Re: A Child of Prophecy [Aphrodite]
Posté : 09 nov. 2024 16:58
L'Empyrée se bousculait contre son âme, griffant ses protections avec un désir simple, un désir fort et unique; le forcer à s'ouvrir. Et bientôt, il succomba, au moins en partie, et l'Empyrée pénétra son âme, envahissant son esprit et le trainant de force dans le domaine de Slaneesh, au plus profond de son monde, là où même ses plus farouches ennemis ne sauraient entrer sans se perdre complètement.
Serenos n'était pas confus. Il n'était pas terrifié. Il était calme, confortable. Slaneesh l'apaisait, le cajolait, le dorlotait, soufflant doucement contre l'esprit du Roi et allégeant ses blessures mentales. Le maître des supplices et de la douleur était également celui qui savait le mieux les soulager, après tout.
La créature qui prit place sur le Roi n'était pas humaine, ni non-humaine. Elle était, et elle n'était pas, comme tout ce qui habitait le royaume du Chaos primordial. Elle l'attirait à elle, son corps moulé pour lui convenir; ni trop lourde, ni trop légère, ni trop aguicheuse ou trop modeste; elle était, faute de meilleurs termes, l'équilibre poussé à la perfection.
Les lèvres de la créature se posa contre les siennes, et il sentit son âme et celle de la créature se frôler, se caresser délicieusement. Il s'abandonna à ce baiser, ses bras, maintenant souples et indolores, se refermant sur Slaneesh, la gardant contre lui.
Il brisa le baiser, ce qui était en soi une preuve de la fortitude mentale du Roi, alors que son esprit était encore plus embrouillé que s'il avait avalé le plus puissant des aphrodisiaques ou de la dopamine pure.
"Personne ne te manque, Slaneesh," dit le Roi en caressant la joue de la créature. "Ni moi, ni un autre."
Il la renversa contre le lit, lui grimpant dessus, glissant ses mains dans celles de l'engeance chaotique. Il savait qu'il ne bougeait que parce qu'elle le voulait bien. En ce moment, il était son prisonnier. Comme auparavant. Elle lui avait volé quelque chose, la dernière fois. Quelque chose qu'il désirait récupérer.
Le Roi posa les mains sur cette magnifique poitrine et la massa, remarquant au passage la disparition de ses cicatrices; évidemment, dans ce monde de perfection, hormis si tel était son désir, Slaneesh ne saurait tolérer une imperfection, surtout si elle est liée à la guerre, le domaine de Khorne, qu'elle détestait le plus au monde. Pour le moment, il se contentait de la laisser jouer avec lui, avec sa forme et son esprit.
Il se pencha sur Slaneesh et lui posa la question que Slaneesh adorait plus que tout entendre ses lèvres, comme tout narcissique qu'elle était.
"Que désires-tu de moi?"
La question avait plusieurs sens, mais pour Serenos, il s'agissait surtout d'un moyen de gagner du temps.
Serenos n'était pas confus. Il n'était pas terrifié. Il était calme, confortable. Slaneesh l'apaisait, le cajolait, le dorlotait, soufflant doucement contre l'esprit du Roi et allégeant ses blessures mentales. Le maître des supplices et de la douleur était également celui qui savait le mieux les soulager, après tout.
La créature qui prit place sur le Roi n'était pas humaine, ni non-humaine. Elle était, et elle n'était pas, comme tout ce qui habitait le royaume du Chaos primordial. Elle l'attirait à elle, son corps moulé pour lui convenir; ni trop lourde, ni trop légère, ni trop aguicheuse ou trop modeste; elle était, faute de meilleurs termes, l'équilibre poussé à la perfection.
Les lèvres de la créature se posa contre les siennes, et il sentit son âme et celle de la créature se frôler, se caresser délicieusement. Il s'abandonna à ce baiser, ses bras, maintenant souples et indolores, se refermant sur Slaneesh, la gardant contre lui.
Il brisa le baiser, ce qui était en soi une preuve de la fortitude mentale du Roi, alors que son esprit était encore plus embrouillé que s'il avait avalé le plus puissant des aphrodisiaques ou de la dopamine pure.
"Personne ne te manque, Slaneesh," dit le Roi en caressant la joue de la créature. "Ni moi, ni un autre."
Il la renversa contre le lit, lui grimpant dessus, glissant ses mains dans celles de l'engeance chaotique. Il savait qu'il ne bougeait que parce qu'elle le voulait bien. En ce moment, il était son prisonnier. Comme auparavant. Elle lui avait volé quelque chose, la dernière fois. Quelque chose qu'il désirait récupérer.
Le Roi posa les mains sur cette magnifique poitrine et la massa, remarquant au passage la disparition de ses cicatrices; évidemment, dans ce monde de perfection, hormis si tel était son désir, Slaneesh ne saurait tolérer une imperfection, surtout si elle est liée à la guerre, le domaine de Khorne, qu'elle détestait le plus au monde. Pour le moment, il se contentait de la laisser jouer avec lui, avec sa forme et son esprit.
Il se pencha sur Slaneesh et lui posa la question que Slaneesh adorait plus que tout entendre ses lèvres, comme tout narcissique qu'elle était.
"Que désires-tu de moi?"
La question avait plusieurs sens, mais pour Serenos, il s'agissait surtout d'un moyen de gagner du temps.