The Multiversity

« Ohh… Natsuki-chan, hmmm… Tu… Tu mouilles, ma Natsuki !! »

Orochi le sentait clairement. Il avait senti le corps de Natsuki remuer, s’adapter à sa grosse queue. Il l’écrasait sur la table, et la prenait sur le devant. Il aurait pu la prendre à l’envers, mais, pour sa première fois, il voulait la voir. La belle Natsuki se dandinait devant lui, l’impérieuse verge de son professeur l’ayant défloré. Il avait brisé son hymen, et se retenait de jouir. Il aurait pourtant pu le faire, car il sentait bien que son désir avait atteint le plus haut niveau… Natsuki avait faiblement protesté au début, mais, cette fois, elle gémissait de plaisir. Elle s’unissait à lui, et refusait juste de l’admettre, si timide, si mignonne… Et, à chaque fois qu’elle faisait mine de détourner le visage, Orochi posait sa main dessus, et la ramenait en position.

Elle était ainsi condamnée à le voir. Son gros ventre tapait contre ses cuisses, soulevant la table, la rabaissant sur le sol, les pieds de la table venant racler le sol. Il adorait l’entendre couiner, et, quand il n’immobilisait pas son visage, il la caressait doucement. Son pouce glissa sur les lèvres de Natsuki-chan, et il l’enfonça entre ses lèvres, s’humectant de sa salive, tout en sentant sa mouille glisser le long de sa queue. Il grogna alors, et accéléra les coups de reins, les amplifiant furieusement, maintenant un rythme solide et soutenu. Sa main se déplaça alors, et pinça le sein de Natsuki, tirant sur le téton. Ses seins étaient durcis, joyeusement tendus, exprimant tout le plaisir qu’elle ressentait.

Orochi en était si excité qu’il était ému, et des larmes coulaient le long de son visage tandis qu’il la baisait. Sa queue ne cessait de se perdre en elle, provoquant de multiples claquements spongieux.

« Na-NATSUKI… !! »

Elle couina alors, et il la sentit s’abandonner. Le corps de Natsuki-chan se trémoussa sur place, et il sentit sa mouille affluer sur sa queue. Il grogna alors, et ne put se retenir encore. Depuis trop longtemps, Orochi attendait ce moment, et, après des minutes de baise intensive, il s’abandonna à son tour en elle. Sa grosse queue se tendit, se crispa, et il balança de copieux jets de foutre, éclaboussant l’intimité de Natsuki-chan, se relâchant en elle, tout en grognant silencieusement sur place. Un orgasme si fulgurant qu’il sentit même une seconde couche venir, et jouit encore, balançant de nouvelles giclées de sperme.

Le massif professeur se calma ensuite, respirant lourdement, et attrapa sa petite poupée en sueur. Il la serra entre ses gros bras, et se recula, venant s’asseoir sur une chaise, et tint Natsuki entre ses bras. Il la maintenait contre elle, l’écrasant contre son corps ventripotent. Elle était délicieusement nue, et il caressa d’une main ses cheveux, l’autre s’appuyant sur ses fesses, maintenant encore sa verge en elle.

« Natsuki-chan… Je t’aime, ma Natsuki, ma petite poupée… »

Un tendre baiser se posa sur ses lèvres, tandis qu’il était beaucoup plus calme, massant le dos de la jeune femme.

« Je plaisantais, bien sûr… Jamais je ne ferai du mal à ma Natsuki-chan, tu es si gentille… »

Il la maintenait encore contre lui, et releva son visage, afin de pouvoir l’embrasser plus longuement sur ses lèvres, pressant sa bouche contre la sienne. Croire qu’il en avait fini avec elle serait aussi une très grosse erreur, car, plus que jamais, Orochi avait une furieuse envie de pénétrer Natsuki, et de lui faire encore très longuement l’amour…

Cela faisait déjà la deuxième fois que Natsuki avait eu un orgasme entre les mains d'Orochi-senseï, et ce fait indéniable était en train d'avoir un effet "dévastateur" sur elle. La jeune fille avait été horrifiée, sur sa propre table de cours, de sentir cette même vague monter en elle que tout à l'heure, mais en plus grande, plus impérieuse. La pauvrette avait fait de son mieux pour se retenir, pour ne pas donner cette satisfaction à son professeur pervers, mais ce dernier avait continué à la besogner férocement, à remuer dans sa chatte diablement humide, bien contre sa volonté, son corps la trahissait littéralement. Elle avait donc joui, et cette fois très fort, plus fort en tout cas que lorsque Orochi-senseï l'avait "juste" masturbée à travers sa culotte, la jeune femme s'était fortement relâchée contre son gros sexe planté en elle. La puissance de son orgasme avait été tel que Natsuki avait eu comme un blanc, une longue absence due au plaisir fulgurant que son corps ressenti, tout en se contractant fort, elle ne se rendit compte d'ailleurs que tardivement qu'Orochi s'était lui aussi relâché en elle, sans prendre la peine de se retirer, ou de porter un préservatif.

S-senseï...

Natsuki avait une toute petite voix, tremblante, et déformée par sa respiration haletante. Natsuki avait bien joui, beaucoup même, et elle aussi essouflée qu'en ayant couru un marathon, elle était également en sueur ça et là sur son corps. Mais surtout, elle sentait l'afflux de sperme chaud qui lui avait tapissé l'intérieur de sa chatte. Pour le moment, Natsuki n'en était pas à paniquer car elle avait, fort heureusement, eu ses règles il y avait à peine deux jours...mais si ça devait continuer...
La puissance de son propre orgasme la laissait en tout cas hagarde, et Orochi-senseï n'eut ainsi aucun mal à la manipuler, à la prendre dans ses bras pour qu'il puisse lui même se mettre assis sur la propre chaise d'école de Natsuki, le tout en conservant sa belle élève contre lui, à califourchon sur lui, sans que son sexe ne quitte son antre intime. La pauvre elle était pour le moins sous le choc de sa propre réaction. Ce qu'elle venait de subir était un viol, elle avait à de nombreuses reprises dit non...mais elle ne pouvait se sortir de la tête qu'elle venait de jouir. Dans son esprit, dans sa logique, ce viol aurait du être douloureux du début à la fin, et elle n'aurait pas du ressentir la moindre once de plaisir, à aucun moment que ce soit. Le commentaire de son professeur sur le fait qu'elle mouillait beaucoup résonnait en boucle dans sa tête.

La jeune femme fut sortie de ses pensées lorsque Orochi-senseï vint l'embrasser, d'abord une première fois, puis une deuxième avec un baiser plus goulu, plus intense où il glissa sa langue dans la bouche de son étudiante, qui n'était absolument pas en état de résister. Elle sentait alors tout, cette langue qui se balladait dans sa bouche, mélangeant allègrement leurs salives, sa queue toujours aussi dure plantée en elle, dans sa chatte, baignant dans un mélange de sperme et de cyprine, ainsi que la main de son professeur posée sur son cul qui était partiellement couvert de sueur. De fait, Natsuki avait une bonne partie de son corps nu qui était en contact contre celui d'Orochi-senseï à ce moment, et elle se surprit encore à ne pas ressentir plus de dégout que ça. Pourtant lui comme elle étaient en sueur, mais...elle n'avait pas d'envies de vomir ou quoi que ce soit du genre, alors qu'elle aurait clairement du. Et c'est alors qu'elle se mit à pleurer, juste quand Orochi-senseï arrêta de l'embrasser.

S-senseï je...je...je ne suis qu'une salope...

Voilà que maintenant Natsuki était en train de se rejeter la faute sur elle même pour ce qui venait de se passer.
Mais n'étais-ce pas au fond une partie du plan de son professeur ? En tout cas, elle était en train de pleurer, et culpabilisait énormément.

Orochi reprenait doucement ses esprits, réalisant qu’il venait de jouir dans le corps de son élève. Si la situation aurait pu l’horrifier, sentir le corps chaud et doucereux de Natsuki contre lui contribuait en réalité à faire l’exact opposé. Il avait chaud, et il palpait son corps, la maintenant contre lui. Et il sentit bien qu’elle ne résistait plus vraiment. Elle ne donna pas vraiment suite à son baiser, mais ne le repoussa pas, et se mit au contraire à… À pleurer. Orochi écarquilla les yeux, trouvant cette image absolument déchirante. Natsuki était sa petite poupée, et il posa alors sa main sur son visage, la forçant à le regarder. Son pouce glissa le long de sa joue, et Orochi lui sourit doucement :

« Non, Natsuki-chan, tu es ma poupée, une petite poupée qui découvre son corps de femme. Ce que tu ressens, toutes les femmes le ressentent, Natsuki-chan. C’est normal… »

Orochi lui sourit alors, et déposa un baiser sur son nez. Son autre main caressait encore le corps de la jeune femme, s’appuyant sur ses belles fesses.

« Je suis ton professeur, Natsuki-chan, il est normal que tu prennes du plaisir avec moi. C’est normal, car tu es ma poupée. Et je refuse que tu te considères comme ce que tu n’es pas. Si tu as ressenti du plaisir, c’est parce que, au fond de toi, tu sais que nous sommes faits l’un pour l’autre… Toi pour être ma poupée, et moi pour être ton maître, ma Natsuki-chan. »

Le Japon était encore un pays très superstitieux, où on croyait aux kamis, ainsi qu’à la destinée. C’était après tout par excellence le pays où l’honneur importait plus que sa propre vie. Et Orochi était effectivement son professeur, une fonction que Natsuki devait idéaliser. Il comprenait donc sa confusion, et l’utilisait pour lui. Sa queue tendue se dressait par ailleurs doucement contre les cuisses de la jeune femme, témoignant de son excitation.

Orochi remonta sa main de sa joue pour caresser les cheveux de Natsuki.

« Tu n’es pas une salope, martela-t-il, car tu ne coucheras qu’avec moi. Je suis ton homme, et tu es ma poupée. Nous ferons fréquemment l’amour, Natsuki-chan, et tu n’iras voir aucun autre garçon. Comme ça, tu resteras ma parfaite petite poupée, que j’habillerai soigneusement, et dont je prendrais grand-soin. Tu vas être très bien moi avec moi, Natsuki-chan… Et puis, tu aimes ça, non ? Sentir la grosse queue de ton maître dans ta petite chatte… »

Il sourit encore, de manière plus malicieuse, et déposa un nouveau baiser sur ses lèvres.

