The Multiversity

[Reine Alice Korvander]

Qui aurait cru que la timide Arisa puisse se lâcher autant ? Ichiro-sensei en était tout simplement ravi ! Sa grosse queue juteuse s'élançait durement dans son petit cul. La douleur était exquise, désinhibitrice. Il se libérait pleinement, et continuait à la dominer, l'écrasant contre le bureau. La jeune femme se tortillait sur place, et il déplaça sa main, agrippant sa hanche d'une main. Ses doigts s'enfoncèrent dans sa chair ruisselante. Ses doigts étaient moites, et il suait abondamment. S'écrasant contre Arisa, son ventre heurtait son dos, et il suait encore, grognant sur elle. Son autre main se plaqua sur le bureau, et se déplaça encore, venant pincer son sein. Ichiro-sensei grognait encore, et se redressa un peu ; l'emmenant avec lui... Puis la plaqua à nouveau en avant. Le bureau trembla sur place, et Ichiro-sensei continua à remuer en elle. Il suait fort, haletant, grognant, crachant même un peu de salive dans le cou de la jeune femme, qui continuait à gémir, et à hurler, se tortillant sur place.

« Hrrrmpfff... Putain de salope, tu es si étroite, hnnn... »

Il grognait encore, et Arisa pouvait avoir l'impression de sentir un buffle derrière elle. Il la souleva encore, la tenant par la hanche et par le sein, puis se déplaça un peu. Il la força ensuite à s'appuyer contre le rebord du bureau, finissant ainsi en levrette, et grogna alors, s'écartant de son corps en se relevant. Ce faisant, Ichiro-sensei put remuer plus fortement en elle, et claqua plus sèchement et plus fortement le cul de la jeune femme. Des marques rouges se formaient sur son corps, y compris sur son cou, mais aussi sur son sein. Ichiro-sensei accéléra encore, pouvant s'enfoncer plus facilement en elle.

Le professeur était extatique, traversé par ce plaisir immense, cette fierté dominatrice. Il dominait la jeune lycéenne, si introvertie, et qui était maintenant déchaînée. C'était sa chienne, elle était à lui ! Il était excité par tout ça, et continua à la prendre, tirant sur ses cheveux. La jeune femme finit par glisser du bureau, et se retrouva à quatre pattes sur le sol, hurlant et gémissant encore, tandis que lui soufflait et grognait. Tout son corps était devenu rouge. Il était en sueur, suant abondamment, haletant très fort. Plus Arisa hurlait, et plus Ichiro adorait ça ! Il se laissait pleinement aller avec elle, et poursuivit son office.

« Hnnn... Bordel ! »

Ichiro-sensei continua à la prendre pendant de nombreuses minutes. Il grognait donc, encore et encore, se surpassant, sentant l'effet de cette terrible magie en lui, renforçant son endurance sexuelle. Le professeur était massif, et son ventre continuait à rebondir contre elle. En soupirant, il se relâcha enfin. Son corps tressauta sur place, et un vibrant orgasme le traversa. Il se mit à jouir abondamment, jouissant sèchement en elle, répandant d'épais filaments de foutre.

Une jouissance exquise et intensive qui déclencha ensuite en lui un vertige. Il jouit pendant une bonne minute, balançant des giclées de sperme, vidant ses bourses dans le cul éclaté de la jeune femme, et soupira à nouveau. En sueur, Ichiro-sensei ralentit progressivement le rythme, et retira sa verge du cul de la femme, où il se masturba ensuite. Il la força à se retourner ensuite avec son autre main, et la jeune femme se retrouva couchée sur le dos, près du bureau, se relevant lentement.

« Gnnn... »

Ichiro-sensei sentit une nouvelle vague le traverser. Sa main était en sueur, glissant et coulissant sans peine sur sa queue lubrifiée. Il cracha sa semence sur elle, en plein sur son visage, mais aussi sur ses seins. La jeune femme avait droit à un véritable bukkake par un seul amant ! Le professeur cracha sa semence sur son corps, laissant sa signature blanchâtre et visqueuse sur son magnifique corps en sueur, mélangeant le rouge au blanc.

« Oh, bordel... » reprit-il encore, clignant des yeux à plusieurs reprises.

