The Multiversity

Goldstar n’avait qu’une parole, elle avait dit ce qu’elle allait faire, alors elle le fit. Bandant les muscles, elle retint brièvement sa respiration, attrapa sa grosse queue veineuse, et l’enfonça dans le cul de ce petit mâle malpoli. Usagi ne hurla pas au début, mais soupira, le souffle coupé. Goldstar, elle, grogna, en constatant que le cul d’Usagi se dilatait beaucoup moins facilement qu’au Lys. Cela n’avait toutefois rien de surprenant, car Usagi n’avait pas l’endurance exceptionnelle sous cette forme qu’au Lys. Ici, il était beaucoup plus ordinaire, mais ce n’était pas un problème pour Goldstar… Ni même pour Usagi, qui ne tarda pas à régaler les oreilles de Goldstar de ses délicieux couinements, des gémissements aigus. Goldstar l’accompagna en offrant à son fessier une sympathique gifle. Sa main claqua sur son cul avec force, et elle sourit encore, se régalant des cris d’Usagi.

« C’est bien, mon chéri… Crie fort, comme la bonne petite pédale que tu es ! »

La Futanari continua à le prendre en levrette, faisant durer la sodomie. Usagi poussait de nouveaux cris, soupirant longuement, et son corps remuait d’avant en arrière, suivant les solides coups de reins de Goldstar. La F-Girl était bien décidée à ne rien lui épargner, et à le prendre avec force, avec une envie toujours renouvelée. Elle continuait à le prendre, grognant sur place, et, petit à petit, sa queue s’enfonça jusqu’à la garde en lui. Elle aurait pu sentir une résistance chez Usagi, mais le jeune homme s’était effondré bien rapidement, confirmant sa position de soumis, ou tout ce que Goldstar disait. Elle était en train de le déconstruire, de lui faire admettre la réalité.

« Tu aimes ça, hein ? Sentir ma grosse verge dans ton petit cul… Tu la sens bien là, hein ? Comme elle est profonde, haaaa… Tu as un vrai cul de nonne, mon petit soumis, bien serré… Quel pied, putain ! »

Se régalant de la situation, Goldstar continuait à s’enfoncer en lui, et n’hésitait pas à empoigner ses cheveux, tirant dessus quand elle avait l’impression qu’il était en train de basculer et de se mettre à tomber…

Je me doutais que ma venue chez Fut’Corp allait être riche d’expériences, mais je ne pensais pas que la première serait dans ces conditions. Je n’ai pas encore récupéré mon corps féminin mais Goldstar a quand même eu envie de me sodomiser. Incapable de résister à son autorité j’ai dit oui, pensant que j’allais passer un mauvais moment, mais en fait c’est tout le contraire. J’adore sentir sa verge me remplir le cul, ça me procure des sensations que je n’ai jamais expérimentées et c’est très agréable. Ma résistance première a vite volé en éclats devant le constat indéniable que j’aime me faire prendre par le cul même en étant homme. Comme quoi Goldstar avait raison : ce n'est pas juste une question de sexe, on prend son pied quel que soit ce qu’on a entre les jambes. Elle veut m’entendre dire que j’aime sa verge dans mon fondement alors je ne me retiens pas.

« Aaahhh... oui... Goldstar... j’aime sentir ta grosse queue... me remplir le cul... c’est trop bon ! AAHH ! »

Et apparemment Goldstar aime aussi mon cul. Elle y met des claques à répétition, s’y enfonce profondément, et dès que j’ai l’air de basculer un peu trop en avant elle m’attrape les cheveux et tire dessus pour me redresser. Ca fait mal mais le sentiment de soumission compense facilement.

« Hhhmmm... »

Je ne pensais pas que j’aimerais autant ça mais mon corps ne ment pas : c’est l’éclate. Ma verge tressaute entre mes jambes, tendue comme rarement elle l’a été auparavant. Tout mon corps tremble de plaisir à chaque mouvement de Goldstar et j’en savoure chaque seconde.

« Aahh... aaahhh... ça vient... OOUUII ! »

Au bout de quelques minutes j’ai un premier orgasme. Je sens le plaisir inonder tout mon corps tandis que ma queue crache son foutre gluant sur le sol. Mais malgré ça, Goldstar ne ralentit pas. Elle continue inlassablement de me pilonner, sans ménagement, désireuse d’élargir mon anus même si elle apprécie le fait que ce soit si serré.

« Aahh... hhhmmm... aaahhh ! »

Combien de temps compte-t-elle me culbuter de la sorte ?

Goldstar comptait bien faire couiner ce beau petit lapin, qu’il ait chaud au cul, et qu’il couine longuement. Assez rapidement, Goldstar ne tarda pas à atteindre un bon rythme, enfonçant sa verge bien profondément dans le cul du petit lapin. Il se tortillait contre elle, couinant et gémissant, sentant un plaisir inédit l’envahir, une vague incroyable et jouissive. Oh, quel pied ! Dans son dos, Goldstar tremblait sur place, sa combinaison s’étirant et se tendant tandis qu’elle bandait et relâchait ses muscles, lui malmenant le cul. Oh, que c’était bon ! Goldstar adorait ça ! Une verge n’était à sa place que quand elle était dans un corps. Là, bien au chaud, compressée par les parois anales d’Usagi, sa verge était dans un endroit des plus agréables. La Futanari s’y enfonçait avec passion, remuant d’avant en arrière, ce qui finit par achever Usagi. Dans un grand soupir, celui-ci se mit à jouir, tapissant le sol de son sperme. Il était ravi, conquis. Avant de le transformer en femme, Goldstar comptait bel et bien s’amuser avec lui.

N’ayant pas encore joui, la F-Girl continua donc son office, s’enfonçant en lui.

« Homme ou femme… Tu… Tu restes ma petiote pute, haaa… Et cela ne changera jamais, Usagi ! »

Oui, le sexe ne faisait aucune différence là-dessus, et c’était aussi ce qu’elle voulait qu’il comprenne. Il devait réaliser que sa soumission n’était pas liée à son changement de sexe, qu’elle était innée. Il devait accepter sa nature profonde pour pouvoir, ensuite, accepter plus facilement le fait de se transformer définitivement en fille.

