The Multiversity

Sally avait perdu le compte des queues qu'elle avait sucé. Elles s'étaient succédées dans sa bouche les unes après les autres, déversant en tremblant des quantités phénoménales de semence que la prêtresse avait goulument avalé. Dès qu'un sexe quittait la douceur de ses lèvres, un autre prenait aussitôt sa place. Certains de ses amants étaient endurants et lui baisaient la bouche longuement, d'autres venaient juste s'y purger avant de repartir. Ses mains n'avaient jamais cessé d'être occupées à branler des queues dures et suintantes tandis que son vagin et ses fesses avaient accueilli en même temps des hordes de partenaires avides et pressés. Basculée sur le dos, elle avait léché des anus, gober des boules. Des tentacules s'étaient masturbés entre ses gros seins et après qu'elle eut perdue toute notion de temps et d'espace, elle s'était sentie remplie comme une outre. Son corps rejetait le trop plein de sperme qui la gonflait et elle avait chaud, tellement chaud et tellement envie que cela ne s'arrête jamais. Son esprit rationnel avait fondu dans une mare de stupre et plus rien n'avait d'importance que de baiser.

Et puis la sensation sirupeuse s'estompa et elle put à nouveau redevenir elle-même. Elle était allongée sur une surface confortable et elle se recroquevilla en position fœtale. Il lui était difficile d'ouvrir les yeux, même quand une voie mélodieuse attira son attention. On la caressa et elle gémit, s'attendant à une nouvelle plongée dans le plaisir. Ses lèvres furent mises à contribution et elle parvint à soulever ses paupières. L'atmosphère du lieu était douce, apaisante et Sally se redressa lentement, s'attendant à payer ses derniers excès. Il n'en fut rien, elle ne souffrait pas de tout ce qu'elle avait délicieusement endurée. Et elle était nue, présentable, propre et parfumée. Un minet adorable vint se blottir sur son ventre et elle l'enveloppa des ses bras protecteurs.

Enfin, elle leva les yeux sur la déesse. Son rang de Haute Prêtresse n'était pas nécessaire pour deviner à qui elle avait affaire. la puissance de la divinité était palpable bien que teintée d'une extrême douceur. Sally souleva le chat et s'agenouilla devant l'apparition divine. Impressionnée? Non, mais immensément respectueuse et dévouée. Arès ne s'était jamais manifesté d'aucune sorte ... Aphrodite lui offrait là un cadeau d'une valeur inestimable. Quel humain pouvait se targuer de dévisager un Dieu? Car Sally Whitemane ne baissa pas les yeux. Ce n'était surement pas ce qu'attendait Aphrodite. Si elle recherchait une représentante pour illuminer l'empire de Mijak, il lui fallait une femme forte.

"Déesse, je suis honorée de l'attention que tu me portes. J'ai ... j'ai aimé l'accueil que tu m'as réservé. J'espère n'avoir déçu personne."

Ses pensées restaient floues. Les détails de l'orgie restaient résiduels bien qu'elle fasse des efforts pour s'en souvenir. Seul subsistait l'immense plaisir qu'elle avait ressenti et cette chaleur dans le bas-ventre.

Le chat ronronnait alors qu'elle lui grattait l'arrière du crâne. La petite bête reposait sur la poitrine de Sally qui offrait assez de place pour s'y prélasser.

"Naïa m'a expliqué la raison de ma présence en ta demeure. Je suis persuadée que tu as fais le bon choix. L'Ordre des Sœurs Ecarlates peut être une formidable source d'expansion de ta religion. Il ne demande qu'à vénéré une divinité qui lui donnera autant qu'il donne."

Sally se montra à la hauteur de ce qu’Aphrodite put imaginer. Reprenant rapidement ses esprits, elle ne se montra pas impressionnée plus que cela par l’idée d’être face à une Déesse. Elle se permit même de la tutoyer ! Une telle outrecuidance aurait pu lui valoir de sacrés tours… Mais, fort heureusement, elle s’adressait à Aphrodite, une Déesse qui était connue pour être moins à cheval que les autres Olympiens sur l’étiquette. La Déesse l’écouta donc parler, tandis que Samsha se fondait à nouveau dans les ombres. Le chat se recula également quand Sally mentionna l’Ordre des Sœurs Écarlates, et retourna près de sa Déesse. Aphrodite se releva, et claqua des doigts. La lumière revint alors, comme par magie. Samsha avait disparu, et Sally put voir qu’elles se trouvaient dans une agréable chambre comprenant également un salon et une cheminée. Elle avait été posée sur un tapis. Devant elle, Aphrodite était presque totalement nue, ne portant qu’un léger voile blanc, semi-transparent, qui magnifiait ses formes à défaut de les dissimuler vraiment.

« Je vois que cette petite orgie ne t’a pas laissé trop de séquelles, Sally, et je m’en réjouis. J’avais demandé à Samsha et à ses chats de m’accompagner pour le cas où il y aurait besoin de te sevrer un peu, mais tu es lucide. »

L’afflux de luxure était quelque chose de redoutable, une drogue névralgique qui pouvait vous faire perdre toute contenance. Aphrodite rejoignit la partie salon de la pièce, et s’assit sur un fauteuil, avant de sensuellement croiser les jambes. Des tasses étaient étalées là, et se remplirent toutes seules. Elle proposa à Sally une tasse de café, et, tandis que la prêtresse s’installa, Aphrodite but doucement. C’était un café qui, fort heureusement, était tout à fait normal… Pour autant que quelque chose puisse l’être ici.

« Nous avons pas mal de choses à nous dire, ma belle. Pour commencer, j’ai effectivement besoin de tes Sœurs Écarlates, sans doute autant que vous ayez besoin de moi. Vois-tu, mon culte est avant tout un culte pacifiste, mais le plan dans lequel nous nous tenons, Luss’tghaa… N’est pas un plan aussi pacifiste que ça. »

Aphrodite se releva. Les fenêtres étaient toutes recouvertes par des rideaux. Elle se rapprocha de rideaux, et, quand elle les écarta, son royaume put se voir en contrebas. C’était une succession de tours lumineuses et rosâtres, comme un phare dans la nuit… Car, au-delà de cette ville, une obscurité sans étoiles se dessinait. Aphrodite attendit que Sally observe la fenêtre, et, soudain, la vue montrée par la fenêtre… Changea. Comme une sorte de grossissement. Aphrodite avait posé sa main sur la fenêtre, et usait de sa magie, ce qui les approcha de la frontière… Où Sally put voir un curieux spectacle.

Naïa et une autre femme, Angewomon, affrontaient une créature monstrueuse, assemblage sauvage de tentacules et de gueules édentées qui crachaient des jets d’acide. Un monstre redoutable, dont la seule vision vous inspirait le dégoût. Lust rompit la vision alors que Naïa plantait sa lance dans l’une des gueules du monstre, et se retourna vers Sally.

« Voilà le genre de monstres qui peuplent ce plan… Des monstres qui sont influencés par les actes sexuels malsains, et qui se multiplient depuis l’Olympomachie. Sache que mon royaume est la seule frontière qui empêche ces monstres de venir sur Terra. Ils sont liés aux Grands Anciens, comme tu as pu le remarquer à leur nombre de tentacules et à leur silhouette si peu seyante. Il me manque des guerrières pour défendre mes frontières, et c’est là que toi et tes sœurs intervenez. »

Aphrodite n’en dit pas plus pour l’heure, soucieuse de voir si, déjà, Sally n’était pas trop ébranlée par la créature innommable qu’elle venait de voir…

"Par ..."

Sally faillit mentionner Arès mais le nom désormais honni du dieu félon resta bloqué en travers de sa gorge. Naïa et une autre guerrière combattaient une Horreur absolue. La vision fit grimacer la prêtresse qui par réflexe chercha sa masse d'arme habituellement disponible à son côté. Les yeux de Sally rougeoyèrent à l'idée d'un combat brutal. Durant l'olympomachie, ses légions avaient combattu des abominations indescriptibles et nombre de ses sœurs avaient péri, déchiquetées par les crocs e créatures pareilles. Whitemane n'avait pas peur. il n'éyait pas dans sa nature de se laisser facilement impressionner. Une humaine dévote pouvait combattre une divinité si elle avait le soutien d'une autre divinité aussi puissante. Les artefacts de combat étaient aussi d'un grand secours pour pourfendre le Mal et aussi s'en protéger. Chaque divinité avait le pouvoir de création et qu'elle insuffle son énergie dans une lance ou un bouclier permettait des miracles pour les Mortels.

