The Multiversity

« Je ne suis pas un homme, Maria, alors… Ce n’est pas comme si tu trompais ton mari, n’est-ce pas ? »

C’était la faille nécessaire du conditionnement stepfordien. Toutes ces femmes plantureuses, sexuellement renforcées pour être à la hauteur de leurs maris idiots, étaient aussi des femmes frustrées. Les scientifiques de la Fondation Viritas avaient donc introduit des prostituées futanaris dont la clientèle était féminine. Jessica couchait avec presque toutes les femmes de la ville, venant les soulager, les besognant pour évacuer leur frustration, et les rendre plus accomplies. Mais elle agissait de plus en plus souvent. Bobbie et Joana avaient sûrement été pensées initialement pour aider Jessica, mais, finalement, le programme avait échappé au contrôle de la Fondation Viritas. Bobbie était en révolte, et, tôt ou tard, la confrontation aurait lieu. Mais, pour l’heure, elle continuait à agir secrètement, retournant les femmes de Stepford les unes après les autres.

Maria goûtait donc à cette épaisse queue, gémissant fortement. Elle se laissait aller, et Bobbie avait une très belle érection. Elle observait les deux femmes, et voyait combien sa femme était dévouée. Dans le dos de Maria, Joana la masturbait avec appétit, jouant de son autre main avec ses seins, et l’embrassait dans le creux du cou. Elle faisait tout pour l’exciter, pour lui faire plaisir, pour la satisfaire. Maria ne pouvait pas lutter, et mouillait follement. Elle jouit finalement encore plus vite que prévu. Face à Joana, la jeune femme n’avait aucune chance ! Joana maîtrisait ce genre de choses à la perfection. Face à elles, Maria était comme un deux face à un flush royal, elle avait perdu sans même le savoir.

« Hmmm… !! »

Bobbie serra sa main sur les cheveux de Maria, l’empêchant de se retirer. Elle couina en jouissant, éclaboussant ses cuisses et les doigts inquisiteurs de Joana. Celle-ci se retira, et suçota ses propres doigts, tout en invitant Maria à poursuivre. Sa main se posa sur son sein, et l’autre rejoignit sa tête. Elle l’incita à la sucer, tout en lui assurant qu’ensuite, Bobbie viendrait la baiser.

« Oh ça oui, ma chérie… ! »

La puissante Futanari soupira encore, ses joues rougissant sous le plaisir. Son regard croisa celui de Joana, et elle soupira à nouveau, constatant que celle-ci semblait prendre un malin plaisir à la tester également. Ensemble, elles étaient redoutables, mais elles pouvaient jouer entre elles. Bobbie sourit donc, et déplaça sa main pour caresser la joue de Joana, avant de caresser de nouveau les cheveux de Maria. Tout allait bien marcher. Bobbie allait instiller chez Maria un magnifique poison, celui du désir, du sexe intense, et cela la hanterait ensuite, quand elle coucherait de nouveau avec Luke.

Bobbie vit le temps passer, tandis que Maria multipliait les gorges profondes. Elle était bien incapable de réagir différemment, et continuait à sucer celle qu’elle appellerait bientôt « Maîtresse ». La sentant forcer, Bobbie gloussa doucement.

« Tu essaies de me faire jouir, petite salope… Mais ne t’épuise pas, contrôle ta respiration. Tu n’es pas habituée à sucer une queue aussi longuement, hmmm… C’est un véritable exercice physique ! »

Bobbie se contrôlait nettement mieux que de simples mâles, et ça, Maria pouvait le sentir. Elle en prenait pleinement conscience, et décida de respirer encore, ralentissant le rythme, tout en se frottant contre le corps de Joana.

« Si je dois la baiser ensuite… Joana, prépare-là, hmmm… Va chercher tes plugs, fous-moi un vibromasseur dans sa petite chatte de salope, prépare-là… Car oui, ma chère Maria, je compte te baiser bien fort ce soir ! »

Joana n’arrivait pas encore à croire que les choses se passaient aussi bien. C’était la première fois qu’elle invitait Maria dans sa maison, et elle était déjà en train de sucer sa femme. Et bientôt, Bobbie la baiserait avec toute sa force et sa passion pour la faire définitivement basculer. Joana était toujours aussi amusée par l’ironie de la situation : la fondation Viritas avait créé les futanaris pour que les femmes de Stepford se tiennent tranquilles, et c’était l’une d’elles qui allait les mener à leur perte.

Joana et Bobbie échangeaient des regards et des caresses tandis que Maria forçait sur sa fellation pour faire jouir la futa plus vite. Joana savait que c’était inutile, sa femme jouirait seulement quand elle serait au sommet de son plaisir, et rien ne pourrait la forcer. En attendant, il fallait préparer leur invitée à se faire sauter. Bobbie demanda donc à sa femme d’aller chercher un vibromasseur à mettre dans sa petite chatte.

« Avec plaisir ma chérie. »

Joana monta dans sa chambre pour aller chercher les jouets, mais en chemin elle jeta quand même un rapide coup d’œil dans la chambre de ses filles pour s’assurer qu’elles s’amusaient toujours sagement.

« Il ne faudrait pas qu’elles nous surprennent. »

Une fois dans sa chambre, la femme ouvrit un tiroir. Sous les draps des lits pliés et rangés dans ce tiroir se trouvaient tout un tas de jouets sexuels qu’elle utilisait au quotidien avec son épouse. Des plugs, des vibromasseurs, des pinces, des martinets... le parfait petit attirail du couple heureux d’être vicieux au lit. Joana attrapa un vibromasseur, comme Bobbie le lui avait demandé, mais pas seulement. Elle voulait que la première baise de Maria avec une futa soit mémorable, alors elle prit quelques jouets en plus pour pimenter un peu les choses.

Au moins on les aura sous la main.

Joana redescendit vite à la cuisine. Maria était toujours en train de sucer Bobbie, mais cette dernière semblait doucement approcher de l’orgasme. Sa femme alla se mettre dans son dos en souriant et l’embrassa dans le cou, léchant sa belle peau.

« Tu te régales mon amour ? »

Dans le dos de leur invitée, Joana agita devant les yeux de sa chérie les jouets qu’elle avait ramené : un vibromasseur bien sûr, mais aussi un plug anal, une paire de menottes en fourrure et une gag-ball. Elle ne prévoyait pas forcément de tout utiliser, mais elle était contente de tout avoir sous la main.

« Commençons avec ça. »

La femme approcha le vibro de la chatte de Maria et lui caressa la vulve avec pour qu’elle réalise ce qui allait se passer. Humide comme elle l’était, ce fut très facile de lui mettre ce jouet au fond de la chatte. Et encore, il ne vibrait pas pour l’instant. Mais elle ne s’arrêta pas là. Une fois son entrejambe remplie, elle alla remplir son anus avec le plug. Il n’était pas très gros mais il allait permettre de préparer l’anus de leur invitée pour qu’il soit moins serré quand la futa voudrait venir le pénétrer. Car il y aurait aussi de la sodomie à n’en pas douter.

« Et voilà, notre invitée est équipée. Tu veux que je lance la vibration maintenant ? »

Bobbie était heureuse. Une femme lui suçait la queue, et Maria avait déjà perdu. Elle ne pourrait pas tenir, et, ce soir, elle deviendrait son esclave. Oh, quel pied ! Cette seule idée aurait pu faire jouir Bobbie, mais elle se retenait. Il fallait après tout impressionner Maria, et, tandis que Joana allait chercher des jouets, elle croisa le regard de la jeune femme. Sa main se serra sur les cheveux de Maria, et elle appuya dessus, tirant sa tête en arrière.

