The Multiversity

Alice n’était pas une fleur fragile, même si c’est ce qu’on pouvait penser de prime abord. Elle le disait à Gwendoline, et le lui faisait clairement comprendre. Toutefois, Gwendoline ne se choqua pas du comportement plus franc d’Alice, de la manière qu’elle avait de la bousculer un peu, de la pousser dans ses derniers retranchements. Souriant doucement, la Princesse s’en pinça les lèvres, rougissant quand Gwendoline suçota son doigt recouvert de sa mouille. Elle abaissa ensuite le bas de son bikini, et se concentra un peu... Ce qui fit bondir le cœur d’Alice dans sa poitrine. Elle ressentait une sorte d’attirance profonde pour l’hermaphrodisme, et vit la queue de Gwendoline, palpitant doucement entre ses cuisses, un membre veineux et assoiffé. Même Gwendoline semblait être plus dure, comme si elle avait conscience de ce que la Princesse voulait. Celle-ci soupira, et vit alors la femme se rapprocher d’elle. Son sexe caressa ses cuisses, et elle s’empressa de la pénétrer.

« Haaa... »

La tête blonde ne put soupirer davantage, car Gwendoline alla lui voler un baiser. Ses mains se relevèrent, et elle enlaça à son tour la jeune femme, tout en relevant ses jambes, et les enroula autour de son bassin. Alice s’appuya ainsi contre elle, et gémit silencieusement quand elle sentit brusquement la verge de Gwendoline taper en elle. Elle déglutit sur place, et bava même un peu, avant de répondre au baiser de la jeune femme, après quelques secondes d’égarement. Elle couina encore quand Gwendoline tapa encore dans son vagin, et accéléra encore, durcissant et amplifiant le rythme.

Gwendoline commençait peu à peu à prendre le rythme, et rompit le baiser au bout d’un certain temps, complimentant ALice sur la qualité de sa mouille.

« Oh... Haaaa, je... Hmmmm... »

En soi, elle avait envie de lui répondre, mais... Gwendoline venait brusquement d’accélérer le rythme. La table en bois remuait et glissait sur place, tandis que la puissante femme était en train de lui montrer de quoi les employées du Lys étaient capables... Et il fallait bien admettre que c’était impressionnant ! Alice se mit à en hurler sur place, et bascula peu à peu en arrière, jusqu’à s’allonger sur la table, et à sentir Gwendoline la prendre encore.

« Haaaannn... O-Ouuuiii... !! »

Alice hurla encore, savourant pleinement ce qu’elle ressentait.

Encore, oui, elle en voulait encore, elle voulait sentir toute l’énergie de Gwendoline sur elle et en elle !

Pendant que je suis en train de la baiser, je sens ses jambes s'enrouler autour de mon bassin. De toute façon, il fallait s'y attendre. J'ai toujours baisé de façon différente, de la plus douce à la plus sauvage. C'est important pour évaluer et entraîner les papillons. Je joue souvent le rôle d'une cliente qui découvre le sexe et d'une cliente qui a pour habitude de baiser sauvagement. Et puis, étant donné que ça fait un peu moins de mille ans que je baise souvent, je peux me dire que je suis capable de baiser pendant plusieurs jours non stop, en fait. Mais bon, je m'adapte sans problème, lorsque ma partenaire n'a plus envie, je m'arrête. Là, la chère Princesse m'a demandé de la baiser fort, je la baise très fort, limite sauvagement, avec la certitude qu'elle va aimer.

Pendant que ma bite est dans sa chatte, nos bassins s'entrechoquent de plus en plus fort, ce qui fait que ma respiration devient de plus en plus forte. Nos visages sont très proches et lorsqu'on ne s'embrasse pas, je la regarde droit dans les yeux. Alice n'arrive pas vraiment à me répondre. Ce n'est pas très important, de toute façon. La table est en train de secouer tellement la baise est sauvage. Evidemment, je m'attends largement à ce que certaines de mes clientes et/ou de mes collègues sont en train de nous mater en se touchant. Après tout, on est dans un lieu public du Lys, et quand on est dans un lieu public du Lys, c'est obligé que certaines vont nous mater sans gêne.

La Princesse se met à hurler sur place, alors que je commence à peine à haleter de plaisir. Mon endurance est particulièrement élevé par rapport à une humaine normale. Je ne compte pas m'arrêter de la pénétrer tant que ni elle, ni moi ne jouisse. De toute façon, même avec cette force de pénétration et cette vitesse, ça se sent. En attendant, du pré-sperme a déjà été sorti. Je me refuse de ralentir car je risque de décevoir la Princesse, sinon. De toute façon, je suis très endurante. Aussi endurante qu'une succube, je ne sais pas trop, mais très endurante par rapport à une humaine normale, ça oui.

Cette baise lui plaît, c'est une certitude. Combien de temps est-ce qu'on va baiser ? Je ne sais pas, en fait. Mais peu importe combien de temps ça va durer, on va en profiter un maximum jusqu'à ce que l'une d'entre nous sera épuisée. Ce sera sûrement Alice, mais je ne retire en rien la possibilité que ce soit moi.

La jeune Princesse était l’expression même d’une fausse timide. Oh, elle rougissait facilement, car les compliments la flattaient et la gênaient. Elle se montrait habituellement humble et simple, appréciant les choses simples de la vie, et savourant de pouvoir vivre sur Terre, où on la considérait comme une femme avant de voir en elle une Princesse. Mais, sous cette couche de timidité, il y avait en elle un désir ardent qui brûlait pleinement. Ici, au Lys, elle pouvait laisser parler sa personnalité profonde, cette Alice énergique et endiablée, cette Alice qui avait dans les veines le sang puissant et énergique du Dragon. Cette Alice qui se faisait puissamment besogner en ce moment par Gwendoline. Sa partenaire avait bien compris ce que la tête blonde demandait. Le cocktail de magie rose dans l’atmosphère et de sexe environnant avait eu raison des réserves de la jeune femme, qui se tortillait sur place, son corps filant d’avant en arrière, tandis que la magnifique verge de Gwendoline s’enfonçait avidement et goulûment en elle. C’était particulièrement bon, terriblement jouissif, et délicieusement intense.

« Haaaa... Hmmmm... !! »

Non, Alice ne parlait pas, parce qu’elle n’avait rien à dire, parce qu’il n’y avait rien à dire. Là, il fallait juste savourer, et apprécier. Gwendoline la besognait, elle la pénétrait, diffusant dans le corps d’Alice des sensations exquises et infinies. Elle avait envie que cela dure à jamais, que cette sensation ne disparaisse pas, qu’elle succombe totalement. Oh oui, encore, encore, et encore ! Elle en voulait plus, elle était enfiévrée, enivrée, souhaitant que ce moment dure à jamais, qu’il ne se termine pas, qu’elle se fasse encore baiser, sans relâche ! Dans cet état, Alice ne se contrôlait plus, elle suait, elle trépignait, le corps traversé par d’exquises vagues de plaisir. Oh oui, c’était ce genre de moments qu’on aurait voulu ne jamais quitter...

...Mais toute chose avait ses limites, et, dans un ultime soupir, Alice, au bout de plusieurs minutes à se faire prendre, se crispa sur place. L’orgasme la traversa de part en part, une explosion de bonheur. Elle se détendit sur place, et rouvrit les yeux en regardant Gwendoline, serrant toujours ses jambes autour de ses hanches.

« Ne... Ne t’arrête pas là, Gwendoline, je... Je veux te sentir jouir en m-Moi... »

Son travail n’aurait pas été complet, sinon !

