The Multiversity

De l'amour, oui, c'est ce que l'elfette avait bien besoin, même si cet amour était un tantinet bizarre puisque cela venait d'une drow qui se faisait passer pour sa mère. Mais vu tout ce qu'elle leur offrait, elle se voyait mal critiquer ce point de détail. Après oui, au début, c'était bien bizarre pour elle, mais elle s'y faisait. Jamais elle n'oublierait sa mère, son visage, son sourire, bref, tout. Mais vue les temps qui courent, ce qu'elle a traversé pendant une année, ce repos était bien plus que ce qu'elle aurait pu espérer obtenir. On peut même dire qu'elle en oubliait un peu la menace de l'Inconnu. Une menace en réalité éliminée depuis quelque temps par sa grand-mère et son épouse actuelle mais bon, Val'nadi ignorait ce détail, pour elle, l'Inconnu était une menace dont elle ignorait tout pour commencer. Pour le moment, elle ne pensait qu'au présent, à vivre heureuse, que ses petites sœurs, surtout, puissent grandir en sécurité, loin du danger. Même si une cité drow n'était peut-être pas le meilleur pour des elfes, sous la tutelle de Streeaka, ça limitait le danger pour le moment.

Face à elle, Val'nadi gémissait doucement en savourant la drow la serrer contre son corps. Ce câlin était le bienvenu pour elle, elle savourait ce contact simpliste mais pourtant si agréable à ressentir, elle espérait bien que cela soit le cas aussi pour sa mère adoptive. Sous l'effet du plaisir, ses doigts se crispaient sur sa peau, loin de la griffer malgré ses ongles, mais elle devait quand même ressentir le fait de racler sa peau. Son corps se pressait contre celui plus formé de Streeaka, elle se perdait dedans, avec plaisir pendant que la matriarche remuait pour mieux lui faire l'amour. Toujours à la contempler en fermant les yeux les moins possibles, elle en profitait pour l'embrasser aussi, parfois, mais parler était vraiment compliqué pour elle, surtout quand le rythme s'emballait un peu plus. Forcément, au fur et à mesure. Se liant à elle par le regard, elle tentait de répondre, ses lèvres remuaient, mais la voix avait du mal à se stabiliser, les mots en sortaient avec encore plus de difficulté alors, elle évitait, mais son visage remuait pour lui répondre. Positivement, bien entendue.

Val'nadi s'accrochait à elle, son visage s'enfonçant entre ses seins, moins que la verge de sa mère en elle, mais l'effet était plutôt similaire. Elle mouillait aussi beaucoup, ce qui facilitait un peu la tâche de Streeaka, sans la rendre simpliste vue son étroitesse, ça facilitait quand même le passage. La demoiselle gémissait dans la poitrine de sa mère, sa salive coulait aussi dessus. Non pas qu'elle la tétait, mais la chair de sa poitrine venait facilement dans sa bouche, une chose en entraînant une autre, voilà. Bien agripper à elle, elle sentait le plaisir grimper de plus en plus en elle, pas sûr qu'elle jouisse en même temps que sa mère mais toutes les deux y parviendront, pour sur ! Val'nadi risquait d'avoir un peu plus d'avance sur sa mère, rien de plus.

« Mmmmhhhhhh ! Haaaaaaaaa Ma... Ma-man ! »

Ses petits poings se crispaient, se serraient sur la peau de la drow, ce ne serait pas la première fois que ça lui arrivait, contrairement à la longue expérience de Streeaka, la drow était pour le moment la seule à lui avoir offert des orgasmes. Peu nombreux si on compare leur deux parcours, elle avait encore du chemin à faire.

Streeaka s’amusait avec elle. Elle savait très bien comment Val’nadi fonctionnait, et ce qu’elle craignait. La jeune elfette avait vécu trop longtemps dehors, abandonnée. Alors, Streeaka s’arrogeait peut-être le rôle de mère, mais c’était désormais ce qu’elle envisageait principalement pour elle. C’était ce dont Val’nadi et ses sœurs avaient besoin : d’une mère, d’une présence maternelle heureuse et rassurante. Alors, Streeaka jouait ce rôle, et elle le faisait plutôt bien.

« Hmmm… Val’nadi, haaa… »

Elle sentait les petites menottes de Val’nadi se presser contre son dos, caressant sa peau, se crispant dessus. L’elfette approchait de l’orgasme, et Streeaka comptait bien la pousser jusque-là. Son membre assoiffé continuait à la prendre avec vigueur, s’enfonçant graduellement en elle. Streeaka la prenait de plus en plus fort, son corps s’écrasant contre le sien. La tête de Val’nadi se logeait contre ses seins moelleux, et Streeaka continuait à la prendre avec force.

Coincée contre le mur, Val’nadi lui appartenait, son petit corps replet et doux filant d’avant en arrière. Relevant son visage, la Matriarche lui sourit alors, et l’embrassa sur les lèvres. Un contact savoureux et agréable, tandis qu’elle ralentissait le rythme, pour mieux profiter du baiser.

« Hmmm… »

Un baiser où Streeaka y allait de plus en plus franchement, de plus en plus énergiquement. Sa langue s’enfonça dans la bouche de sa partenaire, et elle prolongea le contact avec délectation, pressant son côté contre celui de Val’nadi, ralentissant le rythme de ses coups de reins au point d’en devenir presque immobile.

L’eau dans le bain avait cessé de couler, et de la vapeur sortait de la baignoire. Une eau chaude, il allait falloir attendre encore un peu qu’elle se rafraîchisse… Mais, pour l’heure, Streeaka maintenait ce contact immobile. C’était volontaire. Elle voulait que Val’nadi soit frustrée, et, quand elle commença à gigoter, Streeaka sourit en rompant le baiser.

« Je ne veux pas te forcer, ma belle… Si tu souhaites que je continue, dis-le. Dis à Maman que tu souhaites qu’elle te baise très fort. »

C’était assez clair ! À Val’nadi d’agir, maintenant…

Dans la salle de bain, sa mère continuait de lui faire l'amour, coincée contre son corps, Val'nadi se plaisait à ressentir tout cela. Tout ce plaisir, rien que pour elle. C'était un plaisir nouveau – plutôt récent – que la découverte du sexe en compagnie de la Drow. C'était à ce jour, sa seule partenaire et, elle ignorait si elle voudrait en découvrir d'autres, mais Streeaka était amplement suffisante pour l'heure. Sa peau douce, chaude et légèrement humide, oui, elle aimait se sentir compressée contre elle, la drow l'embrassait malgré tout, un minimum de douceur quand même. Non pas que d'habitude, elle soit plus autoritaire et dominatrice, mais elle faisait preuve de beaucoup de douceur à son égard quand même. Mais dans tout cela, elle ralentissait de plus en plus jusqu'à presque être immobile, et même si, elle remuait un peu pour lui indiquer de reprendre, elle n'en fit rien, lui demandant plutôt de quémander.

