The Multiversity

Quel agréable surprise de découvrir Akisane revenir à quatre pattes de sa propre volonté dans leur chambre. Elle se prêtait au jeu ! Ce qui déclencha tout naturellement un nouveau sourire sur le visage de Lissandre.

A son tour, Lissandre s’assit sur le lit en tailleur à côté de sa jolie chatte. De ses mains, elle appuya sur le corps nu de sa colocataire pour qu’elle pivote et se retrouve face à face avec elle. Lissandre ne se priva pas pour observer de nouveau cette belle peau et cette opulente poitrine en face d’elle. Akisane était belle et avait le visage de l’innocence.

« Si je comprends bien, tu prends ton plaisir quand moi je suis contente ? C’est intéressant, ça. »

Lissandre fronça les sourcils et laissa échapper un « hum » de réflexion.

« Est-ce que ça veut dire que tu n’as pas de personnalité ? Ou est-ce que tu vraiment une personnalité qui trouve son plaisir chez les autres ? Oui, c’est intéressant. »

Puis un grand sourire illumina le visage de l’humaine engoncée dans une combinaison intégrale de latex rose.

« En tout cas, tu as dit que c’était un peu court. Donc j’en conclus que tu en redemandes ! Et ça c’est cool. »

Comment continuer tout en assurant une certaine discrétion pour jouer ? Akisane semblait apprécier l’expérience. Lissandre voulait pousser cette expérience d’exhibitionnisme sans mettre en danger sa jolie chatte. Alors : comment faire ? Puis ses yeux s’ouvrirent soudainement. Elle avait une idée !

L’expression du visage de Lissandre était celle d’une enfant qui a découvert un nouveau jouet.

« J’ai une idée. Mais tu risques de la trouver peut-être dangereuse. Mais écoute-moi s’il te plaît. J’aime bien notre petit jeu et j’ai l’impression que toi aussi. Donc j’ai envie de le continuer mais pas dans le couloir de l’auberge parce que c’est dangereux pour toi. Je te propose donc de le continuer dehors. Tu te rhabilles, on sort. On cherche un lieu où il y a un risque qu’il y ait des gens mais où il n’y en a pas trop pour qu’on puisse s’amuser toutes les deux ensembles. Tu es d’accord ? »

Lissandre avait vraiment le visage d’un enfant à Noel. Comment dire non à une bouille mignonne comme la sienne ?

Akisane regarda Lissandre prendre place à son tour sur le lit et se tourna donc vers elle. L’humaine s’emblait déterminer à continuer son petit jeu et prenait plaisir à la dominé dans tout ça. Lissandre ne semblait pas méchante et ressemblait plus à une enfant qui s’amuse qu’a esclavagiste. Puis elle aimait bien son sourire. Par contre le fait que l’humaine s’interroger sur son possible manque de personnalité, était intriguant, peut être que le manque de souvenir se faisait ressentir ? 

Pour la suite, l’humaine lui proposais donc de reprendre, mais non pas dans le couloir, mais plutôt dehors en cherchant un endroit plus facilement discret. Sortir ainsi dehors en pleine ville, deux femmes et de nuit ? Ce n’était pas dangereux ? Après elle était venue avec des hommes de mains, elle s’avait surement ce qu’elle faisait ?

-Si tu es sûr de toi, alors pourquoi pas. Mais il faut resté prudente, sortir dans une ville comme ça la nuit, c’est quand même pas sans danger.

Et là elle ne pensait pas qu’au fait d’être une hybride, mais si elle était consciente de ça et ne craignait rien, alors pour elle c’était bon. Elle se penchant pour attraper sa robe, il lui suffisait de l’enfilé et de la suivre pour partir dans un nouveau jeu.

« Génial ! »

Lissandre n’était absolument pas sure d’elle. Elle ne connaissait rien de ce monde et c’était d’ailleurs pour cette raison qu’elle était si bien escortée. La solution logique à cette sortie nocturne aurait donc été de se faire une nouvelle fois escortée. Mais où était le fun quand il n’y avait plus de risque ? Alors Lissandre prit la main d’Akisane, lui sourit comme une enfant sur le point de faire une bêtise, et l’emmena dehors en courant. Elles passèrent donc par la grande salle où les hommes de Lissandre lui lancèrent quelques questions et exclamations. Mais elle n’écouta rien, sortit dehors en tenant toujours fermement la main de la femme-chatte et continua encore à courir au hasard.

