Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]
Posté : 26 août 2024 21:56
La tête de Kiriko s’écrasait contre la vitre, tendant les rideaux. Ils auraient du mal à supporter leurs déhanchements. Sha était en train de la tringler, ressentant une sorte d’excitation sournoise et malfaisante au fur et à mesure qu’elle lui démontait le fessier. C’était une sorte de rage primitive qui s’exprimait, de désir bestial et profond, intense et immense. L’Ombre était comblée, furieuse dans ses gestes, de plus en plus excitée, au fur et à mesure que ses inhibitions tombaient, que son esprit était envahi par une sorte de sourde et de forte perversion. Une sorcière était naturellement créature de luxure et de péché, une création de désir, qui, contrairement aux fanatiques de l’Ordre, n’avait jamais refusé les bienfaits du sexe, du plaisir charnel, du désir. L’Ombre se laissait donc aller, ne cherchant nullement à ménager cette arrogante femme. C’était sa Kiriko, après tout, et il lui revenait le privilège exclusif de pouvoir la baiser aussi fort qu’elle voulait. L’Ombre ne comptait pas se priver, et les rideaux tremblaient sous ses pénétrations.
Comme toujours, Sha éprouvait un vif plaisir à l’idée de s’enfoncer dans les fesses de sa Celkhane. La sodomie venait à se poursuivre, son vit continuant à la perforer. Le sexe magique de Sha continuait à grossir, à se durcir, à élargir les parois intimes de Kiriko, alors que son corps continuait à s’écraser contre la vitre. Ses seins rebondissaient contre la vitre, sa joue claquait contre elle. La pauvre était malmenée, ballottée, tringlée comme une femme violée dans une ruelle de Lumen par un démon avide de soulager ses bas-instinct sur elle. Sha avait ses mains magiques posées sur les hanches de la Celkhane, les faisant glisser sur son bassin. Elle ne soupirait et n’haletait pas. Un tel exercice n’était guère fatigant pour elle. Elle aurait pu, si elle le souhaitait, grossir encore ce tentacule ombreux dans les fesses de Kiriko, jusqu’à la déchirer de l’intérieur. L’effort qu’elle ressentait en le faisant n’avait rien à voir avec celui qu’on pouvait ressentir en effectuant une sodomie avec un corps tangible, soumis à des règles physiques. Ce n’était rien de plus qu’une intense activité magique, et elle ne se sentait donc pas fatiguée... Simplement excitée, et même furieusement excitée, par l’idée de traiter ainsi Kiriko. L’amour obsessionnel que Kiriko ressentait pour elle l’étouffait, la dominait, et constituait quelque chose de très excitant pour l’Ombre.
« Haaaan... Petite... Pute !! »
Sha continuait à l’insulter, y trouvant là un plaisir supplémentaire, et, tandis que sa queue glissait en elle, des tentacules ombreux jaillirent de son corps, et cinglèrent Kiriko de coups, s’abattant sur ses fesses, avant de filer devant, pour s’abattre sur le reste de son corps, fouettant son ventre, à hauteur de son estomac. Des tentacules continuaient à s’enrouler autour des jambes de Kiriko, et un autre alla autour de sa nuque, serrant son cou, tirant sa tête en arrière quand Sha la ramenait, avant de la relâcher pour l’envoyer heurter la vitre. Elle ne comptait pas s’arrêter là, et, assez rapidement, un autre tentacule s’enfonça dans le vagin de la femme.
Sha ramena à nouveau Kiriko, et remonta ses mains pour pincer ses seins, à hauteur des tétons, tandis que plusieurs tentacules s’abattaient successivement sur son ventre. Elle lécha le cou de cette dernière, remontant près de son oreille :
« Je te ferais souffrir jusqu’à ce que tu jouisses, ma petite pute... »
Elle la relâcha alors, et recommença à la prendre par les fesses. La vitre continuait à trembler, et les rideaux finirent par se détacher, arrachés, pour tomber sur le sol, glissant le long du corps en sueur de la Celkhane. La fenêtre était couverte de gros cercles de sueur, recevant le corps de Kiriko, qui s’écrasait contre elle. Des piétons curieux qui lèveraient la tête auraient au moins le droit à une vision des plus magnifiques. Comment, en effet, ne pas tomber sous le charme d’une Kiriko nue, en proie au désir charnel ? Pour Sha, c’était l’une des plus belles visions du monde.
Comme toujours, Sha éprouvait un vif plaisir à l’idée de s’enfoncer dans les fesses de sa Celkhane. La sodomie venait à se poursuivre, son vit continuant à la perforer. Le sexe magique de Sha continuait à grossir, à se durcir, à élargir les parois intimes de Kiriko, alors que son corps continuait à s’écraser contre la vitre. Ses seins rebondissaient contre la vitre, sa joue claquait contre elle. La pauvre était malmenée, ballottée, tringlée comme une femme violée dans une ruelle de Lumen par un démon avide de soulager ses bas-instinct sur elle. Sha avait ses mains magiques posées sur les hanches de la Celkhane, les faisant glisser sur son bassin. Elle ne soupirait et n’haletait pas. Un tel exercice n’était guère fatigant pour elle. Elle aurait pu, si elle le souhaitait, grossir encore ce tentacule ombreux dans les fesses de Kiriko, jusqu’à la déchirer de l’intérieur. L’effort qu’elle ressentait en le faisant n’avait rien à voir avec celui qu’on pouvait ressentir en effectuant une sodomie avec un corps tangible, soumis à des règles physiques. Ce n’était rien de plus qu’une intense activité magique, et elle ne se sentait donc pas fatiguée... Simplement excitée, et même furieusement excitée, par l’idée de traiter ainsi Kiriko. L’amour obsessionnel que Kiriko ressentait pour elle l’étouffait, la dominait, et constituait quelque chose de très excitant pour l’Ombre.
« Haaaan... Petite... Pute !! »
Sha continuait à l’insulter, y trouvant là un plaisir supplémentaire, et, tandis que sa queue glissait en elle, des tentacules ombreux jaillirent de son corps, et cinglèrent Kiriko de coups, s’abattant sur ses fesses, avant de filer devant, pour s’abattre sur le reste de son corps, fouettant son ventre, à hauteur de son estomac. Des tentacules continuaient à s’enrouler autour des jambes de Kiriko, et un autre alla autour de sa nuque, serrant son cou, tirant sa tête en arrière quand Sha la ramenait, avant de la relâcher pour l’envoyer heurter la vitre. Elle ne comptait pas s’arrêter là, et, assez rapidement, un autre tentacule s’enfonça dans le vagin de la femme.
Sha ramena à nouveau Kiriko, et remonta ses mains pour pincer ses seins, à hauteur des tétons, tandis que plusieurs tentacules s’abattaient successivement sur son ventre. Elle lécha le cou de cette dernière, remontant près de son oreille :
« Je te ferais souffrir jusqu’à ce que tu jouisses, ma petite pute... »
Elle la relâcha alors, et recommença à la prendre par les fesses. La vitre continuait à trembler, et les rideaux finirent par se détacher, arrachés, pour tomber sur le sol, glissant le long du corps en sueur de la Celkhane. La fenêtre était couverte de gros cercles de sueur, recevant le corps de Kiriko, qui s’écrasait contre elle. Des piétons curieux qui lèveraient la tête auraient au moins le droit à une vision des plus magnifiques. Comment, en effet, ne pas tomber sous le charme d’une Kiriko nue, en proie au désir charnel ? Pour Sha, c’était l’une des plus belles visions du monde.