The Multiversity

Dans la chambre de la princesse, le futur couple royal entamait sa nuit de noces et pour ça, la sorcière voulait ouvrir les hostilités avec une sodomie. Kokoro n'était pas contre, elle la laissait juste mener la danse et se faisait lubrifier le fondement par la femme de sa vie. Techniquement, c'était Kokoro la véritable reine d'Edoras – du moins, une fois sur le trône – de par son sang royal, mais on voyait rien qu'à cette nuit de noces, que ce sera la sorcière qui va porter la culotte dans le couple. Mais la demoiselle se demandait quand même si elle devait lui renvoyer la pareille sur sa queue ? Deux choses lubrifiées valent mieux qu'une, non ? Pour ça, sa femme était d'accord et en se redressant face à elle, elle lui montrait son épais sexe bien gonflé rien que pour elle. Elle observait cette chose sous son nez, se demandant bien des choses à son sujet, mais bien qu'elle soit une princesse très prude et innocente, elle prit le membre en bouche, suçant cela sans honte. Pourtant, Kokoro n'avait jamais fait cela, ses parents avaient parlé de choses classiques, sans rentrer dans les détails, mais la princesse semblait presque doué pour ça. Elle suçait sans enfoncer la chose au fond, son instinct lui dictait de ne pas chercher à dépasser sa langue et donc, elle suçait la belle sorcière qu'elle avait épousé avec amour.

On pourrait croire que ce n'était pas sa première fois, et pourtant, si. Elle y allait à son rythme, sans en rougir vraiment, s'assurant après tout que son engin soit bien lubrifié. C'était avec un certain entrain et une certaine assurance qu'elle la suçait avec amour, sa langue prenant bien soin de longer sa queue, ou de titiller la fente. Pourquoi ? Son instinct, une fois de plus. Dans son arbre généalogique, se trouvait la reine Rose après tout, Raku, et bien des rumeurs à son sujet était vrai donc... la douce princesse timide était naturellement douée ou c'était juste pour la fellation ? Arya aura toute la nuit pour le savoir. Elle retira sa bouche après une bonne minute à avoir cette chose en bouche pour relever les yeux vers elle pour mieux savoir.

« Est-ce que je dois encore continuer ou ça ira ? »

C'est que mine de rien, elle était un peu impatiente de s'unir à sa femme, elle qui était sublime dans son accoutrement en cuir et elle, de tester sa beauté et son sex-appeal dans ce petit accoutrement des plus mignons. Après tout, Arya devait avoir une certaine impatience en elle aussi ? Voir son regard presque innocent lever vers elle, sa bouche près de sa belle queue tendue et lubrifier.

Kokoro s’attaqua à la verge d’Arya, bien décidée à passer aux choses sérieuses. L’innocente fleur allait ouvrir peu à peu toutes ses pétales, et le bourgeon allait grandir, devenant une magnifique pousse ! Elle la suçait avec appétit, compensant son manque d’expérience par sa soif et son désir, furieux, palpant, exquis ! Arya soupira encore, se mordillant les lèvres, et caressa les cheveux de Kokoro, appuyant dessus, commençant à donner de petits coups de reins, mimant la pénétration qu’elle comptait lui faire ensuite. Elle était elle-même de plus en plus excitée, peinant à lutter contre cette vague qui remontait en elle. Oh, comme elle était belle ! Devant elle, Arya était en train de fondre, mais elle devait se retenir, ne pas jouir trop vite ! Non, non, le premier jet ira dans le corps de Kokoro-chan, pas dessus !

« Hmmm… Oh oui ! »

Et, comme si Kokoro réalisait alors qu’Arya approchait du point de rupture, que sa verge avait bien durci, elle se retira alors. Son regard croisa celui d’Arya, qui se racla la gorge, s’efforçant de reprendre ses esprits. La chose n’était pas si simple, car son cœur battait joyeusement la chamade. Très excitée, elle se pinça les lèvres, et déplaça sa main, venant caresser les beaux cheveux soyeux de Kokoro, son aimée. Un frisson la traversa longuement, et elle hocha la tête.

« Oui… Oui, je suis bien chaude, là… Hmmm… Ma queue me fait un mal de chien, je ne pensais pas que ça serait si lourd… »

Arya ferma les yeux en déglutissant, et s’écarta un peu.

« Allez, ma chérie, mets-toi à quatre pattes, j’ai tellement envie de te défoncer le cul ! »

Sous l’effet de l’excitation, Arya se montrait particulièrement crue, et avait, à vrai dire, extrêmement envie de revoir le fessier de Kokoro… Et même le voir de très près…

L'innocence et la pudeur apportaient souvent des fruits exquis ! Née dans un milieu très aisé, entouré de tout l'amour dont elle avait besoin, la princesse a toujours été assez éloignée du sexe. Bien évidemment, elle s'était posé des questions une fois adolescentes et, comme pour toutes ses sœurs et ses frères, elle eut droit à des cours d'éducation sexuelle. Elle s'était limitée au minimum, avoir un bébé, prendre du plaisir, cela lui suffisait à attiser sa curiosité. Mais avec le temps et en passant du temps avec Arya, elle avait envie de plus, de sa part, et même d'apprendre d'autres genres de choses. Porter cette petite tenue, ça semblait banale et pourtant, jamais la princesse n'avait pensé voir une chose aussi sexy que mignon sur son corps ! Arya portait quelque chose dans une matière plus rigide et crissante, cela lui allait bien, mais elle ne se voyait pas porter ce genre de chose. Peut-être plus tard, mais pour le moment, cela l'intimiderait qu'on lui propose une telle chose.

Face à Arya, sa femme, elle se laissait dicter les envies, après tout, c'est ce qu'elle lui avait demander et elle se retrouva à genou, à pomper sa délicieuse et énorme queue. Elle était dure et molle, délicieuse et étrange en bouche, elle semblait presque palpiter dans sa bouche tandis qu'elle remuait sa tête, la sorcière y ajoutait aussi ses petits coups de reins qui frôlaient sa gorge. C'était étrange... pas désagréable... mais une sensation étrange quand ça arrivait. Partageant un regard avec elle, sa femme était prête à passer à l'étape suivante et Kokoro se retrouva à quatre pattes, tendant ses petites fesses bien dessinées vers son épouse. Sa verge restait toujours aussi bien dressée vers elle, tandis qu'elle se rapprochait. Cela allait être douloureux ? Surement, oui. Elle avait un peu peur, mais elle y était préparer aussi. Sans y connaître grand-chose, elle savait que le sexe avait bien des formes et des variantes. Des gens aimaient se faire mal pendant les rapports, d'autre préféraient utiliser des sortes de jouet, d'autres aimaient même être beaucoup dans le même lit. Elle ne connaissait pas tout cela, mais elle n'était pas si inculte non plus.

