The Multiversity

Un léger sourira orna les lèvres de Scott quand il vit Emma mettre à l’épreuve la résistance de son ouvrage. Elle tira avec son corps, mais elle était bloquée. Tout au plus réussit-elle à étirer ses orteils. Sa meilleure assise restait encore ses genoux, qu’elle pouvait utiliser pour se positionner, ainsi que ses épaules, sur lesquelles elle pouvait se reposer pour faire des mouvements de balancier. Scott restait néanmoins prudent, car il était toujours possible que, en définitive, Emma ne trouve l’expérience décevante. Mais, pour l’heure, cela ne semblait pas être le cas. Observant sa femme, Scott se rapprocha d’elle, et l’embrassa à nouveau sur les lèvres, puis commença ensuite son effeuillage. Il commençait à sentir une certaine tension sexuelle remonter en lui, qui se caractérisait par un durcissement de son membre. Cela semblait bien légitime. Emma était en toute circonstance magnifique, mais la voir entravée dans de tels liens rajoutait un exquis supplément. Ce frisson qui le traversait était très agréable, grisant, et exprimait autant une soif de chair qu’une envie de domination.

« Hmmm… »

Scott continuait à jouer avec elle, embrassant son corps, caressant également sa peau, glissant sur ses vêtements, sur ses muscles, la stimulant. Il lui avait rendu sa liberté de parole, mais l’avait privé de sa vision. Ainsi, il pouvait l’entendre. Il descendit sur son torse, et embrassa le nombril d’Emma, juste au-dessus de la zone sensible. Scott se redressa ensuite, et retourna Emma, la couchant sur le ventre. Ses gestes étaient lents, précautionneux. Avec les cordes, Emma pouvait moins facilement se réceptionner. Derrière, dans le dos d’Emma, il y avait un ensemble de nœuds. La corde de ses jambes était reliée à celle de ses mains, et il attrapa une corde, commençant à tirer dessus. La réaction ne se fit pas attendre, toutes les cordes vibrèrent ensemble, notamment aux zones sensibles de sa partenaire, intimes.

Il se rapprocha alors de ses pieds, et en caressa un. Les pieds d’Emma étaient recouverts de son collant blanc, un collant moulant qui faisait qu’il pouvait deviner les orteils.

« Ces cordes ne servent pas qu’à te restreindre, Emma… »

Il posa son index sur la plante de son pied, et, quand il appuya plus fermement, tout le corps d’Emma sembla réagir.

« Ici, il y a la pointe de ton nerf sciatique, un nerf qui remonte toute la jambe pour arriver au bassin. La position de ta jambe fait que ce nerf est stimulé en permanence, puisque ta jambe n’est pas détendue. Et, avec la position particulière des cordes, les zones habituellement peu sensibles de ton corps deviennent beaucoup plus… Réactives. »

Un simili d’explications, tandis qu’il appuyait avec ses deux pouces sur la plante du pied d’Emma, déclenchant à chaque fois des réactions, de petits frissons électriques qui devaient remonter dans le corps de sa partenaire. Tout était fait pour exprimer une idée simple : Emma lui appartenait, et ce de la tête aux pieds.

Littéralement.

Emma remonta aveuglément la tête pour se presser dans le baiser offert par son Maître, chacune de ses caresses et chacun de ses contacts précieux, étant presque tout ce qu’elle avait de lui, et incapable d’aller en chercher plus. Lorsqu’elle la dévêtit, lui retirant ce qui donnait sensation d’armure contre son toucher, puis la retourna, elle se raidit, et à nouveau lorsqu’il attacha ses jambes derrière elle, achevant de la rendre sans aucun pouvoir, à sa mercie.

