The Multiversity

Félicia admirait son œuvre, la consécration concrète d’un plan extrêmement risqué et osé, une stratégie qui avait visé à faire d’Aiko leur partenaire privilégiée dans leurs délicieuses orgies. Comme elle l’avait prévu, les risques pris étaient en train de payer. Aiko était en train de s’avouer qu’elle était amoureuse d’Aoki, et qu’elle avait pendant trop longtemps refoulé la réalité de ses sentiments à son encontre. Cette situation était évidemment très excitante pour Félicia ! La Chatte Noire soupirait doucement en la regardant agir, en regardant sa fiancée besogner Aiko. Dans un autre monde, Aiko et Aoki auraient pu s’avouer leur amour, et n’avoir jamais rencontré Félicia. Et il existait sûrement d’autres mondes parallèles où Félicia n’avait jamais déménagé au Japon, où elle était restée à New York… Mais, là, elle était là, elle était l’amante d’Aoki, sa fiancée, et sa Maîtresse ! Aoki acceptait volontiers tout cela, et continuait à baiser Aiko, qui n’arrivait plus à réfléchir calmement, et se laissait porter par cette vague.

« Oh oui, allez, dansez pour moi, mes chéries ! »

Aoki le faisait, les vibromasseurs remuant joyeusement en elle. La belle Japonaise blonde mouillait avec délectation, s’abandonnant au plaisir, emmenant Aiko avec elle. Celle-ci avait attrapé ses cheveux, et posa son autre main sur ses fesses. Elle avait empêché Aoki de partir, et l’embrassa alors. Leurs langues s’unirent. Aiko se désintéressait de Félicia… Mais pas d’Aoki-chan ! Elle se pressa à elle, bien décidée à la sauver des griffes de la Chatte Noire ! C’est du moins ce qu’elle se disait en ce moment, mais elle n’avait plus les idées claires. Le désir l’envahissait, et elle soupira encore, serrant sa main sur les cheveux d’Aoki, et croisa son regard.

« A-Aoki-chaann… ! »

Les deux femmes se mirent à jouir avec force. Aoki et Aiko s’abandonnèrent mutuellement, et Félicia les laissa faire. Elle grimpa ensuite sur le lit, et caressa les cheveux d’Aoki. Aiko reprenait ses esprits, les joues rouges et les cheveux défaits. Félicia sourit doucement, et caressa les cheveux d’Aoki.

« Tu vois, Aiko, Aoki-chan est encore loin d’être épuisée… Est-ce que tu te sens capable de continuer à lui faire l’amour ? »

Aiko regarda Félicia, puis Aoki, et rougit encore.

« Voilà ce que je te propose, Aiko… Si tu arrives à rester éveillée jusqu’à la fin de la journée, je lui rendrai sa liberté, et tu pourras repartir avec elle. Qu’en penses-tu ? »

Aiko resta muette, mais fronça les sourcils, rougissant davantage à l’évocation de cette proposition. Elle se pinça les lèvres, puis posa sa main sur la joue d’Aoki, tout en continuant à remuer.

« Aoki-chan… Tu as toujours été très douée, et je… Je suis venue ici rien que pour toi. Je repartirai de cette ville avec toi. »

Félicia sourit, et Aiko la regarda alors.

« Je peux tout à fait endurer ce que tu fais subir à Aoki-chan ! Je la sortirai de tes griffes ! »

La Chatte Noire gloussa un peu, amusée par la situation.

« Qu’en dis-tu, Aoki-chan ? Penses-tu qu’Aiko-chan pourra survivre jusqu’à ce soir ? C’est simple, Aiko… Si tu ne tombes pas dans le coma avant 20 heures, tu remportes le défi. »

Cela semblait simple, mais, connaissant Félicia, il ne faisait aucun doute pour elle qu’Aiko s’effondrerait avant cela !

Si l'on pouvait se dire que la relation entre Aoki et Felicia n'étaient qu'une esclave et sa maîtresse, c'était faux. Il n'y avait pas que ça, car l'amour régnait à leurs côtés. Leur histoire est loin d'être le genre de chose qui ferait un bon début de film pour une comédie romantique, mais leur amour l'était tout autant. Si leurs aveux n'était pas si lointains, leur fiançailles était bien plus récente ! C'est aussi pour ça que lui sauver les fesses et éviter la prison ou pire, c'était capital. Tout cela n'était qu'à ses balbutiements, mais quand ce fut annoncé, Harley fut une des premières mise au courant et ce fut l'occasion de déjà – plus ou moins – préparer son enterrement de vie de jeune fille, d'imaginer la robe et la cérémonie, et même, subtilement de montrer son impatience à vivre la même chose avec Pamela. Une situation similaire et différente pour elles, mais sans avoir encore de date ou autres, les deux Gothamiennes en parlaient aussi en privé. Un double mariage, peut-être pas, car toute femme veut que ce jour soit unique – sauf peut-être en cas de jumelles ou plus – mais il y avait peu de chance que les deux couples se marient le même jour ou alors, ce serait une trés drôle de coïncidence !

Aoki lui faisait l'amour avec sa fausse queue pour l'amener vers l'orgasme, comme le voulait Felicia. Elle ne doutait pas réussir à finir là-dessus. Ce qu'Aiko ne comprenait pas, c'est que sa seule emprise dont était victime Aoki, c'était l'amour. Pas de contrôle mental ou de menace, juste un amour d'abord sexuel qui les a rapprochées petit à petit avant de vivre une aventure peu amusante avec elle pour en arriver là. La seule chose positive à cet étrange voyage avec Felicia, ce fut qu'elle lui avouait ses vrais sentiments, passer de sex-friends à couple. Partageant un puissant orgasme, Felicia décida de revenir, couvrant sa chérie de caresses pendant qu'elle soulignait son talent, sa beauté, bref, qu'elle lui montrait combien elle était parfaite ! Elle venait même la défier, mais la seule ombre à ce tableau, c'est qu'Aiko pensait son ancienne camarade prisonnière. Et ce n'était pas le cas. Même en cas d'une improbable victoire, Aoki passerait une nuit ou deux avec Aiko, mais jamais elle ne quittera Felicia. Elle était touchée par ses sentiments, elle n'était pas insensible, mais elle n'allait pas changer de partenaire comme ça, elle n'était pas sans-cœur. Frottant sa tête sur la main de Felicia, telle la chatte qu'elle était, elle parlait avec entrain, presque comme une petite fille tant le ton était joyeux !

« Ça veut donc dire que je vais devoir la baiser avec une vraie queue ? »

Elle spoilait peut-être un peu ce qui allait se passer, mais si Aiko la défiait, elle devait savoir où elle mettait les pieds après tout. Et puis, elle voulait faire honneur à la Black Cat, sa maîtresse alors pas question de lui faire honte, mais au contraire, de montrer combien elle pouvait être fière d'elle ! Reposant son regard sur son amie, elle s'approcha, laissant le bout de son nez se frotter au sien avant de reprendre.

