Kim cherche à détendre son flanc et à conserver une position confortable. Son bassin remue allègrement dans la fente qu’elle tape avec des coups de reins. Sa tige de chair tendue et humide se trempe dans le fluide intime comme on trempe un fruit dans du chocolat au lait chaud. La verge se sauce inlassablement dans l’antre intime pendant de longues minutes. Ce temps est rempli avec une pénétration dévouée au bien-être de son amante. Kim sait et peut se battre avec vigueur pour ce qu’elle croit être juste. Dans le lit c’est une énergie plus érotique qui guide ses mains et procure des caresses capables valant mille mots. Kim adore les femmes plus naturelles sans chirurgie. Uatis est devenue si superficielle qu’une ville comme Edoras est un agréable vent de fraîcheur dans sa vie.
Kim se laisse toucher au niveau des cheveux. Aucune prise n’est trop forte pour la brunette qui remue sa main contre les petits seins de sa partenaire. Elle savoure chaque seconde durant lesquelles elles se regardent et expriment leurs pensées par le contact visuel. Rien que pure honnêteté quant aux plaisirs qui imbibe la chambre. La membrée retourne l’embrasser en devenant plus fébrile face à l’envie de remuer plus rapidement les hanches. Sa tête penchée embrasse les épaules et les seins de Yami qu’elle finit par replace dans une nouvelle position. Dans un grognement de plaisir Kim s’allonge sur le tatami et garde son amante empalée sur la verge tendue assise en califourchon.
- Je veux me dévouer à ton bonheur, Yami. Je veux une suite à notre relation.
Elle ne veut pas que cela finisse en un coup d’une soirée. Pas avec l’effort fourni pour convaincre Yami à goûter au sexe et à explorer ce monde si réconfortant quand respect et consentement viennent ensemble. Ses paumes plaquées contre le pelvis du maître d’armes elles l’aide à remuer de haut en bas et à lui montrer un rythme doux comme un rythme plus rapide. Sa respiration s’accentue et une expiration plus chaude sort d’entre ses lèvres. Kim couine à l’unisson avec son amante et concentrée aussi longtemps qu’elle le peut sa résistance lâche. Au bout de quelques minutes, dans une atmosphère chaude comme un spa, elle relâche son sperme dans l’utérus de Yami. C’était un souhait enfin accompli.
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Hinata Kaguya
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Yami vivait de nouvelles choses, même si elle était loin d'être vierge, disons que cette relation avait une saveur différente de ce qu'elle avait déjà pu avoir auparavant. Elle ne saurait dire quoi exactement, mais ce n'était pas pareil. Certes, ses précédentes relations évoquaient sans le dire un coup d'un soir, comme on dit couramment, mais sans avoir à se concerter, elle et sa partenaire le savait déjà. Il pouvait y avoir une suite, mais qui ne sera pas immédiate. Elle ne courait pas après ce genre de choses, sans rien n'avoir contre le sexe, voilà, Yami n'était pas dans son élément, peut-être par manque de pratique ou simplement n'avoir jamais vraiment connu ça, l'amour, avec un grand A. Mais avec Kim, il se dégageait quelque chose d'étrange, de pas désagréable. Elle était loin de tout connaître surtout dans ce domaine alors quand bien même elle avait des questions de toute sorte, mais elle les posera – ou non – plus tard. Pour le moment, elle profitait juste des mouvements de Kim, ses coups de reins à la fois lents et doux comme plus ferme et rapide. La jeune femme gémissait face à tout cela, de façon discrète, elle n'avait pas besoin de hurler comme dans les films de Poison, surtout que bon, elles étaient dans une auberge, il y avait peut-être des clients dans les autres pièces et surtout, un des membres de la famille de Kim... Mieux ne vaut pas ne faire honte ! De plus, Yami a toujours été du genre discrete, pourquoi changer ?
Soulevée par la jeune femme, sur les tatamis, elle se laissait toujours faire pendant que Kim la prenait, l'aidant à remonter et à descendre le long de son membre, toujours à communiquer ensemble, rien que par le regard. Toutes les deux n'avaient pas spécialement besoin de parler, se contempler suffisaient. Même si Yami venait parfois l'embrasser pour « masquer » ce silence, ça ne changeait rien au fait que tout cela restait bien agréable. Même après l'aveu de Kim, une suite à cela. Elle voyait mal comment la quitter et l'ignorer ensuite, certes, elle pourrait rester dans l'enceinte du palais, ça rendrait la tâche plus compliqué pour Kim pour la revoir, mais, elle ne voulait pas se cacher de quoi que ce soit. À force de partager ce bonheur, la jeune edorassienne venait enfin à jouir, à l’unisson, avec Kim, son corps se cambrait, se cramponnant à elle, sentant quelque chose remplir son utérus pendant que son orgasme venait plus ou moins asperger l'entrecuisse de sa partenaire. Tout ce plaisir, c'était la preuve de leur bonheur commun. Fidèle à elle-même, Yami poussait de petits couinements de plaisir près de l'oreille de sa partenaire, elle entendait ses petits bruits si mignons près de son oreille.
