The Multiversity

Faire l'amour à cette femme, ça devenait de plus en plus éprouvant, mais Miyuki en était habituée, mais quand même, un moment de pause n'était pas de refus, même si son corps voulait autre chose. La si belle Megumi n'avait pas fini de s'occuper d'elle après tout, mais Miyuki saura se montrer patiente. Il est vrai qu'elle n'aimait pas la voir fumer, pas forcément à cause du bébé qui arrivait, elle était assez grande pour fumer si elle en avait envie, c'était vraiment une question de goût. L'odeur, le goût, beurk ! Enfin, elle l'aimait malgré tout puis qui sait, quand elle saura la vérité, peut-être voudra-t-elle faire l'effort d'arrêter la cigarette, au moins en la présence de sa femme et future mère de son enfant ? Mais la surprise n'était pas ici, ni même dans ce que comptait faire car, elle la connaissait bien, à force, mais plutôt de savoir qu'on les espionnait. Que les filles tendent l'oreille depuis leur chambre, ce serait compréhensible, mais de là à espionner à la porte ? Elle n'était pas surprise que ce soit Maki, là où elle et Asuka étaient assez opposées dans leur relation avec leur mère, Tamaki était entre les deux plus ou moins.

La belle petite blonde était à genoux, à hauteur de serrure, voyant autant cette verge pendre entre les jambes de Megumi que son regard. Ni étonnée, ni choqué, les deux se faisaient face comme pour attendre la réaction qui devait en découler, mais l'invitée l'envoyait voir sa mère tandis qu'elle allait finir sa clope ailleurs, et peut-être prendre son temps ou uriner normalement ? Était-ce aller trop vite de faire cela sous les yeux de sa fille dès le premier soir ? Pendant l'absence de Megumi, Maki se rapprocha timidement, Miyuki s'étant partiellement couverte, la dernière fois qu'elle a dû voir sa mère nue doit remonter à l'époque ou elle prenait parfois son bain avec elle, peu de chance qu'elle s'en souvienne encore. Elle avait vue des choses par ce petit trou, entendue d'autres choses, donc le début, c'était surtout un silence de mort. Personne ne se regardait, mais si Megumi l'avait invité, c'est qu'elle comptait bien commencer l'opération dés ce soir. Tant qu'à faire, puisqu'elle était là, autant prendre un peu d'avance. Ça pourrait qu'avancer l'annoncer de la bonne nouvelle qui soudera cette famille.

« Tu sais, Maman... je suis une grande fille, je sais ce que vous faisiez même si... j'étais loin de me douter que Megumi-san soit... comme ça ? »

Membrée ? Avec un tel comportement ? Dans les deux cas, c'était normal mais vrai. Miyuki restait silencieuse, un peu gênée, même si elle avait des projets plus incestueux, là, on la prenait de court.

« Me... Megumi-san es toujours comme ça, c'est ainsi qu'elle m'a charmé à vrai dire... mais... Tu... Tu veux rester un peu avec nous, ma chérie ? »

Ce fut silencieux, mais acquiesça de la tête, avant de s'approcher, faisant un câlin à sa mère, qui le lui rendait. Au retour de Megumi, il y aura une belle image de tout cela. À n'en point douter. Quoi de plus beau que l'amour entre une mère et sa fille ?

Habituellement, Megumi se faisait un after avec Miyuki dans les toilettes. Rien de trop crade, sauf quand Miyuki avait des envies très perverses et qu’elle voulait que Megumi lui urine dessus. Elles prenaient ensuite une douche pour la nettoyer, et pour recommencer à la baiser dans la foulée. Mais ici, elles n’étaient pas seules, et Megumi eut un peu de mal à uriner correctement. Sa queue bandait encore très fort, et elle dut grogner, l’abaissant pour ne pas salir les toilettes de Miyuki. Coucher avec les filles de Miyuki avait toujours été un objectif, et c’était même Miyuki qui lui avait imposé ça comme condition pour qu’elle vive ensemble. Miyuki avait visiblement été beaucoup déçue par ses premières expériences, et elle ne voulait pas offrir de tels mauvais souvenirs à ses filles. Si Miyuki aimait Megumi, il y avait trois personnes au monde qu’elle aimait encore plus que sa patronne, amante, et Maîtresse : ses magnifiques filles. Et, en les voyant toutes les trois au moment du dîner, Megumi devait bien admettre qu’elle se voyait bien les dépuceler toutes les trois.

Ce soir, elle allait commencer par Maki. La belle blondinette aux cheveux courts devait sans doute faire tourner les têtes. Oh, ça, Miyuki avait assurément accouché de trois belles beautés ! Megumi dut même se masturber pour pouvoir uriner, et finit par jouir dans les toilettes, avant de pouvoir pisser tranquillement. Elle jeta son mégot dans la poubelle, puis attrapa un spray buccal, et aspergea sa bouche, faisant ainsi disparaître l’odeur de tabac. C’était la seule chose que Miyuki n’aimait pas chez elle, et Megumi lui avait promis d’arrêter quand elles formeraient une vraie famille.

*Une promesse que je risque de devoir mettre à exécution…*

Elle retourna vers la chambre, et vit que Maki faisait un câlin à sa mère. Miyuki était toujours aussi nue, le corps encore transpirant. Megumi observa le petit cul de Maki, moulé dans sa nuisette blanche légèrement transparente. Elle referma la porte derrière elles, dans un léger claquement qui amena Maki à se retourner. Son regard ne tarda pas à glisser sur le membre de Megumi, et l’intéressée sourit.

« Le fait que tu aies fait ta petite curieuse m’interpelle beaucoup, Maki-chan…. Je suppose que tu te doutais que nous ferons l’amour… Mais tu ne t’attendais visiblement pas à ce que je sois une hermaphrodite. Tu as dû lire ça dans des hentais, non ? Ou le voir… »

La jeune Maki se mit à rougir furieusement. Megumi se rapprocha d’elle, et caressa sa joue, se rapprochant encore, son membre remontant sur sa cuisse, glissant contre sa nuisette.

« Ta mère adore beaucoup que je lui fasse l’amour… Elle souffre de grosses carences affectives, tu sais… Et, quand je vois tes si gros seins, je me dis que, toi aussi, tu dois beaucoup aimer les câlins… »

Son visage était désormais proche du sien, si proche qu’elle aurait sans doute pu l’embrasser, ce qu’elle ne fit toutefois pas encore. Elle embrassa plutôt sa joue, et mordilla ensuite son lobe de l’oreille.

« Tu peux regarder… Et, si tu veux, je te ferai l’amour ensuite… »

Que Maki n’ait pas déjà pris ses jambes à son cou en disait long sur ce qu’elle envisageait de faire !