En tant que télépathe, elle n’avait que peu de leçons à recevoir sur les nerfs du corps humain, mais elle devait avouer ne jamais avoir ressenti, en fait qu’à peine soupçonné, les sensations qu’une telle position, contre laquelle son corps se battait presque naturellement, essayant de se libérer de la courbe inconfortable, pouvait infliger. Et elle était d’autant plus difficile à ignorer que c’était tout ce qu’elle ressentait, terriblement consciente de ce qu’il se passait ; La fatigue naissante des muscles de sa jambe ajoutait à la pression des cordes, et son esprit ne pouvait que devenir obnubilé par les frissons électriques qui s’enchaînaient. Elle tenta de résister un moment, par fierté, et parce qu’elle se doutait qu’abandonner trop vite, avouant faiblesse, ne mènerait qu’à plus ; Sa respiration contre le tissu du lit se fit haletante, irrégulière, lèvres entrouvertes, et par moment un gémissement lui échappait alors qu’elle essayait au contraire de mieux la contrôler. Finalement, elle dut admettre l’évidence.

« Scott, je v- Elle se retint de dire « veux » voudrais tes doigts, tes lèvres sur moi... »

De quoi oublier sa position inconfortable, mais aussi, évidemment, se trouver entre les mains de son amant, sous ses baisers.

Par rapport à Emma, Scott avait le désavantage de ne pas être télépathe. Difficile, dans ces conditions, et surtout quand on jouait à un jeu sexuel comme le bondage, de savoir s’il avait atteint la limite de sa partenaire ou non. Et, même s’il avait bien fait ses nœuds, Scott ne se considérait pas encore comme l’un de ces experts en la matière capables de maintenir les femmes en suspension pendant des heures sans qu’elles ne ressentent aucune douleur. Il se devait donc, comme toujours dans sa vie, d’être observateur, de noter chaque signe. Bien sûr, Emma pouvait aussi le lui dire, mais il était le maître de cérémonie. C’était à lui de savoir quand s’arrêter. En tout cas, c’était comme ça que Scott concevait la chose. Il notait donc chaque détail, que ce soit dans la manière dont les muscles se contractaient, dont Emma respirait… Ces indices étaient pour lui plus parlants que sa vue. Néanmoins, Emma finit par lui dire qu’elle avait envie qu’il la caresse et qu’il l’embrasse, en l’appelant « Scott ».

Scott estima que c’était là un signal suffisamment clair. Il croisa le regard d’Emma, à travers ses lunettes en ruby-quartz, puis caressa sa joue d’une main tout en esquissant un sourire sur le coin des lèvres.

« C’est noté, ma chérie… Tu sais, s’il faut un sacré moment pour faire cet assemblage, c’est en revanche beaucoup plus simple de le retirer… »

Il se pencha vers elle, et l’embrassa encore, tandis que sa main se glissa dans le dos d’Emma, là où il y avait le cœur de cet assemblage de cordes. Il tira sur une corde, et défit le nœud central. Emma put alors sentir la traction des cordes se défaire progressivement. La pression sur ses épaules et sur le reste de son corps se défit, et la corde glissa, filant sur le corps d’Emma, dans un agréable sifflement, jusqu’à partir en moins d’une minute. Scott aida Emma à déplier les jambes, et il l’allongea sur le lit. Le jeune mutant lui sourit encore, s’allongeant contre elle.

« Il vaudrait mieux que je te masse, pour éviter les courbatures… Ce sont tes vacances autant que les miennes, après tout. »

Sentant sa délivrance et Scott approcher, Emma se contorsionna doucement pour s'offrir à ses mains, soufflant un soupir d'apaisement alors que ses doigts vinrent sous elle dénouer ses liens. Les muscles comme encore contraints par les cordes, un peu endoloris et habitués à leur immobilité, elle se laissa manipuler par son amant, qui la posa simplement sur son dos.

Sa peau était encore marquée par les cordes, rougie et légèrement embossée entre le peu de vêtements qui la couvraient encore, et il était donc encore facile de voir où celles-ci avaient été sur sa peau, et même si les draps étaient divinement soyeux, ces marques étaient aussi sensibles.