L'atmosphère cosy de la pièce était remplacé par le voile de la vérité et le goût du café sur ses lèvres étaient les seuls vestiges du doux moment précédent. Aphrodite avait parlé de luxure et de résistance; Sally s'en gavait depuis longtemps. Sa libido n'avait d'égale que son engagement au combat et le lit de la Haute Prêtresse avait la réputation d'être un lieu de passage obligé pour toute personne présentant des attraits physiques de qualité. Qu'elle soit résistante à la folie sexuelle n'était pas surprenant, elle baignait dedans depuis son premier acte charnel.

Ainsi le royaume de la déesse était menacé, et représentait l'unique rempart contre une nouvelle attaque contre Terra? L'Olympomachie avait marqué les esprits et fait souffrir des peuples entiers. Les empires et royaumes se remettaient à peine de cette guerre atroce et de savoir qu'une autre guettait, si proche, enflamma Sally.

"Ces abominations doivent disparaitre, dussions nous les traquer jusque dans les basques de leurs maitres. L'Ordre des Sœurs Ecarlates vit pour la conquête et les combats en faveur de la divinité qui le soutient. Déesse, vous n'aurez pas mes sœurs avec des discours pacifistes. Elles ont besoin d'un Ennemi à combattre et c'est cette approche qu'il faut privilégier."

Elle reporta son attention sur Naïa et sa compagne, nul doute qu'elles terrasseraient la créature.

"J'en fais mon affaire pour convaincre le conseil de l'Ordre. Mais si l'armée se bat ici, il me faudra aussi penser à étendre mon influence sur Mijak pour que ta parole se répande mais aussi pour que l'Ordre génère des revenus suffisants pour s'imposer. J'ai entendu dire que Sha est active auprès du Trône, et qu'il se trame de sérieuses manigances depuis la mort de Wismerhill."

Mijak était une terre de contraste. Fondé avec l'aide précieuse des démons, toujours très actifs, l'empire regorgeait de cultes qui tous proclamaient leur légitimité plutôt que celle des autres. L'expansion de L'Ordre des Sœurs Ecarlates se heurterait forcement à des adversaires politiques et religieux d'importance.

"J'oserais te réclamer des prêtresses confirmées, des clercs savants et tout le personnel nécessaire pour expliquer la raison de ton émergence. Nous les accueillerons comme nos frères et sœurs et partageront leurs préceptes. il faudra jouer finement car mes troupes de guerre seront ici, à forger notre Histoire pour le bien de tous. Et ... j'aimerais que tes forgerons arment mes guerrières pour qu'elles soient les plus mortelles possibles..."

Sally s’emballa rapidement, la vision de l’Horreur ne manquant pas de la galvaniser, et envisagea dès le début un plan de bataille. Aphrodite la laissa parler quelques instants, jusqu’à ce que sa partenaire semble se calmer.

« Non, non, ma belle, je n’ai pas besoin que les armées mijakiennes viennent. Ici, tu dois bien comprendre que tu n’es pas sur Terra. Nous sommes dans une réalité immatérielle, qui n’est pas régie par les lois ordinaires de la physique. Certains appellent cette dimension le Warp… Mon royaume est l’un des rares îlots sûrs au sein du Warp… Si des soldats non-entraînés viennent ici, ils ne feront Que succomber à la folie qui règne ici, et ils ne me seront d’aucune aide pour sécuriser mon royaume. »

Tout cela devait être un peu confus pour Sally. Aphrodite se déplaça donc, et la vision de l’Horreur eldrichtienne défiant Naïa et Angewomon se remplaça par une vision de Terra. La planète tellurique se forma devant Aphrodite, et des sortes de lignes spectrales se formèrent dessus.

« Voici une cartographie magique de Terra… Tu peux voir les ley lines de ta planète. Terra, vois-tu, est une planète très particulière. Elle est au centre du Multivers, et est source de nombreuses convoitises. Les monstres qui peuplent Terra sont d’origine diverse… Mais ils sont influencés par des forces extérieures, magiques, qui influent sur ces lignes magiques… Ces courants énergétiques se diffusent dans tout le Multivers. Terra a besoin d’être protégée à tout niveau, alors je ne souhaite pas dégarnir les forces impériales. »

Un point en particulier de Terra concentrait ces ley lines, un point brillant où toute la magie semblait se concentrer. Tous les flux se regroupaient à hauteur de la Tour Sombre.

« Tes guerrières seront formées, oui… Mais elles ne seront déployées que quand elles seront suffisamment endurantes pour supporter l’atmosphère de Luss’tghaa. Je peux te donner des armes ou des armures, mais cela ne changera rien… La luxure n’obéit pas à des armes, et il ne suffit pas d’une amulette quelconque pour se protéger du désir. Le désir est quelque chose qui doit se consommer, ou il engendre de la frustration. »

C’était là toute la complexité de cette émotion. Trop de désir vous corrompait, mais, inversement, l’absence de désir vous tuait aussi.

« Si je me contentais de donner à tes guerrières ou à tes guerriers des protections contre toute forme de désir, ils seraient tous corrompus. Il faudra que nous examinions chaque membre de ton ordre, afin de déterminer lesquels sont prêts à rejoindre le Royaume, et lesquels doivent encore être formés. Toi, par exemple, tu es prête à rester ici, et à suivre une formation plus soutenue… »

Aphrodite caressa sa joue, et lui sourit.

« La clef, c’est d’éveiller la Marque de la Luxure… Un inmon qui se forme sur le pubis, le signe de la Luxure. Pour ça, il va falloir… Beaucoup pratiquer. Ici, tu sais, le temps s’écoule différemment que sur Terra, il est… Lié au désir. Plus tu fais l’amour, et plus le temps défilera lentement… »

Cela n’avait en soi aucun sens… Mais elles étaient après tout dans une dimension où peu de choses faisaient sens !

La fureur des combats attendrait. La déesse sut, de sa voix mélodique, trouver les mots justes pour expliquer plus clairement ses attentes. L’engagement des forces armées de l’Ordre des Sœurs Ecarlates n’était pas envisageable pour le moment dans ce plan si particulier et Sally en fut rassurée. Même si la vocation première de son Ordre était l’expansion du culte par la voie des armes principalement, chaque vie perdue était un prix cruel à payer.

La Haute Prêtresse reporta encore une fois son attention sur le combat se déroulant au loin et constata que le monstre faiblissait sous les coups de Naïa et de l’autre guerrière. Les représentantes de Lust mirent fin à l’existence de la créature et la vision se dissipa, ramenant Sally dans le salon confortable d’Aphrodite.

La déesse avait volontairement ou pas éludé sa question concernant le partage des territoires et des cultes des autres divinités, comme Sha. Après tout, ce sujet était affaire de panthéon et la déesse devait avoir prévu une éventuelle confrontation, à moins que des négociations ne soient envisagées pour déterminer clairement les zones d’influence. Le temple de Sha à Mijak était connu pour sa puissance mais aussi pour sa proximité avec le palais impérial.

"Je comprends bien, Déesse, les enjeux capitaux qui se profilent. Le temps nous est compté aussi il va falloir réorganiser rapidement le fonctionnement de mon Ordre et nous orienter vers des pratiques cléricales en adéquation avec tes attentes."

Imagée ainsi, cela pouvait être prit comme l’organisation d’orgies monastiques gigantesques où les sœurs allaient forniquer frénétiquement jusqu’à atteindre le nirvana sexuel. Mais non, il allait d’abord falloir passer par une pédagogie subtile pour entrainer l’ensemble des prêtresses, dont beaucoup prêchaient la chasteté, vers une voie aussi physique que spirituelle. Pour Sally, cette étape était consommée et acquise. D’écarter les cuisses pour y accueillir à peu près n’importe qui était une habitude ancienne et à bien y réfléchir, elle aurait pu être prêtresse de Lust depuis le départ. Son retour sur Terra la verrait très rapidement requérir la constitution du Grand Conseil de l’Ordre en rappelant toutes les matriarches et commandeurs de l’Ordre. Ces élites arriveraient de tout le territoire de l’empire et sous l’autorité de Sally, aborderaient le sujet épineux de la réorientation du culte. De toute manière, il faudra bien que toutes s’y plient, il en était de la survie de l’Ordre. Un bon point positif serait la conversion massive de nombreux adeptes et le recrutement de beaucoup d’autres, la pratique du rite de Lust étant bien plus … agréable que celui d’Arès.

Sally Whitemane posa ses mains sur son ventre où l’inmon persistait sur sa peau claire. Le symbole brillait et vibrait, propageant toujours une douce chaleur jusqu’entre ses cuisses. La Première Inquisitrice venait de se goinfrer de sperme et elle avait toujours faim. Maintenant qu’elle avait l’esprit clair et que ses idées n’étaient plus embrouillées par les fragrances sexuelles persistantes de ce plan, elle pouvait volontairement avoir envie de baiser, ce qui lui permettrait de gagner en puissance. Son aura était déjà perceptible et nul doute que les prêtresses récalcitrantes à tout changement percevraient cette force avec respect et déférence plus encore que ce n’était le cas actuellement. La puissance faisait Loi à Mijak et c’est tout ce dont avait besoin Sally.