« Arya, continue de me parler ainsi, s'il te plaît... J'aime te voir autoritaire avec moi, dans ce genre de moment... »

La connaissant depuis sa plus tendre enfance, elle était habituée à son caractère taquine, mutine, c'était peut-être aussi pour cela qu'elle l'aimait. Mais jamais Arya ne lui parlait de la sorte et... peut-être qu'au quotidien, quand elles mangeaient par exemple, ce serait inutile et grossier, mais là, chaque fois qu'elle prenait ce ton autoritaire, elle sentait autant son cœur battre fort que de petits picotements agréable entre les cuisses. Elle était assez impatiente de voir comment se comportera son épouse, quelles seront les sensations qu'elle allait ressentir lors de cette sodomie et de leurs orgasmes aussi ? Tant de mystères qui trouveront leur réponse petit à petit...

Arya se pinça doucement les lèvres quand Kokoro, de sa douce voix de crécerelle, de sa voix innocente et tendre, lui demanda de continuer à lui parler comme ça. Sa jeune épouse pencha la tête sur le côté. Elle continuait à malaxer les fesses d’Arya, tandis que sa verge caressait le renflement de ses fesses, s’enfonçant contre sa croupe. Arya ne la sodomisait pas encore, elle voulait l’exciter un peu, savourer le moment… Et un sourire enjoué naquit sur ses lèvres.

« Oh… Que je continue à te parler comme ça ? Mais comment donc, ma chère épouse ? Serait-il possible que tu aimes ça… Quand je t’annonce que je vais… Te baiser comme une chienne en rut ? »

En balançant cette insulte, elle donna un coup de reins en avant, faisant remonter sa verge contre le cul de Kokoro, et pinça son postérieur. Elle n’avait même pas besoin d’user de sa magie pour sentir l’excitation de sa jeune femme. La manière dont elle tremblait sur place était parlante, et délicieusement jouissive ! Cela renforça encore l’érection d’Arya ! Sa queue se durcit joyeusement, remontant vers le ciel, luttant contre la gravité. Arya se pinça les lèvres, et donna une nouvelle fessée sur le délicieux postérieur de sa partenaire, se délectant de ses couinements.

Continuant à remuer, et à lentement frotter sa belle verge contre les fesses rebondies de sa partenaire, Arya reprit :

« Dire que tout le monde te trouve si ingénue, si douce, si naïve… Même Maman Kiriko te trouvait trop douce pour moi, au début ! Si seulement elles savaient… Tu es une grosse coquine, Kokoro-chan, une délicieuse perverse qui a très feu dans son petit postérieur… Tu as de la chance que je sois là ! »

Arya avait toujours été plus expressive que Kokoro. Elles formaient un couple diversifié, chacune compensant par ses qualités les faiblesses de l’autre. Arya soupira ensuite, bandant ses muscles. Sa verge titillait désormais la porte arrière de Kokoro, qu’Arya gifla encore. Une claque un peu plus forte que les précédentes, où sa main résonna dans la pièce. Sa verge avait joué avec le froufrou blanc derrière le petit cul de Kokoro, se frottant à ce doux tissu, remuant régulièrement dessus.

La jeune sorcière soupira alors, bandant ses muscles, et attrapa sa verge… Puis elle commença à enfoncer sa verge, grognant en sentant l’étroitesse de sa porte arrière.

« Hnnn… Tu… Pu-Putain, t’es si serrée, salope… ! »

Arya se pinça les lèvres en rougissant, et, sentant une pointe de douleur comprimer sa verge, elle la fessa à nouveau, pour faire circuler la douleur, grognant à nouveau en s’enfonçant douloureusement dans ce cul étroit…

Kokoro n'était pas honteuse, pas trop du moins en présence de son épouse, elle savait que ça cassait l'image qu'elle montrait en dehors de cette chambre, mais après tout le sexe était une chose intime qu'elle ne devait partager qu'avec sa femme. Non pas qu'elle se forçait à être une douce princesse, elle agissait naturellement, mais le sexe était une chose si puissante qui lui demandait de faire sortir ce qu'elle avait au plus profond d'elle. Faire l'amour simplement comme elle avait pu l'apprendre plus jeune dans ses rares cours d'éducations sexuelles ne l'aurait pas gêner, mais puisqu'elle avait le choix et qu'elles étaient si bien habillée, ça la motivait à y aller un peu plus. Au moins, cela ne déplaisait pas à son épouse qui se prêtait aisément au jeu, cela lui plaisait à elle aussi après tout. Sa queue ne cessait de caresser la raie de ses fesses, montrant aussi une certaine rigueur, elle la sentait puissante alors que ce n'était qu'une barre faite de chair et de muscle, mais... elle lui faisait tant envie alors qu'Arya s'amusait à comparer son comportement actuel à l'image qu'elle reflétait d'habitude.

« Ne dis pas n'importe quoi... Je veux juste... te rendre heureuse... »

Une demie-vérité, elle en avait envie aussi... un peu... Mais elle préférait se dire qu'elle pensait avant tout à celle qui était désormais sa femme aux yeux de la loi. Même si l'effet n'était pas immédiat, elles étaient reines de ce pays et le futur dépendra d'elle et de leurs enfants par la suite même s'il était encore un peu tôt pour penser à ça. Peut-être l'une d'elles sera enceinte ce soir, après tout, toutes les deux ont été conçu lors de leur nuit de noces, ce serait un heureux hasard qu'il en soit de même pour le fruit de leur amour. Si tout porte à croire que Kokoro porterait cet enfant – si enfant il y a cette nuit-, la nuit était loin d'être fini. Mais pour la commencer, cette fameuse nuit, la verge d'Arya força son entrée arrière et arriva à se nicher en elle. La nouvelle reine serrait les dents face à cette intrusion, elle s'attendait à ce que ce soit éprouvant pour elles, mais ce n'était que le début. Ses mains se serraient sur les draps du lit alors que sa sorcière bien-aimée continuait sa lente progression en elle jusqu'à en arrivée jusqu'au bout. La chair couverte de cuir se pressait doucement sur ses douces fesses à la peau si délicieuse.

