The Multiversity

[Power Girl]

Miranda avait tellement hâte… Oh, comme Helena lui avait manqué ! Elle soupira doucement, et sentit rapidement Helena pomper son dard plus longuement, l’enfilant dans sa bouche. Sa main gantée se serra sur ses cheveux, et elle soupira une nouvelle fois. Se mordillant les lèvres, Miranda remuait d’avant en arrière, sentant Helena opter pour une magnifique gorge profonde. Elle avala ce membre intégralement, et la pompa énergiquement, relevant les yeux pour croiser le regard de Miranda. Rougissant sur place, celle-ci serra ses deux mains sur la tête de sa partenaire, et la laissa prendre encore sa queue.

« Han, pu-Putain, Helena ! »

La jeune femme soupira longuement, et sa queue tressauta dans la bouche de sa partenaire. Elle se mit à jouir compulsivement, serrant fortement les cheveux de sa partenaire. Sa verge explosa sur place, et elle remplit la bouche de sa partenaire, crachant sa semence avec appétit. Miranda cligna des yeux ensuite, et se retira. Elle libéra la bouche d’Helena, et sourit doucement en croisant son regard. Assoiffée, Helena aboya, et Miranda frémit. Sa queue rabougrie se durcit bien rapidement, Miranda soupirant lentement, avant de lui sourire malicieusement.

Tout ça ne faisait que commencer, bien sûr.

« Tu veux faire la chienne ? Très bien ! Mets-toi à quatre pattes bien comme il faut, ma chérie ! Remue ce petit cul de salope, aboie bien fort, que Maîtresse vienne te baiser ! »

Elles retrouvaient très rapidement leurs classiques. Elle, la dominatrice perverse… Et Helena, sa délicieuse soumise, tout autant perverse qu’elle. Après tout, Miranda étant un être génétiquement parfait, elle se devait aussi de l’être dans ce domaine… Le sexe ! Elle était bien décidée à honorer cette réputation, et se rapprocha d’Helena. Une belle gifle résonna sur le cul de sa tout aussi belle chienne, et elle approcha sa verge de sa chatte luisante.

Impatiente, Miranda devait bien s’avouer ressentir une certaine forme d’impatience, et s’empressa de pénétrer sa partenaire, gémissant doucement en s’unissant de nouveau avec elle. Ah, quel pied, tout simplement !

[Helena Wayne]

Puisque Helena voulait faire la chienne, Miranda lui ordonna de se mettre à quatre pattes et de remuer son petit cul de salope pour se faire baiser.

« Waf... waf waf ! »

A quatre pattes, penchée en avant pour bomber son cul, Helena remuait son bassin pour donner envie à Miranda de venir la prendre comme la belle salope qu’elle était. Elle sentit une belle gifle tomber sur son cul, en même temps que le son résonna dans la pièce, et finalement la verge de son amante entra en elle.

« Aaahhh... ooouuuiii ! »

La jeune femme ne cacha pas son plaisir quand elle fut enfin pénétrée. Même si le temps de voyage dans l’espace ne lui avait paru durer qu’un instant grâce au sommeil cryogénique, son corps savait qu’elle n’avait pas ressenti ce plaisir depuis des lustres. Et pour une grosse perverse comme elle qui aimait autant le sexe, c’était un manque qu’elle avait hâte de combler.

« Waaa... wouf wouf ! »

Helena était si heureuse de s’unir à nouveau à Miranda. Et cette fois, ce ne serait pas juste pour du sexe bestial. Elles allaient créer la vie ensemble, et Helena allait recevoir la semence génétiquement parfaite de Miranda pour concevoir un bébé tout aussi incroyable que sa maman.

Je me demande ce que notre enfant héritera de moi...

Vu qu’il s’agissait de peupler une nouvelle colonie humaine, il y avait tout intérêt à ce que leur enfant reçoive un maximum de la capitaine, de part sa génétique parfaite, mais elle espérait quand même, un peu égoïstement, que cet enfant aurait quelque chose d’elle. Ses yeux, son nez, ses cheveux... peu importe, mais quelque chose.

« Aw... aw... aaoouuhh ! »

Tout le vaisseau allait pouvoir entendre ses couinements de chienne en chaleur qui se faisait bien baiser par sa maîtresse. Et pour être sûre que la capitaine reste bien dure, elle remuait son joli petit cul devant elle.

[Power Girl]

Miranda et Helena seraient les pionnières d’une nouvelle civilisation. Impossible de dire comment tout cela allait évoluer à terme. Mais les deux femmes étaient conscientes que le désir qui les portait façonnerait cette nouvelle colonie. Une nouvelle humanité qui serait fondée sur l’amour, sur la beauté, sur le désir, et non sur le péché originel, sur la culpabilité permanente… Oh, quel bonheur ! Miranda en fantasmait d’envie. Elle était génétiquement parfaite, et c’était ça qu’elle tenait à offrir, son héritage… La perfection ! Ses descendants la verraient sûrement comme une sorte de divinité antique. Ne disait-on pas que les Dieux grecs avaient été conçus à partir de personnages historiques réels ? Miranda avait toujours aimé cette théorie, pour ce qu’elle impliquait sur la relation entre l’humain et le divin.

« Hmmm… Han, ma salope, ma belle petite salope, si tu savais comme je t’aime, haaa… ! Ton cul de sale est chienne est… Si serré, hrrrmpfff… M-Mon amour ! »

Mélange de douceur et de vulgarité, Miranda savait jouer le feu et le froid ! Continuant à prendre sa partenaire, elle la sodomisait avec force, s’enfonçant plus lourdement encore en elle. Elle soupirait de plaisir, se tortillant sur place.

« Haaann… Bo-Bordel ! »

Avec le désir sexuel, la calme et sage Miranda devenait beaucoup plus volcanique, bien plus sensuelle. Oh, quel pied cela devait être ! Elle était comblée, continuant à prendre sa partenaire avec soif, faisant défiler les minutes. Sa verge s’enfonçait jusqu’à la garde, et les joues de Miranda avaient pris de jolies teintes cramoisies tandis qu’elle continuait à besogner son amante avec passion, multipliant les coups de reins et les soupirs.