Cette femme avait toujours eu une ambition démesurée et les moyens employés pour arriver à ses fins pouvaient parfois avoir été discutables et le sexe avait bien souvent été utilisé pour corrompre ou acquérir les faveurs de dignitaires utiles. Nombreux avaient été ceux qui avaient baisé Sally et qui par la suite, avaient dû s’acquitter de cette dette.

La mijakienne aux cheveux blancs revint vers la déesse et l’éclat de son regard indiquait clairement qu’elle attendait d’Aphrodite un nouvel élan rituel.

"J’ai envie de me faire sauter Déesse, encore… "

Prédatrice …

Combattre ici les monstres du Warp, c’était les empêcher d’influencer sur Terra. C’était réduire le nombre de monstres, leur puissance ou leur agressivité. La tâche de Sally n’était donc pas anodine, et Lust se doutait bien qu’elle aurait besoin de l’autorité des pouvoirs locaux. Changer le culte d’un temple n’était pas commun, mais elle savait qu’elle y arriverait. Elle aurait déjà l’assentiment de Sally. À ce stade, il aurait fallu être aveugle pour ne pas voir les ambitions personnelles de la prêtresse, qui devait sentir ici la possibilité pour elle de s’élever encore… Et, en tout cas, de ne pas sombrer avec Arès, qui était désormais une idole déchue. Il faudrait du temps pour que les plaies soient pansées. Lust savait que son frère n’était pas mort, que son essence se réincarnerait en un nouvel hôte. Mais, d’ici là, elle comptait bien, elle aussi, s’implanter. Aphrodite ne s’était jamais considérée comme une divinité ambitieuse, mais elle était pourtant devenue un des piliers de ce qu’on pouvait appeler la Nouvelle-Olympe. Elle n’avait pas répondu à Sally sur les problèmes de partage de cultes, car cela n’avait que peu d’intérêt. Le Conseil Olympien approuverait ce choix, qui permettait de disposer de troupes supplémentaires pour que les Olympiens défendent à nouveau Terra.

L’inmon de Sally était encore présent, et elle finit par aborder un autre sujet, qui fit sourire Aphrodite. Elle pencha brièvement la tête sur le côté, et caressa avec sa main la joue de Sally, son pouce glissant sur ses lèvres. Son autre main glissa sur la peau nue de Sally, et caressa son inmon. Au contact des doigts de la Déesse, le sceau se mit à luire, et le corps de la prêtresse mijakienne trembla sur place.

« C’est bien ce qu’il me semblait… »

Aphrodite se rapprocha d’elle, et se déshabilla à son tour. Sa toge glissa sur le sol, la dévoilant dans sa superbe nudité. Elle se pencha donc, et déplaça ses mains. Une main sur sa nuque, et l’autre se posta sur les fesses de sa partenaire. Elle appuya dessus, et, quand elle l’embrassa, Sally put sentir une énergie incroyable l’envahir. Les baisers de Lust étaient divins, et pouvaient déclencher des orgasmes instantanés. C’est ce à quoi Sally eut droit pendant toute la durée de ce baiser. Sa partenaire se pressa contre elle, et sentit toute la puissance de la luxure contre sa bouche. Ce fut un baiser sans aucun doute incroyable pour elle, débordant d’énergie et de passion. Un baiser suave et passionné, qui l’emporta pleinement. Elle se mit donc à jouir, son corps s’affaissant sur place, Aphrodite venant fort heureusement la maintenir contre elle.

Et, après ce premier baiser, Aphrodite sourit en constatant que Sally était toujours là.

« La plupart des gens succombent à ce premier baiser, le désir est tel qu’ils s’effondrent après l’orgasme… Mais pas toi. C’est une preuve que tu te commences à te faire à ton nouvel environnement, et à toute cette luxure. »

La Déesse lui sourit doucement. Une paire de mains supplémentaire se posa soudain sur les épaules de Sally. Dans son dos, Samsha venait de revenir, et Sally put sentir une verge tapoter ses fesses. Une autre verge se forma devant elle, entre les cuisses d’Aphrodite. La Déesse de la Luxure sourit sensuellement devant le sandwich qui se rapprochait. Samsha embrassa à son tour Sally. Un baiser moins intense que celui de la Déesse.

« Ta formation ne sera complète que quand tu parviendras à ne pas jouir lors de l’un de mes baisers, ma chérie. D’ici là, il va falloir te baiser très fort…
- Et je serai heureuse d’y contribuer, Maman… »

Aphrodite sourit doucement.

« J’ai oublié de vous présenter, je crois… Tu me parlais de la Déesse Sha tout à l’heure, ma chère Sally, non ? Et bien, tu as avec toi la fille que j’ai conçu avec elle… »

C’était la première fois que Sally touchait une divinité. A bien y penser, peu d’humains s’étaient vus offrir cet honneur immense. Arès avait toujours été un dieu fier et arrogant et il n’avait répondu qu’une fois aux prières de la Haute-Prêtresse, et ce, d‘une manière assez rude. Aphrodite était tout le contraire de son frère. Sa présence était douce et réconfortante, chargée d’une énergie sexuelle lourde mais appelant à la libération. Sally se sentit réduite à l’état d’un tout petit atome délicieusement emprisonné dans un cocon de luxure palpitante. Son corps vécut ce toucher comme une entrée au paradis de la sexualité. La prêtresse trembla, enivrée par le parfum capiteux de la déesse et elle lâcha un gémissement guttural teinté d’une invitation à se faire prendre. Le baiser qui suivit l’éleva à un niveau d’indécence sidéral et elle se permit de prendre à pleine main la superbe poitrine d’Aphrodite. S’emboitant à elle, elle ondula, submergée par la violence de la passion qui s’emparait d’elle. Elle se sentit fondre, son inmon atteignant une chaleur proche de la fusion. Il lui devint impossible de se contenir et Sally jouit comme une folle, emportée par trois orgasmes successifs d’une rare intensité. Son plaisir s’écoulait de sa chatte le long de ses cuisses et elle haletait, les yeux voilés, perdue dans le baiser qui la consumait. Plus tard, il lui serait impossible de décrire ce qu’elle vivait à cet instant.

Mais Sally la salope avait une volonté de fer et son esprit résista à la dispersion qui se profilait. Elle revint à elle et rendit à sa déesse toute la ferveur qu’elle lui devait. Elle parvint à relever une jambe entre les cuisses d’Aphrodite et lui tira un téton qu’elle malaxa entre la pulpe de ses doigts. Oh oui qu’elle avait lutté pour ne pas disparaitre dans cet abime de luxure et elle sourit en retour. Aphrodite savait déjà tout d’elle et l’âme de Sally Whitemane avait depuis toujours été tournée vers le sexe. Ce changement de culte ne faisait qu’accélérer l’inévitable.

"Très fort déesse ? Mais … c’est bien ce que j’espérais. Mon corps réclame ce qui se ait de plus … exigeant … dans ton domaine."

Un trait d’humour avec une déesse du panthéon Olympien, cela aussi relevait de l’irréel mais Sally savait qu’elle ne risquait rien à exiger de se faire prendre par la maitresse de la luxure. Au contraire, cela prouvait bien qu’Aphrodite avait fait le bon choix.

Dans le dos de la prêtresse s’anima une silhouette et Sally se retourna à demie pour voir de qui il s’agissait. Fille d‘Aphrodite et de Sha ? Quelle généalogie ! Samsha possédait la sombre beauté et l’attirance de ses mères et le membre émergeant de son entrejambe fit saliver d’envie Sally. Même après le baiser fou partagé avec Aphrodite, la passion de la Sœur Ecarlate était toujours intacte. Elle se cambra, attrapa le membre noir et le guida vers ses fesses. La déesse avait dit que l’entrainement formerait sa résistance alors autant commencer tout de suite. Sally pressa en arrière et le gland écarta sa rondelle. Elle se cambra plus encore et la masse phallique entra d’un coup en elle. Elle ne cria pas mais éclata de rire, trop heureuse de ce qui s’annonçait.

" Et bien Samsha, je suis heureuse de te rencontrer, d’autant plus que tu vas me sauter comme la dernière des salopes."

Et devant elle, Aphrodite exhibait aussi une verge massive. Pilonnée par derrière, Sally réussit à écarter les cuisses et à offrir à la déesse la vue de sa chatte trempée.

"Et toi aussi déesse, il faut m’apprendre à encaisser. Je t’assure que je serais une bonne élève."

