The Multiversity

Autant Kiriko avait un avis non-négociable sur sa divine femme, car, qui peux égaler un amour au-delà des millénaires ? Autant pour Rem, elle se laissait doucement porter par les mots de Sha, concernant le fait d'avoir une autre épouse, ou plus, d'autres enfants... Elle ne remettait pas en question cela pour son épouse, une déesse qui vivait à jamais si tout va bien, évidemment qu'elle ne pouvait lui interdire d'avoir une seule et unique femme. Mais la concernant, plus le temps passait, plus elle imaginait bien sa petite Rem dans une belle robe blanche. Si la mission de retrouver sa sœur lui tenait à cœur, elle allait l'aider. Et si par la suite, elle devait aussi avoir une seconde maid à s'occuper, épouser et enfanter, alors elle devra le faire. Elle savait de par les mots de sa petite maid que Ram était un tantinet différente, que ce soit la couleur de leurs cheveux, leur tempérament, et même leur forme. Kiriko n'était pas inquiète, si c'était la sœur de Rem, elle allait forcément l'aimer. Et au pire, cela animera un peu leurs ébats, ce couple pas si banal que ça.

« Eh bien, vous allez m'en donner du travail... Déjà que ma femme est gourmande, si ta sœur l'ai autant que toi, je saurais plus où donner de la tête. »

N'était-ce pas le devoir de sa domestique d'offrir du temps à Kiriko ? Comme quoi, ce ne sera pas si simple ! Mais cela n'était pas une véritable excuse, Kiriko se fichait de cela, pour son bonheur et celui de Rem, elle la couvrira autant d'amour que possible. Et au pire, Sha sera sûrement volontaire pour aider un peu. Mais si elles additionne les épouses, la chambre risque de grandir encore ! Passe encore un ménage à quatre, mais si à côté, Sha prévoit d'avoir d'autres épouses – comme Açoka – ça risque de faire beaucoup, si toutes se retrouvaient dans le même lit !

« Ma petite chérie, tu sais ce que tu veux, toi ! Mais ça ne risque pas d'être ''compliqué'' si tu deviens enceinte avant ta sœur ? »

Elle ne savait pas si sur ce détail, elle voulait tomber enceinte en même temps qu'elle, mais elle supposait que c'était le cas ? Elles faisaient tout ensemble donc, ça supposait logique pour Kiriko que ce soit aussi le cas pour ça ? Après, ce n'était pas un souci pour elle si elles faisaient comme Rem le voulait, la sorcière voulait juste laisser ça au hasard, au moins le temps de mettre la main sur Ram. Elle ignorait quand elles allaient la retrouver, mais en supposant que ça prenne du temps, il serait plus simple de voyager avec une femme qui n'était pas enceinte... Déjà que Kiriko l'était, alors deux femmes enceintes, en même temps. La Celkhane l'écrasait tendrement, son visage face au sein, baisant à peine ses lèvres en l'observant.

« Mais de quoi veux-tu que je te remplisse d'autres, que mon amour ? »

Tandis qu'elle lui offrait un tendre baiser, elle s'enfonçait en elle, sa queue glissant jusqu'à sa chambre à bébé. Elle était déjà remplie, mais elle devait lui donner plusieurs couches pour rendre heureuse ce petit bout de femme. Ses mains venaient chercher les siennes, serrant celles-ci en glissant ses doigts entre les siens. Une douce idylle se faisait entre elles, tandis que leur corps se frottait, elle ne voulait que le bonheur de sa petite domestique, même si ça veut dire lui faire l'amour toute la nuit. Elle ne se faisait pas d'illusions, tôt ou tard, elle va varier les plaisirs, et sa queue se logera ailleurs qu'entre ses cuisses, quand bien même elle y était si bien installé, mais après tout, il est vrai que son petit cul était de premier choix, pour une personne non-divine. Tout comme sa bouche, comme son corps, tout simplement.

« Mmmmh, ma petite chérie... J'aime savoir quand ta chatte déborde d'amour... »

Que demander de plus ? C'était ça le principal.

Rem faisait l’amour avec sa Maîtresse, avec sa Kiriko. Que pouvait-elle demander de plus ? Rien ne pouvait lui faire plaisir, rien ne pouvait la rendre plus heureuse ! Jamais elle n’aurait cherché à faire de l’ombre à la romance entre sa Maîtresse et sa Déesse, mais Rem ne pouvait quand même qu’être sincèrement flattée que, quelque part en elle, sa Maîtresse l’aime ainsi. Car cet amour était réciproque, il se nourrissait de leurs désirs mutuels l’une envers l’autre. Rem sentit donc avec délectation les mains de Kiriko se lover contre les siennes, leurs doigts s’entremêlant dans une irrésistible danse. Rem avait relevé ses jambes, les enroulant autour du bassin de sa partenaire, et partagea avec elle un baiser passionné. Ce n’était pas la première fois, ce soir, que Kiriko jouissait en elle. Et Rem ne tomberait certainement pas enceinte. Oh, elle le désirait, bien sûr, mais, à la veille de partir à la recherche de sa sœur, ce ne serait pas une bonne idée ! Sa Maîtresse était déjà enceinte, et Rem devrait veiller sur elle. Elle ne commettrait aucune erreur !

Mais cela n’empêchait pas de vouloir faire comme si, de s’imaginer que, cette fois, ce serait la bonne et que, oui, Rem porterait le bébé de Kiriko… Un doux rêve, annonciateur d’une réalité à venir ! Rem resserra ses jambes autour de la taille de Kiriko, soupirant longuement, son corset crissant, les coups de reins de Kiriko tirant sur les lacets de ce dernier.

« Han, Kiriko, ta queue… Elle est si grosse, hummm… »

Elles s’embrassèrent encore, fiévreusement, et Rem libéra l’une de ses mains pour attraper les cheveux de Kiriko, serrant ses doigts sur l’arrière de son crâne. Elle serrait encore avec ses jambes, comme pour empêcher Kiriko de se retirer. Celle-ci lui indiqua qu’elle adorait quand sa chatte débordait de son jus d’amour, ce qui ne put que faire sourire Rem. En sueur, celle-ci se tortillait sur place.