« Je le lis dans tes yeux, hmmm… Je suis sûre que j’ai déjà battu le record de ton mari, non ? Haaa… Tu ne savais pas s’il fallait nous prendre au sérieux, hmmm… Je suis un croisement des deux sexes, tu sais, une quintessence… Je contrôle mon désir. Je pourrais inonder ta belle bouche de salope, mais tu dois en profiter, toi aussi… Alors, suce bien, ma petite salope, suce bien fort, comme une belle pute. »

Elle l’insultait sur un ton calme, néanmoins profond, empreint de désir. Elle commençait tout de même à être bien excitée, et, même si elle se vantait, Bobbie ne pouvait pas non plus retenir éternellement son désir. Sa soif de sexe l’envahissait, et elle appréhendait avec impatience le moment où elle allait jouir. Pour autant, et dans la mesure où elle devait un jour gouverner Stepford, elle se devait d’être à la hauteur ! Bobbie soupira lentement, avant d’entendre les grincements de l’escalier. Sa femme revenait ! Ah, quel bonheur ! Certes, Bobbie aimait le sexe, mais elle aimait encore mieux le pratiquer avec la participation de sa chère et tendre !

Joana revint avec un bel équipement, et Bobbie se pinça les lèvres en la regardant, sentant son désir croître encore. Joana et elle étaient des Reines du sexe, et le déhanché sexy de Joana quand elle marchait, avec ses lourds seins qui rebondissaient, avait facilement de quoi faire perdre la raison !

« Oui, je me régale, mais… Pas autant que notre chère invitée, c’est une vraie affamée ! »

Sa femme se positionna ensuite, et enfonça deux vibromasseurs dans le corps de Maria. Celle-ci couina faiblement, tandis que Joana retourna se lover dans son dos, et interrogea ensuite sa femme sur ce qu’il convenait désormais de faire. Bobbie sourit doucement en se pinçant les lèvres.

« Oui… En fait, hmmm… Je parie que tu peux faire jouir Maria avant moi. Notre invitée est une vraie salope, tu sais… Fais-moi jouir cette belle pute, mon amour… Montre-lui que, quand on goûte aux Eberhart… On en devient vite accrocs ! »

Joana était toujours enchantée de faire l’amour avec sa femme, mais quand il y avait une troisième personne au milieu, c’était encore mieux. Surtout quand cette personne n’avait pas encore goûté au plaisir suprême d’une futa sans aucune retenue liée au conditionnement. Car il ne faut pas oublier que, malgré ce que la situation pourrait laisser croire, les futanaris étaient normalement des outils contrôles par la fondation Viritas. Ces femmes étaient génétiquement modifiés pour devenir des machines sexuelles, dont le seul but était de donner aux femmes de Stepford assez de plaisir sexuel pour que leurs envies soient satisfaites et qu’elles puissent ensuite coucher avec leur mari sans ressentir le besoin d’avoir un orgasme, et que seul le plaisir masculin compte. Cette interaction avec les futas était normalement inclus dans le conditionnement stepfordien, pour qu’une épouse puisse avoir des relations extra-conjugales sans que cela entre en opposition avec l’adoration fanatique qu’elle avait envers son époux. Pour une stepfordienne, faire l’amour avec une futa était une activité naturelle, et cela était même considéré comme une des activités nécessaires pour rester une bonne épouse, comme prendre des cours de cuisine, faire du sport ou se trouver de nouvelles pièces de lingerie. Quant aux futas, leur conditionnement spécifique les empêchait de se rebeller contre leur situation ou de vouloir entamer une vraie relation avec une de leurs clientes.

Mais l’arrivée de Bobbie avait tout changé. La modification de son programme par Kelly lui avait permis de garder sa liberté, et elle utilisait maintenant ses incroyables aptitudes sexuelles pour libérer les femmes de Stepford de leur conditionnement, les rendant à nouveau maîtresses de leur vie. Et comme elles ne pouvaient plus trouver de satisfaction avec des maris apathiques, elles revenaient forcément vers les futas. C’était le crime parfait... du moment qu’elle restait discrète. Parce que si la fondation Viritas en entendait parler...

Maria faisait l’expérience de cette perfection sexuelle alors qu’elle suçait Bobbie depuis déjà vingt minutes et qu’elle n’avait pas réussi à la faire jouir, alors qu’elle-même avait déjà joui une fois, et bientôt deux avec les jouets que Joana venait de lui enfoncer dans la chatte. Cette dernière, sur ordre de sa femme, alluma les vibromasseurs dans la chatte et le cul de leur invitée et vint poser ses mains sur sa belle poitrine, malaxant ses orbes de chair.

« Oui, Maria... laisse le plaisir t’envahir. Tu ne peux rien faire pour le retenir... laisse-toi aller. Après cet orgasme... aaahhh... tu seras prête à être sautée par ma magnifique femme... et son énorme bite que tu aimes tant sucer. »

L’excitation rendait Joana plus vulgaire. Mine de rien, elle rongeait son frein depuis que Maria avait pris la queue de sa femme en bouche. D’habitude, quand Bobbie rentrait à la maison, elles faisaient l’amour un bon moment avant de passer à table, puis elles recommençaient une fois les filles mises au lit. Et là, elle avait juste pu la sucer une fois. C’était loin d’être suffisant. Alors elle se rattrapait avec Maria, massant ses seins et pinçant ses tétons érigés, se léchant les babines en la regardant grimper dans les tours. Elle ne le savait pas encore, mais elle était déjà de leur côté. Il fallait juste que l’idée soit claire dans sa tête.

Au bout de deux ou trois minutes, Maria eut un autre orgasme. Et moins d’une minute après ça, comme si elle l’avait voulu, Bobbie vint enfin offrir à Maria ce qu’elle attendait : une belle et puissante éjaculation. Le sperme se déversa dans sa bouche, et Joana sourit en la regardant avaler, gorgée après gorgée. Quand sa femme la laissa se retirer, elle n’avait pas fini de jouir, et les dernières giclées finirent sur le visage de leur invitée. Joana, plus qu’heureuse de voir Maria avec du foutre sur le visage, arrêta la vibration des jouets enfoncés en elle et l’aida à se redresser pour qu’elle s’assoie sur le plan de travail de la cuisine. Elle enleva une des zébrures blanches poisseuses avec son doigt avant de venir le lui mettre dans la bouche pour qu’elle joue avec.

« Est-ce que Luke est plutôt du genre à te faire avaler... ou est-ce qu’il aime voir ton visage de cochonne maculé de foutre ? »

Après ça, elle alla ramasser la culotte de Bobbie et lui fit ouvrir la bouche pour la bâillonner avec.

« Désolée, mais on ne peut pas risquer que tes cris de plaisir alertent nos petits anges à l’étage... ou même les voisins.
Ma chérie, je te laisse baiser notre invitée, moi je vais voir où en est le gâteau. »

Il ne faudrait pas qu’il brûle après tout. Cette petite douceur allait être leur remontant après leur partie de jambes en l’air.