Sally avait droit à une séance rare, un cadeau sacré : deux Déesses rien que pour elle ! Peu de gens pouvaient prétendre à une telle séance, et ce aussi rapidement. Après tout, Sally venait pour ainsi dire de faire irruption à Lusst’ghaa. Il était rarissime qu’une invitée puisse voire si rapidement la Déesse des lieux. Certains mettaient parfois des années avant de pouvoir rejoindre la couche de la Déesse. La prêtresse en avait en tout cas bien conscience, car, après l’orgasme résultant du baiser de la Déesse, elle s’efforça de conserver son calme… Autant que possible. La tâche était loin d’être facile, et cela ne manquait pas d’amuser Aphrodite, qui sourit doucement en se rapprochant d’elle. Sally était coincée entre Samsha et Lust, et la Déesse lui caressa la joue, puis elle se pencha vers Sally, qui n’eut plus qu’à se redresser. Ses jambes s’enroulèrent autour de la taille de la Déesse, et Aphrodite l’embrassa avec appétit, tout en la pénétrant dans la foulée, Samsha faisant de même avec son fondement.

« Hmmm… Je me doutais déjà que tu étais une bonne élève, tu sais… Tu ne serais pas là, sinon ! »

Rencontrer directement la Déesse de la Luxure pouvait en effet se montrer dangereux, surtout ici, à Lusst’ghaa, où le pouvoir de Lust était à son paroxysme. En sentant ces deux verges en elle, Sally allait se retrouver dans un moment de féérie exceptionnel. Elle avait demandé ce qu’il y avait de plus « exigeant » dans le domaine du sexe, et elle allait pouvoir être servie, dans la mesure de ce qu’elle avait demandé. Lust soupira doucement, s’enfonçant sans difficulté en elle. Sa chatte était délicieusement trempée. Du côté de Samsha, la sodomie était plus délicate. Les jambes de Sally s’étaient relevées, s’enroulant autour du bassin d’Aphrodite, qui retourna embrasser la femme. Ce nouveau baiser ne déclencha pas d’orgasme, même si les premiers coups de reins d’Aphrodite auraient sans aucun doute pu la faire jouir. Les deux mains d’Aphrodite se posèrent sur les fesses de la prêtresse, les malaxant avec appétit, tandis que, dans son dos, Samsha grognait et soupirait. La jeune fille de Déesses posa ses deux mains sur chacun des seins de Sally, et s’appuya dessus, tout en la pénétrant. Elle s’enfonça peu à peu dans ses fesses, l’atmosphère si particulière de ce royaume permettant à Sally de supporter cette solide queue noire dans ses fesses.

Samsha soupira longuement contre l’oreille de Sally.

« La dernière des salopes… Vous avez entendu ça, Mère ? Je crois que… Votre noble invitée a envie de se faire dégrader…
- Et je crois que cela t’inspire, n’est-ce pas ?
- Oh oui… Cette femme est magnifique, Mère… Sa peau est si douce, et son esprit s’adapte si facilement à notre univers… »

La jeune femme lécha la peau du cou de Sally, tout en pinçant encore ses tétons, jouant avec ses jolis seins. Les deux femmes la prenaient en sandwich, s’enfonçant mutuellement en elle, de plus en plus profondément, et de plus en plus rapidement !

Le sexe en groupe, la pluralité des plaisirs, l’imbrication de plusieurs corps les uns dans les autres … C’était la pratique que préférait Sally à condition qu’elle soit bien le réceptacle de cette orgie sexuelle. Dans son esprit débridé, plus il y avait de queues destinées à assouvir ses envies, plus elle se sentait heureuse. Elle avait participé à d’innombrables sauteries où des mâles puissants s’étaient répandus sur elle dans des torrents de foutre après des heures de baise intense. Aucun de ses orifices n’était jamais épargné et elle pouvait avaler autant qu’elle pouvait accepter presque n’importe quelle taille au fond de son ventre.

Ici, il ne suffisait que de deux personnes pour qu’elle atteigne son nirvana. Deux entités exceptionnelles la remplissaient et les sensations qu’elle vivait étaient bien plus vivaces que tout ce qu’elle avait vécu jusqu’à présent. Alors qu’Aphrodite s’introduisait en elle tout en l’embrassant, Samsha l’enculait, avec précaution dans un premier temps, surement pour éviter de l’assassiner analement, puis durcit ses mouvements au fur et à mesure que son rectum s’élargissait. Les gros seins de l’inquisitrice subissaient aussi les envies de la déesse noire. Leur volume restait un cas isolé pour une humaine. Nombre de novices restaient bouche bée la première fois qu’ils les voyaient déballés … Ce n’était pas une erreur de la nature, bien au contraire, Sally savait utiliser son corps à son avantage, surtout lors de négociations difficiles. Peu d’hommes résistait aux femmes fines mais dotées d’atouts mammaires certains.

Dans la petite pièce, ce n’était qu’ahanements, gémissements, bruits de succions et petits cris joyeux. Sally alla jusqu’à poser un suçon dans le cou d’Aphrodite avant de lui lécher l’arête de la mâchoire. Maintenant qu’elle était complètement ouverte, il était plus simple de la labourer jusqu‘au fond. Sa peau claire contrastait avec celle de Samsha qui lui collait au dos. La fille de Sha entrait et sortait de ses fesses, calée comme un métronome. Le rectum de Sally s’ouvrait à chaque pénétration et la Haute Prêtresse tentait de la retenir plus longtemps en la comprimant à chaque fois qu’elle était tout en elle. Il en allait de même avec Lust même s’il était plus difficile de résister à l’aura dégagée par la déesse. Sally tentait de ne pas fondre mais la queue mystique qui la transperçait diffusait dans son corps des courants électriques qui la tétanisaient.

Son premier orgasme déborda après une vingtaine de minutes de coït sauvage. Le deuxième suivit seulement quelques secondes après. Au troisième, elle se cambra tellement qu’elle faillit s’arracher à l’étreinte des deux femmes mais Samsha la verrouilla fermement. Sally bavait, et même si son esprit restait assez préservé, son corps donnait des signes de fatigue. Ses bras ballants, sa tête en arrière, ses yeux blancs, sa langue tirée, elle ressemblait à une loque trop utilisée. Et pourtant, elle pouvait encore recevoir, encore … baiser.

Elle ne se rappela pas comment ni quand Samsha parvint à s’allonger sur un tapis épais et moelleux mais elle chevauchait la déesse noire qui lui prenait la chatte à présent alors qu’elle suçait Lust avidement. Elle se gorgeait de leurs fluides merveilleux. Et puis, elle voulut tenter l’extrême. Elle écarta les cuisses et crois le regard d’Aphrodite.

"Prenez-moi la chatte à deux."

Sally avait droit à un spectacle rare, à une séance de sexe qui aurait même pu lui faire perdre la raison : se faire troncher par deux Déesses simultanément. On pouvait sans doute compter sur les doigts d’une seule main les personnes ayant pu avoir aussi rapidement à leur arrivée à Lusst’ghaa un tel honneur. C’était sans conteste la preuve que la femme était très spéciale, que Sally avait un rôle très particulier à jouer. Elle se faisait baiser avec une énergie soutenue par les deux Déesses, un rythme soutenu et intense. Difficile, pour elle, de faire quoi que ce soit d’autre, à ce stade, que de se faire prendre. Aphrodite et Samsha la prenaient avec force, alternant les baisers, malaxant ses seins. Aphrodite grognait parfois en sentant les parois vaginales de la jeune femme se contracter. Elle tenait bon ! Après une dizaine de minutes, et un long baiser de Samsha, qui dura bien une bonne minute, Aphrodite soupira lentement. Sa verge s’enfonça jusqu’à la garde, glissant dans une intimité ruisselante.

« Quelle endurance… Cette salope n’a toujours pas joui…
- Hm… Vouloir rivaliser avec les Dieux, Sally, c’est un péché… Un péché que nous allons devoir sévèrement sanctionner ! »

Samsha était une jeune Déesse. Elle avait été conçue par Lust au réveil de Sha, après que celle-ci eût été bannie pendant des siècles par les Olympiens. Samsha symbolisait une alliance forte entre les deux Déesses. Elle était restée ici, à Lusst’ghaa, où elle avait grandi, et était ensuite devenue une femme talentueuse, une amante redoutable, mais aussi une puissante combattante. Qu’elle soit ici n’était donc pas dû au hasard, car Samsha et Sally risquaient de combattre ensemble. Samsha faisait en effet partie des gardiennes du Royaume, et, comme Sally avait pu le voir, il y avait bien des monstres à combattre ici. Mais, pour l’heure, les femmes sympathisaient, car, si on se fiait à la doctrine de la religion lustienne, seul le sexe permettait de vraiment vous rapprocher d’une autre personne.