« Ma… Ma petite chatte seulement, hmmm ? Il y a… Il y a d’autres parties que mon corps que j’espère bien te voir remplir, hnnn… »

Rem se mordilla les lèvres, et ferma les yeux, gémissant doucement en sentant son corps contracter un nouvel orgasme… Oui, oui, décidément, il n’y avait rien de mieux que de faire l’amour avec sa Kiriko d’amour !

Caressant sa petite Rem, Kiriko savourait autant le plaisir de la voir que de la ressentir. Elle était si douce, sa peau comme sa façon d'être, lui refuser quoi que ce soit était compliquée tant elle l'aimait. Même si ce n'était que la numéro deux dans son cœur, être derrière Sha, un amour qui se comptait en millénaire, ce n'était pas rien ! Mais ce soir, il n'était pas question de Sha, juste de Rem, sa petite domestique aussi adorable que dévouée, Kiriko veillait sur elle, car elle n'était pas n'importe qui, sans être hautaine avec les autres sorcières, prêtresses ou domestique, on voyait bien qu'avec Rem, elle était de suite plus douce, plus mielleuse, même avant de coucher fréquemment avec elle, sa petite domestique chérie avait droit à un traitement spécial. Toujours en elle, elle la contemplait dans le bleu de ses magnifiques yeux, tout en la pénétrant avec un mélange de douceur, car il en fallait, mais aussi de fermeté, elle était si douce, mais elle aimait aussi un brin d'autorité.

« Mais non, elle n'est pas trop grosse... Elle est parfaite, han, pour ta petite chatte. »

Elle en profitait pour l'embrasser de nouveau langoureusement en augmentant un peu la cadence, avant que Rem ne rebondisse encore sur ses mots.

« Mhh, certes, mais quand bien même... j'aime te voir me sucer... ou te prendre par-derrière... Il n'y a que comme ça... que, han, je peux t'embrasser en te faisant l'amour. »

Malgré la guerrière et sorcière qu'elle était, Kiriko avait un côté doux et romantique. Avec Sha, ça coulait facilement vers le côté luxure, le graveleux, là, non, c'était mignon et sincère. Non mais qu'avec la déesse, ce soit interdit mais elle connaissait sa femme, les niaiseries, ça allait cinq minutes en general, il lui arrivais de faire durer le plaisir. Comme pour le lui prouver, elle se redressait en augmentant le rythme des coups de reins, ne perdant pas Rem d'un œil, observant chacune de ses réactions quand elle cognait le fond de son utérus avant de doucement retomber sur elle pour l'embrasser, mais surtout, la remplir à nouveau. Un délicieux vidage de couilles en elle, remplissant de nouveau son utérus de sa crème chaude et épaisse. Lovée contre elle en se délectant de sa petite bouche pendant l'orgasme, elle la laissait respirée après coup, non sans l'embrasser aux coins des lèvres aussi.

« Bien, maintenant... je pense te remplir ton petit cul d'amour... Tu en penses quoi ? »

Sauf si elle préférait la sucer avant, ou si elle avait une autre idée ou envie ? Kiriko ne serait pas contre encore lui remplir la chatte, dans une autre position peut-être ? Même si elle le répétait sans cesse, Rem était si magnifique, sa petite chérie était unique et parfaite.

Rem était naturellement sous le charme de Kiriko, de sa Maîtresse. Elle la pénétrait avec force. Pour faciliter le fait de tomber enceinte, Rem savait qu’elle pouvait utiliser des élixirs. Elle pouvait notamment boire un élixir qui pouvait déclencher l’ovulation. Avant de coucher avec sa Maîtresse, elle avait hésité à avaler l’élixir, mais, finalement, elle y avait renoncé. Elle voulait que le fait de tomber enceinte soit décidé d’un commun accord, et non une surprise. Elle soupirait donc, sentant les coups de reins de Kiriko s’accentuer. La verge de sa Maîtresse, solide et épaisse, s’enfonçait en elle, se glissant jusqu’à la garde. Le lit grinçait tandis que les deux femmes s’embrassaient longuement. Rem posa sa main sur ses cheveux, appuyant dessus, et la laissa faire. Elle soupirait contre elle, tandis qu’elles continuaient à s’embrasser. Sa bouche se crispait à la sienne, et sa main empoignait ses cheveux. Ses jambes ceinturaient la taille de Kiriko, et la danse sensuelle continuait, imperturbable… Jusqu’à ce que, dans un soupir, Kiriko ne se mette à jouir.

« Hmmm… »

Cette vague, Rem la sentit venir, elle la perçut en elle. Elle contracta elle aussi un orgasme pendant que Kiriko jouissait en elle, et, à ce moment-là, à ce moment précis, Rem sut que, si elle avait bu la potion tantôt, elle serait enceinte. Kiriko se calma progressivement, soupirant contre elle. Rem tremblait aussi nerveusement, ayant griffé la peau de sa Maîtresse en se cramponnant à elle. Elle était en sueur, et sourit à celle-ci, sentant encore sa verge durcie en elle, remuant faiblement. Rem l’embrassa alors, et caressa son ventre, machinalement.

« Ta si précieuse semence… Elle est en moi… »

Rem en était naturellement très émue. Elle sourit donc encore, heureuse, amoureuse ! Elles s’embrassèrent encore, se frottant tendrement, jusqu’à ce que Kiriko ne lui indique la suite de ce qu’elle envisageait. Rem trembla sur place, et réagit à vrai dire assez rapidement. Sa Maîtresse ne pourrait plus l’embrasser passionnément, mais elle se retourna, et se mit à quatre pattes. Elle remua son postérieur, et tourna la tête vers Kiriko.

