The Multiversity

Bien sûr que Yanagi en voulait plus ! C'était une Uzaki ! Comme sa mère, comme sa sœur, elle allait suivre l'exemple et Mélinda sera fière d'elle, à juste titre. Mais pour le moment, elle devait faire en sorte que Mélinda lui offre ce somptueux cadeau. La vampire n'hésitait pas longtemps en acceptant, laissant d'abord les deux autres faire en sorte que la maîtresse retrouve la forme. Les mains des deux Uzaki venaient sur sa verge, la caresser et la rendre de nouveau grande et forte, en très peu de temps. Mélinda avait une superbe vue, sans compter ce qu'elle pouvait tâter dans ses mains. Mais ce n'était pas tout, il fallait préparer la suite aussi. Hana glissa le long de son corps, faisant face à cette verge qu'elle a de nombreuses fois eu sous le nez.

« J'ai hâte que vous m'utilisez aussi, Maîtresse. »

Peut-être pas maintenant, mais avant demain, c'était une certitude. Talentueuse comme sa mère, Hana gobait sa queue favorite, n'hésitant pas à la gober jusqu'à la base en flattant ses bourses. Mélinda pouvait voir la cadette s'impatienter et sa merveilleuse maman qui la caressant en léchant sa petite rondelle brune et délicieuse, glissant sur sa langue, lubrifiant son petit trou secret et étroit. Elle risquait de couiner, comme tout le monde, mais elle allait adorer son traitement, comme tout le monde.

La demoiselle gardait un œil par-dessus son épaule, bientôt, elle allait devenir comme sa mère et sa sœur, une amante de maîtresse. Ce n'était qu'une très courte question de temps, bientôt, très bientôt...

« J'espère que je serais à la hauteur de vos attentes, Maîtresse ?~ »

Pour elles, c’était un grand moment ! Le jour tant attendu où Yanagi-chan allait enfin perdre sa virginité… Toutes ses virginités. Mélinda était debout, face au lit, et baissa la tête vers Hana-chan, qui s’attaqua à son sexe. Elle stimula sa verge comme elle savait si bien le faire, arrachant à la vampire de langoureux soupirs. Celle-ci se mordilla les lèvres, crispa ses doigts, et posa sa main sur la tête de la belle Uzaki. Elle caressa doucement ses cheveux, et remua son bassin d’avant en arrière, sentant sa queue durcir rapidement. Sa verge gonfla et s’étira contre les lèvres de Hana-chan. Sur le lit, Yanagi-chan se tortillait tandis que Tsuki-chan, également agenouillée derrière elle, écartait ses fesses avec ses mains, et léchait sa porte arrière. Concentrée, Tsuki-chan préparait sa fille comme il le fallait, mais aussi Mélinda. C’était un secret de polichinelle au sein du harem que de savoir que la Maîtresse avait un fantasme sur les relations incestueuses. Mélinda tremblait donc doucement d’excitation, et sourit quand Yanagi-chan lui demanda si elle sera à la hauteur de ses attentes.

« Oh, c’est plutôt à moi de te le dire, Yanagi-chan, hmmm... C’est moi qui vais te pénétrer, après tout… »

Il ne fallut que quelques minutes à Mélinda pour que sa verge se raidisse. Elle remercia Hana-chan en l’embrassant sur les lèvres, puis rejoignit le lit. Sa queue tendue remuait doucement devant elle. Elle se positionna ensuite derrière Yanagi-chan, qui était toujours à quatre pattes au milieu du lit, et posa ses mains sur ses fesses. La vampire malaxa son postérieur, pressa ses fesses, et s’amusa dans un premier temps à frotter sa verge au milieu de son postérieur. Elle glissa contre sa croupe en se mordillant les lèvres.

« Cela va te faire mal, ma chérie, même avec la préparation de ta maman. Le plaisir va venir dans la foulée, mais, si tu as mal, il faut que tu cries. La douleur est là pour te désinhiber. Tu peux hurler fort, ou dire des jurons, cela t’aidera à faire passer la douleur. Tsuki-chan, mets-toi devant ta fille, et encourage-là. Tu peux l’embrasser, ou lui dire que tu es fière d’elle, et de ne pas hésiter à hurler. Hana-chan, filme-nous, je veux immortaliser cette scène… »

Comme ça, toute la famille allait contribuer ! Des sodomies, Yanagi-chan en avait déjà vu, car Mélinda prenait soin de former ses esclaves, mais, de là à passer à la pratique… Elle soupira encore, et attrapa sa verge, puis heurta la porte arrière de Yanagi-chan. Elle releva alors son autre main, et, tout en commençant à s’enfoncer, lança l’impulsion en donnant une grosse claque dessus.

« Un petit cul tout vierge, tout serré, hihi… Voilà un merveilleux cul de chienne, ma Yanagi-chan ♥ !! »