Il allait s'en passer des choses sous ce toit, peut-être même dans cette chambre en particulier. Megumi et Miyuki avaient enfin coucher ensemble, dans son lit, de quoi rayer une chose dans sa liste de choses à faire. Peu à peu, elles s'approchaient de ce qu'elle pourrait qualifier de vraies familles. Après tout, si Megumi devait vivre ici, c'était la moindre des choses, mais faut-il encore que ses filles acceptent la jeune femme comme nouveau parent. Elles étaient plus proches de la majorité que leur naissance, mais il n'empêche que leur mère n'espérait recevoir aucun refus de leur part. En-dehors d'Asuka, les deux autres devraient être plutôt simples, surtout venant de Maki. C'était bien elle la plus proche de sa mère des trois donc, l'acceptation devrait être une formalité même si couchée avec Megumi, ça, c'était quand même autre chose. Miyuki tâtait un peu le terrain, sa fille ne semblait pas du genre à vouloir s'en éloigner si vite, sinon elle aurait pu fuir plus tôt quand elle les épiait par le trou de la serrure et justement, la belle Megumi était de retour, toujours aussi belle et par sa simple présence, autoritaire. Miyuki se doutait bien de ce qu'elle avait fait, même sans elle. Elle s'approchait doucement de sa fille, timide devant cette femme, se laissant envoûter par elle, comme sa mère auparavant, répondant que par un léger hochement de la tête.

Miyuki s'approchait de Megumi, sa main glissa dans son dos, baisant son épaule en se blottissant contre elle, sa main glissant entre ses cuisses pour caresser sa verge et lui redonner un peu plus de vigueur, comme elle serait dressée d'ordinaire.

« Voyons, quelle mère je serais si je faisais passer mes désirs avant ceux de ma fille ? Ma petite Maki est restée là, à t'attendre alors, si elle en a envie, laisse-là apprendre à te connaître, ma chérie. »

Sa main masturbait la jolie patronne, le désir étant de nouveau bien en elle, entre ses cuisses plus exactement, tandis que Maki observait toujours Megumi, envoûter. Elle avait presque le même regard que sa mère à ce sujet. Il ne restait à Megumi qu'à plonger toute son attention vers cette délicieuse demoiselle qui était pratiquement sienne. Miyuki ne voulait pas déranger, mais comptait rester près de sa fille, pour la rassurer si besoin. Sa main dans la sienne l'invitait à la glisser entre les cuisses de Megumi, elle aussi avait le droit de tâter de sa verge, commencer en douceur.

D’aucuns auraient sans doute été nerveux à l’idée de coucher avec les enfants de son amante. Ce n’était toutefois pas le cas de Megumi, qui souhaitait juste éviter des problèmes avec Maki. Elle laissait donc Miyuki, sa mère, se charger du rapprochement. Toutefois, Megumi constata vite, au regard fiévreux de Maki, qu’elle n’aurait sans aucun doute pas à faire grand-chose pour motiver sa partenaire. Son seul regard était parfaitement éloquent ! Debout et nue, le corps encore en sueur, Megumi laissa donc sa partenaire titiller son membre, bien décidé à l’exciter comme il se devait. Miyaki s’agenouilla, et la masturba, sa main glissant avec amour sur son membre. Petit à petit, Megumi sentait sa queue retrouver sa dureté, s’élançant de plus en plus

Souriant malicieusement, Megumi glissa sa main sur les cheveux de Miyuki, crispant ses doigts dessus, caressant sa tête.

« Regarde comme ta mère me suce, Maki-chan… Regarde comme elle aime ça. Approche, ma belle, regarde de plus près… »

Les options de Maki étaient plutôt limitées, et elle se rapprocha donc. Elle finit à genoux à côté de sa mère, et Miyuki continuait à lécher son membre, jusqu’à ce que sa verge retrouve sa taille tendue et élancée, bien redressée.

« Approche, Maki-chan, renifle, caresse mon sexe… Je sais que toi et tes sœurs, vous êtes encore vierge… Ta Maman vous adore plus que tout au monde, peut-être même plus que moi. Elle vous a eu trop tôt, et ton papa n’a malheureusement pas assumé cette situation. Alors, elle m’a demandé de vous former toutes les trois, de vous initier à cette chose magnifique qu’est le sexe. »

Megumi parlait d’une voix douce. Elle comptait sur Miyuki pour motiver sa fille, et l’idée de baiser avec la mère et la fille ne manquait pas d’exciter furieusement Megumi, dont la queue l’élançait furieusement. Elle observa encore Maki-chan.

« Mais je ne veux pas te forcer, Maki-chan… Alors, on va prendre le temps que tu t’appropries ce membre, et, quand tu seras prête, je te prendrais ta virginité. Je ferai de toi une femme complète… Ma femme. »

Et c’était là une magnifique promesse !

Miyuki n'avait aucune honte à partager ainsi ses filles, elles étaient assez grandes pour ça et elle savait que cela leur ferait plaisir. Si elles ne voulaient pas, elle n'allait pas les forcer, elle voulait juste leur aval pour que Megumi puisse habiter ici. Elle n'était pas aussi horrible quand même au point d'offrir ses filles ainsi ! Maki, elle savait que ce serait la plus simple à convaincre, sur la présence de Megumi comme sur cet autre point. Asuka parlait – rarement – des garçons en présence de ses sœurs ou de sa mère, Tamaki aussi, bien que ce soit plus souvent liée à ses dessins, mais Maki, jamais. Elle n'en était pas sûr, mais elle soupçonnait sa fille de préférer la présence des filles près d'elle que celle des garçons. Elle n'avait rien contre, tant que sa fille était heureuse, c'est tout ce qu'elle lui souhaitait. Ça n'avait rien d'interdit donc pourquoi le lui refuser ?

À genoux face à elle, Miyuki suçait la queue de sa patronne, de son amante, de la mère de son futur bébé secret, elle savourait tout cela, la présence de sa fille rendait la chose un poil plus excitant mais ce n'était que le début. Elle écoutait sa future deuxième maman qui tentait de l'amadouer, de la faire approcher sans crainte, même si elle enjolivait un peu les choses, elle ne fit pas de grosses promesses intenables tandis que Maki approchait, observant sa mère de plus près, qui prenait grand soin de cette verge tendue. La jeune blondinette observait cela, approchant et reniflant doucement le pénis de cette femme, même si Miyaki venait pincer la cuisse de sa maîtresse, grognant à ses pieds.

« Tu n'auras qu'une femme, et ce sera moi ! Tu seras leur seconde maman, elles seront au mieux tes amantes, mais ta femme, ce sera moi ! »

Elle voulait bien partager, mais elle voulait conserver la plus grosse part de gâteau. Ce n'était pas là une vraie scène de jalousie, mais Miyuki protégeait aussi sa fille en disant cela. C'est qu'elle aurait pu lui faire peur en allant aussi vite. Pourquoi pas évoquer le fait qu'elle pourrait la mettre enceinte ? Miyuki était une maman très ouverte, mais il y a des limites à ne pas dépasser, surtout que secrètement, elle portait déjà le bébé de sa patronne, qu'elle ne pense pas semer ainsi ses petites graines, surtout chez ses filles. Couché avec, c'était une choser, les rendre déjà maman, s'en était une autre. Pour preuve, elle partageait ensuite un regard plein d'amour sur sa fille, déposant un baiser sur la verge, ne serait-ce que pour que cette dernière glisse sur les lèvres de sa fille.