Je ne me retiens absolument pas pendant que je la pénètre. Quand l'envie me prend, je n'hésite absolument pas à l'embrasser langoureusement en continuant de la pénétrer, avant de séparer mes lèvres des siennes en gardant son visage près du sien. Il faut quand même la laisser respirer, et comme je respire fort, moi aussi, d'ailleurs. Je suis capable de la pénétrer ainsi pendant des minutes entières sans jouir. Je suis capable de me retenir de jouir pendant un long moment, et bien sûr il y aura un moment où je ne peux plus me retenir.

Pendant la pénétration, je commence à sentir d'un coup beaucoup de mouille sur mon phallus. Alice vient de jouir, mais je ne m'arrête pas là. Après tout, ce genre d'actes lui plaît beaucoup, et j'ai envie que ça dure le plus longtemps possible, jusqu'à ce que je ne puisse plus me retenir de jouir. Je suis certaine que ce moment sera inoubliable pour Alice.

"Ne vous inquiétez pas, Princesse ! J'ai pas l'intention de m'arrêter là ! De toute façon, vous en avez pour un long et délicieux moment !"

Je continue de la pénétrer et je l'embrasse à nouveau. La pénétration dure enfin dix minutes et ça devient plus difficile de me retenir. Alors, j'arrête de me retenir, et je continue la pénétration jusqu'à ce que le sperme finisse par arriver au bout de ma bite, je me tends donc et je finis par jouir en elle. Elle ne doit pas trop s'en inquiéter : au Lys, il faut le vouloir pour tomber enceinte d'une autre femme. Tout en gardant ma bite en elle, je lui pose une question.

"Est-ce que vous voulez que je vous fasse la même chose, mais au cul ?"

Je commence à me retirer d'elle, bien sûr mon sperme coule en elle. En attendant sa réponse, je me baisse pour enlever son string doré et j'en profite pour donner un petit coup de langue sur sa chatte. Enfin, si elle veux que je lui fasse une cunni, ça ne me dérange absolument pas. Si ça peut lui faire plaisir, de toute façon ce sera le cas pour moi de toute façon.

C’était... Terriblement intense. Ah, Alice comprenait mieux pourquoi Mélinda lui avait dit de venir ici ! Si toutes les femmes du Lys étaient comme ça, Alice risquait bien de devenir vite accroc ! Grâce à Mélinda, la jeune femme n’avait aucune honte à admettre qu’elle aimait le sexe, et, en ce moment, elle prenait clairement son pied. Son premier orgasme ne refréna nullement les ardeurs de Gwendoline, qui, au contraire, amplifia encore le rythme, continuant à la prendre encore. Le corps d’Alice remuait d’avant en arrière contre la table, tandis que, régulièrement, Gwendoline s’arrêtait, et se penchait vers elle. Elles partageaient alors un baiser, et, pendant plusieurs minutes, Alice s’amusa à la bloquer, relevant ses jambes pour les enrouler autour du bassin de Gwendoline, sa main se crispant sur ses cheveux, sentant alors l’hermaphrodite la prendre au plus profond, se perdre dans son corps, la maltraitant sans ménagement. Même ses baisers se montraient intenses, violents, Gwendoline n’hésitant pas à la mordre, à tirer sur sa lèvre inférieure, la mettant dans un état d’excitation peu commun.

Les minutes défilaient à toute allure, et Gwendoline se relevait encore, la besognant en étant debout, disposant ainsi d’une plus large habitude, devant sans doute régaler ses yeux à voir ainsi le corps de la Princesse. Les joues rouges, Alice gémissait, soupirait, se pinçait les lèvres pour ne pas crier... Mais finissant quand même par lâcher quelques cris, surtout quand Gwendoline se reculait le plus loin possible avant de s’enfoncer brusquement. Ses solides coups de reins malmenaient le corps de la Princesse, qui ne pouvait pas y résister.

« G-Gwen... Gwendoline, haaaa... !! »

Alice était dans la position qu’elle avait visualisé tantôt, baisée contre la table par une femme forte. Et c’était... Oh, c’était terriblement excitant ! Elle laissait sa partenaire la besogner sans relâche, et elle adorait clairement ça ! Son second orgasme vint donc presque naturellement, à peu près en même temps que l’orgasme de Gwendoline. La redoutable femme se répandit en elle dans un grognement, et Alice couina en jouissant, avant de s’affaisser contre la table, en sueur, sa robe chinoise remuant sur son corps, sentant le sperme chaud de Gwendoline dans son corps, sa queue restant en elle.

Elle eut à peine le temps de reprendre son souffle, d’écarter quelques mèches de cheveux rebelles sur son visage, que Gwendoline proposa de passer par la porte arrière. Alice rougit doucement en se redressant, et vit ensuite son amante s’agenouiller, venant lécher son sexe. Alice s’en pinça doucement les lèvres, et regarda nerveusement autour d’elle. Mais il n’y avait pas d’attroupement, même si certaines personnes les regardaient. En soi, elle aurait pu attendre d’aller jusque dans une chambre, mais...

*Il faut battre le fer tant qu’il est encore chaud...*

La Princesse soupira donc lentement, et caressa avec sa main les cheveux de Gwendoline, avant de se redresser lentement. Elle se mit ainsi assise sur le rebord de la table, et hocha la tête, lui répondant tout en rougissant doucement :

« O-Oui, Gwendoline... Mais... Prépare un peu l’accès avec ta langue avant de... Euh... Avant de t’enfoncer par... Par là... »

Presque en même temps que moi, la Princesse jouit à nouveau. D'un côté, je peux m'y attendre, de toute façon. Mais bref, je la laisse profiter de mon sperme. De toute façon, ici, elle aura aussi de la mouille si elle veut. Après avoir léché un peu la chatte de la Princesse, je la vois regarder nerveusement autour d'elle. Certaines nous regardent, mais c'est habituel, ici. C'est pas plus peuplé que d'habitude, même si nous deux, on nous connaît très bien dans le Lys : une des employées les plus anciennes de l'entreprise avec la Princesse de Sylvandell. La politique de Sylvandell, de Mijak, de Lumen ou autres, je m'en fiche complètement. De façon que je profite de ma vie emplie de luxure et que je sois particulièrement utile ici et rien d'autre.

"Bien, Princesse."

La Princesse veut bien que je lui pénètre l'anus, mais elle veut que je m'y prépare avec la langue. Alors, je m'y exécute, je lèche le cul sans oublier la chatte. Au début je fais doucement pour lui laisser un peu le temps de reprendre son souffle, avant de rendre le cunni de plus en plus intense. Je lèche plus le cul que la chatte, mais je n'épargne rien. Après quelques minutes progressivement intenses, la langue n'est plus seule à préparer le cul et mes dents commencent à mordre ces deux parties, de plus en plus fort, et les morsures se font de plus en plus fortes.

Après avoir bien préparé l'accès, sans la moindre retenue, je me relève et j'enfonce ma bite dans son cul, et je fais la même chose que pour la chatte. Je la prends la plus sauvagement possible comme elle aime en n'hésitant pas du tout à l'embrasser avec véhémence si l'envie me prend. Comme ma bite est dans l'anus, c'est naturel qu'il commence peu à peu à se dilater. Mais évidemment, ce n'est pas ça qui me freine dans la baise, oh que non ! C'est déjà parti pour une longue session de sodomie. Les chrétiens détestent cette pratique, mais je m'en fous, je préfère souiller leur église traître. Et je l'ai fait plus d'une fois.

"J'espère que vous aimez beaucoup ce que je vous fais !"

