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Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:21
par Mélinda Warren
Kamiye était sous le charme. Mélinda sourit donc en le voyant devenir docile, et beaucoup plus apaisé.

« Le sperme n’a jamais ce goût-là, mon mignon. D’ordinaire, cela te donne plutôt envie de vomir. Mais le mien est un peu spécial… Et ce grâce à cette marque qui t’attire, et qui influe aussi sur toi. C’est un inmon, une marque de luxure… Le sceau de la Déesse Lust. Cette marque magique influe sur le désir sexuel, et permet de faire bien des choses. Si tu étais une femme, elle me permettrait de te faire entrer en ovulation. Comme tu es un homme, elle me permet de maintenir ton érection même après que tu aies joui… Ou de rendre mon sperme beaucoup moins écœurant. J’apprends encore à la maîtriser, mais je suis une élève très douée. »

Elle se redressa un peu. Jouir était toujours aussi agréable, et ce fut pour elle une véritable décharge salvatrice, une explosion sensorielle s’insinuant dans tout son corps. Quel plaisir, vraiment ! Elle s’était relâchée avec force, s’abandonnant totalement pendant quelques secondes à cette sensation de plaisir névralgique. Maintenant, Mélinda revenait à elle, et elle se sentait encore tout excitée. Sa verge trempée restait assez solide, et Kamiye attendait ses instructions. Mélinda soupira doucement, réfléchissant doucement à la suite. Elle se redressa lentement, et posa son pied sur l’une des épaules de Kamiye, puis un léger sourire mutin traversa les lèvres. On aurait presque pu y voir une jeune fille qui s’amusait de sa blague. Elle poussa alors, et coucha Kamiye sur le sol, l’étalant sur un tapis.

Mélinda se releva au-dessus de lui, puis se retourna, et abaissa son visage à hauteur de sa bouche.

« Tu as soif, hein ? Moi aussi, ça tombe bien… Viens donc abreuver ta Maîtresse, mon petit rebelle… Et retourne te nourrir à la source… »

Tenant d’une main son sexe, Mélinda abaissa sa verge pour pouvoir l’enfoncer plus facilement dans la bouche de Kamiye, et elle déplaça son autre main pour attraper le sexe du jeune homme. Un sexe assoiffé qui allait sûrement juter rapidement en elle. Se pinçant les lèvres, elle se pencha vers ce membre, et commença donc à le prendre en bouche, venant le sucer avec appétit…

« Hmmm… »

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:22
par Kamiye Goupile
L’inmon. Kamiye ne comprenait pas tout. Un tatouage qui brillait ? Un dessin sur la peau qui modifiait le goût du sperme ? Qui avait un pouvoir d’ensorcellement sur son esprit ? Et qui était donné par une Déesse ? C’était étrange de penser qu’il y avait une Déesse au-dessus de sa Maîtresse ? Et puis, si ça faisait tant de choses et qu’il devait plaire à sa Maîtresse : est-ce que lui aussi devait se faire tatouer ?

Mais il garda pour lui ses réflexions. S’il y repensait plus tard, il demanderait s’il devait commencer à étudier cette religion de Lust.

Parce que là, ses yeux s’ouvrirent grands. Tout contact avec sa Maîtresse était agréable. Même un pied sur son épaule. En fait, ce qui était vraiment important, c’est que Kamiye vivait quelque chose avec quelqu’un. Alors, il… QUOI ! Pourquoi cette soudaine violence ? Cherchait-elle de nouveau à la torturer ? La bête en lui avait pourtant été mise à la niche. Etait-il trop mou pour elle ? Trop hésitant ? Il avait bien vu son soupir. L’avait-il déçu à attendre sagement les prochaines instructions ?

*Soif ?! Est-ce qu’elle va me faire pipi dans la bouche ? *

Kamiye ne savait plus quoi penser. Si une partie de lui était révulsée par ce qui ressemblait à une humiliation, une autre était… curieuse. Oui, Kamiye avait déjà subi ce genre d’humiliation. Et il avait soigneusement enterré ces moments de sa vie très loin dans son inconscient. Mais… si le sperme normalement écœurant avait bon goût avec sa Maîtresse ? Est-ce que son urine aurait aussi un goût différent ?

Il n’eut pas le temps de poser ces questions. A nouveau, il garda tout ça dans sa tête pendant que sa petite bouche était de nouveau prise d’assaut par le vit de sa Maîtresse. Il ne put s’empêcher de relever le bassin quand il sentit, à l’aveugle, une main se saisir de son pénis. Et voilà que le contact était encore plus agréable. La bouche de sa Maîtresse. Sa chaleur. Son humidité. Et tout ça sans rien pouvoir voir car ses yeux étaient tout comme aveugle. Et tout le corps, sa chaleur et son magnétisme, était au-dessus du sien.

Bien évidemment que la jouissance vint rapidement ! Son corps se cambra. Il se sentit même mal lorsque, à cause de l’éjaculation, sa verge chercha à entrer le plus loin dans la bouche de sa Maîtresse. Il ne voulait pas lui faire mal ou l’étouffer, ni rien. Mais le plaisir avait commandé. Et puis, même son esprit s’y était mis. Après tout, sa maîtresse lui avait commandé de faire disparaître sa soif.

Et encore à ce moment-là, il n’avait rien osé faire de ses mains. Oui, bien sûr, l’idée de les poser sur les reins ou les fesses nues de sa Maîtresse lui avait passé par la tête. Mais elle ne l’avait pas demandé. Et il n’avait pas d’éducation sexuelle. Qui plus est, il ne savait pas encore voir la limite. Entre ce qu’il avait le droit de faire ou non. Ce qu’il devait faire ou non. Il avait tant à apprendre.

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:22
par Mélinda Warren
Kamiye était comme une page blanche, une page vierge sur laquelle Mélinda allait pouvoir écrire et façonner sa personnalité. Une page qui n’était toutefois pas si vierge que ça, puisqu’elle avait déjà repéré chez le jeune homme quelques lignes de crête, comme sa passion pour les vêtements, la haute couture. Elle allait bien s’occuper de lui. Pour l’heure, elle savait qu’il ne lui faisait pas confiance, que sa servitude était forcée, qu’elle était le fruit de la peur. C’était donc à elle de muer cette peur en respect, et qu’il lui obéisse, non par crainte, mais par dévotion, par amour… Comme un fidèle dévot devant sa divinité. Cela, c’était son rayon, et c’était un domaine dans lequel elle excellait. Le jeune Kamiye ne s’en rendait pas encore compte, mais il était une délicieuse pâte à modeler que Mélinda allait ériger en une magnifique statue. Oh oui, elle allait s’amuser avec lui ! Et, pour l’heure, elle le pompait avec passion, tout en caressant ses cuisses. Elle déplaça ses mains pour caresser ses bourses. Elle se mit à les gratter, bien placée pour savoir combien les hommes étaient sensibles par ici. Elle sentit les muscles de Kamiye se crisper, et le résultat infusa rapidement : du sperme éclata dans sa bouche !

