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Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:43
par Ombre
La pièce de bain était emplie de vapeur chaude. Quelle que soit l'origine de la source de chaleur qui alimentait l'eau du bassin pour en faire un délice de prélassement, l'effet en saturait l'air d'une douce humidité qui au fur et à mesure que les ébats augmentaient en intensité, devenait plus flou, moins précis. Les murs de faïence ruisselaient, le marbre au sol était chaud lui aussi, incitant à s'y allonger pour détendre ses muscles. Dans de grandes jardinières ouvragées dans des pierres colorées et striées de nervures argentées, des plantes luxuriantes laissèrent leurs fleurs s'ouvrirent pour s'abreuver de cette moiteur tropicale mais aussi des émanations d'hormones sexuelles libérées par les participantes. Une nuée de couleurs variées s'étoffa donc alors que le végétal s'alliait à l'harmonie minérale de la pièce. De subtiles odeurs florales à fortes phéromones érotiques vinrent se mélanger aux effluves éthérées du bassin. Quelque part, sans être vu, un musicien pinça les cordes de sa cithare pour produire un son mélodieux qui se répercuta de murs en murs, jusqu'à en faire une mélopée lancinante et incitant à l'érotisme.

Sigrid avait écoutée Valeria avec attention, abandonnant un court instant sa mine malicieuse pour le visage d'une petite fille obéissante. Son sourire redevenu carnassier prouvait qu'elle avait bien compris les règles et les conséquences du petit jeu proposé. Pour elle, aucun doute, elle s'y plierait sans hésiter. Et quand elle coula un regard à Soren, toujours allongée et inerte, l'envie et une pointe de jalousie scintillèrent dans ses yeux. Elle hocha la tête et répondit.

"J'aime ... jouer."

Elle rit, l'instant d'après, absolument irrespectueuse, de voir Erika succomber à un désir qui la consumait sans rien ni personne n'y fasse, en apparence. Sigrid la pointa du doigt, narquoise, et commenta.

"Elle, ... elle a trop ...jouer, et elle a perdu."

Elle avait compris ce qu'impliquait une relation sexuelle avec un succube. C'était évident après tout. Erika avait ingérer son sperme, c'était comme si elle s'était soumise d'elle-même au pouvoir de la démone. A trop vouloir être ce qu'elle était naturellement, une dominatrice, elle s'était fait prendre à son propre jeu.

Valeria la tança d'ailleurs, sans rancune, et Hella accepta avec joie de répondre aux exigences de leur invitée. Elle se leva gracieusement  mais hésita un très court instant. Bien sûr que l'on pouvait trouver toute une panoplie de jouets dédiés aux plaisirs, mais avant cela ...

Le succube venait de libérer la gorge d'Hedda pour la faire pivoter. Elle se l'appropria à nouveau d'une poussée qui fit frémir de stupeur la jeune femme. Hedda voulut se redresser mais Hella, du pied, la repoussa au sol avant de s'agenouiller au dessus de son ventre, face à sa maitresse d'opportunité. Elle souriait et agita devant Valeria le jouet flexible qu'elle utilisait précédemment. Elle se l'enfourna de moitié dans la gorge, preuve qu'elle était elle aussi, rompue à ce type d'exercice et adressa à Val un sourire mutin. Elle guida le jouet et en investit la bouche de la démone. Elle savait à qui elle avait affaire aussi elle n'y alla pas en douceur. Elle enfonça le jouet dans la gorge de Val jusqu'à ce que leurs lèvres se touchent. Les yeux de la nétherisse brillaient d'une malice insondable. Elle aussi aimait jouer. Elle venait juste donner un petit coup de main à son amie Sigrid. Les doigts d'Hella palpèrent la poitrine de Valeria et n'eurent aucune pitié pour ses tétons. Le succube avait démontré son attrait pour les actes brusques, invasifs aussi pourquoi les filles n'en feraient pas de même. Après avoir molesté les seins de la démone, Hella caressa son cou pour y sentir le jouet coulisser. En des termes crûs, elles se baisaient la gueule.

De son côté, Sigrid profita de cette diversion pour réinvestir la chatte qu'elle avait déjà prise. De sa main libre, elle guida ses doigts en pointe tout contre l'anus "presque" préservé de Val et s'amusa à l'ouvrir puis s'y frayer un passage. Il y eu une résistance légère au passage de ses phalanges puis c'est avec joie qu'elle sentit l'anneau du  sphincter se refermer sur son poignet. A cet instant, finie la douceur, elle s'appliqua à marteler en rythme les orifices de la démone, bien décider à gagner. Elle testa, s'essaya à diverses torsions, divers angles de pénétrations, poings fermés, mains ouvertes doigts écartés. Elle martelait dans des humeurs chaudes et vicieusement, chercha à s'introduire le plus loin possible. Dans le cul de Valeria, elle réussit à glisser jusqu'à la moitié de son avant-bras. Elle était sûre de gagner face à Hedda la timide.

Erika était spectatrice de cette scène hautement pornographique. Elle transpirait et suintait de désir. Elle aussi, dans la chaleur de son esprit, avait compris son erreur et elle s'en repentait sans retenue. Elle réussit à articuler.

"Baisez ...moi ,... par pitié."

C'est Hella qui réagit, abandonnant son jouet dans la gorge de Valeria. Elle s'éloigna en lui faisant un petit geste prometteur et disparue dans les vapeurs ambiantes. Une petite minute après, un claquement sec suivit d'un cri résonna. La chaleur de l'eau augmentait et l'on y voyait à peine à présent. Un deuxième claquement retenti, confirmant qu'Hella appliquait à la lettre les consignes du succube. Et puis ... ce n'était pas tous les jours qu'elle pouvait fesser la matrone avec une cravache de cuir.

Sigrid se régalait à fister la démone. C'était grisant de voir ses mains disparaitre dans les orifices d'une si belle créature. Mais sa joie fut interrompue par Hedda qui dans un élan de volonté, réussit à se redresser. Elle vint écraser sa poitrine contre celle de Val et l'embrassa comme seul un succube saurait faire. Elle contracta ses muqueuses autour de la grosse queue qui fouraillait dans son ventre et ondula à se briser le bassin. Elle et Sigrid se livrèrent un âpre combat, espérant chacune de l'emporter pour pouvoir se moquer gentiment de l'autre. Mais, ce ne serait que Valeria qui déciderai de l'issue finale de ce duel.

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:44
par Valeria
Le décor se modifia quelque peu, l’ambiance se fit plus érotique, plus tamisée, tandis que la vapeur d’eau prenait plus de place et se répandait dans l’air. Une douce musique s’éleva dans l’air sans que Valeria sache d’où elle provenait et de nombreuses fleurs qu’elle n’avait jusqu’alors pas remarquées se mirent à éclore et dégager un subtil parfum qui stimulait les sens.

L’Impératrice se donne du mal…

Sigrid l’écoutait et la regardait avec une attention totale tandis qu’elle énonçait les termes du jeu. Ses magnifiques lèvres s’étirèrent en un sourire à la fois sensuel et carnassier. Elle avait parfaitement compris.

« J’aime… jouer » fut sa réponse.

Tout était dit.

Mais elle ne put s’empêcher d’ajouter quelques mots en entendant Erika gémir.

« Elle... elle a trop... joué et elle a perdu. »

Valeria remit Erika en place et donna une consigne à Hella.

« En effet Sigrid. Mais elle pourrait perdre bien plus. Ce qui est en jeu n’est pas seulement un désir intense de se faire démonter comme la plus vulgaire des aide-cuisinières d’une taverne des bas-quartiers. »

Valeria se retourna vers Hedda et la plaça face à elle avant de la pénétrer sans attendre. Son expression à cet instant prit délicieusement le succube aux tripes. Mais quand la jeune femme voulut se redresser le pied de Hella se posa sur sa poitrine pour la maintenir au sol. Valeria regarda ce pied délicieusement dessiné, remonta le long de la jambe, caressa le corps de sa propriétaire jusqu’à son visage sur lequel elle posa un regard interrogatif.

Mais elle sut immédiatement de quoi il était question : Hella était aussi directe que Sigrid. Elle la provoqua avec le gode avant de le glisser pour moitié dans sa gorge en la regardant perversement. Elle s’agenouilla ensuite sur le visage de Hedda et embrassa Valeria sans attendre, plongeant en elle l’autre moitié et les liant ainsi.

Valeria la sentit frémir quand Hedda décida que quitte à être ainsi bloquée il n’était nullement interdit de lui bouffer le con. Et donc alors que les deux femmes se démontaient la gorge l’une de l’autre, Hella se retrouva à se faire proprement matraquer ses autres lèvres.

Mais Valeria ne fut pas longtemps dans l’expectative, car Sigrid intervint elle aussi, glissant aisément sa première main dans son ventre, là où elle avait déjà été peu auparavant. Puis elle se mit à jouer avec son sphincter histoire de l’ouvrir et le forcer progressivement. Le succube se cambra, offrant plus de marge de manœuvre à la jeune femme et très vite l’objectif initial fut atteint : le double fist.

Et le challenge commença.

L’aide inattendue de Hella ne gênait pas la démone qui profita de sa présence pour grimper d’un cran dans les tours, jouissant de ces sensations provoquées par la rudesse de son action sur ses seins, puis les sensations augmentées par sa main sur sa gorge alors que le gode y coulissait. Elles bavaient sans retenue, leurs mentons et leurs seins se maculaient de plus en plus de filaments gluants qui pendaient et pendaient avant de se détacher pour être immédiatement remplacés par d’autres.

Les sensations provoquées par Sigrid lui matraquaient l’intérieur sans aucune douceur, la jeune femme ne visait pas la belle performance, juste le KO le plus rapide et le plus total. Et elle s’appliquait à trouver les angles et positions qui l’y mèneraient le plus rapidement possible, sachant pertinemment qu’en sexe la pénétration la plus intense et la plus profonde est bien souvent source d’orgasmes rapides et ravageurs.

Intéressant.

Elle ne pouvait pas regarder, mais sentait aisément que la néthérisse n’avait pas entré que ses deux mains en elle. C’était efficace, elle ne pouvait le nier. Elle l’avait demandé après tout.

De son côté, Hedda ondulait sur sa queue avec un entrain que les danseuses orientales les plus aguerries n’auraient pas renié, provoquant de délicieuses sensations finalement plutôt rares  au succube qui n’avait pas l’habitude de se retrouver face à pareilles partenaires.

« Baisez... moi... par pitié. »

Hella réagit à ces mots et se dégagea pour obéir à la demande reçue précédemment et s’occuper de la matrone. Bien que les vapeurs se soient densifiées et que les contours d’Erika soient devenus indistincts, elle put néanmoins voir la jeune femme revenir et entendit claquer le fouet plusieurs fois, accompagné de gémissements de douleur et de plaisir mêlés.

Elle sourit. Cette pute de matrone avait ce qu’elle méritait. Sigrid l’avait dit : elle avait trop joué. Et perdu. Quand viendrait son tour, elle abandonnerait tout, absolument tout, pour se faire troncher comme la plus vulgaire des salopes en rut. Valeria la laisserait supplier, mendier devant les autres, même si celles-ci seraient probablement incapables de s’en rendre compte. Ce serait terriblement jouissif.

Hedda la sortit de ses pensées en se redressant, Valeria ne savait pas trop comment. Elle écrasa leurs seins alors qu’elle l’étreignait passionnément et soudait leurs bouches en un baiser éperdu. Le succube put sentir dans ce raid ravageur toute la fougue et la détermination de la jeune femme, qu’elle avait déjà mises à sa disposition précédemment avec des performances hors normes.

Valeria profita de la position pour empoigner les fesses de Hedda et glisser six doigts dans son cul divinement rebondi. La femme faillit jouir, elle le sentit perceptiblement, mais sa volonté était plus forte. Ses muscles vaginaux la massaient comme jamais. Elle voulait elle aussi gagner coûte que coûte, sachant pertinemment que la rançon du plaisir de Valeria l’amènerait à rejoindre Soren.

Celle-ci décida de ne plus lutter et laisser faire les deux femmes. Son plaisir allait se déclencher de partout. Mais d’où viendrait-il en premier ?

Elle baisait profondément Hedda et se faisait baiser tout aussi profondément par elle et Sigrid. Les yeux dans les yeux, elle ne quittait pas Hedda. Son regard se voila enfin et elle lui offrit la vision cosmique d’une jouissance succubique intense. Elle ne retint aucunement ses fluides. Des flots – tout est relatif – de semence envahirent l’utérus et le vagin de la jeune femme. Encore et encore. Tant et plus encore. A cause de la queue en elle, ses organes gorgés de foutre hurlaient leur étirement, leur plaisir aussi, et capitulaient devant une jouissance indéniablement supérieure à ce qu’ils pourraient jamais connaître et offrir. Il était inutile de préciser que si d’aventure Hedda était gravide, les probabilités qu’elle porte l’enfant de Valeria venaient de grimper de manière astronomique.

Les stimulations de Sigrid apportèrent elles aussi leur lot de plaisirs et d’efficacité et l’orgasme qui ravagea les entrailles de Valeria fut tout aussi déferlant. Son corps se crispa et se tordit et elle broya presque les mains en elle tant elle jouit fort. En réalité, les humaines à avoir réussi à la faire jouir si fort se comptaient sur les doigts d’une seule main.

Sans doute était-ce dû aux efforts conjugués des deux femmes, à l’environnement, peut-être aussi à la magie étrange émanant de l’endroit.

Toujours était-il que Valeria prit un pied d’enfer !

Elle mit un peu de temps à redescendre et aide alors Hedda, complètement hagarde et convulsante de plaisir, à s’allonger sur la margelle. Aidée de Sigrid, elle la déplaça jusqu’à Soren qui enfin avait fini de jouir et avait sombré dans une inconscience réparatrice.

Le foutre qui s’échappait de Hedda était encore plus abondant que ce lui qui s’était écoulé de Soren.

Valeria se tourna vers Sigrid.

« Désolée. Tu t'es très bien battue, mais Hedda m’a eu un peu avant toi. »

Elle la regarda bien en face.

« En fait non, je ne suis pas désolée du tout. Je vais me repaître de toi d’une manière telle que tu n’auras pas d’autre solution qu’en redemander encore et encore. Jamais tu n’oublieras ces vingt-quatre heures. Jamais. Mais ce sera plus tard. Maintenant, prends ton tour et offre-moi ta soumission la plus totale au joug de ma queue ! »

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:44
par Ombre
La gracilité du trio n'avait rien à voir avec ce qu'aurait pu produire la présence d'hommes dans cette orgie de débauche. Les mouvements et gestes restaient gracieux, fluides, souples malgré toute l'énergie et l'agressivité que les femmes déployaient. la finesse de leurs membres, la grâce de leurs courbes accentuaient la vision d'érotisme qui stimulait l'ambiance générale des lieux. Les gémissements, les cris de plaisir, les murmures étaient doux et exprimaient toute la précision sexuelle qui balayait l'endroit. Rien n'était exagéré mais tout dépassait l'entendement. La musique accompagnait crescendo les soupirs des participantes et les aidait à redescendre quand elles reprenaient leur souffle. Tout œuvrait à un ultime but, l'accès à une éruption de jouissance.