« N'ai pas peur, ma chérie. Maman va t'aider si tu le veux, d'accord ? »

Miyuki embrassait cette queue qu'elle commençait à ne connaître que trop bien, laissant tout l'autre côté à sa fille qui approchait ses lèvres, commençait là son travail, de façon plus timide, mais après tout, c'était une première. Miyuki lui prenait discrètement la main, la rassurant dans ses premiers pas. Megumi va avoir une sacrée première nuit dans sa future maison.

Comme on pouvait s’y attendre, les mots d’encouragement de Megumi déplurent à Miyuki quand elle évoqua l’idée que Maki-chan puisse être sa « femme ». C’était là le mot en trop, celui qui fit basculer Miyuki. Elle libéra la verge de Megumi, et lui rappela qu’elle serait sa « seule » femme ! Megumi sourit doucement, amusée plus qu’autre chose par cette pointe de jalousie subite, qui témoignait en sorte du profond amour que Miyuki vouait à Megumi. Restant silencieuse, Maki observait la chose. Elle avait vu sa mère sucer cette queue, et bien des choses devaient se passer dans sa petite tête. Pour Megumi, l’idée d’initier ainsi trois jeunes femmes au sexe était tout de même sacrément bandante ! Elle sourit donc en la voyant renifler sa verge. L’odeur devait être particulière, poisseuse et inattendue. Néanmoins, elle ne nota pas chez Maki-chan un profond dégoût, mais plutôt une étrange curiosité.

« Hihi… Désolée, Miyuki-chan, mes mots ont dépassé ma pensée ! »

Sa main caressa tendrement ses cheveux, en signe évident d’apaisement.

« Bien sûr, tu restes ma seule et unique femme, et je t’aime, ma chérie ! »

Cela coulait de source, bien sûr, mais ça allait toujours mieux en le disant ! Megumi caressa ses cheveux d’une main, un sourire enjoué sur les lèvres, et sentit ensuite la mère et la fille embrasser chacune sa verge, à droite et à gauche. Elle se concentra donc sur Maki, bien décidée à l’encourager, elle aussi.

« Là, embrasse, et lèche bien… Tu pourras ensuite la prendre en bouche, comme tu as vu ta Maman le faire… N’aie pas peur, prends ton temps… »

Rien ne pressait, justement, et Megumi ne voulait pas que, en précipitant les choses, Maki se mette à paniquer plus que de raison !

Miyuki était d'accord pour que ses filles, si elles le souhaitent, couchent avec Megumi, cela leur permettait de mieux la connaître après tout. Faut dire la vérité, l'idée l'excitait un peu que ses filles aussi puissent aimer leur nouvelle maman. Mais pour le véritable Amour, c'était rien que pour elle par contre. Maki serait la plus simple à convaincre, cette situation ne l'étonnait même pas, elle se doutait que sa fille n'allait pas agir en nymphomane ce soir, mais elle n'aurait pas été contre l'idée de ce qui allait se passer. Asuka serait la plus compliquée à convaincre, sans aucun doute. Quant à sa dernière, elle était entre les deux, pour Miyaki, elle ignorait où elle en serait ? Elle connaissait le sexe, elle était en âge pour ça même si elle doutait qu'elle ai une réelle expérience pratique dedans, mais... femme, homme ? Cela restait un mystère. Mais pour le moment, c'était sa fille du milieu qui allait en profiter tandis que Megumi se permettait de remettre les choses au clair, laissant Miyuki à la meilleure des places. Elle appréciait la petite caresse, redevenant aussi docile et aimante. Après tout, elle restait une maman, c'est une chose de jouer avec ses filles, elle était un poil trop âgé pour avoir une vraie relation avec ses filles. Elle devait avoir le rôle de seconde maman, se souder à la famille, pas imaginer ce genre de choses. C'est avec elle qu'elle devait imaginer ça. Après tout, la petite surprise qui grandit en elle en est bien la preuve.

Avec sa fille, elles suçaient la queue de Megumi, Maki prenait son temps, plutôt curieuse, ce qui était normal après tout. Vu son âge et son caractère, elle n'imaginait pas Maki avoir eu de véritables relations sexuelles ? Ou alors, les premiers pas avec une autre fille de son âge, elles n'en avaient jamais parlé, mais elle la savait plutôt attirée par les filles. Soit elle n'était pas attiré par les garçons, soit beaucoup moins, ça, elle ne savait pas ? Mais de voir une fille avec une verge, cela ne semblait pas la choquer plus que ça, là où Miyuki fut très étonnée puis agréablement surprise une fois baisée par sa patronne. Maki y allait à son rythme, mais aux yeux de sa mère, elle s'y prenait bien, inutile d'aller trop vite. Elle était heureuse de partager cela avec sa fille si bien qu'elle délaissait la verge de Megumi, allant se placer dans le dos de Maki, toujours à genoux, pour la ceinture, pressant sa belle poitrine dans son dos, tout en observant cela aux premiers rangs.

« C'est très bien, ma chérie... Continue à ton rythme et que tu te sentira prêtes, tu le prendras en bouche, juste le bout, ça ne sert à rien d'aller trop vite. »

Un beau et délicieux câlin qui serait presque normal, sans cette verge devant elle, et le fait qu'elles soient nues. Après quelques coups de langue, Maki venait à suivre les conseils de sa mère, le prenant en bouche, juste le gland, où elle fit rouler sa langue dessus, aspirant le bout comme une sucette, levant ses yeux plein d'envie vers Megumi. Tout cela excitait sa maman, ne la gênant pas, mais venant baiser son cou, serrant son petit corps tout doux contre le sien, plus chaud et expérimenté.

« Ma petite Maki-chan fait du bon travail, chérie ? »

Dit-elle en levant les yeux vers sa maîtresse et amante.

Assise sur le lit, Megumi avait droit à un magnifique spectacle devant elle. Miyuki et Maki s’attaquaient à sa verge, et l’idée de former sexuellement les filles de Miyuki ne pouvait que lui plaire. Est-ce qu’elles finiraient par considérer Megumi comme leur nouvelle Maman ? Megumi savait pertinemment qu’il était très difficile de s’imposer aux yeux des enfants de son partenaire. Ils vous voyaient nécessairement comme un empêcheur de tourner en rond. Une personne étrangère, extérieure, s’immisçait après tout dans une relation familiale, intime, et ne pouvait donc être qu’un intrus. Megumi en avait eu conscience, et elle allait s’imposer à sa manière. Elle voulait l’amour total et inconditionnel de Miyuki, et cela nécessitait donc de tenir compte de ses filles. Megumi allait donc faire en sorte que (i]toutes[/i] l’aiment Miyuki resterait sa femme, mais elle ferait en sorte que ses filles la considèrent comme leur nouvelle mère, leur « Maîtresse ». Ainsi, elles formaient un couple complet, épanoui et sans aucune difficulté.