« Je crois qu’on est assez loin. »

(souffle souffle !)

« On va pouvoir reprendre nos petits jeux, hi hi ! »

(souffle souffle)

Lissandre était déjà dans le dos d’Akisane, les mains sur le bas de la robe. Elle remontait le vêtement pour redécouvrir la peau de la femme-chatte quand des bruits de sabots arrêtèrent son mouvement. Waouh !... Lissandre en avait la bouche ouverte et silencieuse. Sortant de derrière les arbres, un magnifique centaure se présentait face à deux demoiselles, l’une déshabillant l’autre.

Akisane avait remis sa robe, mais ne portait finalement rien dessous. Vue les petits jeux de Lissandre de toute façon, ce n’était certainement pas nécessaire. En tout cas enchanté par le fait qu’elle est accepté, Lissandre s’empressa de lui prendre la main et de l’entrainé en dehors de la chambre. Une fois en bas, les deux femmes passèrent rapidement devant les hommes de gardes de Lissandre. Au vue de leur réaction, Akisane commençait à douter que ce soit une bonne idée finalement. Lissandre ne laissa pas le temps de changer d’avis de toute façon, les voilà déjà dehors à courir pour s’éloigné de la taverne.

Quand enfin leur course fut terminé, Lissandre reprenais son souffle à première vue plus épuisé qu’elle. Mais elle ne prit pas longtemps pour se mettre dans le dos d’Akisane et relevant sa robe pour déjà la dénudé.  Alors qu’elle avait les bras relevés pour laisser faire l’humaine, un bruit se fait entendre de quelque chose qui approchait. Dans sa position, Akisane ne pouvais pas bien voir ce que c’était, elle dut donc attendre que Lissandre bouge un peu plus sa robe pour finalement voir. Une créature en partie cheval et en partie humain. Surement que dans leur course, elles c’étaient approché de la forêt pour qu’un centaure soit là, à moins qu’il soit un aventurier voyageur ? Dur à savoir en un simple coup d’œil. Ce dernier s’approcha alors d’elles, les observant avec curiosité.

-Lissandre, je sais pas si c’est une bonne idée ton jeu finalement…

Les deux fois à peine commencé qu’elles c’étaient faites remarqué. Qu’es qu’elles allaient faire maintenant ? Akisane était quand même bloqué par sa robe en partie retourné par l’humaine, elle ne savais même pas à quel point son corps était exposé à la créature…

Centaure : « Bonjour, mesdames. »

Lissandre finit de déshabiller rapidement Akisane. La voir nue face à un centaure fit courir la chair de poule sur ses bras. Elle avait tant hâte de découvrir ce qu’allait donner cette rencontre !

« Bonjour. Je m’appelle Lissandre et voici ma nouvelle amie Akisane. »

Le torse du centaure était sculpté de muscles. Son pelage était d’un noir profond, magnifique. La créature semblait de lignée royale. Et que dire de ses yeux bleus ?

Centaure : « Je me prénomme Doryidas. Avez-vous besoin d’une quelconque aide ? Vous devez savoir que ce n’est pas prudent pour deux femelles seules de se trouver ici à cette heure tardive. »

Le centaure avait des manières. De jolies formulations de phrases. Pourtant, Lissandre ne pouvait pas s’empêcher de penser aux chevaux de la Terre. Et plus particulièrement à leur verge titanesque.

« Akisane, on reprend ce qu’on avait commencé ? Tu te remets à quatre pattes par terre ? Sauf si ça te dérange d’être nue et dans une posture humiliante devant ce gentil monsieur ? »

Lissandre plutôt que de relâcher la robe, choisie plutôt de finir de lui retirer laissant alors Akisane nue devant cet inconnu. Le centaure se présenta en les avertissant du danger pour elles de se trouvé ici seule de nuit. Une chose que partageait Akisane, mais Lissandre semble-t-il. La preuve en étant à sa demande pas du tout cacher de continuer, jouant bien sur l’humiliation de la situation pour elle. C’est vrai que l’humaine semblait prendre du plaisir à la soumettre et s’amusé, mais là ce n’était pas aller un peu loin ? Après tout elle lui avait avoué avoir envie de lui passer un collier.  Elle serrais pas surprise qu’elle serrais intéressé de la prendre comme esclave…

Enfin pour le moment tout ça n’était qu’un jeu qui allait un peu loin…Lissandre s’amusait et ça sa lui faisait plaisir, puis l’humiliation d’être nue était déjà là… alors autant lui faire plaisir pour l’instant et avisé plus tard si ça deviens dangereux.

