The Multiversity

Apparemment l’idée de Shiro de punir Camille en le fouettant plaît beaucoup à Mélinda, qui décide d’en rajouter une couche. Elle fait mettre le soumis debout, attache ses poignets et ses chevilles avec des sangles de cuir et lui retire sa robe en coupant les sangles avec ses griffes. Le jeune homme tente faiblement de protester mais Mélinda le remet vite à sa place avant d’aller chercher un fouet à son tour. Elle explique à Shiro que Camille a en lui un mutagène qui renforce sa guérison à mesure qu’il est excité et lui propose de fouetter l’esclave ensemble : une par devant et l’autre par derrière, puis elles échangent les rôles jusqu’à ce qu’il jouisse. Elle lui propose même de goûter à son sang après qu’il ait joui.

« Hhhmmm… ce sera avec joie. »

Shiro a suffisamment de maîtrise sur ses nouveaux dons vampiriques pour voir que le sang de Camille s’emballe en lui et ça l’excite beaucoup. D’un seul coup elle fait preuve de moins de retenue avec son fouet et enchaîne les coups sur l’arrière du corps du soumis, se concentrant surtout sur ses fesses. Voir cette belle peau blanche et lisse se couvrir de marques, ces jolies petites fesses qui virent au rouge… elle se sent puissante et se délecte des couinements de douleur de son esclave. De temps en temps elle marque des pauses dans sa punition juste pour regarder son corps et profiter du spectacle, savourer pleinement cette sensation de domination.

Au bout de quelques minutes Shiro échange de place avec Mélinda et passe devant Camille. Son corps a bien été marqué par les coups de fouet mais son inmon brille et les blessures restent superficielles. De toute façon l’infirmière s’est bien rendue compte que les fouets sont émoussés, ce sont des jouets et pas des instruments de torture. Elle s’approche du soumis et vient caresser son corps, sa main passant sur son torse avant de glisser lentement vers son entrejambe pour empoigner sa verge érigée, souriant en le voyant gémir.

« Je ne savais que tu aimais autant te faire fouetter, petit pervers. J’aurais peut-être dû commencer par là au lieu de te faire lécher mes orteils. Et regarde comme tu es dur… hhhmmm… j’ai hâte de voir ton petit oiseau cracher sa semence. »

Shiro se met à fouetter l’avant du corps de Camille et cette fois elle a en plus la satisfaction de voir son visage quand il couine et gémit son plaisir. Parfois elle essaie de viser précisément son sexe mais elle maîtrise mal son fouet et vise souvent à côté, mais peu importe car le vrai plaisir pour elle c’est de voir cet esclave se tortiller et couiner sous les coups, se sentir puissante et dominatrice. Finalement après encore quelques minutes Camille jouit et son sperme éclabousse le sol, une récompense pour lui mais aussi pour l’infirmière puisqu’elle peut maintenant venir goûter à un autre de ses fluides. Elle lâche son fouet et vient se coller contre lui, sa bouche embrassant déjà son cou.

« Mélinda… tiens-toi prête à m’arrêter s’il le faut. »

Elle a déjà perdu le contrôle à plusieurs reprises en buvant le sang d’autres individus et même si cette fois elle pense pouvoir se tenir ça ne coûte rien de demander à sa mère vampirique de la surveiller. Elle lèche et embrasse la peau du cou de son soumis avant d’y planter ses canines pour boire son sang. Encore une fois une vive sensation d’euphorie la gagne tandis qu’elle aspire ce sang qui, comme son hôte l’avait promis, est délicieux. Elle le boit avec bonheur en essayant de se rappeler qu’elle ne doit pas en prendre trop, qu’elle doit se contrôler pour ne pas faire de mal à son esclave.

Tenues

Shiro s’amusait avec Camille, visiblement emballée en découvrant l’étendue de son masochisme. Et cela, Mélinda le comprenait très bien ! Elle avait éduqué son petit Camille en ce sens. Il n’était pas encore un vampire, mais il était appelé à l’être. De fait, s’il pouvait se soigner vite, c’était aussi à cause de mutagènes destinés à le transformer en vampire. Comme Shiro le savait maintenant, Mélinda avait pendant longtemps hésité à transformer ses esclaves en vampire, car elle ne voulait pas les rendre stériles. Alors, elle avait tenté des solutions alternatives, en s’aidant des potions de sa femme. Camille avait eu droit à un mutagène inspiré du vampirisme pour le rendre plus endurant, et pour qu’il se soigne plus vite. Mais, maintenant que Mélinda avait réussi à guérir la stérilité liée au vampirisme avec son sang, Camille était sur la liste des esclaves destinés à devenir définitivement des vampires… Ce qui ne le rendrait toutefois pas moins soumis. Il avait été élevé comme ça. Et Mélinda l’avait bien élevé.

Tandis que Shiro le fouettait par l’arrière, en ciblant ses fesses et son dos, Mélinda, elle, s’était agenouillée devant Camille, et embrassait son sexe. Elle caressait aussi ses testicules, et léchait ensuite sa verge. Son mât se dressait généreusement. Camille était déjà très excité, et les coups de fouet continuaient à l’achever.

« Hum, mon beau Camille, tu es vraiment toujours aussi masochiste, hihi…
- Haaa… Maî-Maîtresses, haaaa… »

D’habitude si prolixe, Camille était en manque de mots ! Dans son esprit comme dans celui de Mélinda, la question n’était pas de savoir si Shiro allait accepter de devenir une Warren, mais plutôt quand. Alors, forcément, se faire sexuellement torturer par deux Warren, soit par deux Maîtresses, ça ne pouvait que faire furieusement bander Camille ! Shiro continua à le battre, tandis que Mélinda léchait son sexe, se refusant à le faire jouir. Elle serrait aussi la queue de Camille dans sa main, ce qui le faisait couiner à nouveau, tandis que cela amusait la vampire, qui gloussait en le voyant rougir, et en l’entendant couiner.

« Tu couines vraiment comme une fille, Camille ! » le provoqua-t-elle.

Elle s’amusait de la situation, très clairement. Mais qui ne le ferait pas ? Camille était tellement adorable ! Finalement, Shiro proposa d’inverser les choses, et Mélinda finit dans le dos de Camille. Elle put voir que sa peau avait bien rougi ici et là, et elle s’amusa à malaxer ses fesses, les écartant avec ses pouces pour lécher son fondement avec sa langue. Douceur et douleur, les deux faces d’une même pièce ! De son côté, Shiro manipula son fouet, en ciblant cette fois le sexe de Camille, ce qui conduisit naturellement Mélinda à faire quelques utiles précisions :

« On lui a ingurgité un mutagène, car je ne voulais pas que la peau de Camille porte les traces de mes griffures… Je voulais que sa peau reste parfaite et douce au toucher. »

En revanche, et Shiro allait bientôt le voir, comme Mélinda le mordait très souvent dans le creux du cou, il avait presque en permanence deux petits sillons dans le creux de son cou, formant des balises idéales pour que Shiro sache où mordre. Car, évidemment, cette session ne saurait être parfaite sans son Étreinte vampirique !

