Re: Gantz-V [Balthazar Noël]
Posté : 05 avr. 2025 11:46
Après le plaisir, l’effort ! Reika aurait bien passé la nuit avec Balthazar, mais cela n’aurait pas été convenable. Qu’elle le veuille ou non, elle faisait partie de toute cette folie, depuis qu’elle avait perdu la vie, et que Gantz avait décidé, pour une raison inconnue, de la ressusciter. Reika s’extirpa donc du corps accueillant de Balthazar, d’une baise phénoménale, et entreprit de remettre sa tenue de Gantzer. Balthazar ne chercha pas à la retenir, semblant lui aussi comprendre l’urgence qu’il y avait à agir. Ils sortirent donc, et rejoignirent à nouveau les rues de Kumamoto. Leur première destination fut le pont Taiko, là où ils avaient croisé l’hydre. Le cadavre du monstre était toujours là, ainsi que des militaires qui examinaient les lieux. Reika n’avait aucune envie de se faire interroger ou ralentir par eux, et ils évitèrent prudemment les soldats, qui étaient occupés à sécuriser le périmètre.
De l’autre côté du pont, il y avait une avenue principale qui filait tout droit vers le château de Kumamoto. Le château était encore invisible, obstrué par les multiples immeubles. C’était habituellement un quartier très animé, mais, avec ce qui se passait, Reika entendait surtout les alarmes d’urgence de la ville. En s’avançant, ils virent une nouvelle trace de combats à un carrefour. De multiples cadavres de monstres, et Reika frémit en voyant le cadavre d’un Gantzer. Ce n’était pas l’un de ceux qu’elle côtoyait régulièrement. Il avait été partiellement décapité. Reika se pinça les lèvres, et Balthazar en profita pour enfiler sa combinaison.
« Elle te servira plus qu’à lui, maintenant… »
Un constat cruel, mais honnête. Balthazar enfila donc la tenue. Reika observait les lieux pendant ce temps. Balthazar dut à nouveau se déshabiller, car la combinaison devait coller directement à la peau pour produire ses effets. Quand il fut prêt, le duo put continuer. Elle menait la marche, et ils rejoignirent un autre carrefour. En s’approchant, Reika entendit des détonations, et s’abrita derrière une carcasse de voiture. Les militaires avaient établi un poste de contrôle, et mitraillaient les monstres, autour de plusieurs chars qui avaient été déployés à un carrefour central. Reika vit également des drones qui flottaient dans les airs, observant les lieux et soutenant les militaires.
Impossible de passer par là sans s’attirer les hostilités des soldats. Reika préféra se diriger vers une petite ruelle sur sa gauche, et s’avança vers la sortie de celle-ci… Lorsqu’une Jeep militaire s’arrêta devant, et orienta son projecteur sur elle et sur Balthazar.
« Arrêtez-vous ! »
Reika se retourna vers Balthazar, et n’attendit pas longtemps avant de lui donner ses instructions :
« On se replie, vite ! »
Ils rebroussèrent rapidement chemin, tandis que la tourelle de la Jeep se mit à les canarder. Les balles fusèrent autour d’eux, et l’une toucha la jambe de Reika. Si elle sentit la douleur, la combinaison la protégea d’une pénétration de la balle. Ils retournèrent dans la rue, mais, avec les détonations de la Jeep, les soldats à hauteur du carrefour pivotèrent vers eux.
« On doit se réfugier dans un immeuble, vite ! »
Les soldats hurlaient, et les détonations reprirent. Reika courut vers le plus proche immeuble, un building de verre et d’acier.
« On va passer par les toits… » soupira-t-elle.
De l’autre côté du pont, il y avait une avenue principale qui filait tout droit vers le château de Kumamoto. Le château était encore invisible, obstrué par les multiples immeubles. C’était habituellement un quartier très animé, mais, avec ce qui se passait, Reika entendait surtout les alarmes d’urgence de la ville. En s’avançant, ils virent une nouvelle trace de combats à un carrefour. De multiples cadavres de monstres, et Reika frémit en voyant le cadavre d’un Gantzer. Ce n’était pas l’un de ceux qu’elle côtoyait régulièrement. Il avait été partiellement décapité. Reika se pinça les lèvres, et Balthazar en profita pour enfiler sa combinaison.
« Elle te servira plus qu’à lui, maintenant… »
Un constat cruel, mais honnête. Balthazar enfila donc la tenue. Reika observait les lieux pendant ce temps. Balthazar dut à nouveau se déshabiller, car la combinaison devait coller directement à la peau pour produire ses effets. Quand il fut prêt, le duo put continuer. Elle menait la marche, et ils rejoignirent un autre carrefour. En s’approchant, Reika entendit des détonations, et s’abrita derrière une carcasse de voiture. Les militaires avaient établi un poste de contrôle, et mitraillaient les monstres, autour de plusieurs chars qui avaient été déployés à un carrefour central. Reika vit également des drones qui flottaient dans les airs, observant les lieux et soutenant les militaires.
Impossible de passer par là sans s’attirer les hostilités des soldats. Reika préféra se diriger vers une petite ruelle sur sa gauche, et s’avança vers la sortie de celle-ci… Lorsqu’une Jeep militaire s’arrêta devant, et orienta son projecteur sur elle et sur Balthazar.
« Arrêtez-vous ! »
Reika se retourna vers Balthazar, et n’attendit pas longtemps avant de lui donner ses instructions :
« On se replie, vite ! »
Ils rebroussèrent rapidement chemin, tandis que la tourelle de la Jeep se mit à les canarder. Les balles fusèrent autour d’eux, et l’une toucha la jambe de Reika. Si elle sentit la douleur, la combinaison la protégea d’une pénétration de la balle. Ils retournèrent dans la rue, mais, avec les détonations de la Jeep, les soldats à hauteur du carrefour pivotèrent vers eux.
« On doit se réfugier dans un immeuble, vite ! »
Les soldats hurlaient, et les détonations reprirent. Reika courut vers le plus proche immeuble, un building de verre et d’acier.
« On va passer par les toits… » soupira-t-elle.