Alice était couchée sur le ventre sur la table, offrant sa croupe à Gwendoline. L’employée du Lys avait déjà démontré à Alice qu’elle était à la hauteur de ses nombreuses années de service au sien de cet établissement surnaturel. Alice serra les poings en remuant sur la table, et se pinça les lèvres quand elle sentit les mains de Gwendoline écarter sans ménagement ses fesses. Sa langue fila ensuite en elle, et elle la lécha rapidement, puissamment, sans ménagement, amenant Alice à fermer les yeux, tout en se mordillant les lèvres. La tête blonde gémit une nouvelle fois, remuant sur place, et sentit la langue de Gwendoline se déplacer encore, venant s’attaquer à une autre ouverture, ne négligeant pas son sexe, alternant en réalité entre les deux. Elle se déplaçait rapidement, mais dut constater qu’Alice était très réceptive aux touchers anaux.

La jeune femme se mit donc à gémir, continuant à se tortiller sur place. Elle griffait le bois de ses ongles, sentant Gwendoline la lécher encore plus fortement, pressant son corps contre la table.

« Haaaa... Hnnn... »

Oui, Alice était bien en peine de retenir ses gémissements. Elle se contorsionnait sur place, succombant progressivement. La sodomie était une chose qu’elle avait découverte avec Mélinda, et dont elle ne parvenait pas à se lasser. C’en était presque au point où elle aurait pu dire qu’elle préférait ça au coït classique. Gwendoline y alla encore, jusqu’à estimer que la Princesse était prête. Elle se redressa alors, et Alice se pinça encore les lèvres, avant de sentir les mains de Gwendoline s’apposer à nouveau sur son cul. Elle y allait sans aucune forme de ménagement, avec une brutalité qui, en ce moment, était très appréciable.

Alice ferma les yeux, sentant malgré tout un frisson de peur la traverser... Puis Gwendoline s’enfonça alors dans son fessier. La tête blonde couina alors, et un hurlement s’échappa de ses lèvres :

« Hmmm... HAAAAAAAAA... !! »

La sodomie commençait sur les chapeaux de roue, et Gwendoline la pénétra durement, faisant remuer son corps d’avant en arrière. Les seins d’Alice glissèrent contre la table, la femme gémissant à nouveau, bavant sur la table, se tortillant encore sur place. Des vagues de plaisir exquises déferlaient en elle, lui arrachant des cris de plaisir supplémentaires. Elle n’arrivait plus à se retenir, et, face à cette douleur profonde qui s’insinuait en elle, hurler était le meilleur moyen de s’en sortir.

Gwendoline se pencha encore vers elle, et l’embrassa sur les lèvres. Leurs corps se pressèrent l’un contre l’autre, Gwendoline se crispant dans son dos pendant quelques secondes, avant de retourner la besogner. À chacun de ses coups de reins, le fondement d’Alice s’écartait de plus en plus, facilitant le passage de sa partenaire. Celle-ci y allait sans ménagement, avec une force incroyable, qui mettait Alice en transe.

« Ooohhh... En-Encore, hmmm... Vas-y, baise-moi, haaaa... In-Insulte moi aussi, hmmm... !! O-Ouuuiii, ouiii... !! »

Elle était transcendée, tout simplement.

Oh, mais qu’est-ce que c’était bon !

La Princesse aime beaucoup ce que je lui fais, apparemment. C'est tant mieux car je ne veux absolument pas décevoir une cliente aussi importante que Princesse Alice. Si Mélinda l'a emmené dans ce brothel, ce n'est clairement pas pour rien. Sans la moindre marque de tendresse, je l'encule, et elle commence à hurler. Ce n'est en rien du viol, alors je ne vais pas mettre sa main sur sa bouche. De toute façon, pourquoi je violerais alors que j'ai déjà de quoi combler mon grand appétit sexuel sans le viol ? J'aurais déjà les papillons pour ça, et j'en profiterai pour leur faire une évaluation surprise, ce qui n'est jamais de trop, en fait.

Mon bassin va très rapidement d'avant en arrière, afin d'enfoncer le cul le mieux possible. Plus il est fait avec brutalité, plus la Princesse va aimer. A chaque coup de rein, je soupire de plaisir. Ça fait du bien de pénétrer quand on est transformée en futa. Quand on est un homme aussi, donc. Les religieux manquent quelque chose, je ne me le répéterai jamais assez. C'est pas pour autant que ça fait mal que ça ne fait pas plaisir ! Comme si le Malin influait là-dessus ! Mais bref, j'ai pas envie de parler religion... sauf quand  j'ai envie de cracher dessus car ça me fait toujours plaisir.

A chaque coup de rein, un cri de plaisir se fait entendre, ce qui est normal, en fait. Quand je l'embrasse, je ralentis car c'est plus difficile de faire des coups de reins, mais quand j'ai fini de l'embrasser pour l'instant, les coups de reins reprennent de plus bel, et plus fort qu'avant. Qu'on soit l'enculeuse ou l'enculée, ça reste très agréable si on y a déjà goûté, et je ne le sais que trop bien !

Je continue de la baiser, toujours sans ménagement, mais ce qui me surprend un peu c'est que la Princesse veut que je l'insulte. J'aime bien les insultes et les humiliations, en plus c'est ce que je fais régulièrement quand j'évalue les papillons, quand on a affaire à une cliente qui aime rabaisser sa partenaire. Expérience à l'appui, surtout avec ma longévité légendaire, vous comprenez. Par contre, je ne m'attendais pas vraiment à ce que la Princesse de Sylvandell, qui est un rang prestigieux, voudrait qu'on l'insulte et qu'on la rabaisse. Ça me surprend, mais ce n'est pas grave, la cliente est Reine, donc je l'insulte.

"Ah ouiiiii ! Tu aimes ça, hein, saloparde ?!"

Je fais comme si elle est ma chose tant que je ne jouis pas. La besogne continue pendant plusieurs longues minutes jusqu'à ce que je me mets à me tendre.

"Le foutre arrive !"

Après quelques secondes, je finis par jouir dans le cul de la cliente. Voilà que le cul est rempli de foutre à l'instar de la chatte. Pour la chatte, elle ne peut pas tomber enceinte, puisque je ne veux pas qu'elle soit enceinte malencontreusement. Je n'ai pas envie qu'elle accouche d'une bâtarde.

Oh oui, Alice aimait ça ! Elle adorait ça, même ! C’était le feu du Dragon qui pulsait en elle, le feu de la passion ! Elle se faisait joyeusement sodomiser, et Gwendoline n’y allait pas par quatre chemins. La femme du Lys devait avoir compris que, bien qu’étant une Princesse à la peau frêle, Alice n’était pas faite de porcelaine, et qu’elle aimait le sexe violent, le sexe intense et puissant. Elle se pinçait les lèvres, elle se tortillait fréquemment sur place, crispant ses doigts sur la table de bois, gémissant encore. Sa salive coulait parfois de ses lèvres pour s’étaler sur la table, tout comme sa sueur, filant de ses joues. Son corps filait d’avant en arrière, claquant contre la table. Celle-ci grinçait sur place, et Gwendoline, inlassable, y allait encore et encore. Elle optait pour une sodomie énergique, brutale, s’enfonçant profondément en elle, ce qui était très clairement tout ce qu’Alice souhaitait. Et, bien évidemment, la jeune Princesse succombait de plus en plus.

De temps en temps, Gwendoline ralentissait le rythme pour se lover dans son dos, et les deux femmes s’embrassaient alors, Gwendoline allant jusqu’à s’immobiliser dans son fondement, comme pour exciter Alice, pour la frustrer, jusqu’à ce qu’elle se tortille nerveusement sur place en demandant plus de sexe, en couinant, et en mordillant la lèvre inférieure de Gwendoline. La douceur semblait être utilisée par Gwendoline, dans cette situation, comme un moyen supplémentaire de la frustrer, de la faire sombrer dans les voies infinies de la luxure.