Shiro continua donc à le fouetter, claquant le fouet sur ses cuisses, sur son bas-ventre, mais surtout sur son sexe. Cela le faisait couiner de plaisir, et le jeune homme se tortillait alors sur place, prenant très clairement son pied. Souriant malicieusement de son côté, Mélinda léchait encore son fondement, tandis que l’inmon de Camille s’illuminait.

« Oh, Maî-Maîtresse Shiro… !! »

Camille finit par jouir lors d’un ultime claquement, et éclaboussa le fouet de son jus. Il jouit joyeusement, et soupira ensuite, jutant sur ses cuisses, ainsi que sur la pointe des bottes de Shiro.

« Pa-Pardon, Maîtresse, je vous ai sali… »

Shiro n’en tint cependant pas compte, impatiente de participer à son repas. Mélinda se redressa à son tour, se lovant au dos du jeune homme. Elle le caressa, ses seins s’enfonçant dans son dos, et lécha le creux de son cou.

« Moi aussi, je compte en profiter… »

Elle sourit malicieusement, et Camille gémit. Il avait déjà été mordu simultanément par sa Maîtresse et par son épouse, et l’expérience avait été jouissive au possible. Sa queue se redressa derrière, tandis que Shiro rappela à Mélinda d’intervenir si jamais elle en prenait trop. Se voulant rassurante, elle caressa la joue de Shiro, et l’embrassa alors.

« Ne t’en fais pas, Shiro, je suis là… Mais c’est aussi l’occasion pour toi de savoir quand t’arrêter. Fie-toi aux battements cardiaques de Camille. Quand ils commenceront à réduire, c’est le signe d’arrêter. N’hésite pas à le masturber ou à le griffer. »

Mélinda déposa ensuite un baiser sur le creux du cou de Camille.

« Nous allons le sucer ensemble, mon amour. Cela veut dire qu’il va falloir que l’une se retienne d’aspirer pour que l’autre le fasse, et ainsi de suite. Pour ça, quand je commencerai à aspirer, tu sentiras le sang réduire en quantité, donc il faudra que tu arrêtes de sucer, et, quand tu voudras reprendre, aspire à ton tour, et je m’arrêterai. Si cela te va, je te laisse commencer, ma chérie. Plante tes belles dents, et pose tes mains sur son petit cul, je vais m’occuper de le masturber de mon côté… »

Shiro planta alors ses crocs, et Mélinda en fit de même, arrachant à Camille de magnifiques couinements, tandis que la main de la vampire vint le masturber. Elle laissa Shiro boire pendant plusieurs secondes, puis, bien décidée à parachever sa formation, elle commença à aspirer le sang de Camille à son tour…

Après le plaisir de la domination Shiro va maintenant pouvoir goûter au plaisir de l’Etreinte vampirique en buvant le sang de Camille. Par sécurité elle demande à Mélinda de rester près d’elle pour l’arrêter au cas où elle n’arriverait plus à s’arrêter, la vampire lui répond qu’elle compte aussi en profiter et lui explique comment se fier aux battements cardiaques de la personne dont elle prend le sang pour savoir quand s’arrêter. Elle va lui sucer le sang en même temps et lui explique la marche à suivre pour que cela se fasse en toute sécurité, elle lui conseille également de ne pas hésiter à le masturber ou à le griffer.

« Hhhmmm… d’accord. »

Encore hésitante mais bel et bien affamée, Shiro plante ses crocs dans le cou de Camille et commence à pomper son sang tout en lui pelotant allègrement les fesses. Encore une fois le goût du liquide écarlate provoque une explosion sensorielle dans tout son corps, en plus le sang de son soumis est délicieux grâce aux mutagènes de Vanilla et plus elle boit plus elle a envie de boire. La première fois que Mélinda plante à son tour ses crocs et que l’afflux sanguin commence à diminuer, l’infirmière doit être un peu forcée par sa mère vampirique afin de lâcher sa proie mais elle finit par le faire. Elle se lèche les lèvres et les canines pour ramasser les dernières gouttes de sang de son soumis puis s’approche de lui pour l’embrasser tout en masturbant sa verge, toujours aussi dure malgré le sang qu’il perdait.

« Aaahhh… tu es vraiment un gros pervers toi. On te fouette, on t’insulte, on boit ton sang… et pourtant tu continues de prendre ton pied, petit vicieux. »

L’infirmière se lèche les babines en regardant Camille couiner et gigoter entre ses deux maîtresses, savourant la sensation de sa verge bien dure sous ses doigts, et dès que la vampire lâche sa gorge elle prend sa place pour savourer à nouveau son sang. Le liquide écarlate lui procure une extase totale, elle se régale à le boire à grandes gorgées mais fait preuve de plus de maîtrise : quand sa mère vampirique veut prendre la place elle n’a plus besoin de la forcer à se retirer.

Au bout de plusieurs minutes d’alternance de morsure Shiro sent les battements de cœur de Camille ralentir et comprend qu’il est temps de s’arrêter. Bien que cela lui coute elle retire ses crocs de la chair de son soumis et se nettoie les canines de ce qu’il reste de sang avant de se reconcentrer sur Mélinda. Remplie d’une fougue nouvelle après ce repas elle saute au cou de son hôte pour l’embrasser, écrasant sa poitrine contre la sienne et malaxant avec joie ses fesses, entaillant sa langue sur ses canines pour mettre du sang dans leur baiser.

« Hhhmmm… Mmmhhh ! »

Emportée par la passion l’infirmière sent l’inmon sur son ventre chauffer et sa verge de futa émerge entre ses cuisses pour venir taper contre le ventre de sa mère vampirique. Quand elle rompt le baiser son souffle est chaud et lourd, elle ressent un désir puissant bouillir en elle et veut à tout prix le soulager avec la superbe femme face à elle. Sans demander l’avis de la vampire l’infirmière l’attrape par les épaules, la retourne et la plaque contre un mur avant d’approcher sa verge tendue de son fondement.

« Aaahhh… maman aime la sodomie… et moi j’aime faire plaisir à maman. »

Sur ces mots Shiro enfonce sa lance dans le cul de Mélinda et commence à la baiser, exprimant à travers ce coït sa nouvelle puissance vampirique et son désir de domination. A voir comment la maman va réagir à ce soudain élan de puissance de sa fille.

Tenues

Le meilleur moyen de faire plaisir à Mélinda dans ce contexte, outre de prendre son cul, c’était naturellement de l’appeler « Maman ». Shiro le faisait avec une telle spontanéité et un tel engouement que cela renforçait sa nouvelle orientation et son nouveau choix de vie… Devenir une vampire, et devenir une Warren. Oui, rien ne pouvait lui faire plus plaisir que de voir Shiro se faire petit à petit à la seule réalité viable, au fait de devenir sa fille, et de rejoindre sa famille. Après tout ce que la belle infirmière avait vécu lors de ce week-end étendu, et ce tout ce qu’elle allait encore vivre, Mélinda était sûre qu’elle reviendrait. La question n’était plus « si », mais « quand ».

