Re: La prof remplaçante porte du latex rose ! [Avec Hosoo Ienaga]
Posté : 25 oct. 2024 10:51
Mélissandre : « Mais justement Soso. C’est pour ça que j’ai sorti les colliers : hi hi ! »
Mais la kunoichi était ailleurs. Est-ce qu’elle avait vraiment entendu Mélissandre lui répondre ? Ce n’était même pas certain tant elle plongeait profond dans le plaisir. Elle devait lutter pour regarder la bouille de la fille de sa professeure. Son cerveau ne pouvait concevoir autre chose que le présent, que remonter pour se laisser redescendre sur cette turgescence orange. Et à son tour, Mélissandre était hypnotisé par les mouvements et par toutes les gouttes de plaisir qui coulait. Quand soudain elle reçut un ordre.
Mélissandre : « Hmm ? Quoi ? Aaaah ! »
Oh !
Mélissandre : « Hi hi hi ! Toute ta mouille dans ma bouche ! »
Qu’elle était heureuse la slime. Quel repas de qualité pour ce monstre qui se nourrissait de sexe (et aussi de sucre, très peu important ce détail dans cette situation). Elle ne put se retenir. Ne décollant pas sa bouche des lèvres intimes de Soso, ses bras la soulevèrent pour l’allonger sur le lit. Il était hors de question de la libérer avant qu’elle n’ait tout bu ! Et puis, comme ça, elle pourrait se reposer. Elle espérait seulement qu’elle aurait encore des forces. Mais au vu de ses yeux, de sa lutte et de toute cette intensité explosive : Mélissandre se doutait que la petite humaine devrait récupérer. Elle haussa les épaules, alors qu’elle continuait à lécher goulument : elle s’était déjà beaucoup amusée, hi hi !
Mélissandre : *Je pourrais m’allonger sur elle. Pour partager aussi mon jus sucré. Mais elle est fatiguée. Je dois la laisser se reposer. C’est ce que Maman Lissandre me dirait, je crois. Mais… *
Mélissandre était une créature programmée pour le sexe. C’était difficile de lutter contre son essence. Sa langue commençait déjà à lécher le bas-ventre d’Hosoo. Elle s’attardait aussi sur l’intérieur de ses cuisses. Pas une seule goutte devait être gâchée. Et c’était aussi une façon de repartir dans l’exploration de ce territoire de chairs. Sa langue devait cartographier absolument tout.
Mélissandre : « Je te donnerais bien la clé de ma chambre, Soso. Mais ici, on n’a pas le droit de fermer à clé. Il n’y a plus de serrure. »
Et la porte s’ouvrit. Comme par hasard ?
« Tes affaires sont propres et sèches, Hosoo. »
Lissandre Verrières. Sa nouvelle professeure. La mère de Mélissandre. Elle se tenait sur le pas de la porte alors qu’Hosoo était étendue, complètement nue, et dérivant dans les relents de son orgasme. Quant à Lissandre ? Elle souriait malicieusement. A aucun moment elle n’afficha une expression contrariée ou énervée. Au contraire…
« Je vais tout déposer dans la salle de bain. Ensuite, quand tu auras pris ta seconde douche et que tu seras habillée : je me disais que je pourrais t’emmener dans le centre commercial. Si tu dois passer le week-end chez nous, ça m’embêterait que tu portes tout ce noir. Et je comprends aussi que tu ne veuilles pas toujours porter des affaires prêtées. Oh, et ne t’inquiète pas, la facture sera pour moi. »
Mélissandre, pendant le monologue de sa mère, s’était assise en tailleur sur le lit à côté d’Hosoo. Son doigt traçait des cercles invisibles sur le ventre de la belle presque endormie.
« Je serai en bas quand tu seras prête. Mélissandre ? »
Mélissandre : « Ah ! Oui ? »
Son doigt arrêta de caresser en faisant des cercles invisibles, comme si elle avait été prise en faute.
« Tu resteras à la maison pour aider Marmelade avec les trois bébés. Pas de mais. Ce sera ta punition pour m’avoir « désobéi ». »
Pour autant, ça ne ressemblait pas à une vraie punition. Ni dans l’intonation, ni dans les gestes, rien n’avait réprimandé Mélissandre pour le moment intime qu’elle avait passé avec Hosoo.
