The Multiversity

La préparation du gâteau risquait bien de prendre plusieurs minutes, car, tandis que Joana entreprit de chauffer Luke, Bobbie en fit de même avec Maria. Elle laissa Maria sortir le gâteau du four, et la jeune femme le posa sur un plat. Elle retira ensuite les gants de cuisine, et examina le gâteau. Un gâteau aux fraises, rose, avec de la crème, et sur lequel uns ymbole phallique avait été dessiné. Une grosse verge qui ornait le dessus, et qui fit déglutir Maria. Bobbie se glissa ensuite dans son dos, et Maria put sentir sa verge en érection, qui tapait contre ses fesses.

« Haaa… Maî-Maîtresse… »

Bobbie l’embrassa dans le creux du cou, tout en malaxant son corps.

« Il est temps de passer aux choses sérieuses, ma chérie… Toi et ton mari, vous serez tous les deux mes esclaves d’ici à demain…
-  Maî-Maîtresse…
-  Ensuite, j’irai chez toi, et je baiserai chacune de tes trois filles. Je leur ferai prendre leur pied comme tu l’as pris avec moi, car tu es une catin… N’est-ce pas ?
-  Maîtresse, n-non, pas mes… »

Bobbie pinça ses seins, et Maria poussa un petit cri. Luke aurait pu l’entendre, s’il n’était pas subjugué par les yeux de Joana, et par ses explications. La Futanari sentait que Maria approchait du point de rupture, et elle appuyait avec sa verge contre ses fesses, la sentant basculer.

« Ton mari aime se faire sodomiser… Il n’est pas le seul dans ce cas-là, mais peu d’hommes osent l’avouer… Ta Maîtresse va l’(aider à devenir un homme épanoui, et vous serez tous une famille très heureuse. N’est—ce pas ce queu tu veux ? Une mère ne devrait-elle pas souhaiter le meilleur pour ses enfants ? Ta Maîtresse ne serait pas le meilleur pour elles, alors ?!
-  N-Non… Si, Maîtresse, vous… Vous êtes la meilleure… »

La main de Bobbie se déplaça, et glissa contre le sexe de Maria, qu’elle caressa à travers son pantalon.

« Tu mouilles, petite catin… Oui, tu mouilles ! »

Cela, nul ne pouvait le nier. Maria se tortillait sur place.

« Je veux que tu nous appuies pour convaincre ton mari de céder à ses inhibitions… »

Maria soupira, et reçut une gifle sur ses fesses.

« C’est compris ?!
-  Oui… Oui, Maîtresse ! »

Voilà qui était bien plus agréable ! Satisfaite, Bobbie se releva. De son côté, Luke avait une sacrée érection, sans savoir quoi dire à Joana.

« Je… Euh… Nous… Nous avons déjà essayé, et… Hmmm… »

Il soupira alors en se relevant.

« Pardonnez-moi, je dois aller aux toilettes ! »

Luke s’écarta alors précipitamment, et Bobbie et Maria entrèrent ensuite. Bobbie caressait le cul de Maria, qui posa le gâteau sur la table.

« Ils sont tous les deux mûrs, ma belle… Maria, je veux que tu ailles enfiler la guêpière que nous avons préparé pour toi, et que tu reviennes ensuite. Ton mari doit être en train de se branler dans nos toilettes… »

Maria soupira à cette idée, et fila vers la chambre. Bobbie se retourna vers Joana, et se dépêcha de l’embrasser.

« Tu sais, tu peux utiliser un strap-on, si tu veux le sodomiser, toi aussi… » lui glissa-t-elle en souriant.

L’idée de cette soirée ne semblait plus faire aucun doute, désormais !

Joana sentait que le point de rupture de Luke était proche. Quand elle lui demanda s’il avait déjà essayé la sodomie avec sa femme, il ne put même pas terminer sa réponse avant de quitter la table en prétextant de devoir aller aux toilettes. Bobbie et Maria revinrent dans la salle à manger juste après avec le gâteau, mais Bobbie envoya aussitôt Maria enfiler une guêpière et ramener son mari. Le couple Eberhart se retrouva en tête-à-tête, et la futa rappela à sa femme qu’elle pourrait aussi prendre Luke par-derrière avec un strapon si le cœur lui en disait.

« J’y penserai. Mais d’abord il faut que ce soit toi et Jessica qui le preniez. Quand il aura bien pris son pied, il nous mangera dans la main. »

Joana savait qu’elle aurait un rôle à jouer dans la soirée mais elle se voyait plus comme la tentatrice qui pousserait le couple Valentios à se débarrasser de leurs inhibitions et à céder à l’appel de la luxure. Grâce à son charme, elle convaincrait Luke d’accepter son goût pour la sodomie et Maria de s’essayer au sexe avec des futas. Ensuite, Bobbie et Jessica n’auraient plus qu’à les baiser sans relâche jusqu’à ce qu’ils n’en puissent plus. Le conditionnement de Maria serait brisé et Luke serait enfin en paix avec ses fétiches.

« N’empêche, un si beau gâteau… ce serait dommage de le gâcher. »

Joana ramassa un peu de crème au bout de son doigt et la porta à sa bouche, suçant son doigt avec un certain érotisme. Elle en reprit juste après mais cette fois elle tendit son doigt vers sa femme pour qu’elle le lèche à son tour.

« J’ai bien envie d’attaquer ce gâteau avant d’aller rejoindre nos invités. »

La ménagère coupa une part du gâteau et la posa sur sa poitrine, la bombant vers l’avant pour éviter que le gâteau ne tombe et s’approcha un peu plus de sa femme.

« Vas-y… sers-toi. »

Une soirée très riche allait s’annoncer avec ce quatuor. Bobbie avait hâte de retourner baiser Maria, mais aussi Luke. Le mâle était prêt à devenir un esclave, et elle savait aussi que cette perspective séduirait Joana, celle de briser sa virilité toxique, sa masculinité mal placée. Bobbie connaissait suffisamment sa femme pour savoir qu’elle avait hâte de ce moment, celui de le briser. Bobbie devait bien admettre que cela l’excitait aussi, mais, pour l’heure, une autre chose allait également l’exciter. Pendant que Luke et Maria s’éloignaient, Joana se rapprocha du gâteau, et trempa un doigt dedans. Bobbie l’observa alors, et ses lèvres se décollèrent lentement l’une de l’autre. Elle vit Joana répandre la crème entre ses seins, tout en indiquant à sa femme combien il serait dommage de gaspiller ce gâteau. Bobbie sourit doucement en se rapprochant d’elle, sa verge gonflant son pantalon.

« Je ne te le fais pas dire… Surtout que ce gâteau contient un petit ingrédient aphrodisiaque… »

Bobbie se rapprocha, et Joana se pencha lentement. Elle lécha ses seins, avalant la crème. Ce gâteau rose était très spécial, en effet, et la verge de Bobbie se durcit doucement à ce contact. Elle lécha les seins de Joana, et les embrassa ensuite. Elle écarta pour cela les pans de sa robe de soirée, et pinça le téton entre ses dents, le mordillant avec amour. Joana soupira lentement, ses jambes se frottant contre le bassin de Bobbie. Le pantalon noir moulant de Bobbie commençait à se déformer sous cette épaisse verge qui heurta les cuisses de Joana.

