The Multiversity

Theorem vivait une de ses situations préférées... Il était véritablement en train de sucer son dominant dans ce lit aux draps de latex, exposant son arrière-train à un miroir pendant que son homme en tenue de latex téléphonait avec sa maîtresse. Le combo était fatal et la petite goutte qui tomba au sol depuis sa cage ne pouvait être que du liquide séminal alors qu'il se dédiait au plaisir de son possesseur. Seule sa bouche devenait son organe sexuel et vu les marques de rouge à lèvre qu'il laissa sur ce mât gonflé, Theorem se donnait à fond. Tout en s'appliquant à réaliser une de ses meilleures fellation à son homme, il caressait les cuisses de ce dernier pour sentir le latex couiné sous sa main. C'était grandiose ! Et rapidement, l'érotisme atteignit un autre sommet quand Chengzu exposa la prouesse qu'il réalisait à Ishtar. La dragonne, avide de ces moments, laissa de côté ce qu'elle faisait pour se masturber à son bureau en regardant la vidéo.

"Rrrr... En voila un bélier bien chanceux... je vois que vous profitez bien de la lune de miel, hahaha !"

Le Haiena se sentit bien exposé. Il aurait préféré garder ce moment intime entre lui et son homme, mais le stress d'avoir un voyeur en plus le rendit encore plus excité. Il accéléra le rythme et sentit que son Maître allait bientôt lâcher sa purée. Sous cette intuition, Theorem ajusta son rythme... Il n'accéléra pas, non non... Bien au contraire, il prit un autre rythme qui donnait toujours du plaisir à son utilisateur, mais il s'agissait surtout d'une sorte de plateau... Theorem était bien décidé à faire durer la chose. Au bout d'une vingtaine de minutes de plaisir, de maestria de la gorge, d'une baise orale indécente et alternative...

*Il n'a encore rien vu de tout ce que j'ai apprit au Lupanoir... Je vais le rendre accroc...*

Theorem stoppa un moment pour sucer sa verge par le côté, faisant la technique de la banane, écartant une de ses joues en suçant ce sexe... Il lécha même toute sa hampe par le côté en massant ses testicules... Puis pompa ses boules en le masturbant de sa main droite couverte de latex... Ses techniques étaient variées et redoutables ! Theorem continua avec envie sur ce membre tendu avant de le sentir vraiment au bord d'explosion. Le travestit reprit donc ses mouvements mais prit une inclinaison particulière... Il montait et descendait sur ce pénis, donnant juste la succion nécessaire quand il se "retirait", comprimant ce sexe avec sa langue contre son palais quand il "entrait"... C'est bien simple, Theorem donnait à Chengzu les mêmes sensations d'une bonne baise vaginale avec sa seule bouche ! C'était absolument fabuleux ! Theorem se donna à fond, déployant tout son talent pour offrir à son chéri les talents premium qu'il donnait à sa clientèle d'élite.

*C'est pour toi mon chéri... Une fellation à 10 000 Ke !*

C'était le professionnel qui parlait, mais aussi l'amoureux transit de vouloir faire un cadeau hors de prix à son homme... Quand enfin le bélier fut au seuil de jouir, le Haiena s'enfonça au complet. Il pompa furieusement quand l'orgasme de son homme arriva. Son fluide fut avalé au fur et à mesure, même si une petite giclée passa la parois nasale pour sortir d'une de ses narines. Theorem resta en apnée, continuant sa pompe à intervalles réguliers puis de plus en plus bas... Enfin il se retira en gardant son gland en bouche et le retira en faisant une bise sur le gland. Il n'eut qu'à ouvrir sa bouche en grand pour montrer tout ce sperme avant de fermer cette dernière, de faire quelques mouvements de langue pour le savourer... Une déglutition bien sonore plus tard, le Haiena rouvrit sa bouche pour la montrer vide.

"Huf... Huf... Dit-moi que c'était la meilleure fellation de ta vie..."

En matière de sexe oral, Theorem était un amant très talentueux. Cela, Chengzu ne pouvait pas le lui ôter. Il avait vu son talent, il l’avait senti au plus profond de sa chair, en comparant cela à d’autres. Quand Alice ou les concubines du couple le suçaient, ce n’était pas la même chose. Peut-être était-il aussi influencé par ses sentiments à l’encontre de Theorem, mais Chengzu adorait se faire sucer par lui ! Theorem mélangeait plaisir et longueur, et semblait réellement exprimer tout son potentiel ainsi. Il avait beau être dans une position d’infériorité, quand il avait une queue en bouche, c’était lui qui devenait le maître des horloges, qui faisait jouir son partenaire quand il le souhaitait, et faisait durer ça. Ses dents, ses lèvres, sa langue, ses joues, Theorem utilisait tout simplement tout ce qu’il possédait pour offrir à Chengzu une expérience inoubliable. Exquise, cette séance l’était donc, et le bélier soupirait lentement.

Sa main se serrait sur le lit, et s’appuya ensuite sur les cheveux de Theorem, tandis qu’il continuait à le filmer. Chengzu regrettait qu’Ishtar ne puisse pas venir ici. Un moment de détente à trois, cela aurait fait le plus grand bien à leur ménage ! Mais, à défaut, Chengzu pouvait au moins profiter pleinement de la bouche de Theorem ! Il soupirait longuement, et constata que ce dernier avait appris de nouvelles poses, en utilisant ses joues. Difficile de dire ce qui se passait, mais Theorem se faisait plaisir, caressant avec sa main les testicules de son amant.

« Hmmm… Oh, Theorem, putain… !! »

Chengzu était charmé. Il laissait son amant agir avec passion, jusqu’à le récompenser de sa crème. Chengzu commençait somme toute à bien tenir, puisqu’il s’écoula, s’il avait foi en son téléphone portable, plus de vingt minutes avant que son orgasme n’arrive. Sa main se serra alors sur les cheveux de Theorem, et le bélier opta pour ce qu’il aimait. Pour conclure en beauté, il se redressa brusquement. Theorem avait joué avec sa verge dans tous les sens, mettant Chengzu dans un état d’excitation palpable. Il se releva donc, et, empoignant les cheveux de Theorem, se mit à remuer en lui.

« Haa, bordel… !! »

Il inversa les rôles pour ce final, venant baiser la bouche de Theorem, remplaçant toute subtilité par une sauvagerie sexuelle, grognant et bavant sur place. Ses griffes serraient les cheveux de Theorem, et Chengzu sentit la libération arriver ensuite, comme une explosion dans son corps. Son corps tout entier se détendit, et il se mit à jouir compulsivement, tapissant la gorge, puis la bouche de Theorem, de son foutre blanc et chaud. Il gicla copieusement en lui, crachant sa semence pendant une bonne minute.

Chengzu chancela ensuite sur place. Sa queue tressauta encore un peu dans la bouche de Theorem, avant qu’il ne se retire, et retourne s’asseoir. Dans la foulée, il constata que plusieurs cheveux de Theorem s’étaient collés à sa paume. Il avait serré si fort que, avec l’effet conjugué de la sueur et de sa force vampirique, il avait arraché les cheveux.

Reprenant ses esprits, Chengzu sourit en laissant Theorem avaler.

« Oui… La meilleure de ma vie. Ne lui répète pas, mais même Alice ne t’arrive pas à la cheville ! Enfin… Ce sera la meilleure jusqu’à la prochaine fois. »

Chengzu lui sourit alors, visiblement apaisé.

« Cela me fait penser… Je pensais attendre un autre moment, ou qu’Ishtar soit là, mais… J’ai un cadeau pour toi ! »

Il se releva alors, et alla chercher dans leurs affaires. Il ne tarda pas à trouver ce qu’il cherchait, une valise en forme de cœur, et la posa sur le lit.

« Tiens… Ouvre, Theorem. »

Theorem avait offert à son homme la meilleure fellation de sa vie et il en avait eut la confirmation de sa part. Le Haiena avait réussis l'exploit de contenter l'appétit vorace et démesuré de son époux avec seulement sa bouche et il en était très fier ! Certes son corps tremblait toujours d'une intense frustration de ne pas avoir été soulagé lui-même, mais les endorphines relâchées par son cerveau par la fierté d'avoir offert la meilleure fellation à Chengzu lui donnèrent le rush dont il avait besoin pour se sentir contenté... En d'autres termes, il "jouissait" intellectuellement d'avoir offert ce cadeau à son homme ! Chengzu put se rhabiller et se sentir apaisé, mais il alla rapporter un étrange paquet en forme de coeur à Theorem. Le Haiena se questionna sur ce que pouvait bien contenir cette boîte noire et brillante alors que Chen l'ouvrit sous les yeux de son femboy...

"Oulala..."