« Haaaa... Ma-Maman... S'il te plaît... fait... fait moi l'amour... fort... »

Ses petits doigts se crispaient dans le dos de la drow, raclant sa peau, tandis que sa bouche venait attraper un petit morceau de son sein, le suçant avec ses lèvres, tout en gardant la drow dans les yeux. C'est beaucoup lui demander qu'elle dise mot pour mot, ce que la matriarche lui demandait, mais au moins, elle le lui demandait, c'était déjà un effort de sa part alors qu'elle suçotait le sein de sa nouvelle mère. Impatiente de jouir, mais surtout de sentir sa mère la remplir, c'était sûrement ça le mieux. Val'nadi ne le montrait pas si facilement, mais elle aimait tout ce que la drow lui apprenait sous son toit, ses petits moments à deux, ça la rendait très heureuse.

Qui sait jusqu’où ce jeu entre elles pourrait aller ? Streeaka aimait beaucoup que Val’nadi l’appelle « Maman », y compris pendant l’acte sexuel… Et même surtout pendant l’acte sexuel ! Streeaka sourit donc quand Val’nadi, coupée dans son élan, dut reprendre ses forces. Passive pendant l’acte, Val’nadi était souvent rappelée par sa Maman, qui souhaitait ainsi s’assurer de son plein consentement, mais qui aimait aussi, par ce biais, la gêner davantage. Oh, Val’nadi était tellement mignonne quand elle rougissait ainsi ! Streeaka sourit donc, et l’embrassa avec force, plaquant avec appétit sa bouche sur la sienne. Sa main se serra sur ses cheveux, et elle s’enfonça en elle, la couchant auparavant sur le tapis de bain devant la baignoire. Couchée sur le sol, Val’nadi était prise en missionnaire par sa « Maman », qui la besognait avec force, amplifiant le rythme petit à petit. L’eau chaude était encore trop bouillonnante pour être utilisée, alors il fallait bien s’occuper différemment ! Streeaka prenait donc sa partenaire avec force, encore et encore !

« Hmmm… !! »

Que c’était bon ! Voilà bien une chose simple, mais dont Streeaka était bien incapable de se passer ! Après des siècles et des siècles d’existence, la Drow appréciait toujours autant l’idée de faire l’amour, de s’envoyer en l’air avec ses partenaires, hommes comme femmes… Mais elle avait toujours aimé l’initiation sexuelle. Elle aimait les vierges pour en faire des nymphomanes, pour les former sexuellement, celles-ci devenant ensuite ses concubines, les enfants de ses enfants formant des lignées d’esclaves aux services de la puissante Matriarche. Avec Val’nadi, les choses seraient différentes, car elle n’avait pas la courte espérance de vie des humains. Streeaka prenait donc son temps, et elle comptait bien initier toute la famille de Val’nadi, lorsque ses sœurs grandiront et seront en âge. Pour l’heure, Streeaka la prenait avec force, encore et encore, grognant contre elle, sentant les douces mains de Val’nadi s’appuyer sur son dos, la griffant parfois.

Elle ne l’embrassait pas, voulant l’entendre gémir, se délectant de ses soupirs. Sa verge puissante continuait à la labourer avec force, un membre bien érigé qui s’enfonçait profondément en elle, jusqu’à la garde. Streeaka l’embrassa dans le creux du cou, glissant sur sa peau. Elle la léchait avec appétit, continuant à la prendre avec passion.

« Sens comme Maman te baise fort, ma petite-chérie… Sens tout l’amour de Maman ! »

Streeaka avait naturellement dépucelé tous ses enfants, et, vu la manière dont elle agissait avec Val’nadi, il y avait sans doute trop longtemps qu’elle n’avait pas donné la vie. Streeaka finit par jouir en elle, s’abandonnant avec force dans le corps de sa partenaire, puis se releva lentement. Elle sourit doucement, et se coucha dans le bain, avant de remuer la main.

« Viens, ma belle… Tu as sûrement envie de continuer notre câlin, non ? »

Si petite, si douce, si fragile, Val'nadi n'avait rien d'une guerrière, et même pour une elfe, elle était plutôt petite. D'ordinaire, ce peuple paraît mince – ça, c'était okay – et élancé, elle, elle était bien petite pour une elfe, mais elle était adulte, ou pratiquement. La Drow profitait de ce petit jeu qui s'était installé entre elles, l'elfette suivait les règles, conscientes de la dette qu'elle avait envers cette femme et elle restait consentante, bien évidemment. Depuis le temps, elle avait embrassé ce mode de vie même si cela restait encore surprenant parfois, mais, ça allait. Sa puissante verge était bien épaisse pour un si petit endroit, et même si depuis, elle y était moins à l'étroite, l'enfoncer jusqu'à la garde, elle était bien trop grande et grosse pour Val'nadi qui sentait le fond de son utérus s'étirer. On devait même distinguer une légère bosse près de son nombril ? Après s'être déchargé en elle, remplissant sa petite poche interne, elle la laissa reprendre ses esprits sur le sol de la salle de bain, tandis que la drow gagnait l'eau pour l'inviter ensuite à la rejoindre. La demoiselle grimpa par-dessus et prolongeait ce câlin, d'abord de façon innocente en se couchant contre elle, son petit corps s'immergeant jusqu'aux épaules, se couchant contre elle, sur l'un de ses seins, sa tête observait sa « mère » avec un petit sourire espiègle.

Sous l'eau, sa main se refermait autour de sa verge qu'elle masturbait doucement, sans quitter la matriarche des yeux. Elle était aussi belle qu'elle pouvait être autoritaire avec son personnel. On pouvait dire que la petite famille était chanceuse, rare étaient les fois où Streeaka avait haussé la voix contre elles. Est-ce que c'était même déjà arrivé une seule fois ? Faisant un câlin à sa mère de façon douce et érotique – en restant douce – elle ne la quittait pas des yeux, sachant bien que tout cela n'était que le début de toute façon. Sauf si urgence il y a, il lui faudrait encore plusieurs orgasmes pour espérer la voir s'arrêter de jouir en elle. Ou sur elle.

« Où est-ce que tu veux jouir, Maman ? Encore devant ou derrière ? Et puis... Est-ce que je te fait face ou bien, tu me préfères de dos ? »

Dans les deux cas, les deux orifices étaient possibles, mais étant donné qu'elles étaient dans une baignoire, lui faire face serait préférable, mais après, elle ne viendra pas discuter les envies de la drow. Blottie contre elle, sa queue était toujours branlée, son gland se frottant parfois, à peine, contre le corps de Val'nadi. Sa poupée devenait sûrement de plus en plus, comme elle le désirait. Depuis son arrivée, elle était plus ouverte sur le sexe, rien que là, ça se voyait. Doucement, ses lèvres se rapprochaient, elle embrassait l'un des coins de ses lèvres, sa peau glissant sur la sienne.