« Ne t'inquiète pas. On va très bien s'amuser ensemble ! »

Oui, cette Aoki était presque totalement différente de celle qui était à la fac. Sans être froide et le nez dans ses bouquins – ce fut plutôt le collège et lycée pour ça – à la fac, elle était un peu plus ouverte même si elle restait très studieuse. Les soirées étudiantes, avec ou sans alcool, très peu pour elle. Elle a connu une peine de cœur sans le savoir avec sa senpai dont elle ignorait l'aimer, ce fut son départ qui lui fit remarquer combien elle se sentait seule à cette époque. Puis sur la fin, il y eut son premier amour, qui n'avait pas duré très longtemps, assez pour savoir combien l'amour était beau et cruel. Bref, une scolarité avec des hauts et des bas, sur la fin surtout où le fait de s'ouvrir aux autres avait quand même apportée plus de tracas qu'autre chose. Mais aujourd’hui, si elle restait très sérieuse à son travail, avec Felicia, elle était libérée de tout souci. Non pas qu'elle a toujours eu de drôles de fétiche gardé secret, mais avec Felicia, elle en a essayé, adopter et assumée beaucoup plus que ce que les gens pouvaient deviner en la voyant simplement.

Aiko fronça les sourcils en les regardant. Cette maudite gaijin ! C’était une voleuse, une chapardeuse ! elle lui avait volé Aoki ! Quand Aiko l’avait connu, Aoki était si gentille, si innocente… Oh, si seulement Aiko n’n’avait pas été aussi cruche ! Mais, à cette époque, elle n’avait pas encore fait son coming out, ses parents voulaient la marier à un homme de bonne fortune, comme à l’époque du Japon féodal ! Aiko avait donc battu pour affirmer ses sentiments. Elle était convaincue de retrouver Aoki à Tokyo, au sein d’une prestigieuse société, et elle avait appris que celle-ci avait fondé sa propre agence d’idols à Yoake ! Cette ville, elle était la Las Vegas du Japon ! Il y avait tellement d’histoires et de rumeurs circulant autour de cette ville qu’Aiko n’y avait pas cru au début ! Elle s’était ensuite installée, et avait agi…

…Et là, elle était là, sur le lit, constatant que toutes les rumeurs circulant sur cette ville étaient encore en-deçà de la vérité ! Félicia et Aoki lui faisaient face, et Aoki demanda à Félicia si elle pouvait se doter d’une véritable verge. Félicia acquiesça tout en caressant les hanches d’Aoki, et l’embrassa dans le creux du cou.

« Bien sûr… Il faut la baiser bien fort, non ? »

Aiko rougit doucement en les regardant, puis vit Aoki se concentrer. Félicia fourra ses doigts dans sa chatte, et la masturba, la faisant gémir. Son autre main palpa l’un des généreux seins d’Aoki, et elle la motiva. Aoki se dandina sur place, chaudement excitée, jusqu’à ce qu’une belle verge émerge. Juste avant, Félicia tira sur la fermeture Éclair, et la verge d’Aoki jaillit donc sur place. Une belle queue que Félicia se mit à masturber.

Écarquillant les yeux, Aiko observa ce membre, puis fronça les sourcils, bien décidée à être la plus forte possible. Elle se redressa alors, et poussa Aoki, l’installant de force sur un fauteuil. Aiko se mit à genoux, et attrapa sa queue à la base, puis l’approcha de ses lèvres.

« Je vais te sucer, Aoki ! »

Décidée, elle enfonça cette trique dans sa bouche, commençant à pomper son dard, tout en relevant les yeux pour croiser le regard d’Aoki…

Rien au monde ne pourrait ébranler l'amour qu'avait Aoki envers Felicia. On ne pouvait pas dire qu'elle avait connue beaucoup d'histoire d'amour dans sa courte vie, trois à peine. Une première histoire de cœur envers sa senpaï alors qu'elle tâtait tout juste le monde de l'amour, un homme dont elle s'était éprise avant de voir que l'amour n'était pas aussi beau et solide que dans les films, puis Felicia. Pour elle, elle avait pris son temps sans déclarer sa flamme dès le début. En même temps, au début, ce n'était que du sexe, elle se voyait pour ça, pour coucher ensemble, sans même prendre le temps d'un café. Et maintenant, sans être toujours dans le sexe dès qu'elles se voient, elles construisaient ensemble. Pas d'enfants en vue, pas de mariage non plus, mais Aoki ne désespérait pas et au pire, qu'importe si elle n'avait pas cela, tant qu'elle avait sa Felicia près d'elle. Donc, si cette histoire met en danger leur relation, elle allait se battre pour les protéger. Désolé pour Aiko, elle couchera avec elle, elle la rendra heureuse autant que possible, mais elle ne pourra lui offrir son cœur, il était à Felicia après tout. Mais si le cœur lui en dit, devenir l'esclave de Felicia lui permettra de côtoyer Aoki plus souvent, d'être heureuses, ensemble, à servir leur maîtresse. Aoki ne trouvait pas cela dérangeant, c'était une bonne chose.

Ayant prévu le coup avec cette soirée, elle avait pris de quoi se doter d'une belle verge qu'elle tentait de faire sortir, avec un peu d'aide de sa chérie qui la touchait, lui arrachant quelques gémissements de plaisir en plus. Elle avait plus l'habitude de faire sortir celle de sa belle blonde américaine que d'en sortir une sur elle. Mais après quelques efforts, elle était là, belle, longue et palpitante de désir face au corps magnifique d'Aiko. Oui, elle était belle, une Japonaise dans toute sa beauté, des formes qui hésitaient entre présentes et discrète, une beauté sérieuse mais naturelle, elle avait tout pour séduire. À l'époque de la fac, les trois premiers de leur génération étaient aussi beaux qu’intelligent, Aoki, Aiko et le seul homme du podium, un certain Nifuji. Tout les trois n'avaient d'yeux que pour les études, mais ils devaient avoir bon nombre de fans qui auraient aimé ne serait-ce que bavarder autour d'un café et pourtant, à l'image de certains clichés, ils ne pensaient qu'à leur réussite et c'est tout. En apparence. Même si Aoki s'était un peu éloigné de cette image en ayant eu un petit copain, elle a bien vue que cela avait été une erreur, surtout sur la fin de ses études.

« Ne t'en fait pas, Aiko-chan... Je serais toute douce avec toi~ »

Mais la belle ne se laissait pas facilement dominer et tentait d'inverser les choses, pour vouloir sucer Aoki, selon ses dires. Elle ne cherchait pas à la repousser, au contraire, sa main gantée caressa ses cheveux, son visage en lui souriant tendrement.

« Si c'est ce que tu veux, Aiko-chan, alors suce-moi. »

Sa verge était tout pour elle pour le moment. Si elle voulait commencer comme ça, elle n'avait rien contre, car Aoki savait qu'elles allaient gagner. Elle ne pouvait pas le savoir d'avance, mais elle en avait la conviction alors si elle voulait s'habituer à cela, soit. Après tout, elle n'était pas si choquée de voir qu'Aoki pouvait avoir une verge. Elle en a déjà vu d'autres ? À Yoake, ce n'était pas si rare. À moins que cela soit un de ses fantasmes ? Elle jetait un regard vers sa Felicia quand même, elle voulait savoir ce qu'elle en pensait, si pour elle, c'était bon signe ou non malgré tout ? Elle allait la laisser prendre les choses en main, ou plutôt en bouche, mais quand le plaisir viendra, elle allait agir aussi un peu, elle voulait sentir sa verge exploser de désir dans sa gorge, elle était bien placée pour savoir que cette sensation était incroyablement délicieuse quand ça se produisait. Après, elle avait ses propres goûts, mais pour Aoki, c'était presque devenu obligatoire qu'elle avale la queue de Felicia au moment de jouir.