« En-Encore, haaaa… Hmmm… Ma petite pute ! »

Voir Miranda jurer comme un charretier n’était pas un spectacle habituel, mais, face au sexe, c’était très fréquent ! Mais, après tout, ce n’était pas Helena qui allait s’en plaindre, non ?

[Helena Wayne]

Si Helena aimait Miranda à ce point, c’était pour tout un tas de choses. L’une d’elles était que, une fois bien excitée, la calme et sage Miranda devenait beaucoup plus expressive et sensuelle. Et cela se voyait à la façon dont elle la sodomisait en jurant à tout va.

« Waf... waaaf ! »

Si elle avait pu parler, la jeune femme lui aurait dit à quel point elle était ravie d’être sa pute et de se faire sauvagement prendre par elle, mais elle voulait rester dans son rôle de chienne, alors elle se contentait d’aboyer et de japper pour signifier son contentement.

Les minutes défilaient tandis que les coups de reins s’enchaînaient. Helena sentait le vit puissant de Miranda s’enfoncer dans son cul jusqu’à la garde, la faisant couiner et gémir comme un animal, et les insultes fusaient. Se sentir dominée et baisée de la sorte la ravissait, comme à chaque fois qu’elle le faisait avec la capitaine. Et quand l’orgasme arriva enfin, il fut détonant.

« AAAHHH ! »

Helena sentit le sexe de Miranda exploser entre ses fesses, déversant sa crème visqueuse, et cette sensation était si agréable qu’elle en jouit à son tour. Sa mouille vint éclabousser le bassin de son amante et la fourrure sur laquelle elles s’ébattaient. Ce plaisir délicieux la ravit, mais ce n’était qu’un début. Il lui en fallait plus pour la satisfaire. Une fois sa maîtresse délogée, elle se redressa et se tourna vers elle.

« Hhhmmm... c’était un régal maîtresse. Mais n’est-ce pas un peu du gâchis de vous vider dans mon petit cul de salope... alors que c’est ma chatte qui a besoin de votre délicieuse semence ? »

Après tout, si elles voulaient faire un bébé avant leur arrivée à la colonie, il fallait que la capitaine besogne plus son amante par devant plutôt que par derrière. A genoux devant elle, la jeune femme se caressa lascivement les seins, titillant ses petites pointes érigées par le plaisir.

« Puis-je vous proposer ma poitrine pour que votre belle queue s’érige à nouveau ? Ou alors... hhhmmm... vous êtes déjà assez dure pour venir me baiser ? »

[Power Girl]

Miranda venait de tapisser avec appétit le fondement de sa Helena, sa belle petite chienne, sa chérie. Elle soupira doucement, soulagée, et cligna des yeux à plusieurs reprises, sentant comme un poids énorme descendre de ses épaules. Jouir, quel pied, quel immense bonheur ! Oh, comme elle aimait ça ! Elle retira sa verge avec délectation, et Helena reprit la parole. C’était normal, Miranda venait de jouir en elle, après tout ! Reprenant ses esprits, et restant agenouillée sur le sol, elle se retourna vers Miranda, et lui fit observer que, si elle comptait la mettre enceinte, il fallait jouir dans un autre trou. Miranda sourit malicieusement devant cette douce, mais non moins perverse, remarque. Sa main descendit, et caressa les cheveux de sa partenaire. Elle sentait l’excitation pointer, surtout quand Helena proposa d’utiliser ses seins pour renflouer le désir de sa partenaire.

« Oh… Toi, ma chérie, tu sais me parler… Mais rassure-toi, je compte aussi baiser ta petite chatte, mon cœur. »

Elle esquissa un léger sourire amusé, excitée par la situation. Sa partenaire était toujours aussi perverse, et elle sentait le désir perler dans ses yeux. C’était un regard fiévreux, transi de désir et d’amour, témoignant de l’envie sincère de sa partenaire de se faire baiser… Mais Miranda devait bien admettre qu’à l’idée de sentir les seins d’Helena frotter et masturber sa queue, elle en avait une belle érection naissante.

Rien ne pressait, après tout, alors Miranda lui demanda de se mettre en position, et elle-même s’assit sur un fauteuil. Elle écarta ses jambes, libérant l’accès à sa verge, et lui fit signe d’approcher, remuant le doigt vers elle.

« Viens frotter tes seins, ma chérie, ouvre ta combinaison… Je veux jouir contre tes seins… Tus ais comme j’aime l’idée que tu portes mon sperme sur toi sous ta combinaison… »

Miranda avait la voix chaude, transie de désir. C’était l’un de ses fantasmes… L’un de ses nombreux fantasmes !

[Helena Wayne]

Helena était avec Miranda depuis assez longtemps pour connaître ses goûts et elle savait comment bien l’exciter. Rien qu’en mentionnant l’idée d’offrir ses seins pour caler la queue de sa chérie, cette dernière retrouva rapidement une érection naissante. Elle la regarda s’installer sur un fauteuil et approcha d’elle quand elle lui fit signe. Elle voulait qu’elle frotte ses seins contre son chibre tendu mais directement. Pas de combinaison pour se mettre entre leur peau, elle voulait qu’elle porte son sperme sur elle.

« Aaahhh... avec plaisir maîtresse. »

C’était l’un des nombreux fantasmes de la capitaine, la jeune femme allait donc se faire plaisir.

Helena ouvrit la fermeture de sa combinaison jusqu’à dévoiler sa magnifique poitrine. Même si elle n’était pas génétiquement parfaite comme Miranda, elle était fière de ses courbes. Il lui suffisait de bomber un peu le torse ou d’onduler du bassin pour attirer les regards des hommes et des femmes et elle savait que sa chérie ne se lassait jamais de la mater. Parfois, elle s’amusait à remuer son joli corps pour que d’autres membres d’équipage la matent et que la capitaine se sente jalouse, ce qui débouchait fréquemment sur du sexe débridé avec beaucoup de fessées et d’insultes pour apprendre à cette vilaine chienne où était sa place.