« Hmmm… Oui, c’est bien, ma petite Maki-chan… »

Dans le dos de sa fille, Miyuki la câlinait tendrement, et Maki, la bouche pleine, continuait à la sucer. Ses lèvres remuaient d’avant en arrière. Elle ondulait sur cette queue, enfonçant ce membre épais en elle. La main de Megumi se posa sur ses cheveux, et crispa ses doigts dessus.

« Là, respire par le nez, et continue… Continue aussi loin que tu peux, mais sans te forcer… »

C’était ce qu’elle faisait, et avec un certain talent. Maki clignait des yeux, relevant son regard pour croiser le sien. Megumi lui sourit doucement, et laissa la bouche de Maki s’enfoncer plus longuement, sa propre main venant s’appuyer sur ses cheveux. Elle l’accompagnait, mais sans violence, en faisant au contraire preuve d’une douceur et d’une délicatesse qui tranchaient avec l’intensité des coups de reins qu’elle avait infligés à Miyuki. Mais Maki-chan était un peu comme une petite poupée de porcelaine, il fallait en prendre soin ! Alors, Megumi se montrait patiente et attentionnée, sa verge pulsant doucement dans la bouche de Miyuki, se préparant à balancer sa giclée tôt ou tard…

Tout se déroulait plutôt bien dans la chambre de Miyuki, même si Maki avait fini par les rejoindre, ce n'était pas la plus difficile à convaincre pour leur couple. Maki a souvent été du côté de sa mère, et puis même elle soupçonnait sa fille d'aimer les autres filles alors, voir sa mère « comme elle » pourrait valider son approbation ? Vu ce qui se passait, elle semblait plus que d'accord. Certes, Megumi n'était pas une « vraie » femme en apparence, jamais une femme n'avait eu de pénis entre les jambes, mais cela ne semblait pas lui déplaire vu la façon dont elle le prenait doucement en bouche. Bientôt, Miyuki était plus en retrait, laissant sa grande fille gérer ça toute seule de son côté. La belle petite blonde semblait à l'aise pour le moment, si bien que sa mère caressait ses douces petites fesses en attendant. Ce qui n'était que caresse finissait par devenir des coups de langue, en bas comme en haut. Sa petite rondelle vierge, sa petite chatte vierge aussi, mais juteuse à souhait. Elle était délicieuse et maintenant qu'elle y avait goûté, elle ne pouvait s'arrêter si facilement. Occupée entre ses deux maman, Maki gémissait, d'un côté par la belle queue qu'elle avait sous les yeux, de l'autre par sa vraie mère qui se régalait.

« Mmmmmhhhhhh~ »

Elle débutait, elle ne pouvait pas être naturellement douée pour les gorges profondes, en tout cas, elle y mettait tout son petit cœur pour réussir au mieux à en avaler le maximum. Ça ne dépassait pas sa bouche, il y avait un frein naturel pour l'empêcher d'aller plus loin, plus psychologique que physique, contrairement à l'hymen. Caressant sa fille avec ses doigts, Miyuki levait les yeux vers sa chérie avec un petit sourire, elles étaient si belles ensemble, mais elle le sentait, sa fille était prête, elle les avait épiée après tout, non ?

« Megumi, je pense que ma fille en veut plus. Tu peux faire d'elle une Femme. »

Maki, la première concernée retirait la queue de sa bouche, levant les yeux vers elle, plein d'émotion et de désir, elle n'arrivait pas à le dire, mais sa tête remuait doucement pour dire « oui », en silence. Elle était jeune, mais elle n'était pas inculte, elle voulait voir ce que ça donnait vraiment, maintenant qu'elle était habituée à « ça » en bouche, qu'est-ce que ça pouvait donner ailleurs ? Miyuki relevait sa fille, pour l'allonger sur le dos. Elle s'asseyait, écartant les cuisses pour que sa fille pose sa tête sur le bas de son ventre, elle était là pour la rassurer et l'aider, c'était son rôle de Maman. Elle allait assister à ça et voir sa fille devenir une petite femme.

Le projet de Megumi de fonder une grande famille aimante était doucement en train de prendre place. Ce plan commençait de la plus belle des manières, par Maki-chan, qui suçait doucement sa verge. Miyuki les observait, fascinée et enthousiasmée par ce spectacle. Aurait-elle pu rêver mieux ? Elle qui était tombée sur un petit-ami indélicat, quelqu’un qui l’avait laissé seule pour éduquer ses charmantes filles, ne pouvait que faire confiance à Megumi. Elle comptait bien adopter ces trois ravissantes filles, et leur donner des enfants… Et peut-être même une nouvelle fille, qui sait ? Car, après tout, l’élue de son cœur était Miyuki. Ses filles constituaient un délicieux ajout, irrésistible, mais le mât de toute cette construction restait Miyuki… Et, si Miyuki ne voulait pas initialement entendre parler d’une nouvelle grossesse, Megumi entendait bien la convaincre une fois qu’elle aurait engrossé ses trois filles. Miyuki finit d’ailleurs par lui faire observer que Maki était prête à devenir une « femme ».

Megumi, qui s’amusait à caresser et à serrer les cheveux de la blondinette, releva la tête, et lui sourit, avant d’écarter sa main. Sa verge tendue remuait bien dans la bouche de Maki, qui se retira, et resta en position de seiza. Elle hocha la tête de haut en bas, tout en rougissant benoîtement. Elle était encore trop sous le choc pour pouvoir dire quoi que ce soit, mais son regard ne mentait pas. Megumi sourit donc, puis hocha la tête à son tour.

« C’est entendu… Mets-toi en position, joli cœur. »

Maki n’eut qu’à se déplacer, aidée par Miyuki. Megumi s’écarta, et, tandis que Miyuki s’installait sur le lit, et qu’elle posait la tête de Maki sur son ventre, Megumi récupéra un trépied, et mit une caméra dessus.

« Cela te fera de jolis souvenirs, mon amour… »

Megumi se déplaça ensuite, et rejoignit le lit. Elle s’installa à califourchon sur le corps de Maki, dominant la petite de tout son poids et de toute son ossature. Son corps voluptueux se dressait au-dessus du sien, et elle se pencha lentement, commençant par embrasser Miyuki, puis se déplaça encore. Le bout de ses jambes glissa sur le rebord du lit, et elle posa sa main sur les hanches de Maki, la soulevant lentement. Elle croisa son regard, et lui sourit ensuite.