« Hum, ton cul est tellement bon, mon chéri… Je suis sûre que tu es convaincu de ne pas pouvoir tenir aussi longtemps qu’au Lys, hein ? Pas de chance pour toi, mon beau, car… Moi, mon endurance ne change pas ! »

Des bruits de pas supplémentaires ne tardèrent pas à se faire entendre. Goldstar n’était de base pas seule, et Élodie se rapprocha. Sa main serra les cheveux d’Usagi, caressant ensuite son crâne, et elle se positionna devant lui, sa verge glissant contre son visage. Élodie sourit malicieusement.

« Là… Ouvre bien la bouche, mon beau, ma queue a très envie que ta bouche de chaud lapin la suce… ♥ ! »

Que je sois homme ou femme, je suis la petite pute de Goldstar. C’est elle qui le dit et elle a raison. J’aime beaucoup trop sentir son sexe tendu entre mes fesses pour prétendre le contraire, tout comme j’aime être soumis à elle. Homme ou femme, je me réjouis de me faire prendre par une F-Girl puissante et autoritaire qui me baise avec puissance. Ma seule crainte est de ne pas pouvoir tenir aussi longtemps que quand je suis au Lys, car l’endurance de Goldstar ne change pas ici.

« Hhhmmm... aaahhh... ooouuuiii... »

J’entends des bruits de pas supplémentaires arriver vers moi. Une autre F-Girl, Elodie je crois, se présente devant moi. Elle pose sa main sur mes cheveux et les serre en glissant sa verge sur mon visage. Elle veut que le chaud lapin la suce, et il est vrai que le lapin est très chaud.

« Aaahhh... »

J’ouvre grand la bouche pour accueillir cette queue tendue et veineuse qui vient s’enfoncer entre mes lèvres. Je me régale à la sentir bouger dans ma bouche, j’use de ma langue dessus du mieux que je peux et je savoure la sensation de mon corps balloté par les coups de reins de ces deux femmes pleines de passion.

« Hhhmmm... »

Je ne peux plus parler mais le plaisir doit se voir sur mon visage et mon corps. Ma propre queue est tendue à l’extrême et je sens que je vais bientôt jouir à nouveau. Le problème, c’est qu’à chaque orgasme je me fatigue, et je ne suis déjà pas au meilleur de ma forme. Les F-Girls sont des amantes très exigeantes, très endurantes et très puissantes, et je ne suis pas sûr d’être à la hauteur sans la magie rose du Lys. Mais pour l’instant, tout ce que je peux faire c’est tâcher de suivre le rythme. J’espère juste qu’elles auront ce qu’elles veulent de moi avant que la fatigue ne me fasse tomber.

Le petit lapin était bien chaud. Pris par deux F-Girls, Usagi était dans l’équivalent du paradis, Goldstar lui ramonant le fondement tandis qu’Élodie goûtait à ses magnifiques lèvres. Les deux femmes le prenaient avec force et passion, faisant monter Usagi dans tous les tours. Le jeune lapin eut donc logiquement à nouveau une érection, et se demandait tout aussi logiquement combien de temps il allait encore pouvoir tenir avant que la fatigue ne l’emporte. Il est vrai que, sous cette forme-là, il était moins endurant qu’au Lys, car il ne baignait pas dans cette magie rose permanente. Néanmoins, il avait grand tort de se sous-estimer. Goldstar, reprenant son souffle, le fessa à nouveau, et parla encore :

« Tu crois que tu es plus faible parce que nous ne sommes plus au Lys, mon lapinou… Mais tu te trompes, haaa. Cette endurance que tu as développé au Lys, cette expérience sexuelle que tu as emmagasiné… Elle a façonné ton corps, tes désirs, tes envies. Tu crois que tout cela est parti parce que… Parce que tu es hors du Lys ? Si tu es moins endurant, Usagi, c’est parce que, inconsciemment, tu te penses moins endurant… Peut-être parce que tu penses être meilleur en étant femme ? »

Cela n’avait rien d’une pensée condamnable, surtout à Uatis, où les hommes étaient assez mal vus. Goldstar ressentait toutefois toujours un certain plaisir ancestral à l’idée de dominer sexuellement des hommes. Cette nation avait été fondée sur une guerre sexuelle, une lutte entre les Fées et les hommes menés par le Prince de Cristal aurien. Les Uatéennes avaient intériorisé ce lointain conflit, et Goldstar ne pouvait donc que prendre son pied. Évidemment, cela ne signifiait pas qu’elle allait revenir sur sa parole, mais qu’elle était bien décidée à en profiter autant que possible ! Sa verge s’enfonçait donc douloureusement dans le corps de son partenaire, le faisant encore couiner, pour autant qu’on puisse l’entendre avec la verge d’Élodie qui remuait en lui.

« Jouis encore, petit lapin… Tu es entre de bonnes mains, maintenant, et nous ferons de toi une femme… Notre petit lapin sodomite deviendra une belle petite salope nymphomane que nous pourrons baiser à loisir. Et… Peut-être même que tu finiras par porter nos bébés. Tu es tellement chanceux ! »

Elles continuèrent à le prendre, bien décidées à jouir toutes les deux en lui, mais pas sans lui faire goûter l’endurance sexuelle légendaire des F-Girls…

Être coincé entre deux F-Girls qui vous font l’amour avec force et passion… s’il y a une meilleure façon de passer sa journée, je ne la connais pas. Pourtant j’ai eu mon lot d’expériences sensationnelles au Lys, mais là c’est encore mieux. Peut-être parce que c’est vraiment moi, et rien que moi. Pas de magie rose, pas de corps bâti pour la luxure, juste moi et mes sensations. Goldstar m’assure que je n’ai pas besoin de la magie rose du Lys pour être endurant, que l’expérience que j’y ai accumulée n’a pas disparu juste parce que j’en suis sorti. Elodie, elle, préfère me projeter dans l’avenir, me promettant que j’allais devenir une belle salope nymphomane qu’elles baiseraient à loisir, et peut-être même qu’elles me feraient des bébés.