« Nnnnnnhhhhh aaa-aaaaaah... A-Arya ! C'est... dur... »

Arya la fessait de temps en temps, lui arrachant parfois un cri muet, bloqué dans sa gorge. Elle sentait son corps trembler face à ces nouvelles sensations qui deviendront bientôt quotidiennes, faisant le bonheur de ce jeune couple, mais pour le moment, il fallait souffrir ensemble. Elle pouvait bien dire ça dans les deux sens, tant sa verge que supporter cela, mais, la première fois était rarement le meilleur souvenir que l'on garde, peu importe la chose que l'on fait. Surtout si cela implique un minimum de souffrance. Arya allait devoir mener la danse pour débloquer sa femme et être heureuse, ensemble, en harmonie totale.

Kokoro ressemblait en soi beaucoup à Shunya, tandis qu’Arya avait hérité d’un curieux mélange de ses mères. C’était comme si la perversité de Sha s’était mélangée au franc-parler énergique de Kiriko. Le résultat était donc exquis, et il était évident que Kokoro allait se faire sodomiser. Arya, qui entretenait une relation incestueuse avec ses mères, avait déjà été sodomisée par elles, tout en recevant leurs conseils. Une sodomie étant naturellement douloureuse, il ne fallait pas chercher à y aller lentement, mais à miser son va-tout. Ce n’était que comme ça qu’on parvenait à franchir la barrière de la douleur, et à permettre aux deux amants d’apprécier ce moment. Car, si Kokoro avait naturellement mal, c’était aussi le cas d’Arya, qui grognait sur place en sentant ce cul étroit comprimer sa belle verge, la pressant entre ses chairs internes bien serrées.

« Hnnn… Gnnnn !! »

Des gouttes de sueur commençaient à couler du front d’Arya, qui reprit son souffle, amplifiant les mouvements, donnant de grands coups de reins, d’avant en arrière. Petit à petit, le fondement de la jeune femme se dilatait, ses parois anales s’écartant. Soupirant à nouveau, elle s’enfonça plus profondément en elle, giflant ensuite son cul, faisant circuler le sang dans sa main.

« Là… Là…. !! »

Arya se pinça encore les lèvres, serrant ses doigts sur le cul de sa femme, et continua à la prendre, encore.

« Laisse-toi aller, ma chérie… Hurle, couine, ma belle, laisse ça sortir de toi !! »

Toutes les Kaguya étaient de belles femmes à la fois si noble, si belle, si pure. Il en était de même pour les garçons, mais forcément, les filles avaient ce petit plus hérité de leur mère et sur ça, Kokoro était presque le parfait mélange de ses parents. Tant sur la beauté que sur le caractère, elle avait grandi dans le ventre de Shunya avec Byakuya, la princesse était si belle et si pure. Mais aussi pure soit la princesse, comme ses parents à son âge, elle grandissait, avec des envies plus ou moins présente, surtout quand on grandit aux côtés d'Arya, la sorcière a su profiter de la situation. Taquiner la princesse n'était peut-être qu'un jeu au début, mais cela a fini par devenir bien plus et à présent, elle pouvait profiter du corps si doux de la princesse. Enfoncées dans son petit cul étroit, les jeunes mariées souffraient encore un peu de cette nouveauté, mais la sorcière tâchait de rendre cela plus agréable, claquant le cul de sa femme en remuant de plus en plus, l'incitant à se libérer, à donner de la voix.

C'était gênant quand même, même si ses parents ou Nora avaient peut-être insonorisé la chambre pour qu'elles soient plus en paix avec cela, il y avait un risque... Si leurs parents les entendaient ? Pire, leurs sœurs et frères ? Quelle honte... Mais Kokoro n'avait pas à s'en faire, le désir parlait pour elle, allant au-delà de cette raison et après une nouvelle claque sur son cul, elle cria une première fois, se libérant un peu de ce trop-plein.

« Hyyyyyyyyyyyyyaaaaaaaaaaaaaaan ! »

C'était encore assez faible, mais tout cela ne faisait que commencer, tandis qu'Arya commençait à y mettre un peu plus du sien encore, rebondissant de mieux en mieux contre le cul si doux et tendre de sa femme qui sentait ce plaisir qui débordait de plus en plus de son corps. Difficile de retenir tout cela, sa voix, ses paroles, tout commençait à montrer d'un cran au-dessus, pour ce qui allait être le plus grand bonheur du couple.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa, A-Aryaaaaaaaaaaaaaaaa~ Mmmmmhhh encoooore, plus f-fooooort ! »

La princesse était à quatre pattes, surbaissant l'assaut de sa femme, toutes les deux n'en étaient qu'au début sur bien des choses, mais déjà, elles en voulaient plus ! Il n'y avait pas que la beauté ou le caractère qui pouvait être héréditaire, le côté coquine de leurs parents risquaient bien d'avoir fait une petite place en elles lors de la conception. Les petites fesses de Kokoro n'avaient pas dû recevoir beaucoup de fessées, mais venant d'Arya, avec ses mains ou avec ses coups de reins, elle voulait bien sentir ses fesses rougir !

Arya se laissait aller, se moquant bien, à ce stade, qu’on puisse l’entendre. Au contraire, cela ne pourrait qu’inspirer les gens ! Qu’on l’écoute, qu’on l’admire, qu’on la vénère ! La discrétion n’était pas vraiment de mise au sein de la famille de Sha, et ce n’était pas Arya qui allait raser les murs ce soir ! Oh non, ça, sûrement pas ! Elle était en compagnie de la femme qu’elle aimait, et elles venaient juste de se marier, alors, ce n’était pas maintenant qu’Arya allait se taire ! Ce bonheur, elle avait envie de le crier au monde entier, de le hurler sans ménagement, de se laisser pleinement aller ! Alors, elle y allait, fessant sa partenaire, grognant avec passion, giflant son corps.

Bercée par les couinements de Kokoro, Arya était en pleine emphase, sa verge pulsant joyeusement dans le fondement de sa femme.

« Hmmmm… ! Pu-Putain, haaaa, ce que t’es bonne ! »

Ce n’était plus l’heure de rester polie, pas quand on avait sa verge nichée dans le fondement de sa partenaire, remuant dans son cul avec force. Plus fort, voilà ce que Kokoro lui avait demandé, alors Arya y allait avec force, autant que cela lui était possible ! Mais il fallait bien admettre que c’était assez épuisant ! Enfin, avec l’adrénaline qui battait furieusement dans ses veines, Arya ne sentait pas vraiment la fatigue, mais elle haletait férocement, sentant une douleur féroce comprimant sa verge. Dieu, que le cul de Kokoro était serré ! S’y baigner était éprouvant, certes, mais il ne fallait pas bouder son plaisir, c’était aussi un vrai bonheur !

