Re: Loin de la cage d'oiseau dorée [avec Korë]
Posté : 07 déc. 2025 09:19
Vi : « N’auriez-vous pas appris la magie Rose, mademoiselle Vi ? »
La Poupée avait tourné sa tête pour qu’au moins un de ses yeux viennent rencontrer le regarde son interlocutrice. Et quel regard ! De si près, son bleu glacial voyait au-dedans un kaléidoscope en mouvement. Il y avait même comme une pétillance au-dedans. La visiteuse au dos « tatoué » semblait avoir un regard capable d’analyse.
Vi : « Je ne sais pas si vous êtes consciente de votre capacité et je ne la matérialiserais pas avec exactitude à voix haute, pour égard à la fragilité de monsieur Camille. Ce dernier étant déjà suffisamment troublé par nos corps et la magie des Couleurs. »
En somme, elle ne dirait rien de l’influence aphrodisiaque des mots de la bardesse. Quelle éducation pour cette femme qui ne cillait pas malgré les attouchements délicats de Camille entre ses cuisses. Ressentait-elle au moins quelque chose ? Elle donnait l’impression que non. Ou de tout retenir derrière un masque. Et un magnifiquement taillé. Qui était l’artisan donneur de vie derrière les traits de Vi ! Ce devait être une personne aux doigts de fée. Ou… une fée aux doigts de fée ? Tout semblait possible avec ce genre de nouvelle situation.
« C’est tellement parfait. Je ne comprends pas… » commença Camille dans un souffle chaud alors qu’il découvrait le corps d’une nouvelle amante. « Je veux dire, ce n’est pas la première fois que je découvre un sexe féminin. J’ai des enfants. Et j’ai récemment, euh, passé un très bon moment avec mademoiselle Korë. Mais… comment dire ? C’est comme avec ces vieilles statues. Qui seraient supposés être sculptés selon les proportions parfaites de la beauté. C’est… c’est chaud. C’est vivant. C’est comme celui de Korë. Et pourtant c’est aussi comme un chef d’œuvre. Une sculpture artistique et organique. Je ne comprends pas. Et moi aussi j’ai chaud. Et je crois que je dis des choses qui n’ont pas trop de sens. Et je crois que je parle trop aussi : ah ah ! » continua-t-il toujours davantage excité.
Nul gémissement de la part de Korë alors que les doigts graciles de Camille s’affairaient. Nul mouvement de sa part tandis que Korë stimulait ses tétons roses. Pour autant, Vi n’était pas froide et insensible. Preuve en était de l’érection de la pointe de ses seins. Ou de l’humidification entre ses lèvres intimes. Son corps réagissait. Par plaisir ou parce qu’elle avait été bâti ainsi. Mais elle réagissait.
Vi : « Pour vous répondre, mademoiselle Korë, je ne suis pas dans la possession de fantasmes. Cela va même au-delà car ce corps est stérile et dans l’incapacité de donner naissance. J’ai longtemps pensé que c’était une erreur ou une malédiction. Mais il me vient aujourd’hui à l’idée que je me suis peut-être toujours trompée. Quelle idée saugrenue vient de se nicher dans ma tête. Car je me demande alors si, avec vous deux, je ne serais pas capable d’être la matrice des Couleurs ? »
Que venait-elle de dire ? Donner naissance à des Couleurs ? Accoucher de magie à l’état brute ? Etait-ce vraiment l’idée de la Poupée ? Etait-ce concevable ? Pourquoi pas. Après tout, Korë était capable de pondre des œufs qui disparaissaient alors dans l’air ambiant en s’étiolant pour ensuite se rematérialiser sous la forme de « monstres ». Alors pourquoi pas l’idée de la Poupée ?
La Poupée avait tourné sa tête pour qu’au moins un de ses yeux viennent rencontrer le regarde son interlocutrice. Et quel regard ! De si près, son bleu glacial voyait au-dedans un kaléidoscope en mouvement. Il y avait même comme une pétillance au-dedans. La visiteuse au dos « tatoué » semblait avoir un regard capable d’analyse.
Vi : « Je ne sais pas si vous êtes consciente de votre capacité et je ne la matérialiserais pas avec exactitude à voix haute, pour égard à la fragilité de monsieur Camille. Ce dernier étant déjà suffisamment troublé par nos corps et la magie des Couleurs. »
En somme, elle ne dirait rien de l’influence aphrodisiaque des mots de la bardesse. Quelle éducation pour cette femme qui ne cillait pas malgré les attouchements délicats de Camille entre ses cuisses. Ressentait-elle au moins quelque chose ? Elle donnait l’impression que non. Ou de tout retenir derrière un masque. Et un magnifiquement taillé. Qui était l’artisan donneur de vie derrière les traits de Vi ! Ce devait être une personne aux doigts de fée. Ou… une fée aux doigts de fée ? Tout semblait possible avec ce genre de nouvelle situation.
« C’est tellement parfait. Je ne comprends pas… » commença Camille dans un souffle chaud alors qu’il découvrait le corps d’une nouvelle amante. « Je veux dire, ce n’est pas la première fois que je découvre un sexe féminin. J’ai des enfants. Et j’ai récemment, euh, passé un très bon moment avec mademoiselle Korë. Mais… comment dire ? C’est comme avec ces vieilles statues. Qui seraient supposés être sculptés selon les proportions parfaites de la beauté. C’est… c’est chaud. C’est vivant. C’est comme celui de Korë. Et pourtant c’est aussi comme un chef d’œuvre. Une sculpture artistique et organique. Je ne comprends pas. Et moi aussi j’ai chaud. Et je crois que je dis des choses qui n’ont pas trop de sens. Et je crois que je parle trop aussi : ah ah ! » continua-t-il toujours davantage excité.
Nul gémissement de la part de Korë alors que les doigts graciles de Camille s’affairaient. Nul mouvement de sa part tandis que Korë stimulait ses tétons roses. Pour autant, Vi n’était pas froide et insensible. Preuve en était de l’érection de la pointe de ses seins. Ou de l’humidification entre ses lèvres intimes. Son corps réagissait. Par plaisir ou parce qu’elle avait été bâti ainsi. Mais elle réagissait.
Vi : « Pour vous répondre, mademoiselle Korë, je ne suis pas dans la possession de fantasmes. Cela va même au-delà car ce corps est stérile et dans l’incapacité de donner naissance. J’ai longtemps pensé que c’était une erreur ou une malédiction. Mais il me vient aujourd’hui à l’idée que je me suis peut-être toujours trompée. Quelle idée saugrenue vient de se nicher dans ma tête. Car je me demande alors si, avec vous deux, je ne serais pas capable d’être la matrice des Couleurs ? »
Que venait-elle de dire ? Donner naissance à des Couleurs ? Accoucher de magie à l’état brute ? Etait-ce vraiment l’idée de la Poupée ? Etait-ce concevable ? Pourquoi pas. Après tout, Korë était capable de pondre des œufs qui disparaissaient alors dans l’air ambiant en s’étiolant pour ensuite se rematérialiser sous la forme de « monstres ». Alors pourquoi pas l’idée de la Poupée ?