Helena coinça la queue de Miranda entre ses seins et les pressa autour afin qu’elle soit bien à l’étroit avant de l’astiquer. A chaque mouvement de va-et-vient, la capitaine pouvait voir son gland gonflé sortir entre les orbes de chair de son amante avant qu’il ne disparaisse à nouveau dans la vallée de ses seins.

« Ooohhh... vous êtes si dure maîtresse... je sens votre grosse bite chaude entre mes seins... hhhmmm... »

La jeune femme se léchait les babines en regardant le plaisir éclairer le visage de son amante. Jouer sur ses fantasmes pour la faire bander plus fort l’excitait. Elle pensait déjà à lui faire réaliser d’autres fantasmes pour qu’elle s’excite encore plus et se donne à fond quand viendrait le moment de lui prendre la chatte et de concevoir leur enfant.

« Aaahhh... je vous sens proche maîtresse... ne le retenez pas... arrosez-moi les seins. »

Finalement, au bout de plusieurs minutes de ce petit jeu, Helena se reçoit une bonne giclée de foutre chaud et gluant sur la poitrine. Miranda avait sans aucune doute pris son pied à se faire astiquer les seins de la sorte mais la fête n’était pas finie. Sa soumise grimpa sur le canapé et lui mit ses seins fraîchement maculés de son sperme sous le nez.

« Vous voulez refermer ma combinaison vous-même, maîtresse ? Hhhmmm... j’ai hâte de sentir votre foutre me coller à la peau. »

Le voyage jusqu’à LV-212 allait prendre du temps. Helena pouvait encore satisfaire plusieurs des fantasmes de Miranda avant de lui ouvrir grand l’entrée de son utérus.

[Power Girl]

Helena savait comment parler à Miranda, elle savait comment la stimuler, comment l’exciter. Elle connaissait ses points faibles, et Miranda n’avait guère de raisons d’en changer. Devant sa partenaire, elle frissonnait en sentant les seins de sa partenaire jouer avec sa queue. Elle soupira encore, sa queue se gonflant sur place, se frottant encore et encore contre les seins de sa partenaire. Helena savait comment masturber sa queue, comment la presser entre ses seins. Miranda soupira encore, et, après quelques minutes de ce traitement, à sentir les seins doux et chauds d’Helena frotter sa queue, l’enfermant dans un cocon moelleux, la jeune commandante finit par jouir. Elle ferma les yeux en rougissant, et sa queue tressauta sur place, crachant sa semence. Son sperme éclata contre les seins d’Helena, sur sa poitrine, remontant un peu jusqu’à son cou. Elle jouit sur elle, salivant sur place, vidant ses bourses, et, quand elle rouvrit les yeux, Miranda constata, avec un sourire ravi, cette grosse tâche blanche qui s’étalait sur le torse de sa  partenaire.

Miranda vit Helena se redresser, lui présentant fièrement ses seins, avec le sperme qui dégoulinait dessus. Et, alors même que Miranda venait de jouir, ce spectacle, cette odeur, fit à nouveau durcir sa queue. Helena put la sentir caresser ses cuisses, remontant entre ses jambes.

« Oh, toi alors, tu es si belle, ma chérie… Tu sais combien ce sperme peut tenir ainsi, hein ? J’aime tellement l’idée que tu te balades couverte de mon sperme sur le corps… »

Pour sortir avec Miranda, il fallait être aussi perverse qu’elle, et cela ne se trouvait pas à tous les coins de rue ! Mine de rien, Miranda avait placé la barre très haut. Elle attrapa la fermeture, et referma la combinaison, remontant la fermeture jusqu’au cou d’Helena, et l’embrassa ensuite sur les lèvres. Un baiser doux, qui devint rapidement plus vorace, tandis que, tenant la fermeture d’Éclair d’une main, Miranda palpa le cul d’Helena avec l’autre. Elle se pressa contre elle, enfonçant sa langue dans sa bouche, frottant sa queue contre sa combinaison.

« Mais tu dois arriver sur cette planète en portant mon bébé, Helena… Alors, je vais encore devoir te remplir ! »

Elle se déplaça alors, et appuya sur un bouton de son bureau. Un panneau mural s’abaissa, libérant un agréable lit sur lequel Miranda jeta Helena, la couchant sur le dos, avant de se lover contre elle. Elle se frotta contre sa combinaison, la faisant crisser, et la pénétra ensuite, la prenant avec joie en missionnaire, en plein milieu du lit…

[Helena Wayne]

Helena n’eut qu’à montrer ses seins maculés de sperme pour que Miranda redevienne dure. Elle attrapa la fermeture, et referma la combinaison, remontant la fermeture jusqu’au cou d’Helena. La jeune femme pouvait sentir le sperme coller entre sa peau et sa tenue. Les deux femmes échangèrent un baiser gourmand tout en se tripotant mutuellement le cul. Elles s’étaient bien amusées avec ce petit jeu, mais elles devaient toujours assurer la procréation avant leur arrivée, alors la jeune femme était bonne pour se faire à nouveau remplir.

« Oh mais je n’attends que ça. »

Miranda appuya sur un bouton de son bureau. Un panneau mural s’abaissa, libérant un agréable lit. Un nid d’amour plus confortable pour ce qu’elles allaient faire. Helena se retrouva jetée dessus par sa maîtresse qui vint ensuite se mettre sur elle. Elle pouvait sentir son corps contre le sien, sa combinaison qui crissait, et d’un seul coup elle se retrouva pénétrée.

« Aahh ! Oui, allez-y à fond ! »

Le missionnaire... une position classique mais l’Eglise pense qu’il n’y a pas mieux pour concevoir les enfants. Pour un tel événement, Helena aurait préféré un cadre plus unique. Elle imaginait une grande orgie, avec du latex et des cravaches à foison. Elle serait à quatre pattes au milieu d’un troupeau d’hommes et de femmes, à lécher, sucer et tripoter tout ce qu’elle pourrait atteindre tandis que Miranda la pilonnerait sans relâche, faisant déborder sa chatte de foutre. C’aurait été une magnifique soirée de procréation... mais les circonstances étant ce qu’elles étaient, le couple ne pouvait pas se permettre le moindre luxe. Il fallait juste qu’Helena soit enceinte avant que le vaisseau n’atteigne sa destination. Et pour ça Miranda n’allait pas ménager ses efforts.