« Hhhmmm… »

Je sais que Goldstar veut que j’apprenne à apprécier le plaisir que je prends en tant qu’homme, mais m’imaginer en tant que femme chez Fut’Corp m’excite beaucoup trop. D’après ce que Peach m’a raconté, vivre ici c’est comme vivre dans une petite ville. Je pourrais faire du sport, du shopping, me détendre à la piscine ou hammam… et dès que les F-Girls l’exigeront j’écarterai les jambes pour qu’elles me baisent. Ce programme me plaît beaucoup mais pas juste parce qu’il y a du sexe.
Quand on vit dans un brothel installé dans une dimension parallèle et qu’on obtient tout grâce à la magie, on a tendance à oublier le plaisir des choses simples. Au Lys, je n’avais qu’à visualiser une tenue ou un repas dans ma tête pour l’avoir aussitôt, et comme mon corps ne vieillissait pas je n’avais pas besoin de faire de sport ou de faire attention à mon apparence. Maintenant que je suis ici, je vais devoir faire toutes ces choses qui se faisaient toutes seules. Quand je voudrai une nouvelle tenue, j’irai l’acheter dans une boutique. Quand je voudrai manger quelque chose, il faudra que je cuisine. Et pour rester belle et énergique, il faudra que je fasse du sport et que je fasse attention à mon apparence. Je comprends que la plupart des gens éprouvent de la lassitude devant ces activités répétitives du quotidien, mais pour moi elles seront bien plus excitantes.

« HHHMMM ! »

Pendant que je me projette dans ma tête, les coups de butoir furieux des F-Girls m’amènent à l’orgasme. Une fois de plus ma queue crache son sperme visqueux et épais sur le sol. Peu de temps après ce sont les F-Girls qui se déchargent en moi. Je sens ma bouche, ma gorge et mon fondement se remplir de semence, un jus salé et gluant qui se déverse en moi longuement. Je fais ce que je peux pour avaler mais une partie ne parvient pas jusqu’à ma gorge. Une fois leur éjaculation passée, elles me libèrent pour que je puisse reprendre mon souffle.

« Aahh… aaahhh… »

J’espère qu’elles ont eu ce qu’elles voulaient parce que je ne suis pas sûr de pouvoir repartir immédiatement.

Usagi était désormais convaincu, les F-Girls le sentaient… Convaincu qu’il était au bon endroit, et que c’était bien ici, à la Fut-Room, qu’un nouveau chapitre de sa vie allait commencer. Une nouvelle vie très heureuse, qui commença par un magnifique triple orgasme. Usagi se relâcha avec joie en sentant Goldstar et Élodie jouir en lui. Elles s’abandonnèrent avec joie à ce plaisir ancestral, et se détendirent ensuite. Usagi était en sueur, et Élodie se pencha vers lui, l’aidant à se relever.

« C’est différent qu’au Lys, hein ? Là-bas, avec toute cette magie, on n’est jamais vraiment fatigués… Ici, tout est un peu plus éprouvant pour toi. »

Élodie lui sourit affectueusement, et l’embrassa sur la joue. Dominatrices, les F-Girls n’étaient pas cruelles, ni inutilement méchantes. Et elles n’avaient aucune raison de provoquer Usagi, ou de se moquer de lui. Elles le laissèrent s’asseoir sur un fauteuil, et Goldstar se glissa dans son dos, venant lui masser les épaules.

« Tu disposeras de ta propre chambre… Comme je te l’ai dit, il va falloir attendre quelques jours avant de pouvoir procéder à l’opération. Tu subiras des tests pour paramétrer nos appareils et réussir au mieux l’opération. Pendant ce temps, tu pourras en découvrir plus sur notre entreprise, et sur la Fut-Room. Comme tu le verras, il y a beaucoup de choses à faire ici. Tu pourras en profiter pour te renseigner, discuter avec nos F-Boys… Sache en tout cas que la règle qui prévaut pour les F-Boys prévaudra pour toi aussi. »

Élodie poursuivit à la place de Goldstar. Elle avait été ouvrir un réfrigérateur, en sortant une bouteille, un soda fruité et légèrement euphorisant qu’elle avala avec appétit.

« Les F-Girls sont au sommet de la hiérarchie. Cela signifie qu’il faut toujours leur obéir, et qu’elles peuvent te faire l’amour quand elles veulent. Te refuser à une F-Girl est une preuve d’insubordination qui peut te valoir d’être licencié. »

Parler de licenciement pouvait sembler curieux, dans la mesure où Usagi n’avait encore rien signé.

« Ta prochaine étape sera de rencontrer Charlie… C’est la patronne. C’est elle qui te fera signer ton contrat. Nous sommes une société organisée ici, alors, pour rester au sein de nos locaux, tu dois signer un contrat de travail.
-  Mais commence par reprendre des forces. Tu devrais même prendre une douche, il faut que tu sois présentable pour aller voir la Boss. »

Elodie m’aide à me relever. Les F-Girls semblent avoir eu ce qu’elles voulaient, je peux même aller m’asseoir pendant que Goldstar me masse les épaules. Elle m’explique que les prochains jours vont être consacrés à la préparation de mon opération. En attendant je vais pouvoir vivre ici. J’aurai droit à ma propre chambre et je pourrai explorer les lieux, en apprendre plus sur l’entreprise, discuter avec les F-Boys... Cependant, bien que je ne sois pas encore officiellement sous contrat avec l’entreprise, je dois suivre la même règle cardinale que les F-Boys : obéir aux F-Girls en toutes circonstances et faire l’amour avec elles dès qu’elles le veulent.

« Ça paraît évident. Du moment que vous ne me demandez rien de déraisonnable. »

Je ne m’en fais pas pour ça. Fut’Corp semble être un endroit agréable à vivre rempli de gens sensés. En plus ils ont la confiance du Lys. J’ai juste à bien me comporter et tout devrait se passer comme prévu.