Hedda y parvenait, non pas parce que des doigts inquisiteurs lui visitaient l'anus mais parce qu'elle était prise comme elle l'aimait. Sa partenaire faisait tout pour la dérouter et la nétherisse n'en pouvait plus de résister. Elle devinait Sigrid active et entreprenante. Elles étaient amies depuis des éons et avaient tellement souvent partagé leurs couches qu'elles se connaissaient par cœur. Le sang mêlé de la femme hâlée lui donnait un avantage certain en matière d'investissement et d'initiative. Ses ancêtres venaient d'une communauté issue d'un désert aujourd'hui disparu et elle en conservait le caractère volcanique. Mais Hedda avait pour elle une volonté d'acier et une technique qu'elle ne dévoilait que trop rarement. Elle se déchaina à molester le sexe de Valeria dans ses entrailles et quand son plaisir la carbonisa encore une fois, elle ne comprit pas que la démone jouissait elle aussi. L'afflux de semence dans son corps produisit l'extinction de sa pensée et elle s'abîma dans une extase voluptueuse qui la laissa sur le carreau. Des ondes incontrôlables la parcoururent, hérissant sa peau pâle de picots, et elle s'arqua, ses mains battant l'air, avant de retomber inerte. Les spasmes ne la délaissèrent que plus tard et tandis que son vagin expulsait le trop plein de sperme, elle ne sentit pas qu'on la déplaçait. Le contact du corps de Soren l'électrisa quand les deux femmes dévastées par leur orgasme partagèrent leur plaisir commun. Hedda réussit à étreindre la première des élues de Valeria et s'abandonna à une inconscience réparatrice.

Tout proche, Sigrid était vexée. Ses efforts n'avaient pas payé malgré tout l'entrain qu'elle y avait mise. Elle était sûre de gagner le jeu, les parois internes de Valeria avaient palpité sous ses incursions. Elle l'avait vu, senti se cabrer, réagir à sa passion. Elle avait baisé les fesses de la démone, exploré son dos, le long de sa colonne vertébrale avec sa langue. Elle l'avait fisté sans douceur, laissant ses origines sauvages prendre le dessus sur la correction. Sigrid était un phénomène à Pénombre, et à Aquila bien avant. Le feu de son regard et son corps délié, bien souvent peu vêtu, avait toujours attiré les convoitises. Il se disait des choses sur elle, en secret, lors de discussions de salons et beaucoup la considérait comme une maitresse sexuelle hors pair. Son mari, heureux élu, paraissait souvent éreinté et se plaignait même parfois des besoins débordants de sa femme. Elle était une véritable mata-hari et ses prétendants étaient légions.

Le revers qu'elle venait de subir était une première. Lorsqu'elle avait été désignée pour participer à la bienvenue de Valeria, elle savait exactement pourquoi. Sans qu'elle le clame, cela aurait été une erreur grave, elle faisait partie du cercle restreint des rares personnes qui pouvaient côtoyer au quotidien l'impératrice de près ... Elle vivait la victoire d'Hedda comme une déception et eut du mal à contenir sa frustration. Et en plus ... cela advenait devant la souveraine en personne. Valeria l'acheva de sa petite phrase avant de reprendre sûrement.

"En fait non, je ne suis pas désolée du tout. Je vais me repaître de toi d’une manière telle que tu n’auras pas d’autre solution qu’en redemander encore et encore. Jamais tu n’oublieras ces vingt-quatre heures. Jamais. Mais ce sera plus tard. Maintenant, prends ton tour et offre-moi ta soumission la plus totale au joug de ma queue !"

Sigrid jeta un coup d'œil en douce à la créature liquide qui les observaient. Son expression était impassible même si une petite lueur amusée pointait dans ses yeux transparents.  Les doigts de la représentation pianotaient sur le marbre du banc sur lequel elle était allongée. Etait-ce un signe d'impatience où l'ennui qui pointait. Skuld était bien souvent énigmatique et il était difficile d'essayer de deviner ce qu'elle pensait. D'ailleurs, essayer était déjà un risque, l'impératrice pouvant sonder les esprits à n'importe quel moment.

Sigrid reprit contenance et hocha la tête pour indiquer qu'elle comprenait. Elle rinça ses bras dans les remous du bassin.

Comme si le musicien savait à qui il avait affaire, le ton de la musique se fit plus oriental, plus chaud, plus dynamique. Sigrid se coula dans le dos de Valeria et l'écarta des deux inconscientes pour la ramener à elle. Bien sûr, être à sa disposition vingt quatre heures n'était en rien un problème, bien au contraire. C'est juste la défaite qu'elle ne digérait pas.
C'est quand sa main se referma sur la queue du succube que Sarkis émergea des profondeurs de l'esprit de la démone.

"Quel bordel vous faites ... Tu es vraiment la pire des catins!  Et en plus, tes idées perverses me stimulent ..."

Le mage prisonnier avait rapidement accepté sa sanction. Le temps ne comptait pas pour lui et il s'était dit mettre à profit cette expérience pour faire évoluer sa connaissance en puisant dans celle de Valeria. La perte de son corps n'était qu'un détail, il pourrait sans peine en récupérer un autre quand il y serait autorisé. Et si d'ici là, il pouvait jouer au trublion sans pour autant s'attirer les foudres de l'impératrice, il le ferait avec grand plaisir. Et en parlant de plaisir, il s'interrompit en constatant ce qui allait se passer.

"Oh ... Sigrid ... J'ai toujours voulu me faire cette petite garce. On dit qu'elle égalerait presque notre impératrice en terme de ......."

L'attaque psychique le foudroya, très claire. Il parlait trop et de ce qui ne le regardait pas. Le mage  hoqueta de peur et se fourvoya en excuses minables et pathétiques. Puis il fut spirituellement écartelé avant de reprendre son rôle de laquais servile. L'intérieur du corps de la créature d'eau avait prit la teinte de la lave en fusion, représentant la colère de Skuld. Sarkis avait merdé par deux fois, il n'y aurait pas de troisième. C'était compris sans être exprimé. La créature d'eau se leva et l'impératrice prit place physiquement des contours de  l'élémental. Elle approcha des bords du bassin et tendit la main vers le visage de Valeria dont elle extirpa celui, irréel, de Sarkis qui se déforma en hurlant. Elle plongea sa main libre dans le cerveau du sous-fifre et lui arracha des cris insupportables.

"Tu m'irrites Sarkis ... A quoi me sers tu finalement?"

Sigrid baissa la tête devant sa souveraine mais en profita pour envelopper Valeria de ses jolis bras. Elle saisit le sexe toujours raide à pleine main et le branla comme si elle voulait le traire. Ses cheveux mouillés, en désordre, masquaient le sourire pervers qu'elle affichait. La douleur des autres était aussi quelque chose qui lui plaisait et voir ce gros porc de Sarkis mutilé par Skuld était enivrant. Ses doigts accentuèrent la pression sur la chair chaude du gros sexe et quand elle ne pû plus résister, elle vint s'agenouiller devant pour l'enrober de sa bouche de sangsue. On ne parlait pas de fellation avec elle mais plutôt  d'ingestion. Le terme était plus approprié tant sa manière de pomper était brutale. Elle n'avait pas de limites et n'en voulait pas d'ailleurs. D'avaler complètement le membre de la démone ne lui posa aucun problème physique, et même si elle s'étouffa quelque peu, ce ne fut que pour continuer plus brutalement ensuite.

Skuld était en colère. Ce mage minable n'avait pas à parler de sa personne comme il avait failli le faire. Que l'impératrice aime les plaisirs du corps à s'en damner ne concernait qu'elle et ses partenaires. Et si Valeria devait le découvrir, ce qui était loin d'être impossible, elle le ferait d'elle même et pas sur les conseils de cet abruti. Elle intima un dernier avertissement silencieux au fautif et le laissa réintégrer la démone en gémissant.

Skuld recula ensuite en faisant un petit geste désolé mi-figue mi-raisin à Valeria. Elle réintégra après le corps de la  créature qui virevolta avant de se relâcher d'un coup et perdre toute consistance pour ruisseler jusque dans le bassin. L'eau s'irisa  de couleurs chatoyantes à son contact et la température s'éleva de quelques degrés. L'impératrice avait quitté les lieux.

Erika et Hella purent respirer à nouveau. L'irruption réelle de leur souveraine les avait pétrifiées. Son courroux pouvait signifier bien des désagréments. La cravache s'abattit à nouveau et la matrone cria.

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:44
par Valeria
La brune était manifestement vexée. Devoir s’avouer battue par Hedda ne lui allait pas. Valeria ne connaissait pas le passif entre elles, mais Sigrid concevait suite à sa défaite une certaine rancœur et une certaine surprise aussi envers la concubine complètement béate qu’elles venaient de placer dans les bras de sa comparse en laissant une épaisse traînée de foutre dans son sillage.

Alors qu’elle allait se retourner vers Sigrid, Valeria sentit les seins de celle-ci se compresser contre son dos et une main entreprenante – encore ! – s’emparer de son chibre pour le masturber vigoureusement.

Sarkis s’éveilla à cet instant et ne put retenir un petit commentaire mesquin.

« Quel bordel vous faites... Tu es vraiment la pire des catins ! Et en plus, tes idées perverses me stimulent...
- Déjà remis ? Tu es stimulé par une catin toi ? J’aurais cru que ta moralité te plaçait au-dessus de tout ça… » s’amusa le succube.

Le mage prit conscience d’une partie de la situation et continua.

« Oh... Sigrid... J'ai toujours voulu me faire cette petite garce. On dit qu'elle égalerait presque notre impératrice en termes de... »

Il ne finit pas sa phrase, foudroyé sur place par une Skuld d’une vivacité serpentine. Il couina, hoqueta, se confondit en excuses serviles et pathétiques. Pauvre petite merde maladroite.

L’aura de l’impératrice imprégna plus tangiblement l’élémentaire d’eau et se présenta devant Val. Elle tendit la main tout près de son visage et extirpa le mage au fond de l’esprit duquel elle plongea cette main. Ses cris étaient aussi insupportables que jouissifs. Dans la main de Sigrid, la queue du succube tressaillit et gagna en taille et en dureté. Elle aimait voir ce petit merdeux se faire remettre à sa place.

« Tu m'irrites Sarkis... A quoi me sers tu finalement ? »

Valeria était parfaitement consciente de l’effet pervers qui s’était également abattu sur les sens de Sigrid quand Sarkis avait été torturé. Elle aussi avait adoré le voir subir un juste châtiment, même si elle n’en connaissait pas la raison.

En un instant, elle fut à genoux devant elle et commença à lécher son gland avant de le gober. Elle ne le suça pas, elle l’avala. Ainsi qu’une bonne partie de sa queue. Valeria entendit quelques borborygmes confus alors que sa gorge se montrait quelque peu récalcitrante, mais elle sentit très vite les lèvres de la jeune femme se poses contre son bas-ventre, à la base de la queue.

Whoa ! Avec la taille que je viens de gagner, c’est pas un mince exploit…

Mais l’impératrice avait gagné son attention et Val voyait bien qu’elle était en colère. Elle ne comprenait pas bien pourquoi. Une dirigeante à la poigne de fer pouvait très bien se montrer tout aussi impérieuse et intraitable dans son lit. Et avoir des appétits… démesurés. De toute façon, même si elle ne voulait pas que ça soit ébruité, le simple fait que Sarkis le mentionne signifiait que c’était su par tout son peuple. Alors à quoi bon se fâcher pour ça ?

Il n’y avait aucune honte à être une parfaite salope. Valeria en était une et elle en faisait une fierté. Bon, elle n’était pas dirigeante d’un peuple exilé dans une dimension mortelle depuis des éons, mais quand même. Et quand elle devait s’occuper de ses sous-fifres aux Enfers, ce n’était pas triste non plus. Mais bon, tout le monde connaissait sa nature là-dessous. Et ici, c’était pareil pour Skuld après autant de siècles.

C’était plutôt une question de respect et d’ego. Sarkis avait encore une fois ouvert sa gueule sur un truc qui ne le concernait pas. Le succube soupira mentalement à cette bêtise incommensurable.

L’échange entre l’impératrice et le mage dura un court instant supplémentaire avant qu’elle ne le libère. Val le sentit réintégrer ses « pénates » tandis que sur un petit geste désolé l’élémentaire était quitté par l’essence impériale et s’effondrait dans le bassin, provoquant moult remous.

« T’es vraiment con… T’avais pas vu qu’elle était là ? Tu viens de te faire sanctionner comme jamais et toi tu gamberges sur les compétences sexuelles de ton impératrice ? »

Elle éclata mentalement d’un rire joyeux.

« Je ne sais pas si tu es plus con que couillu ou l’inverse. Je le découvrirai bien assez tôt. Mais, si ta grande fierté me permet un conseil, je la jouerais en mode mineur pendant un petit moment à ta place. Tu as beau être planqué dans ma tête, je suis un centre d’intérêt majeur pour ton Impératrice, rien que par l’attrait de la nouveauté. Et si elle me surveille, forcément, toi aussi. Allez ! Regarde et branle-toi mentalement, petit pervers… »

Sigrid la pompait avec une ardeur qui confinait à l’appétit vorace. Voire plus. Le succube profita un petit de cette attention qui la faisait baver comme une truie dans le bassin, les mains glissées dans ses cheveux, alternant entre la laisser agir puis lui baiser encore plus brutalement la gorge avant de lui rendre le relais.

La cravache s’abattait à nouveau sur Erika qui criait de plaisir autant que de douleur. Val leva la tête vers elles.

« Combien de fois a-t-elle joui Hella ? Je veux que tu lui enfonces un gode dans le cul par cinq orgasmes. Et pas un petit gode ! Offre-lui un plein gobelet de ce foutre qui s’échappe de Hedda aussi. Elle va avoir encore plus de mal ainsi. Et plus de godes dans le cul. Je veux que son attente soit intenable pour tout le temps que je mettrai à te baiser toi. Tu as le temps que Sigrid va mettre à me satisfaire pour y arriver. La façon dont je te traiterai dépendra de son état, alors pas de demi-mesure ! »

Elle força Sigrid à la regarder en lui tirant les cheveux.

« A nous deux. Tu es vexée de n’avoir pas relevé le challenge ? Si tu as échoué, c’est que tu n’as pas été à la hauteur. Prouve ta valeur ! »

Elle vrilla son regard jusqu’au fond de son âme.

« Tu te penses supérieur à elles ? Je n’ai rien vu de tel. A leur niveau, oui. Pas au-dessus. Et tu as vu leur état après une seule éjaculation ? T’as intérêt à faire mieux, parce que sinon notre journée ensemble va te sembler cauchemardesque… »

Elle la provoquait sciemment. Elle savait que ça la pousserait dans ses derniers retranchements, surtout après que Skuld ait été témoin de ce qui avait précédé. Et elle était curieuse de la voir se donner à son maximum.

« Sarkis, t’es prêt ? Ca va dépoter ! Tâche de ne pas trop remplir mon esprit de ton foutre immatériel... »

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:44
par Ombre
Le mage prisonnier se remettait encore plus difficilement que la première fois de la torture qui venait de l'achever. Sa bêtise n'avait d'égal que son ancienne ambition démesurée. Il avait irrité par deux fois sa souveraine et il savait que son annihilation était toute proche. Il se morigéna violemment et prit la décision de prouver sa loyauté en obéissant à Valeria comme un laquais servile. Ca prendrait le temps qu'il faudrait mais il lui lècherait les bottes jusqu'à ce qu'il retrouve sa liberté. Plus aucune erreur n'était possible aussi il allait se limiter à répondre au succube de la manière la mieux appropriée.