« Il faut que tu me remplisses par l’arrière aussi… Alors, viens ! »

Kiriko aimait cette petite maid, à n'en point douter. Si elle ne pouvait dépasser l'amour qu'elle avait pour sa déesse, si dans un autre monde, elle aurait été juste Kiriko, et l'avatar d'un amour millénaire, elle aurait aimé profondément Rem. Elle l'aurait protégé et serait restée à ses côtés, bien que Kiriko ait quand même une petite poignet d'année en plus qu'elle. Elle devait bien avoir plus ou moins dix ans de plus que sa petite chérie ? Mais l'âge n'avait pas d'importance du moment qu'elles s'aimaient et que cela restait légal, bien entendu. Remplissant sa petite chatte, Kiriko eut une pensée similaire à celle de Rem, mais pas totalement pareil. Elle se disait juste qu'un jour, elle portera son bébé. Lorsque vider ses bourses sera aussi bon, lorsqu'elle sera aussi magnifique au moment de jouir. Elle baisa ses lèvres délicatement en faisant preuve de tendresse, mais cela sera de courte durée, car sa proposition rendit impatiente sa petite chérie. Cela amusait la Celkhane qui la voyait trépigner d'impatience. Kiriko était nue, la queue encore tendue, allongée dans le lit pendant que cette petite ogresse lui tendait son magnifique petit cul.

« C'est que tu me donnerais presque des ordres, dis donc. »

Avec d'autres personnes, elle aurait pu se montrer plus autoritaire, mais pas avec Rem. C'est bien la preuve que ce comportement similaire, comme avec Sha, la rendait spéciale. Sauf qu'avec Sha, c'était elle le chaton qui se laissait faire. Approchant d'elle, elle caressait son fessier avec douceur, embrassant même son petit trou en se redressant.

« Ne t'inquiète pas, je vais te remplir, ma petite chérie. Cependant, est-ce que tu veux que je te prenne, ou est-ce que tu veux mener la danse ? »

Comme une petite nymphomane en manque à quatre pattes ou même cramponnée à son cou pendant qu'elle rebondissait sur ses cuisses pour mieux sentir la sodomie ? Kiriko n'avait rien contre cela, si ça pouvait amuser ou épuiser Rem, pourquoi pas ? Il lui fallait une nuit magique, seule avec elle, avant qu'elles ne prennent la route pour aller chercher Ram. Pendant qu'elle cherchait sa réponse, elle faisait appuyer sa verge sur son trou, pénétrant la jeune domestique, tandis que Kiriko se lovait dans son dos. Son corps chaud se frottait au sien, quelques gouttes de sueurs fusionnaient ensemble tandis qu'elle venait baiser le sommet d'une de ses oreilles.

« Ma douce petite chérie... Tu seras toutes à moi... »

Sauf si des invitées arrivent en cours de route, mais c'est peu probable. Elles vont passer de longues nuits ensemble, collée l'une contre l'autre pendant leur voyage.

« Ton petit cul... ta petite bouche... ta petite chatte... Mmmmh, je vais tant te tenir chaud, ma petite chérie. »

Lovée dans son dos, elle se maintenait à une main tandis que son autre main venait saisir l'un de ses seins, le pétrissant, tout doucement, sa peau était si douce, Rem était sa petite poupée d'amour.

Rem savait que Kiriko était très spéciale avec elle. Elle qui était plutôt du style à rentrer dans tout ce qui bouge, une femme forte qui n’appartenait qu’à sa Déesse, elle s’ouvrait avec Rem. Rem n’avait cependant jamais eu l’occasion de titiller Kiriko. Elle était une maid dévouée, qui faisait avec application tout ce qu’on lui demandait. Quand elle avait rejoint Sha pour se mettre à son service, elle ne s’attendait pas à tomber amoureuse de Kiriko. Cela était venu progressivement, et la Déesse n’avait rien fait pour empêcher cela. Quand elle av ait deviné que Rem et Kiriko commençaient à ressentir un désir amoureux l’une envers l’autre, plutôt que d’éloigner Rem, elle en avait fait la maid personnelle du couple. Rem s’était donc retrouvée au contact de Kiriko, et leur relation avait ensuite été admise. La Déesse n’en avait jamais été jalouse. Elle était une Déesse, après tout, et elle aimait l’idée que sa femme ait d’autres amantes, puisqu’elle-même en avait aussi. Rem souhaitait désormais passer à l’étape supérieure avec Kiriko, et cela impliquait de retrouver Ram, sa sœur… Une chose qu’elle allait faire en compagnie de Kiriko ! On pouvait donc aisément comprendre son excitation, car elle et Kiriko allaient se retrouver seules pendant un certain temps.

Elle présentait donc ses fesses à sa Maîtresse, qui s’amusa de la réaction directe de Rem, comme si celle-ci était en train de lui donner des ordres. Rem rougit doucement. Elle était en même temps très excitée. Elle allait s’excuser, lorsqu’elle sentit la verge de Kiriko heurter sa croupe, glissant dessus. Rem frissonna dans tous les sens, sentant cette verge heurter ses fesses, puis finir par se nicher en elle.

« Hmmmm… Comme ça, oui… Je veux te sentir me dominer… »

Même si elle n’aimait pas qu’elle la qualifia ainsi, Kiriko était bien la Maîtresse de Rem. Elle se lova dans son dos, palpa ses seins, et Rem soupira ensuite quand elle sentit la verge heurter sa porte arrière, puis se glisser en elle.

« Haaannn… Maî-Maîtresse ! »

Celle-là, Rem n’avait pas pu la retenir ! La douleur fulgurante qui venait d’éclater en elle avec ce commencement de sodomie l’avait finalement amené à appeler Kiriko par le titre qui était le sien selon elle : sa Maîtresse !

Là où Kiriko ne pensait que pouvoir aimer sa Déesse, elle dut se rendre à l'évidence qu'elle aimait aussi Rem. Elle était plus jeune et moins imposante ou belle que sa déesse, mais, comparer une humaine à une déesse, ce n'était pas très équitable. Sha était une déesse et Rem une humaine – Oni – donc, elle devait juger sur ce point-là. Si le sexe avec Açoka était amusant, très sportif et épuisant tant elles s'aimaient autant qu'elles se détestassent, avec Rem, Kiriko était toujours dans la douceur la plus pure, c'était tout ce côté fleur bleu qu'elle ne pouvait pas avoir avec sa femme, pas très longtemps. Kiriko se surprenait elle-même avec ce genre de pensée, mais voilà, elle aimait sa petite maid et elle voulait bien le lui rendre. Elle jouait les insolentes, juste pour la pousser dans ses retranchements, elle savait comment était cette adorable petite poupée qui n'aimait pas que la douceur. Pourtant, Kiriko aussi douce et avenante, c'est une chose si rare de sa part.