La prochaine étape est de rencontrer Charlie, la dirigeante de Fut’Corp, pour signer le contrat qui officialisera ma place ici. Mais d’abord je dois reprendre des forces et me faire beau.

« Vous permettez que j’utilise votre douche ? »

Je n’ai pas très envie qu’on me voir me balader dans les couloirs dans cet état. Même si je me doute que ça ne doit pas être une scène si inhabituelle dans un endroit comme celui-ci, je ne me sens pas encore assez en confiance pour m’afficher.

Je vais dans la salle de bains mitoyenne à la chambre et j’entre sous la douche. Une fois que je serai bien nettoyé je demanderai à emprunter des vêtements. Les F-Girls doivent savoir ce que leur patronne aime. Ou alors j’utiliserai mes nanites pour en matérialiser.

Rien de déraisonnable… Élodie sourit doucement à cette idée.

« Je suppose que cela dépend de la définition qu’on se fait de cette notion. »

Usagi demanda alors s’il pouvait prendre une douche. Élodie acquiesça, et l’invita à la suivre. Ils sortirent de la chambre, et elle lui expliqua qu’il y avait une grande salle de bains commune. En réalité, tout un étage de l’immeuble était consacré à cela. C’était l’étage aquatique. Il y avait des douches communes, mais aussi des cabines individuelles, de grandes baignoires, et un complexe aquatique avec un grand bassin, un jacuzzi, et un bassin plus petit. Toutefois, le but premier de ces bassins n’était pas de faire de la natation. Élodie rejoignit l’ascenseur, et grimpa à l’étage.

« Pendant que tu te douches, Goldstar va te faire un badge. Tu pourras accéder aux différents niveaux de la Fut-Room. On va aussi te faire un identifiant, t’allouer une chambre… On est peut-être dans un baisodrome géant, mais il y a un règlement intérieur, il faudra que tu le lises. Ensuite, on se chargera de ton contrat. En attendant ton opération, tu auras le statut de stagiaire ici. »

L’ascenseur s’arrêta au bon étage, et Élodie s’avança. Elle lui présenta un plan de la structure. C’était un plan avec des puces électroniques, et on pouvait voir toute une aile abritant les douches individuelles, avec des codes couleur.

« Vert signifie que la douche est vide, rouge qu’elle est occupée… Ce qui n’empêche pas de rentrer. »

L’entrée de l’étage était un grand vestiaire. Il n’y avait pas de clefs pour les casiers, il suffisait d’en prendre un. Élodie le laissa donc à ses emplettes, et le jeune homme rejoignit une douche individuelle. Il y avait une belle porte qu’on pouvait rendre transparente. L’eau fila rapidement, douce et chaude. Il aurait pu s’y absorber, quand, après quelques minutes, la porte de la cabine s’ouvrit brusquement. Il était dos à la porte, et sentit une verge caresser ses fesses, ainsi qu’une épaisse poitrine heurter l’arrière de sa crâne.

« Bonjour, toi… Pour un homme, tu as un très beau cul… »

Cette voix n’était pas celle de Goldstar ou d’Élodie. Elle appartenait à une autre et redoutable F-Girl, la puissante Katherine. Ses formes disproportionnées faisaient d’elle une F-Girl particulièrement redoutable, qui frotta sa verge contre la croupe d’Usagi, se pressant dans son dos en promenant ses mains sur lui. L’une d’elle alla caresser sa verge, et elle sourit en la sentant se durcir.

« Le petit-nouveau… Nous sommes une grande famille, nous adorons prendre soin des petits-nouveaux en manque de câlins… Maman Katherine va prendre soin de toi, mon mignon. »

Elle l’embrassa ensuite dans le creux du cou, mordillant tendrement sa chair.

En fait je vais pouvoir me doucher à ce que les occupants des lieux appellent l’étage aquatique. C’est tout un étage avec une grande salle de bains commune et un complexe aquatique avec un grand bassin, un jacuzzi, et un bassin plus petit. Elodie m’accompagne là-bas et m’explique en chemin que Goldstar va préparer un badge pour moi. Ce badge me permettra d’accéder aux différents niveaux de la Fut-room. J’aurai aussi ma propre chambre et il faudra que je lise le règlement intérieur. Ca me semble être beaucoup de paperasse pour des histoires de sexe mais on est dans une entreprise après tout. Je représente le Lys ici, je dois suivre les règles à la lettre.

Elodie me laisse une fois que je suis arrivé aux vestiaires de la salle de bains commune. Il n’y a pas de clé, il suffit d’en prendre un. Mais je n’en aurai pas besoin. Les vêtements que j’ai sur le dos ne sont qu’un amas de nanites. Il me suffit de les faire disparaître et me voilà prêt à filer sous la douche. A peine entré l’eau se met à couler, douce et chaude. Je la laisse tomber sur moi et je souffle un bon coup. Je vais avoir l’occasion de me détendre...

Du moins c’était ce que je croyais jusqu’à ce que la porte de la cabine s’ouvre brusquement. Elodie m’avait expliqué que, même occupées, les douches individuelles restaient accessibles. Je n’ai pas le temps de me retourner, je sens une verge caresser mes fesses et une épaisse poitrine heurter l’arrière de mon crâne.

Encore une F-Girl...

« Bonjour. »

Je ne connais pas celle-ci mais elle a l’air d’aimer mon cul. Elle frotte son chibre contre moi et passe ses mains sur tout mon corps. L’une d’elles s’arrête sur mon sexe et commence à le caresser. Elle sait que je suis nouveau dans la boîte et c’est apparemment pour ça qu’elle veut « prendre soin de moi » comme elle dit. Et elle s’appelle Katherine.