« Ooohhh... oui, comme ça... ooouuuhhh... remplissez-moi maîtresse. »

Peut-être que si elle était plus excitée ça marcherait mieux. Helena ceintura son amante avec ses jambes et passa ses bras autour de son cou. Elle alla griffer le dos de sa belle avec ses ongles pour la faire trembler. Miranda connaissait ses fantasmes, elle savait comment bien la faire mouiller.

[Power Girl]

Il semblait évident que, lorsque le vaisseau se poserait, une Cérémonie de la Procréation aurait lieu. C’était un excellent moyen de souder la nouvelle communauté qui allait émerger, et cela était encouragé par l’Église. C’était un rite ecclésiastique, qui avait été développé pour lutter contre le sentiment d’insécurité, la distorsion du lien social, et les problèmes de fécondité. Les ouailles se réunissaient dans la nef d’une église à l’heure traditionnelle de la messe pour une messe collective. Ainsi, petit à petit, on avait appelé ces messes des cérémonies de procréation. Miranda aurait donc pu attendre cette cérémonie, mais elle ne voulait prendre aucun risque. Enfanter une femme, quand on était soi-même une femme, c’était un art difficile, même quand on était une femme génétiquement parfaite. À l’origine, Miranda avait été conçue pour recevoir la vie, pas pour la donner. Mais il fallait croire qu’elle avait quelque peu évolué par rapport aux ambitions originelles de ses créateurs. Elle coucha donc Helena sur le lit, et l’embrassa énergiquement, tout en la pénétrant.

« Hmmm… !! »

S’enfoncer dans le con de sa femme, ne faire plus qu’un avec elle, voilà qui la motivait toujours autant ! Elle aimait cette femme, tout simplement… Oh ça oui ! Miranda l’embrassa encore, plus longuement, fourrant sa langue dans sa bouche, rompant le premier baiser pour le reprendre ensuite. Au milieu du lit, elle remuait en elle, s’unissant à sa partenaire, venant la besogner avec appétit. Elle sentit les jambes d’Helena s’enrouler autour de sa taille, et Miranda s’amusa à remuer son corps doucement, comme pour mieux sentir le contact des jambes de sa partenaire. Helena griffa même son dos, et Miranda soupira, mordillant en réponse la lèvre inférieure d’Helena.

« Quelle affamée, ma chérie ! Ce… C’est à croire que ça t’avait manqué, tout ça ! Hmmm… !! »

Être, à vrai dire, on ne pouvait que la comprendre ! En tout cas, le corps d’Helena, lui, avait bel et bien manqué à Miranda ! Elle déplaça ses mains, caressant son dos, et descendit sur ses cuisses. Elle accéléra encore, durcissant le mouvement, s’enfonçant jusqu’à la garde dans sa chatte, se délectant de sentir à chaque fois qu’elle s’enfonçait ainsi le corps de sa partenaire se crisper contre le sien. Miranda y allait sans hésitation, la bourrant joyeusement et férocement.

« Hmmm… Je-Je t’aime, haaaa… Haaaa, Helena !! »

[Helena Wayne]

Miranda réagissait bien aux stimuli d’Helena pour pimenter leur partie de jambes en l’air, la comparant à une affamée. Elle continua à accélérer le mouvement, s’enfonçant de plus en plus profondément dans le corps de son amante, la bourrant joyeusement et férocement. Elle lâchait même quelques mots d’amour entre deux gémissements d’extase.

« Ooohhh... je t’aime aussi... Miranda... aaahhh ! »

Le plaisir physique sublimait l’amour que Helena portait à Miranda. Bien sûr il n’y avait pas que du sexe entre elles, mais quand elles partageaient un moment intime c’était toujours un régal. Elles connaissaient les goûts de l’autre, savaient comment pimenter le moindre baiser et la moindre caresse, et leur expérience sexuelle faisaient d’elles des amantes de grand talent. Du coup, dès qu’elles se trouvaient un moment pour se câliner, elles prenaient leur pied.

« Allez... hhhmmm... vas-y à fond. Il faut que j’ai... ooouuuhhh... ce bébé. »

Helena savourait ce moment mais elle n’en oubliait pas l’objectif pour autant. La nouvelle colonie allait avoir besoin d’être peuplée, et voir la capitaine annoncer qu’elle avait conçu un enfant avant même leur arrivée serait un bon moyen de motiver l’équipage à se consacrer à la reproduction. Une cérémonie de procréation  serait sûrement organisée dès leur installation pour mettre le processus en route, mais pourquoi attendre quand elles pouvaient procréer dès maintenant ? Ce n’était pas comme si elles avaient mieux à faire en attendant d’atteindre LV-212.

« Ooohhh... AAAHHH ! »

Après que Miranda ait joui une première fois en elle, Helena voulut changer de position. Elle fit allonger sa maîtresse et s’installa au-dessus d’elle, s’empalant sur son membre raide jusqu’à s’asseoir sur son bassin.

« Allez... aaahhh... on continue. »

Un seul orgasme ce n’était pas assez. Helena voulait être sûre que sa chatte débordait de sperme avant l’approche de l’orbite de la colonie pour augmenter ses chances d’être enceinte rapidement.

[Power Girl]

L’appétit sexuel débonnaire d’Helena n’avait d’égal que celui de Miranda. Oh, mais quel appétit ! Miranda avait encore du mal à y croire. Chaque jour, elle se montrait pieuse, remerciant le Créateur d’avoir mis sur sa route cette jeune femme. Avant d’avoir rencontré Helena, la vie de Miranda lui semblait bien fade, savamment rythmée et cadencée. Elle n’avait jamais trouvé quelqu’un pouvant la satisfaire sexuellement… Et Helena avait, contre toute attente, réussi à dépasser ses espérances ! Son amante était une pure merveille, et Miranda le constatait à chaque fois. Elle se mit à jouir en elle, et, très rapidement, Helena la retourna, et la chevaucha.