Bobbie appréciait cette magnifique fellation, surtout quand Joana était là ! Aussi perverse soit-elle, Bobbie devait bien admettre qu’il était très agréable de coucher avec sa femme, ou en tout cas de l’avoir avec d’autres amantes. Joana était aussi très motivée dans ce domaine, et elle le démontrait encore, s’amusant avec le corps de cette belle Maria. Les vibromasseurs remuaient dans le corps de Maria, qui se tortillait sur place, bien incapable de retenir son plaisir.

« Oh, ma belle… »

L’hermaphrodite rouquine sentait le plaisir atteindre le point culminant. Bobbie ferma les yeux à plusieurs reprises, devenant plus fébrile. Elle avait beau le retenir, la vague approchait. Sa main se serra sur les cheveux de Maria, et Bobbie soupira alors à nouveau. Sa queue tressauta sur place, et elle se mit à jouir furieusement. Bobbie se pinça les lèvres en serrant les dents, et cracha sa semence. Un magnifique orgasme qui la traversa de part en part. Bobbie soupira donc, et laissa la purée jaillir. Elle inonda goulûment la bouche de Maria, qui écarquilla les yeux sous cet afflux disproportionné de sperme.

Reprenant ses esprits, Bobbie se releva. Elle se termina sur le visage de Maria, jouissant sur sa belle peau noire, faisant d’autant mieux ressortir les traînées de sperme. Elle avait bien rempli sa gorge, gonflant ses joues sous les litres de sperme. Maria était sonnée, et Joana vint à sa rescousse, nettoyant son visage pour avaler le sperme de sa femme, ou pour le fourrer dans la bouche de Maria. Sonnée, mais non moins réactive, Maria vola un long et sulfureux baiser à Joana, ce qui fut l’occasion pour les deux femmes d’échanger le sperme de Bobbie dans un ballet lingual très agréable à voir.

« Hmmm…
-  Vous êtes superbes, toutes les deux… »

Ce baptême de la gorge de Maria semblait l’avoir déluré, mais Bobbie savait qu’il en faudrait plus pour la faire définitivement sombrer. Le conditionnement psychologique stepfordien était très fort ! Joana termina en fourrant son doigt dans la bouche de Maria. Celle-ci se mit à le suçoter avec appétit, tout en croisant le regard de Joana, qui lui demanda si Luke jouissait autant en elle.

« À ton avis ? Je dois admettre que l’endurance de ta femme est… Tout simplement incroyable. »

Joana s’amusa ensuite à bâillonner la bouche de Maria, qui cligna des yeux. Bobbie se releva ensuite.

« Bon… Je propose qu’on se déshabille, mes chéries, nous serons mieux. Mais, comme je ne peux pas m’occuper de vous deux en même temps… Joana, mon cœur, je vais te mettre la culotte spéciale de notre invitée. Et toi, Maria, je te laisse choisir sur quel meuble tu veux que je te baise. »

Maria cligna des yeux, encore chaudement excitée. Bobbie, de son côté, se déshabilla donc, et finit rapidement toute nue. Maria fit de même, exposant la beauté parfaite de son corps à la peau d’ébène. Bobbie enfila ensuite sur le corps de Joana les deux vibromasseurs qu’elle avait utilisé sur Maria, les joignant auparavant à un strap-on pour pouvoir en faire une culotte. Tout en les mettant, elle embrassa avec appétit sa femme, venant la coincer contre le réfrigérateur, qui rebondit sur place. Le baiser s’étira un peu, avant que Bobbie ne le rompe. Sa queue caressait le ventre de Joana, et il suffisait d’un baiser un tout petit plus long pour qu’elle aille la baiser plus sèchement.

« Ma belle, je t’aime tellement…
-  Hmmm-hmmm… ! »

Impatiente, Maria s’était assise sur la table, et, jambes écartées, se masturbait en attendant qu’on vienne s’occuper d’elle. Pauvre petite chose ! Bobbie sourit, et se rapprocha d’elle, venant caresser sa joue, un sourire enjoué sur les lèvres.

« Dis-moi, mon cœur, Maria est plus solide que je ne le pensais… Peut-être devrais-tu appeler Jessica pour qu’elle nous rejoigne ce soir ? Je crois bien que son aide ne sera pas de trop pour satisfaire deux salopes nymphomanes comme toi et notre chère voisine… »

Bobbie ne pouvait pas s’occuper de deux femmes en même temps, alors Joana se proposa pour rester sur le côté en attendant que Maria reçoive ce qu’elle attendait tant. Tout le monde se déshabilla complètement pour être plus à l’aise, et tandis que l’invitée choisissait sur quel meuble elle allait se faire sauter, la maîtresse de maison se fit enfiler une culotte spéciale, à laquelle sa femme attacha les vibromasseurs utilisés sur leur invitée. Joana se retrouva plaquée entre le frigo et Bobbie pour un délicieux baiser tandis que les vibrations commençaient à se faire sentir entre ses jambes. Il aurait suffi que l’étreinte dure un peu plus longtemps pour qu’elles fassent l’amour, mais Maria attendait impatiemment qu’on vienne la prendre. Assise sur la table, elle se masturbait allègrement, les jambes bien écartées.

« Vas-y mon amour... aaahhh... je me charge de la cuisine. »

Comme elle l’avait dit, Joana alla surveiller la cuisson du gâteau. En général, elle cuisinait avec un petit tablier sexy. Là, elle était complètement nue, hormis la culotte strap-on entre ses jambes qui maintenaient les vibromasseurs qui lui donnaient son plaisir. En général elle évitait de cuisiner nue parce qu’elle craignait que ses filles n’arrivent à l’improviste. Mais là, elle leur avait bien dit de rester dans leur chambre et de ne pas les déranger. Ses enfants étaient plutôt obéissants alors elle ne se faisait pas trop de souci.

Joana ouvrit la porte du four et piqua le gâteau avec une fourchette. Il était encore trop liquide à l’intérieur, il lui fallait encore au moins dix minutes. Elle tourna de nouveau son attention vers sa femme, qui lui demanda s’il fallait appeler Jessica pour les rejoindre ce soir pour qu’elle ait du renfort afin de combler leur voisine et une belle salope comme elle.

« Bonne idée mon amour. Ooohhh... je vais l’appeler. »

Joana alla prendre son portable et appela Jessica tandis qu’elle regardait Bobbie se faire leur voisine, la prenant avec passion sur la table de leur cuisine. Sans cette culotte dans sa bouche, il y avait fort à parier qu’elle aurait couiné au point d’attirer tout le voisinage.

« Salut Jessica... aahh... c’est Joana. Je t’appelle parce qu’on a une nouvelle amie à te présenter. Rappelle-moi quand... ooohhh... tu auras ce message. A plus tard. »

Jessica n’avait pas répondu, mais avec ce message, la femme de Stepford espérait bien avoir de ses nouvelles sous peu. En attendant, elle pouvait profiter du spectacle de sa femme en train de se farcir leur invitée. Les vibromasseurs la calmaient pour le moment, mais elle espérait bien prendre part à la fête d’ici peu.