« Oh, Shi-Shiro, haaaa… V-Vas-y, viens baiser Maman, montre à ta Maman tout l’amour que tu lui portes ! »

Se substituer à Tessou était impossible, mais ce n’était pas ce que Mélinda avait proposé. Elle n’était pas la petite-amie ou la fiancée de Shiro, elle était sa Maman ! La chose était donc différente. Mélinda était donc convaincue que, par ce biais cognitif, elle obtiendrait ce qu’elle voulait. Ce n’était qu’une question de temps…

Près d’elles, Camille observait la scène. Pris entre ses deux Maîtresses, il avait senti leurs généreuses poitrines s’appuyer contre lui, leurs souffles, leurs odeurs… Ah, comment diable ne pas résister ? Impossible ! Fort heureusement, Camille avait de l’endurance, ce n’était pas la première fois que sa Maîtresse le mordait. Il avait appris à faire avec, à adapter son corps à la perte de sang, qui entraînait vertiges et tournis, surtout quand l’Étreinte se tournait. Généralement, sa Maîtresse le besognait ensuite, ou s’empalait sur sa queue, et l’orgasme le mettait hors-jeu. Mais là, le jeune homme avait dû subir pendant de longues minutes, gémissant, soupirant, sentant les mains de ses Maîtresses se balader sur son torse, sur sa queue, venant réduire le jeune soumis à un simple objet sexuel, un délicieux jouet, une friandise qu’elles avaient goûté et savouré.

Passablement excité après ce traitement, Camille reçut la visite de Bran, qui l’enlaça.

« Oh, Maître…
- Viens par là… »

Bran caressa la joue de Camille et empoigna ses cheveux, avant de l’embrasser. Camille se pressa contre lui, et frémit quand Bran déplaça ses mains pour presser ses fesses, tout en frottant sa verge en érection contre la sienne.

De son côté, Mélinda se faisait donc tringler sévèrement. Elle gémit, et griffa la tapisserie du mur, la condamnant à être (de nouveau) changée. Mélinda tourna la tête vers Shiro, sentant les puissants coups de reins de celle-ci, qui plaquait Mélinda contre le mur, la faisant rebondir dessus.

« V-Vas-y, hmmm… Baise-moi encore, ma belle, défonce le cul de ta Maman comme tu sais si bien le faire, haaaaa… Haaaaaa… »

Shiro s’écrasait parfois contre elle, plaquant ses lourds seins contre son dos, écrasant alors Mélinda contre le mur. Elle pouvait sentir que le sang de Mélinda s’enflammait, remuant furieusement dans tout son corps.

« Haaaaa… Je… Je t’aime, Shiro, je t’aime, ma Shiro ! Viens m’inonder le cul, remplis-moi de tout ton amour !! »

Pour Shiro, recevoir l’Etreinte était un plaisir à nulle autre pareille, la sensation de se faire mordre était plus délicieuse que tout ce qu’elle avait connu avant et rien ne semblait pouvoir l’égaler. Du moins jusqu’à ce qu’elle découvre l’Etreinte en étant de l’autre côté, en étant celle qui boit le sang. Le goût de ce liquide carmin sur sa langue, la sensation de puissance qui en découle… pour elle c’est un plaisir aussi grand que de donner son sang à un vampire. Mélinda avait gagné son pari, il n’était plus question de savoir si son invitée deviendrait une vampire du clan Warren mais plutôt quand. En attendant la jeune femme compte bien montrer à sa nouvelle mère tout l’amour qu’elle peut lui porter en lui donnant ce qu’elle semble le plus aimer dans le sexe : la sodomie.

Juste après avoir fini de boire le sang de Camille, Shiro plaque Mélinda contre la tapisserie du mur et enfonce sa verge de futa dans son cul, poussant un couinement de plaisir en sentant combien son membre est bien installée dans cette cavité chaude et étroite. La vampire n’est pas en reste, elle encourage sa nouvelle fille à lui défoncer le cul et à lui montrer tout son amour tandis qu’elle crie son plaisir et griffe le mur devant elle.

« Hhhmmm… oui maman… je vais bien m’occuper… de ton délicieux cul. »

Galvanisée par le sang qu’elle vient de boire, stimulée par la vue de sa magnifique amante et un peu par le spectacle qui est en train de se mettre en place à côté d’elle avec Bran et Camille, l’infirmière laisse parler toute sa puissance vampirique : elle sodomise la vampire avec force, enfonçant profondément son sexe jusqu’à la garde avant de le retirer, enchaînant les vas-et-viens dynamiques en donnant des coups de butoir avec une telle puissance qu’une amante humaine, même habituée au sexe anal, aurait sûrement eu très mal. De temps en temps elle vient plaquer sa poitrine rebondie contre le dos de son amante pour qu’elle se sente bien écrasée entre elle et le mur, elle appuie ses griffes dans sa chaire pour faire des petites plaies d’où le sang ruisselle, elle ponctue ses assauts d’insultes et de fessées… bref elle exprime sa domination.

« Aaahhh… maman est une telle salope… c’est un plaisir de lui défoncer le cul… »

Pour autant Shiro sent qu’elle doit encore se retenir un peu, qu’elle ne peut pas dominer complètement Mélinda. Et pour cause, Mélinda est à présent sa mère vampirique et son corps lui répète qu’elle doit être une gentille fille, qu’elle peut exprimer son plaisir et sa puissance mais qu’elle sera toujours en-dessous de sa maman, qu’elle doit l’aimer et lui obéir en toutes circonstances. C’est un peu énervant mais ça ne la dérange pas, elle est déjà très heureuse de pouvoir partager ce moment de plaisir charnel intense avec la vampire.

« Ooohhh… tu aimes ça maman ? Tu aimes sentir ta fille chérie… te défoncer le cul… avec sa grosse bite ? Dis-le… aaahhh ! »

Tenues

Mélinda avait toujours su que Shiro était une dominatrice. Elle se rappelait encore très bien de sa première soirée ici, quand elle et Mélinda avaient tourmenté la belle Alice, chacune la dominant mutuellement, la torturant sexuellement. Derrière la bonne infirmière ingénue, il y avait une femme très passionnelle, une amante survoltée qui était en train d’exprimer toute sa passion. Voilà donc qu’elle sodomisait Mélinda avec force, se laissant pleinement aller. D’aucuns auraient pu s’en offusquer, mais Mélinda adorait ça. Elle l’avait déjà montré cette nuit à Shiro, en laissant son invitée la dominer, et la torturer encore plus violemment et brutalement que ce qu’elles avaient fait avec Alice. Elle voulait que Shiro se laisse aller, mais, au-delà de ça, Mélinda aimait aussi cette brutalité, le fait qu’on puisse la dominer, et qu’elle puisse ressentir ce qu’on ressent de l’autre côté.