Scott à ses côtés, elle posa doucement une main sur la sienne, passant délicatement ses doigts sur les siens puis autour.

“Une offre alléchante…”

Sur un dernier baiser, Emma referma sa main sur celle de son amant pour l’amener à sa cuisse, là où se terminait un de ses bas, se renfonçant légèrement dans sa chair, et y délaissa alors la paume de Scott pour la laisser reposer directement sur sa peau. Guidant lentement Scott, elle fit remonter sa main tout en gardant ses yeux bleus dans les siens, souriante; Parce qu’ils avaient été bandés pendant plusieurs minutes, elle clignait encore souvent des yeux, et ils étaient un peu plus humide que d’ordinaire, mais ça ne changeait rien à où elle les voulait.

“Une recommandation - ou préférence - pour où commencer…?”

Sur le chemin, les doigts de Scott passèrent sur un endroit où ses cordes avaient enserré Emma, et pu y sentir une dépression subtile, mais évidente au sens aiguisé du toucher. Ils arrivèrent ensuite à la frontière de son maillot pour le chevaucher, grimpant sur le ventre de la jeune femme. Le tissu était divinement fin, et enserrait délicieusement la chair de sa porteuse; C’était un miracle de la technologie moderne qu’il ne disparaissait pas à la moindre goutte d’eau, et Summers pouvait jurer sentir même à travers celui-ci, s’il appuyait un peu du bout de ses doigts, les traces des cordes par-dessus le corps sculpté de son amante.

Quand ses doigts furent guidés jusqu’à la poitrine de celle-ci, le tissu suivit la courbe de sa peau presque sans le moindre relâchement ou espace, comme une seconde peau – un autre miracle de la haute couture que mécénait Frost. Elle lui fit grimper la courbe d’un de ses seins, mais ralentit en arrivant à son sommet, ne faisant que menacer d’arriver à son aréole. Ses yeux toujours rivés dans sa visière, avant de se retourner sur son ventre, mettant fin à cette exploration, un grand sourire sur les lèvres sur cette touche d’espièglerie.

S’aplatissant sur le lit, mains jointes sous son menton, Scott pouvait voir son maillot, toujours aussi serré, épouser chaque relief de son dos, de ses fesses appréciablement sculptée à ses fines épaules, en passant par le long précipice au milieu de son dos qui reliait les deux, signe de la finesse musclée d’Emma Frost.

“As-tu fait ton choix, mon amour ?”

Elle vint délicatement embrasser Scott, fermant les yeux pour profiter de ses lèvres, pour ne finalement pas les réouvrir lorsqu’elle eut fini de l’apprécier, apposant simplement sa joue sur le lit en attente de son verdict qu’elle découvrirait de manière plus tactile.

Scott avait visiblement l’embarras du choix. Maintenant qu’il avait déballé son paquet cadeau en retirant les cordes d’Emma, il pouvait profiter d’elle. Si elle était heureuse de retrouver la vue, lui avait toujours sa vision réduite, où ile voyait le monde en rouge. Scott avait appris à s’y faire, tout comme il avait appris à préférer se fier à ses autres sens, notamment à ses mains. Et ses mains avaient soif d’explorer le corps d’Emma. Devant lui, la belle blonde était libre de ses mouvements, et les cordes avaient dessiné ici et là dans sa peau des crevasses, des sillons. Elle n’en restait pas moins ce diamant parfait devant laquelle on ne pouvait que se pâmer. Magnifique et somptueuse, Emma le laissa choisir entre la partie de son corps à masser. Scott sourit doucement. La soif se manifestait chez lui de façon très physique. Près d’elle, il sentait contre son sexe la cuisse d’Emma. La Reine blanche était sienne, et Scott sentait l’excitation l’envahir. C’était comme une vague névralgique, une ivresse qui le faisait joyeusement trembler. Ce frisson, voilà ce qu’il aimait !