« Oh, quel appétit, ma chérie ! »

Comblée, Miranda ne faisait évidemment rien pour la stopper. Au contraire ! Elle l’observait avec une lueur de désir sincère dans les yeux. Ses mains caressaient les hanches de la jeune femme. Sans jamais s’interrompre, Helena dansait sur elle, de haut en bas, s’empalant sur sa queue le plus profondément possible. Miranda avait beau avoir joui, sa verge restait solide, et le désir était là, furieux… Quoi de plus normal ? Elle venait enfin de retrouver son amoureuse, et il semblait bien naturel que les deux en profitent.

« Là, oui, danse… Danse bien, ma chérie ! »

Elle dansait donc, avec aisance, avec mouvance, avalant toute sa queue, jusqu’à la garde. Le contact était merveilleux, particulièrement exquis. Couchée sous elle, Miranda palpait ses hanches, puis ses fesses, et se redressa alors, venant ainsi embrasser les seins d’Helena, mordillant les tétons, grognant et soupirant contre elle. Elle sentait la sueur de sa femme, la douceur dans le renflement de ses seins. Elle se laissa ensuite tomber, et continua à laisser sa partenaire danser sur elle. La chair claquait contre la chair, dans un mouvement profond qui allait en s’amplifiant. Fermant les yeux, Miranda finit par jouir à nouveau. Elle tapissa la chatte de sa partenaire de son foutre, et soupira ensuite.

Miranda cligna des yeux, et sentit Helena basculer contre elle. Leurs corps chauds et en sueur s’entremêlèrent tendrement l’un contre l’autre. Miranda retourna l’embrasser, caressant ses cheveux et ses fesses. Elle la retourna encore, puis se redressa ensuite.

« Ja-Jamais deux sans trois, mon amour… »

Miranda se redressa alors, et opta pour une variante de la position du missionnaire. Elle attrapa les jambes d’Helena, et les redressa ensuite. Elle les releva le long du torse d’Helena, puis la pénétra encore. Les jambes d’Helena se relevaient ensuite, le tout formant une position intense, exigeante, mais ô combien excitante ! Miranda, sans s’interrompre, commença à bourrer avec énergie sa partenaire, s’enfonçant de nouveau en elle, grognant et soupirant longuement en la baisant furieusement… !

[Helena Wayne]

Helena dansait avec aisance, avalant la queue de Miranda jusqu’à la garde dans son intérieur trempé. Elle sentait les mains de sa maîtresse palper ses hanches et ses fesses, puis elle se redressa d’un seul coup pour venir mordiller ses tétons.

« Aaahhh... »

Elle se contrôle très bien malgré l’excitation.

La chair claquait contre la chair, dans un mouvement profond qui allait en s’amplifiant. Helena savoura chaque minute, chaque seconde de ce ballet endiablé et fiévreux, jusqu’à ce que le plaisir n’atteigne son point d’orgue.

« Oui... OOOUUUIII ! »

Quand Miranda remplit sa chatte avec sa semence, Helena jouit à son tour et cracha un mélange de mouille et de foutre qui vint maculer le sexe de sa maîtresse. Après cet orgasme, elle bascula contre son corps, s’entremêlant tendrement avec elle au milieu des baisers et des caresses. Mais ce n’était pas encore fini. Comme la capitaine le dit, « jamais deux sans trois », alors elles se mirent dans une variante de la position du missionnaire avant de reprendre de plus belle.

« Ooohhh... c’est ça maîtresse... enfoncez-vous profondément. »

Helena se montrait accueillante pour la grosse queue puissante de Miranda. Dans sa position, elle pouvait bouger ses mains pour aller palper le bon petit cul de son amante, appréciant pleinement sa fermeté et sa rondeur tandis qu’il bougeait frénétiquement d’avant en arrière. Elle pouvait sentir sa trique s’enfoncer en elle, tapant au plus profond de son utérus. C’était à la fois leur meilleure chance que les spermatozoïdes atteignent leurs destination mais aussi la meilleure façon pour elles de prendre leur pied dans cette position. Son seul regret était de ne pas pouvoir plus agir avec ses mains, mais elle pouvait encore se servir de sa bouche.

« Hhhmmm... maîtresse... bourrez-moi... comme la sale traînée que je suis. »

Dans un élan d’audace, elle se permit même de mettre quelques claques sur les fesses de la capitaine, juste pour voir comment elle allait réagir.

[Power Girl]

L’imagination sexuelle de Miranda était débordante, et ça, Helena pouvait le sentir. Elle le sentait d’autant mieux que la verge de Miranda continuait à la remplir, et que ses jambes venaient d’être relevées. Pendant tout ce séjour au sein du Starcruiser à s’ennuyer et à se morfondre, Miranda avait eu le temps de songer à quantité de positions sexuelles nouvelles, notamment avec Cortana. L’un des programmes de la Gynoïde portait justement sur le sexe, alors Miranda n’avait pas eu grand mal à rendre la Gynoïde très perverse, comme Helena avait pu le constater. Cette perversité, Cortana la devait donc à Miranda, et la capitaine comptait bien se montrer à la hauteur de sa réputation avec Helena, en la besognant sans ménagement. C’était bien là tout ce que sa belle méritait ! La capitaine s’enfonçait donc en elle, les jambes d’Helena rebondissant au gré de ses coups de reins. Elle pouvait utiliser ses mains pour les poser sur ses cuisses, mais elle les posait plutôt sur le tapis, en soutien, tout en remuant en  elle, son regard croisant le sien.

