The Multiversity

Supporter les reines, ensemble, il en fallait du courage. Supporter un assaut mutuel était déjà compliqué, mais ensemble, encore et encore ? Même pour Sya, ce n'était pas si simple. Elle était une grande prêtresse, ayant eu la chance d'apprendre à leurs côtés. Lorsqu'elles sont arrivées ici, les autres cavalières étaient encore jeunes et une bonne partie de leur éducation sexuelle fut d'abord orale, des cours à ne plus en finir sur le sexe. Elles étaient jeunes, elles devaient savoir avant de se lancer dans des exercices plus physiques. Et au milieu de toutes ses juments, pégases et licornes, il y avait Sya. De merveilleux souvenirs doux et tendres. Elle se souvenait de leurs premières érections. Même jeunes, elles pouvaient faire rougir bien des futas bien membrées. Docile comme tout, Sya a pris pour tout le monde, même Fluttershy lui a grimper dessus ! Un vrai plaisir !

Et bien sûr, pour son exercice pratique, Celestia avait laissé l'ange lui faire l'amour. Elle était adorable et encore maladroite à l'époque. Elle a toujours eu la fibre maternelle, même si elle n'était pas de la même espèce qu'elle. Aujourd’hui, elle pouvait survivre à pluviers de leurs assauts avant de dire stop, difficile à dire si Mélinda en serait aussi courageuse, sans regain magique, mais elle n'était pas là pour juger. Les sœurs épouse continuaient de torturer Mélinda de Plaisir, leur énorme queue en elle, se libéra encore et encore de foutre, jusqu'à la rendre dingue puisque c'était tout le désir de leur maîtresse. Sya continuait de garder un œil sur le spectacle tout en se câlinant avec sa consœur, sous le regard et les envies de leur déesse. Lust était tout-puissants, Sya la vénérait plus que raison. Voir Mélinda se faire baiser de la sorte, son autorité ne valait rien dans ce temple, entouré des personnes les plus puissantes au service de la déesse, elle était une enfant face à deux soldates armées jusqu'aux dents.

Elle voyait la vampire jouir, se faire remplir de nouveau, elle aussi, tout ça pour que Mélinda puisse obtenir la joie de porter la vie. Oui, c'était l'épreuve la plus douloureuse au monde que de donner la vie, elle ne le savait que trop bien. Mais face à tout le bonheur que c'était que de voir sa fille grandir et s'en occupée chaque jour, elle comprenait sa maîtresse... L'envie que sa déesse lui donne une nouvelle petite déesse en elle grandissait déjà en elle. À moins qu'elle ne l'offre à Mélinda ? Elle a porté leur petite Elizabeth, est-ce que Mélinda voudrait porter une petite Sya en elle ? Tant d'envies liées aux bébés, Sya ne saurait vraiment choisir quelle envie était la plus intéressante ? Il restait aussi le bébé mystère ? Qui de Lust ou de Mélinda plantera sa petite graine dans son jardin fertile ? Hum, oui... Sya se sentait excitée par tout ça, comme tout le monde ici. Lust était la déesse du plaisir et tout le monde la rendait plus puissante que jamais !

Même Mélinda avait ses limites. Il fallut pas moins des deux Reines de la Cavalerie et plusieurs heures de bourrade pour que Mélinda se trouve à panteler. Aphrodite sentit son esprit divaguer. Elle se retrouva petit à petit dans un état d’extase, avec un ventre bien arrondi. Les Reines avaient longuement joui en elle, et continuèrent encore à la baiser, même quand Mélinda fut épuisée. Cela faisait partie du rituel. Aphrodite observait la scène, et s’en rapprocha, tenant la main de Sya dans la sienne. Pendant cette longue session, Aphrodite avait fait l’amour avec Sya, et avait souri en sentant le désir de procréation de la jeune femme. Aphrodite rejoignit une Mélinda complètement épuisée. Elle était dans cet état second où elle n’avait plus vraiment conscience de ce qui se passait.