-Je ne sais pas si c’est une bonne idée, mais pour te faire plaisir…

Akisane se mit donc à quatre patte à côté de l’humaine, n’importe qui pourrais voir là son signe de soumission à sa maitresse. C’était un peu le cas, mais c’était pour le jeu. Pour lui faire plaisir, même si elle sentait quand même de l’excitation dans son Corp. Comment tout ça allait finir ? Que pensait que centaure de ce qu’il voyait ? En la voyant accepté ça, jusqu’où Lissandre allait pousser la chose ? Dur à dire, mais Akisane en ressentait étrangement de l’excitation et de la curiosité.

Akisane s’était mise à quatre pattes ! Lissandre n’en croyait pas ses yeux. La vision était surréaliste pour une habitante de la Terre. Il y avait un magnifique centaure au pelage noir et aux yeux bleus ET une femme hybridée chatte totalement nue, sa peau blanche reflétant sa soumission. C’était incroyable !

« Tu es magnifique ainsi, Akisane. Je vais devoir t’abandonner quelques instants, le temps d’échanger quelques mots avec messire le centaure. Tu es un amour, ma petite chatte à moi. »

Patiemment, le centaure du nom de Doryidas attendait. Les bras croisés, et musclés, il baissa ses yeux royaux dans ceux de Lissandre. Il n’avait même pas de regard déplacé à reluquer le corps moulé dans le latex rose de l’humaine.

*Je suis totalement sous son charme ! *

« Nous pourrions avoir besoin de votre aide, oui, monsieur Doryidas. La nature exacte n’est pas encore tout à fait définie. Cela va également dépendre de vous et de ce que vous souhaitez faire par cette belle soirée. »

Doryidas le centaure : « Tu sais déjà ce que tu désires, jeune femme. Tu devrais parler sans détour. Je ne serai pas offensé comme les gens de ton espèce le serait par des mots. »

« Très bien. Je me demandais si le corps de mon amie vous ferait envie ? »

Doryidas le centaure : « Ton amie est-elle consentante ? Est-elle ton esclave ? »

Lissandre se retourna vers Akisane. Elle avait un sourire malicieux accrochée au visage. Des yeux qui luisaient d’excitation et de curiosité.

« Akisane chérie, réponds au question de messire le centaure je te prie. »

Voilà Akisane nue et a quatre patte dans l’herbe, au côté de Lissandre, mais qu’es qu’elle faisait ? Evidement l’humaine était ravie de la voir se soumettre ainsi à sa demande. Elle-même n’en revenais pas de ce qu’elle était en train de faire. Lissandre toute contente, lui demanda d’attendre et s’approcha du centaure commençant à parler avec lui sans géne, lui demandant si le corps de la néko lui faisait envie. Lissandre espérait donc les voir coucher ensemble ? Alors que cette idée aurait dû lui faire peur, étrangement au contraire ça semblait l’excité encore plus.

Tout naturellement à la voir ainsi, l’homme demanda si Akisane était l’esclave de Lissandre, surement qu’elle adorait ça, mais non.

-Non je ne suis pas son esclave, juste sa soumise d’un soir…

Oui tout ça n’était qu’un jeu d’un soir, même si le charme l’amusement de Lissandre l’avait déjà entrainé bien plus loin qu’elle ne l’aurais crus et surement voulu à la base. La preuve la voilà déjà qu’elle se qualifiait elle-même comme sa soumise.

-Oui je suis consentante, ce soir je joue le jeu pour lui faire plaisir.

Et par ce qu’elle était aussi étrangement excité par la situation, es que c’était une forme de mémoire qui le revenait ? Es que se soumettre ainsi était naturel pour elle ? Es qu’elle était une esclave qui avait perdu la mémoire ? Qui sais peut-être que cette expérience allait l’aidé à retrouver des souvenirs.

