Re: Grande Famille [Theorem & Ishtar]
Posté : 03 nov. 2024 12:47
Chengzu s’avéra assez surpris de la réaction outragée de Theorem. Oh, bien sûr, il savait qu’il y avait une tension entre lui et Kimori, mais, de là à imaginer Theorem l’insulter, et aller jusqu’à donner des ordres à Chengzu, il y avait tout de même un pas à franchir ! Surpris, Chengzu haussa les sourcils, tandis que Theorem terminait en évoquant Ishtar. Même Kimori ne savait plus quoi dire. Un léger silence accompagna les phrases de Theorem. Kimori se retenait de dire quoi que ce soit, par peur d’énerver Chengzu, comme si elle se souvenait que, à l’origine, Chengzu était un jeune homme doux, presque niais. Le jeune vampire les observa à tour de rôle, puis entrouvrit les lèvres.
Il se déplaça, et sa main caressa les cheveux de Kimori, puis plaqua sa tête contre son bassin. La jeune femme soupira doucement, rougissant lentement.
« Que dirait Ishtar ? reprit alors Chengzu en citant Theorem. Que dirait Ishtar si tu lui donnais des ordres, Theorem ? Si tu lui ordonnais de congédier l’une de ses amantes pour toi ? Je crois qu’elle te punirait très fort… »
Kimori n’ajouta rien, et frotta son visage contre la pointe de la queue de Chengzu. Sa langue glissa doucement dessus, ainsi que son nez.
« Mets-toi à quatre pattes, Kimori… »
La jeune femme acquiesça, et se mit en position, entre Theorem et Chengzu. Chengzu se rapprocha d’elle, et caressa sa croupe avec son membre.
« Tu dois bien comprendre une chose, Theorem… Nous ne serons jamais un couple normal. Ce que cette colonie a fait de moi est irrémédiable. Jadis, j’aurai peut-être eu des remords à l’idée de baiser cette salope nymphomane devant toi. Maintenant… Cette seule idée suffit à m’exciter furieusement. Je veux que tu regardes, Theorem. Je veux sentir ta déception sur ton regard, ta frustration, ce sentiment de jalousie qui te dévore de l’intérieur… »
Une chose à laquelle Theorem allait devoir s’habituer, puisque, avec l’utérus artificiel relié à son corps, il ne pouvait rien faire d’autre, rien faire d’autre que subir, inlassablement, et faire face à sa condition d’esclave. Et le vampire, effectivement, bandait joyeusement, caressant le cul de Kimori, puis s’enfonça dans sa chatte. Elle couina doucement, et gémit même, fermant les yeux, avant de les rouvrir. Kimori regarda alors Theorem, et lui sourit tout doucement, une lueur perverse dans les yeux.
Theorem n’avait pas fini de souffrir, et Chengzu gifla le cul de la jeune femme.
« Et toi, tu en profites, hein, petite salope ?
- Han, Maître, je suis si heureuse !!
- Hmmm...
- Je ne vis que pour vous, mon Maître, pour satisfaire le moindre de vos désirs ! »
Il ne put que sourire, et fessa encore la belle esclave, continuant à la baiser sous le regard de Theorem…
Il se déplaça, et sa main caressa les cheveux de Kimori, puis plaqua sa tête contre son bassin. La jeune femme soupira doucement, rougissant lentement.
« Que dirait Ishtar ? reprit alors Chengzu en citant Theorem. Que dirait Ishtar si tu lui donnais des ordres, Theorem ? Si tu lui ordonnais de congédier l’une de ses amantes pour toi ? Je crois qu’elle te punirait très fort… »
Kimori n’ajouta rien, et frotta son visage contre la pointe de la queue de Chengzu. Sa langue glissa doucement dessus, ainsi que son nez.
« Mets-toi à quatre pattes, Kimori… »
La jeune femme acquiesça, et se mit en position, entre Theorem et Chengzu. Chengzu se rapprocha d’elle, et caressa sa croupe avec son membre.
« Tu dois bien comprendre une chose, Theorem… Nous ne serons jamais un couple normal. Ce que cette colonie a fait de moi est irrémédiable. Jadis, j’aurai peut-être eu des remords à l’idée de baiser cette salope nymphomane devant toi. Maintenant… Cette seule idée suffit à m’exciter furieusement. Je veux que tu regardes, Theorem. Je veux sentir ta déception sur ton regard, ta frustration, ce sentiment de jalousie qui te dévore de l’intérieur… »
Une chose à laquelle Theorem allait devoir s’habituer, puisque, avec l’utérus artificiel relié à son corps, il ne pouvait rien faire d’autre, rien faire d’autre que subir, inlassablement, et faire face à sa condition d’esclave. Et le vampire, effectivement, bandait joyeusement, caressant le cul de Kimori, puis s’enfonça dans sa chatte. Elle couina doucement, et gémit même, fermant les yeux, avant de les rouvrir. Kimori regarda alors Theorem, et lui sourit tout doucement, une lueur perverse dans les yeux.
Theorem n’avait pas fini de souffrir, et Chengzu gifla le cul de la jeune femme.
« Et toi, tu en profites, hein, petite salope ?
- Han, Maître, je suis si heureuse !!
- Hmmm...
- Je ne vis que pour vous, mon Maître, pour satisfaire le moindre de vos désirs ! »
Il ne put que sourire, et fessa encore la belle esclave, continuant à la baiser sous le regard de Theorem…