Prenant son pied comme jamais, Arya continuait donc, faisant passer la douleur en giflant le cul de Kokoro, la douleur l’aidant à oublier celle sur sa queue, boostant son ardeur. Jouir, elle était bien décidée à jouir en elle, et Arya sentait que ça allait venir !

« Je… Haaaa… Je vais venir, Ko… Kokorooo !! »

Kokoro vivait un grand bonheur d'extase avec sa femme, mais ce n'était pas la seule. Dans le palais, leurs parents s'amusaient et s'aimaient de leurs côtés, ensemble, de quoi rapprocher encore un peu plus les familles Kaguya et celle de Sha. L'union de ses deux jeunes femmes inspirait et infusait l'amour tout autour d'eux, des plus jeunes aux moins jeunes, de nombreux couples plus ou moins officiel s'aimaient, de nombreuses princesses trouvaient l'amour dans leur lit en charmante compagnie. Kon, la quatrième princesse profitait de nouveau de sa petite amie, l’aînée de la famille Karistal, le prince premier faisait ses premiers pas en compagnie de Scarlet, une des sorcières, sœurs d'Arya, même les jumelles Chloé et Ilya faisaient leurs premiers pas innocents et mignons avec la même princesse que tout deux aimaient. Oui, en cette nuit, Aphrodite et l'influence du harem royale baignaient le palais dans un amour général. La délicate première princesse gémissait et criait doucement son plaisir, sous les coups de reins de sa femme, elle sentait sa puissante verge en elle remuer tandis que son épouse se donnait corps et âme. La princesse laissait son corps remuer sous la force et l'amour que lui offrait son épouse.

« Haaaaaaaan ! Encooooore, Arya-chan ! »

Elle sentait la sueur perler sur son corps, ici et là, glissant le long de certaines de ses courbes, une légère sensation rafraîchissante dans sa chambre qui commençait soudainement à devenir si étouffante. À moins que ce ne soit que leurs corps qui soient si chaud ? La sorcière venait la fesser parfois, lui arrachant un cris, loin d'être discret qui montrait son plaisir dans tout ce qui se passait. Son épouse semblait tellement mieux formé qu'elle, elle voulait faire durer ce plaisir aussi longtemps que son corps et son mental pouvait le supporter. Leur union approchait de la fin, pour ce premier essaie quand Arya sentait le plaisir se concentrer un peu trop entre ses cuisses, sentant la fin approcher.

« Haaaaan oui ! Viens ! Donne-moi touuuuuuuuuuuuuuut ! »

Criant son plaisir en cambrant autant que possible en arrière, tout en restant à quatre pattes, Kokoro tremblait de plaisir, ayant eu un orgasme aussi qui venait d’inonder sa place sur le lit. Chaque jet qu'elle sentait pulser en elle était un frémissement en plus pour la princesse, mais l'adrénaline étant passé, elle se sentait soudainement moins forte, le haut de son corps lâchait. Même si elle conservait la pause, lui laissant un air très sexy, elle ne tenait plus avec ses bras.

« Oh, Arya... C'était si... intense... Je suis si heureuse d'être devenue ta femme... »

Dit-elle doucement, son index passant sur l'anneau d'or autour de son doigt. Un simple détail, mais c'était la preuve matérielle du moins, de leur amour. La nuit était loin de finir et il y avait encore tant à faire pour épuiser les jeunes mariées. Tournant légèrement son regard par-dessus son épaule, elle souriait légèrement.

« Est-ce que... tu veux qu'on... qu'on recommence ? »

Elle en tout cas, elle était partante !

Arya et Kokoro étaient désormais unies l’une à l’autre. Sexuellement, mais aussi par les liens sacrés et inaltérables du mariage. Alors, il semblait plus que naturel qu’elles fassent toutes les deux l’amour avec passion, sans relâche, et jusqu’à épuisement total. Ce soir, Arya comptait se surpasser, et cela commençait par une belle sodomie ! Sans relâche, elle besognait Kokoro, n’épargnant tout simplement rien à sa belle amante. Arya la prenait avec force, enfonçant sa trique dans son cul. Sa verge tendue remuait en elle, se glissant dans les tréfonds de sa chair, jusqu’à la garde. Arya grognait de satisfaction, ses bourses remuant contre les fesses de Kokoro, claquant dessus. Elle reculait ensuite sa verge, puis fessait de nouveau Kokoro, et poursuivait ainsi ce rythme soutenu et excitant.

« Haaannn… !! »

Comme Arya l’avait annoncé, elle sentait la cime de la vague arriver. La jeune n’avait pas encore l’expérience sexuelle de ses mères qui leur permettaient de tenir des heures avant de jouir ! Mais Arya comptait bien se surpasser ce soir ! Oh oui ! C’était une soirée unique, après tout, inoubliable ! Elle se devait donc de marquer les esprits ! Mais Arya était si excitée, si heureuse, qu’elle jouit assez rapidement. Elle sentit sa verge se tendre, et se vida avec délectation dans le cul de Kokoro. Elle inonda son fondement en soupirant longuement, et sentit comme une vague de détente la saisir. Un plaisir immense se déversa en elle, dans tout son corps, l’apaisant avec joie.

Puis, tout en reprenant ses esprits, Kokoro lui demanda si elles pouvaient continuer. Un sourire amusé éclaira les lèvres d’Arya, qui caressa sa verge. À l’air libre, sa queue avait dégrossi après avoir généreusement juté dans le fondement de Kokoro. Il allait donc falloir lui rendre de sa superbe.

« Oh, pour être honnête avec toi, ma Kokoro, je suis encore loin d’en avoir fini avec toi… »

Elle se déplaça lentement, se rapprochant de sa femme. Kokoro était encore à moitié assise sur le sol, ce qui fit que le bassin d’Arya lui fit surface.

