« Allez, Theorem… À nous deux. »
Elle s’assit sur un banc, et laissa ensuite Theorem grimper sur ses genoux, le duo étant entouré par les deux femmes, qui avaient commencé à bien la chauffer. Elle leur ordonna ensuite de s’écarter un peu, et laissa Theorem se rapprocher. Se mordillant les lèvres, Mélinda se rapprocha ensuite de son cou, et lécha sa peau, puis murmura quelques mots dans le creux de son oreille :
« Palpe-moi les seins, petit esclave… »
Comme au bon vieux temps… Mélinda alla ensuite planter ses dents, et ne tarda pas à aspirer le précieux nectar écarlate. En soupirant, Mélinda se cramponna contre lui, ses muscles se bandant sous l’effet du plaisir fort qui s’insinuait en elle, et qui explosait totalement dans son corps. Ce sang était magnifique, car Ishtar veillait à ce que Theorem soit toujours propre et bien entretenu. Il était un esclave docile et pervers, extrêmement soumis, ce que Mélinda savait, car elle-même s’était livrée, à l’époque où elle l’avait, à des traitements visant à purifier son sang des impuretés qui s’y trouvent. Mélinda buvait ce délicieux sang, ses crocs se retirant de sa peau pour qu’elle puisse les absorber plus facilement. Le sang filait dans sa bouche, et elle le buvait joyeusement, reprenant des forces, et sentant, comme à chaque fois qu’elle prenait son repas, sa frustration sexuelle croître en flèche.
Tandis qu’elle le mordillait et suçait son sang, Alice, elle, gémissait et soupirait. La Princesse s’était allongée sur une sorte de banc de massage dans un coin. La langue du Terranide-salamandre fila sur sa peau, sur son corps, et Alice en ressentit vite les effets. Wygliff commença par l’espace tendre entre ses seins, amenant Alice à se tortiller et à soupirer, puis il continua ensuite à descendre, léchant la mouille de la Princesse. Tout son corps était doux, tout comme ses actions. Alice le caressait en soupirant, enfouissant ses doigts dans ses cheveux, et sa langue finit par se rapprocher de son intimité.
« O-Oui… Wy… Wygliff, haaaa… »
Entre les volutes de fumée qui la recouvraient et l’absorbaient, Alice avait l’impression de vivre une espèce de rêve éveillé. Tout son corps était en transe, ses seins étaient tendus et gonflés, et ses mains continuaient à caresser la tête de l’homme, qui allait encore la lécher… Elle soupirait et gémissait, ce dernier lui avouant qu’elle lui avait manqué, ce qui, bien entendu, lui faisait plaisir.
« O-Ouuuiii… Haaaann… Profite… Profite-en alors… Mon Priiince… »
Un peu de douceur au milieu de cet univers de luxure et de perversion, pour Alice, ce n’était pas trop cher payé. Ishtar avait été avisée de l’amener. C’était un peu une sorte de joker pour Alice, qui appréciait beaucoup ce petit homme doux, beau, et doué. Elle pouvait aussi sentir, parfois, contre ses jambes, le membre dressé de Wygliff, son vit érectile qui caressait sa belle peau, formant comme de délicieuses promesses pour l’avenir.
Mélinda, elle, continuait à le sucer. Elle avait posé ses mains sur les côtes de Theorem, et les descendit pour caresser ses fesses, où elle sentit, avec ses doigts, son plug anal. Tout comme sa ceinture de chasteté, il avait été parfaitement remis en place. Elle ne but toutefois pas trop de sang, et, quand elle se retira, son sexe masculin s’était redressée, tapant contre le bas-ventre de l’homme.
« Alors, dis-moi, Theorem… À quand remonte la dernière fois que tu as pu jouir ? Est-ce que cette sensation te manque… ? Celle de sentir ton sexe, gros et tendu, se vider joyeusement, et cette sensation de bonheur absolu, de béatitude suprême, qui suit ? »
Elle continuait à le narguer, en léchant son cou, remontant le long de sa joue, déposant plusieurs délicats baisers dessus, tandis que les deux esclaves caressaient également Theorem. Mélinda désigna l’infirmière en lui caressant la joue.
« Je veux que tu lèches sa cage de chasteté… »
Ishtar avait déjà bien frustré Theorem, et le pauvre devait encore être aux abois… Mais c’était mal connaître Mélinda que de croire qu’elle n’allait pas jouer là-dessus. L’infirmière se retrouva donc à genoux, et sa main caressa la cage de chasteté, et, pendant ce temps, Mélinda avait posé ses mains sur la tête de Theorem, et approcha cette dernière de son sexe.
« Suce-moi… Et, pendant que je jouirais à répétition dans ta bouche, pense à toutes les fois où ton orgasme t’a été refusé, et à quel point, maintenant, ce moment te manque… Celui où le corps atteint le point névralgique et disparaît totalement. Pense bien à ce moment, Theorem, et chéris-le, car il est pour toi le plus doux des rêves… »
Il restait encore l’autre esclave, et Mélinda lui fit tout simplement signe de venir embrasser ses seins et ses lèvres, en alternant entre eux… De cette manière, elle serait très bien entourée, et sentit bien qu’elle allait pouvoir enchaîner les orgasmes à répétition.