The Multiversity

[Famille Acasia-Purity]

Zaya n'est pas difficile, étant donné que les seules futanaris qu'elle connait sont elle-même et sa mère, avant de rencontrer sa Maîtresse, mais ça ne l'empêche pas d'y avoir une affinité. En tout cas, Zaya ne peut que montrer son affinité avec le sexe. Elle continue avec plaisir, en sachant qu'elle n'est pas dans un endroit où qui que ce soit ne l'engueulerait pour avoir profité d'une chaire interdite. Le concept d'abomination n'existe plus vraiment.

Qu'est-ce qu'elle lit ? Ce qui est sûr, c'est que les livres pornographiques sont rares, très rares, sans pour autant qu'elle n'en ait jamais entendu parler. Donc parler de pornographie est un mensonge. Elle prend la parole, mais ça ne lui empêche pas de la stimuler, en s'y frottant la tête.

"Je lis de tout, étant donné qu'en tant que paria, la lecture est un luxe. Mais je sais qu'il y a des catégories que je n'ai pas lu car ça a été banni par mes grands-parents, et je veux bien tout découvrir."

Par ailleurs, la robe disparait pour laisser place à une tenue d'Eve si confortable pour une succube. Le membre prend une belle taille en étant bien tendue, pendant que Zaya a le droit à un magnifique corps dénué de tout textile. Elle sent par ailleurs une brise passer sur son torse, faisant que ses cheveux se dégagent de la poitrine, pour son plaisir. Faire découvrir ses seins à qui le veut et avec peu d'efforts, elle aime beaucoup ça.

"Oh oui, Maîtresse ! Je fais ça parce que je n'aime pas sentir le textile sur mes seins, mais j'avais déjà remarqué que ça a fait effet sur certains et quelques unes."

Elle commence à mettre sa bouche près du gland, sa langue roulant autour, tout en regardant sa Maîtresse. Elle veut titiller sa Maîtresse avant de vraiment commencer à mettre la queue en bouche, et elle le met directement jusqu'à la garde, l'insérant dans la gorge. Elle laisse le temps à sa Maîtresse de gémir aussi longtemps qu'elle veut, sans bouger, avant de commencer à bouger doucement la tête d'avant en arrière, gémissant et profitant pour lui masser les testicules.

[Valeria]

Zaya était curieuse, s’intéressait à tous les domaines qui lui étaient à portée. C’était beau à voir. Cette fille aurait dû avoir accès aux connaissances, pas en être privée. Quelle famille rétrograde !

« Tu auras accès au savoir, à mes bibliothèques. Je te fournirai plusieurs précepteurs pour t’instruire. »

La fille s’appliquait sur la queue tendue de Valeria, s’enivrait autant qu’elle cherchait à plaire. Son visage se trouvait par moments si proche. Le succube se surprit à s’impatienter de sentir sa bouche sur elle. Elle prit néanmoins le temps de lui parler de sa jolie poitrine.

« Oh oui, Maîtresse ! Je fais ça parce que je n'aime pas sentir le textile sur mes seins, mais j'avais déjà remarqué que ça a fait effet sur certains et quelques-unes. »

Valeria rit et lui caressa la joue d’une main.

« Je t’apprendrai à jouer de tes charmes. L’ingénuité a du bon, mais la technique et l’expérience font toute la différence. Et n’empêchent pas de jouer à l’ingénue ! Je pense que tu vas devenir une jeune femme exceptionnelle. »

Mais l’heure n’était visiblement plus à la discussion car Zaya enveloppa une partie du gland de ses lèvres. Elle laissa sa langue jouer sur le frein, le regard fixé sur Valeria.

Celle-ci le lui rendit avant de la laisser prendre la main. Elle ferma doucement les yeux, les rouvrant par moments pour profiter de la vue mais laissa Zaya progresser sur son sexe comme elle le désirait. Sa respiration s’alourdit, de légers gémissements se dégagèrent par moments de son souffle devenu plus rauque.

Cela dura le temps que Zaya voulut, puis Valeria la sentit glisser sa bouche plus avant le long de sa queue, la gorge arriva rapidement et enveloppa elle aussi le vit turgescent. Un spasme parcourut la succube tandis qu’elle sentait la langue de la jeune femme continuer à avancer le long de sa hampe.

« Hhhh, c’est bien. Cooontinue comme çahhhh… »

Elle se laissa aller plus fort dans son canapé, s’allongea plus encore, la tête renversée pour goûter de manière optimale au plaisir qui lui était offert.

Cela faisant, elle instilla un sentiment de désir intense au couple qui se trouvait plus loin dans la pièce. Elle avait un petit creux et voulait qu’ils copulent en attendant leur tour…

[Famille Acasia-Purity]

Zaya aura donc le droit à de l'instruction. Qu'elle profite de ce genre de choses car elle va en profiter à fond, croquer même la connaissance interdite, surtout qu'elle se doute que pour une succube, il n'y a que peu d'ouvrages d'interdits. De plus, la belle succube va lui apprendre à jouer de ses charmes, et elle ne peut pas y être indifférente. Elle ne va pas se priver de cette vie avec sa Maîtresse, qui va lui offrir beaucoup pour faire d'elle une femme fatale. La belle blonde a vraiment envie de profiter de cette verge. Elle voit que cette fellation lui fait beaucoup de plaisir, alors elle continue, surtout en sentant le spasme de cette belle femme. Elle est encouragée à continuer, elle ne compte pas s'arrêter là. Elle relâche doucement les testicules en glissant un peu plus la tête pour commencer à mettre ses seins entourant la hampe, la coinçant et les bougeant pour lui faire une belle branlette espagnole, sans s'arrêter de faire coulisser ce membre.