« Hmmm… »

Mélinda lui offrit sa première gorge profonde en le faisant jouir, sa queue tendue venant taper contre le fond de sa bouche, remuant légèrement dans sa gorge. Elle le sentit donc s’abandonner à ce plaisir suprême. Les choses auraient pu en rester là, mais Mélinda était bien décidée à agir, et à lui montrer de quoi elle était capable. Ses iris prirent à nouveau une teinte rose, mais aussi rouge, ce que le jeune homme ne put voir. Sa verge se ramollit avant de retrouver sa dureté, tandis que Kamiye sentit alors comme des fourmillements dans ses mains. C’était comme si ses doigts échappaient à son contrôle !

*[MT] Ne panique pas, mon chéri, je veux te montrer… [/MT]*

Oui, c’était bien la voix de sa Maîtresse qu’il entendait dans sa tête ! Kamiye aurait pu résister à ce contrôle, mais sa soumission jouait contre lui. Il sentit alors ses mains se déplacer, et chacune alla se poser sur les fesses de la vampire. Le corps de Mélinda se cambra, et elle gémit, avant que Kamiye ne sente également ses doigts se crisper, et malaxer les deux belles fesses de Mélinda, les remuant dans tous les sens, appuyant dessus.

*[MT] Comme ça, mon chéri… Sache que ta Maîtresse aime beaucoup qu’on presse et qu’on malaxe son petit cul, comme ça… Et toi, tu aimes sentir mes fesses contre tes mains ? [/MT]*

Il ne pouvait pas répondre, mais ce n’était pas très important. Mélinda continuait à jouer avec lui, et elle prenait son pied à faire ça !

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:23
par Kamiye Goupile
C’était vraiment perturbant. Perdre le contrôle de son corps. Pas seulement jouir dans la gorge de sa Maîtresse (ce qui était déjà troublant). Mais perdre le contrôle de ses mains et les voir bouger comme si elles étaient tendues avec des fils de marionnettiste. Bien heureusement, l’expérience n’était pas douloureuse. Au contraire, sentir la peau de sa Maîtresse sous ses mains étaient agréables. Découvrir la méthode avec laquelle elle aimait ça était aussi délectable pour son état d’esprit d’esclave voulant absolument assurer dans son rôle.

*C’est trop bizarre, tout ça. Cette voix dans ma tête qui n’est pas la mienne. Cette voix qui me pose une question alors que je ne peux pas répondre. *

Kamiye avait senti que sa Maîtresse avait usé d’une magie. C’était obligé. Il n’aurait pas du pouvoir bander à nouveau et si vite. C’était forcément de la magie. Ce petit tatouage au-dessous son nombril qui brillait. Celui-là même qui permettait au sperme d’avoir un goût agréable. Oui, c’était forcément ça.

*Mais… si j’entends sa voix dans ma tête. Est-ce qu’elle entend la mienne ?! *

Soudainement, un mouvement de panique afflua. S’il ne pouvait même plus mentir en esprit… Non. Ce n’était pas qu’il voulait mentir. Mais tout esclave devait faire un travail sur lui-même pour être présentable. C’était comme serrer le poing de colère mais le cacher dans le dos. On pouvait user d’artifice pour gérer des émotions qu’il ne fallait pas exhiber. Si sa Maîtresse était dans sa tête, il n’avait plus du tout d’échappatoire !

*Euh… vous m’entendez, Maîtresse ? *

Qu’elle l’entende ou non, Mélinda serait forcément averti que son nouvel esclave était (encore une fois) perturbé. Simplement parce qu’il ne suçait plus la queue qu’il avait en bouche. Prisonnier de leur position, il ne pouvait pas non plus se retirer. Il mobilisait donc toute son énergie à respirer et se concentrer sur le flux de ses pensées.

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:23
par Mélinda Warren
La télépathie était une magie complexe et très variable. L’efficacité du contrôle mental d’une personne à une autre dépendait de beaucoup de critères. Un parfait inconnu aurait beaucoup de mal à contrôler une autre personne, mais, en ce qui concerne Kamiye, il s’avérait moins facile à contrôler que ce que Mélinda pensait. Elle sentait chez lui une personnalité furieuse, un être sauvage, né d’années de ressentiment, qui ne demandait qu’à se libérer, qu’à se révolter. Un être sauvage que Kamiye avait verrouillé, une bile de ressentiment qui risquait à terme de lui provoquer un ulcère. Mélinda le sentait aussi paniquer, mais elle ne perçut pas ses pensées… Elle ne perçut que celle qu’elle lui adressa, et elle y répondit, sentant toutefois que le corps de Kamiye s’était comme arrêté, se figeant sous la surprise.

*[MT] Je ne perçois que les pensées que tu me destines, mon beau Kamiye. Enfin, je pourrais m’enfoncer dans ta psyché, mais tu me résisterais. Je le perçois. Tu es beaucoup moins docile et soumis que tu aimes le faire croire, mon chéri. [/MT]*

Elle souhaitait le rassurer, alors elle rajouta rapidement, tout en malaxant avec ses mains ses belles fesses :

*[MT] Ne t’inquiète pas, je ne te contrôle pas… Si j’essayais vraiment de le faire, tu résisterais, et ce serait bien plus désagréable pour nous deux. [/MT]*

Mélinda continuait à doucement le pomper, et reprit ensuite :

*[MT] Ce lien existe parce que nous sommes intimement connectés. Je sais que tu as peur de moi, Kamiye, et je sais que tu es confus. J’aimerai t’inviter dans mes souvenirs, si tu m’y autorises. Je veux que tu vois mon passé, et que tu comprennes que je ne suis pas ton ennemie. Pour ça, le rapport physique est un excellent moyen, car nos esprits se rencontrent au même titre que nos corps s’enchevêtrent. [/MT]*

Et il y avait surtout un moyen de le faire… C’était lors de l’orgasme. Mélinda se concentra donc. Lors de l’orgasme, pendant une infime poignée de secondes, toutes les barrières mentales s’affaissaient. Et, quand l’orgasme était simultané, quand deux corps rentraient en osmose, les esprits n’en faisaient alors plus qu’un, pendant un moment bref, si fugace qu’il était impossible de le sentir. D’un point de vue freudien, on aurait pu dire que, au moment de l’orgasme, au moment précis de l’ultime jouissance, le moi s’effaçait, la partie consciente laissait la place à la partie inconsciente du cerveau.

Alors, Mélinda le fit jouir en même temps qu’elle. Leur sperme fusa dans la bouche de l’autre, et Kamiye, au moment de jouir, sentit son esprit divaguer, l’emporter au loin…

…Et, quand il rouvrit les yeux, il était devant ce qui ressemblait à un salon. Une immense bibliothèque se tenait devant lui, si haute qu’on n’en voyait pas le sommet. Une cheminée abritait un feu en activité dans son dos, ainsi qu’un fauteuil devant la cheminée. Assise à l’intérieur, Mélinda lui sourit.

« Bienvenue, Kamiye. Tu es dans mon esprit… Ou, disons, dans une antichambre, une sorte de zone-frontière entre nos deux esprits. Je t’ai ouvert la porte de mon esprit, et tu y resteras jusqu’à ce qu’elle se ferme. »

Tout cela pouvait être assez déstabilisant pour Kamiye.

