Re: Les Douze Épreuves de Kiriko Hattori [Kiriko Hattori]
Posté : 27 août 2024 01:51
L’argument de Luxuria avait une justification réelle. Mine de rien, surtout face à une femme qui avait cela en aberration, un phallus magique pouvait être rejeté, a fortiori quand il était fait de Slime. Luxuria voulait donc s’assurer que ce membre était bien un nouvel organe, aussi véritable qu’un vrai phallus. Pour cela, le meilleur moyen était de l’exciter, de le stimuler. C’était aussi ce qu’on faisait dans les cliniques uatéennes. Quand la chirurgienne venait de greffer un sexe sur le corps d’une femme, une infirmière venait ensuite tester l’efficacité de ce phallus en s’empalant dessus. C’était un test nécessaire... Mais, bien évidemment, il n’y avait pas que ça. Kiriko avait refusé à Luxuria la possibilité de jouer avec sa belle robe de mariée. Soit. Luxuria le comprenait, car elle avait bien senti l’amour fort et ancestral reliant Sha et Kiriko... Mais ça... Ça, oh non, elle n’allait pas faire l’impasse dessus ! Kiriko ne l’aurait pas aussi facilement ! Oh que non ! Luxuria voulait goûter à sa Maman avec un sexe, surtout quand elle avait vu toute la réticence de cette dernière à avoir un chibre. Pour la convaincre, il fallait l’atmosphère de Lust, il fallait la Luxure divine pour l’inciter à agir ainsi.
Pour Kiriko, c’était un peu comme une première fois... Luxuria pouvait le sentir. L’Homoncule était particulièrement douée sur ce point, et elle savait que la Celkhane n’avait jamais été sucée... Elle n’avait jamais goûté au plaisir masculin, et ce plaisir, en vérité, était bien différent du plaisir féminin. Plus intense, plus sauvage, plus omniprésent, plus vif, plus vigoureux... Mais moins jouissif, moins explosif, moins ardent... Pour ainsi dire. Luxuria avait un peu de mal à comparer les deux, car c’était quelque chose de très instinctif. Néanmoins, il fallait bien reconnaître que sucer une queue si dure était très agréable. Kiriko avait une belle verge, et Luxuria sentait ses mains se crisper sur sa tête.
« Hmmm-hmmm !! »
Luxuria se faisait plaisir, oui, suçant longuement et vigoureusement cette queue. Très rapidement, elle opta pour plusieurs gorges profondes, relevant parfois les yeux pour croiser le regard de Kiriko, pour voir et sentir le plaisir s’exprimer dans tout son corps. Et sa queue... Ah, sa queue ! Grosse et joufflue, tendue et assoiffée, elle grossit dans sa bouche, semblant enfler davantage, sous l’effet du plaisir fort que Kiriko ressentait. Cette dernière continuait à se tortiller sur la chaise, faiblement, et ses mains se crispaient sur ses cheveux. L’Homoncule soupirait longuement. Elle n’avait, fort heureusement, qu’un besoin réduit et atténué de respirer, par sa nature très particulière. Luxuria continuait à pomper cette femme, enfonçant cette verge jusqu’à la garde dans sa bouche. Ce sexe s’enfonçait alors si profondément en elle qu’il étoufferait n’importe qui.
Ah ! Sa Maman devait être ravie ! Luxuria prenait grand soin de sa queue, suçant longuement et joyeusement cette verge. Elle remuait contre elle, et continua à la prendre, aussi longtemps qu’il le faudrait... Et Kiriko finit par jouir, se relâchant en elle. Luxuria la laissa venir, et avala goulûment son sperme, puis se redressa, et déposa plusieurs baisers sur le ventre de la Celkhane, remontant ainsi jusqu’à ses lèvres. Une main resta à masturber le sexe de la femme, et elle l’embrassa tendrement, enfonçant sa langue dans sa bouche pendant quelques secondes. En toute sincérité, Luxuria peinait à se séparer de Kiriko. Elle était si belle, si énergique, si forte... Une guerrière, dans tout ce qu’une guerrière avait de forte et de puissante.
« Ton sexe est très bien, Kiriko... Ta Déesse adorera te voir avec... »
En souriant, Luxuria se redressa lentement.
« Bien... Et si tu me montrais ta nouvelle robe, ma Maman adorée ? »
Oui, Luxuria était curieuse.... Elle voulait voir si sa théorie était bonne, celle selon laquelle, peu importe la tenue qu’elle mettait, Kiriko était toujours belle et sexuellement désirable.
Pour Kiriko, c’était un peu comme une première fois... Luxuria pouvait le sentir. L’Homoncule était particulièrement douée sur ce point, et elle savait que la Celkhane n’avait jamais été sucée... Elle n’avait jamais goûté au plaisir masculin, et ce plaisir, en vérité, était bien différent du plaisir féminin. Plus intense, plus sauvage, plus omniprésent, plus vif, plus vigoureux... Mais moins jouissif, moins explosif, moins ardent... Pour ainsi dire. Luxuria avait un peu de mal à comparer les deux, car c’était quelque chose de très instinctif. Néanmoins, il fallait bien reconnaître que sucer une queue si dure était très agréable. Kiriko avait une belle verge, et Luxuria sentait ses mains se crisper sur sa tête.
« Hmmm-hmmm !! »
Luxuria se faisait plaisir, oui, suçant longuement et vigoureusement cette queue. Très rapidement, elle opta pour plusieurs gorges profondes, relevant parfois les yeux pour croiser le regard de Kiriko, pour voir et sentir le plaisir s’exprimer dans tout son corps. Et sa queue... Ah, sa queue ! Grosse et joufflue, tendue et assoiffée, elle grossit dans sa bouche, semblant enfler davantage, sous l’effet du plaisir fort que Kiriko ressentait. Cette dernière continuait à se tortiller sur la chaise, faiblement, et ses mains se crispaient sur ses cheveux. L’Homoncule soupirait longuement. Elle n’avait, fort heureusement, qu’un besoin réduit et atténué de respirer, par sa nature très particulière. Luxuria continuait à pomper cette femme, enfonçant cette verge jusqu’à la garde dans sa bouche. Ce sexe s’enfonçait alors si profondément en elle qu’il étoufferait n’importe qui.
Ah ! Sa Maman devait être ravie ! Luxuria prenait grand soin de sa queue, suçant longuement et joyeusement cette verge. Elle remuait contre elle, et continua à la prendre, aussi longtemps qu’il le faudrait... Et Kiriko finit par jouir, se relâchant en elle. Luxuria la laissa venir, et avala goulûment son sperme, puis se redressa, et déposa plusieurs baisers sur le ventre de la Celkhane, remontant ainsi jusqu’à ses lèvres. Une main resta à masturber le sexe de la femme, et elle l’embrassa tendrement, enfonçant sa langue dans sa bouche pendant quelques secondes. En toute sincérité, Luxuria peinait à se séparer de Kiriko. Elle était si belle, si énergique, si forte... Une guerrière, dans tout ce qu’une guerrière avait de forte et de puissante.
« Ton sexe est très bien, Kiriko... Ta Déesse adorera te voir avec... »
En souriant, Luxuria se redressa lentement.
« Bien... Et si tu me montrais ta nouvelle robe, ma Maman adorée ? »
Oui, Luxuria était curieuse.... Elle voulait voir si sa théorie était bonne, celle selon laquelle, peu importe la tenue qu’elle mettait, Kiriko était toujours belle et sexuellement désirable.