« Commence par être une bonne épouse, ma chérie, et viens remplir tes devoirs conjugaux… Suce ma queue ! »

Si le palais d'Edoras résonnait d'amour dans bien des chambres, c'était forcément dans la chambre de Kokoro que cet amour serait le plus beau et le plus pur. Leur mariage, leur union, le début de leur histoire, ensemble. Bien des choses les attendaient dans la vie, mais ce n'était là que la première ligne, que de l'amour, de la tendresse et rien d'autres. Même si le couple était loin d'être baigné dans un amour tout rose, cela restait beau et doux. Une princesse bercée par l'amour de ses parents, une princesse qui n'avait manqué de rien, qui avait eu une éducation sexuelle, se limitait à ce qu'elle devait savoir, c'est ce que les Kaguya ont fait avec tout leurs enfants. Ils apprenaient les bases, s'ils voulaient en savoir plus, ils pouvaient mener leur propre recherche. Ils devaient savoir comment fonctionne l'amour, comment faire des bébés, elles ne voulaient pas en faire des êtres rongé par le sexe. Kokoro s'était limité du strict minimum, mais avec une amie comme Arya à ses côtés, elle a fini par se pervertir doucement. Les baisers échangés secrètement ici et là, les taquineries de sa sorcière face à sa candeur et sa pudeur, si la princesse en était là aujourd’hui, c'était de sa faute. Cela n'était en rien négatif, après tout, Arya devait être heureuse de devoir tout apprendre à sa princesse. Après avoir semé tant de graine, elle en récoltait de nombreux fruits.

Mais après cette délicieuse sodomie, où elle sentait ses parois se sentir plus détendue une fois hors de son cul, la princesse savourait le calme après la tempête, mais elle se demandait quand même quel serait la suite à tout cela ? La réponse était simple pour la sorcière qui vint lui faire face avec sa verge sous le nez. Un ordre simple, entre ordre et demande. La princesse observait sa verge qui était moins droite et grosse qu'avant la sodomie, elle semblait même plus sale. Sûrement à cause de la semence qu'elle a crachée ? Kokoro l'observait doucement en posant ses lèvres uniquement sur le gland, reprenant goût à cela. Elle donnait de multiples coups de langue le long de sa verge, son visage se rapprochant du cuir qu'elle portait. Ce n'était pas désagréable de lécher sa queue, même couverte de foutre, ça lui donnait un certain goût et une fois habituée à cela, la princesse le prenait en bouche plus facilement. Restant au sol, elle la suçait doucement dans sa petite tenue ravissante offerte par sa femme, fermant parfois les yeux, cherchant parfois à observer Arya, elle variait, mais elle ne cessait de s'occuper de sa belle queue.

« Mmmmmh.... Oh maîtresse... Puis-je aussi m'occuper de vos bourses ? »

Un pénis, des testicules, c'est une chose qu'elle n'a jamais vu autrement que lors de ses cours d'éducation sexuelle, elle était donc curieuse puis ça, c'était moins impressionnant que sa verge. Elle, elle allait dans son corps par bien des coins, tandis que les bourses... c'était comme une poitrine pour les hommes, on pouvait jouer avec, sucer, lécher, mais ça restait toujours hors du corps, ça ne servait pas plus qu'à jouer avec. Face à sa queue qu'elle léchait doucement, elle attendait de voir si sa femme allait lui laisser cette chance, à moins que ce soit pour plus tard ? Elle était seule à décider pour elles.

« Après... je serais toute à vous... Encore. »

Une petite pause pour assouvir sa curiosité, sa gourmandise et elle sera de nouveau l'objet des désirs de son épouse.

La sorcière était doucement excitée par ça. Elle était en compagnie de sa femme, après tout ! Sa femme ! Un rêve de longue haleine qui venait de se réaliser, un objectif longuement convoité qui venait de s’accomplir. Elles étaient mariées, et cette perspective très séduisante comblait Arya de bonheur. Tremblant d’excitation, elle venait de s’immiscer dans le fondement de sa femme, de s’unir à elle, et les deux savaient que leur folle nuit de débauche ne faisait que commencer. Cette fois, il n’y avait plus d’échappatoire pour la timide Kokoro, qui allait devoir remplir ses devoirs conjugaux ! La verge toujours durcie, Arya était doucement excitée. Kokoro s’agenouilla devant elle, et Arya s’assit sur le bord du lit, écartant les jambes en sentant les coups de langue de sa femme sur son membre, mais aussi sur ses testicules.

« Hmmm… Oui, tu peux t’y attaquer, ma chérie, ma verge… Elle n’attend que toi. »

Elle n’était pas encore habituée à ce que Kokoro la vouvoie… Surtout ce soir, lors de leur mariage ! C’était assez particulier, à vrai dire. Elle se pinça doucement les lèvres en la regardant encore.

« Lèche bien partout, ma chérie, fais-toi plaisir… Mais, ce soir, exceptionnellement, hmm… Tu peux me tutoyer, haaa… »

L'on disait souvent que les personnes timides cachaient un énorme potentiel sexuel. Que ce soit vrai ou non, du côté des Kaguya, Hinata avait eu assez d'expérience assez tôt, d'abord avec Nora à qui elle s'était grandement attachée après l'incident de la lune rouge, puis par la suite, ses partenaires fut nombreuses, sans pour autant que n'importe qui partage son lit. Que ce soit en famille avec Elena ou Rhian, quelques personnes ont eut la chance de partager son lit le temps d'une nuit ou plus. Et à leur rencontre, Hinata et Shunya y allaient doucement, car elles étaient très timides l'une face à l'autre, mais une fois la mèche allumée, Hinata avait pris un grand plaisir à initier sa petite-amie à tout cela. Elles n'avaient pas attendu le mariage pour consommer leur amour, car après tout, c'est en couchant l'une avec l'autre que la princesse avait découvert qu'elle était amoureuse. Tout était allé très vite, Hinata était venue rencontrer les parents de Shunya, en tout bien tout honneur puis elles ont parler mariage, elles ont tout organisé et un beau jour, les deux s'étaient marier, tournant doucement une page sombre d'Edoras pour en écrire une plus belle. Et après toutes ses années, Kokoro et Arya allaient écrire ensemble la suite. Même si pour le moment, ce qui se passait dans cette chambre ne sera jamais écrit dans les livres d'histoire.

La princesse aimait sa femme, découvrir tout cela à ses côtés, c'était un immense honneur ! Si l'histoire de ses parents était belle, la princesse mariée à une simple fille du peuple, un amour sincère, comme toujours cela dit avec les Kaguya, leur histoire restait originale, se marier avec une amie d'enfance. Même si ce fut plus ou moins le cas avec une de ses ancêtres, mais c'était plus avec sa sauveuse elfique qu'une Kaguya s'était mariée. Elle était guérisseuse avant d'être une amie de son âge. Et là, elle était son amie, elle était une sorcière, et elle n'était pas d'Edoras. Sur onze générations qui les précédaient, deux fois seulement, cette personne n'était pas d'Edoras, il y eut l'elfe guérisseuse, et Elmyra Thoris. Outre cela, leur mariage était lié par le fil rouge du destin, leurs parents s'étaient rencontré toutes les quatre durant leur voyage de noces à Novac, une simple rencontre qui les liaient tout de même après un bref échange de femmes enceinte entre Kiriko et Shunya. De cette simple mention, les couples s'étaient de nouveau rencontré en temps de paix, d'un passage des sorcières à Edoras, que leurs enfants se rencontre et depuis qu'Arya et Kokoro s'étaient rencontrer, elles se sont vue de plus en plus, jusqu'à s'épouser. Doucement, son visage remuait entre ses cuisses, se concentrant sur son membre tendu, mais aussi intrigué par ce qui pendait en dessous.