« Hmmm... Mmmhmmm... !! »

Les jurons ne firent que l’exciter davantage, l’amenant à se tortiller encore sur place. Inlassablement, Gwendoline y allait, la prenant, accélérant le rythme après l’avoir fait patienter, diffusant en elle des vagues exquises de douleur. Oh oui, oui ! Cette douleur exquise, ce plaisir masochiste jouissif ! Alice en fondait sur place, couinant à nouveau, bavant encore, tandis que Gwendoline commença à l’insulter, montant dans les octaves. C’était sans doute difficile à croire de prime abord... Mais, après tout, si Alice avait été jusqu’à se promener dans un bordel, et par être excitée à l’idée de coucher dans une salle publique, était-il si surprenant qu’elle se laisse aller à ce genre de fantasmes avec sa partenaire ?

Gwendoline la traita donc, et Alice rougit encore, se pinçant les lèvres. Elle sentait toutefois que la femme haletait de plus en plus, approchant ainsi du plaisir suprême, de l’ultime limite. Mais elle ne comptait pas jouir trop vite, confirmant ainsi le talent exceptionnel des membres du Lys, plongeant Alice dans une sensation permanente de plaisir, un sentiment dilué que rien n’arrivait à éteindre. Dans un nouveau râle, elle ferma les yeux, se pinça les lèvres, et sentit alors le plaisir l’envahir. Quand le foutre de Gwendoline vint la remplir, ce fut pour la Princesse le point de rupture.

« Haaaaaaa... !! »

Elle jouit encore à son tour, inondant ses cuisses, et sentit avec délectation le sperme de la femme fuser en elle, la remplissant encore. Ses joues en avaient furieusement rougi, et, quand Gwendoline se retira d’elle, Alice se sentit chavirer. Elle tomba au sol, et se retrouva devant Gwendoline, en sueur, ses cheveux tombant sur son dos, sa robe légèrement défaite.

« Hmmmm... Pfffffftt... »

Alice soupirait longuement, devant retrouver son souffle. Elle papillonna des yeux à plusieurs reprises, avant de se redresser, et resta assise sur ses genoux. Depuis sa position, son visage était proche du membre de Gwendoline, un sexe qu’elle se mit alors à embrasser, le nettoyant presque respectueusement avec sa langue, agissant naturellement, instinctivement, sans même demander à Gwendoline son avis.

« Je dois bien admettre que... Tu es à la hauteur de la réputation du Lys, Gwendoline. Je... Je crois que je risque de devenir accroc à toi lors de mon séjour au Lys... »

Et, pendant ce temps, elle continuait à titiller cette queue trempée...

Mettre les clientes sur leur faim, voilà quelque chose qu'on doit apprendre à maîtriser pour leur donner encore plus envie. Quelque chose que Tama fait apprendre à ses papillons afin que l'acte dure plus longtemps, pour leur plaisir. Quelque chose que je maîtrise sans problème pour y aller encore plus fort pour mieux la combler. La sodomie étant quelque chose de quitte ou double, d'ailleurs : d'un côté ça fait plutôt mal donc il faut aimer, à force, de l'autre l'orifice offrant plus de plaisir, c'est l'anus, alors sodomiser est quelque chose qui donne beaucoup de plaisir, et je sais de quoi je parle, à force.

Tout a une fin... à part le saucisson qui en a deux, et en l'occurrence, la sodomie commence à prendre fin car le foutre arrive dans le cul, et en moins de temps que pour le coït. En même temps, quand tu as déjà joui, ça impacte un minimum sur ton endurance, donc ce n'est que plus compréhensible. Mais je pense que l'acte n'est pas terminé, au contraire, car sinon la Princesse risque de finir déçue, et décevoir la Princesse, c'est faire perdre du prestige à l'entreprise où on travaille, et ça, je ne me le permets pas.

Une fois que je me retire de la Princesse, cette dernière tombe au sol. Elle soupire longuement. Personnellement, je peux encore baiser toute la journée. C'est juste que je ne peux plus me retenir de jouir, et c'est tout. Sinon, je suis capable de baiser une succube pendant des jours entiers. Elle se met à embrasser mon membre et à le lécher pour le nettoyer, et j'ai même envie qu'elle me le suce.

"Alors c'est une très bonne chose, Princesse. (lui dis-je en souriant) Je ne sais pas combien de temps est-ce que vous allez rester, mais je suis ravie de savoir que vous aimez beaucoup faire l'amour avec moi."

Doucement pour éviter de brusquer la Princesse, j'insère ma bite dans sa bouche. J'ai fait la chatte et le cul, on passe à la bouche. Je ne la force pas vraiment, même si je pense qu'elle pourra apprécier me faire une fellation, après tout la cliente est reine.

Épuisée, Alice savait qu’elle n’avait pas l’endurance de Gwendoline. Comme elle l’avait expliqué sans fausse modestie, la femme officiait au Lys depuis des éons. Alice pouvait d’ailleurs le voir, car, tandis qu’elle reprenait son souffle, et retrouvait son calme, elle sentait, contre ses lèvres, le tison ardent de Gwendoline. Loin d’être apaisée, Gwendoline semblait être dans une sorte d’état naturel, comme si le sexe était quelque chose de normal chez elle. Alice devait bien admettre qu’elle aurait bien envie d’avoir un tel contrôle sur elle-même, de pouvoir ainsi maîtriser ses pulsions... Mais elle était encore loin d’avoir atteint un tel niveau. Cette femme la dépassait pleinement. Ceci étant dit, Alice n’était pas non plus totalement inexpérimentée, ce que sa partenaire allait avoir l’occasion de réaliser. Se redressant doucement, Alice se mit à genoux, multipliant ses baisers et ses coups de langue. Là, elle n’avait pas trop à remuer, et, même après tout ce qu’elle avait subi sur la table... Le feu du dragon ne s’était pas encore totalement consumé. Les flammes du désir brûlaient encore en elle, tandis que Gwendoline, observant ce spectacle, fit quelques premiers commentaires.

Relevant la tête, Alice croisa son regard, apposant sa joue sur le vit de sa partenaire, une lueur malicieuse dans les yeux. Oui, la malice n’avait toujours pas disparu de son visage, même si elle était en sueur.

« Et bien, je pense que tu ne dois pas avoir beaucoup de clientes insatisfaites de ta prestation, non, Gwendoline ? »

Il faut bien avouer que sa partenaire savait varier le plaisir, alternant entre violence, douceur, tendresse, ou intensité. Sa brutale sodomie avait laissé le cul d’Alice en feu, mais elle avait toujours envie d’elle. Elle sentit alors les mains de sa partenaire glisser sur ses cheveux, tandis que sa queue trempée se redressa doucement, glissant sur son visage. C’était délicieusement obscène, et elle ouvrit la bouche, passant des baisers et des coups de langue à une fellation plus nourrie. Fermant les yeux, Alice gémit en sentant cette trique se perdre dans sa bouche. Ses mains se déplacèrent pour s’appuyer sur les fesses nues de Gwendoline, et elle remua d’avant en arrière, sentant la queue de sa partenaire s’enfoncer plus lourdement en elle, gonflant et durcissant rapidement.

