The Multiversity

Adrien n’arrivait plus à savoir où donner de la tête. Theorem était… Si excitant, si parfait ! Il avait déjà eu de sacrés coups, mais celui-là dépassait ses espérances ! Il le suçait avec une aisance naturelle, admettant sans objection et sans aucun problème ses fantasmes, alors qu’Adrien était tenu de les cacher, de les dissimuler à ses parents. Ceux-ci n’auraient jamais accepté que leur héritier puisse préférer les hommes aux femmes, tant ils étaient conservateurs. Avec sa famille, Adrien allait à la messe tous les Dimanche, une messe spéciale, réalisée en latin ! Ici, Chat Noir se laissait aller, et c’était… C’était bon, tout simplement ! Quel pied dantesque ! Sa verge gonflait encore, et il se félicitait d’avoir pris au bar du Lupanoir un élixir d’endurance, qui renforçait sa résistance au sexe, et lui permettait de ne pas jouir trop vite, car, autrement, il se serait déjà vidé dans la bouche de Theorem !

« Que tu es beau… » soupira-t-il.

Adrien n’avait rien d’un dominant, il n’était qu’un jeune homme cherchant à tirer son coup, à trouver des amants potentiels. Son physique de Prince charmant collait à merveille dans cette combinaison moulante en latex, et il vit le regard de Theorem fixer l’objectif du téléphone, enregistrant ainsi de beaux souvenirs. Theorem se laissa ensuite aller. Il mit fin à sa longue fellation, et s’attaqua alors au fessier d’Adrien. Celui-ci sursauta en se redressant un peu, permettant ainsi à la langue de Theorem d’accéder à son fondement.

« Oh, The… Theorem, hmmm… »

En sentant la langue de Theorem s’enfoncer dans son fondement, il grogna. Il sentit la langue écarter ses parois anales, les dilatant progressivement, tandis que le membre d’Adrien se glissait sur le visage de Theorem. Rien de tout cela ne semblait toutefois déranger Theorem, qui continua à enflammer Adrien. Celui-ci avait maintenant très mal à hauteur de son sexe, avec une envie furieuse de sodomiser son amant. Les coups de langue de Theorem continuèrent, lui permettant d’enfoncer sa langue, ce qui pourrait au passage confirmer le fait qu’Adrien s’était déjà fait prendre par là.

Adrien ne jouit pas, mais était maintenant bien chaud. Quand Theorem se retira de son cul, le jeune Français l’observa silencieusement, son cœur battant dans sa poitrine nerveusement.

« Okay, Theorem… Tu es vraiment incroyable... Tu veux voir ce que je peux faire, hein ? Hey, tu ne vas pas être déçu ! Mets-toi en position sur le lit ! »

Le duo rejoignit précipitamment le lit. La démarche d’Adrien était raide, nerveuse, témoignant de son excitation fiévreuse, de son envie furieuse de baiser le beau trap. Theorem se retrouva à quatre pattes sur le lit, et Adrien s’enfonça dans son cul. En d’autres circonstances, il aurait pris le temps de préparer sa sodomie, de lécher ce cul, de le pincer, mais la soif était trop forte, le désir trop élevé. Il le sodomisa avec force, et grogna sur place. Quand sa queue heurta ce cul serré, et qu’il sentit les parois anales de Theorem se serrer sur son membre, Adrien eut comme un blanc. Ses mains tremblèrent nerveusement pendant quelques instants, avant qu’il ne serre ses poings, puis les pose sur le cul de Theorem, crispant ses doigts dessus.

« Hmmm… ! »

Si bon, si bon ! Adrien s’absorbait, disparaissait, son esprit se diluait dans le désir sexuel, il ne faisait plus qu’un avec ça, avec ce sentiment jouissif et agréable de régresser intellectuellement, de ne devenir plus qu’un tas de chair baisant un autre tas de chair… Et c’était magique !

Adrien ignorait tout du glorieux passé de Theorem, et, en ce moment, il pensait surtout à son délicieux cul. Le plaisir le dominait totalement, noyant tout le reste, et lui donnait l’envie furieuse de besogner ce jeune homme. Il le prit donc en levrette, l’écrasant sur le lit en se dressant dans son dos, et frémit en sentant cette exquise douleur. Sa grosse queue se comprimait dans le cul très étroit de Theorem, et il adorait ça. Cette douleur, cette sensation d’étouffement, et le plaisir progressif de voir le cul de son amant s’écarter, de sentir les parois anales se dilater et s’ouvrir. Il s’enfonçait en lui, et, ensemble, ils ne formaient plus qu’un seul être, soudé par le même plaisir vorace et dominateur, uni par une soif de sexe et par le stupre.

« Han, Theorem ! »

Chat Noir s’enfonçait en lui. Adrien était bien doté par la nature, mais il adorait les sodomies. Que ce soit quand lui les recevait ou les infligeait, il adorait cette douleur exquise, cette douleur préhistorique qui faisait totalement disparaître Adrien au profit de Chat Noir, qui effaçait toute civilisation au profit d’un être sauvage et sensuel. Là, comme ça, Adrien se laissait aller, il laissait tout s’exprimer, et pouvait se relâcher. Il n’était plus le jeune aristocrate riche qui devait respecter le protocole, qui devait éternuer dans un mouchoir, se coiffer soigneusement, ou penser à la place des couverts au moment de manger ! Non, là, il libérait pleinement l’homme qu’il était, loin de ce carcan sociétal ! Cette douleur était libératrice, jouissive, et il adorait ça !