« Tu sais que je me retiens depuis une heure de te baiser, petite gourgandine ? Pendant que tu m’aguiches avec tes formes ? Tu crois que c’est facile pour moi de ne pas songer à la manière dont ma verge va te défoncer ton petit cul de traînée ? »

La Futanari attrapa un morceau de gâteau avec une fourchette, et le planta dans la bouche de Joana, puis l’embrassa dans la foulée, partageant avec elle cette bouchée en poussant en avant. La table grinça, et Joana se retrouva étalée sur la table, Bobbie sur elle. La femme peinait à conserver son calme, enfonçant sa langue dans la bouche de sa partenaire, jouant sensuellement avec elle. Bobbie se redressa ensuite.

« Nous avons encore un peu de temps pour que je te corrige, petite traînée… »

Un délicieux quickie sur la table. Bobbie se retourna, et retourna Joana, la couchant sur la table, et releva sa robe, puis ouvrit son pantalon, libérant sa verge, qui ne tarda pas à taper sur les fesses de Joana… Puis, dans un grognement, elle s’enfonça entre ses lèvres intimes, se glissant dans un soupir dans sa chatte trempée…

« Putain, ce que tu es bonne… Ma délicieuse salope ! »

Joana se réjouissait d’avance de la nuit qu’elle était sur le point de passer. Bien sûr il y aurait Bobbie, mais aussi Jessica, et surtout le couple Valentios. Maria avait plié devant l’autorité de Bobbie et Joana était sur la bonne voie avec Luke. D’ailleurs peut-être qu’elle se ferait un petit plaisir avec lui avant de le laisser entre les mains expertes des futas. Mais avant d’attaquer le vif de la soirée elle voulait commencer par une petite douceur en partageant avec sa femme le gâteau qu’elles avaient préparé. Elle n'était pas au courant pour l’ingrédient aphrodisiaque mais ça ne pouvait que rendre les choses plus excitantes.

Joana soupira d’extase en sentant la langue de Bobbie sur ses seins et frémit quand elle écarta les pans de sa robe pour venir pincer ses tétons entre ses dents. Elle pouvait déjà sentir la verge de sa femme contre sa cuisse, en train de se dresser dans son pantalon moulant. Et son langage laissait bien voir qu’elle était très excitée.

« Alors ne te retiens plus. Prends-moi. Maintenant. »

La Futanari attrapa un morceau de gâteau avec une fourchette, et le planta dans la bouche de Joana, puis l’embrassa dans la foulée, partageant avec elle cette bouchée en poussant en avant. La table grinça, et Joana se retrouva étalée sur la table, Bobbie sur elle. La température venait de monter d’un seul coup et la ménagère savait qu’elle allait avoir droit à un quickie sur la table. Après avoir été retournée sur le ventre, elle sentit sa femme relever sa robe et entendit le bruit de son pantalon qui s’ouvrait pour libérer sa verge qui vint taper contre ses fesses. Pas besoin de préliminaires, elle était déjà bien mouillée et se reçut cette grosse queue dans la chatte directement.

« Aaahhh! Oui, corrige-moi ! Montre-moi comment tu disciplines les salopes comme moi. »

Installée sur la table et baisée comme une truie, Joana était aux anges. Elle savait qu’elle devait garder ses forces pour la soirée et ne pas faire trop de bruit pour ne pas alerter ses filles, mais à cet instant elle ne pensait qu’au plaisir qu’elle prenait à se faire sauter par sa femme. C’était le délicieux avant-goût d’une nuit de débauche qui, comparé à ce qu’elles avaient prévu pour leurs invités, était assez innocent en fin de compte.

Ballottée d’avant en arrière par les coups de reins de Bobbie, Joana avait les yeux rivés sur le gâteau laissé juste devant elle. Cédant à différents appétits elle profita qu’un coup de rein l’envoie vers l’avant pour approcher son visage dans la pâtisserie et en prendre une bouchée. En l’avalant elle sentit sa chaleur intérieure gagner en intensité, tout comme son plaisir, alors elle répéta l’opération. Encore. Et encore. Et encore… jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus atteindre le gâteau. Mais à ce moment-là son corps était déjà en feu et elle avait de la crème partout autour de la bouche.

« Aaahhh! OOOUUUIII !!! »

Bobbie la fit jouir trois fois avant que Joana ne la sente se décharger en elle, remplissant son intérieur avec sa propre crème. Leur quickie avait duré dix minutes, de quoi se faire plaisir sans trop faire attendre leurs invités. La ménagère se redressa pour faire de nouveau face à sa femme.

« Tu veux bien me nettoyer le visage ? Je ne voudrais pas paraître négligée devant nos invités. »

Avec les Eberhart, la notion de « quickie » était généralement très relative. Il s’agissait juste pour elles de baiser rapidement, mais, comme Joana et Bobbie étaient très endurantes, tout cela ne se déroulait pas très vite ! De fait, Joana ne tarda pas à la pénétrer, et gémit doucement. Oh ! Quel pied ! Joana grognait sur place, n’aimant finalement rien de plus que de coucher avec sa femme, de la baiser promptement. Elles avaient beau multiplier ensemble les amantes et les amants, elles finissaient toujours par se retrouver. Des chattes, Bobbie en avait prises beaucoup, et elle continuerait encore à en remplir beaucoup, mais aucune n’était meilleure que celle de sa femme ! Elle voyait Joana se tortiller sur la table, remuant d’avant en arrière, son corps magnifique se tortillant sur place. La table se mettait petit à petit à grincer, ses pieds se soulevant et s’abaissant.

« Hmmm… Putain, ce que t’es bonne ! »

Bobbie soupirait longuement, et Joana déplaça sa tête, s’attaquant au gâteau. Elle croqua dedans, et Bobbie sourit, amusée de cette affamée. L’appétit de Joana était sans limite, comme à chaque fois ! Amusée plus qu’autre chose, Bobbie leva sa main, et gifla son délicieux postérieur, faisant claquer sa main sur son adorable cul. Han, comme elle l’aimait ! Un amour sans limite, absolu et inconditionnel ! Manger le gâteau n’apporterait en soi pas grand-chose, puisque la libido du couple était déjà bien éveillée ! Bobbie s’efforçait toutefois de ne pas aplatir le visage de Joana dessus, car il fallait encore partager le gâteau avec leurs invités !

« Pe… Petite gourmande…  Laisse-en pour nos invités, hmmm… ! »

Bobbie soupira encore, multipliant les coups de reins, sentant la chatte de sa femme s’humidifier et se contracter autour de son épaisse queue. Elle jouissait avec force, et c’était incroyable, une sensation des plus plaisantes. Sentir cette mouille abonder sur sa verge…  C’était magnifique ! Bobbie sourit encore, et finit par jouir. Ses muscles se crispèrent, et sa main empoigna les cheveux de sa partenaire, les relevant. Elle tira sur sa tête, et se relâcha ensuite en elle.

Une puissante éjaculation se déversa dans le corps de sa partenaire. Dans un râle de plaisir, Bobbie plongea dans le corps de Joana, crachant sa semence en elle.