« Ne détourne pas les yeux, mon aimée… Je veux te voir… Te voir pendant que je te fais jouir ! »

Cela était si agréable, si bon ! Quel pied, vraiment ! Miranda continuait à remuer en elle, et frémit en sentant les mains d’Helena palper ses fesses. Vu sa position, c’était tout ce qu’elle pouvait faire, alors elle le fit au mieux, allant jusqu’à fesser son postérieur, relevant sa main pour frapper le délicieux cul de sa partenaire. Miranda s’en mordilla les lèvres, frissonnant sur place, et accentua ses coups de reins lorsqu’elle sentit les délicates et fermes fessées de sa partenaire. Oh, quel pied ! Miranda se pinça les lèvres, et alla l’embrasser. La tâche n’était pas aisée, car les jambes relevées d’Helena bloquaient le passage, mais elle écrasait aussi ses jambes davantage, diffusant ainsi davantage de douleur dans le corps d’Helena, pour le plus grand plaisir de celle-ci.

Et, inlassablement, sa queue continuait à la prendre, remuant vigoureusement en elle. Les coups de reins se multipliaient pour la fin de leur séance. En sueur, Miranda haletait fortement, désir et fatigue se mélangeant ensemble. Bandant ses muscles, elle maintenait le rythme, jusqu’à sentir la vague l’envahir…

« He-HELENA… !! »

Fermant les yeux, Miranda se laissa aller, venant jouir à nouveau dans le corps de sa partenaire, répandant avec force et appétit sa chaude semence…

[Helena Wayne]

Helena ne savait pas trop comment Miranda allait réagir en se prenant des claques sur le cul, elle hésitait entre une punition et un regain d’entrain à la besogner. Ce fut l’entrain. La capitaine redoubla d’efforts pour la sauter, écrasant davantage ses jambes avec son corps, de quoi rendre la douleur, et donc le plaisir, encore plus grande.

« Ooohhh... ooouuuiii... encooorrre... »

Inlassablement, Helena se fit trousser par Miranda et elle lui répondit en fessant toujours plus ses délicieuses fesses, jusqu’à ce qu’elle sente une vague de foutre chaud noyer son intérieur. Le plaisir de cette sensation l’amena à l’orgasme.

« Mi... randa... AAAHHH !!! »

La jouissance lui fit un bien fou, tout autant que de savoir que sa compagne avait joui en elle une fois de plus. A ce rythme elle ne tarderait pas à tomber enceinte. Et ensuite, elles élèveraient leur fille ensemble dans leur nouveau monde.

Une fois Miranda délogée d’elle, Helena se redressa.

« Cortana. »

La gynoïde se matérialisa sous sa forme holographique dans la chambre.

« Apporte-nous à manger. Quelque chose de copieux. Et de quoi boire aussi. Il faut qu’on se désaltère. »

Le temps que le repas arrive, Helena s’allongea aux côtés de Miranda. Le moment qu’elles venaient de partager avait été des plus plaisants, mais l’objectif n’était pas seulement le plaisir. Et coquine comme elle l’était, elle savait que l’intelligence artificielle avait plus d’un talent.

« Cortana... une fois que tu auras fait envoyer le repas, viens nous rejoindre dans ton corps physique. Il y a bien d’autres choses que tu peux faire pour nous. »

Rien de tel qu’une troisième personne pour pimenter leur jeu.

[Power Girl]

Après avoir fait copieusement l’amour, les deux femmes s’allongèrent tendrement dans le lit. Miranda posa sa tête sur les seins d’Helena, un coussin très agréable. Tout autour d’elles, le décor commença alors à évoluer, à changer, à se fissurer, à se craqueler. C’était comme si un autre décor le supplantait progressivement. On pouvait voir le plafond s’ouvrir ici et là, révélant un autre plafond, gris métallique avec des espèces de rivets métalliques suspendus au plafond… Quand Helena suggéra à Cortana de venir. Le décor sembla alors se figer sur place, puis se remit alors en marche, comme si rien ne s’était passé. Miranda cligna des yeux, surprise par ce geste.

« Tu es vraiment insatiable, mon amour… »

Miranda était agréablement surprise, et embrassa de nouveau sa femme. Elles se frottèrent ensemble dans le lit pendant quelques minutes, avant que la porte ne s’ouvre. Cortana amenait un plateau-repas, ou, plutôt, le guidait. L’appareil se déplaçait en effet seul.

« Voilà… Le repas que vous avez demandé, Maîtresses… »

Cortana les observa toutes les deux, et analysa l’air ambiant. La porte de la chambre se referma alors toute seule, et elle se rapprocha lentement du lit, avec une démarche qui semblait être naturellement sensuelle. La nourriture était stockée dans une armoire chauffée qui la conserverait à température ambiante

« Mais quelque chose me dit que vous souhaitez peut-être une autre forme de nourriture… »

La Gynoïde rejoignit le lit, et s’assit dessus. Miranda et Helena étaient toujours dans le lit, et Cortana se pencha vers Helena, venant l’embrasser.

« C’est bizarre… Je vous sens toujours aussi excitée, alors que je vous ai fait l’amour ce matin… »

Cortana sembla réfléchir un peu après ce premier baiser, et s’allongea à son tour dans le lit, venant malaxer l’un des seins d’Helena. Elle le pinça doucement, et resta près d’elle.

« Si je peux me permettre, Madame… Vous êtes une sacrée nymphomane.
-  Je ne t’ai pas reprogrammé pour être aussi polie, Cortana… Dis vraiment à ma femme ce que tu penses de son appétit sexuel !
-  Oh… Bien, bien. Dans ce cas, je me dois de vous avouer que, si je me réfère à ma programmation, Madame Wayne, vous avez l’appétit sexuel… D’une salope qui a très envie de se faire baiser ! »

[Helena Wayne]

On aurait pu croire que Helena serait calmée après la passion que Miranda avait mise à la baiser, mais non, elle en voulait encore. Cortana entra dans leur chambre avec un plateau-repas qu’elle laisse vite de côté pour venir les rejoindre sur le lit. La gynoïde était étonnée de la voir toujours aussi excitée alors qu’elle lui avait fait l’amour à son réveil.

