Il y a bien Ed qui transmet son inquiétude à Alma via ses petits doigts entrelacés dans les siens. (c’est fou le temps qu’elle passe sa main dans celle de quelqu’un d’autre dorénavant) Pourtant, Alma est sur un petit nuage. Maman Shayne qui décide de lui rendre visite. Bon, s’il n’y avait que ça, elle se serait méfiée. Et elle s’est méfiée. Particulièrement quand elle a reçu la petite boîte. Et là… même si Alma n’est pas plus matérialiste que ça. Là, LA, c’était spécial. Ces fleurs. Ces pierres. Ce n’est pas simplement rare. C’est au-delà ! Même Giana pourrait réapprendre à piquer une crise de jalousie. Indéniablement, et Alma le ressent via le Vert et le Gris : les cadeaux de Maman Shayne sont exceptionnels car venus d’ailleurs. (un lien avec Ed ?)
« Merci ! Je veux dire… waouh ! C’est… tellement rare. C’est un très beau cadeau. Merci. »
La suite du repas se passe dans l’allégresse. Les petites attentions de son Soleil. Le visage satisfait de la Bête qui apprécie voir son Alpha dans un tel pic de puissance (pas de la puissance. Quelque chose qui tire au fait qu’Alma se sente là où elle doit se trouver. Et de cette confiance nait une puissance). Giana qui semble… plus humaine que machine assise autour de cette table pleine de vie, de conversations et de nourritures. Oui, Alma chercherait presque où son ombrelle a été déposé. Et puis il y a Verena. Sublime. Magnifique. Irréelle de beauté ! Mais non, Alma ne perçoit pas le jeu et la rivalité entre la super espionne et la demi déesse. Alma nage dans un bonheur niais. Et quand il y a tel bonheur, il n’y a pas grand-chose à écrire. Seulement à vivre jusqu’à ce que le moment prenne fin. Car il y a toujours une fin.
« Merci ! Je veux dire… waouh ! C’est… tellement rare. C’est un très beau cadeau. Merci. »
La suite du repas se passe dans l’allégresse. Les petites attentions de son Soleil. Le visage satisfait de la Bête qui apprécie voir son Alpha dans un tel pic de puissance (pas de la puissance. Quelque chose qui tire au fait qu’Alma se sente là où elle doit se trouver. Et de cette confiance nait une puissance). Giana qui semble… plus humaine que machine assise autour de cette table pleine de vie, de conversations et de nourritures. Oui, Alma chercherait presque où son ombrelle a été déposé. Et puis il y a Verena. Sublime. Magnifique. Irréelle de beauté ! Mais non, Alma ne perçoit pas le jeu et la rivalité entre la super espionne et la demi déesse. Alma nage dans un bonheur niais. Et quand il y a tel bonheur, il n’y a pas grand-chose à écrire. Seulement à vivre jusqu’à ce que le moment prenne fin. Car il y a toujours une fin.