« Haaan… ! »

Bobbie reprit lentement ses esprits, et se recula. Elle s’assit sur une chaise, tandis que Joana gisait sur la table. Bobbie soupira lentement, et remit rapidement la culotte de Joana sur son bassin.

« Remets-toi, ma belle, nos invités doivent encore goûter à ce cadeau… »

Avec les traces de sueur et leurs joues rougies, il était difficile de ne pas voir ce qui venait de se passer, sans parler du bruit de leur coït sauvage. De quoi achever définitivement leurs invités…

Joana s’était faite plaisir avec le gâteau mais elle en avait quand même laissé assez pour leurs invités. Après s’être rapidement rhabillée avec l’aide de Bobbie, elle coupa deux parts de ce gâteau et les déposa dans une petite assiette qu’elle prit avec elle.

« Je vais leur apporter. S’ils ne sont pas déjà en train de s’envoyer en l’air, ça devrait finir de les convaincre. »

Joana laissa Bobbie s’occuper du nettoyage et alla rejoindre le couple Valentios. Au passage elle vérifia que ses filles étaient toujours endormies, il faut dire qu’elles avaient fait beaucoup de bruit en s’envoyant en l’air. Heureusement ses petits anges dormaient toujours à poings fermés, ou du moins elles en avaient l’air. Impossible de dire si elles faisaient semblant sans risquer de les réveiller, Joana les laissa donc dormir et alla retrouver ses invités. Elle s’attendait à les trouver dans une chambre ou dans un coin discret pour qu’ils puissent soulager leur envie d’intimité, mais ils n’y étaient pas.

Ils nous ont sûrement entendus, ils ne doivent pas être bien loin.

Finalement, quand elle passa à côté de la porte des toilettes elle entendit des bruits de gémissements étouffés mais néanmoins bien présents. Apparemment le couple Valentios n’avait pas pu attendre plus longtemps pour se faire plaisir. La ménagère, heureuse de cette évolution de la situation, attendit que les couinements s’atténuent un peu, indiquant qu’au moins l’un des deux avait joui, et elle frappa à la porte. Ses invités devaient sûrement paniquer derrière la porte mais elle savait qu’ils ne feraient rien de peur d’être démasqués. Il devait leur rester encore un peu de pudeur.

« Ne vous dérangez pas pour moi. Je viens juste vous apporter une part de gâteau à chacun. Je vous conseille vraiment d’y goûter, c’est une merveille pour… l’intimité. »

Joana redescendit au salon, toute contente de voir que la soirée s’annonçait des plus festives. Elle pensait seulement réussir à faire sombrer Maria ce soir, mais Luke aussi était sur la bonne voie. S’ils acceptaient de goûter au dessert ils ne pourraient plus résister à l’envie de coucher avec les Eberhart. Elle rejoignit vite Bobbie et l’embrassa pour partager la bonne nouvelle avec elle.

« J’espère que Jessica va vite revenir… sinon on va devoir commencer la fête sans elle. »

Tandis que Joana allait voir où en étaient les Valentios, Bobbie, elle, rangea donc un peu la table. Elle mit tout dans le lave-vaisselles de la cuisine, et envoya préalablement un SMS à Jessica, lui annonçant que les Valentios étaient prêts :

Tu veux que je vienne quand, ma belle ?

D’ici une demi-heure, le temps qu’on les prépare bien comme il faut.

Ok, ça me laisse le temps d’enfiler ma tenue, à tout à l’heure, ma belle <3

Bobbie sourit doucement, puis referma le lave-vaisselles. Elle attrapa ensuite une pelle avec balayette, et nettoya la table, jetant tous les détritus et déchets dans la poubelle de la cuisine. Chez les Eberhart, il n’y avait personne de dédié au nettoyage ou à la vaisselle, chacune le faisait à tour de rôle. Bobbie se retourna ensuite quand  Jessica descendit les marches, un sourire ravi. Elles s’enlacèrent et s’embrassèrent ensuite, Bobbie venant lui dire ce que leurs invités faisaient. Sa chère et tendre moitié lui expliqua que Maria était en train de sucer Luke dans les toilettes, et qu’elle leur avait laissé une part de gâteau. Bobbie sourit, et Joana put alors sentir l’érection de sa femme revenir.

« Il serait temps que j’enfile une tenue plus confortable, moi aussi… »

Joana souhaitait néanmoins savoir si Jessica venait, et Bobbie lui présenta son téléphone portable.

« Oui, elle va elle aussi enfiler une tenue spéciale pour ce soir. »

Bobbie embrassa à nouveau Joana, puis fila à son tour. Elle ne monta pas à l’étage, mais alla dans une pièce plus privée, celle où les enfants ne risquaient pas d’aller : leur donjon sexuel. Bobbie descendit à la cave, et ouvrit la porte fermée qui y menait. Il y avait là un sympathique lit, et tout ce qu’on pouvait imaginer dans ce genre d’endroits : des sex toys en pagaille, des instruments de torture à des fins sexuelles, et des placards remplis de vêtements. Bobbie s’empressa de se changer, et opta pour l’une de ses tenues de dominatrice : un harnais moulant et rembourré en latex avec de longues bottes en latex se terminant par des talons Elle avait aussi des combinaisons intégrales, mais, pour ce soir, il lui semblait préférable d’opter pour ça

Lorsqu’elle remonta, elle constata que Luke et Maria étaient redescendus, et que Luke semblait vouloir partir.

« Je… Je suis désolé, nous ne voulions pas vous déranger… Rhabille-toi, Maria ! »

Maria portait son corset noir avec ses longues mitaines, et, nerveuse, se dirigea vers la penderie pour attraper son manteau… Quand Triss émergea derrière Luke. L’homme se retourna, et sursauta en la voyant.

« Madame Eberhart, mais que… »

La cravache fusa, et frappa l’homme sur le front, le faisant tomber au sol. Bobbie posa alors son pied sur sa verge. Il avait maladroitement remis son pantalon, qui glissa sur ses cuisses.

« Argh !! »

Elle le fouetta alors sur le visage, tapant sur le nez.

« Il suffit, Luke ! Je sais que tu en as envie !
-  Mais qu’est-ce qui vous prend ? »

Ils avaient avalé le gâteau, mais il n’était pas simple d’admettre ses vrais sentiments. Ceci étant dit, Bobbie sentit la verge de Luke grossir, et Maria tremblait nerveusement en observant la scène. Elle avait remis son manteau, mais ne semblait plus pressée de partir.

« Joana, ma chérie ? Va donc retirer son manteau à notre invitée… Puis je te laisserai décider laquelle d’entre nous sodomisera Luke en premier… »

Une idée qui fit durcir encore la verge de Monsieur Valentios…

Bobbie confirma à Joana que Jessica était sur le chemin et qu’elle allait bientôt arriver, avec apparemment une tenue très spéciale pour ce soir. Joana s’en réjouit et laissa sa femme descendre dans leur donjon sexuel pour se changer, tandis que de son côté elle passa une dernière fois dans la maison pour s’assurer que tout était bien rangé et propre. Même si le couple avait refusé le mode de vie stepfordien, Joana était la première à reconnaître qu’elle était beaucoup plus attentive à l’entretien de sa maison et à la réalisation des tâches ménagères depuis leur déménagement. Il n’y avait personne de dédié au nettoyage ou à la vaisselle, chacune le faisait à tour de rôle, et Bobbie semblait déjà avoir bien travaillé. Joana se contenta de passer un dernier coup de chiffon sur les meubles de la cuisine avant de rejoindre sa femme, qui avait enfilé un élégant harnais de latex pour bien montrer quelle allait être son attitude pour cette soirée.