« Oui… hhhmmm… et tu l’as très bien fait. »

Mais ce n’était pas une seule baise qui allait calmer une femme aussi insatiable que Helena. Cortana vint doucement malaxer l’un de ses seins et, après avoir été encouragée par Miranda, fit noter à l’ingénieure qu’elle avait l’appétit sexuel d’une salope ayant très envie de se faire baiser.

« Ooohhh… très bonne analyse, Cortana. J’espère que tu pourras m’aider… à calmer un peu cet appétit. »

La jeune femme voulait d’abord manger pour reprendre des forces, mais la gynoïde avait fait le premier pas, elle ne pouvait que suivre à présent.

« Ta base de données doit contenir tout un tas de pratiques sexuelles… hhmm... pour calmer les salopes affamées comme moi. »

Elle posa une de ses mains sur les fesses de la gynoïde, la malaxant comme elle malaxait son sein. Elle n’y mettait pas encore de fessée mais pourrait le faire si Cortana se mettait à lui pincer le téton.

« Et tu as peut-être aussi... aaahhh... des conseils pour faciliter la procréation... entre une femme et une futa.  »

Coucher avec la gynoïde était déjà un plaisir, mais si en plus elle pouvait conseiller le couple pour améliorer ses chances de procréation, ce ne serait pas de refus.

[Power Girl]

Tous les senseurs de Cortana confirmaient le haut degré d’excitation sexuelle d’Helena. Miranda n’était pas en reste non plus, mais cela restait surtout palpable chez Helena. L’insatiable appétit de cette jeune femme était quelque chose de très impressionnant, même pour une Gynoïde ! Elle voulait se faire troncher, mais souhaitait aussi avoir des conseils sur la meilleure manière de procréer entre une femme et une Futanari. Cortana se pinça doucement les lèvres en caressant le ventre d’Helena.

« L’une des conditions indispensables pour entreprendre ce voyage était la fertilité des membres de l’équipage, rappela-t-elle. En théorie, la Capitaine peut donc vous enfanter. Cela dépend de vos périodes d’ovulation, mais pas uniquement. Sans vouloir rentrer dans un jargon trop technique, il faut surtout que les spermatozoïdes du Capitaine survivent quand ils rencontrent vos ovules, que les spermatozoïdes soient… Purs. Or, beaucoup des spermatozoïdes produits par une Futanari sont inféconds. C’est comme ça, et on ne peut rien y faire. Il faut donc réitérer l’expérience, jusqu’à ce qu’un spermatozoïde pur rentre en vous. Tout ce que nous fournissons, ce sont des solutions qui augmentent les périodes d’ovulation de la mère-porteuse… Mais cela n’est pas sans conséquence non plus sur l’organisme, puisque votre période d’ovulation implique aussi vos règles. »

Il était donc plutôt recommandé par les gynécologues de laisser faire le temps, et de poursuivre les efforts. Statistiquement, il ne faisait aucun doute qu’Helena finirait par être enfantée. Mais, en attendant, Cortana n’était pas venue pour un exposé théorique sur l’ovulation et sur la reproduction. Elle se déplaça, et intima l’ordre à Helena, en la déplaçant à l’aide de ses mains, de se mettre à quatre pattes sur le lit. Sa main caressa son estomac, tandis que son autre main palpait l’une de ses fesses.

« Capitaine, mes senseurs détectent que votre amante a faim… D’après mes calculs, je pense qu’elle aimerait beaucoup que vous lui donniez à manger pendant que je la baise.
-  Oh… Ma foi, si Cortana le dit… »

Miranda n’allait pas remettre en doute les déclarations de son androïde, et se déplaça. Pendant ce temps, Cortana déployait un léger tentacule qui s’enfonça délicatement dans le fessier d’Helena. Il était aussi fin qu’un doigt, et diffusa autour de lui un liquide lubrifiant. Cortana avait fait son choix.

« Les spermatozoïdes du Capitaine travaillent déjà dans votre trompe de Fallope, je dois jouir ailleurs pour ne pas gâcher ce travail… »

Elle préparait donc son fessier, et Helena put sentir l’épaisse verge de Cortana se poser sur l’une de ses fesses, appuyant dessus, attendant que celle-ci soit prête. Miranda, elle, avait ouvert un panneau, déployant le volet alimentaire de la chambre. Le panneau réfrigérant s’ouvrit donc, avec une grosse machine centrale qui préparait la nourriture. Elle prépara un repas des plus simples, et, tandis que la machine se mettait en marche, Cortana, elle, préparait le fessier d’Helena, n’hésitant pas à la fesser de temps en temps.

« Vous avez vraiment un très beau cul, Helena… La Capitaine a très bien choisi avec vous. Je vais adorer vous sodomiser ! »

[Helena Wayne]

D’après Cortana, la seule chose à faire pour favoriser la procréation entre une femme et une futa était d’être patient et d’essayer sans relâche. Etant donné le taux important de spermatozoïdes inféconds produits par une futa, il fallait bien plus de tentatives pour avoir les mêmes chances qu’un couple homme-femme. Il existait des solutions pour allonger la période d’ovulation de la mère-porteuse mais c’était déconseillé en raison de l’impact biologique important que cela impliquait.

« Dans ce cas… hhhmmm… je suppose qu’on ne peut rien faire d’autre… que de baiser comme des nymphos. »

Helena était assez emballée par cette solution. Et maintenant que Cortana était là, elle voulait se joindre à la fête. Sur son ordre, Helena se mit à quatre pattes sur le lit. Miranda n’allait pas lui faire l’amour tout de suite, elle allait la nourrir tandis que la gynoïde s’occuperait de son cul. Elle commença par glisser un tentacule dans son anus, qui diffusa en elle un liquide lubrifiant.

« Oohh… »

Helena pouvait sentir l’immense verge de Cortana se frotter contre ses fesses et se pinça les lèvres dans l’anticipation de sentir cette belle saucisse s’enfoncer en elle. Face à elle, Miranda lança la machine chargée de préparer les repas. L’ingénieure frissonnait déjà à l’idée de se faire nourrir par la capitaine pendant que la gynoïde lui prendrait le cul. Un cul qu’elle semblait trouver très plaisant, n’hésitant pas à la fesser de temps en temps.