« Je tutoie ma femme... mais je vouvoie ma maîtresse... C'est à toi de voir quel rôle tu veux avoir ? »

Sa main astiquait doucement sa verge tendue pendant que sa bouche descendait, léchant et suçant une de ses boules de chair, cette même chose qui faisait qu'un liquide blanc en sortait quand trop de plaisir était donné. Elle suçait doucement cette belle sphère qui avait la couleur d'un caramel, même si ça n'en avait pas le goût. Mais que c'était excitant. Elle se concentrait un petit moment sur ses testicules, sans oublier de remuer plus ou moins vite sa main le long de sa verge tendue. Elle trouvait cela presque amusant ! Excitant, pour sûr, mais c'était assez drôle de sucer ces choses molles ! Elle voulait juste savoir quand sa sorcière bien-aimée allait demander à voir sa bouche ailleurs ou qui sait, oublier le temps d'un orgasme son épouse entre ses cuisses pour lui faire l'amour autrement ?

Kokoro et Arya continuaient à doucement s’amuser ensemble. Kokoro découvrait le belle verge d’Arya, qui hésitait sur la manière de l’autoriser à l’appeler. Amante ? Maîtresse ? Kokoro, tout en jouant avec ses testicules, lui expliqua qu’elle tutoyait son amoureuse, mais vouvoyait sa Maîtresse. Arya sourit doucement à cette idée, et caressa les cheveux de sa femme.

« Oh, si tu veux la jouer comme ça… »

Arya remua alors, et se pencha vers Kokoro, libérant ses testicules. Elle posa ses deux mains gantées sur chacune des joues de Kokoro, et l’embrassa alors joyeusement sur les lèvres. Un beau baiser sonore et appuyé, qui résonna avec appétit dans la chambre. Arya le rompit ensuite en mordillant la lèvre supérieure de Kokoro, tirant dessus jusqu’à la faire couiner. Oui, la sorcière en profitait ! C’était bien mérité, après tout ! Elle remua un peu, souriant doucement sur le coin des lèvres.

Une petite moue soucieuse traversa les lèvres d’Arya.

« Mais, si je te tutoie, alors tu es ma chérie… »

Une lueur malicieuse dansait dans les yeux d’Arya, qui semblait beaucoup s’amuser de la situation. Agenouillée devant Kokoro, elle souriait même, voyant le regard intrigué de la jeune femme, mais aussi fiévreux, traversé par le désir. Arya prenait tout son temps avec elle, et se rapprocha. Sa main caressa sa joue, glissant sur son oreille.

« En revanche, si je te vouvoie, alors c’est que… »

Maintenant le suspens, Arya se pencha vers sa dulcinée, et l’embrassa dans le creux du cou, remontant doucement jusqu’à son oreille, bien décidée à lui asséner le coût de grâce, en léchant son lobe de l’oreille… Et, dans la foulée, sa main pinça l’une des fesses de Kokoro.

« …C’est que tu es ma petite salope ! »

Arya sourit ensuite, enjouée.

« Qu’est-ce qui t’excite le plus, mon cœur ? »

Elles avaient toute la vie devant elles, ce n'était que le début de leur histoire d'amour en commun, où elles avaient encore une année pour profiter pleinement de toute cela avant que Kokoro ne devienne la nouvelle reine d'Edoras, mais concernant sa relation avec son épouse, elle hésitait. Être son égale ou sa chose, peu importe vraiment, car tôt ou tard, la roue tourne et elle pourrait simplement choisir l'autre option, mais face à sa sorcière bien-aimée en tenue très crissante et luisante, elle ne savait quelle voie choisir. La douceur de l'amour, la dureté de la passion, même si les deux choses peuvent se voir dans cette autre option. Arya l'embrassait avec passion, allant jusqu'à lui mordiller la lèvre pour la voie douce, venant lui susurrer la voie plus forte en pinçant sa fesse, lui laissant toujours le choix. Mais qu'il était compliqué comme choix.

Kokoro était un peu perdue, ça se voyait dans son regard et avant que son choix ne se fasse, elle profita de la proximité pour embrasser Arya avec passion en passant ses bras autour de son cou, délaissant un instant sa verge tendue.

« Tant que vous porterez ceci, vous serez donc ma maîtresse... Mais une fois retiré, j’attends de vous autant d'amour que de douceur. »

Quand la sorcière aura décidé d’ôter sa tenue en cuir ou latex, elle devra se rattraper en douceur, mais qui sait quand elle allait en parler. Libérant son épouse et maîtresse de ses bras, elle retourna empoigner doucement sa verge pour la masturber doucement en reprenant ses coups de langue sur ses testicules, cherchant à en aspirer une doucement, espérant que sa maîtresse serait ravie de ce traitement qu'elle subissait de sa part. Après tout, pour reprendre ses mots, elle était pour le moment sa petite salope, non ? Après, elle irait mieux s'occuper de sa verge, avec sa bouche, mais elle voulait profiter de la nouveauté et de ses étranges poches bien remplis si attirantes !

Les règles étaient donc posées ! Tant qu’Arya serait habillée en cuir ou en latex, tant qu’elle aura la posture d’une dominatrice, elle serait la Maîtresse de Kokoro !  L’idée n’était pas pour lui déplaire. Si Arya était une femme aimante, elle était aussi la fille de Sha et de Kiriko, soit deux femmes à la forte personnalité. Arya avait donc naturellement hérité de cette personnalité forte, et c’était d’ailleurs comme ça qu’elle et Kokoro avaient commencé à se rapprocher. Arya était autoritaire, et Kokoro la suivait naturellement, surtout lorsque, plus petites, il s’agissait de faire des bêtises ! Elles avaient toujours été ensemble, alors leur mariage n’était qu’une finalité logique, la consécration d’une longue histoire d’amour. Leurs parents respectifs n’avaient évidemment rien fait pour refréner de tels élans. C’était au contraire une magnifique union, à tout point de vue. Sha pouvait ainsi rapprocher son culte d’Edoras, tandis qu’Edoras bénéficiait d’une nouvelle divinité protectrice. L’utile le joignait donc à l’agréable. Mais, pour l’heure, Arya était loin de réfléchir aux tractations politiques. Tout au plus songeait-elle à veiller à ce que Kokoro soit bien enceinte, et lui offre un bébé ! Mais, pour l’heure, Kokoro préférait lécher sa verge, s’attaquant ensuite à ses testicules, les suçotant. Arya frémit doucement. Ses testicules étaient lisses, sans poil pubien, formant deux petites boules flasques qui soutenaient son épais membre.