Quand Bobbie la pénétra sur la table de cuisine, Maria crut avoir un nouvel orgasme. Ou si ? Difficile à dire ! Elle s’était rarement sentie dans un tel état d’emphase, en même temps soulagée, heureuse, mais aussi frustrée et impatiente. Elle avait ressenti cet état lors de sa nuit de noces avec Luke, mais… Suite à ça, cela devait bien faire des années qu’elle n’avait pas ressenti une telle vague, une telle énergie en elle ! Bobbie la prit d’un coup sec, le corps de la belle femme à la peau noire s’étalant sur sa table de cuisine. Bobbie soupira. Elle avait déjà baisé Joana sur cette table, comme partout ailleurs dans leur maison, mais elle était heureuse de voir cette belle panthère noire. Maria s’étalait avec grâce, la culotte nichée dans sa bouche l’empêchant de trop gémir. Bobbie ne voulait pas déranger les enfants ! Elle attendit donc que les premières minutes passent. Joana, de son côté, vérifia l’état du gâteau, puis appela Jessica. Comme on pouvait s’y attendre, la belle blonde était toujours prête à venir. Maria crut défaillir en entendant parler d’elle. Jessica, la Futanari ! Elle avait déjà été tentée d’aller la voir, mais n’avait jamais osé franchir le pas.

Bobbie retira alors la culotte de la bouche de Maria, et continua à la prendre. Couchée sur le dos, Maria remuait avec appétit, de haut en bas, emmenant la nappe avec elle. Celle-ci glissait d’avant en arrière, et Bobbie continua son office. Elle ne ralentit pas le rythme, grognant sur place, posant ses mains sur les hanches de la jeune femme.

« Hmmm… Couine, ma salope ! Rugis, belle morue !
-  Hnnn… Hmmm… !! »

Maria se pinça les lèvres, et Bobbie invita Joana à se rapprocher. Celle-ci avait mis sur sa culotte un vibromasseur qui pointait vers l’avant. Équipée de son strap-on, elle se dirigea vers elle, et alla de l’autre côté de la table, venant enfoncer son gode dans la bouche de Maria, accompagnant ainsi les mouvements de la femme. Les mains de Joana pouvaient librement se balader sur les généreux seins de Maria, et elle étouffait ainsi ses couinements, empêchant celle-ci d’alerter leurs enfants. Mine de rien, elles se devaient d’être de bonnes mères !

Joana expliqua à sa femme qu’il fallait encore dix minutes supplémentaires pour la cuisson du gâteau, et Bobbie sourit donc.

« On va donc baiser cette belle salope pendant dix minutes… Rassure-toi, Maria, si tu es sage… Tu passeras une bonne partie de la nuit avec nous… Haaaa… Ma belle, on dirait que ton corps avale ma queue ! Han, tu en avais besoin, hein, ma salope ? Besoin de sentir ça… Cette verge en toi, hmmm… Oh, ma chérie ! »

Joana aimait voir sa femme baiser des ménagères frustrées et en manque de sexe intense. Maria était là, à remuer sur la table de la cuisine, emportant la nappe avec elle au rythme des allées et venues imposé par Bobbie. Elle croyait peut-être que sa vie sexuelle avec Luke était bonne, mais après avoir goûté au sexe avec une futa elle ne pourrait plus revenir en arrière. D’autant que ladite futa fit signe à sa femme de venir se joindre à la fête pour utiliser son strapon sur leur invitée.

« Ooohhh… j’arrive. »

Une fois la bouche de Maria débarrassée de la culotte de Bobbie, Joana put venir y mettre son sextoy, la muselant de nouveau pour éviter que ses couinements de truie n’alertent les enfants tout en lui donnant plus de plaisir.

« Aaahhh… regardez-moi cette salope… qui bouffe de la bite par tous les orifices. Hhhmmm… ça te plaît, hein sale truie ? »

Bobbie annonça qu’elles allaient la baiser pendant dix minutes, le temps que le gâteau soit prêt, et Joana ne pouvait qu’acquiescer. En plus, dans sa position, elle put facilement venir peloter la généreuse poitrine de la femme. Sentir cette chair moelleuse et ces petites pointes tendues sous ses doigts était un régal.

« Ooohhh… »

La ménagère trouva très vite son rythme de croisière. Son strapon allait en venait dans la bouche de son amante, s’enfonçant dans sa gorge, ses mains pétrissant généreusement ses seins rebondis. Coincée entre elle et sa femme, Maria ne pouvait que prendre son pied. Et peu importe qu’elle jouisse en rafale, elle ne serait libérée qu’une fois le gâteau cuit, ce qui allait prendre au moins dix minutes mais peut-être plus…

On pourrait attendre un peu plus… pour s’assurer qu’il est bien cuit.

Il fallait bien que leur invitée en ait pour son compte. Cela lui donnerait un bon avant-goût de ce qu’elle aurait lors du plan à quatre avec son mari et les Eberhart.

D’ailleurs, son mari... comment on va le convaincre ?

Elles avaient la technique pour faire basculer les femmes de leur côté, mais les hommes étaient plus compliqués à convaincre. Ils étaient ceux qui profitaient du système de Stepford, ceux qui tiraient les ficelles et ceux qui façonnaient les femmes selon leur désir. Pour l’instant, elles essayaient deux méthodes différentes : la féminisation, avec Carl qui leur servait de cobaye, et la soumission, comme elles l’avaient fait avec son père. Ce deuxième angle semblait plus prometteur avec un homme marié et père de famille comme Luke, à voir maintenant comment elles allaient s’y prendre.

Séduire Maria ne serait pas difficile, cela demandait juste de l’effort, et beaucoup de sexe. Et ça, justement, Bobbie était prête à le fournir. La plantureuse rouquine baisait avec force Maria. L’avocate succombait, et, quand sa bouche se remplit du strap-on de Joana, le plaisir crut encore. Les deux ménagères devaient être prudentes, si leur invitée hurlait avant que leurs enfants dorment, elles pourraient paniquer ! Maria faisait tout ça pour elles. Elle voulait offrir à ses enfants un avenir radieux, un avenir meilleur que ce paradis perverti qu’était Stepford. Bobbie était une vraie féministe, elle, et elle savait, sans aucun doute possible, que le monde ne pourrait que se porter mieux si les femmes le dirigeaient ! Les hommes étaient trop instables, trop violents, trop soumis à leurs pulsions et à leurs frustrations. Ils étaient faits pour se battre, pas pour diriger. Dans une société idéale, les hommes obéiraient aux femmes, porteuses de vie. Ils construiraient des trônes pour elles, des maisons, offrant leurs corps musclés à la soif de femmes les dominant naturellement.

« Hmmm… ! »

Oui, Maria ne serait pas compliquée à séduire. Luke serait sans doute une autre paire de manches. Les quelques essais des deux femmes sur les hommes avaient été pour l’heure peu concluants. Carl avait bien marché, mais il faisait figure d’exception au sein de Stepford. Pour l’heure, les Eberhart ne ciblaient pas d’hommes trop bien implantés ou trop stepfordiens. Ils avaient des cibles très spécifiques, mais Bobbie avisera ! Pour l’heure, elle sourit en regardant sa femme, excitée et heureuse de faire ainsi l’amour avec elle ! Oh, quel couple formidable ! Elle soupira, sa puissante queue pulsant dans la chatte de Maria, remontant jusqu’à la garde, s’enfonçant en elle.

« Sa chatte de salope est si serrée, hmmm… ! »

La femme à la belle peau d’ébène se tortillait contre elle. Elle mouillait joyeusement, incapable de se retenir, et le plaisir éclata en elle. Au bout de plusieurs minutes, Maria, tout excitée, se mit à jouir, se tortillant sur la table. Maria continua à la prendre, provoquant des bruits de claquement sourds, sa queue trempant dans la mouille délicieuse de sa partenaire. Hum, hum, quel pied ! Elle se pinça encore les lèvres, caressant ses hanches, la table commençant à grincer, les pieds raclant sur le sol.