« Ahh… Oohh, ma chérie, ouuiii… »

Le corps de Mélinda rebondissait contre le mur. Elle griffait la tapisserie, et Shiro la griffait aussi, lacérant ses cuisses. Mélinda avait heureusement choisi une tenue qui laissait ses jambes et ses cuisses à l’air libre, ce qui permettait à Shiro de s’y attaquer sans peine. Sentir les griffes de son amante sur sa peau la lacérer, libérant son sang, voilà qui excitait Mélinda. Shiro, elle et Bran avaient fait une orgie sanguine cette nuit, permettant à Shiro de comprendre que les vampires fonctionnaient différemment des humains. Shiro la sodomisait donc avec force, filant bien en arrière, avant de s’enfoncer brusquement, défonçant le cul de sa mère vampirique. Mélinda se retrouvait alors plaquée contre le mur, couinait en sentant ensuite Shiro s’écraser contre elle, l’emprisonnant dans un cocon de chaleur, de beauté, mais aussi de douleur. Oh, que c’était bon ! Mélinda mouillait sur place, tandis que Shiro y allait avec entrain, ponctuant ses coups de reins de mots doux aptes à faire fondre le petit cœur vampirique de Mélinda. L’appeler « maman », c’était si mignon ! Au milieu de toute cette débauche de sexe, au milieu des puissants coups de reins de Shiro, c’était clairement cette appellation qui magnifiait le tout.

Près des deux femmes, Bran sodomisait avec plus de douceur Camille. Il avait commencé à le sodomiser debout, en maintenant le corps de Camille contre lui, jusqu’à ce que l’adrénaline ne dope la circulation sanguine de Camille, le sortant ainsi de sa torpeur.

« P-Plus fort, haaaa… B-Baisez-moi plus fort, Maître…
- Tui es vraiment un pervers incorrigible, Camille, hmmm… Est-ce que c’est le fait de voir ta Maîtresse enculer ton autre Maîtresse qui t’excite autant, mon beau ? »

Le mot « enculer » durcit la queue de Camille, qui se mordilla les lèvres.

« E-Elles sont si belles, Maître… » gémit-il.

Une remarque incontestable ! Bran ne pouvait le nier. Camille finit ainsi à quatre pattes, et Bran amplifia l’intensité de sa sodomie. Un jour viendra où Camille sera lui aussi un vampire, le choix lui appartenait. Mélinda, quant à elle, posa sa main derrière elle, et empoigna les cheveux de Shiro. Elle pencha la tête vers elle, et lui offrit un baiser sanguin, ses canines venant se planter à l’intérieur de la bouche de Shiro pour faire perler le sang.

« O-Ouuii… Je… Haaaa.. J’aime sentir la grosse queue de ma fille me pilonner le cul. Tu es ma fille, Shiro… Défonce-moi, montre-moi combien tu aimes le corps de ta Maman, haaaa… Mon cou t’est offert, n’hésite pas… Fais de moi ta pute, Shiro, tu es une Warren, maintenant ! »

Shiro avait son blanc-seing, son autorisation. Baiser Mélinda avec force, c’était une preuve d’amour dans la famille des Warren !

Le monde autour de Shiro disparait peu à peu, toute son attention se porte sur Mélinda et sur la magnifique sodomie qu’elle lui donne. Sa queue est profondément logée dans son anus, bien serrée et au chaud, ses mains lui tiennent fermement les hanches et lui donnent des fessées, et elle lui répète encore et encore comme il est bon de sodomiser sa nouvelle maman. Cette dernière, ravie par l’enthousiasme de sa fille, pose une main à l’arrière de son crâne pour lui empoigner les cheveux avant de tourner la tête et de venir l’embrasser, entaillant ses lèvres avec ses canines pour faire perler le sang dans sa bouche. Elle lui demande de continuer à lui pilonner le cul, à lui montrer tout son amour, à faire d’elle sa pute, elle lui permet même de venir mordre son cou.

« Aaahhh… merci maman… moi aussi je t’aime. »

Dès qu’elle reçoit la permission de venir mordre Shiro sent ses canines s’allonger aussitôt et elle ne réfléchit pas plus avant de les planter dans la belle peau du cou de son amante. Le sang commence à couler dans sa bouche et immédiatement c’est une explosion des sens dans son corps.

« Hhhmmm ! »

Si le sang peut être comparé avec du vin alors celui de Mélinda est sans aucun doute un très grand cru, un nectar si rare qu’il ne devrait être réservé que pour des occasions uniques et à la saveur si exquise que ça en devenait une expérience presque orgasmique. Shiro sait à quel point elle est chanceuse de pouvoir déguster ce sang alors elle ne se retient pas, elle l’aspire à grandes gorgées et profite pleinement de sa saveur. Son goût est tellement délicieux que tout son corps y réagit : sa libido est boostée à chaque gorgée, son érection devient plus longue et plus épaisse et elle se sent revigorée par une nouvelle puissance. Ce n’est pas juste qu’elle se sent plus en forme, elle sent que tout son corps devient plus puissant, plus endurant… le sang de sa maman la renforce à mesure qu’elle le boit.

« Mmmhhh… »

Les coups de reins de l’infirmière se font plus rapides, plus intenses, elle raffermit sa prise sur les hanches de son amante et la sodomise toujours plus fort. Le merveilleux sang qui coule dans sa gorge lui donne la puissance nécessaire pour offrir à sa maman une baise déchaînée, digne de la pute qu’elle est. Elle aussi se régale avec cette sodomie, sa queue gonflée et veineuse lui envoie sans cesse des ondes de plaisir dans le corps, ses seins se frottent contre le dos de la vampire et elle entend ses hurlements de plaisir.

Oui… je vais baiser maman… la baiser encore… comme une pute… comme une chienne…

Cependant Mélinda risquait peut-être de regretter de lui laisser autant de liberté. Son sang est si bon que Shiro ne veut plus s’arrêter de le boire, elle l’avale gorgée après gorgée et est tellement plongée dans son élan charnel qu’elle ne songerait jamais à ralentir. Si son amante veut l’arrêter avant d’être exsangue elle va devoir agir, que ce soit seule ou avec l’aide de Bran.

Tenues

Offrir à Shiro son sang, c’était un don précieux. Et l’infirmière put le constater dès qu’elle planta ses crocs dans le cou de Mélinda. Sa mère vampirique gémit, et griffa le mur contre elle. Elle sentit le sang fuser, et sentit la verge de Shiro durcir, enfler et grossir. Derrière elle, l’infirmière donna des coups de reins plus forts encore, écrasant Mélinda contre le mur, non sans retirer ses crocs. Les instincts vampiriques de Shiro prirent ensuite le dessus sur tout le reste. C’était attendu. Mélinda sentit rapidement Shiro perdre le contrôle. L’appel du sang était trop fort, et le sang de Mélinda était effectivement d’une qualité rare. C’était le sang de sa mère vampirique, mais c’était aussi un sang amélioré par le sang de la Déesse Aphrodite. C’était le sang d’une Vampire Ascendante. Mélinda n’avait pas encore évoqué ce genre de choses avec Shiro, car elle n’était après tout pas encore une vampire permanente.

« Haaaa… S-Shiro, tu es… Si gourmande… »

Mélinda se mordilla les lèvres. Impossible à ce stade pour Shiro de s’arrêter, ce qui était normal. Mélinda aurait pu la repousser, mais Bran préféra finalement s’interposer. Il se lova dans le dos de Shiro. Le risque en tirant un coup sec était que Shiro se débatte, et tranche la veine de Mélinda. Bran se glissa donc dans le dos de Shiro, et souffla contre elle. Il fallait la sortir de sa transe, et, pour ça, il posa sa main sur le nez de Shiro, et serra lentement ses narines.

