fessée sur les fesses vertes qui… virent au violet ? Si on croit les additions colométriques entre le vert et le rouge. »
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ImageKalkaire : « Voilà, tu as eu fessée. Maintenant, va faiRe RougiR Linette. Mais moi te RegaRde. »
.
« Vous vous demandez si notre bardesse a les capacités physiques d’héberger en elle cet étrange sexe de punk ? Rapport à la couleur rouge et aux billes semblables à des piercings. Et bien figurez-vous que oui. Non parce que Linette pourrait se hisser dans le classement des pornstars d’internet de la Terre devant Lissandre Verrières. Mais parce que ces billes sont en réalité de petits artefacts magiques. D’immaculées, elles prendront une jolie couleur rose aux reflets aurores boréales en se mélangeant avec la mouille de Linette. Les effets magiques déploieront alors leurs ailes. Dilatation et sécrétion de lubrifiant pour Linette. Mais connexion et fusion du système nerveux pour Miss Cheelks. Car oui, la magie permettra à la hobgobeline possessive et brutale de ressentir une partie du plaisir masculin. Ca restera un jouet. Mais un jouet savamment élaboré. »
.
ImageKalkaire : « Douce Linette. Jolie Linette. Rouge Linette ♫ »
.
« La grosse main douce du golem sera venu caressé le haut de la tête de la bardesse. Avec beaucoup de douceur et d’attention. Kalkaire ne ferait jamais du mal à Linette. Il s’assoit ensuite en tailleur à côté du lit et pose son index tendu vers la bardesse pour qu’elle le tienne. Quand les assauts de la peau verte seront trop intenses et invasifs et qu’elle aura besoin d’une assistance. »

Re: Quand le futur toque à la Taverne [avec Arxa Cheelks]

Posté : 22 mars 2025 13:15
par Arxa Cheelks
Restreinte dans ses mouvements, les lèvres scellées avec une pseudo fleur d'amour enfoncée en travers de sa bouche volubile, la chipie blonde subissait le traitement qu'elle était venue chercher ! Désireuse de lui donner une bonne leçon, Arxa était bien partie pour élargir sans pitié aucune sa délicieuse intimité quand ce grand benêt de Kalkaire eut l'audace d'éloigner son gros cul de la porte.
Toujours accrochée aux hanches de la bardesse, la hobgobeline s'était arrêtée pour mieux le défier du regard.

- De la prévention ? Qu'est-ce que tu me rac-glrrrghl !

D'une solide main serrée autour de son cou gracile, ce gros rustre l'avait tout simplement arrachée à son cadeau de chair ! La peau verte bascula entre ses jambes croisées, sentant confusément sa virilité de pierre bizarrement molle sous ses fesses nues.

- *tousse tousse* Mais t'es pas net, dans ta p'tite tête de granite ?!

Mais de sa plainte, il n'en avait cure. Plus gêné par l'instrument pendu à sa ceinture que par ses remontrances, Kalkaire lui administra une belle fessée.

- Hiiirgh ! ♥

Une grimace de plaisir barra ses traits crispés. Arxa était belle et bien le genre de cochonne qui ne répugne pas à se faire brutaliser le cuir. Et elle devait bien admettre que le golem en avait suffisamment dans la paume pour la remettre à sa place dès qu'il en avait envie.

- G-goujat~

Ce grand fou n'avait fait que renforcer son excitation. Arxa mouillait dans sa culotte plus sophistiquée qu'elle ne l'imaginait. Aussi, une fois qu'on l'eut relâchée, fut-elle prompte à retrouver sa place, juste derrière la croupe tendue d'une bardesse qui partageait sans aucun doute ses chaleurs.

- Ton garde du corps est enquiquineur de première, grommela-t-elle. Si tu veux tout savoir, mes fesses vibrent encore sous l'effet de sa claque. (Elle eut un sourire machiavélique.) Et ce menu désagrément, c'est sur ta note que je vais le faire apparaître~

Son rustaud n'avait qu'à les surveiller ! Pour tromper sa vigilance, Arxa commença par s'insérer tout en douceur dans l'antre de la belle ligotée. Ses doigts verts malaxaient ce postérieur couleur de pêche alors que son membre artificiel dévorait gentiment les quelques centimètres qui le séparaient des limites de sa matrice.
Au départ, l'Ingénieuse ne ressentit rien de particulier. Mais au fur et à mesure de la chevauchée, les perles alignées autour de son engin, celles-là même qui frottaient contre les parois intimes de la bardesse, finirent par lui transmettre de chaleureux signaux. Ces derniers virèrent deux fois plus intenses, galvanisant la hobgobeline au point que son bassin percute les fesses de Linette avec une conviction perpétuellement renouvelée.

- OoOoOoh, bon sang !

Elle dut ravaler sa salive et, accessoirement, s'essuyer la commissure des lèvres d'un petit coup de poignet. Main qui eut vit fait de revenir caresser les rondeurs postérieures de cette nymphe qu'elle tringlait de plus en plus fort.

- C-c'est quoi, cette putain de technologie ? ♥

Avait-elle l'air conquise par cette obscène découverte ?
Et comment : le sourire qu'elle arborait voyageait d'une oreille à l'autre !

- Je compte sur toi... Han !... pour m'en expliquer le fonctionnement... Ahn ! ...après tout ça~

Arxa était si excitée qu'elle ne put s'empêcher de lui gifler le derrière. Elle jeta ensuite un petit coup d'œil furtif à Kalkaire. Le genre méfiant que lancerait une voleuse à l'étalage à son inconnu entourage. En l'absence d'intervention de la part du golem attentionné, l'Ingénieuse poussa le vice en explorant distraitement, du bout d'un pouce, le plus petit orifice de sa partenaire bien incapable de produire autre chose que des couinements étouffés. En parallèle de ceux-là, la hobgobeline percevait la moindre de ses contractions autour de son jouet d'emprunt.
Cet ensemble harmonieux la fascinait presque autant que la vulve de cette demi-elfe.