Lissandre était au moins aussi excitée qu’Akisane par la situation. Elle avait adoré quand la Neko avait dit qu’elle était sa soumise à elle. Son cœur avait accéléré l’espace d’un instant. Elle s’en était mordue la lèvre à l’idée de ce qu’il allait advenir.

« Vous avez entendu sa réponse. Elle est consentante. Elle fera tout ce que je désire pour me faire plaisir. N’est-ce pas une bonne nouvelle pour nous deux en cette belle soirée, monsieur Doryidas ? »

Le centaure s’approcha lentement de la Neko à quatre pattes. C’était dingue à quel point son allure lui donnait l’air d’un Prince. Lissandre était complètement sous son charme. Impossible de résister au magnétisme du centaure. Elle allait créer le climax de cette rencontrer avec Akisane ici.

Doryidas le centaure : « Je me permets. N’hésitez pas à m’arrêter si cette situation ne vous convient plus. Ou bien si ce qui va suivre vous provoque trop de peur ou de douleur, mesdames. »

Il y avait désormais une présence au-dessus d’Akisane. Le centaure était venu se positionner au-dessus d’elle. Le tableau était magnifique pour Lissandre. Ce corps musclé et noir sur la frêle Neko à la peau si blanche et pure.

Le sexe du centaure n’était pas encore en érection mais la situation l’avait déjà fait s’allonger. Il reposait désormais sur le dos de la Neko et… c’était incroyable ! Allait-elle pouvoir l’encaisser ? L’accueillir dans son intimité ? Lissandre avait envie de tout interrompre à cause des proportions mais… tout son corps tremblait de désir !

Doryidas le centaure : « Je tenais à vous donner une introduction de ce que la nature m’a donné. Je ne voudrais pas qu’il y ait mésentente ou surprise. Donc, que désirez-vous, mesdames ? »

« Je rêverais que vous la pénétriez, monsieur Doryidas ! »

La voix était sortie trop vite, trop excitée. Lissandre s’en voulait un peu mais à quoi bon ? Akisane était consentante et elle restait une réalisatrice de films porno dans son monde de naissance.

« Cette situation m’excite bien plus que je ne l’avais imaginé. Excusez-moi tous les deux. Bon, ma jolie soumise, dernier moment avant le point de non-retour. Donne l’autorisation à monsieur Doryidas d’entrer en toi, s’il te plaît. »

Akisane ne bougea pas laissant l’imposant centaure approché finalement d’elle et se positionné au-dessus d’elle. Il semblait évident qu’il ne faisait pas le poids face à lui, mais étrangement aucune peur ne se faisait sentir, l’excitation était toujours là. Lyssandre semblait attendre que ça qu’elle se face prendre par cette homme. Akisane sentie alors un poids sur son dos, le sexe du centaure ? Ce dernier voulait les avertir de la taille de ce dernier comparé à elle. Lyssandre lui demanda de confirmer son accord, voulait clairement la voir prendre se sexe en elle.

-Vous pouvez y aller.

Mais pourquoi elle acceptait tout ça ? Pourquoi elle n’avait pas peur, pourquoi elle était persuadée que tout allait bien se passer ? Finalement le centaure se positionna et elle senti l’énorme sexe contre son intimité, puis finalement forcé son entré pour se glissé en elle. Surprenaient elle senti aucune douleur, mais que du plaisir, mais encore plus surprenant il rentra en elle sans problème. Son ventre était déformé par la taille, mais il avait glissé en elle comme dans du beur et ne faisait mal ni l’un ni à l’autre.

-Hum, je ne peux plus bouger…

La taille du sexe en elle la tenait entièrement emboité dessus et limité ses mouvements, elle était donc à la merci du centaure et de maitresse du soir.

Les mains tapèrent l’une dans l’autre. Lissandre applaudissait. Elle était tellement heureuse d’assister à pareille spectacle !

« Oh ! Tu es magnifique, ma petite chatte. J’adore ! »

C’était surprenant de constater que le titanesque centaure avait réussi à prendre la fluette neko. Mais le résultat était incontestable. Le sexe de cheval allait et revenait entre les lèvres de la chatte. Ca excitait follement Lissandre !

Elle s’agenouilla sur le flanc d’Akisane. Elle mourait d’envie de tester quelque chose. Ses doigts glissèrent sur le ventre distendu. Et elle ne put réprimer un petit rire.