« Cette bibliothèque que tu vois là est une représentation psychique de mes souvenirs. Chacun se représente sa mémoire comme il l’entend. Du premier moment où ton esprit s’est formé dans le ventre de ta mère jusqu’à aujourd’hui, ton cerveau a enregistré l’intégralité de tes souvenirs. Rien ne se perd jamais, mais tes souvenirs latents sont enfouis dans les profondeurs de ton cerveau… Ou, dans mon exemple, dans des étagères si hautes qu’il m’est impossible d’y accéder. »

Mélinda se redressa, et lui sourit doucement.

« Je voulais te montrer certains de mes souvenirs, mon chéri, pour que tu comprennes qui je suis. Mais, si tu veux, tu peux aussi mettre fin à notre session. Il te suffit d’ouvrir cette porte. »

Du doigt, Mélinda désigna la porte au fond de la pièce, à côté de la cheminée. Puis, elle tendit sa main.

« Mais, si tu me fais suffisamment confiance, alors attrape ma main, et laisse ta Maîtresse comment elle est devenue une Maîtresse… »

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:23
par Kamiye Goupile
C’était probablement idiot, mais ça avait été un soulagement. Le fait de savoir que Mélinda ne pouvait pas totalement le contrôler. Le fait que, si elle poussait, elle se frotterait à cette Bête en lui, et en ressortirait ensanglantée. Et en même temps, s’il était fier d’avoir ce « guerrier » en lui qui pouvait intimement le défendre… et bien, il ne le souhaitait pas. Cette femme (qui était davantage femme que Maîtresse dans ce monde au-delà des corps… étrangement ?...), il ne lui souhaitait que du bien. Car cette femme était gentille avec lui. Cette femme avait tant à lui offrir qu’il acceptait déjà cette servitude pour qu’il puisse enfin exister. Exploiter ses capacités. Visiter ses propres rêves. Mais surtout, chercher à les réaliser.

Et alors qu’il comprenait ça dans une espèce de fragrance de pensée (ce n’était absolument pas un monologue posé et réfléchi, tout était de l’ordre de l’instinct) : il y eut échange de sperme. Voyage étrange et impossible post-coït. Et… Kamiye était à nouveau complètement désorienté. Il était dans un lieu impossible. La preuve était cette bibliothèque dont il ne pouvait pas voir la fin.

Les mots ne parvenaient pas à sortir de sa bouche. Il écoutait sa Maîtresse. Il découvrait la porte. Mais elle paraissait froide, sombre et poussiéreuse. Kamiye avait en quelque sorte peur de ce qu’il y avait derrière. Ca lui évoquait davantage un piège qu’un moyen de fuir. Non, ce feu qui brûlait dans l’âtre lui plaisait. A moins que ce fut sa Maîtresse qui était juste devant ?

Kamiye se rapprocha tel un somnabule de l’impossible bibliothèque. Il n’avait toujours rien répondu à sa Maîtresse. Mais dans ce lieu, le temps ne semblait rien vouloir signifier. Peut-être qu’instinctivement, il le savait. Et c’était probablement pour ça qu’il ne s’inquiétait pas d’une prochaine punition pour avoir été un mauvais esclave trop lent à réagir.

Donc sa main caressa les dos des livres. Il y avait des mots ici et là. Mais il ne savait pas lire… Le contact paraissait chaleureux pour des objets inertes. Peut-être étaient-ils vivants si emplis de souvenirs ? Kamiye ne savait pas. Mais il continuait à laisser glisser la pulpe de ses doigts dessus. Et, une nouvelle fois, il ressentit ce qu’il cachait au fond de lui. Une énième fois, il entendit au loin les grondements de la bête qui voulait saccager les souvenirs de leur nouvelle Maîtresse. Mais… non. Il ne le ferait pas. Cette femme, il voulait apprendre à la connaître. Oui, il était sur et certain de lui à cet instant.

De ce voyage impossible dépendrait de son asservissement voulu ou de la libération de la Bête en lui.

Il quitta la bibliothèque et se rapprocha de la cheminée. Il tendit la main vers celle de sa nouvelle Maîtresse. Jusqu’à ce qu’ils sentent ses doigts s’entrelacer et ressentir sa chaleur à elle se mêler à la sienne. Que le voyage l’emporte.

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:23
par Mélinda Warren
Le décor changea rapidement quand leurs doigts s’entrelacèrent. La bibliothèque n’était qu’une vue de l’esprit, et ils arrivèrent désormais dans un long couloir. C’était un couloir ressemblant à ceux du harem, mais avec de nombreuses vitres recouvertes par de la brume. Mélinda se rapprocha de la première vitre, et la brume se dissipa peu à peu, montrant une scène à l’intérieur. Toutefois, la scène se présenterait sous la forme d’images figées qui s’affichaient l’une après l’autre.

« C’est un souvenir reconstitué, un souvenir tel que je l’imagine, mais sans me rappeler l’avoir vécu… C’est le moment de ma naissance. »

On pouvait voir une chambre, un lit, et une femme, qui ressemblait énormément à Mélinda, mais en plus âgée. Elle avait les mêmes yeux verts perçants que ceux de Mélinda, mais semblait épuisée. Et, tandis qu’on la voyait mettre au monde Mélinda, on pouvait aussi la voir s’épuiser de plus en plus, jusqu’à ce que, comme de manière prophétique, Mélinda ne naisse dans un geyser de sang, qui se manifestait sur les diapositives par une tâche rouge s’étalant de plus en plus sur le lit blanc.

« Ma mère, Elizabeth, était une femme très fatiguée… Elle a subi ce qu’on appelle une hémorragie de la délivrance, et est morte en me mettant au monde. Mon père biologique, Adam, ne l’a jamais supporté. Elizabeth était la dernière chose qui l’empêchait de devenir fou. »

Une ombre grandissait dans l’image, l’ombre déformée et massive d’un homme qui englobait Mélinda, et dont on devinait la dangerosité. Le souvenir s’interrompit ensuite, et Mélinda se rapprocha d’une autre vitre.

Un second souvenir se forma, court. Un souvenir sombre, où on ne voyait pas grand-chose, si ce n’est une petite cage dans une pièce froide et sans meubles, sans tapisserie. Une cage à lapin où on pouvait voir des petites mains jaillir nerveusement des barreaux.

« Je suis née et j’ai grandi en captivité, Kamiye. Au début, j’étais dans cette cage, une esclave s’occupait de moi. À l’époque, les esclaves de la maison vivaient dans les cachots. Mon père m’avait laissé là. Quand j’ai commencé à grandir, on m’a sorti de la cage. »

La voix de la vampire était posée, mais on sentait en elle une colère sourde qui ne s’était jamais totalement évacuée. Elle se déplaça encore, et un troisième souvenir, plus complet, se développa ensuite. Mélinda était alors plus âgée, d’une pâleur cadavérique, et n’avait rien de la femme sûre d’elle et sensuelle qu’elle était. C’était une souillonne, aux cheveux abîmés, portant des vêtements rapiécés, qui venait d’être vendue. Elle expliqua à Kamiye que son père l’avait vendu en espérant que son nouveau propriétaire abuserait d’elle. Il était loin de se douter de la réalité des choses.