Mais la kunoichi était ailleurs. Est-ce qu’elle avait vraiment entendu Mélissandre lui répondre ? Ce n’était même pas certain tant elle plongeait profond dans le plaisir. Elle devait lutter pour regarder la bouille de la fille de sa professeure. Son cerveau ne pouvait concevoir autre chose que le présent, que remonter pour se laisser redescendre sur cette turgescence orange. Et à son tour, Mélissandre était hypnotisé par les mouvements et par toutes les gouttes de plaisir qui coulait. Quand soudain elle reçut un ordre.
Mélissandre : « Hmm ? Quoi ? Aaaah ! »
Oh !
Mélissandre : « Hi hi hi ! Toute ta mouille dans ma bouche ! »
Qu’elle était heureuse la slime. Quel repas de qualité pour ce monstre qui se nourrissait de sexe (et aussi de sucre, très peu important ce détail dans cette situation). Elle ne put se retenir. Ne décollant pas sa bouche des lèvres intimes de Soso, ses bras la soulevèrent pour l’allonger sur le lit. Il était hors de question de la libérer avant qu’elle n’ait tout bu ! Et puis, comme ça, elle pourrait se reposer. Elle espérait seulement qu’elle aurait encore des forces. Mais au vu de ses yeux, de sa lutte et de toute cette intensité explosive : Mélissandre se doutait que la petite humaine devrait récupérer. Elle haussa les épaules, alors qu’elle continuait à lécher goulument : elle s’était déjà beaucoup amusée, hi hi !
Mélissandre : *Je pourrais m’allonger sur elle. Pour partager aussi mon jus sucré. Mais elle est fatiguée. Je dois la laisser se reposer. C’est ce que Maman Lissandre me dirait, je crois. Mais… *
Mélissandre était une créature programmée pour le sexe. C’était difficile de lutter contre son essence. Sa langue commençait déjà à lécher le bas-ventre d’Hosoo. Elle s’attardait aussi sur l’intérieur de ses cuisses. Pas une seule goutte devait être gâchée. Et c’était aussi une façon de repartir dans l’exploration de ce territoire de chairs. Sa langue devait cartographier absolument tout.
Mélissandre : « Je te donnerais bien la clé de ma chambre, Soso. Mais ici, on n’a pas le droit de fermer à clé. Il n’y a plus de serrure. »
Et la porte s’ouvrit. Comme par hasard ?
« Tes affaires sont propres et sèches, Hosoo. »
Lissandre Verrières. Sa nouvelle professeure. La mère de Mélissandre. Elle se tenait sur le pas de la porte alors qu’Hosoo était étendue, complètement nue, et dérivant dans les relents de son orgasme. Quant à Lissandre ? Elle souriait malicieusement. A aucun moment elle n’afficha une expression contrariée ou énervée. Au contraire…
« Je vais tout déposer dans la salle de bain. Ensuite, quand tu auras pris ta seconde douche et que tu seras habillée : je me disais que je pourrais t’emmener dans le centre commercial. Si tu dois passer le week-end chez nous, ça m’embêterait que tu portes tout ce noir. Et je comprends aussi que tu ne veuilles pas toujours porter des affaires prêtées. Oh, et ne t’inquiète pas, la facture sera pour moi. »
Mélissandre, pendant le monologue de sa mère, s’était assise en tailleur sur le lit à côté d’Hosoo. Son doigt traçait des cercles invisibles sur le ventre de la belle presque endormie.
« Je serai en bas quand tu seras prête. Mélissandre ? »
Mélissandre : « Ah ! Oui ? »
Son doigt arrêta de caresser en faisant des cercles invisibles, comme si elle avait été prise en faute.
« Tu resteras à la maison pour aider Marmelade avec les trois bébés. Pas de mais. Ce sera ta punition pour m’avoir « désobéi ». »
Pour autant, ça ne ressemblait pas à une vraie punition. Ni dans l’intonation, ni dans les gestes, rien n’avait réprimandé Mélissandre pour le moment intime qu’elle avait passé avec Hosoo.