Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]
Posté : 15 oct. 2024 01:06
« Cla… Clara… »
Derrière elle, le père de Clara était mortifié. Il voyait sa fille entre les mains de ce monstre, et ne pouvait rien faire. Il était vieux, certes, mais l’homme savait encore se battre. Il était musclé, plutôt bien bâti, mais était incapable de lutter. Les loups l’encerclaient, et ils étaient gros, et furieux, grognant et claquant des dents, même alors que leur « Roi » leur avait ordonné de se calmer. L’homme était également face à un terrible Lycan, qui lui avait exposé ses conditions. Mais l’homme était partagé. Il voulait protéger sa fille, et, quand il la vit lui tourner le dos, rougissant en s’agenouillant devant l’hideuse protubérance du monstre, l’homme se crispa sur place.
« CLARA ! »
Les loups aboyèrent alors furieusement, et il sentit une patte se poser sur sa jambe, des griffes épaisses et tranchantes venant entailler son pantalon. Un ricanement s’échappa des lèvres de Steppenwolf, qui fixa l’homme, avant de poser sa lourde main sur la tête de Clara, l’empêchant ainsi de regarder son paternel, et l’amenant au contraire à s’écraser contre sa queue. Il ricana donc, remuant ses doigts, sentant les délicates mains de Clara glisser sur son verge, qui se mit rapidement à enfler. Une verge monstrueuse, veineuse. Steppenwolf avait beau avoir un comportement très bestial, il y avait encore quelques traces d’humanité qui s’exprimaient en lui… Mais une humanité cruelle, perverse, qui aimait faire souffrir et dominer.
Steppenwolf frémit quand la langue de Clara commença à glisser sur sa queue, et qu’elle alla embrasser ses testicules.
« Clara n’est plus ta femelle, stupide homme, c’est la mienne… C’est ma femelle, et ce sera ma Reine ! Elle porta enfants de moi, enfants forts et puissants ! »
Le Lycan gronda encore, sentant sa queue commencer à l’élancer. Elle continuait à jouer avec lui, et il laissa la jeune femme agir à sa guise, mortifiant encore l’humain. Un grondement s’échappa à nouveau des lèvres du Lycan, qui pencha sa tête vers la jeune femme.
« C’est bon, Clara… »
Steppenwolf l’aida à se relever, et posa de nouveau une main sur ses fesses. Elle était une brindille face à lui, et il empoigna avec sa main libre ses cheveux. Ce faisant, Steppenwolf pencha son visage vers le sien. Sa langue jaillit, et lécha les lèvres de Clara, avant de forcer le passage. Son Petit Chaperon Rouge couina doucement, avant d’ouvrir également les lèvres, et Steppenwolf alla ensuite l’embrasser, serrant longuement son corps contre le sien. C’était un baiser digne d’un humain, mais avec une gueule bestiale. Son museau frottait son nez, ses poils la serraient, et il crispa ses doigts sur son cul et sur son cou, tout en s’amusant à frotter sa queue contre elle, pour qu’elle mouille, qu’elle soit excitée.
Il laissa passer plusieurs minutes, sentant la langue de Clara répondre à la sienne. Steppenwolf gronda encore doucement, et rompit finalement le baiser. Il était encore suffisamment humain pour laisser son imagination parler, et reprit alors :
« Père à toi… Convaincu que toi pas aimer ça… Pas aimer moi ! »
L’idée semblait l’amuser, et il enchaîna ensuite, un sourire semblant même se dessiner sur son visage :
« Toi te mettre à quatre pattes face à humain… Et moi besogner toi… Toi hurler ton plaisir devant lui, plaisir donné par ton Roi… »
Et cette idée semblait beaucoup exciter le redoutable Lycan…
Derrière elle, le père de Clara était mortifié. Il voyait sa fille entre les mains de ce monstre, et ne pouvait rien faire. Il était vieux, certes, mais l’homme savait encore se battre. Il était musclé, plutôt bien bâti, mais était incapable de lutter. Les loups l’encerclaient, et ils étaient gros, et furieux, grognant et claquant des dents, même alors que leur « Roi » leur avait ordonné de se calmer. L’homme était également face à un terrible Lycan, qui lui avait exposé ses conditions. Mais l’homme était partagé. Il voulait protéger sa fille, et, quand il la vit lui tourner le dos, rougissant en s’agenouillant devant l’hideuse protubérance du monstre, l’homme se crispa sur place.
« CLARA ! »
Les loups aboyèrent alors furieusement, et il sentit une patte se poser sur sa jambe, des griffes épaisses et tranchantes venant entailler son pantalon. Un ricanement s’échappa des lèvres de Steppenwolf, qui fixa l’homme, avant de poser sa lourde main sur la tête de Clara, l’empêchant ainsi de regarder son paternel, et l’amenant au contraire à s’écraser contre sa queue. Il ricana donc, remuant ses doigts, sentant les délicates mains de Clara glisser sur son verge, qui se mit rapidement à enfler. Une verge monstrueuse, veineuse. Steppenwolf avait beau avoir un comportement très bestial, il y avait encore quelques traces d’humanité qui s’exprimaient en lui… Mais une humanité cruelle, perverse, qui aimait faire souffrir et dominer.
Steppenwolf frémit quand la langue de Clara commença à glisser sur sa queue, et qu’elle alla embrasser ses testicules.
« Clara n’est plus ta femelle, stupide homme, c’est la mienne… C’est ma femelle, et ce sera ma Reine ! Elle porta enfants de moi, enfants forts et puissants ! »
Le Lycan gronda encore, sentant sa queue commencer à l’élancer. Elle continuait à jouer avec lui, et il laissa la jeune femme agir à sa guise, mortifiant encore l’humain. Un grondement s’échappa à nouveau des lèvres du Lycan, qui pencha sa tête vers la jeune femme.
« C’est bon, Clara… »
Steppenwolf l’aida à se relever, et posa de nouveau une main sur ses fesses. Elle était une brindille face à lui, et il empoigna avec sa main libre ses cheveux. Ce faisant, Steppenwolf pencha son visage vers le sien. Sa langue jaillit, et lécha les lèvres de Clara, avant de forcer le passage. Son Petit Chaperon Rouge couina doucement, avant d’ouvrir également les lèvres, et Steppenwolf alla ensuite l’embrasser, serrant longuement son corps contre le sien. C’était un baiser digne d’un humain, mais avec une gueule bestiale. Son museau frottait son nez, ses poils la serraient, et il crispa ses doigts sur son cul et sur son cou, tout en s’amusant à frotter sa queue contre elle, pour qu’elle mouille, qu’elle soit excitée.
Il laissa passer plusieurs minutes, sentant la langue de Clara répondre à la sienne. Steppenwolf gronda encore doucement, et rompit finalement le baiser. Il était encore suffisamment humain pour laisser son imagination parler, et reprit alors :
« Père à toi… Convaincu que toi pas aimer ça… Pas aimer moi ! »
L’idée semblait l’amuser, et il enchaîna ensuite, un sourire semblant même se dessiner sur son visage :
« Toi te mettre à quatre pattes face à humain… Et moi besogner toi… Toi hurler ton plaisir devant lui, plaisir donné par ton Roi… »
Et cette idée semblait beaucoup exciter le redoutable Lycan…