Aiko était en train de basculer. Félicia avait beau s’y être attendue, elle était rassurée de le voir, car les deux femmes avaient quand même pris un sacré risque en agissant ainsi ! Fort heureusement, Félicia était habituée à prendre des risques. Envisager un tel plan, et aller jusqu’à le mettre à exécution, c’était l’une des choses que Félicia faisait quand elle était à New York. Elle était ravie de constater qu’elle pouvait encore agir de la sorte, qu’elle pouvait retrouver ce sentiment d’insouciance et d’estime de soi, nécessaires pour mener à bien un plan aussi farfelu. Aiko avait demandé à sucer la verge d’Aoki, ce qui sembla un peu surprendre la belle blonde, mais elle accepta. Félicia croisa son regard, et lui sourit doucement, restant dans le dos d’Aiko.

Elle s’agenouilla ensuite derrière Aiko. Aoki s’était redressée sur le bord du lit, écartant ses jambes pour qu’Aiko se retrouve entre elles, son visage devant sa verge. Sa main gantée caressa ce membre avec lenteur, remontant jusqu’à la pointe de la verge. Elle appuya dessus avant de se mordiller les lèvres, rougissant tendrement. Ce membre palpitait chaudement entre ses doigts, et elle se rapprocha encore, venant le lécher timidement. On pouvait sentir l’inexpérience de la jeune femme, qui ne savait visiblement pas encore très bien comment s’y prendre. Félicia se nicha dans son dos, enroulant ses bras autour du corps d’Aiko, et l’embrassa dans le creux du cou.

« Tu as beau le nier, je sais que tu es amoureuse… Les amours impossibles, ça me connaît, tu sais. Mon ex’ m’a largué pour se remettre avec son ancienne copine, et j’avais beau vouloir nier que je l’aimais toujours, c’était un mensonge… Comme toi avec Aoki-chan.
-  Tu… Tu racontes n’importe quoi ! »

Félicia l’embrassa tendrement dans le creux du cou, mordillant légèrement sa chair.

« Ne cherche pas à nier l’évidence, ma belle… »

La Chatte Noirs s’amusait de la situation.

« Suce-là, allez… »

Pendant qu’Aiko approchait ses lèvres, et prenait ce membre en bouche, Félicia descendit sa main, et entreprit de la caresser intimement, de la masturber avec appétit,  curieuse de voir si la jeune femme allait jouir à nouveau…

Aoki était en train d'être dans une situation des plus agréables, elle était presque le centre d'attention. De voir Aiko qui profitait de son corps était très agréable, mais le faire de voir Felicia qui l'observait se faire prendre par une autre personne... Ce serait mentir de dire que cela la laissait de marbre. Elle aimait ce sentiment d'être sa chose. Bien entendu, elle aimait la Black Cat plus que tout et préférait cent mille fois lui faire l'amour à elle qu'à une autre. Mais c'est comme quand Rex lui grimpait dessus, faisant d'elle sa chienne pendant que Felicia l'observait se faire grimper dessus par un chien, cela avait un petit côté très excitant ! Son regard hautain face à une traînée comme elle, elle en était follement accroc ! Mais là, ce n'était pas le même genre de jeu, après tout, derrière tout cela, elle tentait de sauver sa peau. Elle devait résister à son amie qui goûtait à son corps, elle était le genre de femme qui avait déjà été prise par trois femmes hors du commun, pour son plus grand plaisir ! Felicia, bien évidemment, Pamela et ses dons « naturelles » et Harley et sa folie qui passait du doux au brute en un instant. Tenir face à une femme, peu expérimentée de ce qu'elle voyait, ça sera du gâteau.

Aiko était entre ses cuisses, entamant de commencer, mais traînait un peu des pieds, sur ça, elle ne lui en voulait pas le moins du monde. Elle y allait à son rythme après tout. En plus, Felicia était dans son dos, à lui susurrer des choses, tout en laissant ses mains se balader sur son corps. Quelle chanceuse, savoir une Felicia qui la dirige et la manipule, cela ne laisserait pas Aoki indifférente, mais elle devait penser à sauver ses petites fesses avant de penser à ce genre de choses.

« Mmmmmmh, Aiko-chaaaaaaan... Dépêche-toi.... Ma bite à tant besoin de ta bouche~ »

Elle aussi avait le droit de l'attirer à elle, peu importe la façon. Lui faire croire qu'elle était si en manque pour mieux la faire venir, c'était déjà un début de plan. Sa verge, tendue devant son amie, palpitait doucement, même, ses lèvres intimes mouillaient quelque peu, prouvant quand même que cela n'était pas totalement du chiqué. Elle restait encore très docile, mais n'étant pas Felicia face à elle, Aoki pourrait bien perdre patience et utiliser son amie le plus simplement du monde. Elle veillerait à ce qu'elle reste consentante, mais sentir ses lèvres, sa petite bouche et sa petite langue entourer sa verge... Oui, une fille qui avait peu d'expérience dans le domaine, rien que pour sa queue... Elle en serait des plus ravies !

La petite avocate était confuse, et ça, Félicia le sentait. Elle allait tout faire pour la forcer à admettre la réalité de ses sentiments, pour l’amener à comprendre qu’elle était amoureuse d’Aoki. De son point de vue, le problème d’Aiko était son refus d’admettre cela. Face à la verge d’Aoki, Aiko ne disait rien, soupirant tandis que Félicia la masturbait. Ses doigts glissaient dans sa chatte, sentant l’intimité ruisselante d’Aiko. La jeune femme entendit les encouragements d’Aoki, et releva sa tête vers elle, puis fixa encore son membre. Elle le renifla, et donna plusieurs coups de langue dessus… Et ses yeux se froncèrent alors. Elle le prit d’un coup, et Félicia sourit en voyant la verge de sa fiancée disparaître dans la bouche d’Aiko.

« N’avale pas trop vite, ma chérie, tu vas t’étouffer dessus ! »

Félicia n’était pas son ennemie, et c’était bien ce qu’elle voulait faire comprendre à cette femme. Aiko était talentueuse, et elle allait bientôt le découvrir. Quel plaisir Félicia allait prendre à la former ! Aiko commençait à la sucer, sentant les mains gantées d’Aoki caresser sa tête, se crispant à ses cheveux. Et, même si elle appréciait les doigts de Félicia jouant en elle, il fallait bien admettre que cette sensation était encore plus agréable que le reste. Sentir ainsi la verge d’Aoki coulisser en elle, s’enfonçant dans sa bouche, cela n’avait pas de prix ! Elle adorait ce contact, elle était en train de bouillonner sur place. Elle faisait l’amour avec Aoki, elle relevait la tête, et la voyait gémir, la sentait soupirer. Peu importe ce la sorcière-féline lui dirait dans son dos, Aiko voulait lui montrer qu’elle était une amante formidable ! Elle avalait donc ce membre avec appétit, creusant ses joues, suçant cette queue, pompant ce dard. Voir le visage ravi d’Aoki était un moteur suffisant pour elle, et elle déplaça ses mains, caressant les cuisses d’Aoki, puis les avança, et les posa sur ses fesses.

Pressant son cul, malaxant son derrière, Aiko se concentrait, amplifiant le rythme. Félicia n’avait à ce stade même plus à la motiver, alors la Chatte Noire se releva, et rejoignit Aoki. Elle se lova contre elle, et caressa son  dos, rejoignant ensuite les mains d’Aiko pour pétrir les fesses d’Aoki, tandis que son autre main allait pincer l’un de ses seins. Elle embrassa Aoki sur les lèvres pendant quelques instants, puis l’incita à regarder Aiko.