Dans le dos de Sally, Samsha maltraitait encore ses seins, les pinçant avec force, jouant avec les tétons, qu’elle faisait remuer dans tous les sens, tout en compressant ses seins. Ses doigts se glissaient dessus, s’enfonçaient dans la chair, arrachant à leur délicieuse partenaire de longs soupirs, et même des cris de plaisir. Ses yeux se voilèrent même pendant quelques instants, tandis que l’inmon sur son pubis brillait férocement. Au bout d’une petite demie-heure, la gourmande Sally en demandaz plus, puisqu’elle demanda aux deux Déesses de la prendre par la chatte.

« Oh, tu en redemandes encore, ma chérie ? »

Samsha avait joui dans le cul de Sally, tandis que la verge d’Aphrodite restait bien solide. Elle contrôlait ses orgasmes à la perfection, et les deux Déesses se rapprochèrent de leur amante. Elle était couchée sur le sol, et les deux femmes s’allongèrent autour d’elle, sur le flanc, orientant leurs verges vers sa chatte, Samsha se retrouvant cette fois devant. La Déesse se rapprocha des lèvres de Sally, et l’embrassa, enfonçant une longue langue reptilienne dans sa bouche, et en profita pour glisser sa verge en elle…

…Et une double pénétration vaginale se mit à commencer !

Sally frémissait d’anticipation. La séance jusqu’à présent avait été d’une remarquable intensité mais ce qui se préparait était d’un niveau bien supérieur encore. Samsha la sombre s’était montrée exigeante et endurante, ce qui était normal pour une déesse, et elle avait fait des fesses de la prêtresse son magnifique terrain de jeu. Du sperme en coulait encore par l’anus béant qui mettrait quelques temps à reprendre sa forme initiale. Et puis, il n’était pas dit que plus tard, les deux divinités ne veuillent pas la prendre par là aussi. Sally embrassa Samsha à pleine bouche, lui suçant la langue comme une affamée. La relation prenait pour elle un tournant passionnel et elle se donnait complètement à ses maitresses. La langue de l’entité sombre descendit dans sa gorge et elle déglutit pour l’avaler au maximum sans qu’aucun réflexe nauséeux ne survienne. La Haute Prêtresse de l’Ordre Ecarlate était déjà une experte en gorge profonde mais là, elle atteignait des records !
Son corps sculptural prit entre les deux déesses, Sally n’en pouvait plus d’attendre. Il était évident que l’environnement de ce plan y jouait pour beaucoup. Les sens, les désirs étaient exacerbés par la nature même de cet endroit et aussi par l’omniprésence d’Aphrodite qui fécondait les esprits d’un besoin irrépressible de baiser.

Sally leva une jambe pour faciliter l’accès à sa chatte trempée et crut défaillir quand les glands gonflés l’effleurèrent.

"AAaaahhh ! Ouiiii ! Ensemble!"

La poussée simultanée des deux déesses produisit un effet fulgurant et la prêtresse hurla de bonheur. Sa vulve était extensible mais pas tant et le baume spirituel dans lequel elle baignait n’atténuait que la douleur, pas les sensations. Sally eut l’impression qu’on l’ouvrait en deux. Sa chatte s’étirait pour laisser passer les deux grosses queues qui frottaient l’une contre l’autre. Le passage serré s’écarta et en elle, dans son ventre, elle les sentit palpiter, prêts à cracher leur semence.

"Baisez moi fort ! Réduisez-moi à l’état de jouet sexuel ! Je veux que vous me ravagiez !"

C’était un peu présomptueux que d’exiger auprès d’une déesse … alors deux … Mais l’état béni de Sally était compréhensible. Depuis son arrivée à Lusst’ghaa, elle n’avait fait que forniquer avec des créatures et personnes puissantes. Son corps habitué à une atmosphère terranne mettrait un certain temps à s’habituer à celle de ce plan.

Et puis les deux déesses se synchronisèrent. En rythme, elles la baisèrent magnifiquement, faisant du ventre de la prêtresse un temple de la reproduction. Le vagin de Sally fut proprement démonté, noyé aussi. L’une après l’autre, Aphrodite et Samsha réussirent à passer le col étroit de l’utérus pour l’investir sans pitié. C’est comme si une armée de nains creusait en elle. Sally gueulait sa jouissance quand la langue de la sombre entité quittait les tréfonds de sa gorge. La folie était proche mais Sally résistait, trop déterminée à prendre son pied, à répéter cette orgie à l’infinie et à prouver qu’elle était bien la première des putes, comme avait lancé Mashia plus tôt. Elle se délectait de ces queues, les molestait en comprimant ses muscles avant de se relâcher pour leur permettre de reprendre leurs mouvements.

C’était si bon d’être un objet à utiliser alors que d’habitude, c’est elle qui utilisait les autres. Elle n’avait jamais eu de pitié pour quiconque et mesurait maintenant ce que c’était que d’être soumise au bon vouloir d’un être supérieur. Mais Aphrodite n’était pas une bonne déesse pour rien. Intelligente, elle laissait suffisamment d’autonomie pour que Sally apprécie pleinement ce moment.

"AH … AH … AH !!!!!"

Quelle défonce ! Samsha dévorait le coup de Sally qui pouvait s’exprimer pleinement. Elle endurait de délicieux sévices et sa chatte brûlait de mille feux.

"REMPLISSEZ-MOI ! REMPLISSEZ-MOI !"

Toute personne arrivant à Luss’tghaa pour la première fois subirait ce traitement, celui d’une intense séance de sexe, longue et éprouvante. C’était une étape obligatoire, car elle découlait de la nature même de ce lieu. Luss’tghaa était un monde spécial, une dimension conçue sur la magie rose, et dont la légende disait même qu’elle était construite sur le corps d’un Dieu Extérieur. Que cela soit vrai ou pas, il fallait donc former Sally. Lust devait toutefois bien admettre que la belle prêtresse s’en sortait plutôt bien. Elle était capable de s’immerger à l’ambiance de Luss’tghaa avec une rapidité étonnante. À ce stade, Lust aurait pu l’enfanter, mais la Déesse s’y refusait. Elle avait déjà beaucoup d’enfants, et elle refusait de multiplier sa progéniture. Pour avoir un enfant d’elle, il fallait le mériter. Oh, Sally aurait sans doute droit un jour à ce privilège, mais, pour l’heure, elle allait devoir se « contenter » de se faire baiser avec force par la Déesse et par Samsha.

« Haaa… »

Une double pénétration anale s’envisageait en soi mieux qu’une double vaginale, car un fondement pouvait se dilater plus largement qu’un vagin… Mais soit ! Les deux verges s’enfoncèrent en elle, coulissant dans sa chatte. Le corps de Sally se tendit à ce contact, et ses yeux se voilèrent pendant quelques instants, fixant un point inconnu de tous. Ses yeux se révulsèrent avant que Sally ne reprenne le contrôle d’elle-même, et que les deux verges ne coulissent en elle. Sa chatte humide se faisait sévèrement prendre, les parois intimes se dilatant au maximum, tandis qu’Aphrodite l’observait. Prise debout, Sally finit par revenir à elle, se crispant contre le corps de sa partenaire. Dans son dos, Samsha l’embrassa dans le creux du cou, avant de mordiller sa chair, tout en apposant ses mains sur ses seins. Elle se mit à les pétrir avec force, gémissant contre elle.

« Han putain, c’est si serré, gnnn… !! »

Samsha mordilla le creux du cou de sa partenaire, et vibra chaudement contre elle. Elle continuait à la prendre, avec l’aide d’Aphrodite, qui n’était clairement pas en reste de son côté. Ses mains avaient soulevé les jambes de Sally, quine touchait même plus le sol, retenue par les mains d’Aphrodite. Elle remuait d’avant en arrière, glissant contre la verge de Samsha, le tout en s’enfonçant dans l’intimité trempée et humide de leur partenaire. Les deux Déesses la sentaient mouiller follement, et elles continuèrent à la prendre, cherchant surtout à ne pas se gêner mutuellement, et à baiser Sally intensivement… Comme elle le méritait ! Samsha, de son côté, releva sa main pour tourner la tête de Sally, et l’embrassa, sa langue reptilienne filant dans sa bouche. Quand elle ne l’embrassait pas, elle n’hésitait pas à utiliser sa langue pour l’enrouler autour du cou de Sally, l’étranglant par moments, faisant ainsi vivre à cette femme un plaisir intense, trop intense pour bien des humains… Mais visiblement pas pour elle !

Les deux Déesses la remplissaient donc, leurs verges s’enfonçant en elle, dilatant ses parois, les écartelant, la plaçant probablement à la limite du coma. Sur le pubis de Sally, un bel inmon brillait, témoignant de son initiation réussie à la luxure !