Un moment incroyable où Yami ne faisait que respirer, un peu plus fortement en posant sa tête sur l'épaule de Kim, sans chercher à descendre, non, elle était bien comme ça. Leurs corps chauds se pressaient mutuellement, maintenant l'envie calmée, bien des questions remontaient en surface dans la tête de la jeune femme. Que ce soit important ou de simples détails. Sa dernière phrase par exemple, elle avait beau ne pas être très douée en relation intime, elle comprenait l'essentiel de son message, mais, de quelle façon ? Yami avait ses obligations ici et quand bien même elle serait sûre que la reine la laisserait faire sa vie si elle le lui demandait, elle ne s'imaginait pas vivre dans une ville comme Uatis. Les Yamaoka, aussi loin qu'elle sache, ont toujours vécu à Edoras, cela fait plusieurs générations que sa famille sert les Kaguya, ils avaient leur place attitrée au sein du palais, autant dire que cela était un honneur.
« Kim... Concernant ta demande... Co... Comment tu vois les choses ? Ensuite, je veux dire... »
Pour cela, elle se décollait légèrement d'elle, au moins pour pouvoir la regarder en face. Kim comptait la voir une fois par mois, plus ? Vivre ici pour changer de vie ou bien elles misent d'abord sur une relation à distance, ce genre de choses ? Elle pourrait bien lui dire qu'elle avait peur, peur de ne pas être spécialement amusante ou quoi, ce n'était pas vraiment dans ses habitudes tout cela, mais, soit Kim le savait, soit elle jugerait cela comme un détail qui n'avait pas spécialement d'importance. Sa petite poitrine se soulevait toujours, reprenant doucement son souffle, contre le corps de Kim, qui affichait un peu plus de muscles que de son côté. Yami était forte, mais elle devait contracter ses muscles pour que cela soit bien visible, surtout au niveau de ses bras. Manier le fer, le battre, forcément, ça fait les muscles !
Soulevée par la jeune femme, sur les tatamis, elle se laissait toujours faire pendant que Kim la prenait, l'aidant à remonter et à descendre le long de son membre, toujours à communiquer ensemble, rien que par le regard. Toutes les deux n'avaient pas spécialement besoin de parler, se contempler suffisaient. Même si Yami venait parfois l'embrasser pour « masquer » ce silence, ça ne changeait rien au fait que tout cela restait bien agréable. Même après l'aveu de Kim, une suite à cela. Elle voyait mal comment la quitter et l'ignorer ensuite, certes, elle pourrait rester dans l'enceinte du palais, ça rendrait la tâche plus compliqué pour Kim pour la revoir, mais, elle ne voulait pas se cacher de quoi que ce soit. À force de partager ce bonheur, la jeune edorassienne venait enfin à jouir, à l’unisson, avec Kim, son corps se cambrait, se cramponnant à elle, sentant quelque chose remplir son utérus pendant que son orgasme venait plus ou moins asperger l'entrecuisse de sa partenaire. Tout ce plaisir, c'était la preuve de leur bonheur commun. Fidèle à elle-même, Yami poussait de petits couinements de plaisir près de l'oreille de sa partenaire, elle entendait ses petits bruits si mignons près de son oreille.
Un moment incroyable où Yami ne faisait que respirer, un peu plus fortement en posant sa tête sur l'épaule de Kim, sans chercher à descendre, non, elle était bien comme ça. Leurs corps chauds se pressaient mutuellement, maintenant l'envie calmée, bien des questions remontaient en surface dans la tête de la jeune femme. Que ce soit important ou de simples détails. Sa dernière phrase par exemple, elle avait beau ne pas être très douée en relation intime, elle comprenait l'essentiel de son message, mais, de quelle façon ? Yami avait ses obligations ici et quand bien même elle serait sûre que la reine la laisserait faire sa vie si elle le lui demandait, elle ne s'imaginait pas vivre dans une ville comme Uatis. Les Yamaoka, aussi loin qu'elle sache, ont toujours vécu à Edoras, cela fait plusieurs générations que sa famille sert les Kaguya, ils avaient leur place attitrée au sein du palais, autant dire que cela était un honneur.
« Kim... Concernant ta demande... Co... Comment tu vois les choses ? Ensuite, je veux dire... »
Pour cela, elle se décollait légèrement d'elle, au moins pour pouvoir la regarder en face. Kim comptait la voir une fois par mois, plus ? Vivre ici pour changer de vie ou bien elles misent d'abord sur une relation à distance, ce genre de choses ? Elle pourrait bien lui dire qu'elle avait peur, peur de ne pas être spécialement amusante ou quoi, ce n'était pas vraiment dans ses habitudes tout cela, mais, soit Kim le savait, soit elle jugerait cela comme un détail qui n'avait pas spécialement d'importance. Sa petite poitrine se soulevait toujours, reprenant doucement son souffle, contre le corps de Kim, qui affichait un peu plus de muscles que de son côté. Yami était forte, mais elle devait contracter ses muscles pour que cela soit bien visible, surtout au niveau de ses bras. Manier le fer, le battre, forcément, ça fait les muscles !