Adrien grogna encore en baissant la tête, observant le délicieux cul de Theorem, son corps qui se courbait sur place. Le jeune homme le motivait, et venait de s’agripper à un oreiller. La main d’Adrien se saisit de ses cheveux, et il tira sur sa longue crinière rouge, relevant son visage, et continua ensuite ses coups de reins, giflant le cul de Theorem. Quel amant formidable ! Le brave Français prenait clairement son pied en le besognant de cette façon.

« Hmmm, Theorem, haaaa… »

Il soupirait encore, crachant sa salive, sentant sa queue s’enfoncer de plus en plus profondément, jusqu’à la garde. Sa main caressa encore les cheveux de Theorem, tandis que le latex crissait. Il portait après tout encore sa combinaison, et la chaleur l’envahissait, ainsi que d’agréables, indescriptibles, sensations. Tout se mélangeait dans sa tête, et il s’efforçait de tenir sur la durée. Cependant, ici, au Lupanoir, il existait des produits qui stimulaient et entretenaient l’endurance sexuelle. Adrien pouvait continuer son office, soupirant longuement.

Les minutes passaient longuement, avec énergie, tandis que la chair claquait contre la chair. Adrien adoptait un rythme solide et intense, crispant ses mains sur les fesses de Theorem, remontant pour caresser ses hanches, absorbé par la vue de ce corps magnifique qui se dandinait devant lui.

« Oh, Theorem… »

Pour Theorem, la nuit se termina. Comme à chaque fois, il allait remettre l’argent dans le coffre-fort situé au bureau de Chengzu, jouxtant une chambre. Ce fut une nuit très intense pour Theorem, et, quand il entra dans le bureau, il pourrait voir que la porte de la chambre était entrouverte, et qu’un rai de lumière s’en échappait. Des bruits de pas se rapprochèrent, et la porte s’ouvrit ensuite, libérant Chengzu. L’amant et Maître de Theorem lui sourit doucement.

« La nuit a été bonne, Theorem ? »

Theorem lui présenta les billets qu’il avait accumulés, et Chengzu hocha la tête, un sourire admiratif sur les lèvres. Il portait sa tenue habituelle, comprenant un gilet noir en latex avec une veste, des gants, et un chaps libérant sa belle verge. Il attrapa les billets, et ouvrit le coffre-fort, puis rangea les billets dans une boîte.

« C’est une affaire qui marche vraiment très bien, Theorem. Les clients t’adorent, et, après l’accouchement, tu étais très réclamé. Je sens sur toi l’odeur de beaucoup de personnes… »

Chengzu referma la porte, puis fit signe à Theorem d’approcher.

« Je t’ai acheté un petit cadeau avec l’argent que tu as rapporté… »

Il entra dans la chambre. Il l’utilisait plus rarement, maintenant, car il dormait surtout avec Ishtar, couchant avec elle et leurs nombreux esclaves, mais cela ne voulait pas dire qu’il négligeait ses responsabilités. Il était le directeur du Lupanoir, et collectait à cet effet l’argent rapporté par le bâtiment de Theorem. Un joli paquet-cadeau assez grand se trouvait sur le sol, devant le lit. Il laissa Theorem le déballer lentement, et en profita pour le reluquer discrètement. Très rapidement, sa vere retrouva sa dureté habituelle face à son Theorem. Le cadeau n’était pour une fois pas uniquement sexuel.

C’était une très belle guitare électrique, et Chengzu sourit doucement quand Theorem se retourna vers lui.

« Tu voulais organiser des concerts au [/i]Lupanoir, non ? Alors, avec ton argent, je t’ai acheté ça. J’ai trouvé des candidats potentiels pour fonder un groupe, on verra plus tard ce que tu en penses. »

Il se rapprocha de lui, et l’embrassa doucement sur les lèvres, tandis que sa verge se frotta contre la cage dorée recouvrant la verge de Theorem.

« Maintenant, je vais te présenter ton autre cadeau… Mets-toi à quatre pattes sur le lit ! »

Jadis, il aurait pu se sentir offusqué que tant d’hommes soient passés sur son Theorem. Mais, maintenant qu’il était devenu un vampire, et que la luxure avait grandi en lui, il voyait ça comme une sorte de défi amusant, comme pour rappeler à Theorem quelle était la queue qu’il préférait… Alors, Theorem se positionna, et Chengzu le rejoignit, venant enfoncer sa vigoureuse trique en lui, le sodomisant avec énergie.

« Oh, j’aime toujours autant ton cul… Hmmm… Mon beau Theorem… ! »

Il grogna doucement en continuant son office. Terminer cette dure journée de labeur par une sodomie prodiguée par son Maître, qu’est-ce que Theorem pouvait demander de plus ?