Il découvrit une tenue, dans un matériaux que son oeil expert reconnaissait sans mal. C'était visiblement le légendaire Lapoxynyle, un latex très haut de gamme, inaccessible aux strates inférieures de la société infernoise... Son porteur le vivrait comme une seconde peau, pouvant se priver de le retirer... Mais elle offrait aussi une protection imparable contre les coups de lames, et même les balles... Celui-ci, probablement riche en adamantium noir mais aussi en émeraude pour son vert si profond et brillant, captiva le regard de son futur porteur... Mais la pièce centrale c'était une cage de chasteté, cette fois complète ! Une authentique ceinture complète qui allait désormais sécuriser le Haiena pour toujours. Cet or si brillant lui fit comprendre que le contenu de cette boîte dépassait probablement les chiffres à six zéros... Il ne put donc se retenir d'un :

"C'est une tenue de chasteté en lapoxynyle !"

Dans les strats aisées d'Inferis, on appelait ça un lock-a-wear. Très bientôt, cette tenue allait devenir le nouveau corps de Theo... Sa version "nue" si on pouvait dire, car la tenue remplacerait cette image de nudité. Ce serait lui, augmenté... Une fois débarrassé de ses vêtements et même de ses bas, Theorem se retrouva exposé, avec son corps montrant deux jambes et un bras droit artificiel, mais aussi un bras gauche couvert de fourrure et se terminant par une patte. Pour commencer, le bélier lui plaça sa nouvelle cage. L'anneau central en forme de coeur passa autour de sa queue et les bandes articulées en métal reposant sur un padding en latex confortable entourèrent ses hanches pour venir s'emboîter sur la cage pénienne. Lors du branchement, les ailes en métal du dragon se dressèrent, symbolisant son verrouillage. Ses testicules étaient bien à l'abris dans une poche de lapoxynyle. Le cadenas en forme de coeur s'emboîta pour verrouiller la parte pénienne et la partie cage, ne laissant plus aucune échappatoire à Theorem... Mais la cage de chasteté n'était rien sans un soutien-gorge de chasteté. Dns le cas de Theorem, c'était deux plaques couvrant ses petits bonnets A avec une structure en forme de coeur trônant au milieu. Quand il passa à l'étape supérieure de mettre la robe bodycon en latex par dessus, les trous dans la tenue trouvèrent rapidement leurs emplacement sur des parties clés de la cage... Le soutient gorge et son coeur central s'adapta avec précision avec la robe, tout comme les anneaux sur sa ceinture de chasteté au niveau des hanches s'adaptèrent parfaitement avec les anneaux de la robe... Le tout se maintenait avec une visserie spéciale qui utilisait le bout de la clé de Chengzu pour être vissée ensemble. Tout se connectait et se verrouillait, que ce soit ses longs gants avec sa robe par des jarretelles au niveau des épaules dont les intersections se fermaient avec des cadenas internes... Tout comme ses bas d'ailleurs. Ses chaussures, des escarpins dont la semelles avait été marquée du symbole d'inferis se fermèrent avec ce même système de fermeture, les condamnant sur ses pieds. La ceinture de chasteté fut conclue par une bande partant de derrière ses testicules, rigide et solide, enfermant son plug anal sertie d'un émeraude, pour passer entre ses fesses et remontant le sillon jusqu'à un dispositif de paiement situé sous l'anneau entourant sa queue... Chengzu conclua cet habillage avec l'ajout d'un collier en lapoxynyle doré rigide à pics ainsi que des bracelets aux chevilles et aux poignets. Theorem était désormais piégé dans cette tenue sexy, élégante, perverse et protectrice...

"Je suis sans doute devenue l'influenceur et pornstar d'Inferis le plus cher de notre pays..."

Et ce n'était pas pur lui déplaire en vrai... au contraire !

Chengzu ne comptait plus le nombre de nuits blanches passées à perfectionner cette tenue. Il avait agi autant par amour envers Theorem que par sentiment de perfection. Les Maîtres Latexands d’Inferis étaient des individus pour qui la confection du latex était un art ancestral, et où Chengzu n’avait été qu’un petit-chien pour eux, un genre de singe savant. Chengzu avait longuement travaillé, et avait utilisé comme modèle la Princesse de Sylvandell, qui s’était volontiers prêtée à de longs essais. Avant de travailler sur du Lapoxynyle, Chengzu avait dû passer de nombreuses heures à traiter le latex, à le perfectionner. Il avait développé ce genre de tenue, que les Maîtres Latexands appelaient « lock-a-wear ». Ces tenues très particulières étaient des tenues d’élite, luxueuses, qu’on utilisait pour des esclaves de renom, et pour préserver leur virginité. En offrir une à Theorem était assez paradoxal pour Chengzu, qui avait bataillé pour que ce dernier soit libre, mais il savait que Theorem se complaisait dans la soumission.

Chengzu avait donc travaillé, jusqu’à pouvoir réussir les différentes épreuves. Il était devenu un Maître Latexand en un temps record, et avait assimilé cela, non seulement à ses propres performances, mais aussi à sa nature vampirique. Il pouvait modifier ses sens, et avait fait cela, jouant sur sa circulation sanguine, pour mieux ressentir les fines ondulations du latex avec ses mains, lutter contre les tremblements nerveux de ses mains, et pouvoir ainsi mieux réussir son office.

Il avait donc réussi sa tenue, et sourit en voyant le regard ravi de Theorem.

« Oui, Theorem… Mon premier lock-a-wear, rien que pour toi ! »

Theorem attrapa lentement l’objet, comme une sainte relique, et Chengzu se chargea de le vêtir. Il commença par le déshabiller, et termina en retirant son ancienne cage de chasteté. Il en avait conçu une nouvelle, en deux parties. La partie supérieure de la cage, qui recouvrait le pénis, restait un dragon doré, tandis qu’une partie inférieure, en latex, avait pour effet de recouvrir les testicules. Il commença par l’arrière, positionnant son Theorem nu, et rehaussa ses lunettes sur son nez.

Sentant une sourde excitation naître en lui, il glissa la base de la queue caudale de Theorem dans une encoche en forme de cœur, puis mit la ceinture, et termina sur le devant, glissant sa verge dans la partie supérieure, puis referma lentement le sac sur les testicules. La gueule du dragon était ouverte pour lui permettre d’uriner. Chengzu posa le premier cadenas sur la partie supérieure de la cage de chasteté.

*CLICK !*

Chengzu enfila ensuite le reste, lentement, prenant de longues minutes pour tirer sur le Lapoxynyle. Avec fascination, il vit le latex adhérer à sa peau, formant comme une sorte de seconde peau. La texture était vraiment unique en son genre ! Il attacha lentement et patiemment la robe de Theorem, une belle robe noire avec des reflets verts rappelant la couleur de ses yeux. Chengzu ne soufflait mot, il était concentré sur son office, et ne pensait à rien d’autre.

Il attacha les lanières des jarretelles à la cage de chasteté, utilisant des boucles spécialement pensées pour, et utilisa deux cadenas sur chaque côté pour retenir l’ensemble.

*CLICK !*

La prochaine étape fut ensuite d’utiliser un plug anal très particulier, serti d’une émeraude récupérée dans les mines de Nachtheim. Il attacha le tout, et enfonça le plug, qui se mit à vibrer doucement, tandis que le plug était relié à un petit appareil numérique situé le long de son postérieur. C’était un cadenas numérique. Pour déverrouiller le plug, il fallait payer sur le programme informatique qui faisait fonctionner le cadenas, et le temps d’utilisation dépendait de l’argent qu’on y mettait.

Enfin, Chengzu termina par les escarpins et les bracelets autour de ses gants.

*CLICK !*

Les escarpins scellaient définitivement ses collants, puis il enfila ensuite une paire de longs gants soyeux et élégants. L’un se terminait par un gant vert, tandis que l’autre se terminait à l’avant-bras, laissant sa main de fourrure libre. Chengzu avait également des décorations en forme de crânes, qu’il posa sur les épaules de Theorem, donnant à l’ensemble un petit côté gothique bien prononcé.

Récupérant deux autres cadenas, il mit ensuite sur les poignets de Theorem des bracelets dorés, élégants, preuve de sa soumission ultime, qu’il attacha avec les cadenas, scellant ainsi les gants.

*CLICK !*

Il ne restait dès lors à Theorem plus qu’un moyen de sortir, alors Chengzu récupéra son collier, un beau collier de chien de luxe, doré, qu’il mit autour de son cou. Il le ferma derrière en serrant un peu. Là aussi, le collier pouvait se serrer naturellement pour étrangler Theorem, rajoutant à leurs ébats le plaisir de la strangulation sexuelle.

Récupérant son dernier cadenas, Chengzu l’attacha dans le cou de Theorem, l’empêchant de retirer la tenue par le haut.

*CLICK !*

Cette fois, Chengzu s’écarta, et sourit en l’observant.

Son amant était magnifique !

La tenue lui allait à ravir, et Chengzu avait de nouveau une belle érection.