Cela semblait ne jamais devoir s’arrêter. Le rythme soutenu imposé par Aphrodite et Samsha ne faiblissait pas et le ventre de Sally accueillait les membres durs sans autre volonté que celle d’en prendre plus. Il ne restait plus de la fière et arrogante Sally Whitemane qu’une ecclésiastique corrompue par les plaisirs du sexe. Enfin, non … pas corrompue, plutôt convertie car c’était bien d’elle-même qu’elle s’était engagée sur la voie du changement. A ce stade de sa révolution personnelle, Arès n’existait plus. Ce dieu mille fois maudits ne lui avait jamais apporté autant de joie qu’Aphrodite en une seule rencontre. D’ailleurs, il ne s’était jamais réellement manifesté. Il avait profité d’un culte ancestral qui ne s’était jamais posé la question de savoir si ce dieu-là méritait son dévouement.

L’Olympomachie avait eu comme effet surprenant de redéfinir les croyances et réajuster certaines vérités. C’était donc bien le moment de changer de cap et l’irruption de Naïa au couvent de l’Ordre avait sonné la renaissance de l’Ordre guerriers des sœurs. D’ailleurs, alors qu’elle se faisait sauter, Sally pensa au fait qu’il lui faudrait renommer le haut lieu saint de leur nouveau culte, la cathédrale.

"L’aurore, ce sera l’aurore." murmura Sally perdue dans sa transe sexuelle. "… la cathédrale de l’Aurore."

Un nouveau jour pour les sœurs de l’Ordre Ecarlate…

Et puis la pensée se dissipa alors que Samsha appuyait ses coups de reins. Sally encaissait bien mais son vagin montrait des signes de fatigue … de fatigue positive. Un fourmillement familier lui assaillit les entrailles. Une chaleur montait, prête à se transformer en éruption.

"PLUS FORT ! PLUS FOOORT !"

Elle hurla son envie tandis que le martèlement qui lui emplissait la chatte s’accentuait. Elle tressautait comme un pantin désarticulé et quand Samsha lui serra le cou, elle faillit défaillir de bonheur. Le manque d’oxygène décupla ce qu’elle ressentait et son orgasme la foudroya tandis qu’elle comprimait ses parois vaginales autour des queues des déesses. Sally fut prise de spasmes et ses yeux se révulsèrent. Incapable de se contrôler, elle bava, la langue tirée ; la tête rabattue en arrière et les bras ballants.

L’inmon qui marquait son bas ventre brillait d’une lueur éblouissante et diffusait une énergie sexuelle particulièrement élevée pour une première fois, pour un premier plongeon dans la luxure de Lust. A ce stade, Sally aurait pu se perdre mais elle s’accrocha à la sensation physique des queues la ramonant. Elle paraissait abattue, charnellement détruite mais son esprit était toujours bien là.

Ce fut Samsha qui jouit la première, évidemment … Aphrodite aurait pu continuer des heures voire surement des jours. Le corps de la prêtresse s’affala sur le côté, son ventre gonflé de foutre. Elle gisait à présent sur le dos, couchée sur un épais tapis, les jambes écartées. Elle ne pouvait rien faire d’autre que d’attendre les bons désirs de Lust. La déesse pouvait avoir envie de tout et n’importe quoi et Sally ne pourrait faire qu’accepter puisque c’était la volonté suprême.

Le sperme coulait de son vagin béant et l’humaine parvint à cligner des yeux plusieurs fois pour revenir à l’état présent. Elle était épuisée et remplie. Sa peau collait et son haleine sentait le sperme : une digne citoyenne du royaume d’Aphrodite…

Sally se fit baiser avec une fougue sans commune mesure avec ce qu’on pouvait imaginer, une onanie de perversions et de luxures à la gloire de Déesses perverses et insatiables. Lust lui détruisit la chatte, elle perfora son corps, elle la dompta, la saillissant avec force, avec hargne, sa silhouette fine et douce devenant de plus en plus musclée et athlétique au fur et à mesure que ses coups de reins se multipliaient. Quand Samsha jouit en elle, il s’était écoulé une bonne heure. Une heure à se faire baiser sans relâche, une heure à sentir les puissantes verges remonter en elle, sans que jamais son organisme ne semble vouloir s’arrêter. C’était la Luxure. Ici, on baisait jusqu’à satiété, et l’énergie ambiante de ce lieu rechargeait perpétuellement les batteries de votre corps. On pouvait ainsi sentir son esprit se fracturer, se disloquer au fur et à mesure que la vague continuait. On pouvait en perdre la raison, devenir fou, sentir sa personnalité disparaître pour ne devenir plus qu’un atome de désir, et se démoniser. Ici, le Royaume protégeait ses habitants, mais, si on se risquait hors du Royaume, la folie sexuelle vous emportait.

« Haaaa… !! »

Lust relâcha Sally en jouissant puissamment en elle. Un orgasme qui était comme une petite explosion atomique de désir, et qui renversa Sally. Disloquée, ressemblant à une poupée brisée, elle tomba sur le lit, tandis que la Déesse respirait lourdement, en sueur. Son foutre s’écoulait mollement des cuisses de Sally. Elle avait joui longuement en elle, pendant plus d’une bonne minute, crachant encore et encore sa semence. Un puissant orgasme qui laissa Sally sonnée. Lust l’observait encore, un sourire enjoué sur les lèvres, et caressa le ventre de la femme.

« Tu es encore éveillée ? C’est impressionnant… J’ai suffisamment joui pour t’enfanter, tu sais… »

La Déesse pouvait sentir que le désir perlait encore chez Sally. Lust se redressa, et la retourna lentement. Le ventre de Sally s’était arrondi sous l’afflux de sperme dans son ventre, lui donnant l’allure d’une femme enceinte. Précautionneusement, Lust la retourna, et caressa ses hanches.

« Mets-toi à quatre pattes, ma belle, ton petit cul me tente… »

Et, ce que Déesse voulait, Déesse avait ! Sally ne put donc qu’obéir, et la main de Lust empoigna ses cheveux, tirant dessus en la relevant, et elle enfonça sa trique dans le renflement de ses fesses. Elle soupira lentement, et s’enfonça en elle dans un long soupir, sa verge heurtant ses fesses, et se glissant dans son fondement. Lust gifla ses fesses dans la foulée, puis caressa son gros ventre arrondi.

« Penses-tu le mériter ? Un enfant de ma part ? Penses-tu être suffisamment salope pour ça ? »

Sally tentait de reprendre son souffle, la bouche ouverte à tenter d'aspirer de l'air, chaotiquement. Elle était gavée de sperme, plus que son corps pouvait en recevoir. Elle aurait dû vomir tant son estomac était plein, tant son ventre était gonflé mais l'intensité de l'éclat de l'inmon luisant sur son ventre lui permettait d'en accepter autant et surtout de survivre à cet afflux de matière divine. Les deux majestueuses divinités se tenaient au-dessus d'elle; elles pouvaient être fières d'avoir choisi une servante aussi déterminée car Sally Whitemane n'était pas femme à sombrer. Ses ambitions personnelles la poussait toujours plus loin dans le dépassement d'elle-même.

Cependant, elle venait de prendre une correction aussi sévère que délicieuse. L'épreuve était d'une folie exceptionnelle et dès que ses cuisses se frottaient l'une contre l'autre, un fourmillement venait la saisir dans le bas-ventre. Elle tenta de répondre à Aphrodite et parvint à se redresser sur ses coudes. Son ventre était celui d'une femme enceinte et les fluides divins y étant retenus diffusaient une douce chaleur. Elle eut du mal à répondre, sa gorge encore toute irritée après les différents ramonages qu'elle avait subi. Elle parla d'une voix rauque.

"Ma déesse ... c'est ... un honneur que d'avoir reçu votre bénédiction."

Obéissante, la prêtresse frémit en entendant a suite. Elle se mit difficilement à quatre pattes et releva ses fesses pour les offrir à Lust qui lui arracha un rire presque démoniaque quand elle lui empoigna les cheveux. La pénétration qui suivit fut un véritable délice. Le sexe de la déesse s'empara du rectum de Sally et s'enfonça loin en elle. La prêtresse se cambra à se briser, la tête rejetée en arrière et maintenue par Lust, comme un cheval tenu d'une main ferme par sa cavalière. Les iris de Sally flamboyèrent d'un rose aussi envahissant que celui de l'inmon. Son corps était imprégné de la magie de ces lieux. Elle circulait en elle, inondant le moindre atome de matière, terminant de corrompre positivement la prêtresse. L'image d'Ares se dilua dans son esprit pour disparaitre. Il n'était plus rien d'autre à présent qu'une chose inutile, remplacée par l'icone bienveillante d'Aphrodite.