Scott entrouvrit les lèvres, et répondit au baiser d’Emma, avant de la retourner lentement.

« Un bon massage, ça se fait par le dos, ma chérie… »

Scott avait donc fait son choix. Surprenant ? Sans doute pas… Mais Emma le connaissait suffisamment pour savoir qu’il n’était pas un amant exigeant. Il aimait chaque partie du corps de sa belle, de la pointe de ses pieds à ses cheveux. Elle portait son maillot, et, après cette séance de bondage, le maillot semblait s’être collé davantage à son corps, épousant ses formes. Il posa ses deux mains sur les épaules d’Emma, et appuya dessus, les massant en amenant ses pouces contre les flancs de sa nuque, à hauteur des cervicales. Il pinçait délicatement la peau, pour mieux stimuler le corps, et massait ensuite,

« Massage shiatsu. Je crois que tu adores ça. »

Ironiquement, c’était de la part de Logan que Scott avait appris ce type de massage. Imaginer cette brute épaisse, sale et renfrognée, capable d’un massage aussi délicat, c’était assez amusant, mais cela faisait partie des contradictions inhérentes à Logan. Il avait appris ça lors de son séjour au Japon. Pour ce que Scott en savait, il avait appris ça des mains de Mariko, son ancienne épouse. Le massage shiatsu reposait sur la médecine chinoise ancestrale. Mariko avait résumé le concept en voyant les phalanges ensanglantées de Logan, ses doigts massacrés à force de déployer ses lames ; les mains étaient comme les antennes du Ciel, reliées au corps, et permettant d’entrer en résonance avec une personne. Plus concrètement, ce type de massage visait à apaiser toutes les tensions du corps. L’idée était de d’apaiser les muscles, mais aussi, dans cette vision orientale du corps, de renforcer le qi, cette énergie vitale qui se trouvait dans le corps de chaque individu.

Scott s’évertuait donc à cela, descendant progressivement sur le dos d’Emma, tout en suivant sa colonne vertébrale. Il exerçait de fines pressions avec ses pouces à des endroits précis du corps d’Emma. Outre le côté érotique, l’idée était aussi de détendre les muscles d’Emma, muscles qui avaient été mis à rude épreuve pendant leur séance de bondage. Le massage s’étirait volontiers dans la longueur, mais cela ne déplaisait pas pour autant à Scott. Il continuait ainsi à descendre, pressant ce corps magnifique, percevant les soupirs d’Emma, la manière dont celle-ci frémissait sous lui. Il continuait donc à agir, se rapprochant lentement de ses fesses.

« Je pense qu’on peut passer à la seconde partie du massage, non ? Celui où je m’attaque à cette délicieuse surface rebondie et moelleuse… »

Emma était heureuse de se laisser tourner sur son dos par les mains de Scott, le seul défaut de cette nouvelle position étant peut-être qu’elle ne pouvait plus le voir. Mais, venant croiser ses bras devant elle pour y apposer une de ses joues en fermant les yeux, elle se dit que peut-être ça n’était pas vraiment un problème.

Bientôt, les doigts de son amant vinrent malaxer sa peau et lui arracher un frémissement; Incapable de voir ce qu’il faisait, elle n’avait que le bien plus charnel sens du toucher pour se faire une idée. Télépathe, elle savait bien que c’était un sens très peu fiable; Il amplifiait tout, sentant aisément ce que d’autres sens ne pouvaient repérer. A ce moment précis, elle devait avouer apprécier cette distortion, ayant l’impression d’être enserrée par les chaudes mains de Scott, d’être enfoncée dans le matelas par sa force. Il avait, comme souvent, bien raison...

“Tu crois bien, mon chéri... Les mots lui échappèrent comme un long souffle alors que le massage imposait un certain calme aux muscles passivement tendus d’Emma ...et tu masses encore mieux...”