« Tu es superbe ma chérie. »

Le couple Valentios finit par descendre et tenta de partir en catastrophe, mais Bobbie leur coupa la route et envoya Luke au sol d’un coup de cravache avant de poser son pied sur sa verge. Ce comportement autoritaire ne semblait pas déplaire à Luke ni à Maria, qui ne semblait plus aussi pressée de partir. Bobbie demanda à Joana de débarrasser leur invitée de son manteau puis de décider qui serait la première à sodomiser Luke.

« A toi l’honneur mon amour. Moi je vais m’occuper de Maria. »

La ménagère débarrassa son invitée de son manteau, cette dernière se laissant sagement faire tandis qu’elle regardait la futa dominer son mari avec un regard mêlé de gêne et de fascination. Voyant bien son état, Joana commença à jouer dessus.

« Ca doit te faire bizarre, hein ? Voir ton mari, ton homme fort, puissant et dominateur, se retrouver à la botte de ma femme. Eh bien crois-moi, c’est loin d’être fini. »

Les mains de la femme glissèrent sur le corps à moitié dévêtu de son invitée, la caressant dans ses zones les plus sensibles pour continuer de l’exciter tout en s’assurant qu’elle regardait toujours vers son mari en train d’être soumis par sa femme.

« Mon amour, on devrait peut-être passer dans la chambre pour que ce soit plus confortable. A moins que tu ne préfères descendre tout de suite. »

Ce qui sous-entendait, bien sûr, de se rendre dans leur donjon.

« Madame Eberhart, arrêtez ça !! »

Bobbie sourit doucement. Elle n’était guère surprise de l’hostilité de Luke. C’était une hostilité tournée contre lui-même, contre ses véritables pulsions et ses désirs les plus sincères. Fort heureusement, Bobbie était là pour lui ouvrir les yeux, et pour qu’il admette la réalité de ce qu’il était vraiment. Joana se rapprocha de Maria, qui tremblait nerveusement, partagée entre l’envie de protéger son mari, et celle, plus forte, de le laisser admettre ce qu’il était vraiment. Joana se glissa dans le dos de Maria, et joua avec son corps, palpant ses formes onctueuses.

« Haaa… »

Bobbie écouta Joana lui demander où aller : dans la chambre, ou en bas. Bobbie sourit, et conserva son pied sur la verge durcie de Luke, qui essayait mollement de la repousser.

« Allons directement en bas, nous avons un mari récalcitrant à punir.
-  Madame Eberhart…
-  Maîtresse, petit chien rebelle ! C’est ‘‘Maîtresse’’, désormais ! »

Elle ponctua cela en écrasant plus fortement la verge de l’homme, qui couina faiblement, en regardant sa femme. Les doigts de Joana s’activaient dans la culotte de Maria, et Bobbie se racla la gorge :

« MARIA ! »

L’intéressée sursauta.

« Tu vas l’amener. Joana, donne-lui un collier et une laisse, je veux qu’elle le mette autour du cou de son mari… »

Maria se mordilla les lèvres, tremblant sur place, mais, quand Joana ramena les objets, elle s’exécuta. S’agenouillant près de Luke, elle se pinça les lèvres. Si Luke continuait à soupirer, ses yeux n’exprimaient pas que du dégoût. Maria lui met donc le collier.

« Chérie…
-  Tu as manqué de respect à notre Maîtresse, Luke, c’est normal qu’elle te punisse comme tu le mérites.
-  Mais… Enfin, non… ! »

Bobbie sourit à l’intéressée, et caressa sa joue avec sa main, puis elle s’écarta.

« Marche à quatre pattes, petit rebelle ! »

Luke déglutit, et Bobbie fit signe à Joana de les guider à la cave, là où elles avaient aménagé l’une des dépendances de la cave pour en faire leur donjon sexuel. Bobbie suivit, de son côté, tout en récupérant une cravache, et donna des coups sur le cul de Luke, salivant d’emblée à l’idée de sodomiser cet homme, d’en faire son petit-chien, puis de laisser les talents de Joana s’exercer pour faire de lui un beau petit soumis…

Luke faisait encore de la résistance même si elle était désormais clair que les Eberhart avaient gagné leur pari. Bobbie décida qu’il était temps d’emmener le mari récalcitrant au donjon et ordonna à Maria de lui passer une laisse et un collier autour du cou.

« Je vais les chercher. »

Joana trépignait déjà d’impatience dans l’expectative de tout ce qu’elles allaient faire à Luke et à Maria, mais surtout à Luke. Briser un homme fier pour en faire un bon petit soumis, c’était un tel délice… Elle rapporta une laisse et un collier du donjon, ainsi qu’une cravache pour sa femme.

« Pour que tu puisses t’amuser aussi. »

Maria obéit sans discuter à Bobbie, expliquant à son mari qu’il devait être puni pour avoir manqué de respect à leur maîtresse. Il protesta mais les suivit quand même quand elles descendirent les escaliers de la cave, se faisant fesser en chemin par la cravache de Bobbie. Joana, elle, avançait en guidant Maria.

« Tu as de la chance Maria. D’habitude on attend au moins le deuxième rendez-vous pour amener des invités dans notre cave. Mais le comportement de ton mari ne peut pas être toléré, il doit apprendre le respect. Si tu veux… tu pourras même participer à son dressage. »

Avec tout ce qu’elles avaient prévu pour leur soirée elles pouvaient imaginer tous les plaisirs.

Le couple Valentios découvrit pour la première fois le donjon sexuel des Eberhart, une pièce éclairée par des lumières tamisées et remplies d’objets destinés au sexe. Croix de Saint-André, chevalets, chevaux de bois, cravaches, fouets, martinets, toutes sortes de godes… le parfait attirail des pratiques SM. Il y avait même une évacuation au sol pour permettre de nettoyer facilement la pièce de ses fluides au tuyau d’arrosage après une session.

« Ma chérie, pendant que tu installes Luke pour sa punition je vais m’amuser un peu avec Maria. Suis-moi beauté. »

En plus de tous ses instruments de plaisir SM le donjon contenait aussi des choses plus ordinaires, comme un fauteuil sur lequel Joana alla s’asseoir après avoir enlevé sa robe. Elle avait également récupéré un gode-ceinture qu’elle enfila. Entièrement nue, les jambes écartées et sa fausse verge érigée vers le ciel, elle fit signe à Maria d’approcher tout en lui montrant son sexe tendu.

« Déshabille-toi ma belle… et viens t’asseoir. »

La ménagère regarda avec délice son amie se débarrasser de ses vêtements, dévoilant sa peau d’ébène et ses courbes voluptueuses. Après ça elle vint s’asseoir dans le creux laissé par les jambes écartées de Joana, enfonçant le sextoy dans son inimité ruisselante. Joana attrapa sa poitrine entre ses mains et commença à la faire danser sur son chibre.