« Désolé. C’est si- C’est, waouh ! On sent sa verge ! Hi hi ! »

Doryidas le centaure : « Excusez-moi, mesdames. Mais j’ai à vous prévenir de quelque chose. Certes, le con de madame est étonnant et j’ai pu y rentrer avec tant de facilités. Mais il faut que vous sachiez qu’il reste tout de même étroit. Il est tellement serré sur mon vit que je ne vais pas avoir d’autre choix que de jouir. »

Lissandre l’arrêta avant qu’il ne parle, probablement, de se retirer d’Akisane.

« Restez au-dedans, monsieur Doryidas ! S’il vous plaît. »

Lissandre se déplaça pour se trouver face au visage d’Akisane. L’expression de l’humaine en latex rose était indéniablement… perverse.

« J’aimerais qu’il éjacule en toi. J’ai trop trop envie de voir quelle quantité de sperme va couler de ta jolie petite chatte. Dis au monsieur le centaure que tu acceptes, s’il te plaît ! Et je te promets, je te promets que je vais tout nettoyer de ma langue. Je serai aussi efficace que les chats de mon monde. Animaux connus pour leur propreté. Alors s’il te plaît, s’il te plaît, dis-lui qu’il peut jouir en toi. »

Doryidas le centaure : « Il va falloir me donner une réponse rapidement, mesdames. Voyez-vous, je sens une veine gonfler et pulser sur mon vit. C’est le signe incontestable que je vais jouir ! »

Akisane était boqué à quatre patte emboité sur le sexe du centaure, bien que son corps soit déformé par la taille, elle n’avait pas mal, mais elle restait bloquée sans pouvoir se libéré seule. Le plaisir lui brouillait un peu l’esprit, alors qu’elle sentait les mains de Lissandre lui caressé le ventre où ressortais par la déformation, le sexe du centaure. Il était évident que l’Humaine se régalé du moment, la voir comme ça l’excitait profondément. Rapidement après quelque mouvement en elle qui la fit gémir de plaisir, l’homme prévenue qu’il était déjà proche de la jouissance. Se n’était pas si surprenant, même si son corps recevait parfaitement son sexe, il n’était pas fait pour prendre des petites choses comme elle.  Lissandre interviens rapidement pour exprimer son envie de le voir jouir en elle, allant jusqu’à promettre de la nettoyer ensuite avec sa langue.

-D’a…d’accord, vous pouvez…hum Monsieur…

Le plaisir était si bon, elle n’arrivait plus trop à réfléchir, puis Lissandre était sa maitresse pour l’instant, alors pourquoi lui refusé ? Puis sans trop savoir pourquoi, dans sa tête elle ne souhaitait que ça, qu’il se vide en elle, comme si c’était pour ça qu’elle était ici en se moment même.

-Hum oui lâcher vous…

Elle n’avait aucune peur de comment allait réagir son corps, vue comme il tenait déjà.

Dès qu’il eut la confirmation, Doryidas le centaure se lâcha. Il relâcha la tension et son sperme remplit rapidement et chaleureusement la petite Akisane. Lissandre était toute folle ! Sa main était sur le ventre de la Neko quand le centaure avait éjaculé. Elle avait senti le sperme remplir son Akisane !

« Génial ! J’adore ! Vous êtes vraiment extraordinaires tous les deux. Merci beaucoup pour cette délicieuse soirée. »

La verge massive du centaure se retira du petit corps de la Neko. La chatte d’Akisane était béante. Et très vite, ce fut la cascade.

« A mon tour d’entrer en scène. J’ai une promesse à tenir. »

A quatre pattes derrière Akisane, les mains se posèrent de chaque côté des jambes. Sa langue s’en alla laper la semence du centaure. Elle était dans l’intimité d’Akisane. Chaque léchouille était donc le prolongement de l’acte sexuel qu’elle venait de subir. De nouveaux frissons de plaisir supplémentaires.