Quand on dit vouloir une relation à long terme si vite après leur première soirée ensemble ressemble beaucoup aux paroles d’un amateur. Pour la quasi-totalité de la population on ne cherche pas à nouer le fil rouge du destin sans précaution sans avoir vraiment appris à tout connaître de son ou sa partenaire. Kim le savait mais la culture Uatéenne a depuis toujours encouragé la promiscuité entre les femmes et la quête hédonistique du bonheur. Elle est un fruit parmi tant d’autres de traditions perverses à Uatis. Mais surtout, il y avait le souci de Yami et des responsabilités. La forgeuse de lames du palais impérial et membre d’une famille ancestrale liée à jamais à Edoras ne quitterait jamais la cité et ce qu’importe le degré de leur passion. Kim soupire sans être refroidie par ce fait ; Il y a bien souvent des solutions aux problèmes. Il s’agit juste d’avoir de la patience, de la chance et du temps.
La brunette finit de jouir et récupère sa partenaire dans ses bras dans une embrassade mignonne. Son épaule sert d’appui pour la tête, venant embrasser le front si proche d’elle. Quand Yami la questionne elle vient chercher son regard. Pas de place pour l’hésitation et mieux encore Kim avait une bonne idée de la démarche à suivre. Les deux femmes s’observent donc avec la Futa posant une main sur l’épaule chaude de son amante.
- Je doute que le palais voudra accueillir une étrangère en son sein avant de la connaître de fond en comble. Et ce serait grossier que de repartir de l’Onsen familial après une soirée gratuite. Pour te répondre : J’envisage de rester à Edoras et de renouer avec ma famille maternelle. On pourrait se revoir une fois par semaine et dès que le palais impérial me fera confiance je viendrai te voir là-bas.
Après tout, il ne faut pas espérer entrer dans l’enceinte comme dans un moulin. La famille royale doit être respectée ainsi que leur domaine et toutes les femmes oeuvrant pour la prospérité de la cité. Kim choisit de gagner leur attention et confiance à mesure qu’elle fréquentera Yami, voilà tout. Elle vient embrasser les beaux petits seins de la Yamaoka.
- C’est fou. Je passe d’ex-militaire Uatéenne à employée d’un Onsen. Ma Obaa-san et ma petite cousine ne me laisseront pas repartir sans payer mon dû. Je crois. Et puis, je n’ai pas autant de compétences au sabre que les guerrières d’Edoras.
La brunette finit de jouir et récupère sa partenaire dans ses bras dans une embrassade mignonne. Son épaule sert d’appui pour la tête, venant embrasser le front si proche d’elle. Quand Yami la questionne elle vient chercher son regard. Pas de place pour l’hésitation et mieux encore Kim avait une bonne idée de la démarche à suivre. Les deux femmes s’observent donc avec la Futa posant une main sur l’épaule chaude de son amante.
- Je doute que le palais voudra accueillir une étrangère en son sein avant de la connaître de fond en comble. Et ce serait grossier que de repartir de l’Onsen familial après une soirée gratuite. Pour te répondre : J’envisage de rester à Edoras et de renouer avec ma famille maternelle. On pourrait se revoir une fois par semaine et dès que le palais impérial me fera confiance je viendrai te voir là-bas.
Après tout, il ne faut pas espérer entrer dans l’enceinte comme dans un moulin. La famille royale doit être respectée ainsi que leur domaine et toutes les femmes oeuvrant pour la prospérité de la cité. Kim choisit de gagner leur attention et confiance à mesure qu’elle fréquentera Yami, voilà tout. Elle vient embrasser les beaux petits seins de la Yamaoka.
- C’est fou. Je passe d’ex-militaire Uatéenne à employée d’un Onsen. Ma Obaa-san et ma petite cousine ne me laisseront pas repartir sans payer mon dû. Je crois. Et puis, je n’ai pas autant de compétences au sabre que les guerrières d’Edoras.
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Hinata Kaguya
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- Enregistré le : 24 août 2024 16:19
Pour Yami, la situation était tout aussi étrange et inconnue, car sans être froide et sans cœur, la demoiselle ignorait juste beaucoup de choses autour de l'amour dans sa globalité. Là où les jeunes filles pensaient à l'amour, elle a passé le plus clair de son temps à amélioré ses compétences, tant au maniement qu'en forgeant les armes en questions. Elle avait beau être un peu plus âgée que sa Majesté, cette dernière était à des kilomètres d'elle en ce qui concerne tout cela. Elle a épousé une femme, elles sont déjà maman, Yami suppose à peine frôler l'amour. Le grand amour ? Elle ne sait pas, mais elle ressentait des choses pour elle, ce n'était pas juste une envie de sexe. Blottie contre elle, sa main caressait les fins abdos de la jeune femme qui lui expliquait comment leur situation pouvait se passer avec le temps. Il était sûrement prématuré de déjà l'imaginer vivre avec elle, même si en soi, la reine acceptera sûrement que Kim loge au sein du palais avec Yami, mais qu'elle le dise ouvertement ou non, elles seront espionné, surtout Kim en réalité. Même si ce n'est que de l'amour, elles ne peuvent pas savoir et donc, elles devaient mener leur petite enquête en interne.