Maria filait d’avant en arrière, la prenant régulièrement, un rythme soutenu et puissant, amenant Maria à couiner encore.

Finalement, Maria se relâcha quand la sonnerie du four résonna, annonçant le gâteau. Elle jouit dans la chatte de Maria, tapissant celle-ci de foutre, et sa queue se retira ensuite. Elle se termina sur le corps de Maria, se masturbant en zébrant sa peau noire de son sperme, puis, dans la foulée, Maria glissa sur le sol, entraînant la nappe avec elle. Sonnée, la jeune femme tomba sur le carrelage, et éternua ensuite, tandis que Joana et Bobbie, debout, lui faisaient face.

En sueur, Bobbie caressa les fesses de Joana, et donna une gifle sur son postérieur.

« Nettoie-là, ma belle, avale mon sperme avec ta langue, je vais sortir le gâteau. »

Elle savait que Maria pouvait encore en endurer davantage, mais ce n’était qu’un prélude. Ce soir, elles briseraient son conditionnement, comme elles l’avaient fait auprès des précédentes femmes qu’elles avaient baisé jusqu’à présent !

Les minutes passaient mais le sexe ne s’arrêtait pas. Joana et Bobbie étaient clairement insatiables, tout comme Maria maintenant qu’elle avait découvert une nouvelle dimension du sexe. Même si elles suppliaient les Eberhart d’arrêter, elles ne le feraient pas car elles étaient l’incarnation d’un nouveau standard de ce que devaient être les rapports sexuels à Stepford, un standard déjà adopté par plusieurs femmes et qui dominerait bientôt toute la ville. Elle se tortillait sur la table en étant pénétrée des deux côtés, Bobbie pilonnant sa chatte et Joana lui remplissant la bouche. Même après qu’elle ait joui plusieurs fois, rien n’arrêtait les Eberhart qui continuaient à la prendre, provoquant des bruits de claquement sourds.

« Aaahhh... laisse-toi aller Maria... laisse le plaisir te remplir entièrement. »

Le hasard faisant bien les choses, Bobbie se relâcha dans Maria juste quand la minuterie du four sonna pour annoncer que le gâteau était prêt. Leur invitée fut remplie de foutre et son ventre zébré de belles traces blanches qui contrastaient bien avec sa peau noire. Elle tomba dans la foulée, s’étalant sur le carrelage. Joana voulut aller s’occuper du gâteau mais sa femme lui ordonna, avec une claque sur les fesses, de nettoyer leur invitée pendant qu’elle allait s’occuper du gâteau.

« Comme tu veux ma chérie. »

Joana se mit à genoux devant Maria, qui reprenait encore son souffle après ce rodéo sexuel.

« J’espère que tu as encore de l’énergie Maria... parce que ça, ce n’était que l’entrée. Ce soir nous t’offrirons l’expérience sexuelle la plus mémorable de ta vie. »

Elles devaient encore briser son conditionnement, et pour ça il allait falloir la baiser longuement et intensément pendant des heures, sans interruption. En fonction des personnes ça pouvait même prendre toute la nuit.

Joana commença à lécher le sperme qui coulait sur le ventre de Maria. Elle ramassa méthodiquement chaque traînée blanchâtre sur sa peau d’ébène avant de l’avaler. Puis elle passa à l’entrejambe de la femme, qu’elle lécha avec appétit pour avaler toute la semence qui en coulait. Cette cochonne soupirait d’extase tandis qu’elle se faisait brouter et que son amante se régalait.

« Hhhmmm... hhhmmm... »

Sa femme lui avait demandé de tout avaler mais Joana se permit un petit écart. Elle avait laissé une traînée sur le ventre de Maria qu’elle ramassa avec ses doigts avant de les porter à la bouche de la femme. La voir sucer ses doigts et ramasser le sperme de la futa était un régal, elle s’en pinça les lèvres de bonheur.

« On peut dire que tu es une sacrée gourmande. J’espère qu’il te reste de la place pour le gâteau. »

Et justement Bobbie amena le gâteau fraîchement sorti du four. Il allait avoir besoin d’un peu de temps pour refroidir et être mangeable, alors en attendant Joana revint se coller dans les bras de sa femme, l’embrassant avec passion et gourmandise tout en palpant ses magnifiques fesses d’une main et caressant sa queue à moitié molle de l’autre.

« Hhhmmm... je pourrais avoir un peu de crème... avec ma part de gâteau ? »

Mais pas tout de suite. En attendant que le gâteau puisse être dégusté, Joana voulait discuter un peu avec leur invitée.

« Alors Maria... quel est ton ressenti sur ce qu’on vient de faire ? Est-ce qu’on a été à la hauteur de tes attentes ? Et est-ce que tu as toujours envie de faire un plan à quatre avec nous et ton mari ? »

Après ce savoureux rodéo, Maria avait un peu de mal à croire que tout cela ne puisse être qu’une introduction. Après tout, cela avait été… Si intense ! Si incroyable ! Elle suçota avec appétit les doigts de Joana, tout en étant encore doucement excitée. Elle se sentait pourtant rassasiée, plus que jamais auparavant ! Jamais Kyle ne l’avait baisé avec une telle force, ne l’avait déglingué ! L’endurance extraordinaire de Bobbie lui rappelait ce que les membres du club disaient parfois sur Jessica, la Futanari locale ! Mais Maria avait toujours cru à des racontars… Ou, plutôt, elle avait toujours voulu se persuader qu’il s’agissait d’histoires ! Ceci étant dit, vu ce qu’elle venait d’endurer, il était désormais impossible de se voiler la face, de croire à une mauvaise blague. Elle goûta donc au sperme de Bobbie quand Joana le lui présenta. L’intéressée revint ensuite, tenant entre ses mains ce gros gâteau avec un symbole phallique sur le dessus. Un gâteau des plus appétissants, assurément ! Bobbie posa le gâteau, et, juste après, partagea avec Joana un long et onctueux baiser. Elle frémit en sentant les mains de Joana la palper, et en fit de même, donnant une belle tape sur ses fesses.

« Tu es vraiment insatiable, ma belle… »

Le gâteau était très tentant, mais, avant ça, Joana se retourna vers Maria. Elle faisait preuve d’un entrain très agréable. Comme toujours, Bobbie aimait ça. Elle avait beau être celle qui portait la verge, Joana n’en était pas pour autant une soumise passive et servile. Sa chère femme pouvait au contraire faire preuve d’un esprit d’initiative admirable, comme elle le témoignait en ce moment. Elle se retourna ainsi vers Maria, qui s’était relevée. Chancelant un peu, la ménagère cligna des yeux, avant d’observer le duo.

« Ce… Euh… Je dois bien admettre que… Tout ça est assez… Assez incroyable ! Vous m’avez ravagé, et vous voudriez me faire croire que ce n’est qu’un prélude ? »

Bobbie sourit malicieusement, laissant Joana lovée contre elle, sa main posée en position de possession sur son épaule.

« Bien sûr… Moi et ma femme, nous avons embrassé le plein potentiel que cette ville magnifique offre. »

L’hermaphrodite se rapprocha alors de Maria, et caressa sa joue avec sa main.

