Re: Romance interdite [PV : Décatis Cryptinna]
Posté : 11 sept. 2024 01:38
Juliette était de nouveau seule avec Décatis, et fut rassurée quand celle-ci avoua ne pas être fascinée par les insectes non plus. C’était très rassurant, mine de rien ! Car, pour rien au monde, Juliette n’avait envie de finir avec ces créatures ! Même si elle admettait que le spectacle était « joli », il était tout de même très effrayant ! Sans Mélinda, le duo poursuivit sa route, et rejoignit une autre zone, un stand intitulé « La Boîte à Poupées ». Juliette put voir sur le stand de très belles poupées, ainsi que des poupées de taille humaine. Juliette se rapprocha de l’une d’entre elles, portant une très belle tenue de maid. Elle s’appelait Rem, et, quand Juliette la toucha, les yeux de la poupée s’ouvrirent alors, et elle lui sourit, faisant sursauter Juliette.
« N’ayez pas peur, ces poupées sont inoffensives ! »
Un homme se rapprocha d’elle en souriant. Il s’appelait Justin, et se présenta comme l’un des individus derrière la conception des beautés.
« Vous… Mais comment vous faites ça, elles sont si réalistes…
- Nos techniques d’artisanat viennent tout droit de la vallée d’Ancarla, gente dame. Ce sont des techniques confidentielles, bien sûr, mais nous utilisons des modèles humains. Celle-ci provient d’une province mijakienne, et nous avons obtenu l’accord de la propriétaire de cette esclave.
- Oh… C’est vraiment fascinant ! »
Justin sourit doucement. Calme et posé, l’homme se pinça alors les lèvres, l’air contrit.
« Je… Est-ce que vous voulez voir notre atelier ? »
Surprise, Juliette le regarda alors.
« Euh… Vous êtes sûr que j’ai le droit d’y aller ?
- Vous ne craignez rien, et, vu comment vous êtes curieuse… Enfin, je ne vous force pas ! »
Juliette haussa les épaules, et sourit alors.
« Cet atelier est loin ?
- Juste à côté, on y accède par cette porte de service » répliqua l’homme en désignant une porte à proximité.
Juliette réfléchit un peu, avant de se dire que ce serait probablement très intéressant de raconter cela à sa Maîtresse ! Elle se laissa donc tenter, et acquiesça, hochant la tête devant son partenaire.
Elle ne vit pas Décatis à côté, tandis que celle-ci avait une vision… Très particulière.
Une main plaqua la tête de Juliette contre un mur, tandis qu’une autre tenait un couteau, le passant sous sa gorge.
« Les Beaumont ne s’en sortiront pas, salope ! »
L’homme était agressif, violent. C’était toujours le salon de l’érotique, mais dans une alcôve discrète.
« Tu paieras pour la mort de Valentin !
- Je… Non, mais qu’est-ce que vous faites ?! »
L’individu la plaquait contre le mur, et déchira la culotte de Juliette sur le sol, avant de la jeter à terre. Elle atterrit à côté d’une grande table avec des instruments, des marionnettes, et des poupées. L’homme se précipita alors sur elle, et l’étrangla d’une main, avant de la pénétrer sèchement. Juliette hurla en pleurant. Sa virginité, son intimité ! Pas comme ça, non ! Elle sentit une douleur terrible la traverser, et l’homme la gifla encore.
« TA GUEULE, SALOPE ! »
Il remua alors plus vigoureusement en elle, l’étranglant encore, prêt à la tuer…
C’était le visage déformé par la rage et par la perversion de Justin.
« N’ayez pas peur, ces poupées sont inoffensives ! »
Un homme se rapprocha d’elle en souriant. Il s’appelait Justin, et se présenta comme l’un des individus derrière la conception des beautés.
« Vous… Mais comment vous faites ça, elles sont si réalistes…
- Nos techniques d’artisanat viennent tout droit de la vallée d’Ancarla, gente dame. Ce sont des techniques confidentielles, bien sûr, mais nous utilisons des modèles humains. Celle-ci provient d’une province mijakienne, et nous avons obtenu l’accord de la propriétaire de cette esclave.
- Oh… C’est vraiment fascinant ! »
Justin sourit doucement. Calme et posé, l’homme se pinça alors les lèvres, l’air contrit.
« Je… Est-ce que vous voulez voir notre atelier ? »
Surprise, Juliette le regarda alors.
« Euh… Vous êtes sûr que j’ai le droit d’y aller ?
- Vous ne craignez rien, et, vu comment vous êtes curieuse… Enfin, je ne vous force pas ! »
Juliette haussa les épaules, et sourit alors.
« Cet atelier est loin ?
- Juste à côté, on y accède par cette porte de service » répliqua l’homme en désignant une porte à proximité.
Juliette réfléchit un peu, avant de se dire que ce serait probablement très intéressant de raconter cela à sa Maîtresse ! Elle se laissa donc tenter, et acquiesça, hochant la tête devant son partenaire.
Elle ne vit pas Décatis à côté, tandis que celle-ci avait une vision… Très particulière.
Une main plaqua la tête de Juliette contre un mur, tandis qu’une autre tenait un couteau, le passant sous sa gorge.
« Les Beaumont ne s’en sortiront pas, salope ! »
L’homme était agressif, violent. C’était toujours le salon de l’érotique, mais dans une alcôve discrète.
« Tu paieras pour la mort de Valentin !
- Je… Non, mais qu’est-ce que vous faites ?! »
L’individu la plaquait contre le mur, et déchira la culotte de Juliette sur le sol, avant de la jeter à terre. Elle atterrit à côté d’une grande table avec des instruments, des marionnettes, et des poupées. L’homme se précipita alors sur elle, et l’étrangla d’une main, avant de la pénétrer sèchement. Juliette hurla en pleurant. Sa virginité, son intimité ! Pas comme ça, non ! Elle sentit une douleur terrible la traverser, et l’homme la gifla encore.
« TA GUEULE, SALOPE ! »
Il remua alors plus vigoureusement en elle, l’étranglant encore, prêt à la tuer…
C’était le visage déformé par la rage et par la perversion de Justin.