« Que je sois ta Maîtresse ou juste ton amante, Kokoro, je reste ta femme… Imagines-tu vraiment une posture où je ne t’aimerai pas ? Que je te fesse ou que te caresse, ce sera toujours une preuve d’amour ! »

Voilà un aveu simple, qui ne devrait pas manquer d’émouvoir sa Kokoro, mais qui était pourtant sincère. La laissant agir, Arya soupira encore, caressant ses cheveux, remuant d’avant en arrière. Arya la laissait agir, caressant ses cheveux, tandis que sa queue se mettait lentement à durcir, témoignant de son excitation. Arya se pinça les lèvres.

« Hmmm… Tu… Haaaa… Tu vas me rendre folle, ma chérie ! »

Elle remua alors, et s’écarta, sa verge frottant le visage de Kokoro.

« Mets-toi à quatre pattes, petite traînée, il y a un petit cul qui a besoin de se faire défoncer ! »

Arya pouvait se montrer douce, mais le sexe avait tendance à la rendre plus cru. Ça aussi, elle le tenait de ses mères… Mais ce n’était pas vraiment un problème, si ?

Kokoro aimait Arya, sur tous les points de vue, depuis toute petite, elles passaient le plus clair de leur temps ensemble ! Enfin, cela était surtout vrai depuis leur adolescence, mais même petite, Arya fut la première amie de la princesse. Un destin qui les unissait depuis l'époque où elles n'étaient même pas nées. Leurs parents avaient passé leur lune de miel au même endroit, s'étant croisé simplement où les deux futures mamans avaient échangé quelques mots en se croisant, se rapprochant doucement pour que doucement le destin ne lie pas ses deux femmes, déjà en couple et amoureuses, mais lie leur bébé du fil rouge du destin. Arya qui n'était qu'à ses premiers jours dans le ventre de Kiriko, Kokoro qui grandissait secrètement avec son frère dans le ventre de Shunya. Et aujourd'hui, c'était non pas un fil, mais un anneau qui les liaient ensemble. La future reine se plaisait à être assouvie par sa femme, dégustant sa verge et ses testicules, elle était une jeune femme heureuse en sa compagnie. Après tout, Kokoro devra se montrer digne de son rang aux yeux de son peuple, elle sera la prochaine Reine Kaguya, mais toute femme, n'importe quel couple même, à besoin parfois de sa moitié pour reprendre du poil de la bête.

C'est ça, l'amour, être soutenue par l'autre quand ça n'allait pas ou quand elle avait juste besoin de son corps près d'elle. Il en sera de même pour elles ? Kokoro devra parfois se blottir dans les bras de sa sorcière pour se reposer ? L'idée de lui ne déplaisait pas, elle savait de toute façon qu'elle ne sera pas propulsée reine dés demain. Même si elle a été pratiquée formé toute sa vie à ce rôle, ses parents lui laissait encore une année à profiter de sa femme et de sa « liberté ». Non pas qu'elle sera enchaînée, mais une fois reine, elle ne peut pas voyager ou bon lui semble sur un coup de tête. De plus, elle a pratiquement passé sa vie dans ce palais, elle pouvait désormais en profiter pour voyager avec son épouse. Arya lâchait un petit mot très mignon qui fit sourire la jeune femme, étant vraiment amoureuse de cette dernière. Mais bien vite, sa sorcière bien-aimée en voulait plus alors que sa verge caressait son visage, elle lui donna un ordre qui fit bondir le cœur de Kokoro !

« Ha, oui, Maîtresse. »

Doucement, la jeune reine se retourna, à quatre pattes sur le lit, elle lui présentait ses belles petites fesses aussi blanches et douces que le reste de sa peau. Si bien présenté dans ce mignon petit ensemble que son épouse lui avait fait porter, elle était prête à subir ça, de voir sa maîtresse et femme, la dominer et la prendre par-derrière. Dans son étroit petit passage, elles auraient toutes les deux un grand plaisir à passer du temps ensemble. Kokoro avait le visage près du lit, les fesses bombées pour mieux lui offrir ce présent, même si ce ne sera que sa seconde fois, elle était impatiente de sentir de nouveau Arya en elle, de la prendre comme une fille de joie, d'être sa chose. Oui la future reine avait des envies de soumise face à son épouse, elle voulait voir son fantasme se réaliser, avoir mal aux fesses, mordre l'oreiller, subir les envies de sa sorcière bien-aimée. Et puis, le peuple n'a pas à savoir ce qui se passait dans le lit conjugal, tout le monde avait son jardin intime. Cette nuit, le palais était illuminé de la marque de Dibella, Kokoro étant née sous sa bénédiction, mais pas seulement, Sya était là pour bénir ce mariage et ce temple sous la marque de Lust. Il n'y avait pas qu'elles qui profitaient de ce plaisir.

Leurs parents, bien des invitées en couple ou non, âgée ou moins âgée, bref, leur mariage était un mariage d'amour, et toutes les invitées ou presque, se baignait dans cet amour.

Kokoro sentait le désir croître en elle, augmentant graduellement au fur et à mesure que le temps passait. La douce voulait désormais qu’Arya la sodomise, et l’intéressée sourit malicieusement en constatant cet accroissement furieux du désir chez elle. Oui, sa partenaire était désormais prête, prête et bien mûre. Il n’y avait plus qu’à la cueillir ! Elle se pencha vers elle, et, après avoir bien préparé la zone, après avoir longuement léché son fondement, Arya agit. Elle comptait bien la sodomiser, mais pas la torturer inutilement ! Arya était sa femme, après tout ! Cela méritait bien quelques considérations. Glissant sa langue en elle, Arya jouait de son appendice lingual avec appétit, poursuivant les coups de langue avec une saine et profonde passion.

« Hum, tu es si bonne, ma chérie… Si bonne ! »

Cela, Arya le pensait sincèrement, et elle comptait bien passer aux choses sérieuses ! Elle se redressa donc, et approcha sa verge du fondement de Kokoro.