« Jessica est… Comme toi ?
-  Tu verras ça ce soir, ma belle… Ce gâteau présente des ingrédients très particuliers, tu sais. Quand ton mari en prendra, il goûtera à ce que nous, les femmes de Stepford, nous avons reçu.
-  Co-Comment ça ?
-  Je sais très bien que ton mari n’est pas en mesure de te satisfaire Cela ne vient pas de lui, mais de toi… Quand tu as été reconditionnée ici pour devenir la belle femme pulpeuse que tu es, le désir que tu ressens s’est considérablement accru. Et, maintenant que tu as goûté au vrai plaisir, ton mari y goûtera aussi ce soir… En étant notre soumis. Tu crois qu’il aimera ça ? »

L’idée émut doucement Maria, qui n’en semblait guère convaincue… Mais, d’un autre côté, elle n’aurait jamais cru prendre autant son pied ici ! Alors, elle avait envie de croire que tout restait possible…

Maria avait l’impression qu’on l’avait ravagé, et pourtant ce n’était qu’un aperçu, un avant-goût de ce que pouvait être le plaisir du sexe avec une futa de Stepford. Elle s’interrogeait sur la puissance sexuelle de Jessica, et Bobbie lui assura qu’elle ne serait pas déçue en la rencontrant ce soir. Elle lui expliqua également que ce gâteau contenait des ingrédients qui permettrait à son mari de connaître le vrai plaisir de Stepford... en devenant leur soumis. Leur invitée ne semblait pas convaincue, mais en même temps le couple Eberhart lui avait déjà montré qu’elles pouvaient aller au-delà de ce qu’elle croyait possible alors...

« Crois-moi, ton mari ne regretta pas d’être venue. Et toi non plus d’ailleurs. »

Une fois le conditionnement de Maria brisé et l’attitude de Luke corrigée, leur mariage allait prendre une toute autre tournure. Pour le meilleur bien sûr, mais il allait falloir du temps pour qu’ils le réalisent.

« Pour l’instant tu devrais rentrer. Va convaincre ton cher mari de se joindre à nous ce soir. Et s’il ne veut pas... peu importe. Viens seule s’il le faut mais sois là ce soir. Je ne voudrais pas que tu rates ce qui t’attend. »

Si elle avait autant pris son pied avec une futa, pouvait-elle seulement imaginer le plaisir qu’elle prendrait avec deux ?

Une fois Maria rhabillée et partie, Joana allait pouvoir s’occuper du dîner et de ses filles. Mais d’abord, elle voulait profiter d’un moment en tête-à-tête avec sa chère femme. Collée contre elle, elle vint dévorer ses lèvres goulument tout en palpant ses belles fesses rebondies et en caressant son chibre veineux.

« Hhhmmm... j’ai tellement hâte d’être à ce soir. Il va falloir qu’on se trouve des tenues très sexy... de quoi bien exciter nos invités. Il faut que cette soirée soit... ooouuuhhh... fantastique. »

Joana mouillait déjà en s’imaginant Maria prise en sandwich entre Bobbie et Jessica pendant qu’elle s’occuperait de Luke, utilisant son incontrôlable désir charnel pour le faire obéir au moindre de ses ordres.

« Tu veux me baiser encore une fois... aaahhh... avant que je m’occupe du dîner ? »

Ça lui permettrait de penser à autre chose qu’à son appétit soudain devant ce gâteau-phallus. Elle aimerait bien remplir sa bouche avec, à moins qu’on lui donne autre chose pour la remplir.

Maria allait-elle revenir ? Maintenant qu’elle avait goûté au fruit défendu, elle allait sûrement hésiter, peser le pour et le contre. À ce stade, Bobbie était incapable de dire quand elle reviendrait. Ce soir, probablement, mais on ne pouvait pas exclure qu’elle prenne peur. Dans ce cas, elle reviendrait nécessairement ensuite, prête à s’offrir. Bobbie et Joana allaient toutefois partir du principe qu’elle reviendrait ce soir, et qu’elle mettrait même de très beaux dessous féminins. Joana la regarda partir, puis se retourna vers sa femme. Dès que la porte de la maison se ferma, les deux femmes s’embrassèrent, Bobbie la pressant contre la porte d’entrée. Elle sentit la main de Joana caresser sa verge, glissant dessus avec appétit. Sa main remuait longuement, comprimant ce solide membre entre ses doigts.

« Hmmm… »

Joana indiqua qu’elles allaient devoir trouver « des tenues très sexy » pour ce soir, tout en demandant à Bobbie si elle n’avait pas envie de lui faire à nouveau l’amour.

« Hum… Une telle proposition, ça ne se refuse pas, mon amour. Allons dans la penderie ! »

Leur grande penderie se trouvait dans leur chambre conjugale, un nid douillet qui était régulièrement fortement ventilé, afin que l’odeur de sexe ne reste pas trop longtemps. Il fallait bien dire que la chambre parentale était le lieu privilégié où les deux femmes faisaient l’amour, copulant alors comme des bêtes, se déchaînant pleinement ensemble. Elles rejoignirent rapidement la chambre à l’étage, se tenant la main. Bobbie ferma la porte derrière elles, et plaqua Joana contre le mur, se dépêchant de la déshabiller et de se déshabiller, juste assez pour pouvoir la pénétrer. Elle s’enfonça dans la chatte de sa femme, et grogna contre elle, manquant presque jouir dès la première pénétration. Han ! Sa femme se tortilla sur place, salivant devant cette belle queue. Bobbie l’embrassa avec appétit sur les lèvres, son corps restant collé au sien. Sa queue s’enfonça encore en elle, et elle donna un coup de reins supplémentaire, relevant le corps de sa partenaire.

Bobbie glissa ensuite avec Joana, et s’étala sur un tapis rembourré situé sur le sol. Elle la prit en missionnaire avec passion, s’enfonçant durement en elle, retrouvant rapidement cette énergie vorace, cet appétit furieux.

« Han, ma chérie, tu es si bonne, bordel ! Hmmm… ! »

La penderie du couple Eberhart, installée dans leur chambre, était un vrai trésor d’habillement. Elle contenait aussi bien des tenues du quotidien pour les sorties en famille que les tenues du dimanche pour les événements de quartier ou les tenues sexy pour les moments intimes. Il fallait bien dire que la chambre parentale était le lieu privilégié des deux femmes, où elles partageaient le plaisir du sexe aussi bien que leurs plans de conquête de Stepford. Quand elles y étaient, elles étaient dans leur monde.

Une fois la porte verrouillée, Joana se retrouva plaquée contre le mur. Une fois déshabillée, sa femme la pénétra d’un coup sec, s’enfonçant sans peine dans sa chatte trempée. Son corps collé à celui de Bobbie, la femme se régalait, et elle se retrouva rapidement sur un tapis rembourré, prise en missionnaire avec passion par sa chérie qui retrouvait vite son énergie démentielle.

« Ooohhh... mon amour... que tu es bonne avec moi. »

Joana savourait chaque minute, chaque seconde de ce coït déchaîné. Le gâteau phallus ne lui faisait plus autant envie maintenant qu’elle goûtait au modèle original. Ses jambes se fermèrent autour du bassin de Bobbie et elle passa ses bras autour de son cou pour venir l’embrasser. Elle n’avait pas peur de la forcer à solliciter son corps pour tenir le rythme ou prendre plus de plaisir, elles étaient toutes deux des amantes exceptionnelles et elles pouvaient tenir des positions que les autres femmes de Stepford ne pourraient qu’imaginer. Pour elles ce n’était qu’une baise rapide de fin de journée.