« Quelle vilaine petite effrontée tu fais, ma Rem chérie... »

Enfonçant sa queue en elle, elle soupira de plaisir lors de cette première fois avant de sentir sa partenaire l'appeler Maîtresse, la chose à ne pas faire. Volontairement ou non, elle n'aimait pas ça. Elle avait gardé ses racines Celkhanes, c'est pour ça que le courant passait aussi mal/bien avec Açoka. Donnant un coup de butoir dans sa petite domestique, elle l'écrasait sur le lit, laissant son bassin rebondir sur ce petit cul aussi tendre que doux.

« Qu'est-ce que je t'ai déjà dis, ma chérie ? Je Déteste ! Être appelée ainsi ! Han, je sais, comment... te punir ! »

Ce ne serait pas une punition bien sévère, elle n'irait pas loin pour si peu, mais c'était vrai, c'était une chose que la sorcière n'aimait pas. Être appelée ainsi, c'était comme une insulte pour elle, pas une insulte du genre que l'on tolère dans le feu de l'action. Elle ne dirait pas comment, mais elle savait ce qu'elle allait lui infliger pour la « punir ». Elle n'allait pas lui remplir le cul avec sa semence, pas cette fois. Au moment de jouir, elle allait se retirer et se videra sur son visage, ou peut-être son corps si elle n'a pas le temps. Rien de bien méchant, mais assez pour lui faire comprendre, bien qu'elle le savait déjà que ce n'était pas la chose à faire avec elle. Mais il fallait au moins lui faire un peu plaisir. Toujours écrasée sur le lit, la Celkhane y allait de plus en plus fort et de plus en plus vite, écrasant et rebondissant sur son petit cul, elle revenait toujours plus fort et plus vite !

« Déjà hum, je vais te défoncer ton petit cul, han ! C'est tout ce que tu mérites ! »

Kiriko avait beau être douce avec Rem, elle savait être plus forte. Pas besoin de vraiment user de sa force, hors transformation en Oni, Rem n'était pas du genre à pouvoir gagner au bras de fer avec elle donc, elle pouvait y mettre le minimum syndical avec elle. Mais pour la force sexuelle, il fallait forcément y mettre un peu du sien pour que ce soit meilleur. Ses mains allaient trouver les siennes, faisant preuve d'un peu de douceur malgré sa force, son ton et ses mots.

« Tu aimes ça, hein ? Han, être une chienne ! C'est tout ce que tu attend de moi, huuum~ que je te baise par-derrière ha, et que je te remplisse ton petit cul de salope ? Alors réjouis-toi ma belle petite chienne~ Bientôt... Tu seras Tou-tes à moi~ »

Pas sûr qu'elle la prendra pour une chienne à longueur de temps, mais ce n'était que pour mettre un peu plus d'huile sur le feu, le temps de faire grimper le plaisir et de se relâcher sur son visage, ou sur son corps... a voir.

Certes, le mot lui avait échappé. Certes, cela énervait Kiriko. Mais avait-elle tort pour autant ? Rem gémissait en sentant Kiriko la besogner, la prendre avec force. Dans son dos, Kiriko se lâchait, s’enfonçant avec force dans l’étroit petit cul de la petite Rem. La délicate maid couinait et gémissait fortement, se faisant prendre avec force par Kiriko. Sa Maîtresse y allait sans crainte, et la plaqua sur le lit.

Rem gémit en se retrouvant couchée sous sa Maîtresse, la tête tournée sur le côté. Ses mains s’étalèrent sur le lit, et elle sentit les mains de Kiriko s’entrelacer avec les siens, tandis que les lourds seins de Kiriko rebondissaient sur son dos et contre sa tête. Elle appuyait fortement, tout en soupirant et en grognant contre elle, crachant parfois de la salive. Mine de rien, le cul de Rem était assez étroit, même si sa Maîtresse ou sa Déesse avaient l’habitude de la prendre par là.

Kiriko accentuait petit à petit le rythme, lui annonçant qu’elle allait lui « défoncer le cul ». Rem frissonna de toute part, et crut bien qu’elle allait jouir.

« Haaaaa… »

Kiriko se laissait aller. Comme Monsieur Jourdain, elle était Maîtresse sans le savoir, car elle se mit à lui parler crument, l’insultant généreusement, parlant comme une Maîtresse le ferait à sa soumise… Et, très clairement, Rem adorait ça ! Ne fallait-il pas qu’elle accepte pleinement ce rôle, ce jeu, pour légitimer un tel florilège ?

Les joues rouges, Rem gémit encore, et répondit :

« Ouiii, Maîtresse, ouiii, haaaa… J-Je suis votre maid, votre petite chienne… Votre petite salope ! »

Toute à elle… Oui, c’était toujours ce que Rem avait été pour sa Maîtresse ! Comment les choses pourraient-elles être différentes ? Elle était sienne, tout simplement ! Le corps de Rem se soulevait et s’abaissait régulièrement, remuant sous la puissance des coups de reins de sa Maîtresse !

En tout cas, avec son uniforme sexy, il n’y avait que deux endroits où sa Maîtresse pouvait se soulager : soit dans son cœur, soit sur son visage… Reste à savoir ce qui allait prédominer chez Kiriko !

Kiriko avait beau aimer Rem, elle était toujours fidèle à ses racines et détestait être prise pour une maîtresse. Elle n'avait rien contre être soumise et parfois, elle appelait son épouse comme ça. Mais être vue comme ce qu'elle a longtemps combattu, non, ça, ça ne la faisait pas bander. Elle était un peu obligé d'y mettre les formes, elle n'en voulait pas à sa petite Rem qui malgré tout, aimait cette « punition » mais elle avait bien du mal à porter cette casquette. Elle s'occupait d'elle et elle voyait à son sourire qu'elle aimait ça, sachant que la petite domestique en rajoutait une couche en l’appelant encore par ce nom ! Cela la forçait presque instinctivement à lui prouver que non mais... Elle était tiraillée entre ne pas vouloir ça et vouloir le bonheur de sa petite chérie. Voir son visage magnifique qui en redemandait, elle avait du mal à aller contre et quand elle sentait le moment approcher, elle venait remplir sa petite chérie, sa verge allant remplir ce qui se cachait derrière ce petit cœur.