« Voilà, Theorem… Je pense que tu portes effectivement une tenue assez onéreuse pour t’acheter toute une maison de luxe. »

Elle lui allait également à ravir. Impossible à retirer. Le lapoxynyle était pensé pour être porté continuellement, et pouvait se nettoyer sans difficulté. L’idée était de ne jamais retirer cette tenue, qui adhérait au corps. Plus le temps passait, et plus la tenue pouvait adhérer, d’après ce qu’on disait.

« Alors, tes premières impression, mon chéri ? »

Il était curieux de savoir que Theorem ressentait !

Theorem se sentit enfermé dans cette tenue de latex. La sensation allait même plus loin car on pouvait dire qu'il se sentait "contenu". C'était à la fois rassurant et sécurisant. Cette nouvelle peau ne craindrait ni les lames ni même les balles. Peu de monde pouvait s'en payer et Theorem serait à jamais lustré et brillant... A chaque bruits des cadenas qui se fermaient, il avait un frisson indescriptible que chaque étape le rapprochait d'un niveau de perfection dont il ne pourrait revenir en arrière. Une fois piégé dans sa tenue et le cadenas de son cou verrouillé, ce n'est qu'à regret que Chengzu retira ses mains de son corps. Il l'avait palpé tel un objet de valeur, tel une poupée hors de prix... Et il avait doré ça ! Theorem se retourna vers un des miroirs pleins pieds autour du lit et son souffle s'arrêta. Il s'observa un moment, interdit... Sa main vint caresser en douceur son collier doré alors que l'autre venait caresser le latex de sa tenue. C'était comme si sa peau venait d'être augmentée... Il portait désormais les crânes à cornes de la Maison von Nacht sur ses épaules. Il remonta un peu sa tenue pour voir sa nouvelle cage de chasteté dorée... Theorem était désormais une sorte de jouet ultime, exubérant, dispendieux, luxueux... Il percuta enfin.

"Ceci est mon nouveau corps nu..."

A cette phrase, son anus se contracta sur son plug anal, son pénis eut un sursaut dans sa cage de chasteté, laissant échapper une goutte de présperme qui tomba au sol. C'était on ne peut plus juste... Jamais il ne pourrait s'en débarrasser. C'était ça sa nudité... Il s'observa encore un moment, faisant sortir sa langue pour montrer son piercing, jouant avec ses cadenas, le pan de sa robe... Il était définitivement le jouet de plaisir ultime selon les critères du luxe infernois. Theorem se retourna pour regarder son homme, se blotissant contre lui.

"Merci mon homme... Merci ! Elle me plait tellement ! Avec ça, je suis une publicité vivante pour toi... Je m'exhiberait fièrement pour que tous mes sponsors et mes fans voient ton travail d'orfêvre... Je ne porterais que du latex de chez CvN désormais !"

Montant sir la pointe de ses escarpins verrouillés, il embrassa son homme, roulant sa langue avec la sienne avant de le regarder un moment avec grand plaisir. Cette transformation l'avait grandement excité...

"Et maintenant... Maître Chengzu ?... Le bélier sauvage veut s'amuser avec son nouveau jouet ?... Ou m'a bouche l'a épuisé juste avant ?..."

Petite provocation sexuelle... Mais la main droite de Theo qui alla à l'aventure de la verge de Chengzu savait qu'il trouverait un mât bien dur, prêt à lui ouvrir le fondement.

"Shad m'a dit que tu savais faire deux verges... Je suis prêt à les prendre toutes les deux ! Après tout, j'ai pris ta queue et celle d'Ishtar plusieurs fois en même temps..."

La richesse du Lapoxynyle venait aussi de l’incroyable difficulté à concevoir cette tenue. Devant être portée à vie, la tenue en lapoxynyle n’existait que sur mesure, et il s’agissait de mesures extrêmement précises. Une fois la tenue en lapoxnyle enfilée, le porteur pouvait changer de poids, mais, lorsqu’on la mettait, elle devait être calquée au pouce près. Une seule erreur, et la tenue était un échec, ce qui représentait un beau gaspillage d’argent. En comptant le coût du matériau et le temps de fabrication, une telle tenue représentait aisément plusieurs milliers de pièces d’or, soit l’équivalent d’un bien immobilier. C’était donc un trésor rare, car il fallait des semaines, au moins, pour concevoir cette tenue. Et on parlait d’une tenue qu’on ne devait pas retirer. Elle devait se laver et s’entretenir naturellement, se nettoyant comme la peau humaine. Cela nécessitait également d’enchanter la tenue. Fort heureusement, Chengzu était un vampire du clan Warren, et l’un des membres du clan était une enchanteresse, Décatis Cryptinna. Cette enchanteresse avait réussi à finaliser la tenue.

Chengzu avait passé du temps, assurément. Il avait reçu ce latex de qualité rare, et s’était aidé des nombreuses mesures faites sur le corps de Theorem. Tout son corps devait être mesuré. La taille, la hauteur des jambes, l’ossature, la corpulence, la circonférence du fou, de chaque doigt, de chaque orteil, même l’épaisseur des fesses… Tout cela était très compliqué, et c’était un travail d’orfèvre. Chengzu l’avait réussi, ce qui faisait donc désormais de lui un Maître-Latexand d’Inferis.

Tout en enfilant la tenue sur le corps de Theorem, il se dit qu’il allait devoir écrire à la guilde des Latexands d’Inferis pour confirmer la fin de sa formation. Ses mains se posèrent sur les épaules de Theorem. Il était dans son dos, et l’enlaça par l’arrière, frissonnant contre lui.

« Tu es mon chef-d’œuvre, Theorem… Mais je ne te cache pas que la réussite de cette tenue me permettra de devenir un Maître-Latexand. Je t’emmènerai auprès de la guilde, ils t’examineront sous tous les angles pour voir si la tenue est conforme. »

Chengzu en avait fait du chemin ! L’honorable gantier itinérant était devenu un maître dans le latex, et bénéficiait déjà d’une forte promotion par ses relations, par sa femme, le clan Warren, ou la Princesse de Sylvandell. Sa verge commença à se durcir quand Theorem se retourna et l’embrassa. Leur baiser dura un certain temps, leurs langues jouant ensemble, puis Theorem évoqua ensuite la verge de Chengzu… Ainsi que certaines de ses capacités.

« Oh… Tu en as entendu parler, donc ? »

Chengzu découvrait continuellement ce que ses capacités vampiriques lui permettaient. Sa mère vampirique, Mélinda Warren, ne savait pas ce qu’il ferait. Il était un hybride, après tout, et Vanillia lui avait expliqué que les mélanges génétiques pouvaient produire des phénomènes particuliers. Elle-même en savait quelque chose, puisque Vanillia était à la base la fille d’une elfe et d’un démon, puis vampirisée ensuite.

Le bélier se concentra alors, et sa verge durcit contre les fesses de Theorem.

« Soit… Sache que la tenue est renforcée… Elle a été conçue pour résister aux griffes d’un vampire… »

Chengzu grogna encore, et ses ongles s’étirèrent, tandis que ses pupilles prirent une teinte rougeâtre. Theorem put alors sentir les pointes s’enfoncer dans ses épaules. Chengzu le griffait, et poussa un grognement plus bestial, vampirique. Il concentrait l’afflux sanguin à hauteur de sa verge, lui faisant atteindre une taille phénoménale. Sa queue prit une teinte rouge qui, en d’autres circonstances, aurait pu inquiéter. Chengzu cracha enfin de la salive quand sa verge se subdivisa.

Deux verges se formèrent, l’une au-dessus de l’autre, et il gronda ensuite, la respiration lourde et haletante. À ce stade, il aurait pu baiser n’importe qui. Chengzu poussa alors, et Theorem tomba en avant, sur le lit. D’une main, Chengzu écarta son plug anal, et, de l’autre, empoigna ses cheveux, puis tira en arrière sur sa tête.

« Rrrrrrr… !! »

Ses deux verges se rapprochèrent du fondement de Theorem, mais celui-ci n’était pas encore assez dilaté pour supporter les deux verges. Chengzu glissa donc ses doigts en lui, et prépara la zone, enfonçant ses doigts, puis remua encore. Ce fut finalement sa main qui s’enfonça en lui, et il serra les cheveux de Theorem avec l’autre main, dilatant son fondement, écartelant son cul. Avec une femme, il pouvait s’enfoncer dans chaque trou, et c’était pour ça qu’il n’avait pas évoqué ce pouvoir avec Theorem…

…Car il ignorait si son amant pourrait survivre à ses deux verges nichées en lui !

Theorem se retrouva soudainement à genoux sur le lit, puis à quatre pattes. Le miroir face à la tête de lui permettait au femboy de voir toute la scène... Même les yeux rouges menaçants de son homme. Il s'en mordilla la lèvre inférieure alors que l'arrière de sa ceinture de chasteté fut ouverte. Son postérieur était à la merci du sexe disproportionné et dédoublé de son dominant. Là il savait que sa tenue allait être étrennée par ce sexe terriblement décadent... Empoigné solidement par les cheveux, il sentit la main de son homme le doigter avec force. Deux... Trois... Quatre... Le pouce... Theorem serra un peu les dents mais relâcha ses muscles au maximum... Il avait été entraîné, façonné par le sexe... Par des années de servitude... des mois de prostitution... Si son homme voulait pouvoir le fister à n'importe quel moment, c'était son devoir d'y arriver !