Même après un premier orgasme, Joana ne s’arrêta pas. Elle aida Bobbie à se relever et l’allongea sur leur lit avant de venir s’allonger sur elle. Elle frotta sa chatte humide contre son vit tendu mais sans le mettre à l’intérieur pour autant. Elle voulait juste la garder excitée le temps de discuter un peu avec elle, ensuite elles se lanceraient dans un rodéo déchaîné.

« Aaahhh... d’après toi, comment je dois m’habiller pour ce soir ? Plutôt « érotisme subtil » ou « perversion affichée » ? »

En clair, plutôt chercher un charme sensuel ou provocateur ou se montrer tout de suite comme une machine de sexe instoppable ?

Joana et Bobbie avaient ensemble une vie sexuelle très intense. Bobbie aimait lui faire l’amour, bien sûr, encore et encore… Elle couchait régulièrement avec elle, et elles finirent ensuite sur le lit. Couchée au milieu du lit, Bobbie cligna des yeux en sentant Joana remuer sur elle. Sa verge solide se frottait contre les fesses de sa femme. Elle se tortillait sur place, refusant toutefois encore de laisser cette verge s’enfoncer en elle. Elle voulait jouer avec Bobbie, et lui demanda en effet quelle tenue mettre pour ce soir. Les mains de Bobbie se déplacèrent lentement, caressant les hanches de la jeune femme. Ses mains glissèrent sur sa peau tendre et chaude, se rapprochant de ses fesses. Elle les pressa toutes les deux, tandis que sa verge continuait à se frotter, dure et impatiente. Joana la titillait, curieuse de voir ce que Bobbie dirait instinctivement.

« Hum… Je crois que le choix est vite fait, non ? Vu comment nous avons préparé Maria… Je veux que tu sois une belle perverse, ce soir, ma chérie… La salope nymphomane que j’aime tant, et qu’eux aussi vont aimer… »

Bobbie sourit encore, malicieusement. Elle se redressa alors, et embrassa Joana, goûtant à ses lèvres. Les deux femmes s’embrassèrent longuement. Heureuse, Bobbie se détendait progressivement, et retourna ensuite se coucher.

« Vas-y, ma belle, danse sur moi, chevauche-moi, j’ai tellement envie de sentir ma queue en toi… Oh, mon amour ! »

Bobbie semblait avoir une préférence pour le style pervers affiché. En plus, vu comment elles avaient chauffé Maria, pas question d’y aller par quatre chemins. Joana devait se montrer comme la salope nymphomane que sa femme aimait tant et qu’ils allaient également aimer.

« Très bien. Dans ce cas… il faudra que je sorte les vêtements les plus légers de la penderie. »

Elles avaient aussi quelques accessoires qui les aideraient à se montrer sous leur meilleur jour.

Sans plus attendre, Joana guida le sexe de Bobbie vers son intimité et commença à la monter avec tout le talent qu’elle avait en réserve.

« Ooohhh… ooouuuiii… »

La transformation stepfordienne avait été une épreuve douloureuse pour Joana et Bobbie mais elle leur avait aussi apporté de bonnes choses. Leur vie sexuelle n’avait jamais été aussi épanouie que depuis lors, et elles s’épanouissaient également dans leur travail. Joana était heureuse de s’occuper de la maison et des enfants, tout comme elle était heureuse de travailler au lycée. Mais surtout, travailler avec sa femme et leurs alliés sur leur grand projet de transformation de Stepford lui donnait de la force au quotidien. Elle savait qu’elle travaillait à rendre le monde meilleur, pour elle mais surtout pour ses enfants, et cela la motivait à se lever chaque matin. Ça et sa femme adorée bien sûr.

Joana posa ses mains sur la poitrine de Bobbie pour pouvoir malaxer ses orbes de chair tandis qu’elle la baisait. Son talent en tant qu’amante n’était plus à prouver, sa femme et elles couchaient ensemble plusieurs fois par jour. La seule chose qu’elles avaient à craindre était de finir par s’ennuyer à force de baiser tous les jours dans toutes les positions possibles.

« Aaahhh… tu aimes, ma chérie ? Tu aimes voir ta femme… danser sur ton chibre… oouuhh… comme la dernière des putes ? »

Son talent d’amante ne reposait pas que sur un charme fou et sur une condition physique impressionnante, elle savait aussi comment utiliser sa langue… dans tous les sens du terme.

Joana s’empala donc sur la verge de Bobbie, qui soupira en se couchant sur le lit, en plein milieu, sentant ce dernier couiner et grincer sous la danse rythmée et intense de sa partenaire. Sur elle, Joana remuait avec passion, tandis que Bobbie lui avait dit de porter quelque chose de pervers ce soir.  Elles n’avaient que l’embarras du choix. En devenant les femmes qu’elles étaient à Stepford, les deux femmes avaient considérablement rempli leur garde-robes. Bobbie aimait beaucoup habiller Joana, et elle avait de multiples tenues pour elle. Il était amusant de constater combien les Stepfordiennes pouvaient se montrer perverses, car Stepford disposait de son propre atelier de couture. Les tenues produites fonctionnaient donc en circuit intérieur, avec un tailleur qui les préparait en achetant du tissu. C’était l’une des rares portes d’entrée vers l’extérieur. Les Stepfordiennes ne se rendaient pas à des magasins hors de la ville, mais à la boutique du tailleur, commandant leurs robes sur mesure. Et toutes portaient des tenues indécentes pour leurs maris en privé. Il n’y avait donc rien de particulier à ce que Joana passe de telles commandes.

« Hmmm… »

Maintenant qu’elles avaient choisi, Joana et Bobbie pouvaient joyeusement s’envoyer en l’air. Baiser Maria avait été un bon début, mais ce qu’elles lui avaient fait était bien insuffisant pour épancher leur soif. Bobbie sourit donc, et posa ses deux mains sur les hanches de Joana, puis palpa ses fesses, croisant son regard.

« Haaa… Ma chérie, tu es vraiment une sacrée salope… Comment pourrais-je ne pas t’aimer ? Je veux que tout le monde t’aime, car c’est ce que tu mérites… Que le monde entier… Haaa… Rêve de te baiser ! »

Son amour était immense, sincère, et n’avait fait que s’accroître depuis leur arrivée à Stepford, comme si cette dose de perversion intense qu’elles avaient reçue avait rendu les deux femmes plus aimantes l’une de l’autre. Bobbie soupirait donc, et la porte de la chambre s’ouvrit alors. En tournant la tête, elle sourit en voyant leur amie revenir… Jessica était finalement venue chez les Eberhart… Un peu plus tôt que prévu, mais aucune des deux femmes n’allait s’en plaindre. Elle portait un long manteau noir avec un chapeau, un chignon serré, et des lunettes de soleil.

« Oh, Jessica…
-  Bonjour, mes chéries… Vous m’aviez demandé, non ?
-  Pas si tôt, mais… Tu es toujours la bienvenue, hummm… »

Jessica sourit, et défit son long manteau. Elle était intégralement nue sous ce dernier, révélant sa puissante verge. Elle défit son chignon serré dans la foulée, laissant ses longs cheveux blonds tomber en cascade dans son dos. Elle se déplaça lors, n’ayant plus que les talons de ses cuissardes noires, et grimpa sur le lit. Elle avait conservé ses lunettes de soleil, et se frotta dans le dos de Joana. Elle l’embrassa avec appétit, et orienta sa verge vers le fondement de la jeune femme.