« Ça me semble être un bon début, mais tu sais, je connais bien sa Majesté, je suis sûre que la reine Kaguya acceptera au moins de te rencontrer une première fois. Après, oui, je suppose que c'est aller un peu vite ? »
Elle supposait, après tout, tout ce qui entoure l'amour, de près ou de loin, elle ne sait pas bien quoi ? On s'embrasse quand on aime, on peut avoir des enfants, des choses très basiques, elle savait, mais tout le reste, ça, c'était autre chose. Ce sera un peu à Kim puis à ses quelques amies du palais – dont Hinata – de lui apprendre à être un peu plus féminine et à nouer plus de lien avec son amoureuse. Tandis que Kim commençait à embrasser de nouveau sa petite poitrine, elle frissonnait de désir sous ses petites attentions en se laissant faire.
« Mhh, si tu veux, tu pourrais servir l'armée d'Edoras ? Mais le hic, ce serait que nous aurons moins de temps et que, vu ton passé militaire, on risque de te poser plusieurs questions... »
Pour ne pas dire l'avoir à l'œil. Mais si Kim préférait une vie plus rangée et plus calme, ça pouvait le faire en restant auprès de sa famille. Il suffisait qu'Hinata passe un jour dans ce Onsen, par curiosité ou pour en apprendre plus sur la possible belle-famille de son amie pour que leur chiffre d'affaires grimpe rapidement ! Edoras aimait beaucoup la famille royale, il suffisait que la reine s'arrête dans une boutique pour y boire un thé pour que les curieux fassent comme elle. Pour ça, Hinata n'avait pas besoin d'une quelconque stratégie commerciale, en toute innocence, elle se baladait en ville et produisait plus d'achats chez sa population. Surtout maintenant qu'elle était mariée et jeune maman, si elles ont le malheur de passer en ville pour acheter n'importe quel jouet ou objet du quotidien pour leur bébé, ce sera vite estampillé « achetée par la famille royale » et là, les gérants se frotteront les mains ! Mais pour en revenir à elles, la main de Yami continuait de glisser sur les fins abdos de son amoureuse, glissant sous le nombril pour aller plus bas. Elle voulait manipuler son arme, manier sa lame... Doucement, la jeune femme s'ouvrait un peu plus, sur le côté intime que sexuel.
« Tu penses que tu peux ahmm, aimer ce nouveau quotidien plus calme ? »
Elle ignorait encore le passé de Kim, à quel point l'armée avait compté ou non dans sa vie ? Avait-elle vécu plusieurs batailles ou sa vie était plus posée malgré un quotidien au moins sportif pour garder la forme ? Il y a soldate et soldate après tout. Sans connaître Uatis et son armée en détail, elle a entendu dire que, comme dans certains travails, certaines filles étaient mieux traitée que d'autre lorsqu'elles écartaient les cuisses. Ses fins doigts entouraient sa verge, la caressant doucement, un peu de sexe en apprenant à se connaître, ça pouvait être pas mal, tant que ce n'était pas encore trop intense, ça devrait aller.
« Ça me semble être un bon début, mais tu sais, je connais bien sa Majesté, je suis sûre que la reine Kaguya acceptera au moins de te rencontrer une première fois. Après, oui, je suppose que c'est aller un peu vite ? »
Elle supposait, après tout, tout ce qui entoure l'amour, de près ou de loin, elle ne sait pas bien quoi ? On s'embrasse quand on aime, on peut avoir des enfants, des choses très basiques, elle savait, mais tout le reste, ça, c'était autre chose. Ce sera un peu à Kim puis à ses quelques amies du palais – dont Hinata – de lui apprendre à être un peu plus féminine et à nouer plus de lien avec son amoureuse. Tandis que Kim commençait à embrasser de nouveau sa petite poitrine, elle frissonnait de désir sous ses petites attentions en se laissant faire.