« Regarde bien ton mari, Maria. Regarde-le être dressée par ma femme et devenir peu à peu ce qu’il aurait toujours dû être : un soumis. Et ressens le plaisir que ce spectacle te procure. »

Leur donjon était un véritable nid d’amour. Pas de fenêtres, bien sûr. Des lumières tamisées s’illuminèrent quand elles ouvrirent la porte, et la verge de Luke se durcit en voyant l’aménagement interne. Il vit un lit vibrant en forme de cœur, mais surtout divers instruments variés. Plusieurs penderies abritaient des godes, des fouets, des cravaches, et une multitude de combinaisons et de costumes. Quand Joana récupéra un strap-on, Luke put ainsi voir un exemple de tout ce qu’il y avait. Les Eberhart étaient clairement des perverses, et il ne savait plus quoi dire. Sa gorge s’asséchait, tandis qu’il comprenait que sa femme avait dû le trahir. Plusieurs chaises ici comprenaient des sangles pour les chevilles et les poignets, avec des godes intégrés sur le siège, qui remontaient tant dans les fesses qu’entre les cuisses. Mais Joana choisit une chaise normale, où elle s’installa tranquillement. Toute nue, elle était somptueuse, avec le strap-on niché entre ses cuisses qui se redressait joyeusement. Maria frémit doucement en l’observant, puis la rejoignit.

« Tu es sûre qu’il ne risque rien ? C’est quand même mon mari… »

Comme pour répondre à sa légitime inquiétude, la main de Bobbie frappa les fesses du mari, qui frémit en étant à quatre pattes, au milieu de la pièce.

« Regarde ta femme pendant que je vais t’enculer, mon petit chien… »

Elle frotta sa verge contre les fesses de Luke, qui soupira doucement en tremblant nerveusement. Devant eux, Maria venait de s’empaler sur la verge artificielle de Joana, et celle-ci la maintenait contre elle, n’hésitant pas à s’appuyer sur la généreuse poitrine de l’Afro-Américaine. Elle observait le duo en tremblant, et Luke soupira encore en sentant l’épaisseur de la verge de Bobbie contre ses fesses.

« Tu sens comme elle est plus grosse que la tienne, Luke ? Au fond, les hommes ont beau le nier, votre organisme a été pensé pour vous faire prendre par là…
-  Je… Allez-y doucement… »

La cravache frappa le cul de Luke encore une fois.

« Tu es vraiment mal élevé, petit chien ! »

Bobbie banda ses muscles, et enfonça sa verge dans le fondement de Luke. D’une main, elle attrapa ses cheveux, et tira dessus, relevant son visage en grognant, tout en s’enfonçant progressivement en lui. Luke grogna fortement, crispant tous ses muscles en sentant ce puissant membre en lui…

…Ce membre qui lui donnait sur sa verge une érection très impressionnante !

Maria semblait un peu inquiète quant à la sécurité de son mari, et Bobbie ne faisait rien pour la rassurer en fessant Luke et en annonçant clairement son intention de l’enculer. Joana fit de son mieux pour la calmer tout en diluant son doute dans le plaisir en la faisant danser sur son gode-ceinture.

« Il va sans doute avoir un peu mal au début mais ça va aller. On ne veut pas le blesser, juste l’éduquer.
Evite de trop y penser. Concentre-toi sur ton plaisir… et regarde bien comment ta maîtresse fait l’éducation de ton mari. »

Comme Joana l’avait prévu, Luke se crispa quand la verge de Bobbie entra dans son fondement, mais elle savait que ce n’était qu’un mauvais moment à passer. D’abord il allait se plaindre, grogner, résister… puis, quand le plaisir commencerait à monter et que le premier orgasme anal arriverait, son esprit s’ouvrirait peu à peu. Ensuite il s’agirait de le travailler petit à petit, de prendre son temps. Contrairement aux femmes de Stepford dont on pouvait casser le conditionnement avec des séances de sexe intenses et répétées de manière fréquente, ici il s’agissait de changer complètement la personnalité de l’individu. Il fallait lui faire revoir son rapport à la femme, au mariage, à la société… C’allait être un travail de fond, comme avec Carl, mais sans aller aussi loin. Le but n’était pas de soumettre Luke au point de le féminiser, juste de le rendre plus docile afin qu’il soutienne le projet de transformation de Stepford.

« N’essaie pas de résister Luke, tu te feras du mal pour rien. Et toi Maria, ne t’inquiète pas pour ton mari. Bobbie veut le faire jouir, pas le faire souffrir. »

En tout cas au début. Ensuite elle mélangerait souffrance et plaisir pour totalement le dompter.

« Pense plutôt à toi… à ce plaisir naissant que tu ressens… tandis que ton mari reçoit enfin la sodomie qu’il mérite. »

Joana faisait doucement danser Maria sur son gode-ceinture, cherchant à la titiller tandis qu’elle regardait Bobbie dompter Luke. Il fallait que son plaisir lui vienne plus du spectacle que de la simple pénétration.

Pour Luke, les choses sérieuses allaient commencer ! Il s’agitait nerveusement, et Bobbie attrapa d’une main ses cheveux, tirant dessus. L’homme gémit, et grogna quand la verge de Bobbie le pénétra. La puissante hermaphrodite soupira doucement, sentant l’étroitesse du cul de Luke, mais elle constata aussi que ses parois anales tendaient à se dilater facilement. Et, plus elles se dilataient, plus elles stimulaient sa prostate. Une situation très excitante pour les hommes, et elle entendit Luke soupirer. Sa main se déplaça, et elle serra sa verge entre ses doigts, la sentant tendue, solide et bien dure.

« Hmmm… La société a éduqué les hommes en leur faisant croire qu’ils n’étaient faits que pour prendre les femmes, jamais l’inverse… Mais la réalité est bien différente, mon cher Luke, et, vu comment tu bandes, je crois que tu adores ça !
-  Gnnn… A-Allez-y moins fort… »

Sa remarque lui donna en retour une grosse claque. Une fessée qui le fit hurler, et qui permettait aussi de réaliser que, même malgré sa nature de femme, Bobbie avait une force impressionnante, et une force qu’elle n’hésitait pas à déployer ! Elle continuait à le prendre, et s’étala contre lui, ralentissant de fait le rythme, mais au profit de pénétrations plus longues et plus profondes. Elle s’abattait sur lui, le sentant gémir, et lui mordiller le lobe de l’oreille, tirant brièvement dessus. Luke grogna encore. Puis, Bobbie se redressa alors, faisant crisser sa combinaison, et donna un coup de cravache sur le cul de Luke.

« Tu es bien désobéissant, petit esclave ! Qui est ta Maîtresse ? QUI ?! Qui te défonce ton sale petit cul de pervers sodomite ?! »

Luke grogna encore, sa verge solidement dressée. Elle continuait à le prendre, se mettant en bonne position, le corps redressé. De cette manière, ses mouvements étaient beaucoup plus amples. Luke se tortillait sur place, peinant à reprendre sa salive, à retrouver son souffle.