« Là, là… Laisse-moi te saluer comme il se doit, ma chérie… » soupira Jessica contre son oreille, approchant sa verge encore pour pénétrer la belle…

Joana et Bobbie avaient le temps de profiter l’une de l’autre avant que leurs invités n’arrivent… du moins c’était prévu comme ça. Mais Jessica leur fit la surprise d’arriver plus tôt. On ne fermait pas sa porte à clé à Stepford car tous les voisins se connaissaient et il n’y avait pas de crimes violents. C’était peut-être l’une des seules bonnes choses de ce modèle de société.

« Contente de te voir… oohh… Jessica. »

La futa se débarrassa de son manteau et dénoua ses cheveux, se dévoilant dans toute sa beauté et déjà en érection. Elle rejoignit le couple dans leur lit et approcha sa queue tendue du fondement de Joana pour la saluer comme il se doit.

« Hhhmmm… oui… vas-y. »

Joana se retrouva prise entre deux futas bien membrées et puissantes. Pendant qu’elle continuait à danser sur le chibre de Bobbie, le sexe de Jessica allait et venait dans son anus. Une autre femme aurait pu être déstabilisée dans cette situation mais Joana avait passé suffisamment de temps à Stepford pour gérer. Elle était une amante d’exception, capable de gérer plusieurs partenaires à la fois et de satisfaire tout le monde tout en prenant son pied. En plus elle aimait se sentir au centre de l’attention, être gâtée par plusieurs femmes à la fois et leur donner en retour.

« Aaahhh... quelle chance j’ai... d’être entourée de femmes... oouuhh... aussi douées. »

Joana s’estimait vraiment heureuse de la vie qu’elle avait à Stepford. Bien sûr elle aurait préféré une ville plus banale pour éduquer ses enfants mais leur installation ici lui offrait l’opportunité de participer à un projet bien plus grand qu’elle, un projet qui allait lui permettre de bâtir un monde plus juste pour les femmes. En plus elle n’avait jamais été aussi proche de Bobbie depuis leur mariage.

« Alors Jessica... hhhmmm... est-ce que toi aussi tu es impatiente... à l’idée de cette soirée ? »

La venue de Jessica au sein de leur maison était toujours une chose magnifique et merveilleuse, comme un rayon de soleil qui venait illuminer leur logis. Jessica était un électron libre singulier au sein de Stepford.  Elle était une femme libre et indépendante, qui n’avait pas de famille. Elle était la prostituée du village, mais sa clientèle était exclusivement féminine. Son rôle pouvait apparaître marginal, mais il était en réalité central, car Jessica était là pour combler la soif sexuelle des femmes de Stepford, et ainsi s’assurer qu’elles soient toujours assouvies à leurs maris. À sa manière, Jessica était donc l’un des maillons du système stepfordien, et ce n’était donc pas pour rien si elle avait accepté de participer au projet des Eberhart de lancer une révolution à Stepford. Elle rejoignit donc le duo, et, sans attendre, sodomisa Joana. La femme de Bobbie était si douée et si entraînée que son fondement se dilatait sans peine. Elle avait après tout été sodomisée un nombre de fois très élevé depuis qu’elle était là, et, au-delà de ça, son endurance sexuelle avait été renforcée par les mutagènes que les Stepfordiens leur avaient fait ingurgiter.

Un long soupir de plaisir s’échappa donc des lèvres de Joana, qui crispa ses mains sur les épaules de sa femme. Prise entre deux Futanaris bien membrées et assoiffées, Joana avait de quoi être aux anges. Elle remuait d’avant en arrière, sentant les verges des deux femmes s’enfouir en elle. Jessica caressait ses hanches, et déplaça ses mains, les faisant remonter pour palper et pincer les lourds seins de Joana, tout en l’embrassant avec appétit dans le creux du cou.

« Hmmm… Moi aussi, je me sens… Chanceuse… Votre venue ici, à Stepford, elle… Hmmm ! Elle est providentielle ! »

Bobbie sourit malicieusement, et vit Joana tourner la tête, embrassant Jessica sur les lèvres. Les deux femmes se pressèrent l’une contre l’autre, les mains de Jessica pinçant à nouveau ses seins avec force.

« Les… Les Valentios, haaa… J’ai déjà couché avec leur mère à plusieurs reprises. Hmm… Évidemment, je suis… Je suis ravie de participer avec vous à… À… Haaaa… À leur ouvrir les yeux sur ce qu’ils sont réellement ! »

Une perspective qui semblait réjouir Jessica, tout comme Bobbie. À sa manière, Jessica savait se montrer indispensable ! Bobbie se sentait encore plus excitée maintenant qu’elle était là, et qu’elle la voyait embrasser longuement et langoureusement sa femme, dont les gros seins remuaient entre ses mains baladeuses…

Avant d’arriver à Stepford, la vie sexuelle de Joana et Bobbie était au mieux banale, voire limite médiocre. Comme dans tous les mariages, le manque de temps libre et la routine qui s’installe avaient fatalement fini par nuire à leur intimité. Et même si on pouvait reprocher beaucoup de choses à Stepford et à son modèle de société, Joana ne pouvait pas nier que sa vie de couple se portait bien mieux depuis qu’elle vivait ici. C’était comme si avoir une sexualité débridée avait fait sauter tous les blocages qui enlisaient son mariage. Avant Stepford, jamais elle n’aurait imaginé faire l’amour à sa femme plusieurs fois par jour, que ce soit chez elles ou au travail, et sûrement pas avec une troisième personne. Mais aujourd’hui, elle ne s’imaginait pas vivre autrement.

Toujours empalée sur le chibre de Bobbie, Joana se faisait sodomiser par Jessica qui l’embrassait dans le creux du cou tout en malaxant ses seins. Elle expliquait qu’elle avait déjà eu l’occasion de coucher avec Maria Valentios à plusieurs reprises et qu’elle était ravie de participer à leur soirée pour ouvrir les yeux du couple sur ce qu’ils étaient vraiment.

Bizarre…. Maria m’a assuré qu’elle n’avait jamais… fait appel aux futas.

Honte de l’admettre ? Ou elle ne l’a pas dit à son mari ? Pourtant ce n’était pas un secret pour les hommes de Stepford que leurs femmes faisaient appel aux futas pour combler leurs désirs. Comment resteraient-elles soumises sinon ? Les futas étaient un rouage essentiel du fonctionnement de la société stepfordienne. En plus, c’était vraiment plaisant de coucher avec une futa. Joana en avait deux dans son lit et elle prenait son pied comme une folle.

« Hhhmmm… hhhmmm ! »

Joana venait de jouir, mais elle n’avait pas son compte pour autant. Il allait lui falloir bien des orgasmes en plus pour la calmer. Et c’était tant mieux car les futas qui la baisaient avaient sûrement envie de continuer elles aussi.

« Le plus dur… aaahhh… ce sera de convaincre Luke. Il aime cette ville… et son mode de vie. Oouuhh… il ne cèdera pas à nos avances… si facilement. »

Au pire, s’il tenait tant à être celui qui portait la culotte dans son couple, Joana pourrait tout aussi bien lui en faire porter en vrai. Efféminer les hommes était quelque chose qui l’excitait beaucoup, il suffisait de voir l’intérêt qu’elle portait à Carl et à sa féminisation progressive.

« Une fois que les parents nous auront rejoints… ooohhh… les enfants suivront. »

Une autre famille qui se joindrait à leur grand projet de transformation de Stepford.