« Mmmhmm... »

C’était sans doute la meilleure manière de terminer cette séance. Alice ignorait ce qu’elle allait faire ensuite, mais elle voulait sentir ce monceau en elle. Elle creusait ses joues en aspirant l’air, suçant ainsi cette queue, et relevait sa langue, glissant dessus, dessinant le contour d’une partie de sa verge. Elle évitait surtout de la mordiller, relevant bien les dents, sentant petit à petit Gwendoline prendre les devants. Ses mains se crispèrent sur ses cheveux, lui arrachant quelques frissons, et elle commença à donner des coups de reins, ses bourses claquant contre le menton de la jeune femme.

« Hmmm... !! »

Han, que c’était bon ! Oui, encore une fois, Alice s’abandonnait à ce plaisir, à cette vague qui la submergeait, et dans laquelle elle s’abandonnait avec un plaisir évident. Là, là, encore ! Elle gémissait fortement, relevant fréquemment les yeux pour croiser le regard de Gwendoline, tout en couinant doucement, malaxant et pinçant ses fesses, crispant ses doigts sur son délicieux cul galbé, attendant avec une impatience croissante le dernier orgasme de sa partenaire...

Je vois qu'elle a encore envie de baiser. Tant mieux car mon phallus a encore besoin d'un orifice. Ceci dit, même quand ça fait plusieurs jours non-stop que je baise, je ne me force absolument pas à continuer. Après tout, à force, j'ai appris à être si endurante que je suis capable de faire jouir la plus expérimentée des succubes. Pourtant, un humain doit être particulièrement endurant pour faire jouir certaines succubes, car elles sont capables de tenir plusieurs jours sans jouir.

"Pas beaucoup, en effet. En même temps, à force d'évaluer les papillons, je sais parfaitement quoi faire pour leur faire plaisir."

Doucement, mes mains se mettent à l'arrière de la tête de la Princesse et ma bite se met dans sa bouche. Comme je l'ai vue, elle n'est pas si prudente qu'elle en avait l'air, elle a de l'expérience. Les fausses prudentes, ça me connaît. Du coup, je sais qu'on va apprécier toutes les deux cette fellation. Je sens ses mains sur mes fesses pendant que je ferme les yeux pour mieux profiter. Sa tête remue d'avant en arrière, ce qui commence à me faire gémir doucement. Elle aspire bien et je soupire un peu de plaisir. Elle lèche la moindre surface, me donnant encore plus envie de lui donner des coups de reins.

Je ne me retiens absolument pas, après tout. Je commence peu à peu à faire des coups de reins, de plus en plus forts. Oh oui ! Pince-moi les fesses pendant ce temps. Oh oui ! Je gémis fort avec cette fellation.

"Oh oui, petite salope ! Continuez plus fort ! Oh oui !"

Elle aime se faire insulter, elle me l'a déjà dit, alors autant en profiter. Je la regarde dans les yeux en lui baisant la bouche de plus en plus fort. Je sais qu'elle attend le sperme avec impatience, comme ça ses orifices seront tous remplies. De toute manière, ça va arriver, elle ne va pas être déçue. En attendant, peu à peu, mon phallus s'enfonce dans la gorge. Elle connaît sûrement la gorge profonde, elle va en profiter !

Mes coups de reins sont de plus en plus violents, mes soupirs deviennent de plus en plus forts. Finalement, mon phallus me signale que je vais éjaculer, je me tends, mon phallus se retire de la gorge et je lui donne un dernier coup de rein pour remplir complètement sa bouche de ma semence si savoureuse. Vous savez, avec certaines substances, mon sperme a fini par avoir un goût différent de celui d'un humain normal. Un peu comme Wendy, en fait, sauf que mon sperme a un goût assez différent, sans pour autant être désagréable, loin de là. Je la laisse profiter de mon sperme, mais je sais qu'elle va aimer cela. Plus que son fiancé ? Sûrement, mais je ne suis pas là pour que la Princesse le trompe, je suis là pour lui donner du plaisir.

Alice n’avait guère à se forcer pour apprécier cette fellation. Elle aimait effectivement le sexe, et trouvait dans cette scène un plaisir jouissif, libérateur. Plus résistante que ce qu’on pouvait croire de prime abord, Alice avait en elle le feu du Dragon, une force qui ne cessait de battre dans ses veines, et qui l’amenait, en ce moment, à pouvoir suivre sans trop de peine l’endurance sexuelle insatiable de Gwendoline. Quelle femme ! L’évaluatrice des Papillons semblait ne jamais devoir se calmer, mais Alice avait peut-être trouvé une ligne de faille dans son comportement, une situation qu’elle aimait plus que les autres. Ou peut-être bien qu’elle se trompait, mais, à sentir les puissants coups de reins de sa partenaire, et à entendre ses soupirs, la tête blonde avait bien le sentiment que Gwendoline appréciait la fellation plus que le reste. Qui sait ? Alice, qui avait déjà eu un phallus, devait bien admettre qu’il y avait quelque chose de terriblement jouissif et de puissant à l’idée de se retrouver ainsi au-dessus de son partenaire, à le dominer. Un sentiment de puissance et de domination s’emparait de vous, et ses mains se crispaient sur le cul charpenté et tendre de Gwendoline au fur et à mesure que sa partenaire continuait à la pénétrer.

« Hmmm... !! »

Gwendoline accélérait, amplifiant ses coups de reins, optant pour une série de gorges profondes. Alice relevait parfois les yeux pour croiser le regard de sa partenaire, savourant cette trique en elle. Habituellement, la fellation était pour elle l’occasion d’imposer son rythme, de reprendre les rênes de la partie de sexe, mais, là, Gwendoline avait décidé d’imposer son propre rythme. Elle serrait les cheveux de la Princesse, et faisait durer le plaisir, alternant entre profondeur, rapidité, ou relâchement, afin de laisser le temps à la tête blonde de se calmer, de reprendre son souffle, de manière à ne pas étouffer sur place.

Le temps n’avait plus d’importance, pas plus que les regards des autres spectateurs. Non, Alice se contentait de savourer tout ce qu’elle subissait. Elle avait toujours cette envie phénoménale que le sexe dure à jamais. Elle couina encore, et aventura ses doigts le long de la croupe de la femme. Son doigt sentit la porte arrière de Gwendoline, un délicieux trou, une porte arrière... Et Alice y glissa son doigt, la sodomisant tendrement, presque malicieusement, avant de gémir encore, sentant les doigts de Gwendoline se crisper furieusement, sa queue tapant jusque dans le fond de sa gorge.

Alice déglutit doucement, avant de sentir la queue de Gwendoline finir par tressauter. Elle continuait à remuer son doigt en elle, avant de sentir sa partenaire s’abandonner en elle. Un furieux orgasme. Gwendoline se banda sur elle, et se relâcha copieusement, jouissant longuement et généreusement. Des rafales de sperme affluèrent dans sa bouche, Gwendoline donnant un ultime et profond coup de reins pour s’abandonner en elle. Une fois ceci fait, Alice s’affaissa contre la table, respirant lourdement, et la regarda doucement.

« Pfffiouh... Tu es vraiment... Incroyable, Gwendoline ! »

Mes coups de reins se font de plus en plus forts pendant que mes doigts se crispent de plus en plus fort sur la tête de la Princesse. J'aime beaucoup me faire sucer. En même temps, qui n'aime pas ça ? Même la personne la plus prudente peut aimer se faire lécher ou sucer, c'est d'ailleurs quelque chose qui peut faire beaucoup aimer le sexe. J'entends son gémissement, et au bout d'un instant, je commence à aussi à gémir plus fort. Evidemment, je prends soin de varier le rythme, afin de non seulement éviter de l'étouffer sur place, mais aussi de la frustrer un minimum avant de reprendre un rythme plus violent.