« Je t’aime, Natsuki-chan. Oui, je t’aime, ma chérie, comment pourrais-tu être une salope alors que je t’aime, et que tu es ma fille préférée ? Oserais-tu dire que je ne peux aimer que les salopes ? Serait-ce là une forme d’insulte envers ton professeur, Natsuki-chan ? Dis-le donc, Natsuki-chan. Dis que tu n’es pas une salope, mais que tu es ma petite poupée… Une petite poupée prête à tout pour faire plaisir à son Maître, et qui m’aime… Dis-le ! »

Natsuki était très confuse, et en conséquence de quoi, elle était une cible idéale pour Orochi-senseï, qui n'aurait sans doute aucun mal à l'influencer si il s'y prenait correctement. La preuve en était que la jeune femme ne pouvait ultimement pas refuser quoi que ce soit à une figure d'autorité, à aucun moment elle ne s'était réellement débattue, alors qu'intérieurement, la jeune femme savait qu'elle aurait du le faire, mais alors pourquoi ?
La seule explication qui était alors venue dans l'esprit "brisé" de Natsuki-chan était qu'elle devait être une salope, une fille facile qui ne s'assumait pas, et ça aurait pu être là pour le professeur un très bon angle d'attaque, mais il choisi d'en utiliser un autre. Alors qu'elle était nue, en sanglots, et toujours à califourchon sur son professeur, avec sa grosse queue dans sa chatte qui ne dégonflait pas, Natsuki entendit et vit Orochi-senseï commencer à la rassurer...du moins à sa manière.

Le professeur avait choisi donc de faire en sorte d'user de son autorité et de son influence pour que Natsuki commence à considérer que ce qui lui arrivait, était tout à fait normal. Il était normal pour Natsuki d'avoir eu des orgasmes avec son professeur, car c'était ce qu'il était, un professeur. Malgré son éducation stricte vis à vis du sexe, que ses parents lui avaient toujours décrit comme quelque chose de sale sans entrer dans les détails, on lui avait surtout inculquée l'importance d'écouter les adultes, et à plus forte raison encore ce que disaient des professeurs. Orochi-senseï était de plus son professeur principal...alors il devait forcément avoir raison, non ?

Natsuki-chan en tout cas cessa délicatement, doucement de pleurer, à mesure qu'Orochi entreprenait de la rassurer, et de se montrer doux avec elle. C'était...étrange. Ce qu'ils avaient fait était "sale" comme la façon dont ses parents en parlaient, Natsuki et Orochi étaient tous les deux en sueur, et la pauvre jeune fille n'avait jamais eu l'intérieur de ses cuisses et de sa chatte dans un tel état...et pourtant...elle mentirait en disant qu'elle éprouvait du dégoût, car ce n'était pas le cas. C'était très étrange, normalement l'odeur corporelle d'Orochi-senseï aurait du la dégoûter, mais là...ça ne semblait pas l'affecter plus que ça. Pendant ce temps, Orochi continua de lui marteler qu'elle n'était pas une salope, et que ce qu'elle ressentait était normal vis à vis de son professeur, qu'il était normal qu'elle aie joui avec lui, et qu'elle devait savoir au fond d'elle qu'ils étaient faits l'un pour l'autre.

V-vous pensez ?

Sa petite voix était toute douce, encore un peu hoqueteuse car elle se remettait tout juste d'un gros sanglot, mais étrangement les paroles d'Orochi-senseï lui...faisaient du bien, et ce alors qu'il continuait à lui palper son cul, et qu'il avait toujours sa queue dressée enfoncée au plus profond de sa chatte. Il lui caressait en même temps les cheveux, lui déposait de tendres baisers sur le visage, et Natsuki elle était de plus en plus confuse. Est-ce qu'elle aimait vraiment ça ? Pouvait-elle sincèrement le nier ? Elle avait joui, Natsuki-chan ne savait pas ce qu'était réellement un orgasme avant maintenant, et la situation mise à part...ça avait été agréable.
Encore une fois, Orochi lui dit qu'elle n'était pas une salope, car il tenait à ce qu'elle ne se considère pas comme telle, mais plutôt comme sa petite poupée. Cela était en revanche un terme qu'il utilisait depuis déjà un moment pour la caractériser, sa petite poupée. Il lui dit qu'elle ne serait pas une salope si elle ne couchait qu'avec lui, et lui fit à nouveau monter le rouge aux joues en lui affirmant qu'elle devait bien aimer sentir sa grosse queue dans sa chatte.

J-je...

Là encore, pouvait-elle nier ? Natsuki avait eu mal au début, mais son deuxième orgasme était venu alors qu'Orochi avait entreprit de lui faire l'amour là, d'abord sur son bureau, puis sur la table où la lycéenne prenait place tous les jours pour ses cours. Natsuki était de plus en plus confuse, et semblait peu à peu se laisser convaincre par les paroles de son professeur. Puis, après un baiser sur ses lèvres, ce qui la troubla encore plus, il déclara qu'il l'aimait. Natsuki sentit son coeur faire un bond dans sa poitrine. L'idée que son professeur principal soit amoureux d'elle était surréaliste, elle qui était si timide et renfermée sur elle même, mais l'amena alors aussi à se demander, grâce aux manipulations d'Orochi, si elle même n'était pas aussi amoureuse de lui ? Étais-ce possible ? Natsuki n'était jamais tombée amoureuse, et n'avait donc aucune idée d'à quoi ce sentiment pouvait ressembler...peut-être l'était-elle sans le savoir ? Peut-être étais-ce pour celà qu'elle n'avait pas hurlée, et qu'elle avait au contraire éprouvée beaucoup de plaisir à perdre sa virginité avec son professeur ?
Orochi la sortit toutefois rapidement de ses pensées quand, en cherchant à la titiller, il lui demanda si elle ne l'insultait pas ainsi en suggérant qu'il ne puisse aimer que des salopes, ce qui bien évidemment la rendit effrayée sur le coup.

N-non ! B-bien sûr que non Senseï, je...jamais je ne...

Il ne lui laissa toutefois pas l'occasion de finir sa phrase, car il exigea alors qu'elle dise d'elle même qu'elle n'était pas une salope, mais surtout, surtout, qu'elle était sa petite poupée prête à tout pour lui, et qu'elle l'aimait. Natsuki dégluttit alors.

N-non...vous avez raison Senseï je...je ne suis pas une...une salope...j-je suis votre poupée...votre petite p-poupée et...et je ferais tout...t-tout pour vous faire plaisir et-et...et je vous...je vous aime...M-maître...

Cela avait été compliqué pour la jeune femme, car c'était vraiment des obscénités, mais elle venait de le dire. Certes avec des difficultés, et en bégayant beaucoup, mais elle l'avait dit. Elle approcha même son visage de celui de son professeur pour aller coller ses lèvres contre les siennes. La pauvre ne savait bien évidemment pas comment embrasser avec la langue, du coup elle colla juste ses lèvres aux siennes, mais le geste en lui même était très symbolique.
Le signe qu'elle était en train de bel et bien croire, et accepter, ce qu'Orochi-senseï lui disait...

Orochi souriait doucement, ravi. Il vivait une sorte de doux rêve éveillé avec sa Natsuki-chan. Mine de rien, Orochi était plutôt bien payé. Il avait des qualifications, et le lycée Jinmu payait plutôt bien son personnel. Tout cet argent avait été dépensé chez lui, dans l’attente de recevoir sa « petite poupée ». C’était comme si, en son for intérieur, Orochi avait toujours su que Natsuki-chan serait sa poupée. C’était pour ça qu’il avait été voir son dossier médical, afin de trouver ses mensurations, et avait commandé auprès de sites particuliers des tenues sur mesure, rien que pour elle. Et, quand elle se mit à glisser qu’elle était sa petite poupée, et qu’elle l’aimait, avec sa petite voix tremblotante, avec ses rougeurs, ses longs cheveux bruns légèrement défaits, Orochi sentit sa queue durcir encore. Elle se redressa, et Natsuki gémit en la sentant enfler en elle.

Ému, Orochi dut même retirer ses lunettes, et essuya son visage, séchant de ses doigts les larmes d’émotion qui avaient commencé à perler. Il sourit ensuite à la jeune femme, sentant une bouffée d’énergie nouvelle le saisir.

« Oh, ma Natsuki-chan, moi aussi, je t’aime… Oh, si tu savais comme je t’aime, ma poupée ! »

Sa main se saisit de ses cheveux, et il l’embrassa vigoureusement, sa langue s’enfonçant dans sa bouche. Sa queue commençait à lui refaire du mal, tandis que son imagination s’emballait. De fait, son corps se mit à trembler nerveusement, et son autre main se crispa sur le petit cul de Natsuki, serrant la jeune élève contre son corps massif. Il l’embrassa pendant une bonne minute, au moins, sa salive coulant de ses lèvres pour heurter les siennes. Il se pressait contre elle, soupirant encore, longuement, fourrant sa langue dans sa bouche, jouant avec elle. Natsuki-chan couinait doucement, et il se redressa ensuite.

Orochi aurait encore pu la pénétrer, mais il se redressa au lieu de ça. Il caressa au passage le corps de Natsuki, glissant sur sa peau chaude et douce, et descendit ensuite ses lèvres. L’homme l’embrassa sur le ventre, puis lécha ensuite son intimité. Il sentait cette odeur de stupre, ce mélange de sexe, de sueur, et sa langue glissa dessus, recueillant la délicate mouille de la jeune femme.

« Hmmm, tu sens si bon, ma Natsuki-chan… Tu vivras avec moi, désormais, j’ai une chambre pour ma petite poupée, nous dormirons ensemble, oh oui… Je m’occuperai de tes parents, je m’occuperai de tout, ne t’inquiète pas… »

Oui, Orochi ne se voyait pas vivre sans elle, maintenant. Il était trop tard pour faire marche arrière.

« Viens, Natsuki-chan, vois comme tu m’as excité… Je veux que tu embrasses mon sexe, ma petite poupée… Que tu le prennes en bouche, ma petite poupée, et que tu goûtes à ma crème… »

Sur le coup, l’idée de jouir dans la petite bouche d’amour de Natsuki-chan l’excitait férocement…

Malgré ce qui s'était produit, Natsuki ne pouvait pas s'empêcher d'être un peu émue face à la déclaration d'amour d'Orochi-senseï. La jeune femme avait en effet depuis déjà un moment fait une croix sur le fait d'avoir un jour un petit ami au lycée, et pas seulement du fait de la pression que ses parents lui mettaient sur le sujet. Natsuki était bien consciente qu'en comparaison de beaucoup de ses camarades, qui semblaient avoir ses seins gros comme des obus, et des fesses gonflées à l'hélium, et bien elle avait des formes moins impressionnantes. Ce n'était pas qu'elle était plate comme une planche à pain...mais pas très loin, et son absence de forme généreuses couplé à son caractère timide et renfermé, faisait que les garçons l'ignorairent. Alors, malgré le côté très malsain de cette "relation" qui était en train de se tisser, où Orochi abusait clairement de son autorité sur Natsuki, cette dernière était en train de tomber en plein dans le piège.
Elle fût surprise alors par le baiser d'Orochi-senseï. Elle même avait amenée ses lèvres contre les siennes, mais l'homme ne sembla pas vouloir juste se contenter d'un bête frottement de leurs lèvres les unes contre les autres. Ainsi, son professeur força le passage avec sa langue, qu'il alla fourrer dans la bouche de sa jeune élève, qui écarquilla les yeux face à cet acte là encore inédit pour elle.

Hmmm !!!