« Haaaaaaaa ! »

Une nouvelle fois, son utérus était envahi de son amour. Un amour qui un jour, pourrait donner naissance à leur bébé. Ce soir ? Elle espérait que non, Arya grandissait en elle et un long voyage les attendaient. Une femme enceinte, c'était déjà trop dans ce périple. Puis quitte à retrouver Ram, peut-être que l'idéal serait que les jumelles attendent leur bébé ensemble ? La pression retombait, la Celkhane serrait contre elle sa petite Rem d'amour, sa main caressant ce petit cœur près de son ventre.

« Ma petite chérie, il faut que tu arrêtes avec ça... Je n'aime pas du tout être appelé comme ça... Même si je t'aime et que je veux ton bonheur... c'est compliqué pour moi d'avoir ce surnom... »

Elle ne lui en voulait pas, mais elle aimerait que cela cesse. Son petit corps tout chaud était contre le sien tandis qu'elle l'embrassait tendrement pour dissiper le moindre doute dans ce petit sermon. Elle avait plus ou moins ce rôle, comme elle était sa domestique mais elle était amenée à devenir sa femme aussi, en admettant que dans quelques années, leurs enfants – elles et Sha – aient quelques années, elle ne pourra pas appelé la mère de ses enfants « Maîtresse ». Elle plongeait sa tête sur sa poitrine, caressant ses courts cheveux, prolongeant ce moment de douceur.

« Après tout, quand notre bébé sera là, ce sera bizarre d'entendre sa maman se faire appelé Maîtresse par son autre maman, tu ne pense pas ? Il faut perdre cette vilaine habitude et la remplacer par une meilleure. J'ignore quand tu m'épouseras ou quand tu tomberas enceinte, mais ça peut arriver bientôt, après tout ? »

Kiriko voulait régler quelques affaires avant mais c'était une bonne raison. En supposant qu'elles trouvent rapidement Ram et qu'elle partage les même goûts que sa sœur jumelle, c'était peut-être un double mariage qu'elle allait devoir subir ? Caressant sa joue, redressant son visage vers le sien, elle lui souriant tendrement.

« Mon petit cœur ne déborde pas encore d'amour donc, on peut prolonger tout ça ? De quoi a envie ma petite chérie maintenant ? »

Autant repartir sur une note plus joyeuse et enivrante !

Kiriko lui reprocha de l’appeler « Maîtresse ». Rem rougit devant ce reproche. Le mot avait échappé à ses lèvres, elle l’avait sorti sans réfléchir ! Elle savait que Kiriko était d’origine celkhane, et qu’elle abhorrait donc l’esclavage, mais Rem ne se considérait pas comme son esclave. Elle laissa Kiriko parler, et lui répondit ensuite :

« Tu ne comprends pas, Kiriko… »

Que Rem lui réponde, voilà qui était inattendu ! C’était même sans doute la première fois que Rem osait contredire Kiriko, mais c’était sur ce point précis. Kiriko lui avait déjà fait le reproche, mais Rem continuait à l’appeler ainsi. Elle se hissa sur les genoux, et alla se blottir contre le corps de Kiriko, lui faisant un câlin.

« Tout comme tu es l’épouse et la guerrière de la Déesse, je suis ta maid et ta fiancée. Si je t’appelle ainsi, c’est pour ça, parce que… C’est ce que tu es. Mais c’est aussi ce que j’aime. Je ne suis pas ton esclave, je suis ta maid ! »

Rem releva un peu la tête, puis enlaça alors Kiriko autour de la taille, se blottissant contre elle.

« Je ne peux t’appeler autrement, car c’est ce que tu es pour moi ! Ma patronne, celle à qui j’ai décidé de dédier ma vie ! Je le fais volontairement, parce que… Tu as pris mon cœur, Kirko. Je vis pour vivre avec toi. T’appeler Maîtresse, c’est une forme de respect, tu es la seule que j’appelle ainsi… Même notre Déesse… »

Rem rougit encore, puis regarda encore Kiriko.

« Si tu n’es plus ma Maîtresse, alors je ne suis plus ta maid… La seule qui s’occupe de ta chambre, de tes draps, qui repasse tes vêtements, qui recoud ta combinaison quand tu te bats… Suis-je une si mauvaise maid que cela pour que tu refuses d’être ma patronne ? »

Une nouvelle fois, Rem se redressa pour se blottir contre la Celkhane en lui expliquant son point de vue, elle essayait de le défendre, mais pour Kiriko, ça restait compliqué de tolérer ce genre de choses. Elle tolérait de jouer les esclaves et d'appeler Sha ainsi, dans le feu de l'action, ce n'était pas non plus trente secondes après avoir commencé qu'elle irait dire ça, mais de se faire appeler comme ça, ça restait difficile à avaler. Kiriko enlaçait sa petite chérie contre elle, elle ne lui en voulait pas, elle comprenait son point de vue, c'était sans méchanceté qu'elle lui donnait ce titre, mais pendant des années, elle a combattu ce genre de personnes ayant ce titre, hommes comme femmes.

« Tu sais, il existe un nom aussi pour une personne qui fait ce genre de tâche... Une épouse. »

Venant de Caelestis, ayant été élevé par deux mamans, cela n'avait rien de misogyne ou autre, chez elle, il y avait une maman qui travaillait et la seconde était plus orientée tâche de maison, son éducation, ce n'était en rien péjoratif. Souriante, d'une voix mielleuse, elle frottait le bout de son nez contre le sien.

« Crois-tu vraiment que j'accepterais de te voir faire tout ça, quand tu seras enceinte ? Oh que non... C'est moi qui prendrais soin de toi, et de notre bébé, le moindre de tes désirs, de tes caprices, je le ferais avec un grand sourire. »

Il faudrait espérer qu'à ce moment, elle ne soit pas enceinte elle-même ou débordée par ses devoirs de mamans ou de sorcière. Ses mains glissaient dans son dos, la serrant un peu plus contre elle, tandis que son érection de logeait entre ses tendres petites fesses.