« Ne sois pas trop gourmande, le sang est un mets précieux qu’il ne faut pas gâcher, Shiro… »

Bran se pressait contre Shiro, sa verge se frottant contre les fesses de Shiro. Il malaxa son sein, et pinça le téton, tirant dessus. Son objectif était de l’amener à se détacher lentement du cou de Mélinda, mais pas qu’elle renonce à son plaisir. Il la bloquait ainsi.

« Reprends tes esprits, Shiro… N’as-tu pas juré de défendre la vie quoi qu’il en soit ? Contrôle cette soif, focalise-toi sur les fesses de notre Maîtresse… »

Mélinda soupira encore. Heureusement, elle avait bu du sang, donc elle en avait en bonne quantité dans les veines, mais Shiro buvait goulûment. Bran serrait encore les narines de Shiro, comptant sur l’étouffement et l’asphyxie de son cerveau pour qu’elle ouvre les lèvres, et doive respirer. Vampire ou non, Shiro avait besoin de respirer, et c’était le moyen le plus simple de ramener Shiro à de plus raisonnables actions…

Shiro a déjà du mal à se contrôler lorsqu’elle boit du sang ordinaire alors avec celui de Mélinda il n’y a rien de surprenant à ce qu’elle ait rapidement perdu le contrôle ; il est tellement savoureux, chargé de magie rose et se boit avec une telle facilité… L’infirmière perd vite sa perception de ce qui l’entoure pour ne plus se concentrer que sur son désir, baisant avec force sa mère vampirique tout en avalant son sang à grandes gorgées.

« Mmmhhh… »

Même si c’est très plaisant pour les deux il y a un vrai risque que Mélinda finisse exsangue si rien n’est fait alors Bran décide d’intervenir : il vient se lover dans le dos de Shiro, souffle sur son visage pour attirer son attention puis lui pince le nez pour l’empêcher de respirer. Il lui explique que le sang est un mets précieux qu’il faut savourer, lui rappelle son devoir d’infirmière de protéger la vie et de prendre soin des autres puis l’encourage à se concentrer sur les fesses de sa maîtresse tout en malaxant son sein et pinçant son téton avec sa main libre. Certes il veut lui faire lâcher le cou de sa sœur mais il ne veut pas la priver de son plaisir pour autant.

« Hhhmmm… »

Shiro continue de boire le sang de Mélinda aussi longtemps qu’elle peut, mais quand elle commence à manquer d’air elle n’a pas d’autre choix que de lâcher le cou de la vampire pour respirer.

« Aaahhh ! »

Même si elle ne se nourrit plus sa frénésie sanguine est loin d’être calmée. Elle reconcentre toute son attention sur les fesses de sa maîtresse, continuant de les baiser avec force et intensité, ses mains fermement en appui sur ses hanches et distribuant des fessées sans retenue. Puisque sa soif de sang ne peut plus être rassasiée elle va compenser en se gavant de sexe, elle veut même mettre Bran à contribution.

« Gggrrr… Bran ! Dépêche-toi de venir me baiser. Enfonce ta queue dans mon fondement… et encule-moi bien fort. Rraahh… surtout ne te retiens pas… je veux que tu me baises… que tu me ravages même ! »

Sans s’en rendre compte Shiro vient de combiner ses pouvoirs d’ESPER à son autorité de vampire et au pouvoir de son inmon, donnant à Bran un ordre qui va tellement l’exciter qu’il lui sera presque impossible de le refuser. Non pas que l’infirmière l’ait voulu consciemment, de toute façon il y avait peu de chances que Bran refuse une telle invitation, mais son désir s’était exprimé malgré elle tant il était intense. Elle veut calmer cette faim de luxure qui la dévore et aller aussi loin qu’elle le peut, son corps est en feu et elle a besoin d’aide pour éteindre l’incendie.

« Aaahhh… regarde ce que tu m’as fait maman. A cause de toi… de ton délicieux cul… de ton sang si savoureux… ggrraahh… j’ai l’impression de brûler de l’intérieur. Alors maintenant je vais utiliser ton corps pour me calmer… ooohhh… et toi tu vas adorer ça jusqu’à me supplier d’en avoir plus ! »

Tenues

Petit à petit, Shiro réussit à reprendre ses esprits, mais sa soif sanguine se convertit naturellement en une impressionnante soif de luxure. Elle goûtait au pouvoir névralgique et enivrant des vampires, à cette soif infinie dont les vampires ne se lassaient jamais. Elle avait goûté au nectar sacré du sang de Mélinda, un sang qui était objectivement de très haute qualité. C’était un sang infusé par le sang d’Aphrodite, après tout ! Shiro tremblait furieusement. Elle était surexcitée, et, avec Bran dans son dos, réclama qu’il la sodomise comme jamais. Bran soupira, sa verge durcissant contre le cul de la belle Shiro. Elle était vraiment incroyable ! Bran sentit la vague exploser en lui, et sa verge se glissa dans le cul de Shiro tandis que ses mains vinrent pétrir les seins de l’infirmière.

« Hnnnn, bordel… !! Co-Comment fais-tu ça, hmmm… »

Loin de s’arrêter, Shiro avait de son côté enfoncé sa trique assoiffée dans le cul de Mélinda, continuant à la bourrer. La vampire s’agrippait toujours au mur, qu’elle griffait, et sentit les mains de Shiro la fesser. Shiro grognait contre elle, et griffa aussi les fesses de Mélinda, ne cherchant plus à rétracter ses griffes. Et, comme elle avait usé de ses pouvoirs sur Bran, sa nature vampirique avait aussi pris le dessus. La tenue de Shiro offrait un libre accès à ses seins, que Bran pétrit avec ses mains. Il les griffa aussi, et fit couler plusieurs lignes de sang. Rien de mortel pour des vampires, mais ce sang à l’air libre attisa leur appétit comme si on avait offert une spore aphrodisiaque dans la pièce. Il donna un solide coup de reins en enfonçant sa verge jusqu’à la garde dans le cul de Shiro, et, avec sa force surhumaine, écrasa les deux femmes contre le mur. Mélinda en hurla de plaisir, ayant elle-même déployé sa verge, qui se frottait contre le mur.

C’était un déchaînement de sexe et de violence, une baise de haute voltige.

« Haaa, tu t’adaptes si bien à notre sang, Shi… Shiiiroo, haaaaa… Maman est si heureuse, haaaa… !! »

Cela venait sans doute du fait qu’elle ait été en contact avec la succube Tessia, ou alors de sa perversité incroyable… Mais l’organisme de Shiro s’adaptait très bien. Elle était encore surexcitée, comme si les effets de l’élixir ne souhaitaient pas disparaître. L’après-midi avait commencé, et Shiro avait encore quelques heures à en profiter. Bran la bourrait aussi sauvagement, lui faisant tourner la tête pour partager avec elle des baisers sanguins. Il laissait Shiro lui mordre la langue, la douleur le faisant frémir. Ils s’embrassaient alors en mélangeant leur sang, tandis que sa verge continuait à lui pilonner le cul. Il calquait ses coups de reins sur ceux de Shiro, aplatissant régulièrement Mélinda.