« Nous souhaitons nous débarrasser de ton père. Tu as deux options : soit nous aider, soit accepter ton sort. »

La jeune Mélinda, encore humaine, serra le poing en relevant la tête vers son nouveau propriétaire.

« Je le hais plus que tout au monde. Que dois-je faire ? »


Mélinda donna le contexte :

« Mon père me battait très souvent. Je n’ai su que bien plus tard que mes nouveaux maîtres cherchaient à récupérer son domaine. Mais, à l’époque, je m’en moquais, je voulais juste le faire payer. Tu vois, c’est amusant, ce sont les autres esclaves de la maison qui me soignaient, et qui prenaient soin de moi, et qui me disaient combien ma mère était gentille. Pour elles, c’était mon père qui avait provoqué sa mort, et moi, je le haïssais parce que je le pensais responsable de sa mort… C’est curieux, quand j’y repênse… Aimer une personne qu’on n’a jamais connue. Et, même maintenant, je crois que j’aime toujours ma mère, même si je ne l’ai jamais connu. Bref, le plan de mes nouveaux propriétaires était de me transformer en vampire, pour que je tue mon père. Je ne comprenais pas alors comment ce plan pourrait marcher, car mon père me haïssait tellement qu’il ne voudrait jamais me revoir. Je n’avais pas alors compris qu’il me haïssait parce que je lui rappelais trop sa femme. »

Elle se déplaça jusqu’à un autre souvenir. C’était celui d’une soirée ici, où Mélinda était venue bien habillée, et nettoyée. Elle avait revu son père, Adam, et on pouvait les voir dans un couloir. Adam, passablement éméché, avait coincé Mélinda contre un mur, et l’appelait « Elizabeth ». Il avait le sexe à l’air. Dans ce souvenir flou mais persistant, la vision de la verge était palpable.

« C’est quand il m’a demandé de le sucer… J’ai pris son phallus en bouche, et j’ai… Mordu. »

Le souvenir vira au rouge quand le sexe coupé d’Adam libéra du sang abondamment. Son père s’était enfui dans le salon principal où Mélinda l’avait poursuivi, lui sautant dessus, et l’avait ensuite massacré. Elle ne s’était pas contentée de le tuer proprement, elle l’avait lacéré, griffé, se recouvrant de son sang, hurlant et pleurant à la fois. Une mort cathartique.

« En tuant mon père, j’ai récupéré ses propriétés. Je voulais tout vendre, je ne voulais rien de lui… Et j’ai de fait tout vendu, sauf ce manoir. C’est la seule chose que j’ai conservé. »

Après ce souvenir très violent, Kamiye put voir un autre souvenir. Mélinda ressemblait alors à celle qu’elle était aujourd’hui, et elle était en compagnie des esclaves qu’elle souhaitait affranchir.

« Nous avons grandi ici, Mélinda, nous sommes nées ici. Je ne sais ni lire, ni écrire. Quelle chance crois-tu que j’aurais dehors ?
Tu ne peux pas nous affranchir. Et toi, que feras-tu ?
Les vagabonds ne finissent jamais bien. Nous redeviendrons esclaves auprès d’autres personnes. »


Un léger sourire orna les lèvres de Mélinda :

« Tu vois, c’est ironique, je n’ai jamais voulu être esclavagiste… Refaire ce que mon père a fait, gouverner par la terreur et la cruauté. J’ai accepté d’être leur Maîtresse, et ce sont elles qui m’ont appris comment exercer ce rôle. »

Elle se retourna alors vers Kamiye, et lui fit un câlin.

« Je sais que tu as peur, Kamiye, et c’est normal. Mais je voulais te montrer ce que j’ai vécu, car je me dis que cela devrait résonner en toi… Je ne cherche pas à ce que tu m’obéisses par peur, Kamiye, mais par choix… Je suis devenue ce que je suis par choix. Je ne cherche pas à asservir, mais à protéger. Ce n’est pas ta peur que je veux, c’est ton amour. Et cela, ça s’obtient plus difficilement. »

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:23
par Kamiye Goupile
Ca perturbait fortement Kamiye tout ce voyage mémoriel. Ce qui était certain, c’est qu’il n’entendait plus la Bête vouloir se repaître de sa Maîtresse. Avoir découvert ce carnage sur celui qui avait été son père… tout cela provoqué par l’acte tabou de la fille de prendre en bouche le sexe du père… avant d’effectuer une décapitation… Non. Décidément, il y avait trop de choses qui n’allait pas dans la genèse de sa Maîtresse. Elle ne pouvait plus inspirer de la peur ou de la colère. Il ne pouvait y avoir de la place que pour la compassion et la pitié. Voire peut-être de l’amour comme elle le demandait.

Alors Kamiye répondit au câlin en refermant ses bras autour du corps de Mélinda. S’il avait déjà remarqué qu’elle n’avait pas le corps immense et musclé d’un homme : à cet instant, elle lui paraissait si petite et fragile. Et pourtant, lui-même n’était pas grand et fort.

« Je… »

Il ne savait pas. On lui demandait tant. Il n’avait tellement pas l’habitude d’avoir tant de pression sur ses frêles épaules.

Puis il décida de se lancer.

« On ne serait pas dans ce lieu bizarre, je penserais très fort que c’est une nouvelle manipulation. Tordue, compliquée mais une manipulation. Les propriétaires de gens sont souvent capable d’avoir une grande imagination pour être pervers et faire souffrir ce qu’ils ont acheté. Mais ici, dans ce lieu bizarre et… « rouge », je ne vois pas de manipulation. »

C’était bizarre d’avoir remplacé le mot sang par « rouge ». Mais Kamiye n’avait pas eu la force. Peut-être aussi une façon de ne pas infliger une seconde fois en si peu de temps les traumatismes qu’avait subi sa Maîtresse.

« Je ne peux pas dire que la peur a disparu. Il y a toujours de la peur. Mais plus pour les mêmes choses. Il y a de la peur pour le futur. En me demandant si je vais réussir à me faire accepter les autres. De la peur si je vais réussir à créer quelque chose de beau avec mes doigts. Ce genre de peur.

Et puis, vous restez bizarre. Même si ça peut se comprendre avec ce que je viens de voir, vous restez bizarre. Vous ne voulez pas être une esclavagiste. Mais vous voulez quand même me posséder. Vous ne voulez pas que je me rebelle. Pourtant, vous voulez que je fasse des choix. Mes choix. Oui, vous êtes bizarre.

Mais vous êtes aussi la première Maîtresse qui me donne tant d’importance. Qui me donne envie de faire des efforts. Pas pour survivre jusqu’à la fin de la journée sans avoir été trop humilié. Mais pour demain et les jours d’après. Pour que je puisse faire quelque chose. Des choses, de belles lingeries qui auront des impacts chez d’autres gens.