« Tu es ma Rem, pour rien au monde, je ne laisserais les gens dire le contraire. Mais s'il te plaît, ma chérie, évite de dire ce terme... Jamais je ne t'en voudrais, mais... je n'aime juste pas ça... »

Délicatement, elle approchait son visage du sien, embrassant langoureusement sa petite maid, sa petite chérie en lui offrant de quoi passer l'éponge. Si tout allait bien, elles retrouveront Ram en chemin, et dans le meilleur des mondes, Kiriko allait devoir gérer deux adorables maids à son services, peut-être même devoir préparer un double mariage... Une chance qu'elle soit l'épouse de Sha, elle ne lui en voulait pas de ses possibles autres mariages ou enfants, elle savait bien que tôt ou tard, ce corps ne pourrait survivre, mais son âme saura retrouver Sha, surtout vu son arrangement avec un certain clan démoniaque. Donc, Sha en laissait autant pour sa femme, mais si Rem devait être son seul écart, il était possible que Ram soit ce second écart... SI elles sont des jumelles du genre, identique, sa jumelle risquait d'avoir le même genre de sentiment pour la sorcière. Après ce baiser des plus doux, Kiriko faisait preuve de bonne foie, essayant d’établir un compromis.

« Tu sais quoi, on va faire un arrangement... Quand tu seras en journée, que tu seras Ma Maid, tu pourras m’appeler comme ça... Je serais... ta maîtresse... Mais quand ton service sera fini, que tu ne seras plus habillée comme une maid, que tu seras juste avec moi, comme ici... Plus de Maîtresse qui tienne. Je serais ta Kiriko, ton amour, ta chérie, et que sais-je encore. D'accord, ma petite chérie ? »

Cela risquait de devenir une excuse pour faire l'amour plus souvent en journée, juste pour user de ce nom, mais au moins, elle faisait des efforts, et après, elles pourront reprendre leurs petits jeux et passer à autre chose de plus excitant. Après tout, elle sentait bien sa verge tendue qui palpitait entre ses fesses.

Rem avait expliqué pourquoi elle appelait encore Kiriko « Maîtresse ». Bien sûr, elle savait que sa Maîtresse n’aimait pas que Rem l’appelle ainsi, mais Rem essayait de lui faire comprendre pourquoi elle le faisait encore. Si on se soumettait volontairement, ce n’était pas si grave, et c’était bien ce que Rem faisait pour sa Kiriko. Elle se soumettait à elle, lui obéissait, car elle l’aimait. Kiriko l’embrassa tendrement, et essaya de lui proposer un compromis, que Rem l’appelle ainsi pendant son service, mais use de termes plus affectueux lorsqu’elles feraient l’amour. Rem rougit lentement.

« Peux-tu dissocier notre Déesse comme tu le fais ? N’est-elle pas à la fois ta Déesse et ton épouse, Kiriko ? Ce que je ressens pour toi… C’est similaire à ce que tu ressens pour la Déesse Sha. Elle est à la fois ta femme, mais aussi ta Déesse. Moi, je ne peux pas te qualifier de Déesse, donc j’utilise un autre qualificatif. Mais je sais que je ne suis pas ton esclave, Kiriko, je suis ta maid, ta concubine, et ta future femme. Toi, tu es tout cela, et bien plus encore. »

Rem se lova contre elle à son tour, venant la câliner, et l’embrassa également. Elle savait que c’était l’héritage celkhan de Kiriko qui parlait. Pourtant, l’esclavage était toléré à Mijak, et Sha avait elle aussi des esclaves. Rem se redressa un peu, et posa ses mains sur les épaules de Kiriko. Elle appuya dessus, et parvint à coucher cette dernière, la contraignant à s’allonger sur le lit, tout en la chevauchant. La main de Rem empoigna ensuite la verge de Kiriko, et elle la masturbait, tout en se déplaçant. Rem n’était pas aussi servile qu’on aimait le croire, elle respectait beaucoup Kiriko, naturellement, mais elle pouvait aussi faire preuve d’initiative.

Se mordillant doucement les lèvres, elle observa Kiriko.

« Je ne souhaite pas être hypocrite avec toi, Kiriko. Tu seras toujours à mes yeux ma Maîtresse, mais cela ne signifie pas que je sois ton esclave. Tu es celle que j’aime, celle à qui j’ai choisi de confier ma vie et mon cœur. Je sais que tu n’aimes pas ce mot, mais c’est celui qui s’applique. Je t’aime, Kiriko, je souhaite être ta femme… Et celle qui portera notre bébé. »

Tout en disant cela, Rem orienta la verge de Kiriko, et l’enfonça dans sa chatte. Elle se mit à soupirer longuement, et gémit de plaisir, en dansant sur le corps de son amante…

Kiriko tentait tant bien que mal de faire comprendre à Rem ce qu'elle pensait, essayer de lui enlever ce mot de la bouche, mais c'était un challenge bien trop ardu. À moins de vraiment se mettre en colère, mais elle n'allait pas aller jusque-là, ça pourrait même briser quelque chose entre elles. Rem agissait de nouveau, expliquant encore sa façon de voir les choses pendant qu'elle s'installait sur la sorcière, avant de s'enfoncer sur elle, la faisant gémir avant de l'embrasser tendrement tandis qu'elle remuait doucement sur sa verge. Kiriko la serrait contre elle, une de ses mains pressant son délicieux petit cul si tendre.

« Huuum, tu as gagné, ma chérie... Mais toi seule pourras m’appeler comme ça... Toi, et ta sœur. »

Pas de jalousie entre les jumelles. Elle espérait qu'elle ferait au moins l'effort de limiter ce titre et ne pas le sortir à la moindre occasion. Sa verge coulissait en elle, longeant ses parois intimes, elle allait la remplir de nouveau, pas tout de suite, mais ça allait venir. Et pendant qu'elle l'embrassait en la laissant danser sur elle, ses deux mains étaient à présent sur son cul, pressant ce délicieux petit cul, l'aidant à danser sur elle, elle ne voulait pas trop la gêner après tout.

« Par contre, il n'y a qu'une chose que je te demanderais... »

Une fois qu'elle avait toute son attention, elle détachait une de ses mains pour lui caresser le visage, passant de sa joue à l'arrière du crâne, caressant ses doux cheveux.