Malgré cette résolution ferme, il palpita quand même quand il réalisa qu'il allait vivre un plaisir aussi intense qu'étrange. Une baise par procuration, par esprits interposés. Sigrid était une vraie salope et dans ses remous de souffrance, Sarkis se félicita de pouvoir être là pour vivre cette expérience. Et il n'eut pas à attendre longtemps.

La belle nétherisse ténébreuse était vexée. Vexée d'avoir perdu le jeu mais aussi irritée de la petite remontrance que Valeria venait de lui lancer. Sigrid aimait jouer certes mais avant tout, elle aimait montrer qu'elle était la meilleure. Même si Hedda était son amie, elle ne supportait pas de s'être inclinée devant un vagin aussi ... timide habituellement. La grande dévoreuse de queue abandonna sa proie un court instant pour se relever et inviter la démone à s'allonger sur la margelle chaude du bassin. Elle glissa ensuite entre les cuisses qu'elle avait déjà couverte de baisers et retrouva le sexe énorme et raide qu'elle goba d'un trait. Elle s'étouffa furieusement et rota un geyser de salive quand ses lèvres se refermèrent à la base de cette queue. Sigrid prenait appui sur les genoux de Valeria et pompait ce dard de la manière la plus violente et la plus sale qui soit. Avaler une queue était un doux euphémisme pour elle, elle était passée à l'étape supérieure et se déchainait sur ce monstre de chair. La profondeur de sa gorge était démente et elle semblait ne pas avoir de limites. Bien sûr, son corps restait très humain et elle éructait et toussait à chaque fois qu'elle engloutissait l'objet de son attention. Un humain sur Terra aurait qualifié cette scène de dégueulasse et elle s'en foutait. Sa tête montait et descendait mécaniquement, frénétiquement. Son nez s'écrasait contre le pelvis tendre de Val et à chaque fois que ses lèvres se refermaient au plus bas de la colonne de chair, elle inhalait avec passion comme si elle en voulait plus. Ca ne lui suffisait pas, elle guida les mains de l'invitée sur sa tête. Le geste était explicit et si Valeria voulut tenter autre chose, elle la repoussait pour l'avaler en toute démesure. Elle grognait, haletait, toussait, ahanait en la dévorant. Elle y laissa la marque de ses dents, molesta chaque millimètre carré de ce sexe, perdit des tombereaux de salive à s'empaler la bouche de cette manière, utilisa sa langue comme seule ... une succube pourrait le faire. Hedda avait utilisé son vagin pour gagner, elle, utilisait son gosier pour mériter aussi un titre. Qu'importe ce qui se passerait après, elle œuvrait pour se faire remplir le ventre, mais d'une façon différente des autres demoiselles d'honneur.

Restreint dans l'esprit de sa maitresse, Sarkis haletait comme un jeune chiot. Il n'en pouvait plu et il avait besoin, physiquement, de faire quelque chose.

"Mais remplis la !! Je vais crever" pria t'il en transe à sa maitresse.

L'ombre propre de Sigrid dardait son aura auttour de la suceuse déchainée, décuplant ses compétences. Autour d'elle, l'eau fumait et s'évaporait sous l'effet de l'intense énergie développée par la jeune femme. Le musicien invisible avait changé son tempo pour une mélodie endiablée, complètement adaptée à l'état de transe qui accablait Sigrid. Les fleurs dans leurs jardinières de marbre tournèrent leur corolles vers la scène pornographique comme si elles ne voulaient pas rater une miette du spectacle. Les parfums se firent plus lourds et entêtant, diffusant leurs fragrances comme une drogue douce. Seuls les gémissements et les bruits de succions et autres éructations troublaient le bruissement de l'eau.

Soren et Hedda avaient trouvé la force de s'enlacer et baignaient dans une torpeur sexuelle donc elles ne se relèveraient pas avant un certain temps. Soren se caressait inconsciemment le ventre comme si elle y couvait un secret.

Un peu plus loin, Hella avait répondu à Valeria. Erika n'en pouvait plus de jouir et sa tortionnaire avait perdu le compte. Les fesses de la matrone portaient les marques  cinglantes de la cravache et elle s'accrochait à un coussin brodé comme à une ultime de bouée, désespérée, désireuse, assoiffée. Hella avait prit à la lettre les ordres de Valeria et deux énormes godemichets écartelaient l'anus de la doyenne. Si elle essayait de les ôter, elle recevait une claque sur les cuisses qui portaient déjà des marques de doigts. Elle se tortillait, bavait d'envie et hurla quand Hella plongea sa main dans son vagin inondé de plaisir.

Hella prenait sa mission à cœur et obéit à tout ce qui lui fut ordonné. Elle ne s'inquiétait pas pour elle. Elle savait que son tour viendrait et espérait recevoir une récompense à la mesure de son obéissance. Elle vint néanmoins s'approcher de Sigrid et lui parla en riant avant d'appuyer sur la tête de son amie pour l'inciter à maintenir ce rythme de folie. Elle alla ensuite puiser le sperme s'écoulant du vagin d'Hedda pour le faire ingérer à Erika. La matrone perdit aussitôt ses moyens et se tordit, peut être de plaisir, peut être de souffrance. A ce stade de l'orgie, plus rien ne comptait d'autre que la quantité de foutre que chacune pourrait garder en elles ...

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:47
par Valeria
La provocation avait un effet étonnant sur bien des gens. Bien utilisé, ce type d’attaque verbale pouvait amener la cible à faire ce qu’on attend d’elle tout en lui faisant croire – presque – que c’était son choix à elle.

Aussi, quand Sigrid la fit monter sur le dallage couvert de buée émanant des bains, Valeria avait déjà lu dans son esprit à quoi la belle oasienne la destinait. Elle s’allongea avec un petit sourire satisfait et regarda la femme à la fierté bafouée avaler sa queue avec un empressement plus grand qu’un poisson sur un ver juteux au bout d’un hameçon.

« Regarde bien ça Sarkis, tu vas adorer… »

Le mage en elle était complètement défait, presqu’effacé par les deux châtiments qu’il avait reçus. Pour peu, Valeria l’aurait cru éteint. Mais elle avait réveillé des hommes bien plus bas que ça dans sa longue vie et il reprit de ‘intérêt assez rapidement une fois qu’il eut virtuellement jeté un œil sur ce qui se passait.

Sigrid n’avait déjà plus de retenue, mais on aurait pu croire que si quand on vit à quel point elle s’abandonna à la fellation infâme à laquelle elle se livra alors. Plus rien ne comptait que parvenir à pomper les couilles du succube. Absolument plus rien. Débordement de glaires, toux baveuses, étouffement prolongé, jusqu’au bord de l’évanouissement, annihilation complète de toute volonté autre que celle de s’abîmer dans le plaisir qu’elle provoquait.

Valeria avait déjà subi pareils assauts, mais elle devait reconnaître que celui-ci figurait en très bonne place dans le classement.

« Mais remplis la ! Je vais crever !
- Tssss… Quelle impatience. Elle n’a pas encore donné la moitié de sa mesure…
- Qu… ?
- Oh oui, tu as bien compris. Je ne vais pas la laisser si facilement avoir ce qu’elle veut. Je sais bien que tu aurais déjà joui au moins trois fois à présent, et honnêtement, il y a peu d’hommes qui ne l’auraient pas fait. Elle a un art absolument… irrésistible. Mais je suis un succube, ne l’oublie pas. »

Elle lui sourit mentalement et laissa Sigrid s’acharner sur elle pendant encore une petite dizaine de minutes. Celle-ci lui demanda alors par gestes de lui baiser la gorge alors qu’elle continuait sa descente jusqu’aux tréfonds de sa propre débauche.

Valeria écouta les réponses de Hella à ses questions, la regarda s’occuper d’Erika. La pauvre femme payait extrêmement cher son manque de participation du début. Le cri qui s’échappa de ses lèvres lorsque le deuxième gobelet de foutre démoniaque lui fut déversé dans la gorge était explicite quant à l’état de plaisir et de manque cumulés qui la frappaient. Elle se tordit sur place, en proie à un orgasme si violent qu’elle aurait pu se blesser si Hella n’avait veillé au grain.

Toi tu es complètement finie. Quand je viendrai à toi, tu abdiqueras jusqu’à ton âme éternelle pour l’aumône de sentir le parfum de ma queue… Et quand tu auras assez supplié, je te défoncerai comme jamais tu ne l’as été.

Ce fut le déclencheur de ce qui s’ensuivit. Valeria retourna Sigrid sur le dos sans changer de position. Les mains crochées dans sa chevelure de jais, elle lui défonça la bouche et la gorge comme jamais, à la limite du supportable, raclant le long des dents, éjectant autant de glaires et de mucus qu’il était possible à la jeune femme d’en produire, cette bave se teintant légèrement de sang tant la gorge était à vif. Deux minutes. Intenses, ininterrompues, violentes. Aucune respiration. Aucune pitié. Aucune reddition tolérée. Un viol buccal comme cette tour n’en avait jamais connu depuis deux millénaires.

Puis le succube jouit abondamment, couvrant les irritations de son foutre chaud et épais, remplissant l’estomac avec délectation.

Elle se délectait aussi de l’ébahissement hagard aussi excité qu’horrifié de Sarkis, qui n’aurait jamais pensé imaginer que ce genre d’acte pouvait exister.

Elle se retira de la bouche de Sigrid et la regarda. La femme était anéantie. Elle haletait comme elle pouvait, cherchait l’air de toutes les manières possibles. Elle se relâcha, pissa vulgairement au sol avant de tousser si fort qu’elle vomit.

Valeria sourit, satisfaite.

« Ca, c’est ce que j’appelle une pipe ! » dit-elle joyeusement.

Haletante, Sigrid baignait dans son jus, indigne. Le succube la contempla un moment puis se détourna pour prendre la suite avec Hella. Mais un mouvement attira son attention. Avec un sifflement rauque, la femme tentait de se redresser. Elle essayait de parler aussi.

Valeria s’approcha pour entendre, mais seul un râle rauque sortit de sa gorge blessée. Elle lut cependant ce que voulait dire la femme dans son esprit.

« Pas fini… Je… Relever le défi… Au moins deux éjaculations… »

Elle sourit et la contempla. Elle était incroyablement belle dans sa totale débauche.

« D’accord. Je vais même te faire l’aumône de la possibilité d’en encaisser trois. Je vais commencer par ton cul. »

Oui, le cul était comme la bouche, il recevait un plaisir immense, mais la conscience n’était pas abdiquée comme lors d’un coït vaginal aussi intense que celui qui avait déjà démobilisé Soren et Hedda.

Valeria se fichait royalement des déjections qui venaient de salir le dallage. Elle s’agenouilla dans la pisse et écarta les fesses de Sigrid toujours à plat ventre. La petite rondelle s’ouvrait déjà alors que la femme l’invitait et s’offrait sans partage.

Elle s’enfonça en elle d’un seul trait, la colonne de chair épaisse raclant les parois, intestines, forçant leur écartement, obligeant l’intimité humaine à l’accepter. Elle était consciente de la douleur qu’elle infligeait à la jeune femme. Du plaisir qui l’accompagnait aussi.

Elle la tira par les cheveux pour l’obliger à se redresser et se mettre à quatre pattes. Puis elle se mit à la chevaucher joyeusement, avec une ardeur qui pourrait faire craindre qu’elle lui brise le dos si elle ne savait pas ce qu’elle faisait. Mais c’était le cas. On ne cassait pas ses jouets. Surtout pas un jouet de cette valeur. Sigrid était exceptionnelle et elle comptait bien le lui faire comprendre en la baisant comme jamais elle ne l’avait été.

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:47
par Ombre
La folie gagnait sur le politiquement correct du début de cette partie de jambes en l'air extrême. De lascives, délicieuses et attentionnées, les performances brisaient les règles du supportable et s'enfonçaient dans un bouillonnement d'actes sales et hautement pervers. Sigrid acceptait tout, sûre d'avoir déjà tout essayé durant sa longue vie. Elle était certaine de faire venir Valeria entre ses lèvres et était prête à avaler tout ce qui sortirait de cette queue, qu'elle qu'en soit la quantité. Ce qu'elle n'avait pas anticipé en revanche, c'était les capacités de la démone a retourné la situation comme bon lui semblait. Alors oui, une petite réaction égocentrique replaçant le succube en sa qualité de maitresse du sexe était bien sûr à attendre mais que Valeria décide de rendre cette gorge profonde encore plus ... sale, la surprit. Sigrid fut retournée et violemment comblée. les yeux noyés de larmes inévitables, la nétherisse subit un assaut des plus violents qui lui tordit le cou tandis qu'elle se faisait baiser la gueule. Il n'y avait pas d'autres mots pour décrire ce qui se passait et le corps de la démone s'activant au dessus de son visage n'incitait qu'à se soumettre docilement. Elle était faite mais cherchant toujours à obtenir ce qu'elle voulait, elle ouvrit grand la bouche et ses doigts se fichèrent dans la chair des fesses du succube alors qu'il la brisait sans merci. Même pour Sigrid, ce fut dur, et long. Elle perdit presque pied, s'accrochant à une odeur, celle de la peau de Val, à ses  grognements de plaisir, à la chaleur du marbre contre son dos. Sa gorge fut ravagée et tellement ramonée qu'elle en garderait des séquelles encore un moment. Elle eut du mal à ne pas s'évanouir, tenta de parler, racla la queue monstrueuse de ses dents tout en éructant, le corps secoué de spasmes violents. Avaler un sexe était pour elle une formalité mais avec le cou tordu et dans cette position, le membre de la démone se frayait un passage en écartant les muqueuses sans considération de douceur. Sigrid essaya de se redresser sur les coudes, fut réduite à subir cette horrible ... et si délicieuse ... gorge profonde. Elle sentit aux contractions saccadées de Valeria que l'orgasme était proche et quand la démone jouit, elle faillit défaillir. Si elle suffoquait jusqu'alors de cette queue qui lui occupait le gosier, alors elle faillit crever sous l'afflux de foutre qui lui remplit directement l'estomac. Fichée en elle, Val se déversait comme une cataracte, en quantités à peine croyables. le ventre de la jeune femme se gonfla instantanément sous la pression et elle rota un truc dégueulasse  tandis qu'enfin elle était libre de pouvoir respirer. Elle eut l'impression qu'on lui retirait un serpent de la gorge et la sensation était écœurante. La première vraie goulée d'air la déstabilisa, l'apport en oxygène dans ce milieu saturé d'humidité eu raison d'elle. Son corps la lâcha et sans honte aucune, elle urina, s'inondant les cuisses. La deuxième inspiration perturba son estomac et les yeux ouverts sur une panique surprise, elle se cabra sur le côté et vomit un flot continu de foutre collant et odorant. Son coude glissa dans la souillure et son visage s'écrasa dans cette mare immonde, l'odeur provoquant un nouvel épanchement. Du sperme, elle en vomissait encore et encore. c'était immonde. Elle resta un moment haletante à essayer de reprendre ses esprits quand elle vit les jolies jambes de Valeria s'éloigner d'elle.