« Montre-lui comme tu es heureuse, notre chère invitée n’attend que ça… Jouis dans sa petite bouche de traînée, mon amour, fais-lui ressentir à quel point elle est une salope qui s’ignore ! »

Aoki continuait d'écouter sa maîtresse, Felicia demandait, elle obéissait. Elle voulait que cette dernière s'occupe d'Aiko, qu'elle jouisse dans sa bouche ? Elle le fera, mais elle en profitait pour le moment, caressant les cheveux de la jeune femme qui était si proche de sa verge. Avoir une queue, c'était fantastique ! Mais quand bien même ce plaisir était délicieux, Aoki était de celles qui préféraient se faire prendre, c'est pour ça qu'elles forment un couple parfait avec Felicia. Même si parfois, elles inversent les rôles, elle était cette chatte en chaleur qui miaulait pour attirer d'autres chats à venir à elle. Enfin, elle attendait surtout Felicia, les autres... Ce n'était pas sa priorité. Même dans leurs soirées entre amies, Pamela était la seconde maîtresse de la soirée, Harley gardant un rôle proche du sien et pourtant, même l'arlequin avait parfois une verge, pour sa fiancée ou les autres, mais non, Aoki acceptait rarement cela, préférait de loin être le lien entre ses trois verges. Son corps unissait ses trois femmes au même plaisir et elle ne s'en cachait pas. Elle avait en elle une faim, une si grande faim... Par chance, Felicia connaissait bien des recettes pour étancher une telle soif de luxure.

Enfin, là, le cas était particulier, car elles faisaient cela pour éviter le pire pour Aoki, n'oublions pas. Alors quand Aiko commençait à gober sa verge, c'était comme si le tour était déjà gagné pour elles. À moins qu'Aiko ai une sorte d'allergie au sexe masculin, peu de chance qu'elles ne finissent pas par leur manger dans la main d'ici la fin de leur petite soirée !

« Mmmmmmmh, Aiko-chan~ »

La voilà doucement en train de s'habituer à cela, doucement, elle gobait sa verge, venant la prendre en bouche, la reniflant plus ou moins directement, mais qu'elle le fasse donc. Aoki aimait la luxure, elle aimait trouvé autant perverse qu'elle, oh oui, elle était si libertine avec Felicia. Elle avait quand même ses limites, tant physique que morale, mais disons que ses limites font partie de la grosse majorité des gens qui côtoient un peu beaucoup le monde du sexe. Chacun avait ses goûts, elle le respecte, du fait qu'elles ne partageaient ses goûts qu'avec des personnes consentantes. Aiko en profitait doucement, de plus en plus, pendant que la Balck Cat se rapprochait, venant profiter à son tour de sa petite chatte adorée. Felicia et Aiko malaxaient son cul, Felicia venant même pincer ses mamelons en cueillant un baiser du bout des lèvres. Elle buvait ses paroles, gardant le plus souvent un bout de sa petite langue sortie, elle hochait doucement la tête, ses mains prenant plus fermement la tête de son amie, qui allait avoir droit à un traitement de choc.

« Mmmmh, Aiko-chaaaaaan~ je t'offre ma bite, alors... prends là, entièrement. »

Doucement, elle lui faisait avaler de force sa queue, elle savait bien que ce n'était pas vraiment la forcer, comme le disait Felicia, elle s'ignorait, dans d'autres circonstances, elle aurait déjà avalé sa queue, là, Aoki l'aidait, rien de plus. Elle gardait ses mains sur sa tête, l'aidant dans ses vas et vient, gémissant et couinant doucement de plaisir, observant la belle dans son effort, elle lui bavait un peu dessus alors que sa queue disparaissait dans sa petite bouche. Elle continua, savourant jusqu'à l'orgasme.

« Mmmmmmmhhhh haaaaaaaan, je viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiens !!!!!! »

Gardant son visage au plus près de son corps, elle explosa dans sa gorge, son foutre jaillissait, relâchant sa tête qui s'écartait machinalement, mais Aoki pouvait ainsi mieux l'arroser directement. Ce n'était pas une faute, c'était tout aussi bien. Sa queue crachait les derniers jets de foutres, elle était immobile, heureuse de jouir.

« Maîtresse... J'ai jouis~ Aiko-chan est si heureuse elle aussi. »

Elle n'oubliait pas son amie aussi, jetant un regard vers elle, le bonheur se partageait, même s'il était moins visible sur le visage de l'avocate. Mais est-ce qu'elle peux continuer de mentir ? Peu de chance...

Félicia contrôlait la situation. Elles avaient risqué beaucoup en mettant au point cette opération, mais, plus le temps passait, et plus Aiko s’abandonnait. Oh, comme elle était belle ! Lovée dans le dos d’Aoki, Félicia la voyait par-dessus l’épaule de sa dulcinée. Embrassant Aoki, elle la pelotait aussi, malaxant ses seins avec ses deux mains, serrant les tétons, les coinçant avec amour. Félicia connaissait énormément Aoki, elle l’aimait, et elle était prête à envisager avec elle de fonder une famille… Une famille qui devrait très certainement inclure Aiko. Prostrée devant elles, elle pompait avec appétit la verge d’Aoki, goûtant au plaisir surnaturel qu’il y avait à faire l’amour avec des femmes hermaphrodites. Elle était désormais bien motivée, agissant sans se restreindre, laissant parler ses émotions. Aoki se tortillait sur place, jusqu’à se relâcher dans la bouche d’Aiko. Ce fut un puissant orgasme, libérateur. Ses deux mains se serrèrent sur la tête d’Aiko, afin qu’elle puisse avaler ce sperme, et avoir la certitude qu’Aoki jouisse bien dans sa bouche. Sa queue tressauta sur place, et Aoki, dans un hurlement de plaisir, s’abandonna donc complètement. La jouissance vint, magnifique, et elle se retourna ensuite vers Félicia, heureuse et soulagée.

La Chatte Noire ne put que sourire doucement, et caressa le visage d’Aoki, avant d’aller l’embrasser à nouveau. Un baiser où elle fourra de nouveau sa langue dans la bouche d’Aoki, et posa sa main sur ses fesses, la maintenant contre elle. Aiko, de son côté, se releva alors.

« Hmmm… Elle ne doit pas être habituée à avaler du sperme, je devrais l’aider… »

Félicia se pencha vers Aiko, dont la bouche était toujours close, et l’embrassa ensuite. Les trois femmes restaient lovées ensemble, dans un grand câlin collectif. La langue de Félicia s’enfonça dans la bouche d’Aiko à son tour, et elle posa sa main sur ses fesses. La Chatte Noire avait donc chacune de ses mains sur les fesses des femmes, les palpant avec envie et amour.

« Haaa… Tu as des lèvres magnifiques, Aiko ! »

Elle avait avalé un peu du foutre d’Aoki, et rompit donc le baiser.

« Je… Vous ne m’aurez pas comme ça… »

Félicia sourit doucement.