« Griffe-là, hmmm… Déchire sa tenue, laisse parler ta passion… Fais hurler notre mère, Shiro ! Fais-là hurler comme si c’était la dernière des putes ! »

Shiro a peut-être lâché le cou de Mélinda mais elle est loin, très loin d’être calmée. Elle continue à baiser intensément son amante, enfonçant sa queue profondément dans son anus et enchaînant les fessées et les griffures. Pour encore plus de plaisir elle avait utilisé ses pouvoirs pour encourager Bran à venir lui faire l’amour pour qu’elle se retrouve en sandwich entre les deux Warren et ce dernier avait complètement cédé devant elle. Comme quoi même un vampire peut être séduit par sa voix du moment qu’il y a assez de luxure dans l’air. Et la voilà, sodomisant sa mère vampirique d’un côté et se faisant sodomiser par le premier homme à avoir jamais partagé son intimité. Le sexe est intense, brutal, débridé comme rarement la jeune femme l’a connu dans sa vie, et pourtant elle en avait vu des choses dans son lit.

« Aaahhh… oui Bran, remplis-moi le cul. J’adore sentir ta grosse lance… ooohhh… m’enfoncer la porte arrière. »

Mais son amant ne se limite pas à ça, il profite de l’ouverture au niveau de la poitrine dans sa tenue pour venir pétrir et griffer ses seins, faisant couler des lignes de sang sur sa peau. La nature vampirique des trois amants est stimulée par cette exposition au sang, comme si on avait relâché des spores aphrodisiaques dans l’air, et Bran plaque violemment les deux femmes contre le mur.

« Oouuii ! »

L’infirmière s’attendait à avoir mal mais en fait cet usage soudain de la force lui procure du plaisir, toute comme pour sa mère qui a déployé sa verge et la frotte maintenant contre le mur. En voyant ça elle lui assène une nouvelle fessée.

« Tu n’es vraiment qu’une pute maman… à prendre ton pied alors que ta fille et ton frère te malmènent. Ooohhh… te baiser le cul ne suffit pas… je dois aller plus loin. »

Et justement le vampire lové dans son dos lui conseille, entre deux baisers sanguins, de déchirer sa tenue et de la griffer pour que son sang aussi soit exposé.

« Oouuhh… très bonne idée Bran. Toi aussi… déchire ma tenue… griffe-moi la peau… hhhmmm… et n’oublie pas de m’enculer bien fort. »

Leurs vêtements allaient finir en lambeaux mais Shiro s’en fiche, elle veut juste laisser parler sa passion. De toute façon elle est presque sûre que Mélinda s’en fiche. Elle plante ses griffes dans le latex de son bodysuit et le lacère profondément, allant jusqu’à entailler la peau de la vampire, sans craindre de lui faire vraiment mal vu sa résistance naturelle. Le sang coule de ces entailles et alimente encore l’atmosphère de luxure de la pièce, l’infirmière redouble d’efforts dans sa sodomie et presse fermement ses seins contre le dos de son amante.

« Hhhmmm… maman est une pute… une délicieuse pute au corps parfait… aaahhh… que j’adore baiser. J’aime l’entendre crier… j’aime sentir son sang couler sur sa peau… ooohhh… c’est le pied ! »

Elle se retourne et embrasse Bran, entaillant un peu plus sa langue sur ses crocs.

« Et toi Bran… aaahhh… j’aime sentir ta puissance… tes mains qui se serrent sur moi… ton corps qui s’appuie contre le mien… ta queue qui me remplit le fondement. »

Shiro laisse l’euphorie s’emparer d’elle à mesure que les vêtements se déchirent et que le sang coule, savourant chaque contact sur sa peau et chaque frémissement dans sa verge tandis qu’elle baisait Mélinda. Comme elle vient de faire le plein de sang elle est sûre de pouvoir tenir encore longtemps à ce rythme, à voir si ses amants vampiriques auront envie de continuer sur cette lancée ou de rendre les choses encore plus perverses.

Ce ne seraient pas les premiers vêtements que les Warren déchireraient. Mélinda disposait de ses propres ateliers pour refaire les tenues déchirées, sans parler des tenues qui étaient enchantées par Décatis Cryptinna-Warren, et qui permettaient de les reconstituer. Il faut dire que Mélinda, avec ses griffes vampiriques, avait une fâcheuse tendance à massacrer tout ce qui passe. Cela impliquait les vêtements, mais aussi les lits, les tapisseries… Mélinda était donc une spécialiste de la chose ! Et Shiro allait aussi le devenir ! Elle réclama à Bran qu’il se laisse aller. Ce dernier frémit quand elle l’embrassa en mordillant ses lèvres.

« Hmmm… Tu es magnifique, Shiro, tu feras… Une parfaite Warren ! »

Bran serra les seins généreux de Shiro, les pinçant, faisant perler le sang de ceux-ci. Maintenant que Shiro était une vampire, la douleur ne pouvait pas lui faire peur. Pris tous les trois dans leur osmose, Mélinda ne vit même pas Camille Warren sortir, décidé à ramener des invitées supplémentaires à cette orgie qui prenait un tournant vampirique. Shiro griffait elle aussi sa mère vampirique, elle faisait saigner le corps parfait de Mélinda, et déchira son body en tirant dessus. La tenue de Shiro fut elle aussi déchirée par Bran, et les deux femmes finirent ainsi progressivement nues. Shiro sentit sa bodysuit en résilles se déchirer et tomber au sol depuis le haut. Elle ne portait désormais plus que ses longs gants opéra, qui laissaient ses mains à l’air libre, ainsi que ses bottes. Bran l’embrassait dans le creux du cou, se délectant de ses soupirs, et de la manière dont elle provoquait Mélinda.

Très excitée, Mélinda sentait la puissante verge de Shiro la labourer avec force, s’enfonçant énergiquement en elle. Cette puissante queue lui faisait tant de bien ! Oh, que Mélinda aimait ça ! Ce plaisir intense, cette douleur exquise… Plus que jamais, la vampire prenait son pied !

« Haaaa, ma Shiro est… Hmmmm… Une fi-fille si vulgaire, haaaaa… Une voix si douce, qui prononce tant de jurons, hmmm… Shi-Shiro devrait avoir honte d’être aussi vulgaire envers sa Maman ! »

Shiro connaissait suffisamment bien Mélinda pour savoir qu’elle aimait bien intégrer dans un rapport sexuel une relation incestueuse ! Shiro put aussi sentir le sang de sa mère se concentrer à hauteur de son sexe. Dans un grand soupir, Mélinda orgasma en déployant sa verge, et sentit la main de Shiro masturber et griffer sa queue, l’amenant à jouir énergiquement contre le mur. Mélinda se relâcha en gémissant, sentant Shiro jouir en elle, et Bran jouir dans le cul de Shiro. Les trois vampires se relâchèrent donc dans une vague de foutre. Mélinda s’affala contre le mur, et soupira longuement. Elle se retourna, et embrassa Shiro, l’enlaçant tendrement. Leurs verges trempées se frottèrent mutuellement, et Shiro en tomba au sol, s’étalant sur le tapis rembourré.