Alors, si je dois être honnête : vous n’avez pas mon amour. Mais vous avez mon admiration. »

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:24
par Mélinda Warren
Mélinda sourit doucement, et caressa la joue de Kamiye quand il termina son monologue, en lui indiquant que, si elle n’avait pas son amour, elle avait à tout le moins son « admiration ». Elle lui sourit donc, tandis que le rêve s’effilochait. Kamiye avait vu le passé de Mélinda, il pouvait voir les contradictions de la jeune femme, mais aussi sa sincérité. Peut-être croyait-il encore à un piège, ce serait vraisemblable. Mais Mélinda ne mentait pas.

« Tant mieux… L’amour, on ne l’obtient pas si facilement, mon mignon… Mais je te retourne le compliment : toi aussi, tu es bizarre ! »

Tout devenait flou, instable… Et le duo revint alors à la réalité. Chacun retrouva son corps, et les deux purent jouir mutuellement, chacun dans la bouche de l’autre. Mélinda soupira lentement en relâchant la pression, et se redressa alors. Elle se retourna vers Kamiye, en lui souriant. Rien n’avait changé, et, pourtant, tout risquait bien d’être très différent. Elle avait joué cartes sur table, elle lui avait tout montré. Mélinda se releva, rétractant sa verge, son clitoris reprenant ainsi une forme normale, et elle bondit en arrière, s’étalant sensuellement sur le lit.

« Allez, mon Kamiye ! Après ce que tu as vu, tu sais ce que tu dois faire, non ? Viens me faire l’amour… »

Mélinda était là, drapée dans les beaux atours que Kamiye avait mis sur elle. Jambes écartées, son sexe était offert à la curiosité du jeune homme. Il venait de jouir, bien sûr, mais son érection était toujours là, Mélinda s’en était assurée. Elle le voulait pour elle, et, si Kamiye avait bien pu comprendre une chose lors de ce voyage initiatique, c’est qu’on ne refusait pas grand-chose à Mélinda. Le jeune homme n’avait plus qu’à grimper sur le lit, et à s’unir à elle, à cette Maîtresse si particulière, mais qui refermait progressivement sa délicieuse emprise sur le jeune homme…

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:24
par Kamiye Goupile
Elle avait dit qu’il était « bizarre ». Kamiye ne l’avait pas pris dans le sens de « monstre ». Non, il l’avait perçu comme étant quelqu’un de « singulier ». Quelqu’un qui se démarque. Quelqu’un de différent. Et… si ça n’était qu’un détail, ça renforçait le travail de Mélinda : à savoir qu’il n’était plus un esclave sans nom et existait seulement pour effectuer des tâches pour des gens qui se pensaient « plus importants » parce qu’ils étaient nés avec des cuillères en or dans le cul.

Et voilà que sa Maîtresse lui parlait gentiment, complètement étendue sur le lit. Ses cuisses ouvertes comme un appel. Un CRI impossible à ne pas entendre. Oui, cette femme était belle. Cette femme était puissante et lui ouvrait une porte vers un futur intéressant. Et cette femme était aussi faible et faillible que lui. Seulement, elle avait su ne pas ployer sous les forces qui la dominaient. Elle avait su transformer sa vie pour qu’elle vaille la peine d’être vécue.

*Donc à moi aussi ça peut arriver ! Je dois commencer à y croire. *

Il y avait des tremblements dans ses membres alors qu’il se relevait. Debout, il sentait de nouvelles sensations l’assaillir. Ce n’était pas la « Bête » bien que c’était quelque chose d’aussi bestial. Oui, cette bouille innocente. Ce corps d’une blancheur immaculée mis en avant via le choix de sa lingerie. Ses cuisses ouvertes. Kamiye ne se faisait pas tenter par la Bête mais avait bel et bien envie de prendre cette femme.

Alors il s’approcha avec timidité. Mais néanmoins avec une lueur dans le regard. Ce petit éclat propre aux esprits échauffés par l’idée d’être sur le point de se complaire dans le sexe.

« Je suis désolé. Je ne suis pas expérimenté. Je suis sur que je vais être maladroit. »

Malgré toutes ses excuses et ses mots qui étaient loin du mâle se complaisant dans l’assurance et l’arrogance de ses capacités : Kamiye ne s’arrêta jamais et se rapprocha toujours plus de Mélinda. Un scénario aurait pu le conduire à prendre de ses petits bras les jambes de sa Maîtresse pour la rapprocher du bord du lit. Mais il n’avait pas cette audace. Alors il grimpa sur le lit. Il était juste au dessus d’elle. Sa respiration s’accélérait. Il devait avoir les joues rouges tellement il les sentait brûlantes. Son sexe avait déjà effleuré la peau intime. Il se rendit alors compte à quel point il était proche d’elle.

« Je… je vais y aller. »

Il ne savait plus où regarder. Les yeux magnétiques de sa Maîtresse ? Sa verge afin de trouver la voie ? Il essaya de faire les deux. Mais… il y parvint. La tête du gland sentait une douce chaleur. Il allait y aller doucement. Mais une pulsion le fit alors entrer d’un seul coup ! Comment résister maintenant ?

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:24
par Mélinda Warren
Kamiye et Mélinda étaient sortis de leur rêve commun. Maintenant, Kamiye était face à son destin. Le sexe de sa Maîtresse lui était offert, et il avait maintenant suffisamment confiance en elle et en lui pour y aller. Elle sourit donc quand il se positionna, et lui avoua qu’il était « inexpérimenté ». Cela l’amusa, et elle gloussa même.

« Tu es vraiment trop mignon, Kamiye… Tu es le premier homme qui s’apprête à me faire l’amour en me disant qu’il est désolé ! »

De fait, sa prestation ne risquait pas d’être objectivement spectaculaire, mais Kamiye pouvait volontiers compter sur les talents infinis de sa Maîtresse pour rendre l’expérience mémorable. Il se rapprocha d’elle, nerveux, et s’allongea contre elle, se penchant petit à petit vers sa Maîtresse. Remontant sa main, Mélinda caressa sa joue, son autre main glissant sur son torse. Elle appuya dessus, griffant très légèrement sa peau. Pas de quoi le blesser, naturellement, mais juste assez pour l’exciter un petit peu. Elle sourit malicieusement, et sentit la verge du jeune homme s’appuyer contre ses lèvres intimes.

« Baisse la tête, regarde où tu vas… »

Sa voix était douce, mais légèrement appuyée. Mélinda aussi était excitée ! Kamiye la faisait tourner en rond depuis le début de la soirée, et la vampire n’était pas connue pour sa très grande patience en la matière. Il se positionna donc, et elle soupira en sentant sa verge heurter ses parois intimes. Le jeune homme tâtonna un peu, mais, finalement, elle soupira, et, écarta les cuisses, sentant le membre glisser en elle. Il heurta ses parois internes, et elle releva ses jambes, venant les enrouler autour de sa taille. Ainsi immobilisé, Kamiye lui appartenait ! Toutefois, elle ne serrait pas ses jambes, le laissant se mouvoir, n’appuyant que quand il manquait de trop s’éloigner.