« Aaahhh... c’est toujours un plaisir d’être... soigné par les F-Girls... »

Je me serais bien passé de ça alors que je sors juste d’un sandwich de futas mais je n’ai pas oublié ce qu’on m’a expliqué : ici les F-Girls font la loi. Refuser de satisfaire les envies c’est le renvoi immédiat. Et puis ce n’est pas différent de ce que je devrai faire une fois que j’aurai signé mon contrat. Autant me mettre dans le bain le plus vite possible.

« Maman Katherine... hhhmmm... le petit lapin... a besoin de câlins. »

Je suis curieux de voir comment elle va vouloir la jouer.

Usagi allait vite comprendre que vivre au sein de la Fut-Room, c’était un emploi du temps consacré au sexe, et ce de manière presque exclusive. Du sexe organisé et professionnel, mais du sexe en définitive. Et ce n’était clairement pas avec Katherine qu’il allait apprendre l’inverse. Se pressant doucement, mais non moins fermement, dans son dos, Katherine caressait son corps, glissant sur ses seins inexistants, titillant doucement les tétons, puis caressa son ventre, sentant avant tout l’absence de poils. C’était un très beau torse glabre, et elle descendit encore, tandis que le petit lapin réclamait un câlin. Elle sourit doucement, et l’embrassa dans le creux du cou, se serrant encore dans son dos. Usagi put alors sentir la verge de Katherine se durcir en frottant contre ses fesses, et elle continua à descendre l’une de ses mains, venant l’approcher de son membre.

« Et est-ce que le petit lapin aimerait un câlin ici aussi ? »

Katherine n’attendit pas sa réponse, et empoigna son sexe, venant le masturber. Elle sentit sa queue durcir encore, son sexe se mettant à chaudement palpiter dans le creux de sa main. Elle sourit doucement, l’embrassant encore dans le creux du cou, et déplaça son autre main, caressant l’épaule d’Usagi, et glissa encore sur sa peau. Elle l’embrassa à nouveau, et remua plus vigoureusement sa main, le masturbant.

« Maman Katherine est très gentille envers les petits garçons obéissants… Et tout petit garçon a envie de faire plaisir à sa Maman, n’est-ce pas ♥ ? »

Sa voix suave et sensuelle résonnait dans l’oreille d’Usagi, qui n’eut qu’à tourner la tête pour que Katherine l’embrasse amoureusement. Elle fourra sa langue dans sa bouche, fermant les yeux en appréciant le délicieux goût des lèvres de ce petit trap en devenir… Et continua à remuer, jusqu’à ce qu’il se mette à jouir. Elle orienta son membre de manière à ce que le sperme d’Usagi éclate principalement sur son torse, maculant la peau du jeune homme de foutre.

« Mon pauvre garçon, tu es tout sale… Maman Katherine va prendre soin de toi, mon mignon… »

Elle l’écarta un peu du jet d’eau, et le plaqua contre le mur, ce qui fit qu’Usagi put la voir. Grande et puissante, Katherine était une F-Girl accomplie, et ce dans tout ce qu’on pouvait imaginer. Souriant doucement, elle se pencha ensuite, venant avaler le sperme d’Usagi en léchant tendrement son torse…

Je sens les mains de Katherine caresser mon ventre, descendant peu à peu vers mon bassin, et sa verge se durcir contre mes fesses. Elle sait ce qu’elle veut et elle sait comment jouer avec moi. Quand elle me demande si je veux un câlin entre mes jambes, elle n’attend même pas ma réponse pour commencer à caresser mon sexe.

« Aaahhh... »

Sa main libre glisse sur ma peau et elle m’embrasse dans le cou, me faisant frissonner de tout mon corps. Si je n’avais pas déjà été baisé par Goldstar et Elodie j’aurais joui en un éclair. A la place je tiens assez longtemps pour que la F-Girl me retourne vers elle pour m’expliquer que les garçons obéissants veulent faire plaisir à leur maman... et qu’en retour leur maman sera très gentille avec eux.

« Oui... maman Katherine... hhhmmm... je veux être... un gentil garçon. »

Elle a une voix si sensuelle, et ses baisers sont si fougueux... Je parie qu’elle aurait pu me faire jouir sans même se toucher. Mais c’est la façon dont elle agite ma verge avec ses doigts qui me fait jouir. Elle oriente mon sexe pour que mon sperme aille éclabousser mon torse, maculant ma peau.

« Ooohhh... ooouuuiii... »

Immédiatement après, Katherine me plaque contre un mur de la douche. Maintenant que je lui fais sace je vois à quel point elle est grande et imposante. Elle pourrait facilement me soulever et m’empaler sur sa puissante verge de F-Girl... mais au lieu de ça, elle vient lécher mon torse pour avaler mon sperme.

« Hhhmmm... »

Ça me surprend un peu de voir une F-Girl à genoux, je m’attendais plutôt à ce qu’elle me demande de m’agenouiller pour venir la sucer. Mais elle reste toujours aussi excitante à genoux devant moi. J’ai une vue plongeante sur son décolleté, et sa langue est très agréable sur mon ventre. Je me retrouve encore en érection en un rien de temps.

« Hhhmmm... je veux être un bon garçon... pour maman Katherine. Que font les bons garçons... pour rendre leur maman heureuse ? »

Katherine s’amusait avec lui. Il était le petit nouveau, et il n’avait pas encore goûté au F-Gen. Évidemment, Katherine savait tout ce qu’il y avait à savoir. Chaque nouvelle admission faisait l’objet d’une information. Usagi n’était pas destiné à devenir un simple serviteur, mais bien à recevoir le F-Gen, et à changer de sexe. Ce faisant, il était un cobaye, car la formule pour le transformer était encore expérimentale. La Fut-Room l’expérimentait. Transformer les hommes en femmes restait l’ultime objectif de la société uatéenne, de l’avènement du sexe unique. Lorsque la Fut-Room arriverait à développer une formule stable, la compagnie deviendrait richissime, peut-être même plus que Geoweapon Corp. ! Il fallait donc prendre soin d’Usagi, qui avait été changée en fille pendant un certain temps au sein du Lys, et qui pouvait donc être l’un des rares cobayes sur lequel la transformation allait marcher. Katherine se frottait donc sensuellement à lui, et ne put que sourire quand il joua le jeu, demandant à « Maman Katherine » ce qu’il devait faire pour être un « bon garçon ».