Sally se remettait doucement, Lust l'aimant tendrement.

"Oui ... Oui! Je le mérite! Je serais une mère dont tu serais fière. Notre enfant accomplira de grandes choses et auréolera Terra de ton pouvoir."

Elle donna un coup de reins en arrière et la queue de Lust lui perfora les entrailles, remplissant son rectum de tout son épais volume.

"Je suis ta salope! Je veux être la première des salopes."

Voilà l'ambition qu'elle se fixait. Ses iris naturellement rouges prirent définitivement cette teinte rose qui s'y mélangea. Un rictus de plaisir barra le joli visage de l'humaine et elle tendit une main pour saisir le sexe de Samsha et l'enfourner dans sa gorge. Le membre la déforma et Sally déglutit salement tout en lâchant un nouveau rire étouffé. Elle retrouvait une toute nouvelle vigueur et donna des hanches et de la tête pour inciter les deux divinités à la traiter en tant que telle.

Pour Sally, c’était l’heure du changement, l’ouverture d’un nouveau plaisir et de nouveaux horizons infinis. Aphrodite percevait autant le désir sexuel que l’ambition de cette femme, et cela la motivait. Aphrodite n’y voyait en soi aucune objection. Une femme ambitieuse était nettement préférable à une femme serviable, corvéable, qui n’avait que pour seule ambition de se marier à un homme. Ici, elle sentait le désir de Sally, sa soif, son envie, et cela ne pouvait que la motiver. Elle la prenait en levrette, s’enfonçant dans ses fesses, grognant et soupirant longuement, son long membre remuant profondément dans le cul de Sally. La jeune prêtresse commençait à succomber au désir, ses yeux virant au rose, et, quand Lust caressa son pubis, elle put sentir que l’inmon continuait à briller.

« C’est très bien, ma petite salope… Tu commences à porter ma marque, mon signe… Laisse la luxure t’envahir, laisse-là te dominer totalement, renonce à toute vertu et à toute retenue pour devenir une salope intégrale ! »

Aphrodite continuait à la prendre. Le temps n’avait plus d’importance, ni même la fatigue physique ou musculaire, car seul le plaisir dominait. Un plaisir enivrant, nymphomane, qui dominait totalement la belle Sally. Impossible pour elle d’y résister, et Aphrodite se pencha vers elle.

« Tu convertiras toutes tes sœurs, ma chérie… Toi, ma Prêtresse, tu les convertiras à la Luxure… »

Cette luxure, elle la sentait en Sally, prête à exploser, prête à se manifester sous sa forme la plus primaire, la plus éruptive, la plus délicieuse ! La sodomie continuait à s’étirer, tandis que le décor changeait encore. Quand Aphrodite se mit à jouir à nouveau, Sally s’affala sur le sol. Un sol qui évolua encore, tandis que des bruits de pas résonnaient autour d’elle. La jeune prêtresse reprenait son souffle, tout en entendant les bruits de pas.

« Ton initiation à la luxure ne fait que commencer, Sally… Pour faire de toi une Prêtresse de Luxure, il va falloir un long entraînement. Fort heureusement, je dispose de grands garçons prêts à m’aider. Ce sont cinq de mes enfants. »

Cinq hommes musclés et sexys qui se dressèrent devant Sally, formant la « Main de Lust ». Ils étaient devant elle, tandis que Sally était couchée sur le lit, et qu’Aphrodite, assise derrière, les observait lentement.

« Mes cinq garçons vont te faire l’amour comme tu n’as jamais pu l’imaginer, Sally…
- Ce sera un honneur, Mère.. » glissa le Maître.

Des cinq, il était visiblement le meneur, puisqu’il se pencha vers Sally, et l’embrassa chaudement…

Dans l’atmosphère unique et nouvelle qui l’entourait, Sally ne remarqua pas les changements fondamentaux qui s’opéraient au plus profond de son être. La sulfureuse prêtresse passait de furieuse guerrière à salope invétérée entièrement dédiée à répandre la parole et les exigences d’Aphrodite. Son essence même mutait au contact permanent de la magie rose et ses cellules s’animaient d’un lien uniquement tourné vers le développement de ses capacités sexuelles. Sally Whitemane était profondément perverse de nature et c’est justement cette perversité qui lui permettait de s’accoutumer aussi bien à sa présence en Lust’ghaa. Cette dernière chevauchée avec Aphrodite et Samsha lui permit encore de se gaver de sperme divin, ce qui renforça encore la progression de son inmon. Une partie de cette semence sacrée fut assimilée par son corps et renforça plus encore la puissance du jeune inmon.

Au sol après avoir servi de purge aux déesses, Sally peina à se relever mais fit bonne figure en réussissant à se trainer sur le lit. Son regard capta au loin, par l’ouverture donnant sur la pièce, les flamboiements sombres, synonymes des dangers qui menaçaient Terra et contre lesquels luttaient les prêtresses de Lust. La vue de ce chaos ne fit que renforcer sa volonté et elle leva fièrement le menton en écoutant la déesse s’exprimer.

"Je ne te décevrais pas déesse !"

Son arrogance l’incitait à tutoyer l’être divin mais rien n’enlevait le respect et la vénération qu’elle lui vouait. Et quand les cinq magnifiques mâles entrèrent, elle en frémit d’anticipation et ses pupilles brillèrent d’un rose vif qui en submergea le rouge. Elle se passa la langue sur les lèvres et écouta religieusement la déesse parler. C’était un immense honneur qui lui était fait. Après Samsha, on lui offrait la possibilité de s’accoupler avec d’autres enfants de Lust, et parmi les plus beaux spécimens qu’elle eut jamais vu. Elle aurait voulu remercier Aphrodite pour ce présent inestimable mais n’en eut pas le temps. L’un des hommes, celui qui avait une aura masculine surdéveloppée vint l’embrasser. Elle s’était assisse sur le bord du lit et il se pencha sur elle pour glisser sa langue dans sa bouche. Il était beau et elle lui palpa les fesses pour confirmer qu’il était aussi ferme et musclé qu’il le paraissait, ce qui était bien le cas. Elle saisit ensuite le sexe de l’homme et le branla pour le faire durcir. Le matelas bougea, indiquant que d’autres y montaient et des mains la caressèrent, suivant les courbes de ses épaules, de ses hanches et de son dos. Une main puissante réunit sa longue chevelure blanche en queue de cheval et lui tira la tête en arrière. Sally se cambra et vit le plus massif des hommes derrière elle. Il la tira pour qu’elle s’abaisse vers lui mais elle résista, masturbant toujours le premier et s’agrippant à son sexe des deux mains. Elle parvint à se libérer de la poigne d’acier, elle aussi étant forte et elle adressa au colosse un sourire aussi adorable que pervers.

"Il faudra m’y forcer et me partager…"

En face d’elle, l’homme, peut être le leader des cinq, bandait à présent. Elle le tira à elle et glissa sa queue entre ses seins énormes et le ceintura de ses bras. Les masses chaudes de ses loches l’enveloppèrent et il put donner des hanches pour en profiter pleinement. Derrière elle, le colosse n’avait pas dit son dernier mot et ne comptait pas attendre. Il enroula les cheveux de neige autour de son sexe et se branla contre la nuque de la jeune femme à défaut de lui baiser la bouche comme il le voulait initialement.

Sally la salope était forte mais ils étaient cinq. On la força à lâcher son premier amant et ses doigts trouvèrent deux autres queues à satisfaire. Elle les branla aussi, fort, tirant la peau fragile recouvrant les glands vers l’arrière, les irrita de ses ongles et les serra à les faire exploser. Là, elle était totalement dans son élément. Des orgies comme celle-ci où elle s’offrait à de nombreux jeunes hommes en même temps, elle en vivait chaque mois au couvent dans ses appartements privés. Elle raffolait de ces séances de baise dont elle sortait toujours couverte et gavée de semence.
Oui ils étaient cinq et elle les voulait tous en elle en même temps. Ses orifices allaient être mis à rude épreuve mais elle en avait l’expérience. Sa bouche, son cul, sa chatte, elle en voulait partout, qu’elle soit comblée comme un objet de plaisir.

"Plus fort !!"

Elle ordonnait, intimait ! Le leader lui baisait les seins furieusement et elle espérait qu’il lui gicle à la gueule, comme il le ferait avec une catin des rues.