"Gnnnn ! Ca va rentrer ! Je le sent... Tu... Haaaa ! Tu met ta main en moi !!!"

Il poussa sur ses muscles pour faciliter l'insertion alors qu'il était en train de prendre le poing de son homme en lui. Theorem transpirait comme une bête, c'était physiquement éprouvant mais il ferait tout pour satisfaire Chengzu... Et il n'était pas motivé par l'argent... Juste par dévotion et amour ! Ses mains se serrèrent sur les draps en latex alors qu'il se faisait durement fister le cul. Pendant cette préparation, il ne put s'empêcher de s'imaginer dans ce conseil des Maîtres Latexands... Il les imaginaient vêtus de tenues d'une richesse et d'une classe incroyable... Et lui au centre, toisé sous les regards critiques... Sous les mains baladeuses... Il se voyait déjà manipulé par eux, pour voir le travail en détail de Chengzu. Et bien sûr... Leurs belles érections qu'il allait susciter. Theorem serait prêt ) tout pour que Chengzu soit accepté dans ce cercle... Même sucer la queue de ces parfaits inconnus gratuitement...

"Ah fuck ! Je te sens en moi ! Gnnn !!!"

La main de son gantier s'amour était au chaud dans son fondement. Theorem était bien ouvert et c'était ça que ses clients aimaient chez lui... Une élasticité et une étroitesse qui allait à toutes les verges... Quand le bélier se retira, il laissa un trou bien ouvert, dilaté au maximum... Theorem soupirait d'aise, les yeux un peu révulsés, dans un monde de soumission et de plaisir tabous... Il allait se prendre deux verge en lui... Et les deux étaient à son homme... Il agita son cul endoloris avant de lui faire un grand sourire par l'entremise du miroir devant eux.

"Fourre-moi, mon homme ! Han je t'aime !"

Chengzu parlait peu. Pas assez. Avec les deux verges, le désir éclatait furieusement en lui, et il devait réussir à contrôler une telle énergie, une telle soif. Ce n’était pas facile, indéniablement ! Chengzu grognait sur place, et se répétait dans sa tête les leçons de sa mère vampirique, pour contrôler cela. Sa main remuait dans le cul de Theorem, et il sentit les parois anales de ce dernier se dilater rapidement. Theorem remua sur place, gesticulant, tout en encourageant Chengzu à agir, à y aller plus profondément. Il continuait à le sodomiser, plus lourdement, jusqu’à retirer sa main. Passablement excité, Chengzu se redressa ensuite.

Il posa ses deux mains sur le beau cul de Theorem, immobilisant ce dernier, et caressa sa longue chevelure rousse, l’observant. Il était si beau ! Son amant, son amour… C’était bien lui ! Chengzu s’était aussi marié avec Ishtar, bien sûr, mais sa relation avait toujours été avec Theorem. C’était pour lui qu’il avait évolué, qu’il était devenu ce qu’il était devenu… Ou, plutôt, c’était grâce à Theorem que Chengzu avait évolué, que la chenille était sortie de sa chrysalide pour devenir un magnifique papillon. Et quel papillon ! Oh, il se sentait mieux, maintenant. Avec le recul, Chengzu avait toujours le sentiment que son itinérance n’était qu’une forme de fuite, comme un refus de s’avouer ce dont il bénéficiait déjà. Mais plus de fuite, il se devait d’admettre ce qu’il était, et d’en tirer les conséquences.

Sa main se retira du cul déformé de Theorem. Il l’avait bien ouvert, et se rapprocha donc. Sa main serra les cheveux de Theorem, et il les tira en arrière, relevant le cou du jeune homme, et sourit ensuite, ses deux verges s’enfonçant dans son cul.

« Hmmm… ! »

Chengzu avait développé cette double verge en compagnie de sa mère vampirique, Mélinda, et il était passé en mode « berserk », perdant le contrôle. Les vampires connaissaient cet état, qui se développait quand ils manquaient de sang. Ils devenaient alors des monstres. L’absence de sang leur faisait perdre la raison, mais cela valait aussi pour un afflux trop rapide de sang. Avec deux verges, le choc était normal, il fallait s’y habituer. Chengzu s’y était donc habitué, mais il fallait bien reconnaître que l’effort fourni restait toujours aussi intense.

Il le sodomisa donc, et grogna sur place, donnant dans la foulée une grosse claque sur son cul. La claque résonna dans la pièce, et il serra sa main sur sa crinière rousse, tirant encore dessus avant de relâcher légèrement la pression, et le fessa encore.

« Hmmm… Putain, tu as un de ces culs, Theorem ! Haaa… Je vais te ravager le fondement, mon beau ! Crois-moi, tu vas avoir du mal à poser tes fesses sur quoi que ce soit de solide quand j’en aurai fini avec toi ! »

Il fanfaronnait… Mais, après tout, il avait quand même deux verges en même temps, il fallait bien s’y attendre !

Le reste de la nuit fut rythmée par les gémissements, les cris, les bruits de bête sauvage et de sexe immodéré... Cette nuit fut l'une des plus décadentes et des plus indécentes. Ce ne fut qu'au petit matin qu'enfin le calme revint. Theorem trônait au milieu du lit, sur le ventre, tel un pantin. Il respirait encore doucement, entre gémissement et souffle court. Ses bras étaient un peu éloignés de son corps, dont une des mains serrait encore passivement le drap en latex noir sur lequel il reposait. Ses jambes étaient encore un peu écartées, les pieds infléchis vers l'intérieur. Avec sa queue animale sur le côté et sa robe relevée, on voyait nettement son postérieur aux fesses rougies. Son anus d'ordinaire serré était ouvert et se contractait par moment pour essayer de récupérer d'une telle débauche.

"Uh... Uh... Uh..."

Un flot de sperme avait coulé de son orifice et maculait autant ses fesses, ses testicules, ses cuisses et le matelas sous lui. La base de sa queue animale avait les poils totalement ébouriffés, preuve que son maître lui avait empoigné cette dernière avec beaucoup de hargne. ce qui tranchait aussi avec ce spectacle de stupre, c'était sa tignasse rouge toute ébouriffée. Un de ses odango reposait à côté de lui, probablement arraché pendant cette nuit de folie, l'autre tenant à peine dans ses cheveux. Une de ses mèches de devant était beaucoup plus basse que l'autre, signe d'une fellation intensive de la part de son dominant. Son maquillage avait totalement coulé et c'était étalé sur son visage. Il remua un peu, cherchant à émerger de cette baise démentielle.

"... Uuuh... Mon cul... est détruit..."

Mais pour le moment il était trop douloureux pour bouger. Il voyait à peine la figure de son homme, assis sur le bord du lit, dont les volutes de fumée de sa cigarette voletaient autour de lui dans la lumière diaphane du petit matin. Son homme... Il l'observa en silence, se mordillant un peu la lèvre inférieur. Il le trouvait si beau... Et cette nuit intensive était tout simplement la preuve que niveau sexe, il allait avoir le maximum. La main faible et fatiguée de Theorem remonta jusqu'à celle de Chengzu qu'il enserra mollement, cherchant surtout du contact.

"Gnn... Tu me portes... Jusqu'à la baignoire ?..."

Ils baisèrent toute la nuit. De fait, si quelqu’un avait eu la curiosité d’installer des micros, il aurait pu croire qu’on était en torturer une personne. Theorem hurla, Chengzu rugit, et la chambre se transforma en un champ de bataille sexuel. Puisant dans ses réserves vampiriques, le bélier s’avéra fidèle à sa réputation. Il défonça méthodiquement et énergiquement le corps de Theorem, sa double verge lui pilonnant le cul pendant une bonne grosse demi-heure avant de premiers jets crémeux, qui vinrent tapisser le fondement de Theorem en profondeur et son dos, zébrant ce dernier. Plus que jamais, la réputation du Lapoxynyle se montra à la hauteur, puisque, malgré les griffures, les morsures, les coups, les projections, la tenue de Theorem ne se déchira pas à un seul moment. Elle ne se fêla point, elle ne se fissura pas, et tint le coup. Chengzu, lui, continua à le prendre, grognant, éructant, le serrant contre les murs. Des meubles vacillèrent, des tableaux tombèrent, et les draps n’eurent pas la résistance de Theorem. Chengzu éventra même un oreiller en le serrant fortement, le déchirant d’un coup sec, faisant voler des plumes dans tous les sens.