« Lors de notre nuit de noces, je ne veux aucun ''maîtresse''... Tu seras ma femme, point final. »

Ce n'était pas pour tout de suite puis Kiriko avait juste précisé la nuit de noces, pas le reste de leur vie. Une fois, cela dit, elle retourna l'embrasser, remuant doucement son bassin pour aider sa petite Rem dans sa danse magnifique. D'ici là, ce sera peut-être un mariage à trois à faire ? Si Ram était vraiment comme Rem, pourquoi devrait-elle rester sur la touche et attendre avant d'avoir le droit aussi à son idylle. Il lui faudra juste deux plus d'effort à elle pour combler les jumelles, mais, étant l'épouse de Sha, ça ne devrait pas lui poser trop de soucis de combler deux ogresses en manque d'amour.

« Mmmmmh... ouh, ma petite chérie... Vide-moi les couilles... Je veux t'entendre gémir de plaisir ,te voir ravie, ma Rem d'amour. »

Kiriko était pleine de tendresse et d'amour, mais pas avec tout le monde.

Le petit cœur de Rem se mit à bondir dans sa poitrine quand, enfin, Kiriko consentit à jouer son rôle naturel. Un sourire innocent glissa sur les lèvres de Rem, qui rougit en se mordillant les lèvres, frissonnant sur place. Kiriko avait enfin compris ! L’appeler « Maîtresse » n’était nullement désobligeant pour Rem, c’était pour elle un titre honorifique, la preuve de leur relation spéciale ! Car, après tout, comment Kiriko pouvait-elle être autre chose que sa Maîtresse ? Rem lui avait voué sa vie, son âme, son existence, son cœur, sa descendance… Elle était sa raison de vivre ! Rem se sentait donc infiniment honorée que Kiriko l’aime, car elle l’aimait en retour, mais Rem n’avait jamais conçu cet amour comme étant équivalent. Non, elle voulait aimer Kiriko, mais aussi servir sa Maîtresse. Alors, que Kiriko accepte enfin cela ne pouvait qu’exciter Rem, qui se mit à mouiller, crispant ses parois internes sur la puissante verge de Kiriko, sur laquelle elle était assise, et se balançait avec joie et emphase. Son sourire enjoué trahissait son excitation.

Elle se pencha vers Kiriko, et posa ses mains sur ses épaules, puis se pencha davantage, et lui offrit un gros et long baiser. Un véritable baiser d’amour, empreint de la passion la plus sincère. Rem sourit ensuite à nouveau à Kiriko, et gloussa même quand celle-ci lui demanda de ne pas l’appeler ainsi lors de leur nuit de noces. C’était un doux rire cristallin et enjoué.

« Bien sûr, Kiriko, je ferai tout ce que ma Maîtresse m’ordonne, hihi ♥ ! »

Rem la taquinait un peu… Mais c’était si bon ! Elle se redressa ensuite, et reprit le rythme, tandis que Kiriko lui demandait d’amplifier le rythme, afin qu’elle puisse se vider les couilles. Rem gloussa encore, remuant en sentant les mains de sa future femme sur ses hanches.

« Hihi, Kiriko ne veut pas que je la surnomme Maîtresse, mais tu n’as aucun problème à me parler grossièrement… À moi qui suis si gentille, haaaa… »

Mine de rien, si Rem était souvent assez soumise et discrète, elle pouvait aussi se montrer piquante et provocatrice. Elle n’avait pas le ton sarcastique et ironique de sa sœur Ram, mais elle ne s’en sortait tout de même pas si mal. Elle remua donc, provoquant Kiriko pour que celle-ci l’insulte, car c’était quelque chose que Rem appréciait.

« Regardez comme je suis une vilaine fille, Maîtresse… Pendant que vous m’insultez, je mouille comme une petite cochonne… Je crois que vous devriez… Me discipliner ♥ ! »

Elles s'aimaient, mais sur une ambiance différente. Ça n'aurait jamais dérangé Kiriko de traiter Rem dans une éternelle guimauve d'amour, elle était si douce et pure, mais comme cette dernière était aussi d'un naturel plus adulte et joueuse dans le feu de l'action, elle était bien obligée de jongler entre plusieurs genres. Sa petite soubrette avait obtenu gain de cause même si la sorcière y ajoutait une clause non-négociable pour leur nuit de noces. Sa petite rose pleine de pique venait la titiller, jouant sur le fait qu'elle ne se privait pas de se montrer ferme et insultante envers la douce petite Rem. Ce fut à son tour de glousser en l'observant droit dans les yeux.

« Si je le fais, c'est uniquement, car tu aimes ça, ma petite chérie. »

La traitée de salope et se montrer ferme avec elle, c'était le genre de chose qui la faisait frémir de plaisir ! Et pour preuve, elle demandait à être disciplinée. La sorcière la faisait descendre le long de sa queue, la collant bien à la base contre elle avant que ses mains ne serrent ce délicieux petit cul.

« J'avoue avoir un faible pour te discipliner... à coup de bifle sur le visage... Tu as l'air si heureuse de te faire battre de la sorte. »

Sa puissante verge bien solide qui se cogne contre son visage, elle n'a pas souvenir que ça durait très longtemps, neuf fois sur dix, elle finissait bien vite par disparaître dans sa petite bouche bien gourmande. Mais bon, elle n'allait pas se retirer juste pour ça. Il restait autre chose de tout aussi plaisant. La fesser. Une fois sa phrase finie, une de ses mains venait justement lui claquer le cul, gloussant après avoir entendu le bruit de la chair qui claque.

« Je me demande ce qui va te faire jouir, ma petite chérie ? Mes couilles qui se vident ou ton cul qui rougit ? »

Disant cela, une nouvelle claque venait faire rosir sa chair, alternant quand même les fesses qui se faisaient maltraitée. Kiriko se penchait sur elle, un baiser pas trop long mais bien intense avant de passer à la suite, comme elle le voulait.

« Allez, danse sur ma bite, ma petite salope chérie, on va voir ce qui te fera jouir ! »

Elle, elle va juste la fesser et voir si elle avait raison, Rem allait danser sur sa queue, voir si elle pourrait la faire jouir avant la fin de son traitement ? Après, les deux en même temps n'étaient pas impossible non plus.