Une fois bien en elle, Kamiye put la prendre, et Mélinda l’embrassa alors, serrant sa nuque avec l’une de ses mains. Elle l’embrassa avec appétit, et descendit son autre main, venant malaxer l’une des fesses de Kamiye. Sa main appuya sur son postérieur, et elle comprima sa chair dessus, gémissant de plaisir contre lui. Elle le laissait faire, soupirant doucement, usant de sa magie rose pour l’empêcher de jouir trop vite, afin qu’elle-même puisse en profiter.

« Là, Kamiye, oui… Viens, viens en moi, hmmm… Mon beau Kamiye… »

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:24
par Kamiye Goupile
Il était dans sa Maîtresse ! Son cœur battait si vite. Et il avait été si certain de jouir rapidement. Mais il tenait bon. Il se doutait que ça avait à voir avec les pouvoirs de sa nouvelle Maîtresse. Mais être un minimum endurant et pouvoir l’entendre gémir de plaisir le ravissait au plus haut point. Parce que, ce qu’il voulait en premier : c’était lui faire plaisir à elle. Lui n’entrait pas vraiment en compte. Il restait un esclave. Et un esclave vivait pour les désirs de sa Maîtresse.

Ses jambes qui l’entouraient. Ce n’était plus une prison. C’était comme s’il était définitivement attaché à cette femme. Pas par les liens ignobles de celle qui détient une possession. C’était un lien plus précieux. Quelque chose qui liait deux personnes entre elles. Qui plus est, Kamille le ressentait également comme s’il portait un bijou. Une sorte de ceinture de lingerie. Quelque chose de magnifique, innocent et fragile.

« Je… je fais tout ce que je peux pour vous faire plaisir, ma belle Maîtresse. »

Si son regard descendait régulièrement pour vérifier que sa verge conservait le bon cap (il aurait surement paniqué à l’idée de ressortir complètement sans que ça ne soit de sa volonté, paniquer à l’idée de réussir à retourner dans sa Maîtresse, de casser le rythme, de… CHUT, Kamille !) : son regard revenait régulièrement s’attacher dans les yeux de sa Maîtresse. Parce qu’il voulait voir une chose plus que tout dorénavant.

« Je fais tout, tout ce que je peux. Parce que, ce que je désire plus que tout, c’est vous faire jouir. Le, le voir dans vos yeux. »

Il se sentait si audacieux de parler de tout ça avec sa nouvelle Maîtresse. Tant que ça redonnait de l’intensité à ses petites joues rougies par l’effort et le plaisir. Alors il continuait à aller et revenir dans sa Maîtresse. Il savait qu’il était déjà allé au-delà de ses performances. Il savait qu’il ne devait cet exploit qu’à sa Maîtresse. Mais tout ce qu’il désirait, c’était tenir encore un petit peu plus longtemps. Que ses bras ne tremblent plus au point de s’écrouler inerte sur elle. Qu’une crampe ne vienne pas le prendre aux jambes.

Tout ce qu’il voulait, c’était la voir, l’entendre et la sentir jouir !

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:24
par Mélinda Warren
Kamiye était en elle, et, pour lui, c’était le meilleur moment de sa vie ! Là, en ce moment, Mélinda savait qu’elle avait gagné sa confiance. Lui, ce jeune esclave convaincu qu’elle allait le blesser, qu’elle allait lui faire mal, elle savait, en ce moment précis, que le plus dur avait été fait. Oh, il y aurait sûrement des difficultés par la suite. Malheureusement, Mélinda ne pouvait pas être en permanence auprès de ses esclaves, ce qui induisait souvent une certaine forme de jalousie. Mine de rien, les gens comme Kamiye avaient souvent hérité d’une grande souffrance psychologique, alors le sentiment d’abandon, de trahison, était très fort. Mélinda remuait donc en sentant la verge de Kamiye en elle. Il soupirait, grognait, et elle comprenait qu’il se forçait, qu’il donnait tout, au risque de s’effondrer rapidement. Mélinda, en croisant son regard, l’embrassa alors, et referma ses jambes sur son bassin, l’immobilisant en serrant.

« Là, là… Si tu forces trop, mon chéri, tu vas t’effondrer sur place…. Savoure le moment, profite… Laisse Maman Mélinda t’aider… »

Elle l’embrassa tendrement, et déplaça l’une de ses mains. Elle glissa sur le bas du dos de Kamiye, et pressa l’une de ses fesses. Elle serra, puis, en souriant encore, glissa un doigt dans son fondement. Elle entendit Kamiye soupirer.

« Remue en rythme, hmmm… Accélère progressivement, le temps que ton corps s’habitue… »

Sa voix était douce, sensuelle. C’était une position du missionnaire, classique, mais Mélinda restait la Maîtresse. Le désir se lisait dans les yeux de Mélinda, qui soupirait parfois en les fermant. Elle se mordillait alors les lèvres, et on pouvait voir ses joues pâles rougir sous le plaisir.

« Hmmm… »

Cela ne pourrait qu’encourager Kamiye, mais Mélinda n’avait pas envié qu’il s’épuise. De toute façon, si elle le sentait s’épuiser, elle retournerait les choses, et elle le chevaucherait. Encore une fois, il était trop mignon pour que Mélinda le néglige ! Sa verge baignait dans sa chatte dilatée, et qsuio s’humidifiait, provoquant des bruits spongieux qui en facilitaient aussi la pénétration.

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:25
par Kamiye Goupile
A chaque fois que Mélinda lui donnait un conseil, il hochait de la tête. La concentration était à son comble. Et il lui était presque impossible de détourner les yeux du regard de sa Maîtresse. Il y avait tant de vie au-dedans. Tant d’intensité. Tant de plaisir. Oui, ça valait le coup de lutter contre les limites de son corps d’esclave.

*NON ! *

Même si c’était de plaisir, Kamiye n’aimait pas quand Mélinda fermait les yeux. Oui, elle était mignonne à se laisser envahir par le plaisir qu’il lui donnait. Ses soupirs. Ses gémissements. Ses changements de couleurs. Ses jeux avec ses lèvres. Mais Kamiye voulait la regarder. Ca lui permettait de savoir si ce qu’il faisait était la bonne chose. Les yeux de sa Maîtresse était comme un boussole pour un marin.

Alors il dura le temps qu’il put durer. Mais les deux parties savaient très bien que ce ne serait pas éternel.

« Je viens ! »

Et il éjacula. Mettant ainsi fin à la pénétration de Kamiye.

« Je suis désolé. J’aurai voulu être plus endurant. Surtout que je voyais dans vos yeux que votre plaisir allait exploser. »

Il allait s’agenouiller en attendant le prochain ordre quand il décida de prendre une initiative. Il ne savait pas comment utiliser ses doigts de façon la plus efficace. Ni combien il en fallait. Ni comment il fallait les déplacer. Mais Kamiye, avec une folle intensité dans le regard, pénétra Mélinda de ses doigts. Il chercha à copier sa propre verge. En longueur. En épaisseur. En cadence. Le tout avec ses doigts qui allaient et venaient.