Natsuki se crispa naturellement, mais parvint à résister au réflexe de fermer sa bouche subitement. C'était la première fois après tout, mais là encore, bien des choses pour Natsuki seraient des premières fois. La sensation d'avoir la langue d'Orochi-senseï dans sa bouche était étrange, surtout qu'il vint jouer avec la sienne, et entreprit ainsi de mélanger leurs salives dans un baiser long et très langoureux. La jeune femme se laissait faire, et fini même par essayer, tant bien que mal, de "suivre" le baiser, mais son inexpérience en la matière la rendait plus passive qu'autre chose malgré ses essais. Cependant, là encore, il était bon de noter que Natsuki ne repoussait pas son professeur, et qu'il s'agissait vraiment d'un résultat de sa totale absence d'expérience similaire préalable.
C'était en tout cas un baiser très humide qu'ils échangèrent tous les deux, et Orochi ne se retira qu'au bout d'un bon moment, avant de se redresser et d'amener Natsuki à faire de même. L'homme retira sa queue de sa chatte, ce qui fit soupirer la jeune femme, comme si du fait de ne plus l'avoir en elle, elle se rendait compte de la "place" que ce sexe prenait. Elle suivait donc les instructions de son professeur, encore un peu dépassée par ce qui se produisait, alors qu'Orochi revint caresser son beau petit corps couvert de sueur. Natsuki s'était faite baiser comme une bête pour sa toute première fois, Orochi l'avait chargée comme un boeuf, lui arrachant sa virginité et la faisant jouir, autant dire que son intimité se trouvait dans un drôle d'état. Orochi justement se baissa vite, et amena à nouveau son visage à hauteur de l'entrejambe de Natsuki, lui faisant écarter ses jambes en position debout pour qu'il y aie accès.

S-senseï...

Natsuki était bien entendu toujours gênée qu'Orochi éprouve une telle...fascination pour son entrejambe, d'autant qu'elle ne s'épilait absolument pas à cet endroit. Ses aisselles comme ses jambes étaient elles parfaitement rasées, mais Natsuki avait toujours trouvée obscène l'idée de s'épiler à cet endroit. Sa touffe de poils pubiens était en tout cas amplement trempée de sa propre cyprine, et elle sentit encore le rouge lui monter aux joues quand Ororchi-senseï commenta qu'elle sentait très bon, même si son entrejambe était couverte d'un mélange de sueur et de cyprine. Le sperme d'Orochi lui en revanche ne suinta pas de l'entrée de son vagin, l'homme avait joui bien profondément dans sa chatte, en plus de laisser un long moment sa grosse queue plantée en elle, empêchant ainsi sa semence de retourner à l'entrée. Quoi qu'il en soit, la jeune lycéenne trembla sur place en sentant la langue de son professeur glisser sur ses poils et contre ses lèvres intimes, et ce visage qui n'hésitait pas une seconde à aller se fourrer entre ses cuisses, encore une fois malgré la présence de poils pubiens.

A-Aaaaah...S-Senseï...

Ne sachant que faire de ses mains, Natsuki serrait ses mains l'une contre l'autre, tout en regardant avec une gêne inégalée l'homme lui lécher la chatte. Il s'arrêta toutefois rapidement, avant de se redresser. Il fallait croire qu'il ne souhaitait laisser aucun répit à la jeune femme, pas une occasion de laisser sa "honte" redescendre, car il lui demanda alors de s'occuper de son sexe.

O-Oui Senseï...

Lécher sa queue, et la sucer...oh seigneur, elle n'avait jamais fait ça ! Certes elle...elle en avait entendu parler ça et là, au détour de conversations où elle ne prenait pas part, mais le faire...
Natsuki déglutit alors, tout en décidant de commencer par la première étape, la plus simple encore, qui était de se mettre à genoux...et là elle écarquilla encore les yeux en se retrouvant nez à nez avec cette bite...massive !

Elle...est est si grosse...

Natsuki n'avait pas encore eu "vraiment" l'occasion de voir et d'observer le sexe d'Orochi-senseï. Certes elle l'avait sentie, contre ses fesses d'abord, puis ensuite dans sa chatte quand il l'avait pénétrée puis baisée, elle avait alors déjà eu une petite idée de la taille de l'engin. Mais là elle se trouvait juste en face de ce gros bâton de chair, qui était long et large, dressé en l'air, suintant encore de cyprine, et une petite goutte de liquide séminal perlait à son bout. Natsuki se rendait donc vraiment compte d'à quel point Orochi-senseï était "monté", non pas qu'elle aie la possibilité de comparer, mais sa queue était indéniablement grosse, et la jeune femme se demandait même comment quelque chose comme ça avait bien pu rentrer dans sa petite chatte. Elle tâcha toutefois de ne pas s'attarder trop longtemps, car Orochi-senseï attendait qu'elle s'exécute.
Alors elle posa ses deux mains sur les cuisses de l'homme, afin d'avoir un appui stable pendant qu'elle était à genoux, puis doucement, approcha son visage. Elle ouvrit sa bouche en l'approchant de la base du sexe, puis sortit sa langue qui entra alors en contact avec la verge de son professeur. Par le biais de sa langue, elle sentit à quel point cette queue était dure, et sensible, puisqu'elle tressauta un peu lorsqu'elle commença à lécher. Des petits coups de langue, timides, mal assurés, alors qu'Orochi sentrait également le souffle chaud de son élève taper contre son sexe. Incertaine quand à la façon de procéder, Natsuki essayait donc, de son mieux, d'improviser, tout en regardant son professeur pendant qu'elle le léchait. Peu à peu, ses coups de langue devenaient plus prononcés, à mesure qu'elle s'habituait à ce contact, et qu'elle s'habituait à ce mélange de cyprine et de sueur qu'elle recceuillait dessus.
Puis, au bout d'un temps, ses carresses buccales la menèrent vers le bout de ce sexe. La jeune femme dégluttit encore, gênée quand à l'idée de le prendre effectivement dans sa bouche et...et de le sucer...mais elle devait le faire. Natsuki déplaça alors fébrilement une de ses mains pour saisir le sexe à sa base, ce qu'elle dut faire à quelques reprises car elle était à chaque fois surprise par la sensation de dureté sous ses doigts, afin d'orienter la verge d'avantage vers le bas. Puis, timidement, elle ouvrit sa bouche et approcha ses lèvres, avant de les refermer dessus.

Hm...

Natsuki était en train d'entamer sa toute première pipe. Là aussi, assez incertaine de ce qu'elle devait faire, elle se dit que ça devait...être comme une sucette ? Ou une glace ? Elle glissa alors sa langue sur le gland qu'elle avait en bouche, récupérant au passage quelques gouttes de liquide séminal gluant, et légèrement salé, sur sa langue.

« Là, ma chérie, c’est très bien… Prends ton temps, Natsuki-chan, c’est la première fois que tu vois une verge, n’est-ce pas ? Renifle-là bien, dépose des baisers dessus, rien ne presse… »

Orochi caressait encore ses cheveux. L’homme pouvait se montrer aussi brutal que patient, et il était en train de vivre un véritable rêve. Il avait si souvent rêvé de ça, de cette scène, d’avoir une élève comme elle, si compréhensive, et qu’il pourrait longuement former. Orochi venait de lui faire l’amour, et son esprit s’emballait en imaginant la suite. La priorité, pour l’heure, était de calmer les parents de Natsuki-chan. Fort heureusement, Orochi avait longuement réfléchi à cela, et il avait tout organisé. Natsuki n’était plus aussi gênée qu’au début, ni aussi indécise, elle acceptait au contraire volontiers l’idée d’être sa petite poupée. Orochi l’avait après tout rassuré, lui expliquant qu’il ne la verrait jamais comme une salope, mais bien comme sa poupée. Et c’était aussi pour ça qu’il se montrait si patient, si calme avec elle.

Il sourit en voyant le regard effaré de la femme, ses yeux s’écarquillant devant sa belle verge. Ce membre veineux se redressait encore, et Orochi devait bien admettre qu’il avait rarement bandé aussi fort… Et ce même alors qu’il venait de jouir ! Mais Natsuki-chan était si belle, si magnifique ! Elle l’excitait furieusement, et il voulait donc la former, réprimant ses ardeurs devant cette scène magique. Natsuki s’appuyait sur ses genoux, ses yeux fixant encore sa verge, la surprise laissant place à la curiosité. Elle se pencha encore, mettant ses seins pointer vers l’avant, et les doigts d’Orochi se crispèrent contre ses cheveux.

L’homme se pinça les lèvres, et poursuivit :

« Vas-y, lèche, Natsuki-chan… Dis-toi que c’est une belle grosse glace. »

Elle le fit donc, donnant une série de délicats coups de langue, rougissant progressivement. Orochi poursuivait son initiation sexuelle avec elle, et adorait ça. Chaque seconde était magique, et elle continuait à le lécher, remontant encore.

« Donne des bisous aussi… Redescends jusqu’à mes testicules, embrasse-les aussi… »

Tout ce dont elle avait besoin était qu’on la guide, et elle obéissait. Elle soupirait, et il sentait le souffle précipité de la jeune femme sur son sexe. Elle embrassait sa queue légèrement moite, jusqu’à déposer également plusieurs baisers sur ses bourses, alternant entre baisers et coups de langue. Orochi en avait le souffle rauque, une excitation fébrile remuant dans tout son corps. Le professeur obèse se forçait à rester calme, car Natsuki-chan était… Tout simplement irrésistible ! Oui, impossible de lutter face à une telle femme, qui s’occupait de lui avec amour, l’excitant fébrilement.

« Là, Na-natsuki-chan, hmmm… »

Natsuki remontait sur sa verge, maintenant. Elle posa sa main sur la base de son sexe, afin de l’immobiliser, son visage se retrouvant juste devant, et l’abaissa donc. Orochi approcha son autre main pour caresser son visage, muet d’admiration et de stupeur devant une telle vue. Son gros sexe était désormais devant les lèvres de Natsuki, qui ouvrit la bouche. Sa langue s’apposa sur la partie inférieure de son sexe, et elle recueillit un peu de sperme. Orochi avait également les joues rouges, et Natsuki fila en avant, venant avaler son membre. Orochi grogna doucement, et ses mains se crispèrent sur ses cheveux.

Il ne comptait pas jouir si facilement, mais l’homme était dans un état de fébrilité rarement atteint.

« Vas-y, suce, ma Natsuki, suce bien, ma petite poupée… Pousse en avant, et respire par le nez, d’avant en arrière… »

L’éduquer devenait de plus en plus dur, tant elle l’excitait. Il l’entendait soupirer, et ses couinements étaient délicieux. Impossible pour elle de faire marche arrière, car il retenait sa tête, la serrant entre ses mains, l’empêchant ainsi de pouvoir se reculer. Elle était donc contrainte de le sucer, de prendre sa queue en bouche, et de pomper son dard.