« Mhh, si tu veux, tu pourrais servir l'armée d'Edoras ? Mais le hic, ce serait que nous aurons moins de temps et que, vu ton passé militaire, on risque de te poser plusieurs questions... »
Pour ne pas dire l'avoir à l'œil. Mais si Kim préférait une vie plus rangée et plus calme, ça pouvait le faire en restant auprès de sa famille. Il suffisait qu'Hinata passe un jour dans ce Onsen, par curiosité ou pour en apprendre plus sur la possible belle-famille de son amie pour que leur chiffre d'affaires grimpe rapidement ! Edoras aimait beaucoup la famille royale, il suffisait que la reine s'arrête dans une boutique pour y boire un thé pour que les curieux fassent comme elle. Pour ça, Hinata n'avait pas besoin d'une quelconque stratégie commerciale, en toute innocence, elle se baladait en ville et produisait plus d'achats chez sa population. Surtout maintenant qu'elle était mariée et jeune maman, si elles ont le malheur de passer en ville pour acheter n'importe quel jouet ou objet du quotidien pour leur bébé, ce sera vite estampillé « achetée par la famille royale » et là, les gérants se frotteront les mains ! Mais pour en revenir à elles, la main de Yami continuait de glisser sur les fins abdos de son amoureuse, glissant sous le nombril pour aller plus bas. Elle voulait manipuler son arme, manier sa lame... Doucement, la jeune femme s'ouvrait un peu plus, sur le côté intime que sexuel.
« Tu penses que tu peux ahmm, aimer ce nouveau quotidien plus calme ? »
Elle ignorait encore le passé de Kim, à quel point l'armée avait compté ou non dans sa vie ? Avait-elle vécu plusieurs batailles ou sa vie était plus posée malgré un quotidien au moins sportif pour garder la forme ? Il y a soldate et soldate après tout. Sans connaître Uatis et son armée en détail, elle a entendu dire que, comme dans certains travails, certaines filles étaient mieux traitée que d'autre lorsqu'elles écartaient les cuisses. Ses fins doigts entouraient sa verge, la caressant doucement, un peu de sexe en apprenant à se connaître, ça pouvait être pas mal, tant que ce n'était pas encore trop intense, ça devrait aller.
On choisit difficilement de retourner sa veste après avoir emprunté une vie de combat et de discipline militaire. Une fois que l’ion a l’habitude de se battre pour sa cité et pour ses semblables le vœu d’allégeance devient une énorme difficulté à juste ignorer. Kim profite de la réflexion pour passer ses lèvres sur chaque téton et les embrasser avec appréciation. Ses années au sein de l’armée Uatéenne est plus modeste que laisse suggérer le portrait normal d’une ex-soldate. Et pourtant les menaces sont présentes sur au moins deux fronts et quelque chose de bien personnel aurait dû la garder enchaînée à son rang de soldate. C’était une histoire un peu longue à expliquer et là n’était pas le moment de s’aventurer dans les détails. Elle est résolue à tout expliquer auprès de la famille royale lorsqu’elle sera inévitablement interroger sur son passé et ses compétences.
- Ouais, il me faudra éventuellement te montrer une facette plus sensible de mon identité. Quand le moment sera le bon, crois-moi.
Kim se blottie contre Yami en échangeant des baisers plus tendres et détendus. Changer d’armée et rejoindre celle d’Edoras ? Cela paraît plus facile et moins prise de tête à comparer du système Uatéen. Sauf qu’il y a une différence entre les deux villes qui est non-négligeable. Kim doute vouloir subir une trop longue période de méfiance et d’espionnage par la garde royale. Après tout elle souhaite revoir Yami aussi souvent que possible et rester ancrée dans cette relation qui évolue plus loin et plus intimement que du sexe sans contexte. Avec un gros sourire elle laisse Yami la toucher et rejoindre le chibre encore tendu afin que la maîtresse des lames puisse exercer ses compétences sur l’épée de veines et de chaire.
- Si la reine veut rencontrer la prétendante qui cherche à perpétuer la famille Yamaoka alors cela est son droit le plus naturel. Je suis ouverte aux dialogues avec ta souveraine, oui.
Kim se détend sur le Futon et remonte légèrement son bassin pour que la poigne de sa partenaire soit parfaite et en contrôle. Elle ne remue pas et laisse Yami dicter les actions de son outil intime. La verge, cependant, tremble de plaisir à cette main qui la tient et la garde chaude. Son regard fixé sur la belle Edorienne elle savoure la vision d’un corps à la fois humble, mature et désirable.
- Uatis a beaucoup de perversion. Je n’y échappe pas non plus. Toutefois je sais me montrer apte à la retenue. C’est une qualité rare mais qui me rend personnellement fière de moi-même.
- Ouais, il me faudra éventuellement te montrer une facette plus sensible de mon identité. Quand le moment sera le bon, crois-moi.
Kim se blottie contre Yami en échangeant des baisers plus tendres et détendus. Changer d’armée et rejoindre celle d’Edoras ? Cela paraît plus facile et moins prise de tête à comparer du système Uatéen. Sauf qu’il y a une différence entre les deux villes qui est non-négligeable. Kim doute vouloir subir une trop longue période de méfiance et d’espionnage par la garde royale. Après tout elle souhaite revoir Yami aussi souvent que possible et rester ancrée dans cette relation qui évolue plus loin et plus intimement que du sexe sans contexte. Avec un gros sourire elle laisse Yami la toucher et rejoindre le chibre encore tendu afin que la maîtresse des lames puisse exercer ses compétences sur l’épée de veines et de chaire.