« Regarde-moi bien, ma chérie… Et n’hésite pas à crier, car ça va te faire un peu mal, au début… Maman est là pour te soutenir aussi… »

Elle l’embrassa tendrement, puis posa sa main sur sa verge, et la déplaça. Elle l’orienta entre les cuisses de Maki, puis sa solide verge, érectile et difficile à manœuvrer, s’enfonça difficilement dans la chatte de Maki.

« Là, là… Tu es si serrée, ma jolie, humm… J’a-J’avais oublié à quel point c’était serré… »

Fort heureusement, les petites parois intimes de Maki étaient déjà bien lubrifiées, ce qui simplifiait la pénétration. Elle soupira encore, remuant en arrière, et donna des coups de reins, s’enfonçant dans le corps de Maki, s’efforçant de soutenir son regard… Et, à chaque fois que Maki manquait détourner les yeux, Megumi posait sa main dessus, et la ramenait à ses yeux.

« Re-Regarde-moi, hmmm… A-Accroche-toi à m-moi, hmmm… »

Miyuki n'avait qu'une envie, de voir Megumi rester ici et devenir sa femme en quelque sorte. De vivre ensemble, de voir ses filles heureuses en accueillant cette dernière comme une nouvelle maman. Ce sera pas si simple, mais elle fut la première surprise à imaginer que le sexe pouvait aider. Après tout, elles étaient assez grandes pour ça. Mais c'est surtout qu'elle avait hâte d'annoncer à Megumi qu'elle attendait son enfant... Mais elle s'était imposé une condition, celle de voir ses filles acceptées cette dernière à vivre sous ce toit avant de l'annoncer. Et si ça tarde, eh bien elle finira par s'en douter, mais pour le moment, le secret était mieux gardé qu'un secret-défense. Pour l'instant, la tâche n'allait pas être des plus compliquées, car parmi ses trois filles, Maki était la plus simple à convaincre, elle avait affiché ouvertement son accord lorsque Megumi était arrivée et que sa mère avait fait les présentations. Miyuki était d'accord, si sa fille l'était, alors elle veillait sur elle et la belle Maki était forcément d'accord pour que sa belle-mère vienne être sa première fois.

La jolie blondinette se mit en position, sa mère restant près d'elle, non loin, embrassant l'autre femme, avant qu'elle ne porte toute son attention sur elle. Sa queue en main, caressant son entrée, elle ne tardait pas à venir, forçant doucement le passage, elle laissait son gland venir, le début, pas de soucis bien qu'elle soit forcément un peu serrée. Elle tremblait un peu, consciente de ce qui allait arriver, même si ce n'était rien de grave, Megumi venait à s'enfoncer plus loin, rompant sa barrière intime ce qui la fit serrer des dents, fermant ses yeux un court instant, tandis que sa future belle-mère lui demandait d'ouvrir les yeux. Elle le fit, avec de petites perles de douleurs au coin des yeux, mais elle se forçait à sourire doucement, sentant la douleur qui la quittait doucement. Comme une coupure, la douleur était là sur l'instant, après, elle se stabilisait.

« O-Oui... »

Elle levait ses bras vers elle, comme demandé pour les passer autour d'elle et sans forcément l'embrasser, elle rapprochait ainsi leur corps, elle voulait sentir ce corps ferme et mature l'enlacer pendant qu'elle lui faisait l'amour. Elle voulait un échantillon de ce que sa mère vivait à ses côtés, même si elle avait vue que sa mère se livrait à des pratiques un peu plus adulte encore que ça. Mais Maki était certes jeune, mais pas encore assez expérimenté et attirée par ce monde pour de suites sauté à pieds joint dedans comme si elle n'attendait que cela. Elle pourrait bien essayer un jour, mais pas immédiatement. Miyuki caressait la tête de sa fille, rassurant la chair de sa chair que sa véritable maman était là, veillant sur elle avec tendresse. Il n'y avait pas eu besoin de cela en réalité, car c'était déjà le cas mais, une de conquise sur trois. Restent deux accords et Miyuki lui annoncera la meilleure nouvelle de sa vie.

Maki se faisait prendre avec une relative douceur. Pour sa première fois, Megumi ne voulait pas la dégoûter, mais au contraire qu’elle devienne addict, accroc comme sa mère à sa queue ! Bien loin de se douter de la surprise que Miyuki avait à lui dire, Megumi se félicitait à l’idée de coucher avec Maki, et à l’idée, aussi, d’enfanter toute cette famille ! Elle tremblait d’excitation à cette idée, et embrassa encore Maki, qui avait hésité à le faire. Megumi avait donc pris les devants. Elle l’embrassa donc, s’étalant de tout son long sur le corps de Maki. Le corps massif de Megumi devait l’écraser, voire l’étouffer un peu, mais c’était comme ça que le sexe était bon. Megumi s’étalait sur le corps de Maki, la MILF la dominant joyeusement. Les jambes de Maki ne parvenaient pas à rejoindre l’extrémité des jambes de Megumi, qui continuait à remuer, relevant et abaissant son bassin, gagnant ainsi progressivement du terrain dans le corps de Maki, dans sa petite chatte étroite.

Celle-ci avait du mal à se servir de ses mains, alors Megumi choisit d’attraper les douces mains de Maki, et enroula ses doigts avec. Elle les plaqua ensuite sur le lit, à droite et à gauche des genoux de Miyuki, qui observait naturellement la façon dont sa fille réagissait.

« Hmmm… Tu es si belle, Maki-chan… Je… Je suis ta nouvelle Maman, maintenant… Tes deux Mamans sont là, ma chérie… Et nous t’aimons, ma belle… Haaa… »

Megumi se mordilla les lèvres. Oh, que cette chatte était étroite ! Elle avait mal à la verge, et elle bandait ses muscles, peu habituée à pénétrer une chatte si étroite. Il fallait bien admettre que Miyuki était habituée à se faire prendre par Megumi dans de nombreuses positions, et quasiment tous les jours. Megumi tremblait donc, et, quand elle se redressait, le corps de Maki la suivait, avant de redescendre sur le lit. Megumi continuait à la prendre, avec passion, soupirant encore, rougissant sous l’effort et le plaisir… Et embrassa encore Maki, fiévreusement, fourrant sa langue dans sa bouche avec appétit.