« Moi, je voudrais encore entre mes cuisses. S'il te plaît, Maman... Recommence. »

Elle n'était pas obligée de refaire la même chose, juste que le final soit le même. Sa petite voix était un souffle de luxure dans le creux de son oreille. Il n'y avait qu'elles ici, personne ne pouvaient les entendre et pourtant, sa petite voix fluette était un souffle porté par un courant d'air, presque comme un secret inavouable qui arrivait à caresser le tympan de la drow.

Sa petite Val’nadi avait bien grandi en compagnie de Streeaka. Elle se montrait désormais plus enhardie, et, quand Streeaka la sortait de sa zone de confort, Val’nadi répondait plutôt bien. À sa manière, Streeaka l’éduquait. Désigner Val’nadi comme étant sa « fille » n’était pas qu’un simple jeu, il y avait sans doute aussi quelque chose de plus profond. La Matriarche y voyait la possibilité de pallier à une carence affective marquée, ce qui l’amenait à se dire qu’il y avait de toute évidence bien trop longtemps qu’elle n’avait pas eu d’enfant… Un problème qu’il allait sans doute falloir régler lors de leur visite auprès de Zila, à Blackreach. Mais, pour l’heure, Streaka s’était posée dans le bain, sentant avec délectation l’eau chaude glisser sur son corps somptueux à la peau d’ébène. Val’nadi  la rejoignit prestement, et alla s’allonger avec douceur et tendresse contre le corps de Streeaka. La Drow lui sourit doucement, et sentit la main de Val’nadi aller jouer avec son membre, l’entretenant doucement, veillant à ce que sa queue ne dégonfle pas trop vite. Streeaka sourit doucement à l’intéressée, qui se lova tendrement contre elle.

« Oh, ma belle… Tu es tellement mignonne, ma Val’nadi… »

Elle l’était, tout simplement ! Val’nadi se redressa lentement, continuant à la masturber, jusqu’à ce que sa verge durcisse. Streeaka soupira doucement en se pinçant les lèvres, un frisson la traversant. L’elfette lui demanda alors si elle pouvait danser sur elle, en lui expliquant que c’était de cela qu’elle avait envie… De sentir encore sa maman en elle. Streeaka ne put qu’acquiescer, et caressa le visage de Val’nadi.

« Et bien, tu sais comment faire, non ? Grimpe sur moi, ma belle… Danse sur ma verge, et viens m’embrasser… Montre à Maman tout l’amour que tu ressens pour moi ! »

Val'nadi commençait à savoir comment était sa mère, sa façon de vouloir certaines choses et l'elfette les lui apportaient à sa façon. Sans connaître ses innombrables enfants, elle se doutait qu'aucun d'eux n'avait le genre de caractère de Val'nadi ? Les drows semblaient plus enclin à être le plus dur et sauvage possible donc forcément, loin de lui ressembler. De la douceur « maternelle » mêlée au sexe, ça devait être une voie qu'elle n'a jamais exploré ou très peu. Toute lovée contre elle, sa main caressant sa queue, observant sa mère avec ses grands yeux avant de lui faire une proposition que la drow ne pouvait refuser ! Que demander de plus ! Aussitôt dit, Val'nadi lui grimpait dessus, son petit corps clair sur le corps plus foncé de sa mère, sa longue queue glissa entre ses fesses, mais elle prenait la base avec sa petite main, amenant son gland au bon endroit. Maintenant toujours le contact visuel avec elle, malgré la petite euphorie d'afficher, au moment où elle s'enfonçait dessus, elle grimaça quelque peu avant de la sentir se loger en elle, reprenant ce même chemin qu'elle avait exploré.

« Mmmmmh~ »

La zone étant du coup déjà bien lubrifier, elle pouvait de suite passer à la seconde, ses mains posées sur les épaules de Streeaka, elle s'abaissa doucement pour venir l'embrasser avec douceur pendant qu'elle commençait à danser sur son corps. Le tout, en entendant le bruit de l'eau clapoter à chaque fois qu'elle s'abaissait le long de sa verge. La jeune femme l'embrassait, doucement, tentant de maintenir une fois encore le contact visuel, mais c'était déjà un peu plus dur vue comme ça. Sa petite langue remuait dans la bouche de sa mère, même si elle essayait parfois d'aller un peu plus vite, de se montrer comme une partenaire que sa mère apprécierait sûrement bien plus, mais elle avait du mal à maintenir ce cap, elle n'était pas faite pour être comme ça. La douceur, la gentillesse, c'était plus son créneau. Ses mains glissèrent vers son visage, prenant ses joues dedans, échangeant quelques mots avec elles.

« Après, Maman haaaaaan... Je te la nettoierais et huuuum~ Tu pourras han, me prendre par... haaa, derrière. »

Elle savait bien que sa mère adorait ça, même si elle, préférait être remplie par-devant, ma Drow semblait avoir un faible pour son étroit petit fondement, elle ne pouvait pas lui en vouloir. Approchant un peu plus son visage du sien, leur nez se frottait parfois avec les mouvements produits, la belle petite elfe l'observait, les yeux dans les yeux.

« Et aussi, han... je pourrais... avoir un peu de lait ? Hmmmm ? »

Ici, dans le bain, pas pratique, mais après, elle n'en serait pas contre.

Val’nadi restait un écrin de douceur dans un environnement très hostile. La douceur était vue par les Drows comme une forme de faiblesse. Pour beaucoup d’autres Drows, Streeaka se déshonorait et se ridiculisait en acceptant sous son aile des elfes aussi faibles ! Pourtant, elles étaient puissantes, dotées d’un pouvoir magique flamboyant, mais leur peau pâle parlait pour elles, ainsi que ce doux côté de poupée. Les propres filles de Streeaka se montraient parfois surprises. Streeaka pouvait néanmoins se montrer parfois inattendue. Il serait pour autant dangereux de la sous-estimer. Val’nadi ne comprenait pas la mentalité si particulière des Drows, une mentalité reposant sur la puissance et sur la soif de pouvoir. Streeaka avait déjà dû condamner à mort certaines de ses filles. Elle l’avait toujours regretté, mais cela était assez fréquent au sein des Drows. Quand l’une de ses filles souhaitait la tuer, ou tuait ses autres filles, Streeaka devait parfois intervenir. Le clan Z’Ress avait ainsi connu son lot de massacres, de carnages… Streeaka avait déjà failli mourir lors d’un banquet où l’une de ses filles avait empoisonné le repas à l’aide d’un poison très rare, récolté sur le venin d’une race de serpents extrêmement rare, le serpent Jararaca-ihoa. Sur Terre, ce serpent se trouvait presque à un seul endroit de la planète, l’île de Queimada Grande, une île qui était rattachée au Brésil, mais avec cette particularité d’avoir été séparée du reste du continent il y a 11 000 ans lors de la montée des eaux. Cette situation particulière avait fait de cette île une véritable niche écologique, une île avec une densité incroyable de serpents. La légende locale affirmait ainsi qu’il y avait sur cette île cinq serpents par mètre carré, ce qui faisait que l’île était totalement interdite d’accès.