« Je vous jure que vous allez l’avoir. Que votre plaisir va exploser. »

Peut-être parce qu’il voulait avoir totalement le contrôle de ce moment, il embrassa sa nouvelle Maîtresse pour qu’elle ne puisse rien lui dire.

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:25
par Mélinda Warren
Kamiye voulait absolument la faire jouir, ce qui était ironique… Car elle aussi souhaitait qu’il jouisse rapidement ! Il essayait de tenir, de se forcer, mais Mélinda savait qu’il craquerait. C’était inimitable, et même souhaitable ! Elle voulait le faire jouir, elle voulait qu’il goûte à ce plaisir suprême. Elle le sentit donc avec délectation se vider dans sa chatte. Toutefois, il en faudrait plus pour calmer l’excitation de Kamiye, qui s’excusa d’avoir joui si vite, et embrassa sa belle Maîtresse, tout en entreprenant de la masturber. Mélinda se tortilla un peu. Les doigts de Kamiye remuaient sans grande intelligence en elle. Elle soupirait, bien sûr, elle ressentait du plaisir, évidemment, mais Kamiye allait surtout s’épuiser à ce rythme !

Mélinda releva donc ses jambes, et les enroula autour du bassin de Kamiye, puis elle banda ses muscles, et le renversa sur le côté. Mélinda se retrouva ainsi au-dessus de lui, et posa un doigt sur les lèvres de son jeune esclave.

« Tu es plein de fougue, mon beau, mais tu vas surtout attraper une crampe à agir ainsi… Ne t’inquiète pas, tu me feras jouir, mais rien ne presse… Je ne compte pas partir. »

Elle lui sourit doucement, et se pencha vers lui, l’embrassant chaudement. Elle portait toujours ses vêtements, et Kamiye ne semblait pas très pressé de la déshabiller. Cela, elle pouvait le comprendre. Si elle était à sa place, elle aurait sans doute aussi gardé ses vêtements.

« Regarde-moi… »

Son regard croisa le sien, et les iris de Mélinda prirent une teinte rose. Son inmon brilla, et Kamiye put alors sentir des frissons traverser son corps. Sa verge, ramollie après l’orgasme, durcit alors. Il sentit le désir revenir, l’adrénaline se mit à battre dans ses veines, noyant ses doutes. Mélinda attrapa sa verge, et l’enfonça en elle.

« Oooh, ouiii, voilà, hmmm… Tu sais, je pourrais t’empêcher de jouir jusqu’à jouir moi-même… Mais tu es tellement mignon quand tu jouis. Caresse mon corps avec tes mains, laisse le plaisir t’envahir, mon amour… Ta Maîtresse veille sur toi ♥ ! » soupira-t-elle doucement.

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:25
par Kamiye Goupile
Ses mains glissèrent sur le corps de sa Maîtresse comme elle lui avait demandé. Il n’en revenait pas de ce pouvoir qui le refaisait bander encore et encore jusqu’à ce qu’elle soit satisfaite. Mais c’était un peu angoissant l’idée que lui jouirait un paquet de fois avant qu’il ne parvienne à la faire jouir une fois. Alors il remit du cœur à l’ouvrage, multipliant les caresses et bougeant les hanches pour tenter d’atteindre un point sensible qui déclencherait les gémissements finaux.

Il aurait voulu la retourner encore. Que ce soit elle qui soit sur le dos. Pour qu’il puisse reprendre le contrôle du rythme. Debout, il avait plus de puissance. Plus de liberté. Allongé, il se rendait compte que c’était sa Maîtresse qui avait le contrôle du rythme. Si elle décidait qu’il jouisse en accélérant les remontées et descentes, il n’y pourrait rien.

*Alors qu’est-ce que je peux faire pour elle ? *

La caresser. Laisser le plaisir l’envahir ? Non, il voulait que ce soit elle qui jouisse. Et il allait la caresser. Pas de simples attouchements sur sa peau incroyable. Découvrir la fermeté des muscles de ses cuisses. Les courbes de ses petits seins mignons. Non, ses doigts allèrent chercher son clitoris. C’était cette zone qu’il allait caresser.

*Normalement, si je fais ça, ça devrait lui faire du bien. Je ne sais pas exactement comment le caresser, par contre… Mais ma Maîtresse va jouir ! Si je n’y arrive pas avec ma verge inépuisable et mes doigts qui caressent : je ne sais pas ce que je pourrais faire de plus ! *

« Vous allez jouir. Je vous le promets. Je, han ! Vous allez jouir avant que je ne jouisse et que, han ! Vos yeux prennent une jolie couleur rose à nouveau. Je ne contrôle pas votre magie, moi. Je ne peux pas faire ce que vous faites pour me donner plusieurs chances de vous faire jouir et, han ! Je veux vous faire jouir ! Parce que tôt ou tard, vous allez partir ! »

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:26
par Mélinda Warren
Mélinda dansait sur lui, et sourit en sentant les mains baladeuses de Kamiye glisser sur son corps. Elle sentait son impatience, elle le comprenait volontiers, et, si elle avait été une simple amante, une jouvencelle, elle n’aurait pas agi ainsi. Seulement, elle était sa Maîtresse, et, s’il voulait devenir un amant d’exception, elle se devait donc d’agir au mieux. Maintenant que Mélinda maîtrisait la magie rose, elle s’efforçait de l’utiliser. Elle jugulait son désir, mais aussi celui de Kamiye. Pour devenir une Princesse de Luxure, soit le statut supérieur à celui qu’elle était actuellement, elle devait parfaitement apprendre à contrôler le désir sexuel, à pouvoir jouir instantanément ou à retarder cela. Un tel état était toutefois impossible à atteindre en pratique, elle ne pouvait que ralentir ou accélérer son orgasme. Mais, pour l’heure, Mélinda continuait à jouer avec Kamiye, et elle utilisait surtout sa magie rose pour lui, pour le rendre plus endurant, sans qu’il ne gaspille toute son énergie dès le début. Sa belle verge remuait en elle, et elle sentait sa frustration, son désir de la faire jouir, mais aussi de la prendre, de remuer, d’être le rôle actif. Cela la fit sourire.

*Il est moins soumis qu’il ne le prétend, ce petit rebelle…*

Il expliqua entre plusieurs soupirs qu’il voulait la faire jouir, car il avait peur qu’elle ne parte. C’était… Mignon ! Cela fit sourire Mélinda, qui se pencha vers Kamiye. Elle posa sa main sur son épaule, et l’embrassa avec dévotion, forçant le passage entre ses lèvres avec sa langue. La délicieuse vampire partait joyeusement à l’assaut, explorant le corps de son amant. Elle usa même de sa langue, et poussa en avant entre ses lèvres, forçant le passage. Quand sa langue heurta celle de Kamiye, il y eut un délicieux frisson. Elle banda alors ses muscles, et les retourna à nouveau. Kamiye se retrouva au-dessus d’elle, et Mélinda lui sourit, en caressant sa joue.