Faire ça en famille, l'idée semblait bizarre au début, mais Miyuki s'était fait à cette idée, si cela pouvait permettre à ce qu'elles acceptent elles aussi Megumi, ses filles y avaient droit aussi au bonheur. Certes, elle restera sa maîtresse, sa femme en quelque sorte et d'autant plus quand elle saura qu'elle portait son bébé, mais pour le moment, elle laissait l'idée qu'elle enfanterait ses filles. Si elles étaient d'accord, plus tard, pourquoi pas, mais d'abord, elle devait les laisser choisir et surtout, son avis changeras peut-être quand elle saura qu'elle aura son propre bébé d'ici neuf mois environ. Mais pour l'instant, juste coucher avec elles, c'était déjà bien. Ce n'est pas qu'elle était jalouse, mais elle voulait garder le statut de « femme » quelque temps, elle aimait ses filles, mais c'était sa chérie avant la leur. Maki était entre de bonnes mains, Megumi commençait à la prendre, forçant un peu, certes, c'était sa première fois et sa chatte n'avait rien à voir avec la sienne. Miyuki était si souvent prise par sa patronne qu'elle n'aurait sûrement pas beaucoup d'effort si jamais elles s'adonnaient aux plaisirs du festin, mais pour l'heure, aucune des deux n'avait abordé le sujet.

« Mmmmrrrr... »

Entre plaisir, découverte et une légère douleur, Maki profitait en sachant que les prochaines fois seront meilleures. Cette nouvelle maman était parfaite pour elle, elle aimait les filles déjà, elle n'avait rien contre les femmes, mais si en plus elle était membrée, c'était surprenant, mais elle a adorer espionner sa mère se faire baiser. Elle savait donc qu'elle était douce pour le moment, première fois oblige puis même elle, elle n'était pas prête à subir comme sa véritable mère, mais plus tard, elle espérait bien expérimenter la chose, mais la douceur avait plus sa place pour le moment.

« Haaaaaa ouiiiiii haaaaa ! Ai-aime-moi c-comme tu han.... aime Maman~ »

Plus doucement, certes, mais elle voulait ressentir le plaisir de sa mère, savoir que sa chatte serait bien remplie de foutre et qu'elle couinera de plaisir. Mais Miyuki était là pour arrondir les angles, sa main caressa le visage de sa chérie tandis qu'elle parlait d'une douce voix.

« Vas-y doucement, Maki veux toujours aller trop vite. On ne roule pas sur l'autoroute pour sa première leçon de conduite après tout. »

Miyuki la connaissait mieux puis elle n'avait pas tort, libre a Megumi d'augmenter la cadence à sa façon, mais ça ne servait à rien de brûler les étapes, Megumi n'allait pas s'envoler. Au contraire même, il fallait profiter de cette occasion, savourer chaque instant. Miyuki aurait aimé l'avoir en première fois par exemple.

Pour Maki, les choses sérieuses commençaient vraiment, et cela ne pouvait que ravir Megumi. La puissante Futanari avait toujours envie d’avoir une famille, et, malgré toute sa perversité, elle ne pouvait s’empêcher d’apprécier Miyuki. Élever seule trois filles, ce n’était tout de même pas simple ! Megumi pénétrait donc Maki, mais sans donner à sa pénétration l’intensité ou la violence de ce qu’elle faisait avec Miyuki. C’était même plutôt « doux », autant que possible. Très clairement, Megumi avait tenu compte des remarques de Miyuki, et cela lui semblait normal. Pour une première fois, elle ne devait pas imposer à Maki un rythme trop intense, mais faire lentement monter le désir, que la sauce prenne avec passion. Elle soupira donc contre elle, remuant de haut en bas, s’enfonçant progressivement, et sourit à Maki,q ui gémissait fortement, son petit corps remuant contre le sien, en plein milieu du lit.

« Oh oui… Je suis ta nouvelle Maman, Maki-chan… Miyuki et moi, nous sommes tes Mamans, tes mamans qui t’aiment ! »

Il faudrait sans doute un peu de temps pour que les trois filles acceptent vraiment Megumi, mais celle-ci se faisait effectivement fort de les prendre comme ses propres filles. Elle pouvait voir avec délice les joues de Maki s’empourprer, tandis que la petite blondinette continuait à subir les assauts sexuels de Megumi. Petit à petit, la femme accélérait, amplifiant le mouvement, au fur et à mesure que les parois intimes de Maki se dilataient, et que son membre croissait plus facilement en elle. Le contact était agréable, intime et chaud. Megumi tenait d’une main les cheveux de Maki, et l’embrassa avec appétit, avec douceur, se pressant contre elle. Elle sentait le corps de Maki se coller au sien, remuant en harmonie avec elle.

Megumi lui sourit ensuite, l’embrassant sur la joue, puis dans le creux du cou. Elle continuait à la prendre en missionnaire, faisant durer le plaisir. Rien ne pressait, après tout, et Megumi voulait imprimer cette séquence, elle voulait que Maki conserve à jamais dans sa chair et dans son esprit la mémoire de ce qui allait se passer, que cette séance ici soit son meilleur souvenir !

« Est-ce que tu aimes… Me sentir en toi, hmmm… ? »

Cette nouvelle version de sa famille allait surprendre Miyuki, mais maintenant, Megumi, sa patronne, faisait partie de sa famille, bien que les filles doivent accepter cela, c'était sa condition pour qu'elle puisse réellement s'installer ici et lui parler de la grande nouvelle qui grandissait en elle. Ce n'était que les premiers jours après qu'elle a appris ce qui se passait dans son corps, ça ne se voit aucunement que la belle maman de ses trois grandes filles attendait de nouveau un bébé. Pour l'instant, elle se contentait de faire l'amour à sa seconde fille, celle qui semblait de base, acceptée la nouvelle liaison de sa mère, depuis le divorce avec leur père. Elle était de ses filles, celle qui semblait aussi avoir un penchant pour le beau sexe alors, coucher avec sa « belle-mère » semblait être un fantasme chez la belle Maki. Qui plus est, une femme membrée, elle ne l'aurait pas imaginé, mais tant mieux. Le corps de la belle Milf se penchait sur elle, la pénétrant avec une certaine douceur, cela n'étant pas fait pour lui déplaire après tout. Quand bien même elle pouvait secrètement fantasmer sur un jeu de rôle ou une vision plus sauvage de la chose, pour cette première fois, elle ne voulait pas brûler les étapes.

« Mmmmh haaaan~ »

Même si sa véritable mère observait la scène, son doux sourire bienveillant avait de quoi la rassurer, elle restait en retrait, caressant surtout sa joue, parfois ses cheveux blonds, quand bien même parfois, elle observait un peu plus sa partenaire, échangeant avec elle un baiser plus doux que d'habitude, mais qui était la preuve d'un véritable amour entre elles, même si elles étaient de celles qui faisaient l'amour de façon plus violente d'ordinaire. Leur précédent orgasme commun en était la preuve.