Le Jaracara-ihoa vivait exclusivement sur cette île, et son venin était l’un des plus dangereux au monde. Un venin qui était aussi létal que rapide. L’une de ses filles avait de toute évidence entendu parler de cette île, et avait réussi le mince exploit de récupérer l’un de ses serpents. Le venin avait décimé les invités, et Streeaka avait failli mourir de peu. Elle n’avait dû sa survie qu’à sa sœur, Zila. Elle s’était même souvent demandé si ce n’était pas Zila qui avait conçu ce venin, et qui l’avait sauvé. Ce poison terrifiant restait l’une des rares spécificités du clan Z’Ress, un poison terrifiant que Streeaka confiait à très peu de personnes. En effet, ce poison était d’autant plus efficace qu’il était rare, de sorte qu’aucun anticorps n’existait. En tout cas, cet évènement avait provoqué une sanglante hémorragie au sein de sa maison. Streeaka avait perdu la plupart de ses enfants et de ses amantes.

« Haaa… »

Elle cligna des yeux en  songeant à autre chose quand Val’nadi s’empala doucement sur elle. Elle, jamais elle ne pourrait concevoir un poison ! Streeaka lui sourit, et caressa son visage. |À ce jour, seule Zila détenait ce poison infernal, et Laelavin était la seule de ses filles à avoir le droit d’utiliser ce poison. Streeka caressa les hanches de l’elfette, la laissant danser sur elle. Oui, malgré sa douceur et sa gentillesse, Val’nadi était loin de se douter de ce qui se passait ici. Elle et ses petites-sœurs bénéficiaient de la protection de Streeaka, mais des filles aussi douces avaient-elles vraiment leur place à Menzoberranzan ? Streeaka n’osait l’imaginer. Elle sentit les douces menottes de Val’nadi caresser ses joues, et elle alla elle-même pétrir ses fesses, souriant quand Val’nadi proposa de se faire prendre par l’arrière, puis de pouvoir boire son lait.

« Oh, ma foi… Hmmm… Je ne passerai jamais à côté de l’occasion d’explorer ton petit cul, ma chérie… Ni de t’offrir mon lait ! »

Quand Val’nadi approcha son visage du sien, Streeaka caressa ses cheveux, frottant tendrement son nez avec le sien. Sa verge tendue s’enfonçait dans le corps de sa partenaire, et Streeaka soupira longuement, se pinçant les lèvres en laissant l’elfette danser sur son corps.

« Je t’aime, ma Val’nadi… »

Et Streeaka l’embrassa tendrement.

Même si Streeaka lui assurait la sécurité, Val'nadi était toujours un peu méfiante. Pas vraiment vis à vis de sa « mère » mais entre le personnel et bien qu'elle ne les a jamais rencontré, les enfants de la Matriarche aussi étaient de sacré numéros. Tenter de s’entre-tuer ? C'était étrange, comme quoi, les rumeurs avaient quand même une certaine part de vérité même si tout ne devait pas être vrai, pour le coup... Y a de quoi se remettre en doute. Mais actuellement, elle se fichait de tout cela, profitant juste de cet instant charnel avec la drow qui l'avait prise sous son aile, avec ses petites sœurs, profitant doucement, offrant même une autre partie de son corps, tout en espérant tôt ou tard avoir accès à une autre partie du corps de la drow. Faut bien dire ce qui est, elle y avait pris goût. Ce lait, il avait une certaine saveur, aphrodisiaque ou juste sous l'effet de l'ambiance, elle pouvait en boire un peu, pas uniquement pour faire plaisir, pour en profiter aussi de son côté. La drow faisait preuve de douceur et à vrai dire, il lui semble jamais n'avoir vue Streeaka en colère, toujours ce côté doux, maternel, charnel. Son petit nez se frottait au sien, laissant l'elfette toujours aussi absorbée sur son petit nuage de douceur.

Son « je t'aime », elle le prenait uniquement comme une relation mère-fille, elle ne voyait pas vraiment de rapprochement plus intime puis en si peu de temps, elle ne pouvait pas dire qu'elles étaient aussi proche. Sans parler de la différence d'âge, mais ça, même chez les elfes, leur longévité faisait qu'ils n'y faisaient pas trop attention. Une centaine d'années ou deux, ce n'est pas grand-chose. Du moment que les deux étaient majeurs, après, les gens faisaient ce que bon leur semble. En attendant, Val'nadi continuait de danser sur elle, son corps – surtout le bas – remuait et elle sentait son épaisse verge glisser en elle, toujours si forte et puissante. La drow se baignait et elle, elle faisait tout pour lui faire atteindre une fois de plus l'orgasme. Ses petites mains se crispaient parfois sur ses épaules, cherchant à maintenir le regard dans le sien, afin d'être sur la même longueur d'onde.

« Haaaan ! Haaaaan ! Mais d'abord... Maman... doit finir en moi... Il faut... Toujours finir avant de... haaaa, changer. »

L'occasion de mieux en profiter, pour l'une comme pour l'autre après tout même si cela demandait aussi un peu plus d'effort des deux côtés, mais, pour cette fois, Val'nadi s'occupait de tout, la drow n'avait pour ainsi dire rien d'autre à faire que d'en profiter pleinement en partageant ce bonheur avec sa « fille ».

Streeaka soupirait lentement en sentant le corps de Val’nadi danser sur elle. La petite elfe avait encore du mal à comprendre le fonctionnement des Drow, ce qui n’avait rien de surprenant. Leurs deux espèces ne seraient pas si différentes si elles raisonnaient de la même manière, après tout ! Val’nadi ne pourrait sans doute jamais comprendre cette logique masochiste, qui reposait tout simplement sur la loi du plus fort. Elle se contentait de se laisser bercer, avec l’assurance qu’aucune des filles de Streeaka ne l’attaquerait. Pour elles, Val’nadi serait, soit un investissement matériel de leur mère, soit l’une de ses lubies personnelles. Ce ne serait pas la première fois que leur mère avait ce genre de passions curieuses. Pour elles, Val’nadi n’était tout au plus qu’un genre d’animal de compagnie, qui, dans le pire des cas, illustrerait juste le cœur trop sensible de leur mère.