Une situation particulièrement exquise pour Orochi, qui allait bien finir par en jouir dans la bouche de sa chérie…

Natsuki était désormais dans une impasse à laquelle elle ne voyait pas d'autre alternative que de faire ce qu'Orochi-senseï lui ordonnait, il était en effet bien trop tard maintenant pour qu'elle puisse faire marche arrière. Si encore, lorsque son professeur avait commencé à la molester, elle avait été directement se plaindre, sans doute rien de tout ceci ne se serait produit. Seulement voilà, Natsuki avait joui avec Orochi, qui lui avait pris sa virginité et...et elle avait joui. Elle était maintenant certaine que si elle tentait de faire marche arrière, son professeur lui pourrirait la vie sans l'ombre d'un doute, et Natsuki n'était juste pas prête à affronter le regard des autres si leur affaire venait à se savoir. Même si elle était clairement une victime dans cette histoire, Natsuki savait à quel point les autres pouvaient être prompts à juger, à tirer des conclusions hâtives, et tout simplement à avoir des boucs émissaires, et la pauvre voulait juste que rien de tout ça ne se sache.
Alors...alors elle suça son professeur, car c'était ce qu'il exigeait d'elle. Natsuki se rendit vite compte qu'Orochi-senseï se montrait plus doux quand elle lui obéissait, alors face à une situation qu'elle ne pouvait pas changer, la lycéenne avait décidée d'opter pour le "moindre mal". Elle avait d'abord passée un long moment à lécher le sexe de son professeur, et ses testicules aussi, malgré la présence là d'une touffe de poils pubiens. Natsuki n'arrêtait d'ailleurs pas de se surprendre, notamment en n'éprouvant pas tant de dégoût que ça face à l'acte qu'elle était en train de faire. Elle déposait des baisers et des coups de langue sur le sexe tendu et gros de son professeur, pareille chose aurait du la faire vomir, surtout vu la forte odeur de sexe et de sueur qui s'échappait de son professeur...mais ce n'était pourtant pas le cas. Intérieurement Natsuki se posait donc beaucoup de questions, entre autres quand au fait qu'Orochi-senseï avait...peut-être raison.

*Et si...et si j'étais vraiment faite pour être sa poupée ?*

Car oui, le procédé de manipulation de l'homme était en train de fonctionner sur Natsuki, qui de victime non consentante, était en train de devenir progressivement soumise à son professeur et "maître". Elle se surprenait à apprécier les compliments qu'il lui donnait, alors qu'elle faisait timidement sa première pipe, Orochi l'encourageait et lui donnait des instructions, qu'en bonne élève appliquée elle suivait. C'était donc presque comme suivre assidument un cours et faire un exercice, à ceci près que...Natsuki était en train de sucer un sexe.

Hmmm...

La jeune femme prenait maintenant la grosse bite de son professeur dans sa petite bouche, qu'elle devait d'ailleurs ouvrir bien grand pour pouvoir le prendre entre ses lèvres. Avec sa langue, elle pouvait sentir à quel point cette bite était toute dure et tendue, et elle faisait donc comme une glace, comme il lui disait de faire. La jeune élève remuait donc sa tête d'avant en arrière, et elle sentait les mains d''Orochi-senseï se crisper sur ses cheveux, lui interdisant de se retirer. Natsuki levait d'ailleurs continuellement son regard vers son professeur, qu'elle suçait, tout en maintenant l'une de ses délicates mains à la base de ce sexe. Certes, Natsuki était bien loin d'être expérimentée, et cette pipe n'était donc pas parfaite, la jeune élève était loin de pouvoir enchaîner les gorges profondes, chose qu'elle ne tentait d'ailleurs même pas. Néanmoins, elle était docile, et obéissait aux ordres de son professeur, dont le sexe commençait maintenant à se couvrir de la salive de la jeune femme, qui le suçait du mieux qu'elle le pouvait.

*Cette chaleur...elle reviens...*

Natsuki recommençait, à son plus grand désarroi, à se sentir excitée. Sucer la queue de son professeur, l'avoir dans sa bouche, ne la laissait donc pas de marbre, mais elle n'osait pas glisser sa deuxième main près de son intimité pour se masturber, elle n'aurait de toutes façons pas su comment faire, c'était dire à quel point elle était innocente ! En revanche, elle sentait ses petits seins être très tendus, et lui faire un peu mal, mais elle maintenait son autre main sur l'une des cuisses d'Orochi-senseï, sans doute instinctivement pour qu'il ne lui vienne pas l'idée de vouloir s'enfoncer d'un coup en elle, ce qu'elle n'aurait en revanche pas supportée.
La jeune femme allait déjà devoir subir sa toute première éjaculation dans sa bouche, chose que là aussi, elle n'arriverait pas à gérer faute d'expérience, mais aussi car son professeur jouirait sans doute, et tout simplement, bien trop de sperme pour que sa poupée puisse avoir le réflexe de tout avaler.

Orochi vivait un rêve éveillé. D’ailleurs, tout se déroulait encore mieux que dans ses meilleures projections. Il s’était imaginé la séquestrer, la menacer encore, lui hurler dessus, même… Mais Natsuki-chan avait finalement accepté plutôt naturellement son statut de « petite poupée ». Pour Orochi, c’était un signe. Les Japonais restaient encore relativement superstitieux, et, pour lui, la facilité avec laquelle Natsuki-chan acceptait de coucher avec son professeur, lui obéissant spontanément, et jouissant même sous lui, était le signe qu’ils étaient destinés à être ensemble par les Dieux. Peut-être qu’un kami venait de les bénir ? Orochi se sentait délirer, s’emportant dans ses fantasmes au fur et à mesure que les doucereuses lèvres de Natsuki-chan glissaient sur sa verge. Sa grosse queue assoiffée était en train de se tendre, de gonfler, de durcir furieusement. Il la laissait faire, caressant ses cheveux, et sourit en la voyant rougir. Elle prit ensuite sa queue dans sa petite bouche, et il grogna encore, sentant sa tête onduler d’avant en arrière.

Cette vision était magique. Il voyait sa tête s’écraser contre son gros ventre, repartant ensuite. Elle s’appuyait sur ses genoux, et était tellement concentrée dans son office qu’elle ne le regardait même pas. Non, elle se concentrait pleinement et totalement sur ce qu’elle faisait, sans relâche, avec envie et passion. Et c’était… C’était bon, c’était jouissif, et même magique, en un sens. Orochi se régalait de cette situation, et se retenait de jouir, voulant sentir le plus longtemps possible les lèvres de Natsuki sur sa queue, cet écrin de chaleur et de salive enserrant son vit, sa langue qui remuait chaudement sous sa queue.

« Natsuki-chan, hmm… Ma petite poupée… »

Il crispait involontairement ses doigts sur son cuir chevelu, ayant bien conscience qu’il ne devait pas trop forcer, tout en étant aussi terriblement excité par ce qu’il faisait. Cette femme était redoutable, une pure merveille. Oh, il allait en prendre soin, bien sûr, il allait l’entraîner, il allait la former, patiemment, sagement, et faire d’elle sa magnifique poupée.

« Hmmm… Aucun autre homme ne te touchera, Natsuki-chan, oh oui… Je vais prendre soin de toi, et je vais m’occuper de tes parents, ne t’inquiète pas… Tu rejoindras mon club de soutien intensif, hmmm… Ils accepteront, sois-en sûre, car, comme moi, ils ne veulent que le meilleur pour toi, Natsuki-chaaann… »

Parler devenait de plus en plus difficile. Il ne pouvait pas voir que Natsuki était en train de mouiller, mais il l’imaginait volontiers. Son autre main vint se poser sur sa tête, et il commença à donner de légers coups de reins, juste pour accompagner les mouvements buccaux de Natsuki. Son élève, sa poupée, était en train de réussir, de l’honorer, de se montrer talentueuse et envieuse. C’était tout simplement jouissif, mais cette scène, aussi magique soit-elle, ne pouvait prétendre être éternelle.

Dans un râle, le corps en sueur, Orochi se sentait partir. Impossible de se retenir, impossible de bloquer le flux, il était comme dans un barrage, face à un afflux qui menaçait de sortir. Les vannes s’ouvrirent alors, ses doigts se crispèrent, et sa queue tressauta sur place. Après plusieurs minutes, il se relâcha. Son corps était en sueur, ses mains moites, et il jouit furieusement dans la bouche de Natsuki. La fellation avait toujours été l’un de ses gros fantasmes, et, dans son esprit enfumé, il s’imaginait déjà l’attacher sous son bureau, et la forcer à sucer son gros membre pendant des heures de contrôle, ou lors de réunions parents-professeurs. Cette ultime vision l’acheva, et sa semence explosa dans la bouche de Natsuki-chan, venant la remplir, l’inondant grassement.

« Hmmmm… !! »

Il se calma progressivement, après un orgasme assez réussi, qui avait bien duré plus d’une quinzaine de secondes. Il avait pour le coup serré si fort les cheveux de Natsuki que quelques mèches s’étaient glissés dans ses paumes. Respirant lourdement, Orochi percevait même de la buée sur ses lunettes, et baissa la tête. Sa queue baignait encore dans son foutre, et il remua doucement, avant de la retirer.

« Ne recrache pas ce que tu ne peux avaler, laisse-moi t’aider, Natsuki-chan… »

Sa voix se faisait plus douce, plus avenante. Il se pencha vers la jeune fille, dont les joues avaient gonflé, l’attrapant encore par les cheveux, et la coucha sur le sol. Là, il s’allongea contre elle, l’écrasant sous son corps chaud et en sueur, et l’embrassa. Sa langue partit à l’assaut de ses lèvres closes, et il l’enfonça en elle, puis partagea avec elle un baiser humide. Sa langue se mélangea à la sienne, et, sans réfléchir, mais avec une excitation fébrile, Orochi l’aida à avaler son sperme, en l’avalant également. Le goût était âcre, acide, mais Orochi était tellement excité qu’il n’en avait cure.

Il l’embrassa donc longuement, jusqu’à n’avoir plus que de la salive, et lui sourit ensuite.

« La prochaine fois, tu pourras avoir du sperme sur ton visage… Mais nous ne sommes pas dans notre maison, alors il faut être prudent, Natsuki-chan… »

Orochi restait encore allongé contre elle, et déposa un nouveau baiser, tendre, sur ses lèvres, puis se laissa aller.

« Je t’aime, ma Natsuki-chan… »

Est-ce que Natsuki se sentait encore forcée à ce stade ? C'était...difficile à dire, même pour elle qui commençait à sérieusement se poser des questions. Orochi-senseï parvenait admirablement à utiliser son influence sur elle, sa jeune élève, sa poupée, pour retourner la situation à son avantage. Car au delà du fait qu'elle était en train de coucher avec son prof pour qu'il ne lui mène pas la vie dure par après, Natsuki ne pouvait pas non plus nier que...et bien qu'elle n'était pas dégoûtée de ce qui était en train de se passer. La jeune élève aurait sincèrement cru qu'à se retrouver ainsi avec un pénis dans sa bouche, elle aurait eu des nausées, et se serait mise à vomir, mais il n'en était rien. Même si sa technique était évidemment à approfondir, car c'était bien la première fois qu'elle faisait une fellation, elle ne rechignait pas tant que ça à la faire. Bien sûr, encore une fois, Natsuki y mettait sincèrement du sien pour ne pas risquer d'énerver son professeur, comme dans tout ce qu'elle faisait, mais il n'y avait pas que ça.