« Allez, prépare-toi à couiner bien fort, mon amour ♥ ! »

Arya se pinça les lèvres, et avait pris son temps pour se masturber. Maintenant qu’elle était prête, elle se rapprocha donc, et sa verge heurta le fondement de sa partenaire. Elle soupira encore, frémissant sur place, puis enfonça sa verge dans son fondement. Ça y est, ça avait commencé ! Arya s’amusa à la sodomiser, s’enfonçant difficilement en elle.

« Han, quel petit cul serré, ma chérie… Hmmm… !! »

Sa main se releva, et s’abattit sur le fessier de Kokoro, venant claquer cette belle zone douce et moelleuse. Elle se pinça les lèvres, grognant encore, et reprit son office, commençant à la bourrer avec appétit…

Il n'était guère surprenant que dans la chambre de Kokoro, ce soir, bien des bruits allaient se faire entendre. Non pas qu'elles étaient espionnées, leurs parents avaient mieux à faire dans d'autres chambres, mais de toute façon, il était coutume de passer à l'action, ce n'est pas pour rien que l'on dit passer une nuit de noces. Elle y avait déjà eu droit tout à l'heure, mais la jeune princesse en voulait encore, elle aimait cela, sachant que ce plaisir était lui aussi partagé alors comme ça, aucune raison de refuser une telle demande. La jeune sorcière venait à se préparer, son petit cul était bien lubrifié et sa queue bien dure, il ne manquait plus qu'à associer les deux idées. Arya dominait, sans nul doute, se plaçant dans son dos, sa solide verge à l'entrée de son petit trou. Elle se préparait, serrant déjà ses poings sur le lit et quand la sorcière entamait sa progression, elle ne pouvait réprimer un petit couinement, déjà.

« Aaaaahouuuuuuuu... »

Cela restait sa seconde sodomie, elle était loin d'être habituée alors qu'Arya progression dans son étroit fondement avant de claquer sa fesses en touchant le bout, arrachant cette fois un cri plus audible de sa part.

« Kyyaaa ! »

Un petit cri mignon. Son petit cul si adorable, bien présenter dans sa lingerie fine offerte par son épouse, on pouvait comprendre qu'Arya souhait savourer ce moment. Kokoro gémissait encore doucement en sentant son épouse remuer en elle, ses mains sur ses hanches donnaient le rythme, elle se faisait prendre, profitant de son amour tendue en elle, elle était l'esclave de ses propres désirs. Elle respirait doucement, cherchant un rythme à prendre pour que cela soit plus simple à supporter, elle ignorait si, effectivement, il y avait une façon de faire plus douce, mais en tout cas, elle essayait. Désormais, elles vont vivre ensemble, vraiment, tout le temps. Ce n'était plus l'occasion d'avoir des visites nocturnes de sa fiancée ou des visites surprise, elles seront ensemble maintenant, à jamais. Elle allait s'ouvrir doucement à elle, pour qu'elles puissent s'aimer plus encore, bien que pour Kokoro, cela semblait compliqué de faire plus que maintenant dans ce domaine. Mais elle agissait quand même, elle lui devait ça !


« Haaaaaan, huuuuum Aryaaaaaaaaa~ s'il te plaît... soit vulgaire et hmmmm... domine-moi... »

Elle lui avait bien dit que cela restait l'un de ses rêves, un de ses derniers rêves fréquents. Oh, pas sûr que ce soit toujours ainsi, mais pour le moment, c'est cette force qui l'animait et qu'elle voulait goûter. Mais sinon oui, Arya devra aussi la prendre par-devant et faire son devoir conjugal. Est-ce que, comme leurs parents, la prochaine génération d'Edoras va grandir doucement dés ce soir ou non ? Les deux épouses partageaient de nombreux point communs, comme si le destin les voulait ensemble. Leurs parents sont tombé enceinte lors de leur nuit de noces, elles se sont rencontrée pendant leur voyage de noces, nouant une légère amitié entre les deux futures mamans et quelques années plus tard, leurs enfants se sont rencontrée et elles sont devenue bien plus que des amies avec le temps. Dès qu'Arya rentrait un peu plus dans ce rôle qu'elle souhaitait, la jeune femme se détendait un peu plus, se laissant plus aller aux couinements et aux gémissements surtout. Du miel pour les oreilles.

Arya et Kokoro se faisaient joyeusement plaisir. Il fallait bien avouer qu’Arya aimait tout de sa Kokoro, mais que son cul avait quelque chose de magnifique, qui l’amenait toujours à y revenir. Arya sourit quand Kokoro lui demanda de se montrer plus violente, plus… Plus dominatrice, plus vulgaire ! Arya sourit alors, et donna pour réponse à la supplique de Kokoro une fessée. Sa main claqua joyeusement sur son cul, et elle entendit sa partenaire se tortiller sur place, ne s’attendant visiblement pas à cet élan. Se pinçant les lèvres, elle caressa ensuite les cheveux de Kokoro, et décida, conformément à sa demande, de passer aux choses sérieuses. Sa main généra un collier autour de son cou avec une laisse, et elle l’empoigna avec force, tirant dessus.

« Oh, quel pied ! Tu veux que je te domine alors, hein ? Ma petite salope… Ma femme est vraiment une salope incorrigible ! »

Tirant sur la laisse, Arya l’étranglait. Dominer n’était pas pour elle quelque chose de difficile, c’était au contraire une chose qu’elle exerçait très spontanément, comme elle le démontrait en ce moment. Arya remuait fortement en elle, enfonçant sa trique. La sodomie se poursuivait, et elle finit enfin par jouir. Sa queue tressauta sur place, et elle éjacula, se vidant dans le fondement de sa femme. Arya soupira longuement en rougissant furieusement, laissant sa verge s’abandonner dans le corps de Kokoro.

« Oh pu… Putain ! »

Han, que c’était bon ! Cet orgasme, cette sensation de se vider, cette plénitude… Han, c’était même indescriptible ! Oui, aucun mot ne semblait assez fort pour décrire cette sensation, cette jouissance exquise ! Elle se déversa donc dans le cul de sa partenaire, puis sa verge se retira ensuite. Clignant des yeux à plusieurs reprises, elle soupira lentement, en reprenant ses esprits.

« Très bien, esclave… Puisque mon épouse veut Maîtresse Arya, elle aura donc Maîtresse Arya ! Et la petite salope que tu es va commencer à me montrer qu’elle est une bonne chienne en réveillant ma tension ! » s’exclama Arya en désignant autoritairement sa verge.