« Hmmm… Tu as bien retenu la leçon, ma belle, haaaa… Je me sens si bien en toi, ma petite Val’nadi… Parfois, j’aimerai que toutes mes filles soient comme toi, hmmm… »

Mais, si elles étaient aussi douces que Val’nadi, ses filles n’auraient pas fait long feu. Streeaka soupira donc, se mordillant les lèvres, et palpa les fesses de l’elfette, qui continuait à danser, s’empalant sur sa verge. Il était tentant de pousser en avant, d’inverser les rôles, et d’avoir ainsi un rôle plus actif, mais Streeaka s’y refusait. Elle préférait ainsi voir Val’nadi, observer la manière dont celle-ci gémissait, soupirait, avec ce membre qui remuait en elle. L’eau du bain restait chaude, et elle laissa Val’nadi se pencher vers elle, l’embrassant avec amour, caressant ses cheveux, une main restant en appui sur ses fesses. Ses doigts malaxèrent son cul, elle crispa même ses doigts dessus, et donna une petite gifle, sentant avec délectation le corps de sa partenaire se crisper naturellement. Oh, quel pied ! La vague jouissive qui l’envahissait était merveilleuse, et Streeaka, en soupirant, finit enfin par jouir, après de longues minutes.

« Ooohh… »

Dans un soupir, elle inonda la chatte de Val’nadi de son foutre, et lui sourit ensuite, doucement… Avec un regard empreint d’amour et d’un désir sincère…

Val'nadi continuait de danser sur la verge de la Drow, ressentant ce plaisir qui l’inondait de plus en plus, même si cela restait peu visible plus bas, car, en plus du fait que ce soit du simple liquide, elles baignaient déjà dans de l'eau, rendant les peu de traces invisible donc. Mais sur leur visage, difficile de ne pas voir la marque de leur plaisir mutuel. Val'nadi qui ressentait le plaisir, avait du mal à mieux le masquer que Streeaka qui était quand même bien plus habituée. Les mains de sa mère pressaient ses petites fesses, elle les sentait bien sur sa peau, elle sentait sa passion que son envie de changer mais comme l'elfette l'avait appris, il fallait d'abord finir avant de changer. Même si ça pouvait arriver de briser cette règle, Streeaka s'appliquait en général à tenir parole. Elle montrerait un mauvais exemple après tout si ce n'était pas le cas. Approchant de son orgasme, même si Val'nadi venait l'embrasser doucement pour calmer leur ardeur. Calmer ou renforcer ? Difficile à dire, mais elles le faisaient. Et quand enfin la drow arriva au bout, provoquant un nouvel orgasme chez Val'nadi, cette dernière gémissait pendant leur baiser, masquant un peu ses petits cris. Mais comme souvent, l'orgasme chez l'elfette faisait naître de petites larmes sur le bord de ses paupières. Pas à chaque fois, mais disons que le ou parfois les premiers orgasmes après une certaine pause, ça pouvait lui arriver. C'était mignon, quand même.

« Mmmmhh haaaaa.... c'est... si bon... Maman... »

La demoiselle avait les larmes aux yeux en savourant cela, avant qu'elle ne l'embrasse à nouveau en restant coller contre elle. Cela dura le temps que cela dura, sans se retirer d'elle, sans s'en écarter, elle écartait au moins ses lèvres, le temps de savoir ce qui allait vraiment se passer pour la suite.

« Est-ce que l'on reste dans l'eau ou l'on regagne ta chambre, Maman ? »

Dans l'eau, c'était pas mal, mais rien ne vaut un vrai lit pour ce qui l'attendait ensuite, mais après, elle n'ira pas contre son autorité, tandis qu'elle posait sa tête à mi-chemin entre son épaule et sa joue, elle laissait sa main glisser sur sa peau humide, faisant preuve d'une telle douceur dont elle avait le secret. La concernant, elle avait toujours la chatte bien fourrée, et quand bien même elle pouvait perdre un peu de sa crème, elle savait qu'elle sera tôt ou tard très vite remplie par la drow.

« Il ne faudrait pas perdre trop de temps dans le bain, après, j'ignore quand nous partons et combien de temps cela mettra pour rejoindre tata ? »

Elles avaient un vrai planning aujourd'hui, pas juste un petit programme où elles pouvaient se permettre de retarder ou avancer un peu certaines tâches.

Streeaka ignorait combien de temps cela durait. Elle savait bien que, tôt ou tard, Val’nadi devrait quitter Menzoberranzan. Elle n’était pas faite pour la vie des Drows, elle était trop elfique. Et, dans l’absolu, Streeaka comptait aussi profiter de cela. Elle souhaitait en savoir plus sur le passé de Valn’adi et de ses sœurs, car elle savait que celles-ci devaient venir d’une grande famille. Mais, pour l’heure, Streeaka en profitait. La Matriarche aimait le sexe, bien sûr, mais elle aimait encore plus faire l’amour avec ses filles. Son cœur fondait comme un petit artichaut, et elle sourit quand Val’nadi se mit à jouir, des petites larmes de plaisir roulant de ses orbites. Comme à chaque fois, Streeaka se redressa, et lécha ses yeux, nettoyant les larmes de sa fille, et l’embrassa tendrement sur les lèvres, l’enlaçant dans ses bras. Heureuse d’avoir joui, Val’nadi souhaitait retourner dans le lit, et Streeaka sourit lentement.

« Le trajet prendra bien quelques jours… Il existe des Portails, mais ils sont assez instables, en ce moment. Ceci étant dit, je n’ai pas prévu de partir tout de suite, et… Je compte bien profiter encore de toi, ma chérie. Tu as tellement manqué d’attention et de tendresse avant d’arriver ici que je me dois de combler tes carences affectives… »

Streeaka lui sourit encore, et l’embrassa sur les lèvres. Elles sortirent ensuite du bain, et, encore humides, rejoignirent le lit de Streeaka. Celle-ci tint Val’nadi par les bras, la soulevant, comme on tiendrait une jeune mariée. Elle la portait avec douceur, la soulevant entre ses bras, et les deux femmes rejoignirent le lit. Streeaka coucha Val’nadi sur le lit, et lui sourit doucement, tandis que sa verge bien dressée s’élançait joyeusement en observant le corps nu et humide de Val’nadi, si généreusement offert. La Drow se mordilla les lèvres.

« Comment est-ce que je te baise, moi ? J’ai envie de te prendre en missionnaire, mais aussi en levrette… Tu es tellement en manque d’affection, ma petite Val’nadi, que Maman va devoir te faire de gros et longs câlins ♥ ! »

Streeaka sourit malicieusement, attendant de voir ce qui exciterait le plus Val’nadi.

« Est-ce que Val’nadi a envie d’un gros câlin de sa Maman ♥ ? » demanda-t-elle sur un ton des plus sensuels.