Mélinda l’embrassa encore, se lovant contre elle. Shiro, en reprenant ses esprits, pouvait sentir lors de ce baiser des groupes sanguins supplémentaires venir. Quand Shiro tourna la tête, elle put aussi sentir que deux autres vampires venaient d’entrer.

« Maîtresse, je me suis permis de les ramener, je me suis dit qu’elles pourraient plaire à Shiro… »

Derrière Camille, deux femmes nues venaient d’entrer.

« Hihi… Ma chère Shiro, je te présente celles qui deviendront un jour tes sœurs, si jamais tu rejoins notre famille… Ce sont mes Perles, des salopes nymphomanes comme tu en as rarement vues… »

Les deux sœurs gloussèrent joyeusement, visiblement ravies d’être qualifiées ainsi. Elles se tenaient toutes les deux par la main, et Mélinda les appela par leurs prénoms : White et Rose Warren. Deux esclaves adoptives que Mélinda avait récupéré à Uatis.

« Elles émanent du programme GeoSlave d’une firme uatéenne, GeoWeapon Corp,. présidée par une amie et partenaire, Miranda Forge. Je les ai achetées toutes les deux, et elles sont devenues mes vampires, mes filles vampiriques… »

White et Rose se rapprochèrent de Shiro.

« Bonjour, Shiro ! s’exclama Rose. Maîtresse nous a beaucoup parlé de toi…
- On avait très envie de te rencontrer ! »

Leurs colliers étaient assez explicites quant au fait qu’elles étaient toutes les deux très perverses. White arborait ainsi un collier sur lequel était inscrit « BITCH », et Rose un collier de chienne…

Bien que n’étant pas encore officiellement une Warren, Shiro s’intègre parfaitement à sa nouvelle famille. Elle fait sauvagement l’amour à Mélinda tout en déchirant sa tenue et en faisant perler le sang sur sa peau, tandis que dans son dos Bran la sodomise avec force et réduit sa tenue en lambeaux tout en lui malaxant les seins. La douleur ne fait plus peur à la jeune femme, elle l’accueille avec bonheur et cette dernière renforce son plaisir. Le trio de vampires est plongé dans une orgie sanglante et sulfureuse et chacun sent son corps être empli de luxure mais aussi de frustration : aucun plaisir ne semble suffire, ils cherchent toujours à aller plus loin en griffant et en baisant toujours plus fort.

« Aaahhh… oouuii maman… je suis vulgaire… je suis une pute obsédée et perverse. Mais… ooohhh… je ne fais que… suivre ton exemple. »

Shiro voit bien que Mélinda prend plaisir à intégrer l’inceste dans le sexe, elle l’a déjà montré avec Akira et elle continue de le montrer avec elle, du coup l’infirmière joue le jeu à fond même si ça fait un peu bizarre pour elle de l’appeler ’’maman’’ vu qu’elle n’en a jamais eu. Mais peu importe, la luxure prend le pas sur tout le reste et elle se fait plaisir avec sa nouvelle famille dans le stupre et le sang.

« Aaahhh… maman je… je vais… »

L’infirmière sent qu’elle approche de l’orgasme et ses sens vampiriques lui font sentir que son amante aussi est proche, le sang se concentre entre ses jambes. Poussée par le plaisir elle met une main entre les jambes de la vampire et vient branler son chibre, l’amenant plus vite à l’orgasme.

« Ooouuuiii ! »

Tout le monde jouit ensemble, déversant leur foutre par grandes giclées sur le mur ou dans le cul des autres. Shiro sent tout son corps se tendre lors de l’éjaculation, la chaleur et le plaisir de l’orgasme l’inonder des pieds à la tête, puis toute l’adrénaline qui lui avait été donnée par l’excitation du moment commence à retomber. Mélinda se retourne face à elle et vient l’embrasser, l’enlaçant tendrement. L’infirmière sent ses forces la quitter et sa maman l’accompagne tandis qu’elle s’étale sur le tapis rembourré au sol.

Pendant quelques minutes la jeune femme reprend tranquillement ses forces dans les bras de son amante qui se love contre elle tout en continuant à l’embrasser, puis tout à coup elle sent de nouvelles pulsations sanguines approcher. Plus elles se rapprochent plus elle parvient à les distinguer clairement jusqu’à réaliser que ce sont des pulsations de vampire. Camille finit par entrer dans la pièce en compagnie de deux autres femmes : White et Rose Warren, d’autres filles vampiriques de Mélinda, deux belles salopes nymphomanes que cette dernière avait achetées à une amie d’une firme uatéenne. Les deux femmes s’approchent rapidement et saluent leur nouvelle ’’sœur’’ qu’elles avaient hâte de rencontrer après tout ce que leur maman leur avait raconté sur elle.

« Hhhmmm… bonjour… les filles. »

Shiro est encore secouée après son plan à trois avec Mélinda et Bran, elle arrive tout juste à se tenir assise et elle a besoin que Mélinda la soutienne, sa verge s’est rétractée dans son corps et sa tête tourne un peu. Elle regarde White et Rose et il lui suffit d’un coup d’œil pour voir qu’elles sont effectivement très perverses : l’une porte un collier de chien et s’est taillé les poils pubiens en cœur, l’autre porte un collier « BITCH » et s’est fait percer les tétons. En plus elle sent leur sang de vampire qui s’agite déjà dans leurs veines à la seule vue de son corps, il est clair qu’elles n’attendent que la permission pour lui sauter dessus.

« Je comprends pourquoi maman vous a adoptées : vous êtes vraiment sexy. »

Le sang vampirique de Shiro résonne avec celui de White et Rose, elle sent son corps retrouver petit à petit sa vigueur tandis que les sœurs se rapprochent d’elle. Elle n’a pas encore l’énergie de se relancer dans une séance de baise intense avec ces deux nymphomanes mais ce n’était qu’une question de temps.

« Maman vous a parlé de moi mais elle ne m’a jamais parlé de vous. Et si vous me racontiez un peu qui vous êtes ? A part de belles salopes sexy bien sûr. »

Après cette nouvelle séance de sexe endiablée, Shiro commençait à atteindre sa limite. L’effet de l’élixir vampirique commençait à s’estomper, et Mélinda estimait que, dans la prochaine heure, Shiro allait tomber dans les pommes. Elle était admirative de son endurance, car elle avait tenu bien plus longtemps que n’importe qui. À ses yeux, c’était sans doute la plus belle preuve que Shiro souhaitait devenir une Warren. White et Rose le comprirent rapidement. Elles aidèrent Shiro en la relevant, et la couchèrent sur le lit. Shiro se retrouva ainsi entre les deux femmes. Couchée sur le flanc, White lui sourit, caressa sa joue, et l’embrassa ensuite. Rose, couchée de l’autre côté, rompit ensuite le baiser pour l’embrasser à son tour, et les mains des deux sœurs palpèrent ses gros seins. Shiro se mettait doucement à soupirer. Cela faisait des heures, voire même des jours, qu’elle forniquait au manoir. Elle avait tellement fait l’amour qu’elle n’avait pas eu le temps de manger, et cela aussi contribuait à sa fatigue.