« Vraiment ? Je crois que nous avons déjà bien commencé à te convaincre, non ? Enfin, je suis désolée pour toi qu’Aoki et moi formions déjà un couple, mais, comme tu peux le voir, tu as toute ta place avec nous… N’est-ce pas, ma chérie ? »

Elle était vraiment amoureuse de Felicia, elle avait oublié ses deux amours de jeunesses, cet amour inavoué pour sa senpai, qui lui avait donné ses premières tendances lesbiennes sans trop savoir de quoi elle s'approchait et de son premier petit copain. Désormais, Felicia était toutes sa vie et pour elle, elle pouvait tout lui faire. Elle ne disait pas oui pour faire plaisir, mais pour lui faire plaisir. Sans être coincé dans une relation toxique ou autre, Aoki partageait son bonheur et celui de la belle Américaine faisait partie du sien. Peu importe les idées salaces qu'elle lui proposait ou que Felicia proposait, elle finissait par dire oui, ne serait-ce que pour voir cette petite flamme dans son regard. Elle restait humaine avec ses goûts et ses interdits, mais en dehors de quelques petites choses qui ne la feront pas changer d'avis, elle pouvait tout faire pour elle. Une partouze ? Une nuit très SM ? Une soirée si torride qu'elles devaient elles-mêmes abandonnée tant c'était trop intense ? Tout cela, c'était déjà dans leur histoire. Ce n'était pas une soirée avec une ancienne de ses amies qui allait la brusquer. Cette soirée, c'était un peu pour éloigner les radars qui se rapprochaient d'elle, car pour Aoki comme ses élèves, le tout est fait par consentement, mais elle comprenait que certains parents pouvaient en être choqué, mais soit, c'était une autre époque confronter à l'actuelle.

Elle avait joui de plaisir dans la bouche d'Aiko et Felicia venait voir ça de plus près, un baiser pour sa chérie, un autre pour sa jolie petite esclave de la soirée, Felicia était une maîtresse en or ! Elle put goûter au foutre de sa belle Aoki dans la bouche d'Aiko qui tenait bon, mais cédait malgré tout un peu de terrain, de plus en plus à vrai dire. Elle se blottissait contre elle, plus amoureuse que jamais de sa grande chatte.

« Oh oui, je ne serais pas contre un peu d'aide pour m'occuper de toi. Maîtresse à si grand besoin d'amour, et... je veux toujours te rendre heureuse. »

Avec ou sans aide, mais oui, Aiko près d'elles ? Pourquoi pas, du moment que leur idylle reste à deux, elle n'a rien contre une personne de plus, ce n'est pas comme si leur histoire n'était qu'à deux. Parfois, elles allaient voir Poison Ivy et Harley Quinn, pourquoi pas voir du côté des relations de son passé ? Bon, ce sera sûrement moins fournie qu'avec elle, mais, y a quand même du beau choix comme le prouve Aiko.

« On jouera toutes les deux et... quand maîtresse sera assez excitée, elle viendra nous baiser toute les deux~ On s'amusera si bien, ensemble ! »

Une belle perspective pour elle, en tout cas !

Les choses commençaient-elles enfin à se stabiliser avec Aiko ? Félicia était en droit de le croire, maintenant qu’elles avaient franchi les barrières initiales exprimant les réticences d’Aiko. Cette jeune avocate têtue admettait enfin son amour pour Aoki, mais elle ne pourrait que constater qu’elle avait un train de retard. La Aoki qu’elle avait désormais face à elle était une Aoki accomplie, une Aoki aimante qui assumait librement ses penchants. Aiko se devait de le reconnaître, et baissa la tête tandis que les deux femmes s’embrassaient devant elle. La main de Félicia caressa les cheveux d’Aiko, et, quand le baiser se rompit, la Chatte Noire alla s’asseoir sur le rebord du lit, écartant ses jambes pour qu’Aiko se trouve entre elles.

« Je sais ce que tu ressens, Aiko-chan… J’ai connu l’horreur des triangles amoureux, la jalousie de savoir que la personne qu’on aime est désirée par quelqu’un d’autre, et qu’elle ne nous retourne pas ce sentiment. Aoki et moi, nous nous aimons sincèrement, et nous comptons nous marier. Cela ne signifie pas que tu n’auras pas une place à nos côtés, mais tu n’auras jamais l’amour d’Aoki. »

Aiko resta silencieuse en la regardant, puis regarda encore Aoki.

« C’est vraiment ça, la vie que tu t’es choisie ? Et les personnes qui viennent ici, alors ? Ce qu’on dit sur vos relations avec vos élèves…
-  Elles sont fondées, mais nous ne forçons personne. Comme tu lez sais, au Japon, la majorité sexuelle est à l’âge de 13 ans. Dès lors, sauf à démontrer un rapport de force non consenti, nos séances avec les adolescentes ou les adolescents sont totalement légales.
-  Vraiment ? »

Félicia sourit doucement.

« Tu pourrais être notre majordome, ici… Je trouve ça très amusant. Imaginer une fière et teigneuse avocate dehors, qui tient tête aux malfrats… Et qui est en réalité secrètement notre soumise, une majordome que nous baiserons régulièrement. Qui sait ? Aoki et moi formons un couple très moderne, tu pourrais au moins dormir avec elle, et partager son intimité… »

Aiko fronça les sourcils, semblant désapprouver de prime abord cette idée… Mais sans la rejeter complètement.

« Et toi, ma chérie ? Que penses-tu de cette belle femme comme majordome ? Cela t’inspire ? »

C'était étrange ? Pas pour Aoki, elle, elle ne voyait que la vie dont elle était pleinement satisfaite ! Certes, petite fille, elle n'aurait jamais pensé être une sorte de chienne en chaleur, esclave d'une femme, en plus, ce n'était pas le genre de choses qui faisait rêver les petites filles, mais maintenant adultes, après quelques mésaventures amoureuses, c'est ainsi qu'elle se confortait. Au début, ce n'était qu'une histoire de sexe, mais petit à petit, l'attraction était plus forte que le reste et passer son temps près de Félicia, c'est ce dont elle avait envie. Elle se souvenait de sa demande en mariage à Novac, une agréable journée de sexe et de débauche sur une plage privée ou abandonnée, de l'amour et du sexe, et une fois de retour à l’hôtel, du sexe, mais aussi de l'amour. Ce n'était pas la vie rêvée de quand elle prenait deux minutes pour imaginer son futur, mais au moins, elle était heureuse. Elle n'avait pas besoin de se faire du souci, même si cette vie réservait quelques surprises, l'épisode de Mister Scratch, surtout, mais si c'était le prix à payer pour vivre heureuse auprès d'elle, alors soit ! Et puis ce dernier ce pouvait plus rien pour elles désormais, cet épisode, c'était du passé.

La Black Cat expliqua les choses de façon claire, sans être brutal, pour ce qui était de l'amour, oui, mieux vaut ne pas lui donner de faux espoirs. Personne ne saurait égaler sa Félicia et pourtant, Aoki en avait côtoyer des beautés, mais non, aucune femme ne lui faisait ressentir un tel plaisir. Mais comme elle le disait si bien, elles étaient libres alors, tout en restant toujours consentant, Aiko pouvait aussi participer, comme ce soir. Elle, elle ne voyait aucun inconvénient à ce tableau, elle aimait sa belle Américaine et si pour elle, le plaisir venait en voyant Aoki servir de défouloir sexuel pour d'autres personnes, alors elle devenait un objet, avec plaisir ! Par chance, surtout des femmes, même dans la domination, elles étaient plus douces puis Aoki ne voulait pas risquer de tomber enceinte de quelqu'un d'autres. Ce sujet était sensible, Aoki ne l'abordait pas comme ça étant donné que Felicia avait déjà deux enfants. Elle préférait laisser le mariage se faire, que tout se passe pour le mieux et doucement, tâtonner le terrain. Il n'y avait pas urgence après tout. L'idée donc de voir Aiko plus souvent près d'elles, en majordome ? Oh, elle n'avait rien contre cette idée.