Val'nadi s'habituait un peu à ce mode de vie, à la base, elle prenait cela comme une dette. La Drow leur offrait à elle et ses petites sœurs, un toit, le gîte, le couvert, la sécurité, c'était tout ce qu'elle avait espérer pendant cette année à fuir sans arrêt, sans se retourner, de peur que l'Inconnu ne les rattrape. Elle aimait croire que c'était fini, que cette personne ne pourrait plus les retrouver, mais même encore aujourd'hui, elle avait peur que brusquement, il débarque dans sa vie et vienne finir son travail. Il avait tuer son père et c'était sûrement de même pour sa mère. Elle était lucide, si sa mère était encore en vie, elle les auraient rattrapées, mais une part encore innocente de l'elfette aimerait la voir débarquer dans sa vie, mais... Le monde n'était jamais entièrement rose. Pour le moment et peut-être à jamais, Streeaka était sa nouvelle maman, une mère avec une drôle de définition de l'Amour maternel, mais c'était une chose à laquelle elle s'habituait. Ayant joui grâce à elle, versant ses petites larmes de plaisir, la Matriarche venait la nettoyer avec sa langue, tout en la conservant contre elle, l'amenant comme une princesse dans son lit. Oh ça, Val'nadi aimait ce genre de petites intentions toute douces et presque innocentes.

Avec délicatesse, elle fut déposée sur le lit, même si elle était encore mouillée, elle savait bien que sa mère n'en avait pas fini pour autant. Sa verge tendue était bien le signe qu'elle ne comptait pas s'arrêter en si bon chemin, même sa première fois avec elle, ce fut sa plus courte « nuit » d'amour, mais depuis, elle a eu l'occasion de s'habituer à ce rythme et jamais, Streeaka n'avait jouis qu'une seule fois avec elle. Sa seule question, hésitation, fut de savoir comment elle allait lui faire l'amour, hésitant sur la forme et le trou dans laquelle elle allait se vider. Il faut dire que même Val'nadi hésitait un peu de son côté, elle venait de se faire remplir et, qu'importe son choix, elle allait devoir recommencer dans plusieurs de ses trous avant que Streeaka ne songe à penser à autre chose. Remuant doucement sur le lit, se dandinant, l'elfette charmait sa mère avec une certaine touche d'innocence, comme elle savait si bien le faire.

« Mhh, oui, je veux un gros câlin~ Alors... Je pense que Maman peut revenir entre mes cuisses ? »

La Drow devait commencer à s'en douter, mais sa « fille » aimait être écrasée par cette dernière pendant l'acte, au moins le final. Et confortablement installer dans ce lit, nul doute qu'elle attendait cette occasion. Baiser et écrasée contre le matelas, savourant son plaisir jusqu'à sentir la Drow se vider en elle. Cette idée était aussi possible en se mettant sur le ventre, mais, puisque la drow évoquait un câlin, autant continuer dans cette voie. De ses fins doigts, elle touchait quelques mèches qui tombaient le long du visage sombre de sa mère, avant d'atteindre ses joues, glissant le long de ses oreilles. Comment ne pas fondre ?

Elles avaient rejoint une chambre, et Streeaka coucha Val’nadi sur le lit, en s’allongeant sur elle. Elle observait avec amour sa fille attentive, une affection sincère et intense qu’on pouvait lire dans ses yeux. Streeaka sourit doucement quand la douce main de Val’nadi joua avec ses cheveux, écartant pudiquement quelques mèches. Elle se contenta de lui dire qu’elle voulait « un gros câlin », ce qui voulait tout dire. La Drow sourit malicieusement, sentant le désir croître. Sa verge durcit alors, se redressant entre les cuisses de Val’nadi. L’elfette se tortillait sur place, visiblement aussi impatiente que Streeaka. Le nez de la Drow se frotta contre le nez de Val’nadi, et elle continua encore. Un délicieux baiser d’esquimau qui annonçait une suite très prometteuse.

« Ma chérie, tu me fais tellement envie… »

Un désir si palpable ne pouvait être refréné ! Streeaka se déplaça encore, et s’allongea finalement contre le corps de sa partenaire, avant de la pénétrer doucement. Sa solide verge heurta l’intimité de sa partenaire, et, dans un soupir, Streeaka banda ses muscles, et s’enfonça en elle. Elle coulissa dans son corps, et soupira en sentant sa verge heurter la chatte de Val’nadi, remuant contre ses lèvres intimes. Elles se dilatèrent assez vite, et Streeaka l’embrassa ensuite, posant sa main sur la nuque de l’elfette. Elle appuya doucement dessus, et déplaça son autre main vers le bas du dos de Val’nadi. Ainsi positionnée, Streeaka commença à remuer plus énergiquement, d’avant en arrière. Le lit se mit à grincer, remuant sous les coups de reins appuyés de Streeaka. La Drow soupira longuement, sentant sa verge aller jusqu’au fond de la cavité intime de Val’nadi, heurtant son col de l’utérus. Elle appuya encore, s’écrasant contre elle, étouffant à moitié sa petite Val’nadi. C’était son « câlin », un câlin très particulier, érotique, sensuel, étouffant… Un câlin plein d’amour érotique !

Streeaka soupira encore, commençant à avoir un bon rythme, soutenu, enfonçant et retirant sa verge, bandant ses muscles. Cela faisait des siècles qu’elle faisait l’amour, des siècles qu’elle pénétrait ainsi ses partenaires. Mine de rien, elle finissait par avoir une bonne endurance ! Elle sourit en observant le doux visage pâle de Val’nadi rougir sous l’effort, se délectant de ses couinements, de ses soupirs, de ses magnifiques gémissements…

« Tu es tellement belle, ma Val’nadi… Tellement belle ! »

Allongée dans le lit de sa mère, Val'nadi se préparait à recevoir un de ses fameux câlins, elle en avait si envie, elle voulait le voir, le ressentir de tout son corps ! La jolie Drow savait se montrer douce, en tout cas avec elle, ailleurs, elle ne savait pas. Et avec toute cette douceur, elle s'allongeait sur elle, tout son corps se faisait écraser par la sublime Drow qui en profitait pour aussi s'enfoncer en elle. Lui arrachant par la même occasion un gémissement long et aigu.

« Mmmmmmhhhhhaaaa~ »

Elle amenait ses mains dans le dos de sa mère, ses doigts se crispaient doucement dessus sans lui faire mal pour autant. Ainsi écrasée par elle, l'elfette y trouvait son bonheur, sans compter le fait qu'elle la pilonnait aussi par la même occasion, elle se faisait prendre et sentait son énorme verge dans son coin étroit, même si depuis le temps, elle s'était un peu élargis. Elle couinait juste sous son nez, Streeaka avait la meilleure des vues tandis que son ventre se déformait un peu sous le passage de sa queue en elle. Pour elle, le passage était facilité, elle mouillait sans se priver, toujours plus heureuse dans sa voix, elle tentait avec difficulté de regarder sa mère qui la baisait.

« Haaaaaaa ! Haaaaaaaaaan ! Maman... Mamaaaaaaan ! »

Toujours en transe, sa petite langue pendait hors de sa bouche, espérant plus de place pour que l'oxygène arrive en bouche, crispant un peu plus ses doigts dans son dos. Même ses jambes, soit elle les écartaient au maximum, soit elle cherchait à se cramponner à elle, elle hésitait. Même si elle respirait vite et fort, elle cherchait tout de même à embrasser sa maman pendant l'acte, c'était plus mignon et intéressant a faire. Comme toujours, elle avait autant hâte de sentir tout l'amour de sa maman autant à l'extérieur qu'à l'intérieur de son corps. Un utérus bien remplis de foutre chaud.