Quand l’aube arriva, Chengzu fumait tranquillement. Il était en sueur, et, tandis que les rayons de l’aube éclairaient la chambre, il fumait doucement. Il avait retrouvé une seule verge, et était sorti de cette frénésie sexuelle. Affalé sur le lit, Theorem respirait encore... Ce qui était un bon point. Même Chengzu, malgré son endurance vampirique, était en sueur, sa peau semblant luire sous la sueur qui s’y amoncelait. Il avait soif, et avala une gorgée d’eau, séchant ses lèvres moites. Il contempla les murs, qui étaient globalement tous tapissés de sperme à divers endroits. On aurait pu croire qu’un bukkake avait eu lieu, mais c’était du fait de Chengzu.

Il sortit de ses pensées quand Theorem commença à émerger, et demanda à être conduit à la baignoire. Chengzu était pour le coup nu. Ses vêtements n’avaient pas supporté cette nuit. Mine de rien, Theorem avait aussi des griffes, et, quand Chengzu l’avait pris contre le mur, ou avait enfoncé sa trique dans sa bouche au point de l’étrangler, son amant avait griffé. Chengzu s’était débarrassé des lambeaux, mais il avait des tenues de rechange. L’homme se retourna vers son amant, et arqua alors un doux sourire sur ses lèvres.

« Oui… Mais il va falloir que je m’abreuve de sang ensuite. Vu tout ce que ma queue a lâché, je suis à plat. »

Le sang de Theorem était une possibilité, mais cela achèverait le jeune homme. Chengzu allait devoir trouver des proies, peut-être les domestiques qui allaient venir ? En tout cas, il commença à se relever. Posant ses pieds sur le sol, il se releva, et attrapa ensuite Theorem. Il le souleva alors, et, un peu comme on aurait tenu un jeune marié, le souleva dans ses bras, en position allongée contre son torse. Il lui sourit en croisant son regard.

« Tu vois ? Le Lapoxynyle a tenu… Je vais te laver avec... »

Chengzu rejoignit calmement la salle de bains. Il déposa Theorem sur une cuvette de toilettes dans la salle de bains, et ouvrit les robinets, envoyant l’eau dans la baignoire, non sans avoir pris soin de verrouiller préalablement le siphon d’eau.

« Je crois que te voir comme ça, ça me motive particulièrement, mon beau... »

Chengzu allait-il rester sage pendant la séance de nettoyage ? Il n’était pas un vampire pour rien, après tout !

Theorem savait qu'il pouvait compter sur son homme pour s'occuper de lui. Il se sentit soulevé par le bélier tel une princesse. Le jeune Haiena lova son visage contre son corps masculin, se collant contre lui. Il vivait là un moment plus doux par rapport à ce qu'il avait connu juste avant. La bestialité du bélier avait maintenant laissé place à un peu plus de romantisme. Pour consolider tout ça, il fut amené dans la salle de bain. Assis sur une toilette, il regarda le bélier faire couler l'eau du bain. Dans peu de temps il allait être lavé et en prime son nouveau latex allait être comme une extension de son corps. Il se mordilla la lèvre inférieure avant de doucement écarter sa cuisse sur le côté, révélant l'intérieur de cette zone, dévoilant une belle surface de peau passant du pli de son aine au bas en latex qui recouvrait la moitié de sa cuisse.

"Si tu es en manque de sang, mon amour... Rappel toi que le miens est sucré et unique... Un tiers de sucrosol artificiel pour mes prothèses, deux tiers de groupe B, rhésus positif... C'est ton préféré, si tu passes sa couleur beaucoup plus sombre que le sang humain dont tu as l'habitude..."

Le sang un peu noir des Dongos comme lui avait sûrement de quoi dérouter, mais pas Chengzu qui devait en avoir l'habitude. Même épuisé par une nuit de débauche absolument folle, il avait encore assez de réserve pour offrir sa peau parfaite aux crocs de son homme. Lui de son côté allait vouloir un délicieux petit déjeuner... Et puis il était certain que Chen allait le récompenser après coup. Theorem caressa doucement la zone de peau dévoilée, voulant exciter son homme.

"Montre-moi ton baiser vampirique... C'est pas grave si je m'épuise encore plus... J'ai bien plus d'endurance que tu ne le penses..."

Dit-il en gardant la partie pagne de sa robe relevée. Il voulait juste garder le plus de place possible pour son homme. Doucement il s'avança un peu, caressant le dragon doré entre ses cuisses pour augmenter son excitation... Pour les beaux yeux ambrés de son Maître, il aurait dit oui à tout... D'ailleurs il le mangeait des yeux et restait concentré uniquement sur lui...

"Et ta tenue est magnifique... Tu peux être fier de ton travail... Je montrerais à tes pairs que ton travail est exemplaire et qu'ils peuvent crever de jalousie. Leurs muses seront bien inférieures à moi, haha."

Tandis que l’eau coulait, Theorem comprit que Chengzu avait besoin de sang. Il comptait à défaut sortir dans la rue chasser quelqu’un. Cela serait sans doute mal à Jûichigai, mais Chengzu était habile, il savait comment chasser sans se faire repérer. Theorem écarta alors sonn pagne, révélant ses magnifiques cuisses, suggérant à son homme de mordre là. Le sang de Chengzu s’accéléra, et ses yeux se redressèrent légèrement. Pour les vampires, le sang était une drogue redoutable. Theorem énuméra les qualités de son sang, et il avait raison de le faire. Chengzu aimait le mordre, sauf quand il venait de prendre ses poppers, et autres drogues hallucinogènes. À ce moment, le sang de Theorem perdait de sa pureté, il était tacheté par les impuretés qui filaient en lui. Chengzu évitait donc de le mordre à ce moment-là… Mais ici, dans cette salle de bains, Theorem était propre.

« Une telle invitation, je ne peux pas la refuser. Mais sache que notre séjour ici ne fait que commencer. Tu n’auras pas beaucoup l’occasion de te reposer, mon amour. »

Mais qui mieux que Theorem pouvait endurer ça ? Sous son corps malingre, Theorem était très résistant. Son endurance sexuelle phénoménale aurait pu l’amener à concurrencer les Princes de Luxure de la Déesse Lust en personne ! Chengzu se rapprocha donc, et laissa Theorem s’asseoir sur le rebord de la baignoire. Chengzu s’agenouilla devant Theorem, et caressa ses jambes, fourrant sa tête entre ses cuisses. Il lécha la zone qu’il comptait mordre. Habituellement, on ciblait plutôt le cou, car c’était une zone très intense, et il était plus facile de trouver la veine ou l’artère. L’artère était souvent préférable, car le sang sortait du cœur, et était encore plus intense. Mais, pour moins fatiguer le sujet, la veine était aussi préférable, car c’était le sang qui sortait des organes, venant se renouveler au sein du cœur.

À hauteur de la cuisse, il y avait une veine superficielle, la veine saphène, et une veine profonde. Chengzu avait eu droit à un cours d’anatomie très complet avec Mélinda. Il lécha donc, humidifiant la zone, titillant avec ses dents, afin de voir la veine. Il s’activa ainsi, jusqu’à pouvoir aussi la sentir. Là, contre ses dents. Sa langue glissa sur la peau de Theorem, filant le long de cette veine.

« Hmm… Si près de ta verge, mon chéri… »

Il pouvait sentir la cage de chasteté contre sa joue, et récupéra la clef de la cage.

« Je vais libérer ta queue exceptionnellement… La cage me gêne, et je veux sentir ton sperme après avoir bu ton sang. »

Chengzu ne comptait pas le sucer, il n’en aurait pas besoin. Là, si proche de sa verge, la succion allait forcément donner à Theorem une trique d’enfer. Il existait aussi une veine qui abreuvait les testicules, mais elle était impossible à atteindre. Néanmoins, en jouant sur la veine saphène, qui était somme toute assez proche, Chengzu pouvait stimuler l’artère, accroissant ainsi la quantité de sang qui arriverait dans la verge de Theorem.

Soupirant doucement, Chengzu déverrouilla la cage de Theorem. Il la posa précautionneusement sur le lavabo de la salle de bains, puis se rapprocha du haut de sa cuisse, où il sentait la veine.

« Oh, Theorem… »

Et, sur ce, Chengzu mordit.

Alors que Theorem dévoilait son haut de cuisse parfaitement imberbe et dévoilé par la fin de son bas de latex, il entendit son maître le mettre en garde qu'il n'allait pas avoir beaucoup d'occasions de se reposer... Mais le Haiena trouvait cette mise en garde d'autant plus excitante... Il acquiesça doucement pour donner son approbation tacite avant de voir le bélier approcher. Pour plus de son confort, Chengzu préféra ouvrir sa cage et libérer la verge de Theorem. Pour cela, enlever la partie pénienne décorée en forme de dragon allait être nécessaire, mais le reste du dispositif pouvait rester en place. C'est pourquoi les testicules du jeune Haiena restèrent dans sa petite poche de latex décorée d'un coeur rose. Sa verge de taille modeste fut visible et le travestit regarda son sexe prendre un peu de vigueur malgré le stress de la morsure imminente. Il se permit néanmoins de poser sa main droite gantée de latex sur la tête de Chengzu juste pour apprécier de caresser doucement son ample chevelure bleue. Quelques secondes d'anticipation. Chengzu dévoila ses crocs...