« C’est… C’est… Dé-Désolé, Maî-Maîtresse… Haaa… !!
-  Tu seras une bonne petite pédale pour nous ! Car tel est le rôle des hommes : nous servir ! N’es-tu pas d’accord ?!
-  O-Oui, Maîtresse, ouiii, votre petite pédale, haaaa… »

La verge de Bobbie s’enfonçait désormais jusqu’à la garde. Elle se déplaça ensuite, afin de rapprocher Luke de Maria, impatiente de faire jouir cet homme sur le corps de sa femme…

Déconstruire le modèle de société et les idées reçues était la partie la plus compliquée de la rééducation des hommes. Heureusement Bobbie savait exactement comment s’y prendre, elle allait faire prendre son pied à Luke d’une façon à laquelle il n’était pas habitué en tant qu’homme et associer ce plaisir à un sentiment de soumission. Elle n’avait beau ne pas avoir beaucoup pratiqué elle semblait maîtriser son sujet. Et Joana, elle, avait pour tâche de briser le conditionnement de Maria en lui faisant comprendre qu’il était naturel qu’elle soit excitée de voir son mari être soumis, de lui faire accepter qu’elle était la dominante du couple et pas la soumise.

Au bout de quelques minutes Luke commençait déjà à montrer des signes encourageants : il appelait Bobbie « maitresse » et acquiesçait quand elle l’appelait « sa petite pédale ». La futa approcha son soumis de sa femme pour qu’elle puisse mieux voir le spectacle et Joana en profita également.

« Regarde bien Maria… regarde ton mari prendre son pied tandis que votre maîtresse le sodomise. Tu vois comment il prend son pied en se faisant sodomiser ? Je suis sûre que tu es ravie. »

Et le couple Eberhart l’était aussi. Joana se réjouissait de voir sa femme prendre son pied, Luke s’enfoncer peu à peu dans la soumission et Maria s’ouvrir à de nouveaux plaisirs. Elle faisait danser énergiquement son invitée sur son sextoy, la tenant fermement par les hanches pour imposer le rythme, tout en faisant des clins d’œil à sa femme et en se léchant sensuellement les lèvres avec sa langue ou en mimant une fellation. Il fallait s’assurer que le mari avait la queue la plus dure possible dans son cul.

Plus Luke se faisait enculer plus il acceptait son sort et y prenait du plaisir. Bobbie se donna à fond jusqu’à ce que l’homme atteigne l’orgasme et ne vienne éclabousser les cuisses de sa femme avec son sperme. Ce premier orgasme de la soirée était important, il renforçait non seulement le désir de Luke de devenir le soumis du couple Eberhart mais il entamait aussi la destruction du conditionnement de Maria. Comment continuer de croire à la propagande du mode de vie stepfordien quand tu voyais ton mari prendre autant de plaisir avec quelque chose que cette même propagande te présentait comme indigne ?

« Aaahhh… laisse ton plaisir s’exprimer Maria. Oublie ce que tu crois connaître… dis-nous ce que tu veux vraiment. »

Elle le sodomisait. Oh, quel pied ! Bobbie aimait les sodomies, bien sûr, mais sodomiser un homme rajoutait un petit quelque chose d’exquis, un piquant supplémentaire. Tremblant joyeusement, Bobbie prenait l’homme avec force, encore et encore, sa verge continuant à s’enfoncer. Luke soupirait et gémissait, s’effondrant petit à petit, se soumettant à l’impériale verge de sa Maîtresse. Devant elle, Joana la provoquait, mimant une fellation, ce qui ne pouvait qu’exciter Bobbie. Elle frémit sur place, ralentissant brièvement le rythme, avant de le reprendre. Sa main se saisit des cheveux de Luke, et elle releva son buste, afin qu’il voie sa femme, elle aussi prise en levrette par Joana.

« Regarde comme ta femme est heureuse de se faire baiser ! Est-ce que tu es capable de la prendre comme ça ? L’as-tu déjà vu aussi heureuse quand toi, tu la prends, petit-chien ?! Réponds ! »

Luke soupira encore, serrant les lèvres. Voir sa femme aussi heureuse… Certes, ils faisaient l’amour, mais il n’avait jamais vu ce regard dans ses yeux, cette lueur de désir et de folie sexuelle qui s’emparait d’elle. Un véritable délire sexuel qui était le corollaire du plaisir intense qu’elle était en train de recevoir. Joana continuait à la prendre, provoquant une série de claquements humides. Maria mouillait joyeusement, et Luke soupira encore, sentant la main de sa Maîtresse glisser sur sa verge. Elle le masturba encore, et sentit vite qu’il allait jouir rapidement, tant sa queue était tendue, gonflée, prête à exploser. Elle sourit donc en se penchant sur lui, et commença à mordiller son lobe de l’oreille, tirant dessus.

« Tu m’appartiens, petit soumis… Tu seras un homme déconstruit, une parfaite petite lopette aux services de ta femme… Elle te prendra par le cul, et tu nous regarderas la baiser !
-  Haaaa n-non… »

Elle releva son bras, et l’enroula autour de son cou. Elle lui fit ainsi une clef de bras, l’étranglant à moitié. Il se tortillait sur place, pliant parfois en avant, jusqu’à finir par jouir. Un puissant orgasme qui salit son ventre, mais aussi le corps de Maria. Bobbie s’abandonna en lui, jouissant avec force dans son cul en grognant. Elle l’étouffa presque, et, quand la femme se retira, Luke s’affala sur le sol, en sueur. Joana demanda alors à Maria ce que celle-ci voulait vraiment. Elle soupira encore, et répondit rapidement, en se tortillant sur place, la respiration lourde :

« Je… Je veux vous servir, mes Maîtresses… Et honorer mon mari… Je veux le prendre comme Maîtresse Bobbie le fait ! »

Maria était en train de basculer, tout comme Luke, qui gisait sur le sol. Bobbie le retourna avec le pied, couchant Luke sur le dos. Elle posa son pied sur son sexe trempé, un sourire malicieux sur les lèvres.

« Tu as bien joui, petit cochon… Nous allons devoir remédier à ça à l’avenir. Tu porteras une cage de chasteté dont Maria aura la clef. »

Luke déglutit avant de regarder sa femme, sans toutefois contester.

« Est-ce que… Est-ce que vous me prendrez encore comme ça, Maîtresse ? »

Bobbie sourit plus franchement.

« Tu es un bon petit chien… Nous te prendrons tous, et nous ferons de toi un parfait petit soumis, n’est-ce pas, ma chérie ? »

Luke se faisait lentement déconstruire sous les yeux de Maria, de quoi aider à la déconstruire elle-même. On lui avait appris que son mari était le centre de son univers, un homme fort et dominateur qui avait le droit de tout décider pour elle par le seul fait qu’il était un homme… et maintenant elle voyait que son homme n’était pas si grand et puissant que ça. Non seulement Bobbie le baisait avec délice mais en plus il montrait clairement qu’il aimait ça. Finalement, quand l’homme jouit et éclaboussa le ventre de sa femme, cette dernière avoua enfin ce qu’elle désirait vraiment : servir ses nouvelles maîtresses et honorer son mari comme la futa venait de le faire.