[Chloé Faure]

Arisa était devenue une chienne, la grosse pute personnelle d'Ichiro-senseï, maintenant et à jamais. Si au début elle avait effectivement sentie une douleur lorsque le professeur avait forcé l'entrée de son cul pour la sodomiser lourdement, la jeune femme laissait maintenant échapper de longs et langoureux gémissements de plaisir, en sentant le mandrin long et large de l'homme lui déflorer l'anus, et s'enfoncer au plus profond de son cul. La jeune femme était complètement sous les effets du sorts qui la rendaient docile envers Ichiro-senseï, et qui la dotait d'une nymphomanie en relation avec les envies de son professeur, ses désirs vis à vis d'elle. La douleur était toujours présente bien sûr, il ne pouvait guère en être autrement tant Ichiro-senseï, malgré son physique disgracieux, était monté comme un taureau. Plaquée contre le bureau de son prof, Arisa sentait tout le poids de l'homme s'appuyant contre elle dans son dos, qui la bourrait en faisant rebondir son délicieux petit corps au rythme de ses va et viens, qui étaient profonds, au point que Arisa sentait maintenant les couilles de son prof taper contre ses fesses quand il s'enfonçait au plus profond d'elle. Arisa elle était extatique, mouillait comme jamais elle ne l'avais fait auparavant, surtout lorsque Ichiro-senseï se redressa d'avantage pour pouvoir mieux se positionner, en mâle dominateur en agrippant ses hanches, et en se mettant à la bourrer plus fort encore.

Haaaaaaaan senseï...Oh votre bite elle...aaaaaaah...

Arisa commençait à avoir du mal à articuler tant son prof la prenait fort, envoyant des secousses qui se répercutaient dans tout son corps, qui tapait littéralement contre le bureau, alors qu'il usait de ses mains pour progressivement la déshabiller mais aussi pour abuser de son beau corps de jeune femme. Le vieux pervers malaxait fermement ses seins et ses fesses, les empoignait aussi fort qu'il empoignait ses hanches parfois pour assurer son emprise, laissant de solides marques sur sa peau. Elle était sa chose, il la traitait de tous les noms, et elle aimait ça, elle qui était à peine une heure avant une lycéenne tout ce qu'il y avait de plus timide et introvertie.
Au bout d'un long moment Ichiro-senseï se sentit d'humeur à changer légèrement de position, et poussa Arisa de sorte à ce que cette dernière ne soit plus contre le bureau, mais au sol, à quatre pattes, et sans jamais sortir sa queue du fourreau de son cul, l'homme continua ainsi à la prendre en levrette, au fil d'une sodomie qui allait en s'intensifiant. A ce stade, Arisa avait perdue une bonne partie de ses vêtements, et ne portait plus que sa mini-jupe de lycéenne et ses collants, qui devaient sans doute exciter le professeur qui ne les lui retira pas. C'est dans cette position, où elle était cette fois vraiment prise comme une chienne, que Arisa fini par sentir son professeur s'enfoncer d'un dernier coup particulièrement brutal en elle, au point qu'elle partit en avant et manqua presque de perdre l'équilibre. Seule la poigne de fer que Ichiro-senseï conservait sur ses cheveux et ses hanches la maintint en position, et derrière elle, la jeune lycéenne sentit l'homme se fourrer bien en elle, et sentit aussi son sexe tressauter en libérant d'épais filaments de sperme chaud et gluant au plus profond de ses parois anales, qu'il tapissa pendant plus d'une minute. Sans voix, Arisa se sentit toutefois jouir une nouvelle fois en silence, crachant quelques filets de mouille depuis sa chatte, car le simple fait de sentir son "maître" jouir en elle devait provoquer chez elle un orgasme en réponse, et la tension de ses muscles contribue à "traire" le sexe de son prof tandis qu'il était en train de jouir dans son cul.

Ichiro-senseï se retira d'elle ensuite, puis sans laisser à Arisa-chan le temps de reprendre ses esprits, il la  força à se retourner pour se trouver allongée dos contre le sol, et commença à se masturber au dessus d'elle. Instinctivement, Arisa savait qu'il allait la combler en lui jutant dessus, et la jeune femme se fit alors bien pute en ouvrant grand la bouche et en tirant la langue, tout en se mettant à malaxer ses seins pour donner à son senseï une belle vue, qui allait faciliter son désir. Cela ne manqua pas, car Ichiro-senseï se mit très vite à jouir, un premier filet de sperme vint la heurter en plein sur le visage, lui arrachant un soupir de plaisir.

Hnnnnn...