Doryidas le centaure : « Excusez-moi de vous interrompre, mesdames. Mais il se trouve que je prendrais plaisir à vos services. Voyez-vous, j’ai ma fierté, et elle me serait douloureuse si je devais retourner m’engouffrer dans la forêt la goutte de sperme au bout de ma verge. »

« Mais bien sur ! Allez donc vous positionner de l’autre côté. Si Akisane le veut, elle vous nettoiera. Sinon, je vous demanderai d’attendre que j’ai fini de me régaler à la source de ma délicieuse Neko. »

Akisane senti alors le sexe du centaure éjaculé en elle, le liquide la remplir, si bien qu’elle-même viens à en jouir aussi, dans un gémissement plus fort que les autres. Sa avez été rapide, mais terriblement agréable.  Elle senti le centaure se retiré, lui redonnant un peu plus de liberté, alors qu’elle sentait le liquide s’échappé alors de son intimité. Rapidement Lissandre, viens tenir sa promesse, se plaçant derrière elle, à son tour à quatre patte, puis viens alors lécher son sexe pour récupérer le sperme du centaure. Là encore c’était agréable à ressentir. Mais si ce n’était pas pour autant fini, Doryidas expliqua qu’il aimerait être nettoyer au bout de sa verge, après tout ce n’était pas aussi simple pour lui.
L’humaine ne mis pas longtemps à proposer des solutions.

-Oui approchez Monsieur, je vais utiliser la langue.

Par sa position, elle devait resté à quatre patte, donc c’était le plus simple. Ainsi le centaure s’approcha, se positionnant au-dessus d’elle, sa verge à portée de bouche. Se tenant sur une main, elle pris délicatement son sexe en main pour le guidé et avec sa langue agile de félin, elle vient lui lécher pour nettoyer se sexe qui venait de la remplir.

La scène était magnifique. Un aventurier en retard et perdu tombant sur ce chemin pour se rendre à la taverne découvrirait un trio affairé. Une humaine en latex rose léchant la chatte pleine d’une neko, elle-même léchant et nettoyant la bite équestre d’un magnifique centaure au pelage noir. De quoi en peindre un tableau, assurément.

Lissandre prenait un malin plaisir à faire durer. Sa langue récupérait le précieux sperme et venait le redéposer sur les fesses de sa chatte domestique. Le liquide coulait. Les yeux de Lissandre suivaient les courbes puis rattrapait de sa langue le sperme.

Sa main ouvrit la fermeture éclair de sa combinaison de latex rose moulant. Deux doigts entrèrent dans son intimité. Elle était beaucoup trop excitée pour ne pas se toucher. La jouissance réchauffait ses entrailles. Nul doute qu’elle ne mettrait pas de temps à gémir un premier orgasme !

« Je pense que monsieur Doryidas va bientôt nous quitter, ma petite chatte. »

Ses doigts entrèrent dans l’intimité d’Akisane. Ils revinrent à l’air libre avec du sperme qui croyait gagner leur partie de cache-cache. Lissandre suçota avec grands bruits ses doigts avant de reprendre ce qu’elle disait :

« Est-ce que tu veux lui demander quelque chose ? Est-ce que tu as envie qu’il te fasse quelque chose ? Ou que toi, voire même moi, lui fasse quelque chose ? C’est le moment de parler, jolie Akisane. »

Entre son pouce et son index, Lissandre emprisonna le clitoris d’Akisane et le pressa. Une petite douleur qui ne se voulait pas torture gratuite, mais pour appuyer ses propos.

« Et j’aimerai entendre quelque chose. Pas un je ne sais pas, ou un ce que vous voulez. Quelque chose qui vienne de toi, jolie chatte. »

Akisane sentait le plaisir que lui donnait l’humaine, qui jouait de sa langue et de ses doigts, mais aussi de l’excitation à lécher se sexe animal face à elle et à en récupérer le sperme. L’idée lui plaisait beaucoup, comme si elle voulait vraiment récupérer se sperme pour elle. Alors que le centaure allait repartir, Lissandre lui demanda d’exprimé ses envies entre eux. Etrangement elle qui jusque-là se sentait vide de pensé, depuis qu’elle était excité, comme un instinct c’était réveiller en elle. Tenant toujours le sexe du centaure qu’elle léchait toujours, elle répondit finalement.

-J’aimerais vous voire jouet avec lui à votre tour, vous voir excité comme il faut Maitresse. Puis gouté ensuite fruit de votre plaisir.

Surtout que l’humaine n’avait surement pas la même capacité qu’elle à recevoir se sexe en elle, du coup elle était curieuse de voir ce qu’elle ferrais, puis Lissandre n’était pas soumise en ce moment, alors son comportement ne serais pas le même.

-Et si vous voulez bien continué à me dominer en même temps, c’est parfait.