Rem s’épanouissait pleinement avec Kiriko. L’alchimie entre ces deux-là était forte. Rem l’aimait, tout simplement, et elle savait que c’était réciproque. La jeune maid ne voulait pas que Kiriko prenne des gants avec elle. Rem était capable d’endurer toute la perversité de Kiriko ! Elles servaient après tout toutes les deux la même Déesse, une Déesse qui leur avait fait énormément l’amour, et qui avait à sa manière formé Rem à des relations sexuelles particulièrement intenses. Rem s’empalait donc sur Kiriko, en jouant avec elle, en la provoquant même ! C’était aussi une bonne manière de rappeler à Kiriko que le fait de l’appeler « Maîtresse » n’était qu’un jeu sexuel. Elle s’amusait en effet à relever les incohérences de Kiriko, même si celle-ci avait évidemment raison sur la cause de ceci… Rem aimait beaucoup quand sa Kiriko la dominait ou la battait sexuellement, quand elle lui parlait mal, et quand elle la baisait très fort en la faisant hurler. L’amour a ses raisons que la raison ignore, et, ce que Rem faisait avec Kiriko ou Sha, elle ne le ferait pas avec d’autres personnes… Tout comme Kiriko. Il y avait une relation spéciale entre elles, une relation qui expliquait tout.

La petite maid couina quand Kiriko la fessa. Elle lui rappela qu’elle aimait la discipliner à coups de bifle, et Kiriko put sentir une contraction musculaire au niveau des parois intimes de Rem, comme si cette idée l’excitait. Elle se rappela évidemment quand Kiriko la bifflait, avant de jouir dans sa bouche ou sur son visage.

« Haaaa… C’est… C’est Maîtresse qui a fait de moi une telle perverse, hihi… Rem est si innocente, de base, haaaa… »

C’était assez inexact, mais il fallait bien jouer le rôle de la petite ingénue. Rem aimait jouer ce rôle, un peu comme Sya. Elle avait pu voir cela quand elle avait eu l’occasion de jouer avec elle et Sha. Sha s’amusait même à dire de Rem qu’elle était un peu « sa » Sya, ce qui ne pouvait que ravir Rem. La belle maid dansait donc, suivant avec fidélité les instructions de sa Maîtresse, gémissant et couinant quand Kiriko la fessait. Elle se pencha encore en avant, et retourna l’embrasser, se pressant contre elle.

« Haaaa… Maîtresse Ki-Kiriko a une si grosse queue, haaaaa… »

Les bruits de claquement de chair emplissaient la pièce, des bruits humides, car Rem mouillait fortement. Chaque fessée la faisait rougir, chaque baiser l’exaltait… Ce qui fit que son corps finit par se crisper, et qu’elle sentit une décharge l’envahir, puis la vider totalement.

Rem se mit à jouir dans un grand cri qui se transforma en un long soupir.

« HAAAAANN… !! »

C’était son orgasme.

Y a pas à dire, si elle n'aurait pas été destinée à être la nouvelle incarnation de la femme de Sha, c'est de Rem qu'elle serait éperdument amoureuse. Si Ram était bien la jumelle de Rem, il y a des chances qu'elle doive lui donner autant d'amour mais pour le moment, fallait-il déjà la retrouver. Sa petite domestique était la seule femme ici, en dehors de leur déesse, qui pouvait se vanter de voir la sorcière souriante et gentille. La Celkhane n'avait pas pour réputation de péter plus haut que son cul, mais elle était la seconde femme la plus importante après la déesse, elle se devait de montrer l'exemple. La jolie petite maid voulait que ce soit plus sauvage, c'était compliqué pour elle tant elle aimait se montrer douce avec elle, sans la voir comme une enfant, elle voulait lui offrir toute la douceur qu'elle méritait. Si Sha n'avait rien contre toute forme de douceur, il est que son apparence, même sous forme humaine, inspirait une certaine prestance, Rem, on avait envie de la câliner à longueur de temps.

« Hum ! Tu oses dire que c'est ma faute ? Hum, moi qui veux toujours te serrer contre moi ? Hum, te couvrir de baiser ? Alors que toi... Han, tu supplies pour me sucer han, et te baiser contre le lit ? Menteuse~ »

Sans dire qu'elles mentaient toutes les deux, elles avaient autant raison que tort chacune. Kiriko besognait le corps de sa petite maid, son épaisse verge venant trouver le fourreau idéal, s'apprêtant à remplir sa petite chatte déjà arrosé maintes fois ses derniers jours, comme toujours. Elle était même un peu surprise que Rem ne demande pas une verge plus souvent ? Depuis la nuit de noces, c'était arrivé une ou deux fois, plus poussé par Kiriko que par Rem, alors que pourtant, elle aimait voir sa petite chérie bander si fort pour elle. Elle l'utilisait peut-être secrètement quand elle ne la regardait par exemple ? Ce serait bien son genre de se masturber sur ses affaires. Sauf qu'en-dehors de sa tenue de Celkhane, Kiriko n'avait que sa robe de mariée. Son éducation sur Caelestis faisait qu'elle portait que ça, sa tenue servait tant en été qu'en hiver, s'adaptant à la bonne température, faisant office de lingerie pour ne pas se sentir nue. Et le peu de lingerie que lui offrait Sha ne faisait jamais une nuit entière sans finir abîmée. Sa petite chérie se mettait à jouir, Kiriko en profitait pour parceller et jouir à la suite de son orgasme, pour qu'elle grimpe encore un peu plus au septième ciel.

« Huuuuuuum ! Une petite Rem fourée à la crème... Mon dessert favori~ »

Elle l'attrapait entre ses bras pour venir l'embrasser doucement, sa main glissant dans ses cheveux, même si elle restait encore en elle, elle ne cherchait pas à réactiver de suite la machine. Un moment de pure douceur et d'amour entre elles et pourtant, terminant son baiser en contemplant ses yeux magnifiques, elle enchaîna avec sa voix mielleuse et son ton bienveillant.

« Et si je t'enculais passionnément à présent ? Ton adorable petit cul est bien trop provocant pour ça, ma chérie. »

Sa main caressait sa joue, la seconde caressait ce petit cul qu'elle mordrait bien avec appétit, son majeur tournait autour de ce petit trou, ce serait l'occasion pour Rem de se faire quelque peu fesser ? Kiriko pourrait bien lui faire ce petit plaisir ?