L'esprit obtus de la jeune femme se rebella. D'accord, elle avait déjà fait des trucs crados, et pas qu'avec des humains. D'ailleurs une fois, avec un minotaure ... non, stop ! Elle n'était pas terminée.  Elle eut du mal à parler. Les mots qu'elle formulait en pensée sortait difficilement de sa bouche endolorie.

Pas fini ... Je ... Relever le défi ... Au moins deux éjaculations ...

C'était le minimum, une de plus que Soren et Hedda. Hella était un risque mais qui viendrait après et Erika était foutue de toute manière, elle ne comptait plus.

"Putain mais quelle salope!!"

Aux premières loges, Sarkis baignait dans une extase qu'il découvrait. la jouissance de Valeria, il l'avait vécu comme si c'était la sienne. La sensation était folle, il avait l'impression de s'être vidé complètement et le fait que ce ne soit pas physique ne le dérangeait en rien!

"Fais lui le cul, j'en rêve depuis longtemps!"

Il était loin le mage de combat fier et arrogant qui pensait ramener un nouveau trophée à Pénombre.

Les cheveux de Sigrid lui collaient au visage, couvrant ses yeux. Elle ne vit qu'au dernier moment Valeria la surplomber. A bout de forces, elle ne résista pas et hoqueta juste quand elle comprit ce qui se passait. Son sphincter charmant d'ordinaire céda sans résistance sous l'impulsion du sexe massif qui le pénétra. Ecartelée ainsi, Sigrid faillit sourire avant que la douleur atteigne son cerveau pour lui signaler que ce qu'elle prenait dans le cul n'aurait jamais dut pouvoir y entrer. Elle hurla, rit, hurla encore sous une pression plus forte et griffa Valeria. Contrainte à quatre patte, elle se fit défoncer comme jamais. La vapeur d'eau était tellement épaisse qu'on ne voyait plus qu'à un mètre. Filtrant le son de la musique, le nuage chaud atténuait la mélodie devenue endiablée. Les cris de Sigrid se noyait dans cette torpeur chaude et elle se blottit la tête dans ses bras, les coudes au sol, pour encaisser ce coït anal indécent. Clairement, elle se faisait péter le cul comme jamais et Sarkis l'abreuvait des pires vulgarités, incitant Val à plus de méchancetés. Pour lui, il n'y avait pas de limites et si Sigrid claquait, il s'en foutait.

La nétherisse fut admirable et au lieu de se cloitre dans une posture d'abdication, elle se forgea une carapace de vice et son esprit s'arma d'une volonté de fer. Ses cris devinrent gémissements puis rires déments, elle se cambra puis lança son corps à la rencontre de Val. Son anus pulvérisé lui faisait mal et elle utilisa cette douleur pour réagir. Elle était consciente, ayant régurgité une partie du sperme du succube, et n'était soumise qu'au vrai plaisir. Elle réussit à se libérer de cette étreinte et se retourna pour aller au contact. Elle était une combattante aguerrie, comme tout le monde ici d'ailleurs et la surprise aidant également, elle se jeta sur Valeria pour la pousser sur le dos. L'ombre e Sigrid pouvait être méchante et cruelle mais ça faisait parti de son charme. Elle s'empala le cul d'elle même sur la queue de la démone et bien agenouillée au dessus de sa maitresse, elle ondula comme une raie salope. Elle se caressait le ventre déformé par la masse du sexe qui l'occupait. Elle en suivit le contour de ses doigts fins en regardant Valeria d'un air presque mauvais. Elle s'exprima dans un langage courant absolument parfait. Le jeu continuait et elle suivait les règles édictées par le succube lui-même. Elle ne craignait rien.

"Tu es une vraie salope Valeria!"

La démone était couchée sur la margelle du bassin , la tête au dessus de l'eau, ses magnifiques cheveux noirs baignant dans le liquide. Sans une hésitation, Sigrid appuya sur le visage du succube pour l'immerger. Sa poigne était dure et elle savoura la surprise de sa victime avant de la ramener à la surface après quelques instants de torture. Elle l'embrassa passionément, la gifla, lui dévora la langue à nouveau avant de la replonger sous l'eau. La surprise n'était pas éternelle et elle savait que Val ne serait pas longue à réagir et tandis qu'elle aussi s'amusait à faire suffoquer sa maitresse à sa façon, elle se déchainait sur la queue vibrante qui lui perforait le cul. Son orgasme fut monstrueux et dévastateur. Elle hurla au visage de Valeria dont elle venait de tirer la tête hors de l'eau avant de s'effondrer sur elle. Il n'y avait pas de meilleur mélange que sexe, douleur et domination. Elle savait bien cacher son jeu.

"Et je suis sûre que tu adores ça ... maitresse ..."

Le baiser suivant fut le plus machiavélique qu'elle eut jamais donné. Elle venait de trouver partenaire et adversaire à sa mesure.

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:47
par Valeria
La rébellion de Sigrid forçait le respect. Ce que lui accorda Valeria en acceptant sa reprise des hostilités. Sarkis, lui, était complètement obnubilé par sa dépravation. C’était amusant de voir à quel point tous les hommes pouvaient se montrer identiques face à certains spectacles ou certaines situations.

« Fais-lui le cul, j'en rêve depuis longtemps ! »

Oh oui, ça, il en rêvait depuis des centaines d’années, de ce que Valeria pouvait voir dans son esprit laissé sans défense. Elle en profita pour subrepticement chercher des informations sur la magie des lieux et comment user de ses pouvoirs malgré elle, ou, mieux encore, avec elle.

Mais ce qui se passait face à elle ne lui laissa pas beaucoup de temps. Sarkis était complètement subjugué et quand sa queue entra dans le cul de Sigrid il jouit virtuellement une nouvelle fois. Val sourit.

Quel putain de frustré !

Le spectacle qu’offrait Sigrid était des plus débauchés désormais. Son corps couvert de fluides et de vomissures, ses cheveux maculés des mêmes déjections dans lesquelles elle s’était abattue sans aucune honte, tout démontrait une descente dans la souillure et la dépravation telle qu’elle n’en sortirait pas indemne.

La sodomie fut longue, intense. Jamais la nétherisse n’abdiqua, malgré les cris de douleur et de plaisir mêlés qu’elle ne manquait pas de laisser sortir à chaque coup de reins. Elle s’y refusait. Son esprit était inébranlable. Une véritable forteresse d’acier le plus pur. Valeria l’admirait. Non pas qu’elle ne pût pas la briser quand elle le souhaiterait, mais cette fierté qui était autant une qualité qu’un défaut à ce niveau forçait le respect. Sigrid avait depuis longtemps dépassé l’obéissance aux ordres de l’Impératrice. C’était personnel. Purement personnel, à présent.

Sarkis, dans son coin d’esprit, agonissait la jeune femme d’injures dont son austérité passée aurait pu laisser croire qu’il ne les connaissait pas. Il incitait son hôtesse à plus de dépravation, plus de sévices sur le corps parfait de la nétherisse. Il créait par-là même un lien, une connivence, avec elle. Un début en tout cas. Surprenant. Et plaisant. Il donnait pas mal d’informations à son corps défendant en ce moment. La partie détachée de la conscience de Valeria s’en abreuvait avidement.

Le succube se délectait de l’abandon actif de son amante. Elle ne faisait pas que s’offrir, elle participait de son mieux, malgré la position difficile dans laquelle elle se trouvait et qui lui offrait des possibilités restreintes.

L’avantage de la condition de succube était qu’elle pouvait transformer la douleur en plaisir. Elle pouvait aussi moduler son corps comme il le fallait pour servir au mieux son plaisir mais aussi – et surtout – celui de son partenaire. Autant elle défonçait Sigrid, autant elle ne franchissait pas les limites de celle-ci, se contentant de flirter avec elles par moments, mais ne franchissant jamais la ligne. Il eût été inconvenant de ne pas respecter l’offrande de Skuld. Et les femmes se donnaient comme très rarement elle l’avait vu. Il n’y avait rien à redire, bien au contraire !

Aussi Sigrid, malgré tout son ressenti douloureux, était-elle encore capable d’agir par elle-même de toutes les façons dont elle le voudrait, pour peu qu’elle en ait la volonté, ce qu’elle avait déjà plus qu’amplement démontré. Elle se dégagea subitement d’une manière que Valeria identifia comme de la lutte gréco-romaine. Enfin, ça se rapprochait de ça, parce que Terra n’était pas la Terre.

Surprise, elle se retrouva poussée au sol par une Sigrid qui la domina le temps de s’agenouiller et s’empaler elle-même sur sa queue. Son regard était celui de la salope ultime.

Tu mérites plus que largement le titre désormais. Mon foutre aussi d’ailleurs…

Mais on n’y était pas. Elle se mit à onduler sur elle, caressant son ventre déformé par la taille de ce qui le pénétrait, la regardant avec un vice qu’un démon n’aurait pas renié.

« Tu es une vraie salope Valeria ! »

Ah ? Elle parle ma langue ?

La surprise de Val fut oblitérée par la poigne ferme de la femme qui s’emparait de ses cheveux et lui tirait la tête en arrière pour la plonger dans le bassin. Elle ne s’était pas trop rendu compte qu’elle était si proche du bassin, mais c’était logique après tout. Elle s’y laissa maintenir un instant et apprécia la goulée d’air que lui offrit la femme avant de fondre sur sa bouche et l’embrasser à perdre haleine.

Sigrid se déchaîna : baisers affamés, succions, langue presque mangée par un enthousiasme effréné, gifles, nouvelles plongées en apnée dans le bassin et autres, bien des éléments de la palette furent utilisés. Le succube aurait pu croire que la femme était passionnément amoureuse et conquise tant elle y mit du cœur. Peut-être y avait-il un peu de cela d’ailleurs.

Lorsqu’elle émergea d’une énième plongée dans l’eau, elle fut assourdie par un cri violent de la femme en proie à un orgasme ravageur. Elle convulsait violemment sur elle, la main crispée douloureusement dans ses cheveux. Elle jouit longtemps et Val put se rendre compte de la profondeur de son plaisir. Probablement n’avait-elle jamais été poussée aussi loin dans ses retranchements et ce plaisir lui était en grande partie dû à elle-même, juste augmenté par l’essence du succube. Un cocktail dévastateur en réalité.

Sigrid s’écroula sur elle, essoufflée.

« Et je suis sûre que tu adores ça ... maîtresse ...
- Tu n’en as même pas idée ma belle… »

Le baiser dont la gratifia alors Sigrid aurait pu être le fait d’un démon, tant il était empreint de tout ce qui les caractérise. Valeria ne put que s’interroger sur ce point. Ces humaines étaient vraiment différentes. Il y avait un truc ici…

Profitant de l’épuisement orgasmique de Sigrid, elle reprit les commandes en la repoussant à son tour, la faisant rouler à plat-ventre. Elle se présenta derrière elle et l’empala à nouveau, lui arrachant un nouveau cri. La gorge de la jeune femme était dans un état déplorable, par moments, ses filets de bave étaient roses de sang. Elle se coucha sur elle, enserra sa gorge d’un bras ferme pour l’empêcher de crier, la maintenant dans un état de suffocation permanent, juste à la limite qui produit un plaisir supérieur.

Elle joua avec elle un moment, l’encula longuement, avec force bruits insanes, lui procura plusieurs orgasmes qu’elle avait plus que mérités et enfin lui offrit sa seconde éjaculation, intense et profonde, terriblement abondante.

Elle se dégagea lentement et se mit à genoux, contemplant le spectacle du corps et du visage de la femme totalement comblés, détruits, couverts de fluides aussi beaux qu’immondes.

« Récupère. Je t’attends. Tu as gagné le droit d’une troisième salve. Tu as aussi gagné ton titre. »

Elle leva la tête vers Hella et Erika, curieuse de voir comment ces deux-là vivaient les événements qui se déroulaient devant elles.

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:47
par Ombre
Chaque plan est défini par la nature même de l'objet de sa création. Ses particularités sont uniques et dédiées à sa seule reconnaissance. A la création des mondes, au commencement, le grand architecte ne se souciait pas de savoir qui peuplerait tel ou tel plan, pour combien de temps et suivant quelle évolution. Certaines créations favoriseraient l'apparition de la Vie et d'autres glorifieraient la Mort. Les seuls points communs reliant toutes ces conceptions étaient cependant la diversité et l'excentricité dont le créateur fit preuve durant son travail. Les milliards d'idées qui germèrent dans son esprit infini prirent forme pour intégrer l'objet de son projet. Il trouva une utilité  à chaque chose et se félicita de son ingéniosité. Cependant, aujourd'hui, même lui a oublié pour quelle raison, dans quel but, il créa le plan des ombres. C'était peut être l'un de ses premiers essais sur Terra, un canevas tissé puis oublié pour un autre, une œuvre inachevée et abandonnée aux prémices de sa destinée. L'image y était restée floue, les formes pas vraiment définie. La lumière n'y avait été que partiellement transmise par souci d'économie de puissance. Le potentiel de cet endroit aurait put être grandiose si l'Architecte de tout ce qui est ne l'avait pas délaissé aussitôt après l'avoir imaginé.

Et le plan des ombres était rester ainsi durant des éons, privé de toutes les joies de la création. Ce n'était qu'une ébauche et c'est bien pour cela que s'y aventurer nécessitait la plus grande des prudences. Tout y était faux et illusion, transgressions d'idées confuses et réalités tourmentées. On ne s'y orientait pas, on y naviguait à l'aveuglette, soumis aux besoins primaires de créatures à peine développées qui n'atteindraient jamais l'état de conscience. Un seul mot fiable pouvait définir cet environnement hostile où tout n'était rien et inversement: tromperie. Les sols quand il y en avait se dérobaient sous les pas et les mers de brumes noires à l'apparence paisible recelait d'effroyables tempêtes de Mort. Il y faisait froid, toujours, et l'élément le plus perturbant est que le bruit ambiant n'existait pas. Le silence était omniprésent, lourd, pesant et synonyme de terreur. Les choses vivantes se muraient dans un mutisme vital, sachant qu'il y avait toujours un prédateur de taille supérieure qui épiait la moindre présence. Définitivement, ce plan échappaient à toutes les règles des mondes vivants ou morts. Il était incomparable. Superposé au plan de la Vie de Terra, il n'en suivait aucune ligne ni aucune forme. C'était une chape opaque et invisible aux innombrables portes qu'il fallait apprendre à franchir pour rejoindre la lumière. Mais invariablement, le plan des ombres attirait toujours ses occupants à lui, comme s'il avait peur d'être totalement déserté.

L'ombre. A s'en user l'esprit, c'est le maitre mot qui revient en tout et pour tout. Chaque élément est fragmenté de ce terme. L'ombre est partout. Elle peut se mouvoir ou être inerte. Elle corrompt son environnement sous toutes les formes, gazeuses, liquides, solides. la matière est d'ombre et les choses qui peuplent ce plan effroyable en font partie intégrante.

Lorsque le peuple nétheril, pour survivre au désastre de la chute de leur empire, ne trouva comme solution que de s'y transférer par magie, cela avait été la meilleure chose à faire théoriquement. Ils savaient, d'après des écrits anciens, ce qu'ils y trouveraient. Comme tout et rien y signifiait la même chose, la perte de leur magie n'aurait plus de conséquence pour leur survie. En revanche, ils abandonnaient le monde des vivants pour une horreur où il leur faudrait combattre.