Quand je commence à opter pour une gorge profonde, je la regarde droit dans les yeux. Pendant ce temps, je sens un doigt près de mon anus, et commence à le doigter, ce qui me fait soupirer encore plus fort pendant que mon gland commence à taper le fond de sa gorge, m'empêchant d'aller plus loin. De toute façon, je suis déjà allé assez loin pour la gorge profonde.

Je finis par jouir, d'une giclée longue et puissante, qui fait avaler à coup sûr une partie de mon foutre et faire couler plusieurs gouttes de la bouche. Je la laisse avaler tout mon délicieux sperme. De toute façon, je le sens s'il n'y a plus trop de sperme dans la bouche, parce que je laisse ma bite dans la bouche pendant ce temps, ma bite servant désormais de bouchon, en attendant qu'elle avale le plus possible.

Une fois qu'elle ait bien avalé, je retire ma bite de sa bouche et je la vois s'affaler sur la table, me flattant en disant que je suis incroyable. Je suis heureuse d'entendre ces paroles.

"Je ne fais que réaliser vos fantasmes et fétichismes, Princesse. D'ailleurs, il y a quelque chose que peut-être que vous ne savez pas, mais qui est important au Lys."

Progressivement, ma bite entre en moi pour se transformer en chatte. Si jamais elle ne savait pas que je peux devenir futanari ou simple femme quand je veux, c'est très bon à savoir. Après avoir transformé ma bite en chatte, je m'allonge sur le Princesse en posant mon front sur le sien.

"Tout le personnel peut devenir une simple femme ou une futa quand elle le veut. Je suis devenue futa car vous m'avez parlé de pénétration, donc je voulais à tout prix éviter de vous décevoir."

J'embrasse tendrement la Princesse, plus tendrement que pendant qu'on baise pour éviter de trop couper son souffle, car quand elle s'affaisse sur la table, ça veut dire que son souffle est coupé, ce qui ne m'étonne pas avec la gorge profonde. Le principal dans tout ça, c'est que cet acte lui ait plus, et je suis heureuse de l'apprendre.

Éviter de la décevoir... Ah, ça, aucun risque là-dessus ! Alice était comblée, sentant encore en elle le sperme chaud de Gwendoline. De fait, et tandis qu’elle reprenait ses esprits, sa main alla rêveusement caresser son propre ventre, glissant dessus, sentant le sperme en elle. Elle s’en pinça doucement les lèvres, tandis que Gwendoline mettait fin au sortilège permettant de la doter d’un phallus. Elle l’embrassa tendrement, et Alice répondit volontiers à son baiser, avant de se redresser. Elle parvint à se remettre de bout, les joues encore rougies, et remit rapidement sa culotte, retenant ainsi légèrement le sperme de sa partenaire, tout en remettant sa robe chinoise en place. Autour d’elle, les femmes étaient retournées vaquer à leurs occupations, et Alice vit qu’un autre couple faisait l’amour, une femme en butinant une autre, la prenant par l’arrière. Elle rougit doucement en se mordillant les lèvres, tandis que Gwendoline lui expliquait le concept de l’hermaphrodisme.

La jeune Princesse hocha la tête en attrapant la main de Gwendoline.

« Oh, je sais comment l’hermaphrodisme fonctionne, Gwendoline. Sur Terra, il existe des philtres de ce type, il m’est moi-même arrivé d’en prendre, mais... Je préfère néanmoins me faire prendre. »

Homme ou femme, Alice était totalement bisexuelle, même si elle avait pu noter de subtiles différences entre chaque sexe. Aucun n’était vraiment meilleur que l’autre, et elle se fiait d’abord à son partenaire, sans s’intéresser à son sexe. Reprenant ses esprits, Alice se dirigea vers la sortie de l’auberge. Elle hésitait. Devait-elle quitter Gwendoline maintenant ? Ou au contraire profiter de sa présence pour visiter d’autres parties du Lys ? Voir d’autres endroits ? Cet endroit était si grand, et Mélinda devait sûrement être occupée à son tour, maintenant.

*Et puis, je suis une grande fille, je peux gérer ça moi-même !*

Alice la regarda encore, tout en s’agrippant à son épaule :

« Alors, dis-moi... Le Lys ne se résume sûrement pas à sa taverne. Montre-moi d’autres endroits, je te suis ! »

La Princesse se redresse, et donc moi aussi. J'en profite pour remettre mon bikini. Je sais, il n'y a aucune pudeur ici, mais j'aime beaucoup quand on se déshabille d'abord avant de vraiment passer aux choses sérieuses, donc remettre mes vêtements est une formalité pour moi. Les autres femmes qui étaient en train de se rincer l’œil devant nous retournent à leurs occupations ou se mettent à regarder d'autres femmes baiser entre elles. De toute façon, au Lys, il y a largement de quoi se faire plaisir.

La jeune Princesse attrape ma main et je serre la mienne sur celle d'Alice. D'accord, donc elle sait comment l'hermaphrodisme fonctionne. Je me doute que sur Terra, il y a des philtres de ce types, même si je n'en ai jamais pris car je n'en ai jamais eu besoin, je sais déjà devenir futa sans avoir besoin de ce philtre. A force de vivre au Lys, je suis imprégnée de ses magies. Après, Alice préfère quand c'est elle qui reçoit le sperme.

La Princesse va en direction de la sortie de l'auberge avant de me regarder en s'agrippant à mon épaule, et en me demandant si le Lys ne se résume pas vraiment  la taverne. La moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle est loin d'en avoir terminé. Même concernant les principaux, ce n'est pas encore grand chose. Du coup, je lui souris.

"Bien sûr, Princesse. Je suis là pour ça, après tout. Je vais vous emmener au cinéma. Je ne me rappelle pas du tout avoir vu un cinématographe à Terra, mais vous verrez, dans tous les cas."

Je lui fais un clin d’œil avant de l'emmener à la salle de cinéma. Je pense que pour la tester, je vais l'emmener voir un film où il y a au moins une scène où un véhicule s'approche de la caméra, ce qui donnera l'impression que le véhicule va droit vers elle. Est-ce qu'elle aura un coup de frayeur ou est-ce qu'elle saura que c'est fictif et le regarde sans crainte ?

Une fois que nous arrivons à la salle de cinéma, nous sommes devant une longue liste de films qui sont en salle, venant de tout le Multivers. Nous avons un programme défini dans chaque salle de cinéma. On va en profiter dans tous les cas.

"Parmi les films qui vont être projetés sur l'écran géant, je peux vous conseiller celle-ci."

Après une acte charnelle, on pourrait très bien regarder un film classique. Je mets du doigt le titre d'un film qui ressemble à un film d'uchronie... pour la Terre que je connais du moins. Ce film s'appelle "Weltkrieg". Pour la Terre, l'Allemagne qui gagne la "Grande Guerre" comme ils appellent, c'est de l'uchronie. J'ai déjà vu ce genre de dimensions, pour ma part. Ce film, je l'ai vu plus d'une fois, et ici, il n'y a pas que des véhicules qui vont vers nous, mais des soldats qui tirent en direction de la caméra, ce qui fait qu'Alice peut parfaitement avoir peur d'être criblée de balles.

"Ce film a été réalisé sur Terre, et pour eux, il s'agit d'une réalité alternative. Ça ne reste pas moins important et amusant."

Bien sûr, nous allons à la caisse où nous voyons Serah, qui gère les billets de cinéma. Elle, c'est une femme très posée et attentionnée.

"Bonjour Serah.

Oh ! Bonjour Gwen, et salutations Princesse Alice. (elle se met à nous embrasser) Donc, je suppose que vous voulez deux billets,  mais pour quel film ?