« Jamais je ne partirai, mon Kamiye… Tu es à moi, et je serai toujours ta Maîtresse… »

La verge de Kamiye remuait dans sa mouille. Mélinda déplaça son autre main, et malaxa l’une des fesses de Kamiye, qu’elle pressa tendrement.

« …Alors, montre-moi tout l’amour que tu ressens pour moi, et BAISE-MOI ! »

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:26
par Kamiye Goupile
S’il avait eu la capacité de hurler à la Lune et de déclencher une transformation, Kamiye l’aurait fait à ce moment-là. Mais la Nature en avait décidé autrement en lui donnant un magnifique mais fluet corps humain saupoudré de seulement quelques traits animaux ici et là. Ce qui n’empêchait pas l’hébergement d’une partie animal plus développé que chez ses « simples » acolytes humains.

Elle voulait être baisé. Ca évoquait pour Kamiye quelque chose de moins beau que de faire l’amour. Ca signifiait donc que sa Maîtresse ne voulait pas être saisi avec des gants de velours. Elle voulait que ce soit plus intense. Plus brutal. Peut-être même qu’elle voulait cette partie animale en lui. Alors Kamiye obéit de la façon qu’il l’avait compris. Il saisit à pleines mains les hanches de sa Maîtresse et tapa dans le fond.

*Elle a sa magie du sexe. Si je faiblis, elle me rendra fort ! Je vais donner tout ce que j’ai. Je vais être intense et sans tact. HAN ! Oui ! Comme ça ! Les halètements. La chaleur. L’exercice physique. Je donne tout. Je suis à elle. Il faut que je lui donne tout pour qu’elle sache que j’existe. Qu’elle ne m’oublie pas. HAN ! Pour qu’elle s’occupe de moi pour toujours ! *

Puis il décida que ça n’allait pas. C’était encore trop « sage ». Trop « romantique » comme façon de faire. Sa Maîtresse voulait être baisé. Mais comment donner toute la puissance dans ses coups de rein quand il voyait cette bouille innocente aux joues rougies par le plaisir ? Non. Kamiye était certain qu’il pouvait faire encore un peu mieux. Alors il lâcha la chair de ses mains et ressentir un plaisir contradictoire. Il avait laissé des marques rouges sur la chair de sa Maîtresse. Rien de sanglant. Mais il pouvait deviner la forme de ses doigts.

Kamiye retourna sa Maîtresse. Il la voulait sur le ventre. Enfin, pas vraiment sur le ventre. Mais il voulait voir son dos et non plus son ventre. Sans attendre, Kamiye la pénétra à nouveau et sans douceurs. C’était si simple tant sa Maîtresse mouillait. Voilà ! Comme ça, en levrette, il pouvait être le plus rustre possible. Ca semblait contradictoire avec son poids plume. Mais sans voir son visage et ses expressions, il la transformait un peu en « objet ». Moins de sentiments. Plus de sauvagerie.

« Est-ce que ça vous plaît que je vous baise comme ça, ma Maîtresse à moi ? »

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:26
par Mélinda Warren
Mélinda soupirait doucement en sentant Kamiye en elle, contre elle. Il gémissait à son tour, rougissant sous l’effort, mais aussi sous l’envie de bien faire, d’impressionner sa Maîtresse. Elle le sentait donner de puissants coups de reins, en couinant. Il voulait la prendre encore, la griffant sous l’effort. Cela aurait sans doute été de trop pour une humaine normale, mais, pour une vampire, la douleur fonctionnait différemment. La douleur n’effrayait pas les vampires, elle était au contraire jouissive et stimulait leur organisme. Sa main se crispait sur l’une des fesses de Kamiye. S’il la pénétrait en ce moment, il allait aussi falloir qu’il s’habitue à l’inverse, car, un aussi joli petiot cul, Mélinda comptait bien le prendre par là. Elle vit la flamme brûler dans ses yeux, tandis qu’il commençait à envisager une piste… Et, soudain, Kamiye se retira d’elle. Surprise, Mélinda c ligna des yeux en le voyèant se relever.

« Kamiye, qu’est-ce que tu… »

Il la retourna alors ! Décidément bien moins soumis que ce qu’il aimait prétendre, Kamiye la coucha sur le ventre, puis elle se releva ensuite, sentant les mains de Kamiye soulever son ventre. La belle vampire finit à quatre pattes, et gémit alors quand il retourna la prendre. En étant debout, il avcait naturellement une meilleure amplitude, et il put entendre sa Maîtresse gémir plus fort à chaque coup de reins, ses bourses venant fouetter le corps de Mélinda, heurtant ses cuisses, tandis qu’il continuait à la prendre.

« Oh, Ka-Kamiye, hmmm… »

Mélinda soupira encore, s’appuyant sur ses bras.

« O-Ouiii, Kamiye, vas-y, hmmm… Prends-moi, fesse-moi !! Libère toute ta frustration !! »

Elle voulait qu’il continue, qu’il se laisse aller !

Re: Lingerie fine pour androgyne [Kamiye Goupile]

Posté : 16 août 2024 23:26
par Kamiye Goupile
Il était évident que c’était l’ivresse du sexe et cette situation unique qui donnait des ailes à l’esclave. Ce n’était pas une question de soumission ou de rébellion. C’était Mélinda qui forçait Kamiye à agir ainsi. Elle et sa libido. Elle et ses rêves concernant le néo-esclavagisme. En somme, Kamiye était autant influencé par sa nature animale que par la créature vampire en face de lui.

Enfin, à quatre pattes devant lui. Elle n’avait rien dit. Si ce n’était une protestation à ne plus être rempli de sa verge, eut-il parut. Sitôt que Kamiye avait recommencé à la pénétrer, la terrible Maîtresse n’était plus qu’esclave de ses propres désirs. Elle en voulait toujours plus. Et Kamiye, en bon esclave, obéit. Il la fessa ! La première claqua. Pas parce qu’il était puissant, mais parce qu’il avait bien tapé pour que ça fasse du bruit. En réalité, la douleur était bien en deçà de l’effet sonore.

Alors il continuait à la piloner. Mais pas seulement. Comme elle lui demandait, il la fessait. Ca laissait des marques rouges et ça la faisait cracher de petits interjections. Tout ça marquait l’esprit du jeune esclave. Sans compter ses doigts qui s’enfonçaient dans la chair de son dos pour y laisser des marques rouges. Tant de rouge sur une peau immaculée. Il y avait de quoi faire tomber dans la perversion le plus sain et équilibré des esclaves.

Pendant une fraction de temps, Kamiye se sentit comme un artiste. Ses pseudo griffures sans les ongles de la bête, ses fessées et ses coups de butoir. Tout ça transformait le corps de sa nouvelle Maîtresse. Il avait l’impression d’avoir les pinceaux et qu’elle était une toile à peindre.

« Je !... Je vais, han… Je vais jouir ! »

Kamiye était confus. Il ne savait plus s’il devait ralentir, voire carrément s’arrêter pour contenir cette éjaculation à venir. Ou s’il devait tout donner dans ce dernier baroud d’honneur. Et dans ce cas, où pourrait-il jouir ? En elle ?