Les premiers temps furent cruels. Les nétherisses durent se défendre contre des choses qui ne les considéraient que comme de la nourriture. Les pertes en vie humaines furent élevées mais après des centaines d'années de combat, la supériorité des armées et des mages préservèrent la cité d'Aquila, devenue Pénombre. Il fallut faire avec ce qu'offrait ce monde et les plus grands thaumaturges découvrirent qu'une magie puissante, une magie d'ombre, était l'unique cadeau laissé par le Créateur en cet endroit. Privés de leurs pouvoirs terrans traditionnels, les mages étudièrent, développèrent puis façonnèrent cette magie pour leurs besoins.  Ses secrets furent percés et les possibilités offertes, infinies. Mais conçue pour ce plan, l'énergie d'ombre ne leur permettrait pas de revenir chez eux. Ils découvrirent aussi que le temps n'était pas un concept réel ici. Il ne coulait tout simplement pas. Chacun fut condamné à vivre sous l'apparence qu'il avait lors de la téléportation. C'était une chance pour certain et un grand malheur pour d'autres. Il y eut un prix à payer. On parle d'âme pour un humain. Dans le plan des ombres, la corruption de cette âme fut ce prix. Il s'y intégra un fragment d'ombre qui s'étendit en chacun comme un voile vivant et qui les ancra dans cette existence. L'ombre de chaque nétherisse est différente. Elle ne vit pas ni n'est une représentation sombre de l'être. C'est une entité jumelle qui reste généralement sous le contrôle de son acquéreur et qui lui confère une identité supplémentaire. Cette ombre peut agir en toute similitude tout comme elle peut s'étendre hors du domaine de l'esprit et de la maitrise du nétherisse. Le vieillissement des corps fut stoppé et des nouveau-nés ou enfants en bas-âge, peu survécurent aux premiers temps. En revanche, les enfants qui naquirent plus tard furent différents de leurs parents humains, hybrides à l'apparence changeante et suivant une évolution différente de leurs aînés. L'âge ne comptait pas et ils modelaient leur corps pour atteindre des performances optimales. Personne ne savait s'ils pourraient vivre ailleurs qu'ici. 

Ce peuple fait maintenant partie intégrante de ce plan et la cité de Pénombre, la gigantesque citadelle de l'impératrice, étend son aura ténébreuse sur un vaste territoire dont les frontières changent à chaque seconde. Protégé derrière un bouclier d'ombre, le complexe urbain a conservé sa splendeur d'antan. Seulement, de blanc éclatant, il a laissé un gris veiné obscurcir son flamboiement.
Skuld s'est désintéressée de l'orgie dans laquelle baigne Valeria et ses soumises. Comme chaque jour, si on peut appeler un cycle comme ça, elle reçoit les rapports sur l'évolution des travaux des mages. L'unique, le seul objectif est le retour à la vie. C'est l'idée qui obnubile chaque être de la cité et qui concentre tous les efforts. Les résultats sont peu probants, les lacunes en connaissances primordiales des origines, trop importantes.

L'impératrice reposent les documents qu'un courrier vient de lui faire parvenir. Rien de nouveau. Elle soupire avant de se concentrer à nouveau. L'arrivée de Valeria marque un potentiel tournant décisif dans l'histoire de son peuple. La démone est une clé qu'il va falloir polir avec attention pour être utilisée avec sagesse.

Les ébats de Sigrid et Val tournaient au pugilat où la force de 'une dominait l'autre. Fatalement épuisée, la nétherisse ne put maintenir son niveau de brutalité bien longtemps et succomba aux nouveaux assauts de la démone. Elle pataugeait et se débattait dans ses miasmes tandis qu'elle se faisait prendre les fesses avec une telle violence qu'elle tentait d'hurler à chaque pénétration. Elle jouissait comme jamais, sans retenue, contrainte et immobilisée. un voile d'ombre passa devant ses yeux alors qu'elle manquait défaillir encore une fois. la pression sur sa jugulaire limitait l'afflux sanguin et son cerveau, en manque d'irrigation, lui laissait entrevoir un plaisir vil et sournois. Son rectum détruit et douloureux n'en pouvait plus de cette sodomie sans limite et pourtant, malgré qu'elle saigne et gémisse, ce n'était que plaisir et volupté. Quand Val la remplit comme une outre, elle la suivit dans l'orgasme. Un geyser de foutre accompagna le retrait de la queue qui l'explosait et elle resta allongée, apathique, à respirer lourdement. Ca devenait dur, même pour elle, et heureusement, la petite phrase délicate dont elle fut l'objet fut une réelle récompense.

L'overdose de sperme dont Sigrid fut victime scella cette partie de l'orgie. Autour des femmes, la vapeur s'éclaircit avant de se muer en gouttelettes pour réintégrer le bassin. La pièce reprit son apparence d'origine, accueillante et parfumée. Les teintes des fleurs passèrent toutes au rose et le son harmonieux d'une harpe remplaça toutes les mélopées précédentes. Devant le nez de Valeria, les plus jolies jambes du monde attendaient patiemment. Hella, l'éternelle amoureuse, connue pour la bonté de son cœur dans toute la cité, attendait son tour. Derrière elle, à quelques pas, Erika gisait les yeux vitreux. Son corps était marqué de tout ce qu'elle venait de subir et tremblait encore des orgasmes qui l'avait dévasté. La matrone approchait le statut d'une loque et était prostrée dans une attitude pathétique. Elle avait vomi du sperme et des spasmes la tenaillait par instants.

"J'y suis allée un peu fort ..."
fut la seule excuse d'Hella. Et ce fut prononcé dans un langage aussi pur que celui de Sigrid.

La belle amante eut un doux sourire à l'attention de l'héroïque nétherisse dont les fesses déversaient encore le précieux nectar.


"Je ne veux plus attendre!"


Elle déposa sur les lèvres de Valeria un baiser d'une douceur infinie, contrastant avec la sauvagerie dont elle avait fait montre avec Erika. Ses doigts coururent le long de la gorge fine du succube avant qu'elle s'avance pour guider la tête de la démone entre ses cuisses.


"Occupe toi un peu de moi s'il te plait."

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:48
par Valeria
Avec la pause accordée à Sigrid, à son grand soulagement et son égal plaisir, Val sentit l’atmosphère de la pièce s’alléger. La vapeur se dissipa et… réintégra le bassin !

Wow !

La musique redevint un doux air de harpe très discret, l’ambiance redevint celle de l’arrivée de Val dans les lieux. Elle nota ces changements avec approbation et glissa dans l’eau. S’immergeant totalement un instant, elle ressortit en soufflant l’eau qui maculait son visage et passa la main dans ses magnifiques cheveux d’ébène qui se répandirent telle une corolle autour d’elle.

Elle se remarqua alors face à elle deux pieds mignons surmontés d’une paire de jambes à damner bien des saints. Hella. Sa nudité était un spectacle magnifique, son visage une ode à la beauté. Et son expression douce, presqu’ingénue, avait dû en faire craquer des milliers.

« Mais… Que fais-tu là ? »

Val vit alors derrière elle Erika affalée au sol. Elle avait régurgité du sperme dans lequel baignait son visage au regard vitreux. Son corps portait la marque de tous les outrages que cette ingénue devant elle lui avait infligés. Elle semblait encore jouir par moments, son corps prostré secoué de spasmes.

Elle hocha la tête, approbatrice et leva les yeux sur Hella.

« J'y suis allée un peu fort... » dit-elle dans un commun parfait. Elle avait une très belle voix. Val haussa les épaules.

« C’est le jeu. Si elle ne voulait pas subir ça, elle n’avait pas à rester à l’écart. J’espère qu’elle aura assez récupéré tout à l’heure, sinon demain elle sera seule à assumer ma nuit… Sauf si vous voulez vous joindre à elle, bien entendu. »

Elle sourit. Hella lui répondit d’un sourire elle aussi tout en regardant Sigrid dont le cul n’avait pas encore fini de se vider de tout le foutre qu’il avait reçu. Son regard trahissait son admiration pour ce qu’elle venait de traverser. Il fallait avouer que ce n’était pas un mince exploit !

Elle regarda Valeria. Un regard franc. Direct.

« Je ne veux plus attendre !
- Je l’aurais parié. »

Elle s’assit au bord du bassin, les jambes dans l’eau, et attira le succube à elle pour déposer sur ses lèvres un baiser d’une douceur aussi intense que son acharnement à punir Erika avait été violent. Elle posa une main caressante sur sa gorge et quand le baiser prit fin elle imprima une douce pression sur sa nuque vers son entrejambe pour bien marquer son désir.

« Occupe-toi un peu de moi s'il te plaît. »

Val ne releva la tête que pour lui signifier son accord d’une œillade ravageuse.

L’odeur de son désir était prégnant pour le démon. Ainsi guidé, il mit cependant un temps certain à atteindre l’objet de convoitise tellement prêt à l’accueillir.

Val attrapa une cheville et l’amena à sa bouche. Elle la lécha délicatement, appuyant sur les zones érogènes, prenant bien le temps de les stimuler tandis que sa main appuyait elle sur les zones sensibles du pied.

Lentement, elle remonta le long de la jambe, le mollet, l’intérieur du genou, la cuisse, l’aine…

Et recommença avec l’autre jambe !

Enfin, elle joua autour du sexe de Hella et quand elle sentit qu’elle était prête au-delà de tout, elle fondit sur sa proie avec une ardeur et une expertise à la faire basculer en un instant. Mais une seule jouissance ne serait pas assez et elle continua jusqu’à ce que Hella soit suffisamment comblée, apportant à tout ce qu’il était possible (et peut-être même inconnu de l’humaine) une attention de tous les instants, insérant sa longue langue en elle et parcourant son intimité dans toute sa splendeur, la goûtant jusqu’au plus infime suc.

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:48
par Ombre
Un peu de tendresse était bienvenue dans cette débauche sexuelle hors-norme. Toutes avaient fait preuve de créativité et d'endurance depuis le début de leurs ébats et il fallait bien qu'à un moment, l'une d'elle rappelle que la femme était par nature délicate, sensuelle et portée sur la finesse. En toute logique, cette tâche aurait dû revenir à Hedda mais les envies de la démone en avaient décidé autrement. L'image même de l'innocence gisait avec Soren, gavée de foutre et endormie, définitivement satisfaite de s'être faite baiser aussi intensément. Sigrid n'avait rien de la douce colombe aimante donc la question qu'elle s'implique dans un épisode mignon ne se posait pas. Et puis de toute manière, son anus béant lustré de sperme coulant tout comme le filet du même liquide filtrant entre ses lèvres montraient qu'elle avait passé le cap de la sensibilité. Restait donc Hella, la matrone étant aussi hors-jeu, qui avait tout pour convenir à un moment délicat.

L'amour entre femmes passait par une découverte intime où chacune exprimait par des gémissements et une grâce toute féminine le plaisir qu'elles prenaient. Valeria savait y faire et très vite la nétherisse rejeta la tête en arrière, les yeux mi-clos et la bouche entrouverte, pour apprécier la caresse. La jeune femme se contractait au fur et à mesure que l'exploration du succube l'approchait de la boite de Pandore. Les lèvres pulpeuses ne laissaient aucunes chances à l'acuité sensorielle extrême qui emballait Hella. Elle avait été spectatrice de performances incroyables et avaient suivi la perte de chacune de ses amies. Ses entrailles s'étaient tordues d'une envie difficilement contrôlable et elle aurait souhaiter elle aussi, subir les outrages de ses compagnes sans avoir trop attendre. Mais elle était disciplinée et avait exécuter les directives de Valeria sans protester. Elle méritait maintenant une récompense et après quelques longues minutes de découverte, Val plongea enfin dans son intimité.

Les nerfs d'Hella étaient à fleur de peau. Ses jolies jambes portaient les marques de mordillement de l'infatigable invitée. Elle ne voulait qu'une chose, se faire prendre et goûter à la semence qui rendait ses amies folles de plaisir. La douceur de la démone ne serait que temporaire, c'était évident et elle anticipait déjà ce qui fatalement, allait suivre. La Belle ondulait au rythme de la langue qui se mouvait en elle. Elle la sentait fourailler loin dans son ventre et ne s'étonnait pas de voir la peau de son entre onduler comme si un serpent se lovait dessous.

L'intendant de l'impératrice avait reçu les cinq femmes sélectionnées et les avait prévenues sans ambages de ce qui les attendaient. La nature particulière de l'invitée leur avait été révélée et une étude des capacités du succube leur avait été dispensée. Doublement sexuée, infatigable, magique, dotée d'une énergie sexuelle folle et capable d'évolutions physiques, le portrait dressé promettait une gageure à tenir. Et en plus de cela, l'ordre de satisfaire Valeria venait de l'impératrice elle-même. Elle devait avoir des desseins précis pour offrir cinq beautés à une parfaite inconnue. Il était hors de question de la décevoir et Hella s'était promis d'accepter tout et n'importe quoi tant que ça ferait la joie de la démone.

"Plus ... je veux plus ... Plus gros, plus loin!"

Ses doigts se perdaient dans la crinière noire qui s'agitait entre ses cuisses. Elle se mordait les lèvres pour contenir un cri qui aurait trahi son envie de s'abandonner à la jouissance. Hella releva les jambes et offrit son accès le plus étroit à la précision de Valeria. La petite rondelle rose, épargnée jusqu'à présent, distillait autant de désir que le reste de son corps.
Mais elle n'eut pas le temps de faire plus qu'elle jouissait violemment en s'accrochant à la tête de Val. Femme fontaine comme peu pouvaient l'être, elle inonda le visage de la démone d'un nectar odorant en resserrant ses cuisses tremblantes.

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:48
par Valeria
La jeune femme était parfaitement soumise. Valeria apprécia cette fraîcheur bienvenue tant la débauche d’énergie exigée par Sigrid avait été intense. Elle aurait pu continuer des heures durant, bien sûr, mais elle aimait aussi les variations de rythme. Il fallait avouer que les femmes avaient tout le temps mis la barre un peu plus haute, à croire que Skuld ne tolérait que l’escalade.

Puis venait d’apparaître cette belle ingénue – fausse ! – qui demandait gentiment un cunni…

Il fallut très peu de temps à Valeria pour mettre la femme dans un état satisfaisant. Son corps était aussi doux et moelleux qu’il en avait l’air, parfaitement délicieux. Et, sous-jacente, la même fermeté que celle dont elle venait de faire preuve vis-à-vis d’Erika.

Le succube joua longuement autour du sexe de la jeune femme avant d’enfin lui offrir la délivrance. Elle cherchait à résister, à faire durer le plaisir, pour une raison assez obscure à Valeria, sa demande ne pouvant que se terminer par son propre plaisir. Sans semence pour augmenter ses réactions ni annihiler sa conscience. Pas même l’oblitérer. A moins qu’elle ne joue la carte de l’égoïsme et veuille profiter le plus longtemps possible du temps qui lui était offert en tête à tête avec elle pour en retirer le maximum avant de finir dans le même état que ses sœurs de lit.