Pour "Weltkrieg", s'il te plaît.

Bien sûr. Vous voulez du popcorn et une boisson pour mieux profiter du film ?

Non merci pour moi. Princesse ?"

Je pense que ce n'est absolument pas la peine d'expliquer à la Princesse les popcorns, après tout, on n'a pas besoin d'une technologie terrienne pour le faire. Par contre, pour ce qui est du soda, il y a une liste de boissons disponible, et si elle en veut, elle a le choix. Pour ma part, je paie avec mon tatouage en forme d'étoile, alors que pour la Princesse, Serah a juste à débiter sur le forfait de la Princesse.

Après leur séance de sexe crapuleuse à l’auberge, Alice se sentait... Particulièrement détendue et sereine. Elle vérifia à nouveau que sa belle robe chinoise ne comprenait aucun faux-pli, et suivit donc Gwendoline, glissant sa main gantée dans la sienne. Gwendoline, elle, avait remis son bikini. Même si cette très courte tenue permettait d’apprécier au mieux ses voluptueuses formes, Alice n’aurait pas été contre le fait de la voir en robe. Elle était convaincue qu’une tenue complète lui irait très bien. Souriant légèrement, Alice continuait à la suivre, jusqu’à rejoindre une salle que Gwendoline lui présenta comme étant un cinématographe.

« Oh... Vous en avez donc un ici aussi ? »

Le Lys était visiblement un véritable temple dédié au plaisir, sous toutes ses formes. Alice connaissait ces choses. Gwendoline l’ignorait sans doute, mais, par l’intermédiaire de Mélinda, Alice se rendait sur Terre, généralement pour prendre des vacances... Des vacances où elle allait jusqu’à se faire passer pour une lycéenne. Comme quoi, la vie pouvait receler bien des surprises, et Alice aimait bien se faire passer pour autre chose qu’une Princesse. Ceci étant dit, le cinéma était une sacrée épreuve pour elle, car elle n’avait jamais vu la moindre télévision pendant des années. Elle s’était rendue sur Terre en étant une adolescente, et les esclaves de Mélinda s’étaient volontiers amusés à la faire paniquer, que ce soit en regardant des films, ou en l’initiant, sans grand succès, aux jeux vidéos.

Une agréable caissière les accueillit, en les embrassant sensuellement, à la manière du Lys. Alice répondit volontiers à son baiser, même si elle était, pour le coup, sexuellement apaisée. Gwendoline demanda à voir un film particulier, « Weltkrieg », puis le duo rejoignit une grande pièce sombre avec des rangées de fauteuils rouges très agréables et rembourrés, Alice ayant également décliné l’invitation d’avoir du pop-corn.

« Au fait, je ne te l’ai pas dit, mais je connais un peu la Terre... Mais je n’ai encore jamais été dans une salle de cinéma. »

C’était l’occasion de rattraper ça ! Alice s’assit à côté de Gwendoline, et en profita pour reprendre ses esprits. Mine de rien, elles avaient assez joyeusement fait l’amour auparavant, et Alice devait encore reprendre ses esprits.

« En tout cas, j’étais loin de me douter que le Lys avait sa propre salle de cinéma, c’est un endroit vraiment très diversifié ! »

Elle était ravie d’avoir une telle guide, même si le Lys restait le Lys. Les autres spectatrices de la salle s’embrassaient régulièrement, et Alice devait bien se douter que cette salle de cinéma devait avoir d’autres fonctions que simplement regarder un film. L’écran blanc s’éteignit ensuite, ainsi que les ampoules, et le film ne tarda pas à démarrer...

Ah très bien ! Alice sait ce qu'est une salle de cinéma. Bon, c'est bon à savoir, au moins je ne pourrai pas me moquer d'elle lorsqu'elle aura peur de se faire fusiller par des soldats derrière l'écran. Pour être honnête, ça pourrait être drôle, mais ce n'est pas grave si je ne peux pas me moquer gentiment de la belle Princesse. La Princesse ayant décliné la proposition du popcorn, Serah souhaite une bonne séance à nous deux après que j'aie payé ma part et qu'elle ait déduit du forfait de la Princesse de Sylvandell.

Ah bon ? C'est aussi bon à savoir, le fait qu'elle connaît déjà la Terre. Cependant, contrairement à ce que je croyais suite au "vous aussi", elle n'est jamais allé à la salle de cinéma. Je peux donc me moquer gentiment de la Princesse, sauf si elle sait que c'est de la fiction, mais je tiens à lui prévenir.

"C'est bon à savoir. J'espère juste que vous n'aurez pas peur de vous faire cribler de balles. Ha ha ha !"

Je la charrie, mais ce n'est pas pour me moquer d'elle. Ce serait irrespectueux de se moquer de la Princesse. Cependant, il est toujours bon se plaisanter avec elle, histoire de ne pas être uniquement dans une relation employée-cliente, créer un sentiment d'amitié. (avec bénéfice, bien entendu) Apparemment, elle ne se doutait pas que le Lys ait une salle de cinéma.

"Tout est bon pour faire plaisir aux clientes, Princesse. Après tout, le Lys n'est pas qu'un simple bordel, mais aussi un hôtel de luxe. Après, le Lys étant le Lys, il 'y a pas que des films que la Terre se permet de montrer de leurs salles de cinéma, mais aussi des films érotiques. J'aurais pu vous emmener voir un film de ce genre, mais comme vous êtes comblée, je ne trouve aucunement utile de vous y emmener."

Évidemment, je ne suis aucunement choquée de voir certaines femmes s'embrasser devant l'écran encore entièrement blanc. Tout finit par s'éteindre, et le film allait bientôt démarrer. Une voix off commence à raconter la situation en 1914 sur Terre. L'Europe est dans une situation extrêmement tendue, où la France, le Royaume-Uni et la Russie se sont alliés dans une Entente, alors que l'Allemagne, l'Autriche-Hongrie et l'Italie dans une Alliance. L'étincelle fut provoqué par l'assassinat du couple héritier au trône par un nationaliste serbe, ce qui provoque une réaction en chaîne provoquant ce qu'on appelle aujourd'hui la Weltkrieg. (dans l'histoire)

Ils racontent l'histoire en détails avec un personnage principal qui est soldat allemand. Ils participe de nombreuses guerres, et donc il y a des scènes où des soldats tirent sur les soldats, et parfois, ils se trouvent derrière la caméra, donc ils tirent dessus. Étant en prises de vues réelles et en couleurs réelles, c'est dans le premier de ces moments qu'Alice pourrait avoir peur de se faire tuer, alors qu'il ne s'agit que d'illusions. Si jamais elle a peur de ce genre de choses, je ris de cette peur, mais sans moquerie.

Le film raconte que la Russie aura une Révolution mené par Lénine pendant qu'ils sont dans un régime de transition, mais qui a échoué car Lénine est mort trop tôt. Petit à petit, grâce au Kaiser, et aussi aux États-Unis d'Amérique, la guerre tourne à l'avantage de l'Alliance, et c'est justement cette Alliance qui a gagné la Weltkrieg, mais le film ne s'arrête pas là, car le traité humiliant pour l'Entente a provoqué d'énormes conséquences, et le film les énumère en image.

Le film a duré un peu moins de 3 heures, et une fois le film terminé, je regarde en direction de la Princesse Alice, avec un sourire.

"Alors ? Avez-vous aimé le film ?"