L’intéressée sourit doucement, et se redressa ensuite, son corps massif englobant celui d’Usagi.

« Quelqu’un qui veut faire plaisir à sa Maman… Voilà un gentil garçon ! »

Et, tout naturellement, Katherine alla l’embrasser. Ses lèvres se collèrent sensuellement aux siennes, et elle l’embrassa longuement, pressant son corps massif contre le sien. Sa langue s’enfonça dans sa bouche, et elle fit durer ce baiser, écrasant Usagi contre le mur. Le jeune homme pouvait ainsi sentir combien le corps de Katherine était puissant, et combien celle-ci était pleine de désir. Elle l’embrassait avec force, longuement et langoureusement. Profitant de ses lèvres, Katherine rompit le baiser au bout d’une bonne minute, lui souriant doucement.

« Alors, puisque tu veux être un gentil garçon… Viens donc apposer tes lèvres sur ma verge, Maman Katherine a très envie d’une gâterie par là… »

Un sourire malicieux éclaira furtivement ses lèvres, et elle s’écarta légèrement, laissant ainsi à Usagi l’espace nécessaire pour s’agenouiller, et faire ce qu’il convenait de faire…

J’ai décidé de me prendre au jeu. Katherine veut jouer les « mamans », je serai son « bon garçon ». Elle me félicite de mon enthousiasme avec un baiser, pressant son corps massif contre le mien et enfonçant sa langue dans ma bouche. Je peux sentir sa passion, son désir… Est-ce que c’est moi qui la met dans cet état ou le fait de savoir qu’elle va me baiser ? Est-ce qu’elle serait dans la même mentalité si j’avais été un félin, un chien ou un renard plutôt qu’un lapin ? En tout cas il est clair qu’elle me veut.

Quand Katherine finit par rompre le baiser, elle me demande de venir poser mes lèvres sur son chibre, déjà tendu dans l’anticipation de ce qu’elle va recevoir.

« Ce sera avec plaisir. »

Je me mets à genoux devant Katherine. Je m’étonne qu’il ait fallu autant de temps avant que ça n’arrive mais mon expérience des F-Girls se limite à Goldstar, une F-Girl très autoritaire et qui prend plaisir à se servir de sa grosse queue sur moi. Quant à Elodie, je n’ai pas assez couché avec elle pour savoir quels sont ses goûts mais elle ne s’est pas retenue non plus en fourrant sa queue dans ma bouche. Peut-être que Katherine a envie de savourer, qu’elle va faire preuve de plus de délicatesse. Je verrai bien.

A genoux devant la F-Girl, je caresse son sexe déjà érigé pour la mettre un peu en appétit. Il faut que je soigne ma prestation, plaire aux F-Girls est indispensable si je veux travailler aussi. Mais il faut aussi que je montre que je ne suis pas qu’un vide-couilles, que je sais me servir de mon corps pour donner du plaisir. Je dois me montrer digne de la confiance que le Lys et Fut’Corp ont placée en moi.

Je commence à embrasser le gland de Katherine, que je sens tressauter sur mes lèvres. Comme je suis déjà pas mal excité et elle aussi, je me permets de vite passer les baisers pour en venir aux léchouilles. Ma langue passe sur toute la longueur de ce magnifique vit tendu et veineux, je savoure son odeur puissante et le petit goût qu’il laisse sur ma langue.

« Hhhmmm... la queue de maman Katherine est si tendue. Peut-être qu’elle serait plus à l’aise... dans ma bouche. »

J’ouvre grand la bouche et je commence à sucer son gland. Je sais qu’elle a juste demandé des baisers mais je pense qu’elle appréciera ce petit plus. Pour autant je n’enfonce pas toute sa queue dans ma bouche, j’aspire juste son gland entre mes lèvres avant de me retirer et de reprendre mes baisers et mes léchouilles. Si elle veut que je la suce en profondeur, elle n’a qu’à le demander.

Katherine sourit doucement en voyant Usagi s’agenouiller devant elle.  Le jeune homme avait une mission plutôt claire, et Katherine baissa la tête. Avec sa lourde poitrine, il n’était pas facile de le voir, mais elle pouvait tout de même, entre ses seins, observer sa crinière blanche. Il observa sa queue, une verge solide et puissante. C’était la queue d’une F-Girl accomplie, et il s’y attaqua donc, déposant une série de baisers et de coups de langue. Il huma ce vit avant de s’y attaquer, sentant cette verge se redresser. Katherine frémit lentement, sentant le désir croître en elle, explosant doucement dans son corps. Le désir, électrique, partait de sa queue pour se diffuser dans tout son corps, la stimulant bien plus que de raison. Katherine le laissa faire, et Usagi continua son office, jeune homme motivé. Il la léchait, l’embrassait, comme si elle vénérait ce sexe. D’un autre côté, il interprétait strictement les propos de Katherine.

« Hum… »

Elle soupira en se mordillant les lèvres quand il commença à la sucer, mais sans enfoncer sa queue dans la bouche de Katherine. Celle-ci se laissa aller, et heurta le mur de la cabine de douche, sans toutefois que Usagi aille plus loin. Il retira en effet ses lèvres, et l’intéressée cligna des yeux, sentant une pointe de frustration. Il retourna embrasser sa queue, et la main de Katherine commença à se déplacer. Quand Usagi retourna la sucer, elle posa alors sa main sur ses cheveux, et, quand elle le sentit vouloir se retirer, elle appuya dessus. Elle serra ses cheveux dans la foulée.

« Non, non, petit lapin… Ma queue a envie de ta bouche… Et toi, tu as très envie de sucer Maman Katherine… »

Dit comme ça, Usagi n’avait pas vraiment le choix, il allait devoir sucer !