Hm...Hmm...

La jeune femme poussait de petits soupirs instinctifs, tout en suivant les consignes de son professeur de respirer par le nez, tout en suçant cette bite tendue entre ses lèvres délicates. La jeune femme titillait ce sexe dans sa bouche à l'aide de sa langue, qu'elle sentait ainsi pleinement, dure, chaude, et que ces mouvements semblaient prodiguer un bien énorme à Orochi-senseï, qui avait posé ses grosses mains sur sa tête en serrant ses cheveux. Natsuki elle fermait les yeux, non seulement pour se concentrer sur sa tâche, mais aussi car elle était gênée encore, et n'osait pas croiser le regard d'Orochi-senseï qui devait être...terriblement pervers. Elle était nue, complètement nue dans une salle de classe, et suçait la queue de son professeur principal...elle. Et plus Natsuki le faisait, moins elle avait de possibilités d'arrêter de le faire sous peine de chantage, elle était donc entrée dans un cercle sans fin.
Natsuki fini toutefois par rouvrir les yeux, en grand même, lorsqu'elle sentit les mains d'Orochi-senseï véritablement se crisper sur ses cheveux pour la maintenir en place, alors qu'elle sentit quelque chose de chaud, gluant, et très salé, sortir par vagues du pénis de son professeur.

HMMMM !!!!

La jeune femme en fut surprise, d'autant qu'elle se mit à tousser quand un filament de sperme fusa sur fort qu'il fila directement dans sa gorge. Elle n'avait pas encore le réflèxe d'avaler cette substance...du sperme, mais du se résoudre à le faire à mesure qu'elle sentait sa bouche s'en remplir. La jeune femme continuait de pousser des petits soupirs, ponctués de toussottements, mais aussi de bruits de déglutission, à mesure qu'elle avalait difficilement le foutre d'Orochi-senseï, à mesure qu'il continuait à se vider dans sa petite bouche, déjà bien occupée par sa verge. Ce qui sembla être flot sans fin de sperme s'arrêta enfin, et Natsuki pu alors prendre une pause. Elle avait du avaler beaucoup de sperme en peu de temps pour ne pas que cette substance coule de ses lèvres sur son corps, et lorsqu'enfin il retira sa bite de sa bouche, Natsuki restait quand même avec les joues légèrement gonflées, et sa langue baignait en permanence dans un mélange de sperme et de sa propre salive. La jeune femme était encore sous le choc, car son professeur avait joui dans sa bouche, mais elle n'eut guère le temps de s'en remettre, car Orochi-senseï décida bien vite de...l'aider, avec ce surplus de sperme dans sa bouche.

Hmmm...

La pauvre ne pouvait pas parler car elle avait la bouche pleine, et pouvait donc encore moins protester qu'à l'accoutumée quand Orochi la fit se coucher sur le sol...et que lui même vint s'allonger sur elle. Natsuki était légèrement plus petite que son professeur, mais c'était surtout la différence de masse entre les deux qui fut démontrée ainsi. Natsuki était fine et svelte, là ou l'homme était obèse. Autant dire que le corps de Natsuki se fit largement recouvrir par la masse qu'était Orochi, qui s'écrasa sur elle, la bloquant dans le cocon de sa chair en sueur. Mais surtout, et à la plus grande surprise de Natsuki, qui en écarquilla les yeux, Orochi vint l'embrasser alors, en fourrant sa langue dans sa bouche, et en l'embrassant ainsi alors qu'elle avait encore plein de sperme dans la bouche. Un baiser long, très humide, où Orochi n'hésita pas à langoureusement explorer la cavité buccale de son élève dans ses moindres recoins. Natsuki elle se laissait bien entendu faire, jusqu'à ce que son professeur se retire enfin, la laissant toute essoufflée, avant qu'il ne lui déclare que la prochaine fois...il pourrait lui juter sur le visage.

S-Senseï...

Natsuki en était terriblement gênée, car elle demeurait malgré tout cette fille terriblement timide, et qui rougissait très rapidement en entendant des choses aussi perverses qui allaient de plus la concerner. Pour autant...elle ne cherchait plus à protester, et ne chercha pas non plus à repousser son professeur quand il revint l'embrasser, tout en continuant à rester allongé sur elle. Il déclara alors qu'il l'aimait, et là, Natsuki en fut si troublée qu'elle sentit encore plus le rouge lui monter aux joues.

M-moi aussi...Orochi-senseï...

Pouvait-elle vraiment dire autre chose ? Mais était-elle aussi certaine que ce n'était pas le cas ? Elle ne savait pas...Orochi-senseï était un homme bien plus âgé qu'elle, obèse, qui la faisait chanter, qui était un gros pervers...et pourtant...

S-senseï...j'ai si chaud...et j'ai...mal au bas de mon ventre...qu'est-ce qui m'arrive ?

La jeune femme était sincèrement troublée par ces symptômes propres à l'excitation sexuelle, et de fait, sans trop qu'elle s'en rende compte, Natsuki se tortillait légèrement sous les corps d'Orochi senseï, notamment au niveau du bassin. De fait, elle pouvait sentir la queue de son professeur contre son mont de Vénus, frottant le long de sa touffe épaisse de poils pubiens.
Natsuki était tout simplement excitée, mais elle était bien trop innocente pour le savoir d'elle même.

Orochi ne se rappelait pas avoir jamais joui aussi fort dans le corps d’une femme. Que c’était bon ! Sentir la petite langue de Natsuki-chan sur sa queue, la voir avaler son sperme épais et juteux… Il s’était étalé sur elle, et, après avoir partagé un long baiser transi d’amour, il se lovait encore contre elle. C’était sa Natsuki-chan, sa petite poupée. Sa main caressait ses hanches, glissant sur ses jambes, et son nez frottait sa joue, l’homme déposant des baisers tendres dans le creux de son cou. Oui, bien sûr qu’il était amoureux d’elle ! Il avait eu le coup de foudre dès le début, et cela n’avait jamais cessé. Orochi avait vu en elle toutes les bonnes qualités. Outre sa beauté, elle était aussi timide, nerveuse, discrète, n’ayant rien à voir avec ces filles modernes et provocatrices, qui se caressaient en corps. Elle, elle était sa petite poupée, et il comptait bien la préserver encore, l’honorer régulièrement. Il sourit quand Natsuki-chan avoua avoir « chaud » et « mal » au bas de son ventre.

Sa main posée sur ses cuisses se déplaça, et se posa sur ses poils pubiens. Le simple fait qu’il allait devoir l’épiler l’excita encore, et Natsuki-chan put sentir la virilité de son professeur se durcir de nouveau. Il pouvait se montrer assez endurant, et son divorce avec sa femme avait véritablement commencé le jour où elle avait refusé qu’il l’habille comme il le souhaitait, et qu’il réalise qu’elle était trop majeure pour ça. Pour autant, Orochi ne s’estimait pas comme pédophile, car il ne voulait pas de jeunes filles, il voulait d’une belle adolescente encore innocente, une belle petite poupée vierge à modeler comme bon lui semblait.

« Oh, ma Natsuki-chan, Papa Orochi comprend ce que tu ressens. »

Il posa son doigt au milieu de sa toison, sentant ses lèvres intimes. Une fissure tendre et délicate qui fit se crisper la jeune femme, celle-ci couinant délicieusement en fermant les yeux, se rapetissant sur place. Orochi releva son doigt, et l’approcha des lèvres de Natsuki.

« Hihi, je sais ce que Natsuki-chan a… »

Il dut forcer le passage, et enfonça son doigt dans la bouche de Natsuki-chan, sa queue continuant à se durcir et à gonfler, se frayant un passage entre leurs chairs respectives.

« Elle mouille devant le corps de Papa Orochi… Natsuki-chan est bel et bien ma poupée ! »

Orochi aurait pu la pénétrer maintenant, mais il caressa ensuite son estomac, et retourna attaquer son sexe avec ses doigts, enfonçant un doigt à l’intérieur, et le remua. La cavité intime de Natsuki-chan était trempée, mais également très serrée, témoignant de son inexpérience sexuelle. Son hymen était encore là, cette preuve de sa chaste virginité, et il remua encore en elle, avant de glisser un second doigt. Ayant perdu l’habitude, Orochi recherchait son bouton de plaisir, ce délicat clitoris qu’il lui tardait de pouvoir presser entre ses doigts, afin de faire encore gémir Natsuki-chan.

Il sourit donc, n’ayant pas encore envie de ravir son innocence trop vite.

« Est-ce que Natsuki-chan s’est déjà caressée intimement par là ? À quoi pensait-elle quand elle le faisait ? Papa Orochi veut tout savoir de sa Natsuki ! »

La scène devait être très gênante pour la jeune femme, mais aussi de plus en plus excitante… Surtout quand, après plusieurs essais, Orochi trouva enfin la zone sensible, et appuya dessus, serrant entre ses doigts le bouton de plaisir de la jeune femme.

Il espérait bien lui faire avoir un premier orgasme de cette manière, tandis que son érection revenait doucement à la charge…

Nastuki-chan avait encore un peu l'impression qu'elle devait se trouver dans une sorte de rêve très bizzare, même si la réalité des choses s'imposait à elle, elle était nue avec son professeur qui l'était tout autant, et elle lui avait sucée la bite jusqu'à ce qu'il jouisse dans la bouche. Elle n'avait pas pu avaler tout le sperme qu'Orochi-senseï avait éjaculé en elle, mais elle en avait quand même bel et bien avalée avant qu'il ne vienne "l'aider" avec ce long baiser.
Là Orochi-senseï était toujours allongé sur elle, avec sa grosses masse graisseuse, son gros ventre qui appuyait sur elle et l'enrobait sous une couche de chair grasse et en sueur. Encore bien innocente, Natsuki-chan se savait pas ce qu'était la mouille qui s'échappait doucement de sa petite chatte, ou même cette douleur, semblable à une sorte de crampe, qui irradiait dans son bas-ventre. Elle était tout simplement excitée, et si elle ne le savait pas, Orochi-senseï lui sembla se délecter de cette nouvelle, au point qu'il en glissa une de ses mains sur le bas ventre de la jeune femme, jusqu'à atteindre son mont de vénus, couvert d'une épaisse couche de poils pubiens.

O-Orochi-senseï...