Abordant toujours ce sourire des plus sincère contre Felicia, elle n'oubliait pas de caresser Aiko par la même occasion aussi. Elle comptait aussi, surtout si elle risque de se faire plus présente à l'avenir.

« J'aime cette idée. Elle sera parfaite pour nous accompagner... pour nous servir... Et parfois, tu auras bien besoin d'un peu d'aide ? Je pourrais autant aider Aiko pour servir ma maîtresse d'amour... qu'elle pourra t'épauler quand j'aurais mes chaleurs, huuuum~ »

Aoki avait ses limites, mais elles étaient quand même un peu plus loin que le commun des mortels. Quand Aoki avait ses chaleurs, comme elle le disait, ça voulait dire d’intense séance de sexe, d'amour, de douleur, mais aussi de soumission. Rex était toujours chez elles pour une raison, elle aimait se faire grimper dessus et se faire prendre comme une chienne sous les yeux de sa maîtresse. Elle aimait voir l'amour dans son regard, le plaisir coupable de sa maîtresse d'aimer ce spectacle, son plaisir de n'être qu'une chienne. Aiko ignorait encore beaucoup de choses sur Aoki, mais elle apprendra et elle aussi, elle aimera ça. À la façon de Felicia ou d'Aoki, tout restait encore à deviner, mais Rome ne s'était pas fait en un jour, mieux vaut ne pas la bousculer.

« Nous avons toujours besoin d'aide quand nous sommes au lit, même si oui, parfois, comme tout le monde, on aime juste être deux. »

Aoki et Félicia s’amusaient avec Aiko, comme des chats (ou des chattes) jouant avec leur proie. Elles avaient kidnappé et forcé celle-ci, mais les prédictions de Félicia s’étaient finalement avérées fondées. Il y avait chez cette brillante avocate un comportement ambivalent, celui d’une jeune femme qui aurait pu avoir une carrière brillante dans de grands et prestigieux cabinets d’avocats de la capitale, mais qui avait choisi de venir jusqu’ici, de suivre Aoki. Tout n’avait été qu’un prétexte pour qu’elle se rapproche d’Aoki, jusqu’à ces menaces d’actions en justice. Félicia avait percé dans le jeu d’Aiko, sans doute parce qu’il lui rappelait le sien, l’époque où elle commettait des rapts osés dans le seul but de voir Spider-Man la traquer, et pouvoir ensuite jouer avec lui… Intimement parlant. La proposition d’en faire leur majordome sembla amuser Aoki, qui rejoignait l’avis de Félicia. Aiko rougit doucement en les observant toutes les deux. Son masque allait-il revenir ? Elle semblait hésiter, au bord du point de rupture… Et souffla alors.

« Vous… Vous êtes folles toutes les deux, j’espère que vous le savez, ça… »

Un léger sourire orna les lèvres de Félicia, qui l’embrassa encore.

« Et si tu essayais ton uniforme, hein ? Je suis sûre qu’Aoki te trouvera adorable dedans !
-  Je n’ai pas donné mon accord pour participer à votre délire, vous m’avez kidnappé ! »

Félicia hocha la tête.

« C’est vrai… Mais je crois qu’il le fallait, ma chérie. Il fallait cela pour que tu admettes la réalité des choses. »

Elle la regarda encore, doucement, et caressa son visage avec l’un de ses doigts griffus, tapotant le nez d’Aiko.

« Tu es amoureuse d’Aoki. »

Aiko rougit furieusement, et secoua la tête.

« Je… C’est n’importe quoi !
-  Oh, vraiment ? s’amusa Félicia.
-  Oui, vraiment !
-  Alors, pourquoi est-ce que l’une des élèves les plus brillantes de la Todai serait venue ici ? Pourquoi ouvrir ton propre cabinet alors que tu pouvais rejoindre de prestigieux cabinets tokyoïtes… Et pourquoi te focaliser sur Aoki comme ça dans le cadre de ton métier ?
-  Parce que des clients me l’ont demandé !
-  Des clients que tu as toi-même cherché en écrivant des articles sur des blogs commentant les mœurs du lycée Jinmu… Ou en te rapprochant d’associations de parents d’élèves mécontents de la réputation de ce lycée. Tout ce que tu as fait n’a que pour but de te rapprocher d’Aoki… Et tu n’auras aucune autre occasion que ce soir. »

L’intéressée déglutit lentement.

« Si tu refuses d’admettre ce que tu ressens pour Aoki ce soir, tu ne la reverras plus jamais. »

Aiko rougit à nouveau, et se mordilla les lèvres, sans savoir quoi répondre.

« Ou alors, on continue à jouer, et je t’aide à enfiler ta tenue pour la montrer à Aoki… »

L’avocate grogna encore, sifflant sur place, mais accepta. Félicia sourit donc, et embrassa Aoki sur les lèvres, lui intimant de rester ici. Elle attrapa Aiko par la main, et rejoignit la penderie à côté, l’aidant à se changer. Félicia avait pensé à tout, et, quand les deux femmes reviendraient, Aoki aurait droit à une magnifique vision en découvrant la tenue de maid d’Aiko !

Doux comme un chaton, Aoki misait pourtant sa carrière, mais elle avait une si grande confiance envers Félicia, qu'elle savait que son plan finirait par portée ses fruits. Face à elle, Aiko était toujours aussi hésitante et insistante sur le fait qu'elle faisait son job, rien de plus. Sans avoir rencontré Felicia, qui sait ce que ça aurait pu donner entre elles, mais on ne choisit pas son avenir, c'est ainsi, elle a croisé la route de Felicia, entamant une simple liaison purement sexuelle, mais après avoir tant traversé ensemble et partager de telles choses qu'à présent, Aoki fantasmait sur bien des situations ensemble, dans un avenir plus ou moins proche. L'idée de se marier, de fonder une famille même si cette option était plus épineuse, elle savait Félicia déjà maman, elle ne voulait pas lui rappeler de mauvais souvenirs ou autres donc... Elle devait tâter doucement le terrain. Devenir sa femme sera déjà un bon début pour elle, inutile d'aller trop vite non plus. La Black Cat la repoussait doucement dans ses retranchements, jusqu'à enfin obtenir d'elle des aveux muets concernant ce sujet. C'était pourtant limpide comme de l'eau de roche, mais ses grimaces rendaient le tout très clair à lire.

Cette dernière allait changer de tenue, Felicia avait déjà quelque chose pour elle, Aoki devait donc attendre bien gentiment sur le lit, chose qu'elle faisait purement et simplement. La belle demoiselle les laissait se préparer et à leur retour, en effet, Aiko était très belle dans sa nouvelle tenue ! Une domestique très latex, un choix qui n'étonnait guère Aoki, elle connaissait les goûts de sa chérie.

« Mmmmh, Aiko-chan est très belle comme ça... mais maintenant qu'elle s'est changé avec toi... C'est toujours à moi de lui faire l'amour ou bien, c'est elle qui va prendre soin de moi ? »

Dans les deux cas, elle était heureuse, car Felicia en sera aussi de la partie. Toutes les deux à baiser leur nouvelle majordome, ou bien Aoki qui se fait prendre par la nouvelle, oh oui, deux scénarios qui feront son bonheur en toute circonstance ! Déjà Aoki se rapprochait d'elle, baladant ses doigts le long de ses courbes crissantes, elle était belle, mignonne et sexy à la fois. Aoki était telle une chienne, une chienne impatiente de jouer avec ce nouveau jouet ! Qu'importent ses envies, au final, c'était leur maîtresse Felicia qui aura le dernier mot.