De base, Alice était une femme sexuellement assez endurante, et relativement assoiffée, ce qu’elle devait en grande partie à son amitié avec Mélinda Warren, qui était une amante redoutable. Mais, au Lys, un endroit chargé de magie rose et de sensualité, cette soif était encore plus décuplée. Tout ça pour dire qu’Alice était assez réceptive à l’aura sexuelle des lieux, et qu’un film érotique ne l’aurait pas dérangé. Le film commença par un bref filet relatant les principaux évènements historiques ayant conduit à la Première Guerre Mondiale, avec comme fond musical un pastiche nazi d’une célèbre musique de rock’n’roll américaine, « House Of The Rising Sun ». Alice regardait cela, constatant que le film ressemblait davantage à un cours d’Histoire qu’à une uchronie, relatant le déroulement de la Première Guerre Mondiale, puis ses conséquences sur le peuple allemand. Alice, qui avait eu l’occasion d’étudier l’Histoire terrienne, écoutait donc, se rappelant ce qu’elle avait lu chez Mélinda. Si elle se rendait au lycée terrien, ce n’était pas juste pour assouvir quelques fantasmes et pour pouvoir bénéficier d’un lieu où personne ne voyait en elle une Princesse (ce qui était parfois très reposant), mais aussi pour s’éduquer, pour s’instruire.

Le film, malgré sa longueur, se termina de manière assez abrupte, alors que le soldat allemand que le spectateur avait suivi pendant les horreurs de la guerre, celui qui avait remonté des tranchées infectées de gaz surin, qui avait tué à distance, voyait son pays en ruines, et contemplait devant lui la montée du nazisme dans son pays.

*Tout ça laisse présager une suite...*

Pendant toute la durée de la projection, Alice avait parfois crispé sa main sur celle de Gwendoline, sursautant lors de certaines prises de vue de la caméra. Le metteur en scène avait sans aucun doute voulu s’inspirer de la fameuse scène du Débarquement à Omaha Beach dans « Il Faut Sauver Le Soldat Ryan », ce qui avait provoqué quelques crispations chez la jeune femme. Quand la séance se termina, elle se retourna vers Gwendoline, et lui sourit doucement, avant de l’embrasser brièvement sur les lèvres.

« Oui, c’était... Très impressionnant ! Mais je pense qu’il doit y avoir une suite, non ? Enfin, la fin avait l’air de vouloir donner une suite, en tout cas ! »

Mais, maintenant que la scène revenait à la normale, Alice réalisa qu’elle se trouvait au Lys, un endroit chargé de magie rose, et où elle n’avait pas fait l’amour depuis... Trois heures.

Au Lys, cela représentait presque une éternité !

Bon, je pense m'être trompée un peu sur la marchandise, malgré le titre "Weltkrieg". Je sais parfaitement qu'elle vient de la Terre, il n'y a aucun problème avec ça, mais ce n'est pas vraiment dans la Terre que j'ai connu. On peut dire que c'est un film venant de la Terre où la Triple Alliance a gagné la Weltkrieg contre la Triple Entente, où en effet la France est divisée en deux : la Commune de France et la République de France, le Royaume-Uni est devenue une Union Britannique, la famille royale est au Canada, ils ont formé une union syndicaliste contre l'empire allemand dont lui et ses dominions constituent la majeure partie de l'Europe, de l'Asie et de l'Afrique, alors que les pays constituant les gouvernements qui ont perdu le pouvoir par les syndicalistes ont formé une nouvelle Entente.

C'est ce qui explique ce genre de films uchronique : les Etats-Unis, qui d'ailleurs étaient en proie à une Seconde Guerre Civile, à ce moment-là, ont imaginé ce genre d'uchronie, et ils ont vu juste par rapport à la Terre principale, tout en donnant du spectacle et de la dramatisation. Tout ce qui s'était passé pour qu'on en arrive là s'est réellement passé à plusieurs détails près, car on sent qu'il s'agisse d'un film d'une autre dimension, ça s'est terminé en 1918, le traité était particulièrement humiliant, cela avait donné les Trente Glorieuses, puis provoqué une véritable ruine de l'Allemagne, ce qui conduit à la fin du film où un parti d'extrême-droite, fondé un ou deux ans après la fin de la Première Guerre Mondiale, monte en puissance grâce à un dirigeant charismatique. Dans le film, il s'appelle Ulrich Maxter, mais ils ne pouvaient absolument pas prévoir le vrai nom du Führer. C'est d'ailleurs lorsque l'on cite le nom d'Ulrich Maxter qu'on sent un cliffhanger venir. Une site est donc présagée.

D'ailleurs, au long du film, je sens la main de la Princesse se crisper dans la mienne. Je sens qu'elle est impressionnée par les effets, par ce parc d'attractions (ce n'est pas une insulte, c'est les origines du cinéma), alors que j'y suis habituée. Je serre donc ma main sur celle de la Princesse quand je sens qu'elle est crispée, et le desserre quand elle ne l'est plus. Certaines prises de vues sont impressionnantes car celles et ceux qui ne savent pas que c'est de la fiction craignent la mort à chaque instant, mais je ne me suis pas empêché de regarder la Princesse en riant gentiment. Elle ne savait pas complètement la frontière entre le film et le réel dans une salle de cinéma, et c'est toujours ça qui peut être drôle.

A la fin du film, je regarde donc la Princesse, et je la laisse m'embrasser avec un doux sourire. Très impressionnant, n'est-ce pas ? Surtout quand on n'a jamais vu un film de sa vie. S'il y a une suite ? Une prévue, oui, mais de ce que j'ai vu comme contexte, le projet a été annulée car les États-Unis ont subi une guerre civile entre trois factions représentant les trois alliances. Il a fini par avoir deux suites différentes par les deux factions vainqueurs, les États Fédérés qui ont lancé le projet ayant disparu depuis.

"Au cinéma, cela s'appelle un cliffhanger. Parfois une suite n'aura jamais lieu pour diverses raisons, mais parfois ça aboutit bel et bien à une suite. Dans notre cas, il y en a deux, mais dont l'un est juste une version alternative de l'autre. Une suite a été mise en chantier malgré le fait que dans cette dimension, les États-Unis, le pays où les films sont les plus connus et dont cette suite a commencé à se faire, était en proie à une Seconde Guerre Civile. Le projet n'a pas pu aboutir avant car les États-Unis étaient divisés en trois pour cette Guerre Civile, et le parti qui lançait la suite disparut. Les deux partis vainqueurs ont dû prendre ce qui a été fait du film pour faire leur propre version."

Après, je ne vais pas m'attarder sur les détails, c'est déjà assez triste comme ça, je vais éviter d'en rajouter une couche. Mais bref, on va passer à un autre lieu. Elle a fait l'accueil, puis l'onsen avec Maîtresse Baiken, puis le Bar Chic avec Mélinda, nous avons fait la taverne, nous avons fait la salle de cinéma. Nous allons donc passer à la piscine, avec une magnifique eau bleue et propre. Pas de chlore car nous sommes entourées de femmes très sensible au chlore. Enfin, nous avons mis du chlore pour ensuite le filtrer pour que tout le monde soit contente.

"Nous allons désormais à la piscine. Ne vous en faites pas par rapport au chlore, car on sait que c'est particulièrement désagréable pour les furries aquatiques de plonger dans une piscine qui attaquerait leurs yeux et leurs poumons. Nous sommes insensibles aux maladies, mais pas aux blessures, après tout."

Cette fois, la salle de cinéma est trop loin de la piscine, alors on se téléporte vers ce grand bain, avec plusieurs belles rangées de transats, et des serveuses qui n'ont pas besoin d'être dans le thème du bikini pour le porter en permanence. Je suis toujours dans le thème, avec toujours ce bikini très léger, mais c'est pour être dans le thème, justement. Sinon, j'aurais portée une robe.