Bien sûr elle n'allait pas l'empêcher de faire quoi que ce soit, car elle se devait d'être une bonne fifille, auquel cas Orochi la punirait, la saquerait sur ses notes, et bien d'autres menaces qu'il avait proféré à son encontre si elle n'était pas sage. Mais elle sentit alors effectivement cette main se glisser sur sa toison de poils, les carresser, avant de descendre encore un peu plus au point d'en explorer ses lèvres intimes. Gênée, la lycéenne laissa échapper un petit couinement alors que du bout de ses doigts, Orochi-senseï récupéra un peu de sa cyprine, avant d'amener ces doigts près de sa bouche. Et, tout en déclarant que la raison de ses "douleurs" était qu'elle était excitée par le corps de "Papa" Orochi, ce dernier lui fourra ses doigts dans sa bouche.

Hmmm...

A contrecoeur, la jeune femme le laissa faire, et elle lui lécha les doigts, sentant alors le goût étrange de ses propres fluides intimes, alors que contre son ventre, elle sentait la queue de son professeur se remettre à croître et à durcir de nouveau. Le fait aussi qu'il commence à vouloir se faire passer pour une sorte de père de substitution était aussi terriblement gênante, surtout quand il retira ses doigts de sa bouche, maintenant couvert de la salive de la jeune fille, pour retourner aller caresser sa fleur intime. Ayant les cuisses écartées, il n'y avait rien que la jeune femme pouvait faire en étant ainsi écrasée par la masse de son professeur, et elle sentit un, puis deux doigts, rentrer dans sa chatte. Il la doigtait délicatement, en prenant grand soin de ne pas atteindre son hymen, et d'obscènes bruits humides de succion s'échappaient de sa petite chatte, ce qui la fit rougir encore plus.

Ah...S-senseï...Nyaaaaa...

Oh comme elle avait honte, comme elle était gênée, mais elle sentait cette espèce de vague remonter en elle, à mesure qu'il la doigtait, tout en lui demandant si elle avait déjà fait pareille chose.

N-non...j-jamaiiiis...aaaaah...

La pauvre avait du mal à répondre, mais Natsuki-chan était pure au point de ne s'être jamais masturbée, jamais elle n'avait lu un livre érotique ou un hentai, et n'avait jamais vu de porno. Autant dire que quand Orochi-senseï se mit en plus à presser son clitoris, qui n'avait jamais été sollicité jusque là, le corps de l'adolescente réagit au quart de tour. Natsuki en perdit la voix quand elle se crispa soudainement, parcourue de convulsions sous les corps d'Orochi-senseï, elle en vint à jouir abondamment sous ses doigts, qui se couvrirent encore plus de cyprine. Un bel orgasme, qui dura quelques dizaines de secondes, et qui laissa la jeune fille alors toute essouflée, et elle aussi, en sueur.

Natsuki-chan contesta s’être jamais caressée à cet endroit. Était-ce exact ? Il y avait en réalité assez peu de raisons d’en douter. Orochi se renseignait suffisamment sur elle pour savoir qu’elle était très pudique, très timide. C’était aussi pour ça qu’il était venu la voir. Il voulait la protéger des adolescents libidineux de son âge, qui ne contrôlaient pas leurs hormones, ni leurs pulsions. Lui savait comment y faire, il savait comment éduquer Natsuki-chan. Il était donc tout à fait naturel, et même souhaitable, qu’il intervienne. Doucement, Orochi-sensei se redressa, maintenant Natsuki-chan contre lui, et s’assit sur son fauteuil. Il la maintint sur ses cuisses, et continua à titiller son petit bourgeon intime. Orochi gloussa quand, en titillant le clitoris de Natsuki, celle-ci couina, ayant un orgasme presque instantané. Son autre main s’appuyait sur les seins de Natsuki-chan, et il la laissa jouir, la sentant se crisper contre son corps.

Ses doigts se recouvrirent de sa mouille, la cyprine de Natsuki-chan glissant sur leurs cuisses. Quand elle commença à reprendre ses esprits, la main d’Orochi remonta, ses doigts délicieusement trempés, et titilla les lèvres de la jeune femme.

« Oh, ma Natsuki-chan… C’est un bel orgasme, ça… Viens donc lécher mes doigts, goûte comme tu es bonne… »

Très clairement, Orochi ne comptait pas lui ravir sa virginité trop vite. La pureté de son corps, de son âme… Tout ça l’excitait furieusement, et, en sentant la mouille de Natsuki sur sa verge, son membre se redressa encore. De fait, la jeune femme posa son bassin sur sa queue, ce qui fit qu’il sentait les poils pubiens de Natsuki contre sa verge. C’était terriblement excitant, et la langue de la jeune fille glissa sur ses doigts. Lui n’en perdait pas une miette, prenant vaguement conscience que cette image resterait gravée dans son esprit pendant de nombreuses années. Elle suçota ensuite chacun de ses doigts, et, en l’entendant doucement soupirer, Orochi ressentit une série de frissons sur sa queue. Avec son autre main, il rabattit plusieurs mèches de cheveux de Natsuki derrière ses oreilles, caressant ensuite sa longue chevelure, la traitant déjà comme si elle était sa poupée… Car, somme toute, c’était bien ce qu’elle était devenue : une belle poupée dont il allait prendre grand soin !

Après avoir laissé Natsuki sucer ses doigts, Orochi retira sa main, et la posa sur le menton de Natsuki, la faisant doucement tourner la tête. Il approcha son visage du sien, et déposa un tendre baiser sur ses lèvres. On aurait presque pu y voir un baiser d’amoureux. Même si Orochi-sensei sentait son érection le relancer, en ce moment, il avait juste envie de se montrer tendre et délicat avec Natsuki-chan. Il l’embrassa donc tendrement, et l’amena à se retourner délicatement, sa main se posant sur les jambes, la ramenant contre lui, l’amenant à se blottir contre son corps.

« Ma belle Natsuki-chan… Tu vivras désormais avec moi. Je t’éduquerai, ma petite poupée, je ne laisserai aucun de ces idiots d’adolescents te souiller. Ta pureté est précieuse, comme tout ce que tu es. Je prendrais grand-soin de toi, ma petite poupée… Je t’aime, Natsuki-chan… »

Et il la câlina encore, la serrant encore tendrement contre lui…

La pauvre Natsuki ne savait plus quoi penser, quoi dire, ou quoi faire, dans la situation où elle se trouvait. Elle était toute nue dans la salle de classe, et assise sur les genoux de son professeur principal, lui aussi nu et qui venait de...de la masturber. Elle avait joui pour la première fois de sa vie, et c'étaient les doigts d'Orochi-senseï qui l'avaient fait. La jeune femme était perdue, en dehors du carcan normal de relation qui devrait avoir lieu entre une élève et son professeur, surtout pour elle qui avait été éduquée dès le plus jeune âge à respecter l'autorité d'un senseï. Elle n'avait pas pu dire non, Natsuki s'écrasait quand on faisait preuve d'autorité vis à vis d'elle, et encore plus quand ça provenait d'une "source" légitime d'autorité. Elle n'avait pas pu dire non, pas assez fortement en tout cas, quand Orochi-senseï l'avait déshabillée et...et maintenant elle avait un peu la sensation d'avoir passée un espèce de cap de non retour.
La jeune lycéenne était bien trop pudique pour oser parler à qui que ce soit de ce qui se produisait là, et quand bien même...Orochi-senseï pourrait affirmer que c'était faux, ou bien qu'elle y avait consenti...ne venait-elle pas de jouir sous ses doigts ? La jeune femme était plus que perdue, elle avait aussi l'esprit embrumé par cet orgasme, et ne commença à reprendre ses esprits que lorsque Orochi-senseï posa à nouveau ses doigts couverts de cyprine sur ses lèvres, lui demandant à nouveau de les sucer. Timidement...elle s'exécuta.

Hm...

Un petit soupir en sentant alors le gout de sa propre cyprine, elle prit délicatement les doigts de son professeur pervers dans sa bouche, les uns après les autres, et les suça, l'homme pouvant alors entendre les bruits de déglutition de la jeune femme si proche, alors qu'elle avalait ce liquide intime. Lui de son côté lui caressait les cheveux de façon très douce, ce qui rendait la scène un peu surréaliste après ce qu'il venait tout juste de faire. Clairement, Orochi-senseï abusait de sa position d'autorité sur Natsuki, mais ce dernier y allait sans violence, de sorte que peu à peu, son discours comme quoi il entendait prendre soin d'elle commençait à trouver écho chez la jeune femme, qui était peu habituée à de tels gestes d'affection.
Puis, Orochi-senseï retira finalement ses doigts pour l'empoigner par le menton, et lui fit approcher son visage du sien pour aller l'embrasser. Là encore, la jeune fille ne put que laisser échapper quelques soupirs, alors que de plus en plus son professeur serrait son corps nu contre le sien. La jeune femme sentait maintenant bien la verge de son professeur, toute tendue, fourrée entre ses cuisses, et frottant contre ses poils pubiens. Il la maintenait désormais tout contre lui, et la manipulait comme une sorte de poupée, un terme qu'il n'arrêtait d'ailleurs pas d'utiliser à son encontre.
Natsuki elle était très perturbée et...n'arrivait même plus à ce stade à définir vraiment ce qu'elle ressentait. Au début, de la peur, mais maintenant ce n'était même plus si clair...comme si elle commençait à apprécier cet élan d'affection qu'Orochi-senseï avait à son égard, et d'autant qu'il déclara l'aimer. L'aimer...Natsuki était trop timide et se considérait tellement moins belle que ses camarades qu'elle n'aurait jamais cru qu'un homme lui dirait ça un jour.

Je...je vous aime aussi...senseï...

Outre le fait qu'elle disait ça d'une toute petite voix timide pour ne pas contrarier son professeur, elle n'avait plus l'air tant forcée que ça...

Natsuki-chan soupira longuement en se tortillant sur place, suçant les gros doigts humides d’Orochi-sensei. Le professeur était heureux, si heureux ! Sa petite Natsuki-chan semblait s’être calmée, et, après leur baiser, lui avoua aussi qu’elle l’aimait. Il sourit alors, joyeusement ému, et sentit même ses yeux s’embuer doucement.

« Vraiment, Natsuki-chan ? »

Il l’embrassa alors sur le front, et la serra contre lui, lui offrant un délicieux câlin, très affectueux. Elle était tout simplement parfaite ! Heureux, il se décolla d’elle après un long moment, et l’observa à nouveau. Si parfaite, si magnifique… Oh, comme il avait hâte de concevoir pour elle une multitude de vêtements, de robes, et de les laisser les prendre. Elle serait sa poupée, et il allait devoir ensuite lui ôter sa virginité.

Se déplaçant, il récupéra son téléphone portable.

« Donne-moi ton numéro, ma chérie. Je vais te conduire ce soir dans ta nouvelle maison… »

Dit comme ça, on aurait pu croire à un kidnapping, amis Natsuki-chan retournerait évidemment travailler. Orochi attendrait qu’elle soit majeure pour l’épouser, et, à ce stade, il se disait qu’il attendrait également ça pour la mettre enceinte, mais… Qui sait ? Le professeur fantasmait déjà, et avait déjà envie de la prendre, de lui ôter sa virginité, mais il savait aussi qu’il devait la laisser réfléchir, qu’il devait lui laisser le temps de réfléchir à tout ça, ou il risquait un sentiment de rejet. Mais Orochi-sensei était sincère dans son approche, il aimait Natsuki-chan, et voulait la protéger de ce monde, conserver son innocence et sa beauté, la garder auprès de lui

Il remit donc ses vêtements.