« Mmmhhh… et encore… si tu me voyais avec ma combinaison de travail. »

Helena savait qu’elle avait un physique avantageux. Elle était plus grande que la moyenne des femmes de son âge, avec un visage plaisant à regarder, une belle chevelure noire et des courbes mêlant la rondeur généreuse de la nature et la saillance de ses muscles sollicités au quotidien pour son travail. Elle était une beauté sur laquelle hommes et femmes se retournaient et elle n’hésitait jamais à en jouer, comme elle le faisait maintenant.

Le liquide qui se diffusait dans son fondement la réchauffait agréablement, la mettant encore plus en appétit qu’elle ne l’était déjà. Sa langue pendait au coin de sa bouche, laissant tomber des gouttes de salive sur le sol. Elle trémoussait du bassin en attendant impatiemment que la gynoïde se décide enfin à la sodomiser et que sa chérie vienne lui donner à manger.

« Aaahhh… viiite… j’ai faim. Et je ne parle pas… hhhmmm… que de nourriture. »

[Power Girl]

L’appétit sexuel de Helena semblait à la hauteur de son désir de procréer. Un désir que Miranda ne pouvait que comprendre et partager. Cortana préparait son fondement, mais Miranda la faisait aussi saliver. Elle préparait un repas très spécial en pianotant sur un écran. Elle concevait une espèce de soupe aromatisée mélangeant plusieurs nutriments… Du lait maternel, mais aussi de la cyprine. Miranda mit plusieurs minutes à préparer tout ça, des minutes qui durent sembler bien longues à Helena, et ce d’autant qu’elle pouvait sentir la verge massive de Cortana glisser contre ses fesses, se frottant sur sa croupe, mais sans encore la pénétrer. Cortana notait tous les signes traduisant l’excitation croissante d’Helena, mais aussi de Miranda, dont la puissante verge était en train de se redresser. Malaxant son cul, Cortana l’électrifiait légèrement, s’amusant des couinements et des longs soupirs langoureux d’Helena, qui finit par demander d’y aller, car elle avait « faim ».

En réponse, Miranda sourit, et appuya sur un bouton.

« C’est prêt ♥ ! »

Un autre bouton montra un appareil avec un réservoir abritant le liquide. C’était la soupe d’Helena, et elle allait sortir par un tuyau qui se mit à remuer, tuyau qui ressemblait en réalité d’avantage à un tentacule, et qui se terminait par une verge avec une ouverture.

« Prépare-toi à pomper ma chérie ! »

Miranda s’agenouilla à côté d’Helena, et caressa son ventre d’une main, utilisant l’autre pour orienter le tentacule, et le nicha dans la bouche d’Helena. Sous la pointe dus tentacule, il y avait les deux bouts d’un collier que Miranda attacha derrière le cou de sa dulcinée, l’empêchant ainsi de pouvoir se retirer.

« Mais ne va pas croire que je vais me contenter de tenir la chandelle ! »

Miranda se glissa sous le corps d’Helena, et sa verge s’approcha de sa chatte trempée. De petits tentacules jaillirent du corps de Cortana pour s’enrouler autour du chibre de Miranda, et ainsi pouvoir l’orienter vers les lèvres intimes d’Helena… Et, au moment où la soupe commença à se diluer dans la bouche asséchée d’Helena, les deux verges s’enfoncèrent simultanément en elle.

Sa faim serait comblée !

[Helena Wayne]

Entre Cortana qui lui pelotait le cul et Miranda qui préparait son repas, Helena savait qu’elle allait passer un bon moment. Mais tout cela prenait trop de temps. La jeune femme s’impatientait, se tortillait sur place, sa cyprine coulant le long de ses jambes. Heureusement, la gynoïde savait comment la tenir, envoyant des petites décharges électriques dans son derrière pour la faire couiner.

« Aahh… hhmm… »

Heureusement, la capitaine annonça vite que le repas de sa chérie était prêt. Elle lui avait préparé une soupe et elle allait sortir par un tuyau ressemblant étrangement à un tentacule s’agitant devant ses yeux, avec un embout en forme de verge. Quelle merveilleuse façon d’être nourrie pour une grosse cochonne comme elle. Sa maîtresse s’installa à côté d’elle, caressant son ventre d’une main et orientant le tentacule vers sa bouche de l’autre. Mais ça ne lui suffisait pas. Elle lui attacha aussi un collier qui se trouvait sous la pointe du tentacule pour l’empêcher de se retirer.

« Hhhmmm… »

Helena était déjà très excitée par la situation, mais Miranda ne comptait pas s’arrêter là. Elle n’allait pas tenir la chandelle pendant que sa soumise s’amusait. Cette dernière la regarda se glisser sous son corps, et quand la soupe commença à couler dans sa bouche les deux verges de ses amantes s’enfoncèrent en elle.

« Hhhmmm ! »

Helena allait voir tous ses appétits comblés en même temps. Sa bouche, sa chatte et son cul étaient remplis par de grosses verges puissantes, et le fait que la verge dans sa bouche était artificielle ne gâchait rien. Au début la soupe arrivait toute seule, mais au bout d’un moment elle dût se mettre à sucer le sexe en plastique pour avoir plus de soupe. Les arômes de cette dernière étaient particuliers, pas ce à quoi la jeune femme s’attendait en réalisant qu’elle allait manger de la soupe, mais plaisant malgré tout. Elle avalait son repas avec appétit tandis qu’elle se faisait prendre par ses amantes, ce qui fit qu’elle manqua de s’étrangler à plusieurs reprises. Mais pour elle, ça ne faisait que rendre la chose plus excitante encore.

« Hhhmmm… hhhmmm ! »

Miranda lui pilonnait la chatte, Cortana s’enfonçait profondément dans son cul tout en lui envoyant des décharges… c’était le pied. Helena aimait être soumise à la volonté de ses amants, se retrouver au milieu de l’attention et faire l’amour intensément. Et là elle allait être servie.