Elle mouillait abondamment, pour le plus grand bonheur de Valeria dont la langue n’en finissait plus de s’enivrer de ses jus et parfums intimes. Hella caressait sa crinière avec une douceur de moins en moins grande, un signe parmi bien d’autres qu’elle commençait à perdre le contrôle de son corps et que son plaisir arrivait au galop. Elle ondulait de plus en plus sous la langue experte qui lui fouraillait les entrailles, proche du plaisir, la lèvre mordue presqu’à sang pour garder encore un peu un semblant de contrôle, un pauvre semblant bien futile.

Amusée, Val la laissait s’offrir encore cette brève illusion, sachant d’expérience que son orgasme serait du coup encore bien plus violent. Elle adorait l’abdication de l’esprit au profit d’un ressenti pur et intense sous sa langue.

« Plus... je veux plus... Plus gros, plus loin ! »

Elle voulait offrir son cul, comme une amorce de basculement le révéla à son amante. Elle leva quelque peu ses jambes mais ce faisant elle présenta une zone qu’elle n’aurait pas dû à la langue bien trop habile. C’était fini.

Elle se mit à trembler, chavira, bascula, sombra en quelques secondes à peine. Son orgasme la renversa complètement, son ventre secoué de spasmes violents pour le plus grand plaisir du succube. Elle le surprit néanmoins car alors qu’il continuait de lui parcourir l’intérieur du ventre d’une langue aussi agile qu’habile, elle gicla sur son visage une cyprine visqueuse et odorante. Sa main toujours accrochée à ses cheveux l’obligea à recevoir plusieurs giclées abondantes avant qu’elle ne puisse plus tenir et se renverse complètement en arrière dans un râle d’abandon, de défaite.

Val profita de ces coudées laissées totalement libres pour finir le travail et achever le travail sur la belle néthérisse tout en la préparant pour la suite. Sa langue, ses mains, ses ongles, firent monter la pression d’encore un cran, laissant de longs sillons rougeâtres là où elle avait légèrement griffé sa peau d’albâtre.

Elle l’attrapa par les hanches, la fit doucement glisser dans l’eau. Elle se nicha entre ses cuisses et tandis qu’elle faisait passer ses magnifiques seins devant son visage l’empala lentement sur sa verge tendue à l’extrême. Elle la laissa se cambrer et profita de cette position qui rendait les seins bien plus proéminents pour leur administrer des attentions que l’humaine n’avait jamais expérimentées.

La taille de sa langue laissait des possibilités intéressantes et elle enroula un bras autour de la taille de Hella pour accentuer la cambrure tandis qu’elle s’éloignait de la margelle de quelques pas. Le corps de la beauté néthérisse s’empalait toujours plus profondément sur elle, son intimité tellement lubrifiée qu’elle l’accueillait sans aucun effort.

Valeria laissa son pouvoir se manifester et une seconde verge poussa entre ses cuisses pour venir se loger directement dans le fondement de Hella. Elle laissa son corps glisser jusqu’à ce que ses lèvres embrassent la base de la garde.

Elle accrocha son regard.

« Plus gros, plus loin ? Est-ce que ça te convient belle dame ? »

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:48
par Ombre
Hella riait d'un rire clair et cristallin. Quel bonheur d'être ainsi traitée comme une petite princesse. Bien qu'elle puisse être ardente avec ses partenaires, la nétherisse appréciait la précision et la douceur d'un acte voulu et recherché. Les grosses séances de baise la comblait bien sûr mais c'est dans la féminité de ses partenaires qu'elle puisait ses plus grands plaisirs. Et Valeria venait de lui prouver que ses choix en matière de sexe étaient bien les meilleures. Seule une femme savait réellement ce qu'une autre femme désirait. Certains mâles avaient quelques compétences quand à procurer un délice intime mais très souvent, ils se laissaient déborder par leurs propres exigences. Hella avait jouit sans complexes et la démone portait sur son visage les preuves qu'elle avait aimé son traitement. La nétherisse trouva Val très belle ainsi marquée et sourit gentiment en pensant à ce que l'impératrice réserverait encore à son invitée. Si l'idée d'être recouverte de fluides corporels plaisait au succube, alors elle serait comblée.

Mais pour l'instant, toute l'attention des deux femmes portait l'une sur l'autre, ou plutôt l'une dans l'autre. La langue de Val faisait des miracles et le premier orgasme passé, Hella ne mit que quelques instants à retrouver une énergie bouillonnante. Elle ne la laissait pas se reprendre. Les petits jeux délicats disparaissaient au profit de pressions plus marquées, de pénétrations plus appuyées. Dans son ventre, l'appendice oral de Val dansait un ballet endiablé et Hella s'approcha à nouveau dangereusement d'un orgasme.

Mais heureusement, la démone s'interrompit pour l'entrainer dans le bassin. Le couple se pelotait, s'embrassait, se mordillait, cherchant chacun à exciter l'autre plus encore. La scène n'était pas intimiste puisque l'atmosphère des lieux était revenue à la normale. Soren et Hedda ne se remettait pas de leur jouissance et conservaient dans leur sommeil le souvenir brulant d'une grosse queue les déboitant. La loque qu'était Erika restat échouée comme un animal rejeté par les vagues sur une plage. Etendue dans une position obscène, elle semblait être morte ... Et Sigrid ... Sigrid se tenait debout, fière et narquoise. Même si elle tremblait un peu sur ses jambes, elle avait fourni un effort surhumain pour se relever et défier Val du regard. Elle semblait dire "je suis plus forte que toi" mais dans son attitude, tout trahissait l'admiration qu'elle avait pour la démone. Elle avait réussi à s'épargner le sort de ses compagnes mais pour se le réserver plus tard, en privé, comme promis par Val. La nétherisse bronzée adressa un petit geste coquin et drapée dans sa nudité, disparut de la pièce par une sortie dérobée. Même détruite comme elle l'était, elle respirait la fierté et l'orgueil.

"Une sacrée baiseuse ..."
commenta Sarkis, émergeant lui aussi de l'océan de foutre virtuel dans lequel il baignait.

"Elle t'a eu hein? Tu pensais pas qu'une humaine te résisterait n'est-ce-pas? Notre monde te réservera bien des surprises."

Il se complaisait de la toute puissance de Pénombre, vantant ses splendeurs dès qu'il le pouvait. Le caractère de cet homme était un affront à l'humilité.

"Ne m'oublie pas!"

La douce voix d'Hella ramena son petit monde à sa présence. Elle rendait caresses et baisers à Val et malgré la lueur malicieuse éclairant son regard, elle ne se permit aucun commentaire sur la sortie de Sigrid. Valeria ne fut pas longue à l'empaler. Enfin! la jeune femme exhala un soupir d'extase en sentant le chibre investir ses entrailles dans sa totalité. Elle aussi enserra sa partenaire de ses bras et entreprit de malaxer cette queue bienvenue entre ses muqueuses.

"Elle, elle est trop douce ..." grommela le mage déchu. "Je m'emmerde déjà."

La seconde d'après, Hella hoquetait alors qu'une seconde verge s'emparait de ses fesses et y glissait aussi facilement que la première. Sa jolie bouche s'arrondit sur un joli "OH!" de surprise avant qu'elle plisse les yeux pour apprécier toute la longueur de la sensation.

Bien évidemment elle n'était pas vierge non plus de ce côté là mais contrairement à Sigrid, elle n'en était pas non plus une adepte assidue. Néanmoins, honorée par l'attention de Val à son égard, elle murmura un merci discret avant de mordiller l'oreille de la démone. Ainsi prise, Hella n'avait que peu de liberté de mouvement mais elle fit ce qu'elle put pour concentrer toute sa volonté à satisfaire les gros mandrins qui lui remplissait le ventre.

Oh oui c'était plus gros, et plus profond et oh oui elle aimait ça! Ses orifices distendus pulsaient autour de Val, aspirant à se faire remplir le plus possible.

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:49
par Valeria
Alors que Hella se remettait de son premier orgasme succubien, Val parcourut l’assemblée du regard.
La vue extrêmement satisfaisante de Hedda et Soren en train de péniblement récupérer dans les bras l’une de l’autre, la semence démoniaque maculant leurs sexes et leurs cuisses, et la main de Soren déjà inconsciemment posée sur son ventre fécondé provoqua un afflux immédiat dans les testicules de Val.

Erika avait totalement échoué dans la tâche que Skuld lui avait confiée. Elle gisait dans une position obscène, telle une âme perdue, dans une flaque de foutre qu’elle avait régurgitée et son corps maculé de cyprine et couvert des traces des sévices que Hella lui avait infligés.

Un afflux supplémentaire matraqua le bas-ventre du succube.

Cette fausse ingénue mérite décidément bien plus d’attentions qu’elle ne le laisse paraître.

Elle l’attira à elle tandis qu’elle continuait son inspection, cherchant Sigrid. Sigrid qui se tenait debout ! Flageolante, au prix d’un effort surhumain, mais debout. Elle lui lançait un regard qui se voulait narquois et fier, mais qui ne pouvait cacher ce qu’elle ressentait vraiment pour Val. Les cuisses toujours dégoulinantes de foutre, elle se détourna sur une moue que Val trouva terriblement excitante. Le succube répondit d’un signe de tête et un clin d’œil et la beauté néthérisse s’en fut lentement, cherchant à avoir une démarche digne mais n’y réussissant pas vraiment.

Va te reposer, tu l’as gagné. Notre nuit à venir sonnera le glas de toutes tes expériences passées et l’aube de ta renaissance sexuelle…

« Une sacrée baiseuse...
- Tiens ? Tu es toujours là toi ?
- Elle t'a eu hein ? Tu pensais pas qu'une humaine te résisterait n'est-ce-pas ? Notre monde te réservera bien des surprises.
- Elle est exceptionnelle, je te le concède. Mais elle ne m’a pas eu, non. Pour ça, il aurait fallu qu’elle reçoive ce que les autres ont reçu et qu’elle soit encore debout. Verdict lors de notre nuit ensemble. Et toi ? J’espère que tu ne t’évanouiras pas dans les limbes de ton plaisir virtuel après la première heure, petit scarabée. Tu n’as pas de raison de le faire puisque tu n’es pas la cible de mes pouvoirs physiques. Et pourtant, tu viens de le faire maintenant… »


L’âme de l’humain se renfrogna quelque peu sous la pique, ce qui amusa le succube. Il était si facile à choquer. Un délice.

« Ne m'oublie pas !
- Aucune chance ma beauté… »

La néthérisse était empressée, exaltée, amoureuse. Toutes ses attentions participaient d’un ardent désir de donner un plaisir maximal à son amante, mais dans un écrin de velours formé d’attentions et de douceurs.

Empalée et glissant lentement vers une possession totale de son corps par le succube, elle s’attachait habilement à lui provoquer de sa bouche et de ses mains toutes les caresses, baisers et autres attentions dont elle était capable.

« Elle, elle est trop douce... Je m'emmerde déjà.
- Tu apprendras la valeur d’une amante telle que Hella avec le temps. Tu es tellement frustré qu’il te faut tout, tout de suite, et avec une violence née d’un total manque de confiance en toi. Tu n’es pas prêt pour elle. Mais vu le temps qu’on va passer ensemble, je te le ferai comprendre. Tu as été complètement baisé par ton Impératrice, presque jusqu’au point d’annihilation. Dis-toi bien que ce que je te réserve est du même acabit, sauf qu’ici tu nageras dans un tel stupre que tu ne voudras plus jamais le quitter. »


Et tu me vendras ton âme…

Hella soupira longuement, un soupir qui se mua presqu’en râle quand la queue acheva sa pénétration en investissant son utérus jusqu’à le distendre. Rien que cette pénétration l’amenait à un stade de plaisir intense ! Et pourtant elle ne cessait pas de couvrir le succube de ses attentions.

Agréablement surprise, Val matérialisa une seconde verge qu’elle enfonça sans attendre dans son cul, où elle s’inséra avec la même aisance que dans son ventre. La néthérisse hoqueta en se sentant ainsi investie, emplie comme jamais.

« OH ! »

Elle se mit à mouiller comme une folle, les yeux plissés pour mieux apprécier ce qui lui arrivait. Elle la remercia en un doux murmure avant de se mettre à mordiller l’oreille de Val, qui elle se mit à onduler lentement et amplement, sortant presqu’entièrement de la jeune femme pour y rentrer tout aussi entièrement et provoquer par ce faux rythme une ambiance de plus en plus hypnotique et enveloppante, berçant Hella dans un carcan de plaisir intense.

Les caresses, les baisers, les griffures, les attentions linguales diverses se succédèrent pendant une bonne heure, le succube veillant à provoquer plusieurs orgasmes intenses chez son amante afin de s’en repaître avidement.

Hella adorait ce qui lui arrivait. Val pouvait ressentir tout ce qu’elle ressentait, plongeait dans son esprit pour y trouver tous ses désirs enfouis, certains surprenants d’ailleurs. Il faudrait bien des nuits en réalité pour tous les assouvir. Le corps de l’humaine faisait son maximum pour offrir le plus possible de plaisir à l’être démoniaque qui le soumettait à son joug. Parfaitement enserrées, jugulées, massées, les queues ressentaient de plus en plus de sensations.

Au dixième orgasme de la jeune femme, ou était-ce le quinzième ? Valeria avait perdu le compte car peu lui importait au final. Elle lui prit le visage entre ses mains et fixa ses yeux.

« Tu es prête ? »

Elle l’embrassa tendrement et tout en continuant de la prendre sur ce même faux rythme s’abandonna à la jouissance. Elle emplit rapidement ses deux orifices, mais continua à jouir, encore et encore, gorgeant le corps de la beauté docile d’un foutre épais et fécond, sans jamais cesser de l’embrasser ni lâcher son regard, se repaissant totalement de son plaisir, de son abandon puis, enfin, de son basculement dans l’oubli. Et même après qu’elle fut devenue pantin désarticulé entre ses bras, elle la besogna encore et la remplit encore.

Enfin, elle sortit de l’eau et en tira Hella pour la déposer auprès de Soren et Hedda, laissant de larges trainées de foutre derrière elle. Le corps de la jeune femme convulsait quelque peu et subissait le joug d’orgasmes réguliers, répétés, intenses, malgré son inconscience. Elle n’allait pas émerger de sitôt.

Val posa successivement la main sur les trois ventres et hocha la tête avec satisfaction. L’hospitalité de Skuld était honorée par ces cadeaux inestimables qu’étaient des enfants de Pénombre et de l’Enfer.

Elle se releva et s’approcha fièrement d’Erika qu’elle retourna sur le dos d’une poussée du pied. Elle aurait dû avoir émergé maintenant. Sa réaction était étonnante. Val s’accroupit à ses côtés, sa queue laissant un filet de semence couler jusqu’au sol, et la toucha pour l’examiner. Ce n’était pas parce qu’elle avait subi une remontrance qu’elle devait se laisser abattre. Et jouir à profusion sous des attentions humaines, même sous l’effet du foutre démoniaque, ne devrait pas l’empêcher de reprendre le dessus.