Elle ne pouvait parler, car elle tirait la langue dans l'optique ou du sperme tomberait sur sa bouche, et c'est forcément ce qui arriva. Ichiro-senseï se mit d'ailleurs à jouir de façon très impressionante, surtout alors qu'il venait littéralement d'inonder son cul de sperme. De gros filaments de sperme lui tombèrent dessus en mâculant sa peau, l'homme visant d'abord son visage qu'il recouvrit d'une généreuse couche de sperme, au point qu'Arisa devait fermer les yeux. Elle en sentit aussi tomber sur sa langue, ses lèvres, et directement dans sa bouche, mais ne l'avala pas tout de suite. Elle voulait au contraire que Senseï voie bien à quel point il la recouvrait de sperme, et qu'elle prenait son temps pour apprécier le goût de ce qui arrivait dans sa bouche, alors que lui même se mit ensuite à viser la zone de sa poitrine, recouvrant un peu plus partiellement ses seins que son visage, mais tout de même.
Arisa se retrouva bien couverte alors, et resta quelques secondes figée sur place, sentant toute cette crème chaude et gluante sur sa peau qui commençait à couler ça et là, avant qu'elle n'avale le sperme dans sa bouche en déglutissant audiblement. Même si elle avait les yeux fermés car elle avait pas mal de sperme sur ses paupières, la jeune femme "sentait" le regard de son senseï sur elle.

Ohh senseï...comme vous avez joui fort...je suis toute couverte de votre foutre, votre délicieux sperme...aaaaah...

[Reine Alice Korvander]

Ichiro-sensei avait joui comme il n’avait encore jamais joui de sa vie. Quel pied ! Il se sentait investi d’une énergie incroyable, exceptionnelle. L’homme soupirait lourdement, et avait copieusement joui sur le corps et dans Arisa-chan. L’avait-il même rendu enceinte ? Il ne le savait pas trop, et l’idée évoquait chez lui des sentiments confus. Elle était désormais son esclave, mais il adorait la baiser. Et, là, tandis qu’elle l’observait avec ses grands yeux conquis, le visage et le haut du corps couvert de son sperme, Ichiro-sensei songeait déjà à la baiser encore. Son sperme était irrésistible, et Arisa-chan soupira doucement en sentant ce sperme chaud sur ses joues, sur ses seins, commençant à dégouliner un peu. Le « Bible Black » était assurément un livre puissant ! Il collait à merveille à la perversion redoutable du professeur, qui sourit donc, malicieusement.

Sa verge durcit encore, et il constata vite qu’elle avait retrouvé sa dureté naturelle. Sa queue se redressa d’ailleurs, tapant contre son énorme ventre.

« Hué hué, ricana-t-il grassement, cela n’a rien de surprenant, Arisa-chan. Tu as enfin goûté à la queue d’un vrai homme ! Tu m’appartiens, maintenant… Tu es ma petite salope personnelle ! »

Il songeait déjà à la manière dont il allait la marquer. Il se voyait bien lui mettre un tatouage sur les fesses, ou jouer avec sa frustration, en la dotant d’une cage de chasteté, et en attendant qu’elle vienne l’implorer. Il réfléchissait à tout ça en se penchant vers elle, et posa ses jambes à droite et à gauche d’elle. Sa verge caressa ses lèvres, et il laissa Arisa-chan la renifler lentement. Et, petit à petit, une idée supplémentaire lui traversa l’esprit.

Ichiro-sensei sut ce qu’il devait faire.

« Ouvre bien la bouche, ma chérie… Tu aimes ce qui sort de ma queue, hein ? Je me demande jusqu’à quel point tu vas aimer être mon vide-couilles… »

La jeune femme se positionna, s’appuyant sur ses genoux, et la main d’Ichiro-sensei attrapa ses cheveux, les empoignant fermement. Sa queue durcit encore, et, quand il l’enfonça dans sa bouche, Ichiro-sensei se laissa aller. Sa perversion était réellement sans limites, ce qu’il allait démontrer sans aucun doute possible à la jeune femme. Il se mit soudain à uriner en elle, et laissa la vague l’envahir. Sa main se crispa fermement sur les cheveux de sa partenaire, et il se relâcha en elle, répandant son jet doré dans sa bouche.

« Hmmm… ! »

Tout en se laissant aller, il fila en arrière, et commença à lui baiser la bouche, bien décidé à enchaîner ce long jet doré par une fellation des plus rudes et des plus énergiques !