« Je connais ton emploi du temps, je sais à quelle heure tu termines. Tu n’auras qu’à me rejoindre sur le parking, je t’attendrai dans ma voiture » fit-il, en lui montrant à quoi ressemblait son véhicule.

Orochi aurait ainsi le temps de réfléchir à tout ça, même s’il savait que, dans le courant de la journée, il aurait de nouveau envie de Natsuki-chan. Il attendrait ainsi avec impatience le moment où elle le rejoindra dans sa voiture pour pouvoir l’embrasser et la peloter avec énergie… Car c’était sa petite poupée, et elle méritait qu’il veille sur elle, et qu’il s’évertue à lui faire plaisir en toute circonstance, lui qui était un professeur extrêmement attentionné !

Natsuki passa les heures de cours qui lui restaient à...penser exclusivement à Orochi-senseï, et à ce qu'elle et lui avaient fait dans la salle de classe tantôt. Elle avait bien évidemment du se rhabiller et retourner en cours, mais avait laissée à son professeur son numéro de portable, car il était question qu'elle vienne chez lui ce soir, et très probablement d'autres par la suite. Natsuki parvenait à écrire ses cours, mais fonctionnait plus dans une sorte de mode automatique pour la prise de ses notes, car son esprit en réalité vagabondait assez loin. Elle repensait au fait qu'elle avait été déshabillée par Orochi-senseï, que ce dernier l'avait lui même touchée un peu partout sur son corps, et surtout qu'il l'avait amenée à l'orgasme à plusieurs reprises en lui caressant sa petite chatte. Natsuki n'avait pas perdue sa virginité avec son professeur, mais quelque chose lui disait que si elle allait effectivement chez lui ce soir, ce serait le cas. La perspective l'effrayait un peu, elle qui était si pudique et timide, mais elle n'arrivait pas à se sortir de la tête tout ça, de revivre ces moments où elle avait été nue et que Orochi-senseï la caressait, l'embrassait et lui disait l'aimer. La pauvre était en réalité bien seule dans le lycée, personne n'était vraiment son ami, au mieux avait-elle quelques connaissances au sein de sa classe surtout lors de sessions de travail de groupe, mais tout s'arrêtait dès le portique du lycée franchi. Entre ça et ses parents qui étaient assez stricts, et assez avares en compliments, il était à peine exagéré de dire qu'en eune petite heure, Orochi-senseï lui avait dit plus de douces choses qu'elle n'en avait entendue dans toute sa vie. C'était ça, cette tendresse et cet amour qui la troublaient autant, certes le fait qu'elle avait presque couchée avec lui, entre autres en suçant sa verge et en buvant son sperme l'était aussi, mais il avait été très doux et gentil avec elle et...et même si techniquement elle avait été pas mal forcée...Natsuki voulait d'avantage de cet amour.

*Oh seigneur...*

Allait-elle vraiment le faire ? Entrer dans une relation intime secrète avec son professeur comme dans un vieux mélodrama ? Et pourtant elle y songeait vraiment, malgré ses hésitations et ses craintes, elle avait goûtée pour la première fois au fait que quelqu'un lui montrait vraiment de l'attention et de l'affection. Mais il n'y avait pas que ça aussi, les orgasmes qu'Orochi-senseï lui avait donné en la caressant étaient les premiers de sa vie, et ça aussi avait en quelque sorte...cassé quelque chose en elle, fissuré cette idée que le sexe était sale et forcément désagréable. De fait, Natsuki portait sa culotte qui avait été bien trempée de sa mouille, ce qui était comme une sorte de rappel constant du plaisir qu'elle avait ressenti et...qu'avec le recul, elle voulait tout de même...bien ressentir à nouveau. Même le fait qu'Orochi-senseï l'appelle sa poupée ne la laissait pas de marbre.
L'heure vint finalement de la fin des cours, Natsuki n'avait pas retenue grand chose, mais au moins avait-elle pris correctement ses notes pour après. Et...après être sortie du lycée, et avoir attendu que le gros du flux de gens se disperse, elle se dirigea vers le parking réservé aux voitures des professeurs, mais qui était parfaitement accessible à pied. Orochi-senseï lui avait montrée tantôt à quoi ressemblait sa voiture, elle n'eut donc aucun mal à la retrouver, d'autant que l'homme se trouvait dedans et l'attendait, de toute évidence.
La jeune femme monta donc dans la voiture, sur le siège passager où elle s'installa...les joues un peu rougies.

R-re bonsoir...Orochi-senseï...

Natsuki était toute fébrile. La première fois lui était tombée dessus sans qu'elle s'y attende mais là, elle faisait en quelque sorte le choix délibéré de répondre aux avances d'Orochi-senseï.

P-pardon de vous poser cette question senseï mais...p-pourquoi moi ? Je veux dire...i-il y a des filles plus intéressantes et jolies que moi...

C’était l’épreuve du feu. Une journée risquée. À tout moment, Natsuki pouvait choisir de le dénoncer aux autorités, ou tout simplement ne pas venir. Et que ferait-il, alors ? Le premier cas semblait peu probable, mais le second... Bien que l’homme préférait ne pas y songer, il se devait d’envisager le pire, d’envisager toutes les hypothèses possibles, y compris les pires. Et, très clairement, que sa Natsuki-chan l’abandonne était l’une des pires ! Il avait envie de la revoir, envie de l’héberger chez lui, de lui faire plus longuement l’amour, et, surtout, de pouvoir l’habiller comme elle le voulait ! Natsuki-chan était sa petite poupée, après tout, et, alors qu’il songeait à tout ça, son cœur s’emballa en la voyant arriver. Elle ouvrit la porte, et s’assit à côté de lui, tout en lui demandant… Pourquoi elle.

Orochi-sensei se retourna vers elle, et caressa d’une main son visage, glissant ses doigts sur ses cheveux, qu’il glissa derrière son oreille.

« Tu délires, ma petite chérie. La plupart des filles ici sont des nymphomanes en chaleur qui passent leur temps à coucher avec n’importe qui, et qui sont à la limite de la prostitution. Ce lycée est un baisodrome géant. Mais toi… Toi, tu es pure. C’est ça qui me plaît chez toi. Tu es une jeune femme noble, au cœur plein de bonnes intentions. C’est pour ça que je suis venu à toi… Pour te protéger… De ces gens ! Je ne voulais pas que tu finisses… Dans leurs immondes orgies ! »

Ceci étant dit, tout en disant ça, il sentait son érection revenir, s’élançant dans son pantalon, formant une belle bosse qui croissait. Il invita Natsuki-chan à le rejoindre. Sa main se posa sur sa nuque, glissant par là, et il serra dessus, la rapprochant de lui. Natsuki dut s’asseoir à califourchon sur lui, entre le volant et son ventre, et il l’embrassa à nouveau. Son autre main alla palper ses fesses, et il l’embrassait énergiquement, sentant une chaleur forte croître en lui… La chaleur du désir, l’envie furieuse de lui faire encore l’amour ! Orochi devait se retenir, il devait rester calme et sûr de lui, ou il effraierait sa petite Natsuki !

« Hmmm… »

Les lèvres tendres de Natsuki étaient un véritable régal pour lui, il les embrassait goulûment, fourrant sensuellement sa langue dans sa bouche. Il se pressait contre elle, savourant longuement la bouche parfaite de Natsuki, jusqu’à rompre ce baiser.

« Quant à ta beauté… Je t’interdis de te dire laide, Natsuki-chan ! Tu es ma petite poupée, regarde comme tu m’excites ! Tu crois que je serai aussi excité si tu étais… Laide ? Tu es tout, sauf laide, ma belle. Au contraire, tu es magnifique. Et ce soir, je vais te le prouver ! »

Démarrant ensuite le moteur, Orochi s’efforça de retrouver son calme en retournant chez lui. Dieu, qu’il avait chaud ! Des gouttes de sueur se formaient sur ses grosses joues, et il dut remettre ses lunettes en place, mais réussit malgré tout à rejoindre sa maison.

« Bienvenue chez toi, Natsuki-chan ! » sourit-il, en allant lui caresser la jambe.

C’était une maison assez ordinaire, traditionnelle, mais le simple fait d’avoir une maison était déjà, en soi, un très bon accomplissement. Pour éviter que quiconque ne les voie, Orochi choisit de garer sa voiture dans son garage. Ainsi, aucun voisin indiscret ne les verrait. Ceci étant dit, son érection n’avait nullement diminué, bien au contraire. Maintenant que Natsuki-chan était avec lui dans sa maison, l’excitation d’Orochi semblait même être repartie de plus belle !

Natsuki ne se voyait clairement pas comme une beauté, un canon, en se comparant aux autres filles du lycée qui étaient pour la plupart avec de très belles formes, alors elle ne comprenait effectivement pas pourquoi Orochi-senseï s'était ainsi intéressé à elle. L'homme caressa alors sa joue avec l'une de ses mains, glissant aussi ses doigts dans ses longs cheveux, ce qui ne manqua pas de la faire rougir, avant qu'il ne confirme son intérêt pour elle en disant qu'elle était pure. Il était vrai que de ce point de vue là, Natsuki devait battre la totalité de ses camarades. Elle n'avait jamais regardée de porno, lue de hentai, et ne s'était même jamais masturbée, Orochi-senseï avait donc été le premier à lui faire découvrir ce qu'était un orgasme...mais du coup...peut-être aussi l'amour ? Natsuki n'aurait sincèrement jamais crue qu'un homme puisse...s'intéresser à elle. En plus de ne pas se trouver spécialement attirante, elle était aussi très timide et...ne s'était de fait pas vraiment faite d'amis au lycée. Elle entendait plus souvent les gens parler dans son dos, et généralement pas dans des termes très sympathiques car elle était très douée dans pour ainsi dire toutes les matières, mais n'avait jamais vraiment réussi à se sociabiliser avec des gens de son âge. Alors cette main tendre qu'Orochi-senseï posa sur sa joue lui fit comme une sorte de déclic, où elle sentit son coeur s'accélérer, car Natsuki avait fondamentalement envie et besoin d'être aimée par quelqu'un, ce que même ses parents semblaient avoir du mal à faire tant ils se montraient stricts avec elle.

S-senseï...

Elle se retint de pleurer, mais était clairement émue par ces phrases d'encouragement et...se laissa donc un peu prendre au jeu, venant donc se poser à califourchon sur Orochi-senseï qui était assis côté conducteur. La jeune femme se trouva donc collée contre lui, forcément car son ventre prenait pas mal de place, et qu'elle avait dans son dos le volant, et elle sentit aussi alors contre sa culotte cette...bosse du pantalon de son professeur, avant qu'il ne pose un main sur sa nuque et l'autre...sous sa petite jupe, pour aller caresser ses fesses.

Aaaah...