« Haaaaaa~ Ma-maman ! Ta... ton... Il est trop gros en moi ! »

Ce n'était pas dans ses habitudes, après tout la demoiselle lui a offert sa virginité et elle était encore plutôt jeune, logique que sa belle-maman soit un peu à l'étroit en elle, mais c'est une chose qui allait changer avec le temps. Raison de plus pour être doux avec sa « fille », il fallait lui laisser le temps à elle comme à son corps d'accepter une telle chose en elle. Elle était écrasée sur le lit, mais malgré son commentaire, elle ne voulait pas que ça s'arrête, elle ne voulait pas non plus que la vitesse augmente, pas de beaucoup en tout cas. Mais Miyuki était là pour la rassurer. Elle était sa mère, elle savait comment soulager les tourments de ses filles, se penchant sur elle en baiser son front, l'observant dans les yeux.

« Ne t'en fais pas, mon cœur, c'est normal. Megumi prend grand soin de toi. »
« D'a-d'accord, Maman... »

Un mot de sa maman et Maki semblait rassurée, plus confiante face à cette femme d'expérience qui prenait soin d'elle. Pour preuve, elle tendait ses bras pour venir l'embrasser avec délicatesse, gémissant doucement pendant le baiser. Megumi était en train de faire d'elle une femme. Deviendra-t-elle une amante ou simplement une belle-maman un peu spéciale ? Pour Miyuki, c'était la seconde option qui était envisageable, pas question que ses filles deviennent ses maîtresses ou pire, les mères de ses enfants. Elle était d'accord pour que Megumi joue avec elles, mais pas plus. Elle avait son mot à dire et si dans le couple, elle était du genre à dire oui à toutes ses envies, là, on parlait de ses enfants. À quoi ressemblerait leur arbre généalogique si son « épouse » était aussi sa belle-fille par le biais de l'enfant qu'elle pourrait donner à une de ses filles ? Non, elle aurait la chair de sa chair, ce dernier grandissait en elle, mais restait encore secret, l'annonce sera le bouquet final de cette série d'épreuves. Elle avait commencé par sa fille la plus simple concernant l'acceptation de leur liaison.

Miyuki put vite constater que Megumi se montrait bien plus douce avec sa fille qu’elle ne l’avait jamais été avec elle. C’était bien naturel, Maki était encore vierge, c’était sa première expérience sexuelle ! Pour autant, Megumi tremblait d’excitation. Quand elle avait pris Miyuki, celle-ci n’était pas vierge, évidemment, et Megumi aimait l’idée de former sexuellement une jeune femme, de l’initier au sexe, et de faire tranquillement d’elle une nymphomane. Évidemment, cela faisait de Megumi une femme très perverse, mais qui pouvait avoir des doutes là-dessus ? Megumi écouta Maki dire que sa queue était trop grosse, ce qui amena alors Miyuki à la rassurer. Megumi sourit à la jeune femme, puis alla l’embrasser tendrement.

« Toutes les femmes passent par là, tu sais… C’est un rituel douloureux au début, puis, ensuite, le plaisir vient… Ta mère… Ta Maman que j’aime, elle est passée par là, mais sa première fois était décevante… Alors, elle ne veut pas que ses enfants, qu’elle aime plus que tout au monde, même moi… Subissent la même chose. Donc, on a décidé… Hmmmm… Que je serai votre première fois, votre deuxième Maman et votre amante. »

Megumi lui sourit, ayant fortement ralenti le rythme du coup. Elle caressa le visage de Maki, essayant de la rassurer, de lui montrer qu’elle pouvait avoir confiance en elle, malgré son épaisse verge qui s’enfonçait lentement en elle. Megumi soupirait longuement, se mordillant les lèvres en rougissant. Pour elle aussi, s’enfoncer dans un sexe encore vierge, et qui se dilatait donc difficilement, ce n’était pas simple ! Elle heurtait l’hymen de Maki, qu’elle n’avait pas encore percé.

« Tu ne dois pas hésiter à crier si tu en as envie, ma belle… Ta Maman est là, elle veille sur toi… »

Megumi ne mettrait enceinte ses filles que si Miyuki le voulait, mais, même sans ça, elle avait envie de faire partie de cette famille, elle avait sincèrement envie d’être leur seconde maman. Megumi n’avait jamais eu d’enfants, elle n’avait jamais envisagé de fonder une famille ou même de tomber amoureuse, avant de rencontrer Miyuki.

Dans un soupir, Megumi perça alors la fine barrière protectrice de Maki, et la consacra femme en perçant son hymen…

Tout se passait bien pour le moment, il n'y avait que son aînée qui avait montré quelques signes pour dire qu'elle était plutôt contre cette nouvelle liaison de sa mère, mais le contraire l'aurait étonnée aussi. Au moins avec Maki, elle savait que de base, c'était la voie qui serait de son côté. Il n'y avait que sa dernière, elle ignorait vraiment de quels côté elle se placerait, elle n'avait pas eut l'air contre l'idée, même si elle n'a pas sauté au plafond pour autant ? Elle le saura bien assez tôt mais pour le moment, Megumi était tout contre sa petite Maki qui, malgré tout, avait besoin d'un peu de réconfort dans l'idée de cette première fois. Quoi de plus normal, même en sachant que c'était une étape douloureuse – mais rien en comparaison de l'accouchement par exemple – ça pouvait faire un peu peur, mais qu'elle se rassure, sa mère était là et elle ferait tout pour que cette dernière soit le plus à son aise possible. Même Megumi tentait de la réconforter, de l'aider dans cette épreuve mais elle était celle qui allait recevoir sa première fois, donc, elle devait alignée ses propos, et ses actions. Sa belle Megumi était si belle, elle n'a jamais été comme ça avec elle, ou plutôt rarement. Leurs relations avaient de base été défini comme étant un exemple entre soumise et dominante mais au fur et à mesure, des petites choses sont venue s'ajouter à leur histoire, ici et là.

« Ne craint rien, ma chérie... Fait confiance en tes mamans. »

Maki deviendra une des filles, indirectes de Megumi, mais il lui tardait d'avoir les trois « oui » de ses filles, pour annoncer la grande nouvelle à sa chérie. La vie grandissait déjà en elle, Megumi sera d'ici neuf mois une véritable maman, mais il était trop tôt pour en parler mais après tout, était-ce si étonnant ? Avec son ancien mari, elle avait fini par être délaissé, à tomber enceinte trop facilement. Ses filles avaient pour ainsi dire que neuf mois environ d'écart, chacune. Alors même si elle n'était pas tombée enceinte dés leur première fois, avec Megumi, il est évident que la prouesse était là, sa patronne s'en croyait sûrement incapable, mais son test de grossesse lui avait affirmé que c'était bien le cas. Pour lui faire la surprise, elle avait évidemment supprimer toutes les preuves, jamais Megumi pourrait s'en douter. Même si elle évitait ce qui serait mauvais pour le bébé, actuellement, ce n'était pas grand-chose en elle puis, ce n'est pas comme si Miyuki était du genre à boire ou à fumer donc déjà, ça faisait des suspicions en moins. Elle observait sa chérie faire l'amour à sa fille, faisant d'elle une petite femme, même ainsi, elle était si belle, elle ne lui en voulait pas pour son acte. Loin de là. Il lui tardait d'en avoir une nouvelle couche mais elle ne la pressait pas, sa fille aussi avait droit à ce petit bonheur. Sa douce main de maman, caressait le visage de sa fille, partageant un regard bienveillant envers elle, elle serait toujours là pour elle, sans un mot, Maki le savait et lui souriait en retour.