- Si la reine veut rencontrer la prétendante qui cherche à perpétuer la famille Yamaoka alors cela est son droit le plus naturel. Je suis ouverte aux dialogues avec ta souveraine, oui.
Kim se détend sur le Futon et remonte légèrement son bassin pour que la poigne de sa partenaire soit parfaite et en contrôle. Elle ne remue pas et laisse Yami dicter les actions de son outil intime. La verge, cependant, tremble de plaisir à cette main qui la tient et la garde chaude. Son regard fixé sur la belle Edorienne elle savoure la vision d’un corps à la fois humble, mature et désirable.
- Uatis a beaucoup de perversion. Je n’y échappe pas non plus. Toutefois je sais me montrer apte à la retenue. C’est une qualité rare mais qui me rend personnellement fière de moi-même.
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Hinata Kaguya
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Uatis et Edoras avaient beau être voisin – bien plus puisqu'à l'origine, les ancêtres d'Hinata venaient d'Uatis avant de fonder ce royaume – et leurs rapports amicaux, il fallait préserver le secret militaire. On pouvait croire de prime abord qu'une bande de nana armées de katana et d'un peu de magie ne peux rien contre des soldates avec des gros vaisseaux et des grosses armes à napalm, Edoras avait un dicton, qui était, méfie toi de l'eau qui dors. Edoras restait assez indépendant de la cité, ils ne voulaient pas être affiliés à leurs batailles contre les Xénos, Autis et donc, leur devoir quelque chose. Certes, la menace alien était réelle, mais Edoras était assez éloignée pour que les visiteurs venus d'ailleurs daignent les ignorer. Quand aux hommes, leur rapports étaient moins au beau fixe qu'avec Uatis, mais ça allait, surtout depuis le mariage avec son épouse, Hinata recollait doucement les morceaux qui a bien éloignée toute relation avec le genre masculin. Comment lui en vouloir, toute la ville fut à feu et à sang, elle a vu ses parents mourir, sa petite sœur avait rendu son dernier souffle entre ses bras, sa famille tué par son grand frère. Forcément, depuis cette nuit, elle craignait les hommes, mais Shunya l'aidait à doucement recoller les morceaux au moins. Si Kim se fait interroger ou espionner, avec de la chance, ce sera rapide, Nora, qui veillait sur Hinata, pourrait sûrement user de magie pour lui tirer les vers du nez pour être sûr une bonne fois pour toutes. Enfin, ce n'était pas pour demain que la belle jeune femme allait vivre sous son toit.
Yami la masturbait doucement, sa petite main était douce, mais elle pouvait aussi être très dangereuse pour sa verge, elle qui avait l'habitude de manier les lames, de battre le fer, elle pouvait très vite montrer ses muscles sous sa peau fine et douce. Cela avait son charme aussi après tout. Mais là, la demoiselle faisait preuve de douceur en apprenant à manier cette lame de chair dont elle n'avait pas l'habitude.
« Tu sais, Edoras est une ville très pudique en comparaison avec Uatis. »
Même si Yami n'y avait jamais mis les pieds, elle avait sa vision des choses, peut-être un peu exagérer, mais dans une ville où le sexe était presque banal sur les écrans et où les femmes devenaient facilement des futas par opération ou autres, temporairement ou non, forcément, c'était très bizarre ici. Elle continuait de la branler doucement en observant ses yeux, un regard très doux mais aussi très adulte.
« Mais dans le privé, la pudeur n'a pas lieu d'être. Tant que nous sommes entre nous... entre adultes consentantes... Nous pouvons tout faire. D'ailleurs, si tu as certaines envies à me partager... Je serais heureuse de pouvoir utiliser mon corps, pour te rendre heureuse. »
Sa main de libre glissa entre ses petits seins, se désignant tout en se caressant doucement. L'ambiance avait beau être très douce, et même un peu romantique, elles pouvaient bien s'amuser ensemble et reparler de ce romantisme et de leurs divers possibles projets une fois leur appétit calmer ? Non ?
Yami la masturbait doucement, sa petite main était douce, mais elle pouvait aussi être très dangereuse pour sa verge, elle qui avait l'habitude de manier les lames, de battre le fer, elle pouvait très vite montrer ses muscles sous sa peau fine et douce. Cela avait son charme aussi après tout. Mais là, la demoiselle faisait preuve de douceur en apprenant à manier cette lame de chair dont elle n'avait pas l'habitude.
« Tu sais, Edoras est une ville très pudique en comparaison avec Uatis. »
Même si Yami n'y avait jamais mis les pieds, elle avait sa vision des choses, peut-être un peu exagérer, mais dans une ville où le sexe était presque banal sur les écrans et où les femmes devenaient facilement des futas par opération ou autres, temporairement ou non, forcément, c'était très bizarre ici. Elle continuait de la branler doucement en observant ses yeux, un regard très doux mais aussi très adulte.