La jeune femme soupirait doucement, mais ne protesta pas. Tout ça était relativement nouveau pour elle, même si Orochi-senseï l'avait longuement palpée dans la salle de cours, elle devait encore s'habituer à des contacts physiques aussi intimes mais...elle ne cherchait plus à le repousser. Elle écarquilla toutefois les yeux quand son professeur alla plaquer ses lèvres contre les siennes, et forca doucement le passage avec sa langue pour l'embrasser.

Hmmm...

Natsuki avait de nouveau terriblement chaud, sentant cette "vague" à nouveau monter en elle progressivement alors qu'elle était là, sur le parking des professeurs, dans la voiture d'Orochi-senseï en train de...et elle lui répondit favorablement. Certes, elle était bien trop inexpérimentée pour pouvoir remuer sa langue comme le faisait son professeur, mais elle essayait de répondre aux mouvements qui lui faisait, et là où initialement elle aurait ressenti du dégout, ce n'était plus vraiment le cas, car elle se surprit même à légèrement onduler son bassin en réponse à la main posée sur ses fesses. ce fut un long baiser qui dura bien quelques minutes, à l'issue duquel Orochi lui assura qu'il la trouvait belle, et qu'il allait lui prouver ce soir. La jeune femme eut du mal à répondre à ça, mais sentit son coru battre très fort et en eu la gorge serrée, quand elle repartit alors sur le siège passager, le temps qu'Orochi-senseï la conduise à sa maison, qui en voiture était à un temps de trajet relativement proche. Ils rentrèrent dans le garage, Orochi éteignit le moteur de la voiture, avant de lui souhaiter la bienvenue chez elle, en lui déposant aussi une main sur une de ses cuisses pour la caresser.

S-senseï...Hmmm...j-je...

Oh comment lui dire qu'elle pensait être heureuse d'être ici ? Et surtout...comment lui dire que là, elle souhaitait plus que tout au monde que...qu'il la fasse jouir à nouveau...beaucoup...

Est-ce qu’Orochi-sensei sentait toute l’excitation de Natsuki-chan ? C’était possible, mais le problème était qu’il était lui-même très excité ! Dans la voiture, à l’arrêt, il aurait voulu la pénétrer sur place, mais c’était trop risqué. Il suffisait qu’un collègue passe par là pour les voir tous les deux, et c’était ce qui avait finalement conduit Orochi-sensei à s’éloigner. Mais rejoindre sa maison n’avait fait que l’exciter davantage, au point qu’il avait flirté avec les limitations de vitesse. Natsuki-chan était là, juste à côté de lui ! Et, là, dans son garage, son érection revenait encore, furieuse. Il regarda donc Natsuki-chan, et constata vite que celle-ci rougissait, sans oser lui parler. Orochi sourit alors, et caressa la joue de la jeune femme.

« Tu es si belle comme ça, quand tu rougis, ma Natsuki-chan… Viens, je vais te présenter ta chambre ! »

Orochi avait déjà tout préparé en amont ! Il sortit donc, et attrapa la main de Natsuki-chan. Celle-ci pourrait sentir qu’elle était moite, signe que son professeur était très excité. Ils délaissèrent leurs chaussures à l’entrée, et avancèrent dans un couloir. À gauche, il y avait le salon, avec une cheminée, et, à droite, la cuisine, avec l’escalier en plein milieu menant aux chambres. Orochi grimpa les marches, et le duo rejoignit ensuite la chambre de Natsuki-chan.

C’était une belle chambre au style kawai assumé. Il y avait beaucoup de rose pastel, des peluches, et une porte menant à la salle de jouets de Natsuki-chan. Une penderie abritait tous les vêtements urbains de Natsuki-chan, tandis que ses vêtements de poupées se trouvaient dans une autre pièce. Orochi avait clairement dépensé beaucoup d’argent pour préparer son arrivée. Laissant Natsuki-chan observer tout ça, il se glissa dans son dos, et posa ses deux mains sur les épaules de la jeune femme.

« Je prépare ton arrivée depuis des mois, Natsuki-chan… »

Il parlait d’une voix calme, mais empreinte d’une excitation croissante. De fait, si ses mains s’amusaient à caresser tendrement les épaules de Natsuki-chan en remontant vers son cou, celle-ci risquait surtout de sentir sa verge. Le membre d’Orochi-sensei glissait contre les délicieuses fesses de Natsuki-chan, et Orochi-sensei commença à frémir sur place, avant de commencer à déshabiller sa jeune amante, tout doucement. Elle portait encore son sailor fuku, qui fut retiré lentement. Elle retira sa cravate, dénouant celle-ci, puis son gilet, et déboutonna soigneusement chaque bouton de sa chemise, avant de tirer dessus. Orochi retira ensuite sa minijupe, puis dégrafa le soutien-gorge de Natsuki, et s’agenouilla encore. Cette fois, il s’attaqua à sa culotte, puis la poussa vers le lit. Il l’assit dessus tendrement, et défit ensuite ses collants, tirant dessus.

Une fois que Natsuki-chan fut totalement nue, Orochi embrassa ses belles jambes et ses pieds.

« Tu as des jambes et des pieds tout doux, ma Natsuki-chan… » la complimenta-t-il.

Orochi se redressa alors, et se déshabilla à son tour.

« Aide-moi avec la ceinture, Natsuki-chan, j’ai tellement envie de toi… »

Il se déshabilla à son tour, et jeta ses vêtements au sol, puis se pencha vers Natsuki-chan. Son corps massif s’écrasa sur le sien, et il l’embrassa goulûment, se sentant bien mieux sans ses vêtements ! Il n’était plus serré dedans avec toute cette chaleur corporelle qui n’avait cessé de croître.

« Vas-y, Natsuki-chan, je veux que tu danses sur moi, je veux voir le plaisir dans tes yeux… »

Cessant de l’embrasser, Orochi-sensei se retourna, et, couché sur le dos, attrapa doucement Natsuki-chan, pour l’aider à grimper à califourchon sur lui. Il voulait qu’elle vienne s’empaler sur sa verge, en se disant que le spectacle serait magnifique !

Jamais Natsuki-chan n'avait ressenti de pareilles choses dans son petit corps, cette excitation, cette chaleur qui l'empêchait de penser rationnellement, et sa culotte qu'elle mouillait avec sa cyprine entre autres. Tout ça et bien d'autres choses étaient nouvelles pour la jeune femme, qui se laissa donc guider hors de la voiture jusqu'à sa...chambre.

Oh senseï c'est...c'est beau...

Natsuki-chan ne se serait jamais attendue à autant d'efforts pour elle, il y avait un beau décors, beaucoup de peluches mignonnes et une large garde robe rien que pour elle. Mais surtout, au bout d'un moment, Orochi-senseï se glissa dans son dos pour la câliner. Évidemment en étant si proche, Natsuki sentit alors la grosse érection de son professeur contre ses fesses, et s'en sentit à nouveau toute perturbée comme avant...comme dans la salle de classe, quand son professeur lui avait pris sa virginité sur le bureau.

Hmmm...oh s-senseï...

Mais contrairement à la première fois, Natsuki ne chercha même pas à protester quand Orochi commença à doucement la déshabiller. Un par un, ses vêtements tombèrent au sol, et la jeune femme se sentait de plus en plus troublée à mesure que son professeur la mettait à nu. Non cette fois, elle aimait cette sensation de se faire déshabiller, même si elle était toujours très pudique et gênée il semblait évident qu'elle en avait bien envie. Orochi-senseï...allait lui refaire l'amour, mais cette fois dans un cadre plus privé...combien de temps cela allait durer ? Des questions qui pouvaient sembler un peu stupide mais que la jeune lycéenne inexpérimentée ne pouvait s'empêcher de se poser. Très vite Natsuki se retrouva avec justes ses collants, mais Orochi-senseï la fit alors s'asseoir sur le rebord du lit pour les lui retirer, et à son grand étonnement, l'homme entreprit ensuite de lui lécher ses pieds et ses jambes.

Haaaan...

Ce...c'était...tellement nouveau, surprenant...et en même temps si bon, surtout quand son professeur déclara qu'elle était toute douce.

V-vraiment ?

Il était toujours difficile pour Natsuki de se faire à l'idée qu'un homme pouvait la trouver désirable ainsi. Orochi-senseï se releva ensuite face à elle, et tandis qu'il défaisait le haut de son accoutrement, il demanda à da jeune élève de l'aider en lui retirant sa ceinture. Natsuki-chan acquiesca silencieusement en approchant ses petites mains tremblantes de la ceinture, qu'elle parvint avec un peu de difficultés à défaire, car elle touchait régulièrement la queue d'orochi ce qui la perturbait. Elle y parvint néanmoins et Orochi-senseï termina alors lui aussi de se déshabiller face à elle. Natsuki-chan se retrouva donc nez à nez avec la grosse verge tendue de son professeur, prenant alors comme conscience qu'ils allaient bel et bien faire l'amour, avant qu'il ne vienne s'allonger sur elle pour l'embrasser.

Hmmmf...

Là encore, si Natsuki était bien trop pudique et inexpérimentée pour répondre vraiment au baiser, elle n'offrait en revanche aucune résistance et posa même ses mais sur le gros dos de son professeur, cherchant ainsi un peu de contact proche, même si concrètement leurs deux corps nus étaient l'un contre l'autre. Natsuki-chan fut en revanche bien surprise quand en se retirant, Orochi-senseï lui demanda de danser sur lui. Sur le moment, Natsuki ne comprenait pas ce qu'il voulait, mais alors il s'allongea dos sur le lit en l'amenant elle à venir au dessus de lui, suite à quoi la jeune femme sembla comprendre...

Je...o-oui Orochi-senseï...

Une pointe de stress traversa alors la jeune femme, qui n'avait jamais fait pareille chose. Il...il voulait qu'elle le chevauche en mettant son sexe dans sa petite chatte humide...
C'est avec une main tremblante qu'elle se saisit alors de la queue de son professeur, elle avait peur de lui faire mal, et tremblait donc tout en ayant la respiration un peu lourde. C'est tant bien que mal, et en bougeant son bassin, que Natsuki parvint à aligner le bout de ce sexe avec l'entrée de sa petite chatte...puis la jeune femme entreprit de s'abaisser dessus.

Ooooh senseï...hmmm...

Natsuki-chan avait beau l'avoir déjà sentie en elle, cela ne changeait rien au fait que cette queue était longue et large, et de fait lui donnait l'impression de l'écarter de l'intérieur. Heureusement elle mouillait bien, et parvint peu à peu, avec des précautions, à finalement s'empaler en entier.

Aaaah oh c'est...elle est si grosse en moi senseï...

Natsuki ne sachant alors pas trop quoi faire décida alors d'essayer de se laisser aller à ce que son corps lui dirait, elle posa alors ses deux mains fines sur le torse poilu de son professeur pour prendre appui, et commença à remuer son bassin pour faire bouger la grosse queue en elle.

Est-ce que...ça...ça vous plait...senseï?

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