« Et tu le feras Maria… tu honoreras ton mari et tes maîtresses, et tu prendras beaucoup de plaisir à le faire. Désormais c’est à toi d’être pleinement satisfaite. »

Bobbie annonça à Luke qu’il allait désormais porter une cage de chasteté dont sa femme aurait la clé. Elle et sa femme comptaient bien faire de lui un parfait soumis.

« Oui ma chérie, nous ferons de ce vilain garçon un gentil petit chien. Mais ce chien aura besoin d’une maîtresse à la maison, il faut aussi qu’on pense à la former. »

Et pour commencer tout de suite Joana fit descendre Maria de ses genoux pour pouvoir retirer son gode-ceinture et le lui tendre.

« Et on passe tout de suite à la première leçon : une bonne maîtresse doit savoir comment sodomiser son chien. On ne va pas tout de suite te faire commencer avec lui, tu vas t’entrainer avec moi. »

Maria avait avoué avoir déjà sodomisé Luke mais Joana trouvait que c’était plus sûre que de tout de suite la lâcher sur son mari. En comparaison elle avait bien plus d’expérience que son invitée en sodomie, que ce soit pour la donner ou pour la recevoir, elle savait donc parfaitement comment l’orienter pour qu’elle se perfectionne dans le domaine.

« On va voir ce que tu sais faire… viens par ici et encule-moi comme si j’étais ton mari. »

Installée à quatre pattes et remuant son petit cul devant les yeux de Maria, Joana attendait impatiemment de voir ce qu’elle était capable de faire avec un gode-ceinture.

Le fantasme patriarcal des penseurs de la Fondation Viritas était lentement en train de leur échapper. Un ver planté dans leur fruit parfait, et qui retournait petit à petit la situation. Bobbie s’amusait, et elle sodomisait avec force son nouveau soumis, ce qui ne manqua pas d’émoustiller Joana. La tentation fut finalement trop forte pour elle, qui ortdonna à Maria de la sodomiser comme elle le ferait avec Luke. Ils seraient toujours mariés, bien sûr, mais plus uniquement.

« Votre mariage ne sera plus qu’une couverture de façade, hmmm… Tu obéiras à ta femme, Luke, elle sera ta Maîtresse comme je le suis !
-  O-Ouuuii… »

Il avait perdu tout faux-semblant, toute retenue, se libérant en admettant son rôle de soumis. Bobbie le gifla donc encore, s’enfonçant désormais en lui jusqu’à la garde. De l’autre côté, Maria commençait à être très excitée, elle aussi. Quand Joana se mit à quatre pattes devant elle, elle se déplaça dans son dos.

« Toi et ta femme, vous êtes vraiment de sacrées salopes… »

Maria ne risquait pas de la prendre aussi bien que Bobbie le ferait, mais elle allait faire de son mieux ! Elle fantasmait déjà à l’idée de devenir, elle aussi, hermaphrodite. Cela semblait possible, puisque Jessica l’avait été, et maintenant Bobbie. Elle fantasmait déjà à l’idée d’enculer Luke comme elle le faisait en ce moment ! Elle orienta son strap-on, et l’enfonça dans son fondement. Les parois anales de Joana se dilatèrent finalement bien plus rapidement que celles de Luke, signe que le fondement de Joana devait très souvent être ramoné par sa femme. Et pour cause, il ne se passait pas une seule journée sans que Bobbie ne lui fasse passionnément l’amour ! En s’enfonçant en elle, Maria soupira, sentant le vibromasseur vibrer, ainsi que celui niché dans sa chatte et celui dans son cul. Elle grognait donc, gémissant fortement en besognant Joana. Elle avait un corps parfait, magnifiquement proportionné ! Maria était endurante, certes, mais Joana l’était plus qu’elle.

Les minutes défilèrent, jusqu’à ce que les Valentios ne se mettent à jouir. Bobbie tirait alors sur la laisse de Luke, l’étranglant à chaque fois, et elle grogna en jouissant avec force dans son cul. Bobbie s’y abandonna avec passion, et, quand elle relâcha la bride, Luke s’affala sur le sol, épuisé. Maria gémit à son tour, peu habituée à un tel rythme.

« Ma pauvre Joana, je suis sûre que notre chère Maria n’a pas réussi à te satisfaire… Elle et son mari sont motivés, mais il va désormais falloir les habituer à se faire proprement baiser.
-  C’est une tâche à laquelle je pense contribuer… »

Une voix sensuelle venait d’émaner d’un coin, une voix que les Eberhart connaissaient bien… Jessica était arrivée. Elle avait eu le temps de se déshabiller intégralement, portant uniquement sur elle des bijoux dorés qui formaient une armature en or autour de ses avant-bras et de ses jambes, le tout se parachevant par un diadème. Une Joana affamée se trouvait en compagnie de deux Futanaris qui s’avancèrent vers elle, lui faisant face. Bobbie embrassa alors Jessica avec passion.

« Alors… Ma femme est dans un tel état d’excitation que je crois avoir bien besoin d’une aide pour la baiser proprement… Pas toi, chérie ? »

Le couple Eberhart avait bien travaillé à exciter le couple Valentios car Maria n’hésita même pas une seconde avant d’enfiler le strap-on et de se mettre dans le dos de son hôte pour la sodomiser.

« Hhhmmm... un bon début. Maintenant voyons... si tu peux continuer comme ça. »

Quand les vibromasseurs s’enclenchèrent le plaisir se lança vraiment tandis que Maria commençait à pilonner le fondement de Joana. Certes ce ne serait jamais au niveau de Bobbie mais la ménagère reconnut quand même que son invitée avant du potentiel. Elle donnait des coups de reins énergiques et s’enfonçait profondément en elle, elle tenait un bon rythme et n’avait pas à rougir de son endurance... Avec un entraînement adéquat elle ferait une bonne maîtresse pour son mari. Mais si elle était endurante, Joana l’était plus.

Les minutes défilèrent, jusqu’à ce que les Valentios ne se mettent à jouir. Evidemment les Eberhart n’avaient pas eu leur compte, même si Bobbie eut quand même un orgasme qui remplit le fondement de Luke, mais Joana avait juste eu droit à une mise en bouche, maintenant il lui fallait un plat de résistance. Heureusement ce fut juste à ce moment-là que Jessica arriva dans la cave du joyeux couple portant uniquement sur elle des bijoux dorés qui formaient une armature en or autour de ses avant-bras et de ses jambes, le tout se parachevant par un diadème. Une Joana affamée se trouvait désormais en compagnie de deux futanaris qui s’avancèrent vers elle, lui faisant face.

« Oui... venez les filles... montrons à nos invitées ce qu’est réellement le sexe. »

Entourée par les deux femmes, Joana prit le chibre de chacune en main et les astiqua avec délice, donnant parfois de petits coups de langue sur leur gland histoire de se donner un avant-goût de ce qu’elle va bientôt déguster.

« Bobbie... viens donc finir ce que Maria a commencé. Et Jessica... laisse-moi te sucer bien comme il faut. »

A quatre pattes avec une futa de chaque côté, Joana savait qu’elle allait non seulement prendre un pied monstrueux mais aussi que ce serait un très bon moyen de montrer à leurs invités à quel point ils avaient tort de croire que leur vie sexuelle était épanouie.