"Oh ! Oooooooooooooooh...."

La morsure fut d'abord cinglante et vive. Mais la seconde suivante elle se changea étrangement en une sensation bien plus agréable. C'était ça l'étreinte des vampires et Theorem en avait fait l'expérience plus d'une fois. Son corps frissonna et une sensation agréable remonta sa colonne vertébrale jusqu'à son crâne et une chaleur inexpliquée inonda son cerveau. Son regard partit dans le vague alors qu'il n'avait l'esprit occupé que par le corps de son homme. C'était une sensation inexplicable et indescriptible, mais à cet instant, juste son physique et son étreinte l'occupait. Chaque circonvolutions de sa matière grise lui transmettaient le désir qu'il avait pour Chengzu... Son corps, ses abdos d'acier, son cul rebondit, ses pecs si bien dessinés, sa belle chevelure bleue, son regard doré, ses oreilles étroites et longues, sa petite queue animale et son énorme bite ! Sa morsure le plongeait dans une sorte de brume de plaisir qui pourtant résumait chaque formes vaporeuses à Chengzu. C'était une des meilleures séances de lavage de cerveau qu'il vivait là, simplement parce que son désir pour le bélier était bien réel ! Il gémissait et lâchait des cris. Son sexe était tendu comme jamais avant de jouir sans aucune stimulation. Il gigotait comme une pucelle sur les toilettes avant de retomber une fois que Chengzu retira ses crocs. Là, Theorem était une vraie poupée de chiffon entre ses bras, plânant encore de toutes ces images agréables qu'il avait eut de son dominant.

"Haaaan... Chengzu... Hmmm... Tu es le centre... de mon univers... Hmmm... Ne m'abandonne jamais..."

Dit-il en cherchant à se tenir à lui. La fatigue, les hormones, les phéromones vampiriques et l'effet euphorisant de sa salive avait fait de Theorem un corps plein de désirs pour le bélier... Et même si les sentiments étaient sincères, ce qui renforçait l'effet, là il était tout particulièrement réceptif à ses charmes !

« L’Étreinte, c’est notre spécialité, Chengzu. C’est beaucoup plus subtil que les non-vampires le pensent, car une Étreinte peut être autant douloureuse que tout agréable. Tout dépend de comment elle est faite, et je parle ici de quelques infimes millimètres de différence. Des différences imperceptibles pour toute autre espèce que la nôtre… »

Chengzu avait bien retenu la leçon. Toute morsure était compliquée selon là où on mordait. Si les vampires privilégiaient le cou, c’était parce que la peau était très fine à cet emplacement, on atteignait donc plus facilement l’artère ou la veine, et la douleur ressentie par le sujet mordu était aussi moins forte. De manière générale, il fallait mordre aux endroits juteux, aux points vitaux. Avec Mélinda, Chengzu avait perfectionné sa connaissance de l’anatomie humaine, ce qui servait aussi pour les rapports sexuels. Le sang était un vecteur de vie, et Mélinda lui avait signalé que les organes génitaux étaient eux aussi irrigués en sang. Sous le désir sexuel, cette irrigation croissait fortement. Les vampires disposaient d’une science très empirique en la matière, et l’accident était exclu. La chose était très risquée, car, si un vampire mordait trop, il pouvait trancher la veine, provoquant une hémorragie fatale.

La douce cuisse de Theorem fut donc assaillie par les crocs de Chengzu. Il avait léché et sucé cette zone jusqu’à trouver l’artère, jusqu’à la sentir palpiter… Et il y dirigea ses crocs. Theorem se crispa sous une douleur naturelle, comme si on venait de le piquer deux fois. Et, comme toute piqûre, la douleur fut temporaire, passagère. Chengzu heurta l’artère, et l’effleura très légèrement. Ce petit canal sanguin était très fragile, alors il l’effleura avec ses dents.

« Une artère est comme un conduit en fonctionnement perpétuelle. Elle dispose d’une paroi assez solide qui l’entoure, et qui se compose de trois tuniques : l’adventice, la média, et l’intima. Tout notre travail, mon chéri, sera que tu sentes ces trois couches en mordant, et que tu ne perces jamais la dernière, car cela risquerait de provoquer une hémorragie. »

Le concept était simple : il fallait mordre pour pouvoir, en suçant, dévier le courant, et absorber le sang, mais que, sans sucer, le sang continue à circuler normalement. Des différences imperceptibles, donc. Chengzu avait même été aidé par des infirmières, puisque la tâche du vampire, toute proportion gardée, ressemblait un peu à celui d’une infirmière cherchant à piquer une veine.

Chengzu atteignit sans difficulté la zone qu’il cherchait, l’artère, et l’effleura… Puis, quand il commença à pomper, la douleur disparut. Comment qualifier cela ? Chez bien des personnes, le manque de sang pouvait varier. Mais Chengzu se débrouillait plutôt bien, et l’absorption de sang créa chez Theorem une sorte de curieux sentiment euphorique. Et il fallait bien admettre que le sang de Theorem était particulièrement agréable ! Quand on y goûtait, on comprenait mieux pourquoi Ishtar imposait à Theorem une hygiène de vie presque irréprochable, et à tout le moins très stricte !

« Hmmm… »

L’homme-bélier absorbait le sang de Theorem avec plaisir, comme on dégusterait un vin précieux et savoureux. Theorem soupirait doucement, et Chengzu sentit sa verge durcir, tapant contrez sa joue. Il remua doucement, frottant sa joue sur son sexe, et sentit son amant jouir. Le sperme éclata contre le visage de Chengzu, et il le laissa faire, laissant son homme jouir.

Chengzu se redressa ensuite, et il suffisait de voir son regard pour sentir le désir brûler en lui. Theorem se mit à lui parler, et un sourire éclaira les lèvres de Chengzu. Il caressa le visage de Theorem, puis l’embrassa tendrement… Un baiser qui dura pendant quelques secondes, jusqu’à ce que Theorem puisse sentir, caressant sa verge, celle de Chengzu… Et, avec le sang de Theorem, son membre était bien durci, solide et assoiffé.

« Oh oui… Tu en doutes ? Ou tu veux juste m’entendre dire que je t’aime, mon Theorem ? »

Il sourit à nouveau, mais un sourire qui se fit cette fois plus carnassier. Il se redressa alors, et retourna brusquement Theorem. Le jeune homme dut s’appuyer contre le mur carrelé, le sexe de Chengzu venant s’enfoncer dans son fondement, le pressant contre la baignoire. La main de Chengzu se déplaça ensuite, et attrapa la verge de Theorem, commençant à remuer dessus, le masturbant. Ce n’était pas tous les jours qu’il pouvait jouer avec la queue de son mari, alors il tenait à en profiter, tout en grognant contre lui, soupirant contre son oreille.

« Tu es… À moi. Tu… Tu seras toujours… À moi ! »

Visiblement, Chengzu avait fait le plein d'énergie car à peine eut-il prit son tribut de sang, il retrouva une envie sexuelle débridée. Pourtant Theo venait de se faire baiser toute la nuit et une bonne partie de la journée d'hier... Maintenant il allait de nouveau servir les pulsions sexuelles de son homme ! Alors qu'il était encore dans la plaisir vaporeux de s'être fait prélever de son fluide vital par son dominant, il se retrouva plaqué à côté de la baignoire, face contre le mur avant de sentir la verge du bélier pointer contre sa rondelle. Il retint son souffle et l'instant d'après il se prit les 20cm de l'Hitsuji tout en sentant sa verge se faire attraper par ce dernier.

"Ha... Haaa ! Haaaeeeeh..."

Son corps était encore bien ouvert de toutes les folies qu'ils avaient fait. Son anus bien ouvert laissa le plein accès au chibre de Chengzu qui vint matraquer sa prostate. Comme Theorem n'avait pas été sujet à beaucoup de stimulation pénienne ces dernières années, il ne tarda pas à avoir des spasmes de plaisir et des tremblements. La fatigue et l'euphorie de la morsure le rendit néanmoins inhabituellement silencieux, ne faisant que des gémissements alors qu'il cédait totalement au plaisir. Son parenchyme cérébral baignait dans les hormones du plaisir et son centre de la récompense en était saturé. Pour le moment il était devenu une poupée gonflable à l'usage de Chengzu qui pouvait à loisir l'utiliser !

"Gnnn... nyuuuu... Aheeeee...."

Son corps tordu par le plaisir et la fatigue ne tarda pas à juter, sans trop d'aide de la main du bélier alors qu'il s'accrochait au mur carrelé. Là Theorem était clairement sa chose, sa propriété... Il pouvait lui faire ce qu'il voulait... Et il n'avait absolument aucune possibilité de faire autrement. Mais le pire, il adorait ça ! Il aurait adoré que sa lune de miel soit éternelle et qu'il vive ici à temps plein... Au moins il pouvait s'éclater comme ça tous les jours !