« Eh bien, cela aura mis du temps, mais nous y sommes arrivées ! Maintiens-là dans cet état, Sya… »

La magie rose de Sya jaillit, et un glyphe magique situé sous le corps de Mélinda se forma. Un inmon se mit à briller sur le bas-ventre de Mélinda. L’épouse de Mélinda, Vanillia, apparut ensuite. C’était elle qui allait participer à ce rituel, et qui allait ensuite, si tout allait bien, enfanter Mélinda. Aphrodite était également nue, et rejoignit Mélinda. Des infirmières amenèrent également une table d’opérations avec une centrifugeuse située dessus. Aphrodite s’allongea à côté de Mélinda, et Sya put voir Vanillia agir. Les cinq infirmières étaient bien connus de Sya, il s’agissait des Nakano. Elles piquèrent leur Maîtresse en enfonçant une seringue dans une veine, la reliant à la centrifugeuse, puis firent de même avec la Déesse.

« Nous allons commencer l’extraction… Sya, les filles, vous devez maintenir Mélinda et Aphrodite en état d’excitation ! »

Sya put sentir la magie enfler autour d’elle. Une verge se forma entre ses cuisses tandis que la machine absorbait le sang des deux femmes. Le liquide rouge fusait dans deux poches au sein de la centrifugeuse. Une fois que les poches se rempliraient, les deux stocks de sang se mélangeraient dans une poche centrale, puis se répartiraient ensuite dans leur organisme. Ainsi, le sang de Mélinda se retrouverait infusé avec celui d’Aphrodite. Un rituel liant magie, alchimie, et dont le cœur central comprenait la magie rose. Tandis qu’une Nakano se rapprocha de Mélinda pour la pénétrer, Sya, elle pourrait prendre Aphrodite. Si Mélinda était dans un état second, Aphrodite était consciente, et sourit à sa belle Ange.

« Viens, Sya… Viens me faire l’amour, ma chérie ! »

Ce fut long, un peu, pour Sya, le sexe n'était long que lorsque la fatigue prenait la place à l'excitation et pour le moment, ça allait aux côtés d'Aphrodite. Elle ne subissait pas la même chose que sa maîtresse donc le rythme était différent. L'ange couchait avec sa déesse, faisant l'amour avec cette dernière en la rendant toujours plus forte et plus belle, son corps était un tableau vierge, où la luxure et le plaisir étaient les pinceaux et les couleurs de l'art qui allait se dessiner. Elle se plaisait à faire toute sorte de choses avec elle, même s'il fallait dissocier les deux visages de sa déesse. Aphrodite la douceur et Lust la luxure. Il était plus simple d'avoir des caresses et des câlins plein de douceur avec Aphrodite qu'avec Lust. La Luxure n'était pas avare en douceur, mais la lenteur était remplacée par la vitesse, la férocité, ce n'était pas un défaut, mais un plaisir différent.

Quand Mélinda était enfin prête pour ça, Sya était désormais seule à s'occuper de sa déesse, mais il fallait passer à la suite. Vanillia était là pour ça, ainsi que la Main de Mélinda. Si c'était pour Sya, sa Maîtresse et ses Maîtresses/amies, ici, en tant que grande prêtresse, ce n'était que des invitées à ses yeux. On pourrait même presque dire que Sya était supérieure à Vanillia ici. Mais son titre de prêtresse, bien qu'elle l'honorait, elle n'avait que peu à faire de l'usage de cela. Aphrodite passait à la suite du procédé, en compagnie de tout ce beau monde.

La Main avait pour rôle de s'occuper de Mélinda, leur maîtresse, et Sya de sa déesse. Ayant décidé avant d'arriver de l'ordre de passage pour cela, pas de courte paille ou de surprise, Ichika fut celle qui se glissa sur Mélinda, s'enfonçant en elle, son entrée était déjà bien ouverte et remplis, mais ce n'était qu'un détail. Mais les quatre sœurs n'allaient pas rester spectatrice, Nino et Miku allaient téter leur maîtresse, Yotsuba fit lécher sa petite chatte juteuse à sa maîtresse et Itsuki guida une des mains de Mélinda entre ses cuisses. Lorsque Ichika aura joui, la roue tournera pour changer un peu même si Miku allait avoir droit deux fois aux seins de Mélinda vue que la prochaine à aller remplir Maîtresse était Nino.

À côté, moins prise par ses amantes, Sya avait Aphrodite pour elle seule, elle chevaucha sa déesse en souriant, ses mains glissant sur sa douce peau tandis qu'elle s'allongeait sur elle pour l'embrasser tendrement.

