Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]
Posté : 12 févr. 2025 09:11
La pizza risquait finalement de vite refroidir. Azelia avait pensé à la préparer, car elle savait que les humains aimaient bien manger, et elle s’était aussi dit, en démone affectionnée qu’elle était, que Tsukiko aurait aimé manger après avoir passé plusieurs heures en cellule. Mais, finalement, la soif de sexe dominait tout le reste. Elle lui avoua qu’elle n’avait aucun fantasme véritablement inassouvi, puis lui rendit la pareille. Sensuelle, provocatrice, cette Tsukiko lui plaisait de plus en plus ! Elle se désintéressait elle aussi de la pizza, ce qui fit qu’Azelia attrapa les cuisses de Tsukiko, et l’aida à pivoter sur elle. Plutôt qu’être dos à elle, Tsukiko se retrouva ainsi contre elle, leurs seins se heurtant. La main d’Azelia se posa ensuite sur le généreux fessier de sa partenaire, et elle lui sourit sensuellement, avant de l’embrasser à nouveau, sur les lèvres. Un baiser sensuel, empreint d’une certaine forme de tendresse, exprimant autant le désir que le plaisir d’Azelia vis-à-vis de son interlocutrice.
« Je crois que tu as une autre faim à combler que celle de ton ventre… »
Azelia n’avait pas encore répondu à la question de Tsukiko. Encore une fois, elle se demandait si son erreur de jugement initiale ne venait pas du fait qu’elle av ait pensé avoir affaire à une simple humaine. De toute évidence, Tsukiko était davantage que ça, même si elle ne semblait pas en avoir conscience. Cela arrivait parfois. Des humains hybrides ayant des gènes démoniaques, c’était classique à Mijak, et ils n’avaient pas forcément conscience de leur lignage génétique. Tsukiko était peut-être dans ce cas-là… Ce qui ne manquait pas d’une certaine ironie, puisque l’affaire sur laquelle les deux femmes s’étaient rencontrées concernaient justement des hybrides !
Tout en la palpant, Azelia prenait son temps, sa verge toujours nichée dans la chatte de Tsukiko. Être sa prostituée… Azelia commençait à envisager des possibilités. Elle écarta alors la chaise, puis se releva, et plaqua Tsukiko contre la table, non sans avoir préalablement écarté son plat à pizza. Azelia avait un autre plat à dévorer. Elle se tint debout, tout en couchant Tsukiko sur le flanc de la table, et commença à donner des coups de reins prononcés en elle, sa verge solide remuant dans la délicieuse chatte de l’enquêtrice.
« Devenir ma prostituée… Hum… Tu porterais des tenues insolentes pour aller tapiner dans la rue, hum ? Ne me tente pas, ma chérie, haaa… Je prendrais un grand plaisir à te voir sombrer dans la luxure, hmmm… Offrir ton insolente croupe à des pervers libidineux qui te besogneraient en pleine rue la nuit… Mais pas ce soir, haaaa… Ce soir, tu m’appartiens, Tsukiko, et je compte bien te baiser dans chaque pièce de ce grand appartement ! »
Sur le flanc, puis couchée sur le dos, ou à nouveau sur le flanc, Azelia guidait le délicieux corps de sa partenaire. Elle la coucha sur le dos, et se pencha ensuite sur elle, venant lui voler un baiser en se pressant contre elle, avant de se redresser, et de remuer encore dans sa chatte trempée.
« Des fantasmes, j’en ai beaucoup quand je te vois, hmmm… Et je compte bien les réaliser ce soir, sur toi et sur ton corps parfait, ma chérie ! »
« Je crois que tu as une autre faim à combler que celle de ton ventre… »
Azelia n’avait pas encore répondu à la question de Tsukiko. Encore une fois, elle se demandait si son erreur de jugement initiale ne venait pas du fait qu’elle av ait pensé avoir affaire à une simple humaine. De toute évidence, Tsukiko était davantage que ça, même si elle ne semblait pas en avoir conscience. Cela arrivait parfois. Des humains hybrides ayant des gènes démoniaques, c’était classique à Mijak, et ils n’avaient pas forcément conscience de leur lignage génétique. Tsukiko était peut-être dans ce cas-là… Ce qui ne manquait pas d’une certaine ironie, puisque l’affaire sur laquelle les deux femmes s’étaient rencontrées concernaient justement des hybrides !
Tout en la palpant, Azelia prenait son temps, sa verge toujours nichée dans la chatte de Tsukiko. Être sa prostituée… Azelia commençait à envisager des possibilités. Elle écarta alors la chaise, puis se releva, et plaqua Tsukiko contre la table, non sans avoir préalablement écarté son plat à pizza. Azelia avait un autre plat à dévorer. Elle se tint debout, tout en couchant Tsukiko sur le flanc de la table, et commença à donner des coups de reins prononcés en elle, sa verge solide remuant dans la délicieuse chatte de l’enquêtrice.
« Devenir ma prostituée… Hum… Tu porterais des tenues insolentes pour aller tapiner dans la rue, hum ? Ne me tente pas, ma chérie, haaa… Je prendrais un grand plaisir à te voir sombrer dans la luxure, hmmm… Offrir ton insolente croupe à des pervers libidineux qui te besogneraient en pleine rue la nuit… Mais pas ce soir, haaaa… Ce soir, tu m’appartiens, Tsukiko, et je compte bien te baiser dans chaque pièce de ce grand appartement ! »
Sur le flanc, puis couchée sur le dos, ou à nouveau sur le flanc, Azelia guidait le délicieux corps de sa partenaire. Elle la coucha sur le dos, et se pencha ensuite sur elle, venant lui voler un baiser en se pressant contre elle, avant de se redresser, et de remuer encore dans sa chatte trempée.
« Des fantasmes, j’en ai beaucoup quand je te vois, hmmm… Et je compte bien les réaliser ce soir, sur toi et sur ton corps parfait, ma chérie ! »