« Mais dans le privé, la pudeur n'a pas lieu d'être. Tant que nous sommes entre nous... entre adultes consentantes... Nous pouvons tout faire. D'ailleurs, si tu as certaines envies à me partager... Je serais heureuse de pouvoir utiliser mon corps, pour te rendre heureuse. »
Sa main de libre glissa entre ses petits seins, se désignant tout en se caressant doucement. L'ambiance avait beau être très douce, et même un peu romantique, elles pouvaient bien s'amuser ensemble et reparler de ce romantisme et de leurs divers possibles projets une fois leur appétit calmer ? Non ?
La masturbation reste consistante et tout autant délicieuse pour la jeune Uatéenne. Sa ville natale de Uatis ne se cache jamais quant aux plaisirs et aux traitements exercés sur les franges de la population. Un paradis hédoniste avec toutes les saveurs imaginables et une méthode bien propre à Uatis de s’occuper du cas des hommes et jeunes hommes dans sa guerre avec Auris. Kim apprécie le mouvement de main et songe aux mots de son amie ; Une Edoras pudique pour la décence et la beautéde son peuple mais aux pratiques exclusivement privé. En soi, c’est une différence respectable qu’elle aime de cette cité-état. Puis elle fixe Yami, lui embrasse le front et lui malaxe avec envie les petits seins. Il est du plus naturel pour deux femmes s’aimant de tous leur cœur de s’embrasser sur la bouche. Kim rajoute même sa langue pour goûter la salive et le petit goût de sperme encore présent.
- Edoras est pudique…et Uatis est extravertie. J’imagine que beaucoup voit cela comme de la déviance douteuse, crade. C’est un peu ignorant quand je vois cet agréable changement en toi. Être ouverte à ses effets sur les autres. Même celles qui se pensent renfermées.
Kim l’enlace de son bras et vient pour suçoter le cou de Yami. Elle vit la caresse sensuelle sur ce petit corps, cet érotisme qui culmine à un autre niveau. Elle adore cet instant où une partenaire se découvre des sensations érotiques qui sont parfaitement humaines. Sa verge tremble et relâche à nouveau du présperme chaud sur les petits doigts actifs.
- Je rêve d’honorer le corps de mes amantes, de les prendre en levrette et de les faire jouir.
Sa main descend la hauteur du pelvis, pressant les doigts sur la surface douce et aux muscles forts juste en-dessous. Deux doigts glissent dans la fente intime de tout leur long avec un pouce frottant le clitoris. Kim pose ses lèvres sur chaque épaule et les bise. Ses baisers ciblent la peau de Yami, le corps en général. Ainsi elle lui démontre une affection pour ce que Kim perçoit comme une femme magnifique. Aucune prétendante n’est apparue pour cette forgeronne de talent sauf l’Uatéenne. Et maintenant elle la prend en levrette et la pénètre de derrière. Elle agrippe le bassin et commence ses coups de reins.
- Edoras est pudique…et Uatis est extravertie. J’imagine que beaucoup voit cela comme de la déviance douteuse, crade. C’est un peu ignorant quand je vois cet agréable changement en toi. Être ouverte à ses effets sur les autres. Même celles qui se pensent renfermées.
Kim l’enlace de son bras et vient pour suçoter le cou de Yami. Elle vit la caresse sensuelle sur ce petit corps, cet érotisme qui culmine à un autre niveau. Elle adore cet instant où une partenaire se découvre des sensations érotiques qui sont parfaitement humaines. Sa verge tremble et relâche à nouveau du présperme chaud sur les petits doigts actifs.
- Je rêve d’honorer le corps de mes amantes, de les prendre en levrette et de les faire jouir.
Sa main descend la hauteur du pelvis, pressant les doigts sur la surface douce et aux muscles forts juste en-dessous. Deux doigts glissent dans la fente intime de tout leur long avec un pouce frottant le clitoris. Kim pose ses lèvres sur chaque épaule et les bise. Ses baisers ciblent la peau de Yami, le corps en général. Ainsi elle lui démontre une affection pour ce que Kim perçoit comme une femme magnifique. Aucune prétendante n’est apparue pour cette forgeronne de talent sauf l’Uatéenne. Et maintenant elle la prend en levrette et la pénètre de derrière. Elle agrippe le bassin et commence ses coups de reins.
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Dans cette douce ambiance, les deux femmes se rapprochaient, donnant peut-être naissance à plus qu'une amitié, les mots de Kim ne laissaient pas Yami indifférente ce soir et doucement, la jeune demoiselle se questionnait sur tout cela ? Elle n'a jamais été douée pour ce genre de relation, elle n'était pas vierge, elle avait déjà couché avec quelques femmes, mais, l'amour en général, ce n'était pas une chose facilement compréhensible pour elle. Si chez certaines filles, c'était presque inné de comprendre ce genre de choses, Yami voyait cela comme une autre hors de portée. Façonner une lame de A à Z, en lui donnant une forme ou une épaisseur particulière, elle savait faire, facile ! Comprendre tout ça... Elle parvenait à comprendre quelques petites choses, mais elle ne pouvait être sûre de ses sentiments ou du reste. Sa main masturbait doucement Kim, ça, elle savait faire. Elle tenait sa lame entre ses doigts, prenant soin de sa lame de chair tandis que la belle Uatènne fondait sur elle, la caressant, l'embrassant. Yami était forte malgré son apparence et sa petite taille, mais elle se laissait faire face à ce genre d'attaque. Sa nouvelle amie était belle après tout, rien que sur le plan physique, de sentir sa douce peau, ses quelques muscles dessinés sur la peau, ça la rendait différente des autres. Non pas qu'à Edoras toutes les femmes n'aimaient pas les muscles, surtout au palais, entre les capitaines et certains samouraïs, ça ne se voyait pas de prime abord, mais certaines étaient bien équipée ! Mais voilà, en dehors du palais, en ville, les femmes étaient plus coquettes diront nous.
