Quand le général était entré dans la yourte, laissant Fiona se refaire une beauté, certains mijakiens affichaient comme une certaine gêne tandis que d'autres semblaient beaucoup plus détendus. Le chevalier Viscarion, par exemple, ricana à l'entrée de Ghurren. Si tous avaient deviné beaucoup de choses, lui ne faisait pas état de discrétion, ce qui convenait à Ghurren car ils semblaient tous les deux partager certains liens similaires avec l'autre race.
"Alors chevalier ..." dit Ghurren à Lazare Viscarion.
"... appréciez-vous l'hospitalité des orcs autant que j'apprécie la proximité des humains? Je suis intimement persuadé que nos cultures peuvent se découvrir complémentaires. Comme vous le voyez, ma horde est aussi disciplinée qu'une de vos armées et il semblerait que vous vous plaisiez avec nos belles femelles. J'apprends que votre vigueur ferait pâlir bon nombre de mes guerriers. Je serais fier de vous comptez parmi mes amis. Rien n'est impossible, surtout quand on partage les mêmes ... points d'intérêt ..."
Certains mijakiens virèrent au rouge rien qu'à l'idée d'imaginer un mélange des cultures mais se gardèrent bien d'en faire mention. Le jurisconsulte opina diplomatiquement de la tête sans faire de commentaires. Il préféra s'approcher de la grande carte déployée sur la table et se plongea dans une longue réflexion en l'observant.
C'est à ce moment-là que Fiona réapparut, présentable, et les plus observateurs des mijakiens captèrent le discret sourire de Ghurren.
"Dame Fiona, je vous imagine ... reposée? Bien, il semblerait que nous soyons tous là et nous pouvons donc reprendre les discussions. Sommes-nous donc d'accord quand à la localisation des Terres que vous nous octroieriez ? Je vous assure que vos populations seront notre priorité et que nous les protègerons. Nous développerons l'agriculture et l'élevage dans ces contrées pauvres et commercerons avec le reste de l'empire. Nous nous acquitterons des taxes et impôts impériaux mais je serais seul maitre de ma horde et gouverneur de ses terres auprès de l'empereur. Mijak n'interviendra pas dans l'organisation de mon Kâhaânat. Je souhaite la mixité des peuples sans contraintes administratives. Sous mon autorité, mes terres seront ouvertes à quiconque voudra s'y installer."
Ghurren laissa la masse d'informations atteindre leur objectif auprès des mijakiens. L'orc donnait autant qu'il demandait et il préservait la proximité immédiate de la capitale.
OoOoOoOoO
Mais contrairement à ce qu'avait cru Ghurren, il manquait bien quelqu'un aux négociations. Fairouz était absente, et pour cause, Garen la pilonnait sans répit et lui faisait subir une sodomie qu'elle n'oublierait jamais. L'anus de la jeune papuanne subissait un écartèlement dément et le gros gland de l'orc tapait loin dans les entrailles malmenées. Garen était rude. Vautré sur Fairouz, il ne lui laissait pas le loisir de souffler, juste celui de se faire démonter le cul. Elle était son trou, son réceptacle à foutre, son orifice à remplir. Elle voulait du hard, c'était bien ce qu'elle recevait, sans limite. L'orc la baiserait jusqu'à ce qu'elle tourne ahegao et soit furieusement détruite, dans le bon sens du terme. Les coups de reins la déboitait, lui cassait le fion. La grosse queue faisait d'elle sa chose à fourrer et quand il n'y avait pas de place pour passer, Garen creusait le passage.