Je crois qu’en commençant à sucer le gland de Katherine je l’ai intriguée. Quand je viens remettre sa queue dans ma bouche elle pose ses mains sur ma tête et m’empêche de retirer tout en serrant ses cheveux. Elle dit que sa queue a envie de ma bouche et que moi j’ai envie de la sucer.

« Hhhmmm... »

La première affirmation est sans doute vraie mais la deuxième tient plus de l’ordre. De toute façon ce n’est pas comme si j’allais refuser. Sucer un bon gros chibre de F-Girl c’est toujours un plaisir. J’entame une vraie fellation, allant et venant avec ma tête le long de cette hampe de chair érigée et veineuse. Un vrai régal.

« Hhmm... hhhmmm. »

Je m’occupe de sa queue comme elle le mérite. C’est une bonne occasion pour moi de faire mes preuves, de montrer que je peux être un bon employé. En plus de ça, plus je la suce et plus j’y prends plaisir. Je pense que Goldstar avait raison : je n’ai pas besoin de mon corps de femme pour être un bon partenaire sexuel, j’ai juste besoin  d’apprendre à me servir des attributs que j’ai à disposition.

D’autant que je vais peut-être devoir les garder...

Fut’Corp affirme que son sérum peut me transformer en femme, mais les nanites qui composent mon corps sont un prodige technologique qui défie toutes les lois de la nature. Je ne suis même pas sûr que les concepts de vie et de mort s’appliquent encore à moi. J’ai changé de sexe au Lys parce que la magie qu’il y a là-bas est plus forte que n’importe quelle science, mais est-ce que la science peut battre la science ? Fut’Corp est sans aucun doute une entreprise très qualifiée dans son domaine mais peut-elle vaincre mes nanites ? Ce doute me ronge et je n’arrive pas à m’en débarrasser, même alors que je fais l’amour avec une F-Girl sous la douche.

« Hhhmmm ! »

Je suce Katherine jusqu’à ce qu’elle expulse son foutre gluant dans ma bouche. Comme elle garde ses mains sur ma tête, j’avale tout son sperme à grandes gorgées jusqu’à ce qu’elle me relâche. Je manque de m’étouffer tellement il y en a mais je ne laisse rien paraître. Je dois être au top pour montrer que je mérite d’être ici. Je profite de ce petit interlude pour interroger Katherine à propos de mes craintes.

« Dis-moi... maman Katherine... est-ce que tu as déjà vu des gens... rejeter le F-Gen ? »

Katherine était l’une des F-Girls les plus puissantes du Fut-Corp. Elle soupirait longuement, crispant sa main sur les cheveux d’Usagi, sa solide et puissante queue s’enfonçant dans sa bouche. Elle devait l’étrangler à moitié, et elle remuait encore, donnant des coups de reins plus puissants, plus prononcés. Ses testicules vinrent même par moment à claquer contre le menton du jeune homme. Il n’était alors plus vraiment un homme, et mériterait bien son statut de fucktoy, tant toutes les F-Girls adoraient lui passer dessus. Des femmes fortes, puissantes, musclées, monstrueusement membrées… Des femmes surnaturelles, et Katherine en était un bon exemple ! Elle grognait lentement en le prenant, ses joues commençant à rosir en approchant de l’orgasme… Un orgasme qui tardait néanmoins à venir. La verge d’Usagi put se tendre, et elle le laissa se masturber. Elle le sentit jouir, et le sperme d’Usagi teinta le ventre de l’homme et les jambes de Katherine. Elle le laissa jouir en souriant, continuant à le baiser, voyant parfois ses yeux se voiler.

« Han, mon petit chien… ! »

La F-Girl gémit encore, et continua à remuer. Les minutes passaient encore, et Usagi put à nouveau sentir sa verge se durcir, avant que Katherine ne se mette à jouir. Elle soupira, et cracha son épaisse semence. Elle posa ses deux mains sur la tête d’Usagi, pressant sa tête avec force, et s’abandonna copieusement en lui. Elle se mit à jouir furieusement, répandant sa semence dans la bouche de son amant. Katherine s’y abandonna avec délectation, jouissant longuement et intensivement. Elle se calma ensuite progressivement, reprenant son souffle. Elle se termina sur le visage d’Usagi, l’éclaboussant une dernière fois en jouissant.

« Hmmm… C’était si bon… Mon brave petit chien… »

Katherine sourit doucement, et Usagi, reprenant ses esprits, lui demanda si l’inoculation du F-Gen avait déjà pu échouer. Une question qui n’émut pas davantage Maman Katherine que cela, car il était tout de même fréquent qu’on la pose, surtout quand l’opération envisagée était un changement de sexe. Elle réagit à sa manière, retournant lentement Usagi. Il finit à quatre pattes, et elle frotta sa verge contre ses fesses.

« Des rejets, il y en a, oui… Surtout pour ce qu’on envisage en ce qui te concerne. Faire de toi un F-Boy, un joli petit trap, serait bien plus simple… Mais, vu ton passé au Lys, nous pensons qu’il est mieux de te changer en femme. C’est une opération risquée, mais, si elle échoue, tu reviendras juste dans ton corps normal. Donc, tu n’as rien à craindre… Nous veillons sur toi, petit lapin. »

Elle caressa sa porte arrière lentement, et commença à le sodomiser. Et, comme si de rien n’était, après un léger soupir, Katherine reprit :

« Hmmm… Tu… Tu es nerveux, hein ? C’est… C’est normal, hmmm… Moi aussi, je l’étais… »

D’après Katherine, il arrive que le F-Gen ne soit pas assimilé par certaines personnes. Il y a déjà eu des cas de rejets, surtout quand on l’utilise, comme dans mon cas, pour changer de sexe. L’entreprise a jugé qu’il valait mieux que je redevienne une femme de part mon expérience au Lys, du coup les risques d’échec sont plus élevés. Pour autant il n’y a pas de risque de mutation aberrante ou de difformité physique selon Katherine, je reviendrai juste dans mon corps.