Aiko n’osait pas encore l’avouer, mais Félicia avait visé juste. Et, tandis que Félicia l’avait changé, elle s’était aussi confiée à elle.

« Je sais ce que tu ressens, Aiko-chan, car je l’ai ressenti, moi aussi… Avant de connaître Aoki-chan, j’aimais un homme qui m’a aimé aussi, avant de me rejeter. Alors, pour susciter son attention, je le provoquais, je le titillais, pour qu’il me coure après. Il n’y avait aucune raison logique à ça, c’était juste pour qu’il me retrouve, et qu’on soit ensemble. Tu as le droit de nier, ma belle, je l’ai fait pendant des années. »

Elle termina par le collier avec le nœud papillon, et retourna Aiko pour la voir, et l’embrassa. Les deux femmes revinrent ensuite dans la chambre, et Aoki se rapprocha, venant la caresser, admirant cette tenue. Aiko rougit doucement en la sentant si proche d’elle, et baissa la tête avant de la relever, crispant et décrispant les poings. Les mains de Félicia se posèrent sur les épaules d’Aiko, et elle l’embrassa dans le creux du cou, caressant ensuite ses hanches.

« C’est notre maid, on prend soin d’elle…
-  Je ne t’appartiens pas !
-  Vraiment ? »

Félicia l’embrassa encore, ronronnant doucement contre elle, tandis qu’Aoki se rapprochait à son tour.

« Tu es prisonnière de tes sentiments, Aiko-chan… Tu appartiens à ma Aoki, alors il est normal que tu deviennes sa maid… »

L’intéressée rougit encore, et tenta de secouer la tête, mais il y avait de moins en moins de conviction en elle. Félicia continuait à la palper.

« Quand nous aurons fini, tu mettras fin à ton mandat avec cette association… Puis tu seras l’avocate d’Aoki et de son agence, et notre maid… Aoki-chan ne pourra jamais être ta femme, mais elle peut être ta Maîtresse… Au fond de toi, n’est-ce pas ce que tu veux ?
-  Mais je… Je ne peux pas…
-  Si c’est ta Maîtresse qui l’ordonne, tu pourras le faire, et tu devras le faire ! N’est-ce pas, ma Aoki-chan ? »

En compagnie d'Aoki et Felicia, Aiko devait faire tomber le masque qu'elle portait, la soirée lui sera bien plus agréable quand elle l'aura fait et compris. Pour le moment, elle se voilait la face, mais Black Cat avait très bien vue la vérité puisqu'elle avait vécu une chose similaire par le passé. Elle tentait de l'aider, pas juste de la manipuler pour qu'elle abandonner les poursuites, mais voilà, elle devait la jouer finement après tout. Aoki avait confiance en sa chérie, elle allait réussir ce plan, nul doute de son côté, même si la situation était quand même sérieuse, c'est pour ça qu'elle semblait si détendue et détachée de ce souci, sa voleuse allait gérer cette crise, même si elle avait aussi son rôle à jouer dans ce petit tour. L'avocate refusait encore d'admettre la vérité alors que pourtant, ça serait libérateur pour elle, mais doucement, Felicia avançait ses pions et elle n'aurait d'autres choix que d'accepter. Face à ce petit doute, c'était à elle de jouer, son corps crissant contre le sien alors qu'elle, son visage se retrouvant face au sien, la chienne devant non pas dépasser la maîtresse, mais montrer qu'elle serait la chienne dominante à la maison !

« Si tu le fais, Aiko-chan, je te baiserais... longuement... je te remplirais jusqu'à ce que ton utérus déborde de foutre... Que ta petite chatte soit pleine de crème... Je te proposerais bien d'inverser les rôles, mais je suis sûre que tu préférais que ce soit ma bite qui soit entre tes cuisses ?~ »

Et puis Felicia pourra apprécier un tel show. Aoki n'était pas la plus douée pour dominer sa chérie, mais sur les autres, il n'y avait pas trop de soucis, même si dans leurs partenaires récurrentes, Pamela ne se laissait pas faire, et Harley, ça dépendait, c'était du cinquante ci,nquante, selon les jours, les humeurs mais soyons franc, c'était bien plus Aoki qui était soumise, en tout cas, quand il s'agissait d'héroïnes à leurs côtés. Elle passa ses mains autour d'elle, pressant ses hanches pour la serrer contre son corps, son visage si près du sien. Elle captivait son regard.

« Alors, tu écouteras Maîtresse si tu veux être récompensée, Aiko-chan. Maîtresse sait toujours bien me récompenser quand je fais du bon travail, il en sera de même pour toi. »

Elle n'avait qu'à croquer cet appât et tout iras pour le mieux ensuite.

Dans la tête de l’avocate, tout devait un peu se bousculer. Félicia ne s’était encore jamais risquée à un pari aussi fou, mais elle était joueuse, après tout. Elle avait souvent risqué bien des choses, et, après tout, Aiko-chan n’était pas aussi intimidante que Wilson Fisk. Elle laissa donc Aoki prendre le relais, et s’assit sur un fauteuil. Un chat bondit alors sur ses genoux, et elle le caressa doucement. Brièvement, elle se visualisa comme étant une variante féminine et foutrement sexy d’Ernst Blofeld, le chef de l’organisation criminelle SPECTRE, le grand ennemi de James Bond. Il apparaissait dans les vieux films de James Bond avec son chat sur ses genoux. Elle observa doucement le cul de sa Aoki adorée, un spectacle toujours agréable, tandis qu’elle s’était rapprochée de leur maid. Aiko posa ses mains sur les hanches d’Aoki, mais sans chercher à la repousser. Elle semblait confuse, comme si elle analysait la situation, cherchant à comprendre ce qu’elle pouvait faire.

« Aoki, je… Je ne sais pas ce qui m’arrive... »

Félicia sourit doucement en croisant les jambes.

« Je crois que tu le sais parfaitement, Aiko-chan… »

La Chatte Noire se releva, et se glissa dans le dos d’Aiko. Elle posa ses deux mains sur ses épaules, et murmura contre son oreille.

« Au fond de toi, tu l’as toujours su, et cela a toujours déterminé tes choix. Pourquoi ne pas avoir fait carrière à Tokyo ? Pourquoi suivre Aoki ici ? Pourquoi te consacrer à elle ? Tu as été élevée comme une bonne petite Japonaise, on t’a inculqué quez tu devrais épouser un homme, faire des enfants, mettre ta carrière entre parenthèses… Mais personne n’a à décider pour toi. Ton cœur a déjà décidé. Alors, regarde Aoki-chan, et dis-lui… Cesse de te mentir… »

Aiko releva la tête, et soupira doucement, en croisant le regard d’Aoki.

« Aiko-chan, je… Je… »

Elle l’embrassa alors, et remonta sa main, serrant les cheveux d’Aoki. Le baiser dura quelques secondes, mais Aiko le prolongea ensuite, se pressant contre le corps d’Aoki. Elle le fit durer pendant une bonne dizaine de secondes, et, quand leurs lèvres se rompirent, Aiko avait les joues toutes rouges.

