Cela faisait deux fois ce soir que Camille ne comprenait pas – ou ne voulait pas comprendre – les indications du succube. Il lui semblait pourtant s’être montré claire.
La première fois en inversant les rôles et maintenant en ne se soumettant pas au footjob. Une grave erreur car c’était l’un des péchés mignons de Valeria et elle avait sciemment offert cette carte maîtresse à sa future élève, autant pour la jauger que pour lui offrir une belle possibilité de remporter ce petit jeu.
Valeria n’était pas certaine que ces agissements de la Comtesse lui plaisaient.
« Tu es joueuse, petite coquine, hein ? Mais sache que je ne me suis pas tournée les pouces suite à notre dernière fois… En t’invoquant, j’ai réalisé que j’avais un potentiel magique plus élevé que ce que je croyais, et… »
Valeria sentit un afflux de magie venant de Camille. De la magie rose, invoquée sans aisance, plutôt laborieusement mais invoquée avec succès. Les mains de la Comtesse se crispèrent sur ses seins. Valeria sentit enfin une chaleur se poser contre ses reins, une chaleur bien connue. Une verge !
Surprenant !
Elle n’aurait pas cru qu’elle arriverait à ça seule. Essoufflée, Camille gémit doucement à son oreille. Elle tremblait contre elle, le menton posé sur son épaule. Elle avala difficilement, reprit du poil de la bête.
« Ces deux-là, je les veux avec nous dans le bain… Je veux qu’ils nous baisent, pas toi ? Mais… Vous prenez de sacrés risques, Maîtresse… M’offrir les rênes de la nuit… Je suis curieuse de voir jusqu’où je pourrais aller avec un succube comme vous…
- Tu, vous… Il va falloir choisir ma belle Comtesse. Tu me tutoies ou tu me vouvoies ? » la taquina-t-elle. « Tu es pleine de surprises. J’aime ça. Voyons comment tu gères tout ceci… Tu es encore loin d’avoir gagné ces rênes… Quant à ces jouets, si tu les veux… pourquoi pas ? »
Les deux hommes avaient trouvé un ordre. Le plus âgé était appuyé contre le mur, le pantalon baissé à mi-cuisses tandis que l’autre s’adonnait à une fellation maladroite mais effrénée en se masturbant frénétiquement.
La pression sur ses seins s’accentua, la queue trouva sa place entre ses fesses. Une main gantée empoigna sa propre queue. Valeria soupira, le gland força son sphincter, s’enfonça en elle. Sa queue gonfla dans la main de Camille.
« Aaannnhhh. »
Elle laissa sa tête basculer en arrière, se poser sur l’épaule de Camille tandis que la queue de celle-ci trouvait son chemin en elle.