L’absorption de sang n’avait pas que pour conséquence de régénérer les batteries de Chengzu. Elle stimulait aussi son instinct vampirique, ses pulsions de domination. Il sentait cette vague croître en lui, cette énergie pulser dans son corps. Chengzu frémissait sur place, et pénétrer Theorem avait plutôt tendance à le motiver. Il se rappelait encore de ce qu’ils avaient fait lors de leur mariage, de cette position forte et lourde… Le « full nelson ».

« J’ai une petite surprise pour toi, Theorem… »

Suite à leur séance, il s’était exercé. C’était à la base une position de catch, à qui on pouvait donner une composante sexuelle. Chengzu savait comment y faire, maintenant. Sa verge se retira du fessier de Theorem, surprenant ce dernier. Ils étaient toujours au milieu de la baignoire, et Chengzu était bien décidé à agir, à lui montrer tout ce dont il était capable.

Il se déplaça donc, et se pencha vers Theorem. Pour le soulever, Chengzu se lova derrière, et entreprit de le ceinturer.

« Redresse tes jambes… »

Theorem savait sûrement ce qui allait se passer. En tout cas, le vampire sentit l’excitation sexuelle de Theorem croître. Le plus compliqué était de l’amener à relever les jambes. Pour ça, le mieux était de basculer son poids en arrière, que Theorem se penche vers l’arrière, et que Chengzu puisse ainsi soulever ses jambes. Il le ceintura ainsi, et, après quelques hésitations, les jambes de Theorem se plièrent. Il fallut pour ça que Theorem se redresse un peu, afin de plier les jambes. Chengzu glissa ses mains sous ses mollets, et les souleva ensuite, redressant les jambes de Theorem, puis grogna encore.

Bandant les muscles, Chengzu éprouva la souplesse musculaire de Theorem, jusqu’à relever ses jambes, les rapprochant de sa tête. On aurait presque pu croire qu’il s’amusait à plier son corps. Il fallait relever haut ses jambes, jusqu’à ce que ses mains puissent s’agripper derrière la nuque de Theorem.

« Là… Hrrrrmmm… »

Theorem n’était certes pas gros, Chengzu devait quand même le soulever à bout de bras.. Ainsi fait, sa verge s’enfonça de nouveau dans son cul.

« Tu… Tu t’en souviens, haaaa… Ishtar n’est pas là pour m’aider, mais… Je me suis entraîné… Pour pouvoir te baiser ainsi, mon Theorem ! Ressens toute la puissance de mon amour ! »

Chengzu grogna encore, continuant son office, bourrant joyeusement son amant, pour le plaisir de l’entendre encore hurler, hurler à en perdre la raison.

Il fallait croire que le bain allait encore attendre un peu…

La full nelson... Il s'était attendu à la revivre un jour, mais Chengzu savait que cette position était devenu la favorite de Theorem. Coincé contre son corps musculeux, presque plié en deux, il sentit finalement la verge de son homme entrer dans son fondement alors que ses jambes étaient relevés. Les mains du bélier se croisèrent derrière sa nuque alors que le Haiena se tenait aux flancs de son homme avant de passer ses bras dans son dos. Le gland de son homme s'appuya sur son fondement... il savait ce que la suite lui réservait.

"OhmondieuOhmondieuOhmondieuOhmondieu !"

La verge de Chengzu s'enfonça sous le poids de Theorem. Il se faisait empaler sur sa verge, coincé en deux, totalement à la merci du bélier. Le sexe de Chengzu matraquait sa prostate, l'écrasant sur sa longueur avant de ressortir pour réattaquer dans cet angle parfait ! Sous le plaisir anal qu'il ressentait, la psychée du soumis s'échappa dans le sub space. Sa langue pendait alors qu'il avait un sourire nerveux. Ses yeux se révulsèrent et louchèrent alors qu'il se faisait violemment pénétrer le fondement. Son cerveau cessait tout bonnement de fonctionner quand il ressentait autant de plaisir. Son corps entier tremblait comme une feuille et pour lui, ce moment fut vécut comme une sorte de brouillard nébuleux. Seules les sensations de son corps firent de lui une poupée gonflable aux gémissements dignes du plus décadent des films porno.

"Aheeeeeee !!! Gnnnnnaaaaa !!! Haaa haaaa !!!"

Theorem vivait sa meilleure vie ! Son homme lui offrait un plaisir rare et puissant alors qu'il se faisait baiser par lui. Jamais il n'aurait envie de vivre plus... C'était même meilleur que quand il se faisait prendre en double car il restait assez lucide pour apprécier tout ça. C'était l'apothéose de leur nuit de folie ! Le jeune Haiena eut soudainement un orgasme anal, son sexe laissant échapper une giclée blanche qui échoua au sol. Pour autant, il pouvait en encaisser encore.

"Ensemble ! Ensemble !"

C'est tout ce qu'il réussit à dire alors qu'il sentait le sexe de son homme en lui. Lorsqu'enfin la semence du bélier inonda son fondement, Theorem céda au plaisir qu'il retenait... Son orgasme fut fulgurant... et quelque peu sonore ! Les voisins ne tarderaient pas à venir se plaindre ! Theorem perdit presque connaissance alors qu'il s'écroula dans les bras de son homme, épuisé...

Chengzu savait combien Theorem aimait cette position. Lui-même devait bien admettre que, depuis leur mariage, il s’était entraîné pour pouvoir la faire. Suspendre ainsi son amant contre soi, ce n’était pas une chose qu’on pouvait faire intuitivement. L’homme-bélier appréciait aussi cette position pour ce mélange inné de douleur et de plaisir, à un niveau très élevé, ainsi que pour le degré d’humiliation allant avec cette position. Une position qui était certes éprouvante pour Theorem, mais pas indolore pour Chengzu. Ça, il fallait des muscles, surtout quand il n’y avait personne pour vous aider à soutenir le poids de l’amant que vous souleviez comme ça. Chengzu pouvait compter sur ses capacités vampiriques, qui permettaient de renforcer les muscles en jouant sur la circulation sanguine. Ça aussi, il avait appris à le faire. Et Chengzu avait appris à le faire, il était plutôt un bon élève. Maintenant les jambes de Theorem en l’air avec ses coudes, il serrait ses deux mains sur la nuque de Theorem, sentant ce dernier couiner, gémir, hurler d’une voix suraiguë. Les borborygmes qu’il émettait n’avaient plus grand-chose d’humains, et ce concert de cris, de grognements, de soupirs, formait un plaisir jouissif aux oreilles de Chengzu.

« Hmmm… Theorem !! »

Ne pouvant guère en dire plus, Chengzu se contentait de répéter le nom de Theorem, tout en continuant à le prendre. La vague croissait en lui, sa queue douloureuse perforait le cul de Theorem. Il remuait son corps tout en mettant un peu de mou sur ses bras, facilitant ainsi le glissement. Theorem rebondissait ainsi sur lui, son dos heurtant régulièrement le ventre de Chengzu. Avec ses hanches, Chengzu le poussait en avant, donnant des coups de reins supplémentaires. Son amant continuait à se tortiller sur place, jusqu’à ce que, après plusieurs minutes, Chengzu ne se relâche en lui. L’homme-bélier banda ses muscles contre son amoureux, et répandit sa semence en lui. Un puissant orgasme traversa tout son corps, et il bascula en arrière, heurtant le mur, sentant sa queue crachoter dans le cul de Theorem, tapissant son fondement de foutre.

Les deux amants s’abandonnèrent à nouveau au plaisir suprême, et, après cela, Chengzau relâcha le corps de Theorem, qui glissa contre lui. Il le maintint contre lui, l’empêchant de trop basculer, et se laissa glisser avec son amant dans la baignoire. Chengzu respirait lourdement, sentant aussi le contrecoup de cette concentration vampirique qu’il avait utilisé pour durcir ses muscles. Le flux sanguin revenait à la normale dans son corps, et cela entraînait naturellement un effet de choc. Il cligna des yeux à plusieurs reprises, et, quand il commença à émerger, Chengzu récupéra la cage de chasteté de Theorem, et la lui remit doucement, sans même demander à Theorem son autorisation.

« J’ai appris cette position rien que pour toi… C’est la première fois que je l’essaie en vrai. Vu la tête que tu tires, je ne m’en suis pas trop mal sorti… »

Maintenant qu’il était rassasié, Chengzu se montrait plus affectueux.

« Reprends tes esprits, Theorem, notre voyage de noces ne fait que commencer, et je compte bien t’inscrire à ce tournoi sexuel qui aura lieu dans cette ville… Ce sera ta première étape comme idole de Nachtheim. »

Autant joindre l’utile à l’agréable, non ?