« Et alors, belle matrone ? Qu’est-ce qui t’arrive ? »

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:49
par Ombre
Cette journée mémorable resterait à jamais inscrite dans les annales de la cité de Pénombre. Par bien des aspects et pour des raisons, la présence de Valeria en ces murs réveillait des espoirs éteints ou endormis depuis longtemps. Des rumeurs guidées par ce qui était vrai s'insinuaient de demeure en demeure et tout un chacun avait su très rapidement qu'un grand évènement se profilait. Isolé depuis si longtemps dans ce plan hostile, le peuple nétheril ne croyait pus en un retour dans le monde des vivants et ce qu'ils avaient cessé d'attendre venait d'arriver. Bien entendu, le collectif de cette nation œuvrait toujours à la recherche d'une solution pour renaitre mais les échecs accumulés avaient usé même les plus assidus. L'impératrice et les archimages assuraient toujours leur rôles de dirigeants et ne se permettaient pas d'abandonner. De leur volonté seule tenait la survie de cette nation jadis si puissante. Leurs efforts étaient loués en toute honnêteté car ils souffraient et bataillaient bien plus que le commun des citoyens. Seulement, trois millénaires étaient difficiles a surmonter comme épreuves de l'esprit.

Valeria ... Ce prénom était murmuré sur toutes les lèvres. un être puissant qui s'était débarrassé d'un mage de combat comme d'un nouveau-né et qui était à présent considéré comme un hôte de marque. En elle, l'impératrice attendait ce qui manquait tant, une nouveauté, des informations ... une solution. Les soldats de la patrouille qui l'avait découverte avait ru l'autorisation de s'exprimer sur l'invitée et des commentaires flatteurs accompagnaient la description qu'ils en faisaient. Aux femmes et aux enfants, ils vantaient la beauté de la créature. A leurs camarades ou à l'abri des comptoirs des tavernes de la cité, leur langage était plus crû, bien plus précis tout en étant vulgaire. Ce qu'il ressortait était que la démone, puisque tous savaient quelle était un succube, était foutrement baisable. Les mœurs nétherisses avaient été en avance sur leur temps, à l'époque d'Aquila. la monogamie était généralement de mise mais les plaisirs étaient volontiers partagés. Avoir plusieurs partenaires, quelque soit leurs sexes et leur nombre simultanément, ne choquait pas. Bien des guerres avaient été évitées par des négociations de plumards et à tous les niveaux de la société, le sexe était considéré comme un élément essentiel de la sérénité impériale. Bien évidemment, le cas de l'impératrice n'était jamais abordé par respect, et par peur, mais il pouvait se dire que la très aimée Skuld n'échappait pas à cet état esprit. Elle faisait la guerre quand c'était nécessaire et se rassasiait d'amour pour l'oublier. Ainsi fonctionnait cette société avant-gardiste et c'est donc tout naturellement que l'orgie qui se déroulait dans les hauteurs du palais avait l'approbation de tout un peuple. Skuld n'était pas la seule a avoir un œil sur l'évènement et quelques puissants se délectaient tout autant de ce spectacle ... discrètement.

La réputation d'Hella allait avec son caractère. Tout en elle n'était que douceur et délices et pas un geste maladroit ne venait troubler sa perfection. Même dans la jouissance, elle était gracieuse. Son corps se déliait comme une liane, souplement, superbement. Ses gémissements étaient mélodiques et l'invisible musicien lui-même s'émouvait de cette mélopée divine. La belle nétherisse ne comptait plus ses orgasmes. Les membres la possédant lui retournaient les entrailles et d'un côté comme de l'autre, elle s'évertuait à les garder le plus longtemps possible en elle. Elle faisait preuve d'endurance, et de générosité aussi car Valeria put aller aussi loin en elle comme dans aucune autre de ses amies. Leurs ébats n'étaient que baisers humides, pénétrations passionnées et sodomies brulantes. les orifices possédés par la démone l'aspirait, s'agitaient, se comprimaient autour d'elle pour en extirper ses sucs vitaux.

"Plus fort, encore..."

Hella demandait, priait, toujours de ce timbre si doux qu'elle aurait fait fondre le plus fanatique des prêtres sur Terra.

L'enchainement d'orgasmes innombrables vint à bout de cette tendresse exacerbée. Hella jouit tant que son corps la trahit et qu'elle hurla son plaisir en déchainant sa passion sur Valeria. Elle la laboura de ses ongles et la mordit profondément. Les yeux révulsés, elle se tendit, comprimant en elle les deux gros membres qui la prenait. Sa pression libéra celle de Val qui se déversa en elle. La vague subite de semence qui lui remplit le ventre termina de la détruire et elle rit à gorge déployée quand un dernier orgasme la foudroya. Enroulée autour du succube, elle parvint à murmurer un remerciement dans un râle de bonheur, suivit d'insanités que personne ne parvint en entendre tant elles furent dites ensuite avec douceur et discrétion.

Hella rejoint le groupe des comblées et s'immergea dans un rêve de stupre où la naissance d'un enfant désiré prit le pas sur toute autre considération. Son ventre et ses entrailles libéraient des flots de sperme qu'elle tenta de garder d'une main. Après elle se recroquevilla en position fœtale et oublia le monde.

Erika ... ou l'abaissement d'une femme fière dans les tréfonds de l'humiliation. Le caractère de la matrone était bien trempé. Elle avait été honoré de recevoir pour mission d'assurer le bien être de Valeria. Ce qui lui avait échappé était qu'elle intervenait au même titre que ses quatre compagnes. Son expérience devait servir d'exemple et pas de lui octroyer une supériorité qui la servirait, elle. Le prix à payer pour cette erreur était lourd. Un rappel de l'impératrice elle-même signifiait des ennuis à venir et Erika n'avait pas eu le temps de se rattraper qu'une tornade sexuelle s'était abattu sur elle. Noyée dans une démence provoquée par l'absorption de sperme démoniaque, elle n'avait pu que subir les outrages de Hella qui l'avait réduite à l'état de loque. Elle aurait voulu ravaler sa fierté et s'excuser auprès de l'invitée mais les fluides l'imbibant l'empêchait de faire le moindre geste. Leurs effets étaient puissants et la consumait de plaisir. Elle avait vomi des flots de semence, l'esprit enfiévré, soudoyé, perverti par cet afflux de pouvoirs dominant. Elle savait qu'elle n'était plus rien et malgré cet outrage à sa personnalité, elle ne demandait qu'à écarter les cuisses pour se faire prendre.

C'était son tour. Ses sens lui indiquait qu'elle était la dernière. basculée sur le dos comme on retourne un pot pourri, elle éructa un flot de foutre qui lui inonda le visage encore une fois. Elle toussa et tourna la tête pour ne pas s'étouffer. Elle était tellement pleine qu'elle se sentait comme une outre. Son regard vitreux parvint à se poser sur Val et elle essaya de parler. De ses lèvres ne sortirent que des suintements visqueux et dans un effort immense,  elle parvint à ravaler ce qui s'apprêtait à jaillir de sa bouche. Elle tendit faiblement la main et put saisir la cheville de la démone. Difficilement, elle écarta les cuisses et exposa son vagin explosé.

"Baise...moi" fut la seule chose qu'elle put geindre avant de se tordre et vomir encore une fois un flot de foutre coloré.

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:49
par Valeria
Alors qu’elle s’accroupissait sur la pauvre Erika, le regard de Val fut attiré par un mouvement de Hella. Dans les brumes de son inconscience, elle cherchait à retenir le sperme qui s’échappait d’elle. Effort vain mais révélateur : elle voulait l’enfant que le succube venait de déposer en elle. Val sourit.

« Ton vœu est exaucé ma belle… » souffla-t-elle.

La main toujours glissée entre ses cuisses, Hella posa la tête sur les cuisses de Soren et sombra totalement alors que son corps subissait encore le joug d’orgasmes épisodiques. Le succube referma la page et revint à Erika qui venait de recracher une petite quantité de foutre épais mêlé de salive gluante.

Elle l’étudia un moment. La femme était tombée excessivement bas. La punition décidée par le succube et infligée par Hella avait été extrêmement sévère. Pourtant elle avait tenu. Difficilement, en l’état. Son corps tremblait sous la latence d’orgasmes encore à venir. Elle semblait particulièrement réceptive à sa semence. Qu’est-ce que ça serait quand elle recevrait son dû au fond de son utérus…

Malgré tout, Valeria sentait sa conscience chercher à émerger. Une combativité remarquable se manifestait en elle. Elle chercha à mieux comprendre, plongea dans ses pensées conscientes. Humiliée au-delà de toute rédemption, elle voulait malgré tout honorer la tâche qui lui avait été confiée. Et effacer le désaveu de Skuld. Elle savait pertinemment que sa remontrance ne resterait pas sans conséquence. Elle ne savait pas si elle pourrait obtenir le pardon impérial. Ni combien de temps cela prendrait.

Tout ce qu’elle savait, c’est que c’était son tour. Elle se battait pour revenir à l’état conscient. Elle voulait honorer son rang. Ce rang qu’elle allait probablement perdre.

Val la regarda. Elle ne méritait pas pareille déchéance. Elle avait juste péché par léger orgueil. Ou mal compris les directives. Elle pensait coordonner les autres et ensuite prendre son tour. C’est pourquoi elle attendait lascivement sur la margelle quand Skuld l’avait harponnée.

Rien de dramatique. Et Val estimait qu’elle avait bien suffisamment été punie.

« Baise… moi… » parvint-elle à émettre avant qu’un nouvel orgasme la foudroie et qu’un autre jet de foutre giclait de son gosier.

« D’accord. »

Le succube glissa une main caressante sur sa joue, puis attrapa ses cheveux dans lesquels elle s’agrippa. Avec dureté, elle se redressa et souleva Erika à sa suite.

« Mais pas dans cet état. »

Elle la traîna sur le sol, dans l’eau, la bave, le foutre, la pisse, la cyprine et toutes les autres sécrétions qui maculaient le dallage puis la jeta dans le bassin. Elle y entra à sa suite tandis que le corps tressaillant sous le plaisir coulait lentement. Elle empoigna ses cheveux, sortit sa tête de l’eau. Elle posa sa seconde main sur sa gorge, épousa parfaitement celle-ci et dégagea une vague de pouvoir.

Elle l’embrassa avidement, conquit sa bouche jusqu’aux profondeurs de sa gorge. Elle la goûta longuement puis la plongea dans le bassin. Totalement. En même temps, elle utilisa son pouvoir régénérant et vida la matrone de toute fatigue ou tout fluide parasite. Elle lui offrit une régénération physique complète, la ramenant à un état de forme optimal.

Elle la sortit de l’eau et la fixa  droit dans les yeux, à quelques centimètres à peine de son visage.

« Pour moi ton faux pas est oublié. Maintenant, fais ce pour quoi tu as été élue par Skuld. Satisfais-moi et je veillerai à ce qu’aucune conséquence ne te frappe. »

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:50
par Ombre
Erika ne put exprimer ni sa douleur, ni sa surprise. Habituée à l'élégance de la cour impériale, ses ébats avaient toujours quelque chose de faussement puritain même si c'est elle qui les dirigeait d'une main de fer. La souffrance et l'abstinence sexuelle ne faisaient pas partie de son quotidien et même si Pénombre recelait de luxure et bien souvent de dépravations, ce n'était pas son univers tout simplement. Elle aimait dominer ses partenaires mais le plaisir s'arrêtait proprement une fois l'orgasme atteint. Cette folle séance décadente avec Valeria l'avait entrainée dans une spirale surprenante où malgré les affres de ce qu'elle venait de subir, elle avait éprouvé un plaisir qu'elle n'avouerait jamais. Que cela avait été bon d'abandonner les rênes du pouvoir pour être utilisée comme une souillon par Hella. Qu'elle avait joui de tout ces tourments abjects où son corps n'avait été qu'une simple chose sans importance. L'aveu était silencieux et le resterait surement .

Valeria venait de la jeter dans l'eau sans ménagement. Le supplice continuait mais Erika priait pour que survienne ce qu'elle attendait depuis le début: se faire troncher par cette grosse queue qui venait de détruire les quatre suivantes. La matrone puait le foutre et tout un tas d'autres matières corporelles qui auraient fait fuir même le plus affamé des rats.

Elle n'avait pas la force de lutter pour elle-même et son esprit s'emballa quand elle s'aperçut qu'elle allait se noyer. Son ombre ne l'aidait pas et elle paniqua. Le jeu allait se terminer ainsi, par sa mort, et Val remercierait l'impératrice pour ce sacrifice amusant. Quelle triste fin pour celle qui se croyait supérieure à bien d'autres. Les faits prouvaient qu'elle s'était surestimée et que quatre partisanes avaient joué bien mieux qu'elle. Mais la délivrance vint de la démone qui lui sortit la tête de l'eau sans douceur. Erika ne sut s'expliquer ce qui se passa. Elle prit de plein fouet une onde de pouvoir mystique avant que  Val ne l'embrasse  goulument, envahissant sa gorge d'une langue curieusement très longue. Elle ne contrôla pas son réflexe nauséeux et rendit au visage de sa propriétaire une partie de son sperme qu'elle avait ingéré. La seconde d'après, elle retrouvait la profondeur du bassin et libéra une tornade de bulles d'air quand elle voulut crier. Son retour à la surface fut énergique et des deux mains, elle serra les poignets de Valeria pour lui faire vivre une remontrance piquante. Mais elle ne se fâcha pas. Elle était en pleine forme, régénérée, forte d'un potentiel sexuel entier et le corps plein d'une énergie qu'elle croyait perdue. la démone était proche et ses yeux luisaient de malice. Tout venait d'elle. Son essence profonde jouait de la situation et elle prenait sans limites le cadeau que Skuld lui avait fait. Elle avait toute autorité sur les cinq femmes et c'est ce qu'Erika n'avait pas compris dès le début. Elle était vexée, sa susceptibilité en avait pris un coup et il fallait qu'elle revoie ses aspirations mais cette seconde chance qui s'offrait à elle, il ne fallait pas qu'elle la laisse passer. Elle hocha du chef pour indiquer à Val qu'elle comprenait et dès que le succube eut terminé sa tirade, elle se jeta sur elle pour l'embrasser follement. Valeria reçut de plein fouet le corps tonique de la matrone. Le contact les emporta et ce fut au tour du succube de plonger sous l'eau, mais avec au-dessus d'elle une folle furieuse qui l'embrassait passionnément. Ce ne fut que quand ses poumons hurlèrent de terreur qu'Erika refit surface, tirant son égérie nouvelle par les cheveux. Elle se dirigea vers la margelle. Elle devait être intègre et honnête, ne pas mentir sur qui elle était et satisfaire Valeria de cette manière. Sans douceur, elle écrasa Val sur le bord du bassin, la poitrine sur les carreaux mouillés. La démone avait un corps de rêve et ses fesses qu'Erika s'offrait, étaient  un hymne à la luxure. La matrone s'agenouilla derrière et glissa sa langue dans la raie pour exposer la rondelle dédiée à bien des usages. Elle la perça de son appendice explorateur et dégusta les fragrances des reins de Valeria sans pouvoir atteindre malheureusement les profondeurs dont était capable l'invitée. Néanmoins, à grands renforts de coups de tête, elle parvint à faire de cet orifice serré un terrain de jeu fort délectable.

Le fist faisant partie de l'ambiance locale, elle décida d'investir le vagin démoniaque comme Sigrid l'avait fait auparavant. Elle ne rencontra aucune résistance et sa main serrée en poing tamponna rapidement dans les chairs molles de sa partenaire. Elle s'en donna à cœur joie et n'ayant aucune restriction, put l'embrocher jusqu'au coude. C'était facile, comme si Valeria avait fait cela toute sa vie, ce qui était surement le cas d'ailleurs. Erika déposait sur ces fesses offertes des myriades de baisers reconnaissants. Sa main libre pinçait et molestait un téton érigé, preuve que le traitement fonctionnait. Elle s'en réjouit et murmura un "Merci" sincère  à celle qui la sauverait ... peut être.