« Ma déesse... Sya vous trouve toujours aussi belle et excitante... Ce sera un honneur pour moi de vous faire l'amour. »

Dans le sens ou cette fois, elle pourra la pénétrer. Ce n'était pas rare, mais Sya était du genre à préférer le contraire, sentir sa verge en elle que d'user la sienne, mais, tel le rôle esclave/dominante, il était bon parfois d'inverser. Surtout quand il s'agissait d'un ordre divin. Délaissant ses jolies lèvres, elle glissa le long de son corps et sa verge, loin d'être énorme et épaisse mais plutôt bien membrée vue sa carrure, pénétra les lèvres intimes, divines, de la déesse et Sya commença à lui faire l'amour. Son magnifique corps encore exposée sous ses yeux, son utérus chaleureux et doux, ses chaudes cuisses. Sya usa de sa magie et ses cheveux venait saisir une des jambes d'Aphrodite pour amener son pied vers elle, le léchant sous les yeux de sa déesse, dessous, les orteils, elle était dévoué corps et âme, aimant sa déesse comme personne ne l'aimeras. Aucune déesse ne saura l'égaler en amour reçu. Jamais elle n'aimerais une déesse plus grandement qu'elle.

« Hmmmm, Aphrodite... Votre chatte si chaude... hum, est parfaite pour ma queue~ »

Elle avait hâte de la remplir, même si ce n'était pas son but, toute cette ambiance, cette « occasion », elle avait envie d'un nouveau bébé de sa déesse... elle voulait encore d'un bébé divin, mais cette fois, en inversant. Elle était bien placée pour ça. Au moins, ça réglera la question de savoir si Sya pouvait planter sa petite graine ailleurs ? Son terrain était très fertile, mais ses petites graines l'étaient elles aussi ou non ? Une jolie petite déesse toute gentille, comme leur Lussya mais, différente ? Oh oui, elle aimerait cette vision...

Le sang de Mélinda filait dans une fiole. La centrifugeuse était alchimique. Vanillia était là pour la superviser. Tandis que les Nakano faisaient l’amour à Mélinda, et stimulaient son sang, elles purent constater au fur et à mesure que la peau de Mélinda devenait blanche, et son corps plus froid. Aphrodite reçut aussi une seringue, et son sang fut également pompé. Étant de nature divine, elle ne fonctionnait pas comme les humains normaux, mais son corps était physique. Son sang était stocké dans une autre fiole de la centrifugeuse. Vanillia avait devant elle un livre alchimique qu’elle avait récupéré dans la bibliothèque de son manoir familial. Les Nakano commencèrent à s’inquiéter en voyant Mélinda cesser de réagir. Samara faisait partie du rituel, et généra un glyphe sous Mélinda, pour la maintenir en vie.

« Il était nécessaire de retirer la quasi-totalité de son sang, les filles, pour l’infuser avec celui de la Déesse Aphrodite. J’espère ainsi… Améliorer la qualité de son sang. »

Pour les Nakano, cela devait être un peu compliqué à comprendre.

« Mélinda ne craint pas la lumière du soleil. Peu de vampires peuvent faire cela. Ceux qui y arrivent sont des vampires améliorés, des Vampires Ascendants, ou des vampires Pur-sang. Les analyses sanguines que j’ai pratiqués sur ma chère Mélinda ont permis de confirmer qu’elle a été mordue par un vampire de cette nature. C’est pour ça que le soleil ne lui fait pas peur. »

Mélinda n’avait jamais découvert qui était son géniteur vampirique, cet élément s’était perdu dans les archives impériales. Elle avait été mordue à une époque où l’Empire était en guerre civile. Devant elles, les Nakano pouvaient voir le sang d’Aphrodite arriver par goutte-à-goutte dans la fiole abritant le sang de Mélinda. Vanillia mettait ensuite dans la fiole des produits de sa décoction, et les mélangeaient ensuite. Mélinda, de son côté, était à ce stade en arrêt cardiaque. Samara la maintenait en vie.

« Toute cette dose de sexe a stimulé ce sang… »

Vanillia continuait à faire travailler le sang de sa chérie. Seul un vampire pouvait comprendre ce qui se passait. Vanillia en versa un peu dans une fiole. Elle connaissait par cœur le sang de sa femme, et avala ce nouveau sang. Elle frémit alors.

« Ouiii… B-Bien plus fort, bien plus savoureux… ! »

Elle sourit.

« Il faut la réveiller… Je vais réinjecter son sang en elle. Ma chère Sya, je sais que tu aimes ta Déesse, mais il faut que tu aides ta Maîtresse à se réveiller. Ma chère femme va progressivement émerger, stimule son corps, et offre-lui ton cou, ton sang va l’aider à se revigorer ! »