Theorem s'était fait baiser toute la nuit et en plus avec en final sa position favorite qui lui arrachait à coups sûr un orgasme puissant. Theorem se réveilla doucement de cette syncope post orgasmique dans l'eau chaude du bain. Bien sûr il portait sa robe et Chengzu pouvait le laver sans aucune crainte. Ce fut une expérience des plus étranges... Mais il allait s'y habituer très vite. Ce bain leur occupa une bonne partie de la matinée avant qu'enfin le jeune Haiena soit prêt. Il se maquilla avec soins, se coiffa à la perfection avant de s'appliquer un parfum léger et agréable. Une fois paré pour sa journée, ils déjeunèrent dans leur grande salle à manger et rediscutèrent ensemble du fait de prendre une femme de ménage... Theorem allait devoir s'équiper d'une esclave pour venir faire les tâches ménagères ici, en plus de devenir une partenaire de jeux sexuelles.

"A notre retour j'irais au marché aux esclaves incognito. Je trouverais bien celui ou celle qui ira parfaitement... Je suis infernois après tout, désormais. C'est mon droit de citoyen de posséder un esclave."

C'était dur de le concevoir, mais quelqu'un qui n'avait jamais eut droit à la propriété ces dernières décennies, n'avait pas forcément le réflexe d'acheter quelque chose pour son compte. Pour autant, c'était son droit... Et puis tous le monde possédait un esclave à Inferis et dans sa colonie, c'était la base... Pour devenir un citoyen accomplit, il allait devoir en posséder un. Il ne primerait pas sur la quantité, même s'ils avaient les moyens. Il voulait une seule personne, et qui irait parfaitement à ses attentes. Une fois le repas terminé, Theorem se colla à son homme, enfouissant son visage dans son cou avant de l'embrasser doucement. Theorem leva son visage vers lui avant de lui prendre doucement la main.

"Tu étais une vraie bête hier soir... Je vais vraiment connaître ça tous les jours ?... C'est tellement bon..."

Il lui sourit doucement avant de venir doucement coincer la clé de sa chasteté pendant à son cou. Il joua un peu avec avant de la lâcher, faisant une tendre bise dessus.

"On a faillit oublier que ton examen d'entrée chez les Maîtres Latexands c'était ce matin... Quand ils viendront, installe les dans le grand salon. Je vais aller me préparer pour être le plus parfait possible."

Si Chengzu réussissait à impressionné les Maîtres Latexands Ryu avec sa tenue, il allait pouvoir intégrer leur loge et devenir une sommité dans le domaine... Theorem voulait mettre toutes leurs chances de leur côté alors il alla dans la chambre aux miroirs pour se faire une beauté digne de ce nom. Il s'appliqua son plus beau rouge à lèvres, perfectionnant son maquillage avant de traquer la moindre imperfection sur son corps. Pour être le plus érotique possible, il se regarda depuis sa coiffeuse et commença à se caresser. Une chaleur inexpliquée l'inonda rapidement alors qu'il se caressait sans pour autant se satisfaire. Il se trouvait terriblement sexy !

*Putain, ils m'ont vraiment rendu tellement parfait et désirable...*

Il finit par entendre la douce sonnerie de la porte d'entrée. Il arrêta donc de se caresser avant de se redresser pour faire face à un miroir plein pied. Là, il prit son shiner à latex et en appliqua généreusement pour être le plus brillant possible. Autant sa peau que sa tenue reflétait les lumières de la maison. Une fois satisfait, entendant les voix des Maîtres Latexands en bas, Theorem descendit pour aller dans l'anti-chambre, une petite pièce donnant sur le grand salon. Il attendit ici que Chengzu l'introduise à ses mentors. Pour garder le suspens de son apparence physique, Theorem enfila une longue cape à capuche recouvrant la totalité de son corps. Il allait rester invisible jusqu'à ce qu'il soit au centre de ces derniers pour se révéler. L'imagination de Theo tournait à plein régime. Il s'imaginait autant de magnifiques femmes dans des tenues extravagantes de latex, que des hommes magnifiant leur masculinité par le latex. Ou alors ça allait être des vieux dégueulasses ? Il en pouffa de rire discrètement... Puis ce fut son tour, Chengzu l'appela. Il inspira profondément et passa la porte du grand salon. La pièce était presque dans la pénombre, uniquement éclairé par les luminaires du plafond. Theorem s'approcha, sans trop les regarder avant de se placer au centre de la pièce. Une fois en place, il défit l'attache de sa cape et la laissa choir au sol. Il était comme un mannequin vivant. Les Maîtres Latexands l'entourèrent et leurs yeux d'experts découpait tout. Ils analysaient la moindre couture, le moindre lien, la moindre imperfection. Des mains vinrent soulever doucement un de ses bras, inspectant la facture de plus près avec des lunettes grossissantes. Une main indiscrète souleva doucement le pagne de sa tenue pour voir sa cage de chasteté, soulevant des questionnements et des surprises discrètes qu'ils marmonnaient entre eux... L'un d'eux empoigna son cul, passant son pouce sur sa jarretelles comme pour s'assurer du plus infime détails... Theorem était détaillé tel une oeuvre d'art, au centre de beaucoup d'attention...

... Et il adorait ça !

Au lendemain matin, l’ambiance dans la Maison des Têtes était très détendue. Chengzu et Theorem avaient fait l’amour une bonne partie de la nuit, au point de s’endormir dans la baignoire. Chengzu avait néanmoins quelques courbatures dans le dos. Une baignoire n’était pas non plus aussi agréable qu’un lit. Tandis que le duo émergeait, Chengzu prépara donc un encas et du café. Vampire ou non, tout le monde avait besoin de se réveiller le matin ! De plus, ce serait une matinée particulière, car les Maîtres-Latexands comptaient venir examiner l’œuvre de Chengzu… Soit la tenue en Lapoxynyle qu’il avait conçu. Chengzu avait tout prévu pour que l’examen ait lieu rapidement. En était-il nerveux ? C’était fort possible, même s’il s’efforçait d’apparaître serein. Cela restait après tout un examen, et Theorem fit de son mieux pour se faire le plus beau possible. Chengzu le laissa se préparer, lui aussi étant conscient de l’enjeu. Si la tenue de Chengzu était validée, cela faciliterait très fortement son intronisation au grade de Maître-Latexand. Lorsqu’ils sonnèrent à la porte, Chengzu se déplaça donc pour les saluer. Ils formaient un petit cortège d’une demi-douzaine de personne, tous en tenue de latex.

Ce qui surprenait chez les Maîtres-Latexands, c’était leur âge. On aurait pu s’attendre à de vieux boucs déconfis, mais le travail de précision qu’exigeait le latex s’accommodait mal avec l’âge. Les Maîtres-Latexands avaient donc des variations d’âges, et Chengzu reconnut parmi eux une assistante, sans doute une apprentie dans une belle robe noire moulante en cuir. Ce fut elle qui sonna à la porte, et elle qui parla.

« Monsieur von Nacht, nous sommes réunis ici pour examiner votre candidature au titre de Maître-Latexand. Comme vous le savez, les Maîtres-Latexands forment une confrérie particulièrement bien réputée à Inferis. Les tenues qu’ils conçoivent excèdent parfois la valeur de petits royaumes. »

Chengzu connaissait tout cela, et n’était pas impressionné. La jeune femme répétait son laïus.

« Les examinateurs que nous avons faits venir vont examiner votre œuvre sous tous les angles. Leur examen fera l’objet d’un rapport qui sera approuvé par les Maîtres-Latexands d’Inferis, et qui sera décisif dans l’examen de votre candidature.
- J’en ai pleinement conscience, et je suis intimement convaincu que vous trouverez mon œuvre tout à fait satisfaisante. »

L’assistante acquiesça, puis on fit venir Theorem. Il vint sous un pagne qu’il retira ensuite, faisant briller sa tenue comme mille feux. Si les examinateurs n’en montrèrent rien, Chengzu sentit leur sang bouillonner. On disait qu’un examen de ce type n’était gagné que quand plus de la moitié des examinateurs avaient une érection. Il était donc plutôt confiant, car il avait après tout choisi un magnifique modèle ! Les examinateurs se rapprochèrent, et commencèrent à palper longuement Theorem, prenant des mesures, pinçant le Lapoxynyle, vérifiant sa solidité, son élasticité. Ce n’était pas une tenue standard, il fallait que cette tenue soit étanche, qu’elle résiste aux intempéries, car elle se devait d’être portée quotidiennement. Tout était donc minutieusement examiné, même les serrures retenant la tenue, afin de s’assurer qu’elles étaient bien placées au bon endroit. Il existait toute une théorie là-dessus, comprenant des schémas anatomiques, l’idée étant que le corps réponde harmonieusement au port prolongé et permanent d’une tenue identique.

C’était un examen minutieux, long, qui pouvait facilement durer une bonne heure… Difficile de savoir comment eux allaient finir, et aussi Theorem, car les palpations se multipliaient sur son corps…

The Multiversity

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