« Donc l’entreprise s’occupe de tout... c’est ça ? »

J’ai presque du mal à croire que tout ça soit offert si facilement. Le logement, la nourriture, tout ce luxe... et je dois juste payer en nature ? Peut-être que je le regretterai dans plusieurs mois, mais là tout de suite je suis très enthousiaste.

Katherine me fait mettre à quatre pattes et passe dans mon dos pour venir me sodomiser. Elle me dit que c’est normal d’être nerveux, qu’elle l’était aussi avant la transformation.

Je doute que ton cas et le mien soient semblables.

A moins qu’elle soit aussi une arme vivante porteuse de milliards de nanorobots qui lui permettent d’agir sur la matière au niveau moléculaire. Mais à mon avis il y a peu de chances.

Tandis que maman Katherine me pilonne mon cul de petit lapin, je repense à ce qu’elle a dit un peu plus tôt. Le F-Gen est plus efficace quand on l’utilise pour exacerber certains traits sexuels mais sans changer de sexe. Peut-être que c’est ce que je dois faire ; renoncer à être une femme chez Fut’Corp et devenir un F-Boy. Je n’ai pas beaucoup parlé avec Peach mais il avait l’air heureux de sa situation. Si le F-Gen échoue à me faire changer de sexe il réussira peut-être à amener ce changement-là au moins. Mais bon, on en est pas encore là.

« Aaahhh... oui... maman Katherine... j’aime ta grosse carotte... logée dans mes petites fesses... »

Au fond, peut-être que je n’ai pas besoin d’un changement de sexe pour me sentir bien chez Fut’Corp. Je n’ai même pas encore été officiellement embauché et je prends déjà mon pied.

« Ben sûr, petit lapin, tu as peur de devoir utiliser ton propre argent ? Nous prenons… Hmmm… Tous les frais à notre charge. Si l’opération réussit, tu travailleras ici… Jusqu’à la fin de ton contrat, hmmm… C’est comme ça que tu nous rembourseras… Et que nous ferons du profit… Mon petit lapin. »

Katherine sourit doucement. Si Usagi s’imaginait leur fausser rapidement compagnie, il se trompait ! Mais qui se plaindrait d’être ici ? De pouvoir y rester gratuitement ? Il allait après tout rejoindre une grande famille ! Katherine sourit doucement, et continua à le prendre, s’enfonçant avec aisance dans son cul. Les parois anales d’Usagi se dilataient très facilement, signe qu’il devait commencer à s’habituer à sentir de gros calibres le prendre par là. Ce faisant, sa prostate était régulièrement titillée, et Katherine s’amusa à le fesser, donnant de fortes claques sur son cul. Elle l’entendait alors couiner, gémissant en se tortillant sur place. La main de Katherine le fessa à nouveau, provoquant des bruits sonores, tandis que sa verge massive continuait à le prendre, s’enfonçant énergiquement en lui.

Les minutes défilaient, tandis qu’Usagi posait de moins en moins de questions, se contentant de savourer, d’apprécier ce qu’il subissait. Les coups de reins soutenus et appuyés de Katherine se poursuivaient, jusqu’à ce qu’elle empoigne les cheveux de son amant. Elle le força à se redresser, et le plaqua contre la porte vitrée de la douche. Il se retrouva plaqué dessus, son corps se découpant à travers la buée depuis l’extérieur. Katherine retourna le prendre, mais, avec cette position, elle pouvait attraper sa verge, et le masturba vigoureusement.

« Petit-Lapin a une belle carotte, lui aussi… Tu aimes quand Maman Katherine te baise comme ça, hein, petit pervers ? »

Elle l’embrassa dans le creux du cou, mordillant sa peau, et continua à remuer, provoquant des bruits de frottement spongieux autour de sa verge.

« Jouis, mon petit, relâche-toi, hmmm… Montre à Maman Katherine tout le bonheur qu’elle te procure ! »

Je réalise que je ne sais pas encore exactement de quoi seront faites mes journées à Fut’Corp. J’ai bien compris que j’allais de partenaire sexuel, ou plus exactement de vide-couilles, aux F-Girls. Mais quand Katherine se met à parler des profits que je vais engendrer pour rembourser les coûts engagés, je réalise qu’il y aura sûrement bien plus. En fait je ne connais rien du modèle économique de cette entreprise.

J’imagine que le F-Gen est leur principale source de revenus... mais que font les F-Girls une fois transformées ?

Mais le temps n’est pas vraiment aux discussions financières. Katherine me pilonne le cul sans relâche, s’enfonçant avec aisance, et elle s’amuse à me fesser en même temps. Evidemment, avec un traitement pareil, je ne peux pas m’empêcher de couiner tout en me tortillant sur place.

« Aahh... aaahhh... »

Katherine maintient le rythme pendant plusieurs minutes puis elle décide de changer d’angle. Je la sens m’empoigner par les cheveux, elle me redresse d’un geste et me plaque contre la porte vitrée de la douche. Les gens qui passent dehors doivent pouvoir me voir à travers la buée. Je sens la main de la F-Girl qui attrape ma verge et me masturbe vigoureusement tout en me demandant si j’aime me faire baiser de la sorte.

« Oui... ooohhh... j’aime quand maman me baise ! »

C’est vrai que je prends mon pied mais est-ce que c’est à cause de la trique enfoncée dans mon cul ou de la main qui me tripote ? Ou à cause de la situation, de ce cadre de domination érotique ? Ou est-ce que c’est un ensemble de tout ça ? Je ne saurais dire mais en tout cas ça me plaît. Maman Katherine veut que je jouisse, pas besoin de me le demander deux fois.

« Ca vient, maman... ça vient... PPPYYYOOONNN ! »

Ma verge se met à cracher des filaments de foutre gluant qui viennent éclabousser les parois de la douche. Avec l’eau chaude qui coule sur nous mes fluides ne tardent pas à s’évacuer mais j’ai bien joui.

« Hhhmmm... c’était bien. Merci maman Katherine. »

Elle est toujours logée en moi, j’attends de voir si elle va continuer ou si la douche est finie. Il ne faudrait pas que je sois en retard à mon entretien moi.