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:50
par Valeria
La matrone mit un peu de temps à comprendre ce qui lui arrivait, poupée de chiffons entre les mains d’un succube gorgé d’énergie sexuelle. Au départ, elle ne se débattit même pas, s’enfonçant dans les flots sans réaction si ce n’était une panique intense.

Puis elle fut remontée. Sans plus comprendre. Puis frappée par le pouvoir, envahie par la langue immense de Valeria jusqu’à la nausée. Le démon n’en avait cure, il en avait vu bien d’autres, bien pires.

Puis le second plongeon, qui lui la révolta et créa en elle un sentiment de révolte.

Parfait !

Révolte qu’elle ne put exprimer, immédiatement coupée dans son élan par le discours de Valeria et la prise de conscience de ses capacités retrouvées.

Il ne lui fallut pas une seconde de délai pour appréhender la chance qui lui était offerte et la saisir à bras-le-corps.

Valeria se retrouva ainsi submergée par un élan de passion qu’elle attendait mais n’espérait pas si vite. La femme  se rua sur elle et l’embrassa comme si sa vie en dépendait. C’était peut-être le cas, pour ce qu’elle en savait. Elle l’enlaça et répondit avec la même fougue, la même faim.

Les corps coulèrent et les mains de Valeria se mirent à courir partout sur la peau d’Erika : son dos, ses fesses, ses cuisses, ses épaules, sa nuque et sa courte chevelure furent explorés, palpés, « optimisés » par des caresses efficaces sur les zones érogènes. Ce corps était voluptueux, rond, girond, mais également musclé et à l’arrivée du bout de ses limites la matrone dut se résoudre à remonter et emmena le succube à sa suite.

Les baisers enfiévrés continuèrent de plus belle, avec une Erika qui se montrait sous son vrai jour et repoussait petit à petit Valeria vers le bord du bassin. Arrivées, elle rompit l’étreinte et retourna le succube pour le plaquer contre la margelle, ses seins magnifiques reposant sur le dallage froid. Sans attendre, les mains de la néthérisse coururent sur elle, son ventre, ses sexes, puis elle lui claqua le cul et s’agenouilla derrière elle pour s’en repaître.

Sans attendre, sa bouche et sa langue investirent son cul rebondi, ses mains écartant les belles fesses pour mieux permettre l’intrusion voulue. La langue était agile, la bouche habile, et Valeria apprécia rapidement les attentions qui lui étaient prodiguées. Erika l’empêcha de bouger par plusieurs bourrades impérieuses qui la maintinrent contre le rebord, mais quand elle entendit les longs soupirs, elle lui laissa une légère marge que le succube ne mit à profit que pour mieux se cambrer et s’offrir.

Les mains d’Erika entrèrent alors en action, l’une sur son sexe féminin et l’autre sur son corps. De longues et belles caresses érotisantes amenaient des frissons sur la peau sombre, faisaient saillir les tétons à outrance, tandis que l’autre main trouvait rapidement le chemin du vagin et s’y engouffrait entièrement sans aucun besoin de délicatesse, Valeria étant plus que prête à l’accueillir.

« Aaaannnhhh c’est… bon… »

Elle sentait que la matrone était de retour. Son esprit dominant, son comportement directif, Valeria se soumit naturellement.

Et le plaisir afflua.

Les attentions conjuguées d’Erika sur sa peau et son cul que, quand elle ne l’investissait pas, elle couvrait de baisers enfiévrés en murmurant de doux remerciements pour la chance qui lui était offerte de se racheter, furent couplées avec un fisting de haut vol. La néthérisse ne devait pas avoir eu l’occasion d’en pratiquer beaucoup de ce type – elle enfonçait jusqu’à l’entièreté de son avant-bras en elle ! – elle y mettait une sacrée ardeur et le résultat était des plus convaincants, comme elle put le remarquer rapidement avec un afflux régulier de cyprine puis plus abondant quand la première jouissance prit possession du con malmené.

Valeria pourrait continuer des heures ainsi, mais elle bandait comme une folle et ses couilles menaçaient d’exploser tant son excitation prenait de l’ampleur.

« Ah ! Oui ! Encore… Continue… »

Elle tourna la tête un court instant pour croiser le regard de la belle.

« Malmène-moi, emplis-moi et vide-moi à la fois ! »

Le succube prenait son pied. Il avait dominé les quatre autres, un petit changement de perspective n’était pas pour lui déplaire. Sa queue se mit à pulser spasmodiquement, si Erika maintenait le rythme, dans très peu de temps elle allait jouir là aussi, sans aucune stimulation directe !

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:50
par Ombre
Les approbations et les gémissements de Valeria sonnaient comme les cloches de la victoire. Plus le succube prenait de plaisir, plus Erika voyait s'éloigner le spectre de la punition peut être mortelle qu'elle sentait toute proche. Ce n'était que spéculations car malgré la bienveillance de Skuld à l'égard de son peuple, l'impératrice pouvait se montrer dure et intransigeante. Son ombre était à la hauteur de son rang et quand elle libérait cette noirceur qui était en elle, elle pouvait être capable de choses que personne n'osait murmurer, même dans les lieux les plus secrets de Pénombre.
Avoir la mort à ses trousses permettait de libérer une énergie qu'habituellement il serait bien difficile d'acquérir. Sarkis commenta alors assez bien l'attitude d'Erika en termes très vrais.

"Elle crève de peur ..."

Il ne pouvait pas se tromper puisque quelques instants auparavant, il était dans le même état. L'homme qui avait été un puissant mage de combat s'était d'ailleurs juré d'éviter tout nouvel impair. Sa période de repos en tant qu'invité de l'esprit de Valeria lui avait permis de comprendre que la situation qu'il vivait n'était pas forcement un calvaire. Il y avait du bon à vivre ce nouvel état, notamment en termes d'acquisition de connaissances. Quand il réintègrerait un corps, quel qu'il soit, il aurait surement accumulé assez d'informations pour savoir comment dominer ce succube de malheur. Et là, il ferait de la démone sa chose, son laquais, sa misérable petite souillon. Mais d'ici là, il fallait apprendre et rester patient.

"Il faudrait peut être que tu intercèdes en faveur de cette pauvre petite loque auprès de notre souveraine. Si l'impératrice a prévu de punir Erika, ce sera délicieusement douloureux."

Il s'en délectait déjà. Skuld était sans pitié mais lui-même était cruel par pur plaisir. Son commentaire se perdit dans un cri étouffé. Il vivait en direct les émotions de Val et Erika venait de serrer entre ses doigts le sexe du succube. Elle le branlait comme si elle voulait le traire, obéissant promptement au souhait de la belle brune. La matrone accentuait la profondeur de son fist, imposant à son avant-bras une rotation appuyée pour s'assurer que pas une parcelle de muqueuse n'échappe à ce traitement sauvage. Le point fermée de la dernière "survivante" tamponnait les tréfonds du corps affalé sur la margelle. Elle avait atteint les limites du physique et ne pouvant aller plus loin, compensait par une vigueur infatigable. Les lèvres du vagin malmené suivaient le mouvement, serrant le bras de la matrone d'un anneau écartelé et rougit. Erika s'était arrangé pour trouver une position adéquate lui permettant d'utiliser ses deux mains. Au fist s'ajouta une branlette hors norme. Elle masturbait Valeria sans ménagement, décalottant le gland gonflé pour l'irriter de ses doigts inquisiteurs. Elle retroussait la peau du sexe pour l'étirer jusqu'à la limite, provoquant même un saignement quand la finesse de la chair rompait sous ses assauts brutaux.

Emplir et vider la démone, c'était le mot d'ordre, la mission qu'elle devait suivre pour espérer entendre un nouveau tremolo dans la voix de la démone, la défaillance vocale qui indiquerait la totale satisfaction de celle qui commandait à l'orgie.

"Viens! Viens comme ça!!"

Elle haletait, submergée par cette peur qui décuplait son envie de bien faire. Son propre orgasme n'était plus la priorité. Elle se devait d'accomplir les volontés de Val. Et là, deux mots qu'elle se répétait en boucle occupaient tout son esprit: emplir et vider.

Erika était brusque et ne s'en rendait peut être pas compte. Tout n'était que pressions, impulsions et raclements destinés à la libération du précieux liquide qu'elle avait avalé en si grandes quantités et à l'épanouissement de la jouissance de Valeria.

Sarkis crevait littéralement. c'est lui aussi qui subissait cette traite et il n'avait qu'une envie, inonder le cerveau qui le tenait captif d'un tsunami de foutre.

"AAAHHHH!!! Mais quelle sale petite pute!!!!"

Il se serait noyé dans sa sueur s'il l'avait put.

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

Posté : 11 oct. 2024 00:50
par Valeria
Le plaisir montait doucement dans le corps de Val. Les assauts violents sur sa queue et son ventre ne cessaient pas, ils gagnaient même en intensité.

La voix de Sarkis intervint au milieu de ce déferlement d’attentions.

« Elle crève de peur... Il faudrait peut-être que tu intercèdes en faveur de cette pauvre petite loque auprès de notre souveraine. Si l'impératrice a prévu de punir Erika, ce sera délicieusement douloureux.
- C’est prévu… Si elle fait ce qu’il faut. »

Elle sentait l’envie du Mage de la voir subir une torture sans pitié de la part de Skuld. Elle sentait aussi son désir pour la matrone. Ce sadique aurait certainement pu dégorger rien qu’en la voyant se faire punir. Valeria en fut amusée. Il était vraiment délicieusement merdique. Décidément, la décision de le priver de corps et le faire disparaître avait dû en soulager beaucoup à Pénombre.

Erika arracha un cri de plaisir à Val, cri spontané puisqu’elle était concentrée sur le mage. Et provoquer ce cri était une très bonne chose pour elle. C’était un signe évident de son efficacité.

Val revint au moment présent, sentit alors que la matrone avait augmenté sa cadence et sa violence. Son ventre martelé lui donnait l’impression qu’elle allait se vider l’estomac. Elle perdait quelque peu sa respiration, ses jambes flageolaient. L’intensité était énorme. Le succube se demanda un instant comment elle tenait.

« Aaaahhh ! »

Ahanant difficilement, la bouche ouverte, un filet de bave se mit à couler de ses lèvres soudain sèches alors que le plaisir montait inexorablement.

Sa queue était elle aussi maltraitée. Le plaisir se mêlait à la douleur et un peu de sang suintait de petites plaies provoquées par la rudesse de la masturbation.

Cependant, juguler plaisir et douleur était une discipline où Valeria était passée Maîtresse et elle adorait ça. Elle se sentait de mieux en mieux sous le joug de la belle néthérisse.

« Viens ! Viens comme ça !! »

Elle lança la main en arrière pour attraper ses cheveux. Sans lui laisser le temps de quoi que ce soit, elle l’écrasa entre ses fesses et l’y maintint. Immédiatement, la langue de sa tortionnaire reprit sa sarabande effrénée.

« Gg… Hhhh… »

Elle sentait la peur dont parlait Sarkis imprégner la moindre fibre de l’être d’Erika. Plus rien ne comptait à présent qu’obéir à ce dernier ordre qu’elle lui avait donné de la remplir et la vider. Quand elle effleurait son esprit, seul cet ordre résonnait, inlassablement, comme un mantra. Tellement intense et obnubilant que la matrone, allant au-delà de ses forces pour maintenir la pression, provoquait quelques dégâts maladroits sur la queue distendue ou dans le ventre tendre.

« AAAHHHH !!! Mais quelle sale petite pute !!!! »

Si le mage avait encore eu un corps, il se serait noyé dans son propre foutre tant il aurait déjà joui. Val l’ignora. Cette fois elle sentait que la vague irrépressible s’était déclenchée. Le plaisir monta, lame de fond inarrêtable, et explosa.

La cyprine inonda son ventre, la main et le bras d’Erika et dégoulina immédiatement du coude dans le bassin. Le sperme lui éclata d’un coup sur la margelle, explosa en une myriade de gouttelettes avant que les longs jets puissants ne se perdent dans l’eau et s’y coagulent en longs filaments blanchâtres.

« Aaahaaa ! Ouiii ! »

Elle se vida longuement tandis que la langue continuait à lui stimuler le cul puisque malgré le plaisir elle ne cessait pas la pression sur la tête d’Erika.

Enfin, ses jambes cédèrent et elle tomba à genoux dans l’eau, ahanant longuement, sa queue finissant d’expulser les quelques restes de foutre directement dans l’eau alors que son orgasme vaginal massait la main en elle comme jamais.

Elle lâcha Erika et s’accrocha des deux mains à la margelle. L’orgasme avait été intense, très satisfaisant. Cependant, Erika avait encore beaucoup de marge avant de l’avoir vidée assez pour qu’elle estime cela suffisant.

Elle se retourna et lui lança un regard salace. Elle voyait bien que la matrone avait tout donné, que ses bras tremblaient d’épuisement.

Elle se releva, se tourna vers elle et la força à se lever d’une main sous le menton. Elle l’embrassa avec fougue et passion et y mit une légère dose de pouvoir, vidant toute fatigue de sa Maîtresse. Entre temps, sa queue glissée entre elles tressaillait contre la peau de leurs ventres, totalement guérie par l’énergie sexuelle du succube.

« Tu as beaucoup de travail devant toi. Je te remettrai d’aplomb autant de fois qu’il faudra pour que tu me satisfasses comme il se doit. L’effet de mon sperme en toi sera lui aussi effacé si nécessaire. N’aie aucune crainte, aucune peur. Je ne veux pas que ça domine nos ébats. Je ne veux que toi, concentrée uniquement sur moi. Oublie tout ce qui n’est pas moi. Pour ces quelques heures à venir, tu n’es que mienne. Et je veux ton meilleur ! »

Elle sonda son esprit. Sarkis avait tellement « dégorgé » qu’il en était tombé dans une sorte de torpeur. Ca ne durerait pas, mais ça témoignait de l’intensité de ce qu’il avait vécu. Dire qu’il avait dû perdre son corps pour connaître le plus intense et violent orgasme de sa vie…

Elle poussa Erika et l’adossa contre la margelle, dans le foutre qui la maculait.

« J’ai cru que tu voulais m’expulser l’estomac par la bouche tellement tu y es allée fort. J’ai adoré. Je te rendrai le plaisir que tu m’as donné. Et même plus. A chaque fois. »

Elle adorait la volonté dont avait fait preuve la matrone. Si elle avait été ailleurs qu’à Pénombre, elle aurait cherché à la réclamer, la convertir, elle l’aurait assujettie. Cette femme était d’une grande valeur et elle aurait eu de grands projets pour elle. Sur Pénombre, elle ne savait pas trop comment agir. Ni comment serait perçu un tel acte par Skuld, bien qu’elle lui ait déjà offert un de ses sujets qui lui avait déplu. Erika ne méritait pas le même sort que Sarkis, mais elle aurait bien aimé l’avoir. Tout comme ses quatre comparses, particulièrement Sigrid et Hella.

Elle l’embrassa à nouveau passionnément tout en lui laissant encore toute latitude d’agir : elle était la Maîtresse des ébats…