Il était parfois difficile de savoir si les divers talents de Summers étaient le fruit d’une longue pratique ou d’une intense étude; Il avait développé un talent certain pour apprendre et comprendre, lorsqu’il était motivé, et sans fausse modestie, Frost se considérait une motivation certaine. Lui aussi en était une; Elle avait déjà surpris son excitation plus tôt, et elle était palpable, aussi bien physiquement que psychiquement. Pendant les mouvements les plus lourds du massage, Emma camouflait de longues expirations, d’autant plus qu’il s’approchait doucement de son fessier, et avec cela, la promesse de plus qu’il vocalisa bien assez tôt.

Attaque, mon amour - Attaque... De côté, elle ouvrit un oeil pour lancer un regard furtif à Scott par dessus son épaule Dis-moi, combien y-a-t-il de parties à un massage shiatsu ? Elle donna un peu de temps à son aimé pour répondre, tentant de cacher un sourire qui la trahie bien vite. Et à celui que tu me réserves ?”

S’arquant légèrement en poussant sur ses genous tant que son bassin était encore libre de se relever légèrement, elle présenta “incidentalement” un peu mieux son fessier, et vint doucement taper le flanc de Summers du bout de son pied, comme pour appuyer sa mesquinerie.

Scott allait désormais passer aux choses sérieuses, ou tout du moins à une autre forme de massage. Sur le papier, le massage shiatsu n’était nullement sexuel, c’était avant tout un massage relaxant, reposant sur d’antiques théoriques chinoises sur la conception du corps humain, et notamment la notion de « force vitale », ou « Ch’i ». L’idée était de stimuler les parties du corps humain servant de conducteurs ou de canaux pour cette force vitale. Le massage shiatsu était utilisé aussi bien pour se relaxer que pour des massages médicaux.

Face aux fesses d’Emma, Scott avait naturellement en tête un autre type de massage, ce que ne manqua pas de faire remarquer sa Reine, qui s’en amusa, et se cambra un peu. Elle s’appuya sur ses avant-bras et replia ses genoux, pour relever ses fesses. Scott sentit le pied d’Emma toucher son flanc. Il soupira lentement.

« Je dirais que la suite de cette séance est une inspiration personnelle, qui ne figure dans aucun livre… »

Il respirait lourdement. Chez la plupart des êtres vivants, la vision était le sens le plus souvent sollicité. Chez Scott, ce n’était pas le cas. Si cela ne lui avait pas permis d’acquérir des pouvoirs surnaturels comme pour Daredevil, Scott avait en tout cas développé une certaine expertise du toucher. Qu’il soit talentueux dans un massage n’avait donc en soi rien de surprenant, et c’était même au contraire tout à fait logique, au vu de son passif.

Scott commença donc à s’appliquer, et posa chacune de ses mains sur les délicates courbes du corps de sa promise. Une main sur chaque fesse, et il commença à presser. Savoir précisément ce qu’il trouvait de fascinant chez ces deux belles bosses arrondies relevait de l’inexplicable. Le désir avait pour lui cette part solide d’illogisme pure, ce morceau échappant à toute raison. Cela lui plaisait, cela le stimulait et le faisait frémir, voilà tout. Toute autre considération serait sans aucun doute inutile. On pouvait dire, et ce ne serait pas faux, qu’il aimait la manière dont sa partenaire réagissait, qu’il stimulait des zones plus érogènes qu’on ne le pensait de prime abord… Mais cela ne justifiait pas le plaisir primal qu’il ressentait.

« Tu es vraiment un pur diamant, ma chérie… Aucun défaut sur la moindre parcelle de ton corps… »

Il continuait à malaxer ses fesses, lentement, pressant ses doigts, approchant ses pouces du rebord, afin d’écarter chaque fesse l’une de l’autre, libérant l’accès à la croupe, étirant cette zone, mélangeant douleur et plaisir, sans doute, l’espérait-il, pour la plus grande satisfaction de sa somptueuse partenaire…