« Alors fais-moi jouir, Kim... »
Dit-elle face à sa demande. Que ce soit spécialement dit à Yami ou de maniérée, générale, elle acceptait cette voie. Entre ses cuisses ou sur son corps, elle acceptait les petites preuves de douceur de la part de sa partenaire, elle aimait cette ambiance, non pas que la forgeronne soit spécifiquement attiré par ce genre de choses, il faut reconnaître que cela se mariait bien à l'ambiance. Même si, une fois bien dans l'ambiance, ça pourrait se faire, Yami n'avait pas besoin d'une ambiance vulgaire pour apprécier le sexe. C'était peut-être cliché mais, étant donnée que Poison était LA référence de sexe quand ont pensait à Uatis, elle était bien connue ici aussi après tout, on pensait facilement que chaque citoyenne de la grande cité était une petite Poison en puissance qui voulait dominer les autres avec sa queue, usant d'insultes et de remarque graveleuse, Kim lui prouvait que non.
Face à l’invasion, Yami gémissait doucement, son corps tremblait doucement, pas forcément de douleur, mais ce n'est pas comme si elle pratiquait cela chaque soir. Elle sentait ses mains s'accrocher à ses hanches, elle instaurait son rythme, la demoiselle sentait son pic de plaisir grimper à chaque fois qu'elle se heurtait à elle, parvenant parfois à lui faire lâcher un petit gémissement. Yami avait beau être forte, son apparence était fine, sa peau était douce et clair, ses longs cheveux pendaient sur le côté, laissant à Kim la vue sur cette belle petite chose qui s'enfonçait si bien sur sa virilité. Deviendrait-elle la lame de ce fourreau ? C'était à elle de voir, si elle voulait continuer de maintenir ce rythme de croisière ou si elle voulait commencer à déchaîner la tempête ? Yami semblait prête à subir tout ce que Kim avait a proposer. Passant son regard par-dessus son épaule, la jeune femme contemplait Kim, dominant son corps.
« N'ai pas peur... Amène-moi à l'orgasme... Faisons-le, haaaa... Ensemble ~ »
« Alors fais-moi jouir, Kim... »
Dit-elle face à sa demande. Que ce soit spécialement dit à Yami ou de maniérée, générale, elle acceptait cette voie. Entre ses cuisses ou sur son corps, elle acceptait les petites preuves de douceur de la part de sa partenaire, elle aimait cette ambiance, non pas que la forgeronne soit spécifiquement attiré par ce genre de choses, il faut reconnaître que cela se mariait bien à l'ambiance. Même si, une fois bien dans l'ambiance, ça pourrait se faire, Yami n'avait pas besoin d'une ambiance vulgaire pour apprécier le sexe. C'était peut-être cliché mais, étant donnée que Poison était LA référence de sexe quand ont pensait à Uatis, elle était bien connue ici aussi après tout, on pensait facilement que chaque citoyenne de la grande cité était une petite Poison en puissance qui voulait dominer les autres avec sa queue, usant d'insultes et de remarque graveleuse, Kim lui prouvait que non.
Face à l’invasion, Yami gémissait doucement, son corps tremblait doucement, pas forcément de douleur, mais ce n'est pas comme si elle pratiquait cela chaque soir. Elle sentait ses mains s'accrocher à ses hanches, elle instaurait son rythme, la demoiselle sentait son pic de plaisir grimper à chaque fois qu'elle se heurtait à elle, parvenant parfois à lui faire lâcher un petit gémissement. Yami avait beau être forte, son apparence était fine, sa peau était douce et clair, ses longs cheveux pendaient sur le côté, laissant à Kim la vue sur cette belle petite chose qui s'enfonçait si bien sur sa virilité. Deviendrait-elle la lame de ce fourreau ? C'était à elle de voir, si elle voulait continuer de maintenir ce rythme de croisière ou si elle voulait commencer à déchaîner la tempête ? Yami semblait prête à subir tout ce que Kim avait a proposer. Passant son regard par-dessus son épaule, la jeune femme contemplait Kim, dominant son corps.
« N'ai pas peur... Amène-moi à l'orgasme... Faisons-le, haaaa... Ensemble ~ »