Si on avait interrogé les proches de Megumi sur son désir d’enfanter ou d’avoir des enfants, tout le monde aurait répondu qu’elle n’en avait aucune envie. Elle était une business woman, elle avait tout concentré pour sa carrière, son entreprise, et avait renoncé à l’idée d’être en famille. Megumi elle-même aurait dit cela, en étant convaincue de l’honnêteté de sa déclaration. La vérité était toutefois plus subtile Miyuki avait peut-être su éveiller quelque chose en elle. Megumi enviait sa relation privilégiée avec ses filles, leur complicité naturelle, cette manière qu’elles avaient de rester soudées toutes les quatre. Oui, elles formaient une famille comme Megumi le voulait. La patronne se surprenait maintenant à imaginer Miyuki enceinte d’elle. Ce n’était pas impossible, car sa verge crachait un sperme fécond, mais c’était tout de même peu probable… Elle était à ce stade loin de s’imaginer de la surprise de Miyuki.

Pour l’heure, Megumi prenait doucement Maki. Elle la prenait en missionnaire, et voyait le visage contracté de Maki se détendre petit à petit, au fur et à mesure que la vague l’emportait. Megumi avait dû forcer le passage, mais elle savait aussi qu’elle allait devoir accélérer pour que le courant prenne vraiment. C’était un jeu d’équilibriste, et elle devait aussi se retenir. Elle frissonnait d’excitation, la verge tendue, enjouée à l’idée d’être la première fois de sa future belle-fille.

« Là, ma belle, haaa… Oui, comme ça, hmmm… Tu es si serrée, ma puce… »

Elle voyait Maki fermer les yeux, tourner la tête. Megumi posa sa main sur son visage, et la tourna vers elle. Elle embrassa ensuite Maki, qui gémit, et s’efforça de lui répondre.

« Pose une main sur mon épaule, et l’autre… Pose-là sur mes fesses. Aide-là, Miyuki, hummm… »

Megumi sourit ensuite quand elle sentit la petite main de Maki se poser sur ses fesses.

« Voilà, c’est bien… »

Megumi sourit lentement, excitée par ce qu’elle faisait. Le plus important restait toutefois le comportement et les réactions de Maki. Megumi faisait exprès d’y aller lentement, et donna brusquement un coup de reins plus puissant. Maki couina en pinçant la fesses de Megumi.

« Tu aimes ça, hein ? Tu veux que j’y aille plus vite, ma chérie ? Tu n’as aucune honte à avoir, tu sais, ce que tu ressens… Est parfaitement naturel… »

Miyuki espérait voir ses filles acceptées Megumi comme elle, former une nouvelle famille, plus unie encore et plus soudé que jamais. Elle savait que pour ça, c'était la venue du bébé qui allait servir de ciment dans tout ça, mais avant d'utiliser le ciment, il faut que toutes les pièces s'imbriquent comme il faut. Maki était celle qui sera le plus simple à convaincre, avec ou sans sexe, elle était d'accord sur cette relation entre sa mère et cette femme. Sa seconde fille était mignonne, pleine de vie et toujours prête à aider les autres, elle était fière d'elle, surtout en ce moment où, mine de rien, elle faisait cela pour sa mère en plus. Non pas qu'elle se forçait, mais ce « sacrifice » était pour le bien de leur famille, Miyuki lui caressait le visage, ses jolis cheveux pendant que Megumi y allait doucement avec elle, avant d'y ajouter son petit grain de sel, son savoir-faire, en pilonnant sa fille, qui gémissait de plaisir face à l'assaut. Sa fille serait les zones où ses mains étaient posées, ce qui ne déplaisait pas à la belle patronne.

« C'est bien ma chérie... Continue, Maman est fière de toi. »

Instinctivement, son corps se pressait contre le sien, elle aimait ça, elle profitait de tout cela, entre sa mère et sa possible futur belle-mère. La douceur de sa mère, l'autre genre de douceur de sa nouvelle maman. Après son premier orgasme, Maman prendra le relais le temps que Maki redescende sur Terre, elle va s'amuser de nouveau avec sa chérie, elle avait hâte que Megumi desserre le frein sur elle, qu'elle se lâche et lui fasse subir de quoi la rendre plus douce pour un possible second round avec sa fille.

Megumi s’amusait beaucoup avec Maki-chan. Elle la pénétrait avec une douceur relative. Elle savait que Miyuki lui en voudrait si elle allait trop vite, et elle n’avait sans doute pas tort. Il fallait habituer ses filles, les former lentement, doucement. Megumi se retenait donc, dans une certaine mesure. Elle la prenait encore en missionnaire, encore et encore, faisant durer les minutes, jusqu’à soupirer. Elle y allait de plus en plus vite malgré tout, et aussi de plus en plus fort, sentant les douces mains de Maki-chan se crisper à ses épaules. Megumi se pencha pour l’embrasser, et posa sa main sur ses cheveux. Elle l’embrassa encore, et sentit les lèvres de Maki-chan se crisper aux siennes. Le lit grinçait doucement, et le corps de Megumi remuait fortement, amplifiant encore les coups de reins. Elle haletait, elle soupirait, bavant même un peu.

« J-Je vais jouir, ma belle… »

Un délicieux soupir s’échappa ensuite des lèvres de Megumi. Elle gémit encore, et sentit la vague l’emporter. Dans un grand soupir, Megumi se relâcha enfin, inondant la chatte trempée de Maki de son stupre. Elle jouit longuement, en soupirant, sous le regard sans doute admiratif de Miyuki. Elle put voir les deux femmes jouir, tant Megumi que Maki-chan. Megumi venait remplir le petit ventre de sa belle-fille, et l’observa avec envie, se délectant de son visage transi de plaisir, de ses joues rouges, tandis que la verge de Megumi, bien tendue, achevait de la pilonner. D’ultimes coups de reins accompagnaient son puissant orgasme, et Megumi se relâcha pour de bon, crachant les ultimes chapelets de foutre dans la chatte assoiffée de Maki-chan.

Elle se lova ensuite contre elle, le souffle rauque et la respiration lourde.

« Là, là, ma belle… Repose-toi, Maki-chan, reprends tes esprits… »

Megumi resta lovée contre elle, embrassant doucement Maki-chan dans le creux du cou, pour qu’elle reprenne ses esprits, et flotte encore dans ce moment de bonheur. Megumi n’en avait évidemment pas terminé, Miyuki était bien placée pour savoir que sa patronne était sexuellement très gourmande, insatiable, et que la nuit était encore longue…