« Nous ne nous rappelons pas de notre ancienne vie, Shiro… »

Tandis que l’une parlait, l’autre embrassait avec une tendresse infinie Shiro. Et, après avoir palpé ses seins, leurs mains vinrent mutuellement titiller son sexe, s’enfonçant dans sa chatte, ou jouant avec son clitoris. Entre elles, Shiro était comme une délicieuse poupée que les deux grandes filles manipulaient. White retourna l’embrasser, enfonçant sa langue dans la bouche de Shiro, tandis que Rose lui embrassa la joue et lécha son oreille, glissant sur son lobe.

« Nous faisions partie du programme GeoSlave, un programme réservé aux personnes désespérées… Un programme qui consiste à faire de ceux qui y sont de parfaits esclaves, en leur faisant oublier ce qu’ils étaient avant. Miranda Forge, notre patronne, nous a offertes en cadeau à Maîtresse Mélinda. Le programme a fait de nous d’incroyables salopes, Shiro… On a baisé avec Miranda pendant des jours… »

Elles pouvaient sentir l’excitation perler à nouveau chez Shiro.

« Hihi… Est-ce que cela t’inspire, Shiro ? Maîtresse Mélinda a fait de nous des vampires, nous n’avons pas hésité une seule seconde… Maintenant, nous serons à jamais ses salopes.
- Nous avons beau être des vampires, nous n’aspirons pas à diriger quoi que ce soit… Nous voulons juste rendre honneur à notre Maîtresse, et porter ses enfants… »

Difficile de dire si Shiro pouvait encore le sentir, mais, dans les ventres de White et de Rose, d’autres battements commençaient à battre. Leurs ventres étaient encore normaux, signe que la grossesse était récente… Mais elle était bien là malgré tout.

Rose et White Warren, les deux nouvelles arrivantes, en savent déjà beaucoup sur Shiro grâce à Mélinda mais Shiro n’a pas encore eu le plaisir de les connaître avant aujourd’hui du coup elle leur demande de parler un peu d’elles. Les demoiselles lui donnent un coup de main pour se relever et aller s’allonger sur le lit puis elles s’installent entre elle, couchées sur le flanc, et viennent palper ses seins. Pendant que l’une parle, l’autre embrasse l’infirmière avec tendresse et cette dernière ne peut que savourer la douceur des lèvres des demoiselles et le talent de leurs doigts.

« Hhhmmm… »

White et Rose expliquent être issues d’un programme appelé « GeoSlave » qui permet à des individus désespérés désireux de changer complètement de vie, un programme qui les transforment en de parfaits esclaves totalement soumis aux désirs de leur nouveau maître. Leur patronne, Miranda Forge, a fait de ces femmes de parfaites salopes avant de les offrir à Mélinda qui les a ensuite transformées en vampires. Désormais les deux femmes sont ses salopes à tout jamais et portent ses enfants. Toute cette explication laisse Shiro un peu perplexe.

Des esclaves ? Quel genre de personne peut sciemment accepter de devenir une esclave ? De renoncer à sa liberté pour se soumettre à la volonté d’une autre personne ?

Elles avaient eu de la chance en tombant sur Mélinda mais leur patronne aurait aussi bien pu les offrir à une personne sans scrupules ou à un vrai fou dangereux. Cependant, après avoir passé les dernières heures dans la peau d’une vampire, elle finit par se dire que ça doit encore être une vision de la vie qui lui échappe, comme le goût de Mélinda pour la chasse, et que puisqu’elles semblent heureuses aujourd’hui il n’y a pas de raison d’émettre un jugement.

« Mmmhhh… »

Shiro se retrouve très vite à être la proie des assauts de White et Rose, qui enfoncent leur langue dans sa bouche et qui jouent de leurs doigts tantôt sur sa poitrine, tantôt sur sa vulve. Ces caresses sont très agréables et font vibrer l’infirmière mais elle profite quand même d’un intervalle entre deux baisers pour calmer un peu le jeu.

« Aaahhh… doucement les filles… je viens de passer les dernières heures… à faire l’amour avec deux vampires… ooohhh… j’ai besoin d’un peu de calme. »

Elle ne leur demande pas d’arrêter, juste d’y aller plus doucement. D’ailleurs elle se joint au plaisir en venant poser ses mains sur leur poitrine, une main sur chacune, pelotant ces jolis orbes de chair.

« Dites-moi… qu’est-ce que vous faites de vos journées ici… quand vous n’êtes pas en train de faire l’amour comme de belles salopes ? »

Cette fois, Shiro semblait être arrivée à bout. Mélinda le sentait. Son sang humain était en train d’éliminer le sang vampirique que Shiro avait ressenti. Son organisme reprenait le contrôle, et la fatigue venait donc. Il était assez improbable qu’elle fasse à ce stade autre chose que dormir. White et Rose le percevaient également, alors, quand la belle Shiro leur demanda de ralentir le rythme, elles hochèrent la tête. Cessant de titiller son sexe, elles caressèrent son corps, glissant sur son ventre, ses épaules, transformant finalement ce câlin érotique en un massage apaisant. Dans ce domaine aussi, elles savaient y faire. Elles connaissaient le corps humain à la perfection, elles savaient donc où appuyer pour stimuler le corps, ou pour le relaxer. Autant que Shiro ait droit à une belle vue avant de dormir. Elle était entourée par les deux perles de Mélinda, et avait encore droit à des baisers réguliers. Elles sourirent en sentant les mains de Shiro palper leurs seins, les titillant. L’infirmière n’était pas encore totalement épuisée !

Elle leur demanda ce qu’elles faisaient de leur quotidien. White se pencha vers l’un des seins de Shiro, et le suçota, avant de le titiller avec ses lèvres et sa langue.

« Eh bien, nous officions comme prostituées au harem, sur Mijak… On fait parfois le tapin, mais Maîtresse préfère nous employer comme prostituées de luxe. Cela nous prend parfois un long moment. Récemment, nous avons eu comme client un homme-cochon massif, une vraie barrique, qui nous a baisé pendant des heures, un certain Bhouta. Se faire écraser par cette masse, c’était jouissif, ma belle, sentir sa truffe grogner contre mon oreille tandis que son ventre immense m’écrasait sur le lit, que je sentais sa sueur, et que mon corps partait en arrière… Si tu savais comme j’aime me faire baiser ainsi… »

On aurait presque pu voir des étoiles dans les yeux de Rose à l’évocation de ce beau souvenir ! White se redressa alors, et embrassa Shiro, laissant à Rose le soin de s’attaquer à son autre sein.

« Quand on ne couche pas avec les clients, on fait l’amour avec Maîtresse, ou avec les autres… Et, quand on ne fait pas l’amour, on se détend. On regarde des films, on joue aux jeux vidéos, on lit… Parfois, nous faisons aussi le ménage, quand c’est notre tour, mais, depuis que nous sommes des vampires, nous avons moins de corvées à faire. Enfin, je ne te cache pas que faire l’amour reste notre principale activité, hihi… »

White ponctua cela d’un autre baiser. Rose se redressa ensuite.

« Et toi, Shiro ? Quand tu n’es pas occupée à faire l’amour avec Maîtresse, ou à travailler au lycée, que fais-tu de tes soirées ? »

The Multiversity

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