Pendant ce temps, Lua et Annabelle sentent le désir intense se faire. Lua y a toujours été sensible, étant une nymphomane complètement assumée. Pour Annabelle, c'est encore récent, et elle est gênée devant une inconnue, même une succube qui lui a elle-même distillée cette envie. Lua n'a jamais eu de problème avec ça, alors sentant ce désir, elle pose sa main sur la joue de sa femme pour la

"Ne t'inquiète pas, ma chérie. Tu vas vite t'y faire, et ça va même te faire plaisir."

La mère futanari embrasse donc doucement sa femme, qui se laisse faire. Après tout, elle l'aime de tout son cœur. C'était un amour interdit, qui ne l'est désormais plus car la succube n'interdit pas ce genre de relations. Lua embrasse la belle en jouant avec sa langue, et une de ses mains se met sur un sein volumineux. Cela fait des années que Zaya n'a plus besoin de son lait, et si c'était arrivé que Lua profite de ce genre d'instants, elle ne l'a plus fait parce que ça a fini par la gêner, donc elle ne l'a plus fait. Par contre, ça n'a pas empêché Annabelle d'aimer ce que Lua lui fait d'autre. La verge de Lua se tend encore plus, au point de sortir de son mini-kimono, et Annabelle ne peut pas s'empêcher de masser ce beau mandrin. Lua se met alors à tirer la robe que sa femme porte pour la mettre seins nus, sans enlever ses lèvres de celles de sa femme, et se met à masser les deux seins de sa noble.

Zaya entend d'ailleurs les gémissement de ses mères, ce qui ne la gêne absolument pas. C'est pas du tout la première fois qu'elle a entendu ça, et elle a déjà couché plus d'une fois avec sa mère Lua, donc elle n'a jamais eu de problème avec ça. Elle se met même à bouger plus rapidement sa tête et ses mains pour mieux la sucer et la branler avec ses seins, rouvrant les yeux pour regarder sa maîtresse profiter à fond de ce qu'elle lui fait.

[Valeria]

Zaya était habile. Elle jouait sur les réactions de Valeria et s’appuyait sur elles pour avancer ses pions jusqu’à obtenir ce qu’elle voulait. Pour le moment, elle ne faisait que faire grimper la température, rien de moins normal, à moins que Valeria ne décidât de la gratifier d’une éjaculation spontanée, il faudrait bien plus de temps pour en provoquer une réelle.

La succube ne se préoccupait pas vraiment de ce que faisaient les mères de son amante du moment. Elle se contentait de goûter au parfum de leurs sécrétions et aspirer un peu de leur excitation pour s’ouvrir l’appétit. Et tandis que Lua décidait sa femme, Zaya la ramena à elle en se redressant quelque peu, assez pour étreindre le bas de sa hampe de ses seins tandis qu’elle continuait de stimuler de sa langue le haut du mandrin.

« Hhhhmmmm pas maaal… Oh ! Oh ! Oh ouiii, comme çaaahhh… »

La succube laissa filtrer un peu de présperme qui alla baigner la langue de Zaya, lui distillant ses phéromones sensuels aux effets aussi immédiats qu’addictifs. Elle s’attendait à une escalade de la part de la jeune femme, mais ne savait pas quelle forme elle prendrait. Elle pouvait envoyer valser la fellation et la chevaucher sans attendre, se mettre à la branler plus intensément, essayer de la traire, augmenter ses stimuli en se lançant aussi sur la chatte suintante d’envie… Il y avait tant de possibilités.

Valeria adorait cet instant où tout était possible, où les décisions n’étaient pas encore arrêtées. Ce bref moment suspendu où, en une fraction de seconde, un destin peut basculer. Celui de Zaya par exemple. Une image d’elle le ventre rond s’imposa dans son esprit. Elle ne savait pas si elle était féconde ou non. Elle pourrait le savoir, mais n’avait pas envie de fournir cet effort. Par contre, elle décida de ne retenir aucunement sa fécondité ce soir. Elle allait chevaucher ses trois nouvelles protégées et adviendrait ce qui devrait. De toute façon, elles avaient du temps devant elles car elles allaient suivre une formation poussée : le domaine des Joally de Clerbois était en sursis et bientôt elles reviendraient en Maîtresses pour le gérer.

****

Au domaine, le fils était monté ses réfugier dans sa chambre. Il se masturbait furieusement en pensant à Valeria, mais petit à petit des images de sa mère intégraient le tableau de ses fantasmes.

Dans le salon, les Maîtres de maison et le majordome se regardaient différemment, même si rien ne laissait encore supposer la suite que les événements prendraient dans les jours et semaines à venir…