Streeaka ne manquait jamais de témoigner son affection et son amour à sa Val’nadi. Elle considérait l’elfette comme sa fille, et, même si le mystère de ses origines n’était pas encore résolu, Streeaka savait que ce sentiment était partagé. Elle prenait donc sa fille avec un amour fort et marquant.  Sa verge s’enfonçait avec force dans sa chatte, remuant profondément en elle. Streeaka soupirait longuement, et embrassa encore Val’nadi, son corps plus massif que sur le sien s’écrasant avec force sur le sien. La chair venait claquer contre la chair quand Streeaka se retirait, et recommençait ensuite. Toute humide, Val’nadi frissonnait contre elle, le mélange de chaud et de froid donnant parfois des résultats détonants. Streeaka posa sa main sur ses cheveux, et l’embrassa à nouveau, longuement. Un baiser puissant et sensuel, où la langue de Streeaka joua avec celle de sa douce partenaire.

« Hmmm… »

La main de Streeaka glissa sur la jambe de Val’nadi, griffant tendrement sa peau, l’amenant à enrouler ses jambes autour de sa taille, tout en continuant à la prendre avec force. Le lit craquait doucement sous leurs ébats, et Streeaka soupirait entre chaque baiser, maintenant une pression intense et savoureuse. C’était très agréable ! Streeaka continuait son office. Une position du missionnaire, très classique, mais ô combien rythmée ! Avec une femme comme Streeaka, il fallait s’y attendre. Elle donnait de légères tapes sur l’une des fesses de Val’nadi et sur ses cuisses, pour la motiver, mais sans jamais chercher à lui faire mal. Le missionnaire continuait donc, Streeaka s’activant avec passion, son joli corps noirâtre filant sur elle, en elle, l’écrasant totalement.

« Là, làà… Serre tes jambes autour de mon bassin, ma chérie… Dis à Maman combien tu aimes son câlin… »

Et Streeaka continuait son office, reculant son bassin, jusqu’à être à la limite de sortir, puis elle s’enfonçait à nouveau, profitant de la dilatation des parois internes de Val’nadi pour se faufiler plus facilement en elle, et ainsi pouvoir la faire rugir de plaisir !

Sur le lit de Streeaka, Val'nadi subissait l’assaut plein d'amour de sa mère qui continuait de la prendre en rebondissant sur elle, sa queue s'enfonçait autant que possible en elle, déformant légèrement son ventre. L’érection de la Drow était puissante et l'elfette n'était ni très grande, ni très en forme, cela se voyait quand une telle chose envahissait son corps. Mais ce n'était pas douloureux, ça ne l'était plus, elle s'était habituée à cela et elle aimait ça. Sentir sa mère Drow qui la prend avec autant de vigueur et de passion, cela la mettait en joie de voir combien elle aimait sa « fille ». Ce qui au départ était une sorte de paiement pour le gîte et le couvert – et la protection – était devenu presque banal maintenant. Comme très souvent, elle laissait Streeaka faire son office, elle venait l'aider parfois, comme elle pouvait, mais c'était surtout la matriarche qui menait la danse. Suivant ses conseils, elle venait enrouler ses jambes autour d'elle, serrant comme elle pouvait sans trop la gênée alors qu'elle continuait d'y aller de plus bel en voulant un peu plus de la part de sa fille.

Levant les yeux vers elle, ses grands yeux pourpres qui luttaient pour ne pas se fermer, elle maintenait le sourire, essayant de ne pas couper sa phrase à cause du plaisir comme de l'assaut, elle était ravissante en levant ses bras pour enrouler ses mains autour de sa nuque.

« Haaaa.... j'adore... mmhhh haaaa, tes câlins.... Maaaaaaaman ! Câline-moi haan ! Encore, très fort ! »

Difficile de savoir de quel type de câlin elle parlait puisque les deux étaient possibles, là. Mais la Drow pouvait bien lui offrir les deux, ça ne changerait pas grand-chose pour elle après tout. Serrant ses jambes autour d'elle pour l'aider, elle usait de la force de ses bras pour se hisser jusqu'à elle pour l'embrasser goulûment en fermant les yeux, profitant du goût de sa salive, en jouant avec sa langue. Elle avait beau tenir un peu plus le rythme de Streeaka à présent qu'elle se faisait la main, c'était toujours un peu compliqué d'égaler sa mère qui avait des siècles de pratique ! Nul doute qu'elle ne tarderait pas à jouir si sa mère l'écoutait et augmenter la puissance de son câlin. Ses doigts commençaient à se crisper, comme ses jambes qui se serraient un peu plus autour d'elle.

« Maman... je-je sens que je viens.... »

C'était bientôt l'heure.

Streeaka offrait à Val’nadi un merveilleux câlin, le genre de câlin qui marquait les esprits. Affectueuse, Streeaka savait témoigner son amour envers ses proches, y compris sa fille adoptive. Elle la bourrait de plus en plus, et, même si Val’nadi ne le réalisait pas encore, son endurance sexuelle était déjà très impressionnante. La Matriarche drow était en effet une femme très gourmande, très dynamique, qui n’hésitait pas à faire l’amour avec force. Streeaka était allongée sur elle, dominant ce délicieux petit corps, appuyant sur la poitrine de Val’nadi. Elle l’étouffait lentement, car elle savait que Val’nadi aimait ça, qu’elle aimait sentir son puissant corps s’écraser sur le sien.

« Tu es si belle, hum… Val’nadi aime les câlins de Maman, hein ? Hummm… !! »

La Drow soupira encore, et l’embrassa tendrement, puis mordilla le creux de son cou. Elle usait de sa magie pour durcir et épaissir sa queue, rendant ses coups de reins plus intenses, plus profonds. La petite Val’nadi ne pouvait pas lutter, mais cela avait aussi pour effet de rapprocher Streeaka de l’orgasme. La Drow soupira longuement, serrant sa main sur les cheveux trempés de l’elfette. Elle soupira encore, se pinçant les lèvres. Le lit grinçait furieusement, tandis que Val’nadi lui annonça, entre deux soupirs, qu’elle était sur le point de jouir. Streeaka sourit, et lui lécha alors la pointe du nez.