« Je… Je t’aime, Aoki… Je t’aime ! »

Aiko venait de l’admettre, et elle l’embrassa encore, l’enlaçant fortement autour du cou.

Dans la luxure, Aoki se complaisait. Leur histoire d'amour a débuté sur ça, une simple histoire de sexe, pensé à l'orgasme, pas à l'amour, mais à force, l'amour s'était glissé entre elles et le ciment avait pris. Désormais, elle ne voyait pas sa vie sans elle, prête à toutes les folies. Elle voulait bien accueillir ses enfants, mais elle savait la situation compliqué donc elle n'insistait pas déçu, elle évoquait pour ainsi dire jamais le sujet. Déjà, le sujet du mariage était parfois évoqué, cela lui suffisait à faire son bonheur. Plus, bien sûr qu'elle aimerait, mais juste être mariée à cette femme, elle pourrait mourir l'esprit en paix. Donc, pour Aiko, elle ne pouvait accepter un amour similaire. Jamais elle ne pourrait lui donner une telle chose, mais si pour Aiko, vivre près d'Aoki et pouvoir coucher avec lui suffisait, elle serait ravie de lui faire une petite place en plus dans leur lit. Sur ça, Felicia sera sûrement ravie d'en faire autant. Doucement, mais sûrement, Aiko finissait par ne plus se voiler la face, avouant ses sentiments tout en embrassant Aoki, qui en fit autant. Mais elle allait devoir être franche à son tour pour ne pas créer de faux espoir.

« Mmmmmmh~ »

Après ce délicieux baiser, meilleur encore sous le regard de sa belle Felicia, Aoki observa son amie, lui souriant en lui caressant les joues.

« Je t'aime aussi, Aiko-chan... Mais je ne peux pas t'aimer autant que j'aime ma Felicia... Mais... Si pour toi, vivre auprès de moi, jouer avec mon corps et servir Felicia te suffit à te rendre heureuse, alors je le serais tout autant à faire ton bonheur. »

Il faut savoir voir plus loin, là, elle ne résumait qu'un quotidien banal, mais vivre auprès d'une telle femme, elle savait combien ça pouvait être si spécial et merveilleux ! Mais elle ne voulait pas lui gâcher la surprise, elle le verra bien assez vite, combien il est bon de la servir puis, il ne faut pas oublier une chose, Felicia ne sera pas toujours là. Parfois, elle aura Aoki pour elle seule et elle ignorait encore à quel point son amie était une sacrée perverse comparé à ses années de fac où elle était très chaste et sérieuse, mais ça, elle le voyait déjà bien. Aoki était une bonne soumise face à Félicia, mais elle se defendait bien en maitresse.

« Maîtresse pourra nous baiser toutes les deux... on pourra ta baiser toutes les deux, mais aussi... vous pourrez me baiser toutes les deux?~ »

Après, Aiko était nouvelle et avait plus le statut de domestique que d'égale, mais dans le sexe, les rôles peuvent très vite changer.

Aiko était battue. Elle avait fini par se coucher, et par admettre la réalité de ses sentiments, et leur étendue vis-à-vis d’Aoki. Félicia devait quand même s’avouer être rassurée… Ce projet risqué avait finalement abouti. Ensemble, Aoki et Félicia avaient fait craquer Aiko, elles l’avaient amené à admettre ce qu’elle ressentait vis-à-vis d’Aoki. L’intéressée signala à Aiko que leur relation ne pourrait jamais toutefois supplanter celle qu’elle avait avec Félicia. Aiko la regarda en rougissant, tandis qu’Aoki lui avait posé ses conditions. Elle regarda alors Félicia, puis se mordilla les lèvres.

« Vous… Vous comptez vous marier ? »

Félicia ne dit rien pendant quelques instants. C’était un sujet encore assez sensible, celui de l’avenir de sa relation avec Aoki. La Chatte Noire se pinça les lèvres, et regarda le corps d’Aoki, puis sourit alors. En fait, elle n’avait aucun doute. Son regard se releva pour croiser celui d’Aiko, et elle lui répondit donc, sans ombrages :

« C’est mon intention, oui… Et je souhaite même l’enfanter. »

C’était là un rajout. Ce genre de choses, elles en avaient parlé, mais sans jamais le concrétiser vraiment, ou sans annonce gravée dans le marbre. Mais pourquoi hésiter ? Félicia était sûre de son fait, et Aiko rougit encore, visiblement partagée. Elle ne pouvait pas en vouloir à Aoki d’avoir choisi quelqu’un d’autre, et elle déglutit lentement, avant de croiser le regard d’Aoki.

« Je… Je ne sais pas si ce que je ressens pour toi peut se qualifier d’amour, au sens classique du terme… J’admire ta liberté, Aoki… Ta beauté aussi, mais… Je ne me vois pas être en couple, je tiens trop à mon indépendance… Et, pourtant, l’idée de me soumettre à toi… »

Des pensées et des envies contradictoires. Félicia pouvait tout à fait comprendre cela, c’était même tout à fait naturel. Aiko croisa encore le regard d’Aoki, et déglutit lentement.

« Je veux être votre amante, à toutes les deux… Votre esclave… Et ton témoin de mariage. Tu me dois bien ça, pour m’avoir kidnappé, et… Et violé ! »

Un viol qui était plus que consentant, à vrai dire !

Aoki avait agit sous les ordres de Felicia mais tout cela n'était pas fait pour s'amuser, pas immédiatement, c'était surtout pour sauver les fesses de la belle nippone que toute cette mise en scène avait été préparer. Elle ignorait si Felicia avait un plan de secours au cas où tout cela n'aurait pas fonctionné mais elles n'en avaient pas eu besoin en tous cas. Qu'elle l'accepte en ouvrant les yeux ou au pied du mur, Aiko aimait Aoki mais il ne pourrait jamais aller dans le même sens, c'était trop tard. Cependant, elles pouvaient se côtoyer et servir Black Cat, ce n'était pas interdit et c'était un des meilleurs cas de figure pour elles mais ça, l'avenir le leur dira quand elles serviront leur maîtresse avec amour. Elle accepta le rôle mais elle avait une condition... Celle d'être son témoin de mariage. Elle avait plus dans l'idée de voir Doutzen mais c'était compliqué sachant qu'elle avait son projet d'idole aussi à côté, finalement, la choisir serait le mieux pour ne pas faire de jalouse d'ici là ?

Posant sa main sur son épaule, elle lui offrait un joli sourire.

« Et tu le seras. Ce seras l'occasion de passer un peu plus de temps ensemble. »

Ce qui était vrai, même si Felicia pourrait participer à tout moment, quelques moments en tête à tête, c'est ce qu'il fallait sûrement à Aiko pour la rendre plus confiante aussi. L'occasion pour elle de se rapprocher et venir murmurer à son oreille.

« Et tu pourras me violer à ton tour pour te venger... ou je pourrais recommencer si tu préfères ? »

Elle n'était pas aveugle, si ça aurait été un véritable non, elle n'aurait pas laissé Felicia agir comme ça, son « non » était purement conventionnel, le mot viol est forcément associée à une chose mauvaise mais dans leur cas... c'était plus pour la forcer un peu à dire oui, avec un peu plus de temps et les bons mots, Aiko aurait dit oui, tout simplement. Mais dans la hâte... Si proche d'elle, elle passait le bon de son nez sur la lobe de son oreille en gloussant, puisque tout était parfait, elles pouvaient s'amuser sans complexe à présent, non ? Aoki était prête pour cette optique en tout cas.