Les cinq hommes étaient tous redoutables. Ils avaient chacun une personnalité distincte, mais ils étaient tous les enfants de Lust, formés par leur mère, et éduqués à plaire à n’importe quelle femme. Des cinq, le plus dominant était celui qui s’appelait « Le Maître », tout simplement. S’il avait un nom de baptême différent, seule sa mère semblait devoir le connaître. Son plus proche « rival », pour le dire ainsi, était sans aucun doute Carlnes, un homme très bien bâti, musclé et massif. La Main se composait du Maître, et d’un double couple de dominants et de dominés : Audec et Carlnes d’un côté, Gareth et Sarvaney de l’autre. Ce fut donc le Maître qui se rapprocha le premier de Sally, lui souriant brièvement, avant de la laisser le masturber. Il renifla son cou, et l’embrassa ensuite, posant une main sur sa nuque. Leurs lèvres se pressèrent l’une contre l’autre, et Le Maître soupira doucement à son contact.

« Je sens l’odeur de Mère partout sur toi, ma belle… Sache que Mère ne nous envoie que très rarement tous les cinq, et c’est souvent sur quelqu’un qui fait secrètement partie de notre famille. Tu comprends, un seul d’entre nous est déjà très épuisant, alors les cinq à la fois… »

Dans le dos de Sally, Audec cherchait à forcer le passage, tirant sur les cheveux de Sally, qui se débattait. Elle parvenait plus ou moins à conserver le contrôle, leur montrant qu’elle était forte, ce dont ils ne doutaient toutefois pas vraiment.

« Une vraie tigresse… s’amusa Audec. Je comprends pourquoi Mère l’apprécie. »

Une femme d’autant plus surprenante qui demanda les cinq en même temps. Le Maître soupira lentement, et sourit alors, tandis que sa verge se perdait contre les seins de la femme. Les trois autres se rapprochaient, et il relâcha sa crème sur ses seins, jouissant sur son visage. Son érection ne diminua toutefois nullement, confirmant qu’il pouvait contrôler son désir à la perfection.

« Tous les cinq, hein ? Est-ce de la luxure, ou de la gourmandise ?
- Elle est chaude comme un volcan, cette petite pute ! sourit Carlnes.
- Ce corps parfait, putain… »

La Main se positionna donc, tandis que Sally avait, entre ses seins et jusqu’à sa tête, une crème blanche poisseuse et collante. C’était sa marque, tandis que les quatre se déployaient. Tous les cinq en même temps ? C’était possible… Audec commença par s’asseoir sur le lit, sa verge joyeusement dressée.

« Une seule femme pour cinq hommes, donne-nous tes directives… Tu veux que ce soit moi ou Carlnes qui nous couchions, ou nos deux petits-frères ? Nous, on est beaucoup plus brutaux qu’eux, donc, si c’est nous qui sommes au-dessus et eux qui sont couchés, tu vas joyeusement morfler… Mais peut-être est-ce cela que tu souhaites ? »

La première étape du rodéo serait de coucher l’un des hommes pour que Sally s’empale dessus avec son cul. À elle de choisir entre Carlnes ou Gareth…

Ainsi, c’était la meilleure des situations dans laquelle pouvait se retrouver Sally Whitemane. Elle ne se sentait jamais mieux qu’entourée de beaux athlètes musclés et nus prêts à la défoncer. Au couvent, à Mijak, très peu d’élus avaient réussi à la mettre à genoux, éreintée et incapable de continuer. Là, devant ce parterre de mâle exceptionnels, elle savait déjà qu’elle allait sévèrement dérouillée. Mais après ce qu’elle venait de vivre, il allait falloir qu’ils soient durs et particulièrement abrupts pour la contraindre à s’abandonner et accepter non pas la défaite, mais la concession. Elle les caressa tous, palpant des muscles fermes et des sexes tendus. Elle les branla tous et à chaque fois, se lécha les mains après pour en déterminer la saveur. Celle du petit blond lui plut particulièrement et elle s’adressa à lui avec un sourire carnassier.

"Toi, j’adore ton goût. Tu ne te videras que dans ma bouche pour que j’avale ton nectar."

Puis elle reporta son attention au maitre, celui qui s’était purgé sur son visage et ses seins et qui était toujours collé à elle.

"Deux déesses viennent de me baiser la chatte en même temps, bel homme, et je suis encore debout. Il va falloir être très très physique avec moi …"

Sally ne manquait pas de respect envers Aphrodite en se gargarisant ainsi, non, au contraire, sa voix vibrait de fierté d’avoir été choisie, baisée, et d’avoir fait honneur à la grande maitresse du sexe et de la luxure. Mais aussi, elle indiquait qu’elle était prête à tout et qu’elle ne refuserait rien.

Les cinq hommes sentaient chez cette femme une pointe de Luxure très impressionnante. C’était une perverse, et sa rencontre avec leur mère n’avait fait que révéler ce potentiel latent. Ils étaient donc tous passablement excités, et Sally put vite constater qu’ils étaient très endurants. Elle avait face à elle cinq des enfants d’Aphrodite. La Déesse avait un nombre très élevé d’enfants, et elle-même ignorait leur nombre exact. Les Dieux étant capables de s’incarner dans des humains, d’avoir des « avatars », il arrivait parfois à Aphrodite de dé »couvrir qu’elle avait des enfants, plusieurs années après leur naissance. Mais ces cinq-là, elle les avait conçus elle-même. Ils étaient tous sortis de son ventre, dont deux la même année (Audec et Le Maître). Autant dire qu’elle n’avait pas chômé. Carlnes, le plus âgé du quintet, avait pris sur lui de les former, même si l’esprit de domination s’était surtout affirmé chez Le Maître. Rien de bien surprenant, vu que son père était un Prince Infernal de l’Orgueil. Le Maître avait donc hérité de son tempérament.

« Nous avons tous été conçus par la Déesse-Mère, mais nos pères sont des Princes originaires de cinq Cercles Infernaux différents. Logiquement, il en faudrait encore deux. »

Aphrodite leur avait souvent dit qu’elle obtiendrait deux autres enfants pour former une bande complète. Servaney, qui était le plus frêle des cinq, était leur benjamin. Le Maître s’amusait donc des réactions de Sally, et il attrapa ses cheveux, la mettant à quatre pattes, puis orienta sa verge vers son cul. Carlnes se rapprocha alors, et s’agenouilla devant Sally.

« Nous allons forger ton inmon, Sally…
- On va surtout te baiser bien fort ! »

Carlnes se glissa alors sous le corps de Sally, et posa ses mains sur les hanches de Sally. Elle n’eut plus qu’à s’empaler sur sa verge, tandis que, dans le même temps, Le Maître orienta son membre proéminent dans le fondement de la jeune femme. Elle se retrouva ainsi prise avec deux puissantes verges qui s’enfoncèrent durement et puissamment en elle. La jeune femme put soupirer, ses mains s’appuyant sur les épaules massives et musclées de Carlnes. Celui-ci posa sa grosse main sur la tête de Sally, et amena son visage contre le sien, ce qui lui permit de partager un baiser des plus sensuels.

Une porte s’ouvrit alors, et deux mains vinrent caresser les verges d’Audec et de Gareth. Une odeur familière, tandis que la silhouette d’Aphrodite émergea. Belle, magnifique, envoûtante et sensuelle, elle avait opté pour une nouvelle forme, et pressa les deux solides verges. Sa venue fit frémir les cinq garçons, et elle croisa le regard de Sally, tout en sentant Audec se lover contre le flanc de sa mère, et glisser deux doigts dans sa chatte trempée.

« Je ne pouvais pas laisser notre invitée s’amuser toute seule avec vous cinq… Comme tu le vois, Sally, mes garçons sont très assoiffés. »

Sa main remonta de la verge de Gareth à ses cheveux, et elle l’embrassa alors, l’amenant contre elle. Elle soupira doucement en sentant ces deux corps musclés (surtout celui d’Audec) contre le sien, leurs mains baladeuses et perverses glissant sur son corps. Elle repoussa ensuite Gareth, qui tomba sur le sol, sa tête à côté de Carlnes. Aphrodite se rapprocha ensuite, et s’empala ensuite sur son fils. Audec se rapprocha, et elle finit à son tour en levrette, proche de Sally. Audec enfonça sa verge dans son cul, et Servaney, resté en retrait, arriva alors avec un objet spécial : un double collier doré relié par une laisse dorée. Il attacha les colliers aux cous de Sally et d’Aphrodite, puis la laissa reliant les deux colliers se rétracta, tant et si bien que les deux finirent le visage accolé l’un contre l’autre. Aphrodite put ainsi l’embrasser, tout en sentant les coups de pilum dans son cul, comme pour Sally.

La verge de Servaney se glissa alors entre leurs lèvres, et il posa ses deux mains sur leurs têtes, remuant doucement.

« Oh, vos lèvres sont si bonnes ! »

Aphrodite soupirait encore, sentant les coups de reins en elle, et lécha avec Sally cette belle verge, impatiente de partager cette semence avec sa partenaire…

The Multiversity

La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

Re: La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]