Entourée par Jessica et par Bobbie, Joana allait pouvoir enfin se soulager dignement. Face à elles, les Valentios s’étaient regroupés, et s’assirent sur le sol. La cave des Eberhart ne sentait pas trop le renfermé, elle avait été aménagée pour être habitable, et pour se transformer en baisodrome. Luke venait de se faire sodomiser, et il écarquilla les yeux en voyant la taille du membre de Bobbie. Avait-il vraiment reçu tout ça dans le cul ? Il s’en sentait étrangement gêné et excité. À partir de ce soir, plus rien ne serait pareil pour eux deux. Maria souriait doucement, et l’embrassa sur les lèvres. Luke lui répondit, tandis que Joana caressait les deux verges tendues. Jessica souriait, excitée par cette odeur de sexe. Joana observa les deux Futanaris, puis elle se mit à quatre pattes. À trois, il y avait beaucoup de figures à tenter.

Néanmoins, avant de passer aux choses sérieuses, Bobbie eut une dernière idée.

« Une minute… Il faut aussi penser au confort de nos invités. »

Bobbie ouvrit un placard, et en sortit deux chaises spéciales. Elles étaient confortables, mais il y avait surtout sur le dossier un vibromasseur. Un joyeux plug qui se dressait, les chaises ayant des sangles pour les chevilles et les bras. Elle les amena vers le duo, les installant face à elles, puis Maria se releva, et amena Luke à s’asseoir. Il soupira en sentant le plug retourner dans ses fesses, durcissant sa queue, et ce fut la même chose pour Maria, qui gémit doucement, avant que Bobbie ne referme les sangles, puis n’actionne la fonction vibrante des vibromasseurs. Avant de les abandonner, et comme pour mieux les frustrer, elle leur mit à chacun un gag-bal sur les lèvres. Bobbie retourna ensuite vers Joana, qui avait la verge de Jessica glissant sur son visage. Bobbie se rapprocha d’elles, et posa une main sur les fesses de Jessica, l’embrassant tendrement.

« Navrée de vous avoir fait attendre…
-  Au moins, j’arrive pour la meilleure partie… Joana est tellement affamée… Toutes les femmes de Stepford sont des salopes en manque, mais alors toi, ma chérie, tu es vraiment… La plus gourmande que je connaisse ! »

Et, comme pour confirmer cela, Bobbie leva sa main, et gifla les fesses de Joana, lui arrachant un soupir, tandis que Jessica enfonça sa queue dans sa bouche. Les Valentios, eux, avaient été installés sur le côté, et avaient donc une très belle vue sur la scène. La verge de Luke témoignait du plaisir qu’il ressentait, car elle se mit à durcir, tandis que Maria se tortilla, soupirant au son des fessées, gémissant quand la main de Bobbie claquait les fesses de sa femme. De grosses claques qui résonnaient dans la pièce, avant que la verge de Bobbie ne se glisse contre la croupe de Joana, et ne s’enfonce dans son cul étroit.

« Hum… Plus je la baise, plus elle a envie de se faire baiser. Ma femme… Est une vraie nymphomane, haaaa… ! »

Bobbie commença à la pénétrer, et Jessica serra d’une main les cheveux de Joana, sa queue remuant d’avant en arrière, s’enfonçant avec appétit dans sa bouche. Jessica soupira encore, jusqu’à opter pour des gorges profondes, allant jusqu’à taper le menton de Joana avec ses testicules…

Non contente de simplement frustrer ses invités en les faisant regarder, Bobbie décida de leur offrir des sièges appropriés à la situation. Elle sortit deux chaises spéciales avec un plug sur le dossier qui se dressait vers le ciel et des sangles pour les chevilles et les poignets.

« Oohh… tu sors nos meilleures chaises pour nos invités, mon amour. »

Joana fut agréablement étonnée de voir Maria se relever pour installer Luke elle-même sur la chaise, le faisant asseoir sur le plug puis attachant les sangles avant d’aller s’installer sur l’autre chaise avant que sa nouvelle maîtresse ne referme les sangles et ne lance la fonction vibrante des vibromasseurs. Et pour couronner le tout elle leur mit à chacun un gag-bal sur les lèvres, de quoi rendre leur frustration encore plus grande mais aussi de quoi exciter encore plus la ménagère Eberhart.

« Ooohhh… il n’y pas à dire ma chérie, tu sais vraiment comment bien recevoir. »

Joana se retrouvait désormais au centre de l’attention des futas. Bobbie lui mit une grosse gifle sur les fesses tandis que Jessica enfonça sa queue dans sa bouche.

« Hhhmmm… hhhmmm ! »

La ménagère aurait sans doute couiné de joie de se recevoir une aussi grosse fessée si elle n’avait pas ce bon gros chibre veineux dans la bouche mais elle utilisait son excitation à bon escient, en pompant vigoureusement le membre de Jessica pour lui faire au plus vite cracher sa semence. Et bien qu’occupée elle gardait toujours un œil sur ses invités, pour savourer leurs réactions et voir si quelque chose semblait les exciter plus que la normale. Par exemple elle remarqua que Maria gémissait derrière son gag-ball au rythme des fessées que sa femme lui donnait.

Tu aimes les fessées Maria ? Dans ce cas je t’en donnerai une grosse quand j’en aurai fini avec ces dames.

L’idée de battre le joli cul rebondi de cette beauté à la peau d’ébène excitait encore plus Joana, ce qui l’encouragea à pomper encore plus intensément le chibre de Jessica tandis qu’elle commençait à la prendre en gorge profonde tout en lui serrant les cheveux. Elle poussa un couinement étouffé quand Bobbie s’enfonça dans son cul en disant à quel point sa femme était une nymphomane.

Comment pourrais-je faire autrement avec une femme comme toi ? Tu ne penses plus qu’avec ta bite depuis que tu l’as.

Avant leur transformation les Eberhart étaient très terre-à-terre, leur couple était solide mais n’avait presque plus de passion depuis des années. Aujourd’hui c’était tout l’inverse : elles vivaient guidées par leur passion mais leur combat secret contre la Fondation Viritas risquait à tout moment de faire exploser leur famille en mille morceaux.

La demi-heure qui suivit ne fut qu’un étalage de sexe en sueur entre Joana et les futas. Une verge dans la bouche, une autre dans le cul, la ménagère se régalait et s’assurait de se donner un maximum en spectacle pour leur public, du moins avec ce qu’elle pouvait faire. Car il fallait bien l’avouer, elle n’était guère plus qu’une poupée entre les mains de ses amantes qui la défonçaient allègrement. Non pas qu’elle n’aimait pas ça mais ça limitait un peu sa part active. Après plusieurs orgasmes la ménagère demanda une petite pause pour pouvoir se concentrer un peu sur Maria. Elle lui retira son gag-ball pour l’embrasser et déverser dans sa bouche une petite surprise : le sperme du dernier orgasme de Jessica qu’elle avait gardé sur sa langue juste pour elle. Elle s’assura de faire durer le plaisir aussi longtemps que possible avant de relâcher sa proie pour lui faire une proposition.

« Aaahhh… ça te dirait que je te détache… pour te mettre une grosse fessée ? »

C’était ça ou reprendre le gag-ball en bouche et continuer à regarder.