« Jouis. »

C’était un ordre simple, et Val’nadi ne put que s’exécuter. En sentant toute cette mouille, Streeaka se pinça les lèvres, et se mit à jouir à son tour. Elle soupira longuement en fermant les yeux, et balança d’épaisses giclées de foutre dans sa chatte. Sa grosse queue avait fermement durci, et elle dégonfla en crachant de gros chapelets de foutre. Streeaka tremblait nerveusement en s’abandonnant en elle, déversant tout son amour, de quoi faire jouir Val’nadi deux fois de suite. Si la petite elfette pouvait jouir abondamment, ce fut, pour le coup, également le cas de Streeaka, qui jouit abondamment, griffant le corps de Val’nadi, ses muscles se bandant au maximum, avant de se calmer et de se détendre progressivement.

En tout, Streeaka avait joui pendant une bonne minute. Elle ralentit petit à petit le rythme, et sa queue retrouva une forme plus normale, avant de se rétracter. Streeaka embrassa alors Val’nadi sur la joue.

« Reprends des forces, ma chérie… »

Habituellement, les sœurs de Val’nadi, et Val’nadi, suivaient un enseignement auprès de l’école privée de Streeaka, réservée à son clan. Même chez les Drow, l’éducation était importante, mais, comme elles allaient partir aujourd’hui chez « Tante Zila », il y avait une exemption.

« Maman a joui en toi, tu sais… ♥ ! »

Toujours écrasée par sa mère, Val'nadi se sentait si bien, par cette pression, par ce qui se trouvait en elle, c'était si délicieux e-t ça durait encore et encore. Elle était douée pour faire durer le plaisir, pour bien le dosée, surtout maintenant qu'elle commençait à bien connaître Val'nadi. Ses goûts, ses préférences, c'était toujours un petit plus quand elle pensait à elle. Par chance, Streeaka était plutôt douce – ou juste pour elle – et ses préférences se rapprochaient avec ce que la drow faisait le plus souvent donc, les deux s'emboîtaient bien, tout comme la Drow s’emboîtait bien dans l'elfette. Elle se sentait approchée de sa limite, à grand pas, et la Drow n'avait qu'un seul ordre à lui donner à ce propos. La matriarche prononça le mot et elle se sentait se vider, arrosant le bas-ventre, les couilles de Streeaka alors que cette dernière ne tardait pas à la remplir en récompense. Elle sentait son énorme trique se relâcher en elle, remplissant son petit utérus de sa semence, provoquant en elle un second orgasme bien rapide. Val'nadi se cramponnait à elle, se tortillant sur place, faible face à ses émotions.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!! »

Ses muscles se détendirent, elle était allongée sur le lit, presque inerte, si ce n'est sa petite poitrine qui se soulevait, preuve qu'elle respirait encore. Elle la laissait se reposer, baisant juste sa joue, avant de préciser qu'elle avait joui en elle, provoquant chez elle une petite réaction. Un sourire. Elle tournait doucement son regard vers elle, toujours éreintée par ce câlin, mais heureuse. Sa petite main venait toucher une parcelle de sa peau en retour.

« Et moi... deux fois. »

Même si elle se trouvait encore faible face à elle, toutes ses nuits et journées – quand bien même l'obscurité était persistante ici – l'avait forgée, mais c'est sûr que face à elle, elle agitait le drapeau blanc bien plus rapidement qu'elle. Elle prenait quelques minutes pour s'en remettre avant de chercher sa tunique pour s'habiller, même si elle veillait quand même à savoir si sa « mère » n'avait besoin de rien venant d'elle ? L'aider à se coiffer ou l'habiller, c'était des petits gestes au quotidien qu'elle faisait parfois, car elle devait beaucoup à cette Drow. Cela ne rembourse pas ce qu'elle lui devait, mais c'était mieux que rien.

« Concernant Zila, est-ce c'est ta petite ou ta grande sœur ? »

La différence ne devait pas être énorme, mais elle se posait la question, voir si dans son schéma, Streeaka était Val'nadi ou ses petites sœurs ? Après, elle ignorait tout de cette autre Drow, mais elle espérait qu'elle serait comme elle, cela serait plus rassurant pour elle, surtout si elle devait rester près de ses petites sœurs.

L’amour filial entre une Drow et une non-Drow semblait illusoire et fantasmagorique… Mais Streeaka était habituée à perturber les habitudes, à bouleverser l’ordre établi. Elle ne cessait de le démontrer en s’intéressant au Monde-Du-Dessus, et elle venait encore de le prouver en recueillant ces quatre elfes. Après tout, comment pouvait-on résister au charme de Val’nadi ? La petite se pressait contre elle, tout en lui confessant avoir joui « deux » fois. Streeaka sourit malicieusement, et l’embrassa sur le front.

« Tu deviens plus endurante, ma chérie… »

Streeaka en était ravie, naturellement. Elle et Val’nadi faisaient souvent l’amour, et cela durait longtemps. La Matriarche était une femme endurante, assoiffée, qui prenait toujours un grand plaisir à coucher avec Val’nadi, à lui faire de gros câlins. Cela s’expliquait ; Val’nadi était en manque d’amour, il fallait donc lui en donner beaucoup ! Streeaka avait perçu en elle son potentiel, et elle était impatiente de la présenter à Zila. En songeant justement à elle, Val’nadi lui demanda ce qu’elle était par rapport à Streeaka.

« C’est ma petite-sœur… Mais elle n’est pas que Drow, c’est aussi une vampire. Elle est la plus à même de nous fournir des informations sur tes pouvoirs, ainsi que sur ceux de tes petites-sœurs. »

Que Val’nadi soit nerveuse à l’idée de rencontrer une nouvelle Drow, cela pouvait se comprendre. Elle n’avait encore jamais vu Zila, et elle savait que les Drows étaient un peuple assez hostile aux autres. Ils étaient beaucoup moins amicaux que les elfes, et servaient des Dieux beaucoup plus sombres que ceux de la Seldarine. Et, de manière générale, l’Outreterre était un environnement dangereux, beaucoup plus que ne pouvait l’être la surfacer. Streeaka lui sourit alors, et l’embrassa encore, couchant Val’nadi sur le lit, sous elle. Elle prolongea volontiers ce baiser, sentant la peau douce et chaude de Val’nadi contre elle. Un contact agréable, pour une peau très soyeuse. Streeaka aimait beaucoup l’embrasser, tout comme elle aimait voir Val’nadi rougir sous le plaisir et sous l’effort.

Streeaka retourna la pénétrer, s’enfonçant doucement dans son con. Elle sentit le corps de Val’nadi se crisper lentement. Sa chatte trempée accueillit la verge assoiffée de Streeaka, qui la pénétra toutefois à un rythme assez ralenti, comme pour savourer la chose.

« Zila et moi sommes amantes, hmmm… La plupart de mes filles viennent d’elle… »

C’était là un mince exploit, car, en tant que vampire, Zila aurait dû être inféconde. Et, de fait, Streeaka était la seule personne que Zila pouvait féconder.

« Tu peux la considérer autant comme ma sœur que comme ma femme, hummm… Il est donc logique que je lui présente nos nouvelles filles. Et toi, elle va t’adorer, hmmm… Comme moi, je t’aime ♥ »