Re: A la Deliziosa Demone (avec Arthur Duroy)
Posté : 29 mars 2025 19:13
Jamais Maurice Malné n’avait exsuder autant la confiance que dans cette chambre froide infernale.
« Ce que je trafique ici ? Au lieu de vous faire un beau discours, je vais vous faire une démonstration. »
Malgré la présence de l’arme à feu braquée sur lui, Maurice Malné s’approcha de la bête qui le dominait de son physique.
« Démone, accroupis-toi. »
Le ton était égal à un coup de fouet. La démone en question siffla comme une chatte en colère. Les muscles se tendirent sur sa peau qui révélait des repas inégaux. Et pourtant, le « petit » homme se fit obéir. La démone s’accroupit en faisant sonner ces chaînes qui la retenaient. Des chaînes solidement fixées au mur. Sur ces murs, d’ailleurs, il y avait de nombreuses traces de griffes. Autant de tentatives de se soustraire à la régence de Malné… Sans succès…
« Et écarte les cuisses. »
Un nouveau coup de fouet dans l’air. La démone écarta les cuisses comme demandé et fixa son regard égal à la putréfaction de soufre dans celui d’Arthur Duroy. Il y avait une malaisance. Si ces orbites avaient été douées de pouvoir, son crâne serait alors nanti d’un orifice fumant derrière sa tête…
« Touche-toi, maintenant. Mouille. Parce que ce gentleman adore les femelles. Donc prépare-toi à t’ouvrir grand pour qu’il te nique comme il en a envie. »
Avec un grand rictus, Maurice Malné observa posément Arthur Duroy. Puis il ajouta :
« Et je passerai après lui, de bien entendu. »
Si le Diable se dissimulait parmi les badauds, le costume de « Maurice Malné » était impeccable dans le rôle. L’homme était-il vraiment humain ? N’y avait-il pas plus de démon en lui que d’être humain ? Et pourtant, il n’avait rien fait. Seulement des mots depuis le début. Une senteur… Une attitude…
Son ton descendit d’un seul coup. Un froid glacial…
« Tu f’rais mieux de baisser ton pétoire, Duroy. Si tu continues, je peux t’assurer qu’il va t’arriver des bricoles. »
Y avait-il quelqu’un d’autre dans la pièce ?...
« Ma progéniture veille sur moi. J’lai éduqué de sorte à ce qu’il soit les soldats rêvés… »
« Ce que je trafique ici ? Au lieu de vous faire un beau discours, je vais vous faire une démonstration. »
Malgré la présence de l’arme à feu braquée sur lui, Maurice Malné s’approcha de la bête qui le dominait de son physique.
« Démone, accroupis-toi. »
Le ton était égal à un coup de fouet. La démone en question siffla comme une chatte en colère. Les muscles se tendirent sur sa peau qui révélait des repas inégaux. Et pourtant, le « petit » homme se fit obéir. La démone s’accroupit en faisant sonner ces chaînes qui la retenaient. Des chaînes solidement fixées au mur. Sur ces murs, d’ailleurs, il y avait de nombreuses traces de griffes. Autant de tentatives de se soustraire à la régence de Malné… Sans succès…
« Et écarte les cuisses. »
Un nouveau coup de fouet dans l’air. La démone écarta les cuisses comme demandé et fixa son regard égal à la putréfaction de soufre dans celui d’Arthur Duroy. Il y avait une malaisance. Si ces orbites avaient été douées de pouvoir, son crâne serait alors nanti d’un orifice fumant derrière sa tête…
« Touche-toi, maintenant. Mouille. Parce que ce gentleman adore les femelles. Donc prépare-toi à t’ouvrir grand pour qu’il te nique comme il en a envie. »
Avec un grand rictus, Maurice Malné observa posément Arthur Duroy. Puis il ajouta :
« Et je passerai après lui, de bien entendu. »
Si le Diable se dissimulait parmi les badauds, le costume de « Maurice Malné » était impeccable dans le rôle. L’homme était-il vraiment humain ? N’y avait-il pas plus de démon en lui que d’être humain ? Et pourtant, il n’avait rien fait. Seulement des mots depuis le début. Une senteur… Une attitude…
Son ton descendit d’un seul coup. Un froid glacial…
« Tu f’rais mieux de baisser ton pétoire, Duroy. Si tu continues, je peux t’assurer qu’il va t’arriver des bricoles. »
Y avait-il quelqu’un d’autre dans la pièce ?...
« Ma progéniture veille sur moi. J’lai éduqué de sorte à ce qu’il soit les soldats rêvés… »