Re: Louve pour Maître [Dasã]
Posté : 10 nov. 2024 05:14
Arthur était en train de la marquer, de la saillir, la faisant définitivement sienne. Il la marquait, comme on marquait son bétail, son territoire. Elle était à lui, et à lui uniquement ! Comme tout le reste de sa famille, comme toutes les personnes vivant ici ! Lui, le moins-que-rien, le miséreux venu d’un orphelinat pourri des bas-fonds auriens, il avait su se hisser jusqu’au sommet, il avait su devenir un puissant, un homme qui avait maintenant ses esclaves ! Dasã redressa son visage entre deux coups de langues, clamant à qui voulait bien l’entendre qu’elle appartenait entièrement à son Maître. Arthur sourit malicieusement, ses muscles saillant sur place, et gifla ses fesses. Sa main claqua sur le cul de la jeune louve, et il ricana, avant de lui répondre, d’une voix rauque, forte, marquée par le désir et par l’effort qu’il déployait en ce moment :
« Oui, ma salope, tu es à moi ! Rien qu’à moi, hmmm… ! »
Il la fessa encore, et se pencha vers elle. Sa main se saisit de son collier, et il tira dessus, soulevant la tête de Dasã, l’étranglant un peu au passage. Il déplaça ensuite sa main pour continuer à la tirer en arrière, jusqu’à la soulever intégralement. Elle se retrouva en position debout, et il posa ensuite sa main sur son sein, appuyant dessus, son autre main se déplaçant pour aller entre ses cuisses, venant la titiller intimement par là. Il enfonça deux doigts dans sa chatte trempée, et l’entendit couiner contre lui, son dos heurtant le sien. Crispant ses mains, il s’en servait comme appuis pour la prendre. Là, avec son corps nu et musculeux, il ressemblait clairement à une bête, une sorte d’ours glabre qui venait s’abattre sur le séant de sa jeune et fragile proie.
Les hurlements de Dasâ emplirent l’air, et, cette fois, aucune bouche ne vint les recouvrir. Virginie se déplaça alors, rejoignant le lit, et s’agenouillant devant le duo, venant donner à son père un vibromasseur doré, le glissant entre ses doigts trempés pour l’enfoncer dans le dos de l’okami. La main d’Arthur s’empara ensuite du vibromasseur, et l’enfonça en elle, l’aspergeant de mouille, le reculant pour mieux l’enfoncer ensuite. Virginie, elle, s’attaqua aux seins de Dasã, venant les embrasser, mordillant les tétons, tirant dessus avec ses dents.
« Hmmm… !! Petite salope ! Tu es ma pute, hein ?! Une grosse chienne qui a envie de se faire fourrer ! »
Comme transcendé par ce qu’il vivait, Arthur se laissait joyeusement aller, sans limite, sans aucune retenue !
« Oui, ma salope, tu es à moi ! Rien qu’à moi, hmmm… ! »
Il la fessa encore, et se pencha vers elle. Sa main se saisit de son collier, et il tira dessus, soulevant la tête de Dasã, l’étranglant un peu au passage. Il déplaça ensuite sa main pour continuer à la tirer en arrière, jusqu’à la soulever intégralement. Elle se retrouva en position debout, et il posa ensuite sa main sur son sein, appuyant dessus, son autre main se déplaçant pour aller entre ses cuisses, venant la titiller intimement par là. Il enfonça deux doigts dans sa chatte trempée, et l’entendit couiner contre lui, son dos heurtant le sien. Crispant ses mains, il s’en servait comme appuis pour la prendre. Là, avec son corps nu et musculeux, il ressemblait clairement à une bête, une sorte d’ours glabre qui venait s’abattre sur le séant de sa jeune et fragile proie.
Les hurlements de Dasâ emplirent l’air, et, cette fois, aucune bouche ne vint les recouvrir. Virginie se déplaça alors, rejoignant le lit, et s’agenouillant devant le duo, venant donner à son père un vibromasseur doré, le glissant entre ses doigts trempés pour l’enfoncer dans le dos de l’okami. La main d’Arthur s’empara ensuite du vibromasseur, et l’enfonça en elle, l’aspergeant de mouille, le reculant pour mieux l’enfoncer ensuite. Virginie, elle, s’attaqua aux seins de Dasã, venant les embrasser, mordillant les tétons, tirant dessus avec ses dents.
« Hmmm… !! Petite salope ! Tu es ma pute, hein ?! Une grosse chienne qui a envie de se faire fourrer ! »
Comme transcendé par ce qu’il vivait, Arthur se laissait joyeusement aller, sans limite, sans aucune retenue !