Pour le moment, elle se sentait bien dans ce rôle de soumise, alors autant en profité. Qui sais peut être que si le centaure comptait poursuivre, lui aussi voudrais en profité, mais ça semblait moins son genre peut être.

« Oh, mais c’est adorable ce que tu me dis là, jolie chatte. »

Impossible d’arrêter de jouer avec ses doigts dans l’intimité d’Akisane pendant qu’elle parlait.

« J’espère que tu ne vas pas être trop triste mais, même si c’est un fantasme très fort de se faire prendre une bite de centaure : je ne peux malheureusement pas. Ou alors, ça va finir en horreur avec mon estomac traversé de part en part et l’intérieur de mon corps à l’extérieur. Désolé, jolie chatte. »

Mais il était indéniable que le regard de Lissandre allait sans cesser sur la verge de monsieur Doryidas. Même sa langue se pourléchait d’un plaisir qui lui était interdit. Les êtres humains étaient si fragiles. Oui, certes, certaines femmes parvenaient à se faire enculer par des jouets de proportions monstrueuses. Mais combien d’heures passés pour un tel résultat ? Ressentaient-elles encore du plaisir ? Et quelles étaient les conséquences de la vie de tous les jours ? Car il semblait à Lissandre d’avoir déjà entendu parler d’une histoire où une femme était obligée de porter des couches car son anus était toujours trop dilaté.

Doryidas le centaure : « Je puis vous proposer quelque chose, mes dames. Certes, cette délicieuse humaine ne pourrait résister à mon plaisir. Mais j’ai des relations avec des verges de taille certes grande mais de proportion acceptable pour les êtres humains. Ci fait, je connais même une famille qui vit aujourd’hui à l’écart du monde car leur amour a conçu un être, disons, à mi chemin entre le centaure et l’être humain. Si cela vous intéresse, nous pouvons nous donner rendez-vous et aller toquer à leur porte. »

Il y avait des étoiles dans les yeux de Lissandre. Elle voulait connaître cette famille ! Tout de suite, elle avait pensé à un homme sur deux pattes nanti d’un sexe de cheval. Mais peut-être se trompait-elle ? Et s’il y avait un adolescent centaure ? Ou un poney capable de parler comme les Hommes ? Lissandre était en train de se perdre dans mille et un fantasmes.

« Ma jolie chatte ! Qu’en dis-tu ? Voudrais-tu d’un tel voyage ? »

On doigt titillait maintenant son anus. Des caresses circulaires autour de l’entrée. Parce que, quoi qu’elle décide, Lissandre avait toujours sa libido à satisfaire. Et jouer avec Akisane l’excitait toujours autant !

Akisane avait donc proposé de voir ce qu’elle ferrait à son tour avec le centaure. Lissandre répondit qu’elle ne pourrait pas supporter la taille du sexe de la créature. Pourtant elle avait bien pris le risque pour elle, alors qu’elles n’avaient aucune idée du fait que son corps plus petit que celui de l’humaine, pouvais le supporter. Mais comme elle était actuellement sa soumise, c’était peut-être normal après tout ?

Doryidas proposa alors une autre rencontre avec une de ses connaissances qui semblait membré de façon plus raisonnable pour l’humaine. Cette personne acceptait de prendre des inconnues comme ça ? Etrange quand même. Lissandre semblait en tout cas motivé et lui proposa donc d’y aller avec elle. Akisane n’avait aucune idée du temps qu’il faudrait pour se voyage, mais de toute façon resté ici, ne lui avait apporté aucune piste, alors pourquoi pas ? Elle pourrait toujours revenir plus tard.

Gémissante toujours au doigt de l’humaine, elle finit par lui répondre.

-D’accord Maitresse, je vous suis.

Elle avait pour idée de profité de ce voyage pour rester sa soumise/esclave, dans ce rôle qui lui semblait pas si dérangeant. Afin de voir à quel point elle y était à l’aise, se disant que c’était peut-être ce qu’elle était avant de perdre sa mémoire et que du coup ça pourrais peut-être faire remonter des souvenir ?

-Mais c’est loin ? Car s’il faut plusieurs jours, nous devrions rentré prendre nos affaire et vos homme non ?

Génial ! Super ! Sa petite chatte acceptait de partir en voyage avec elle. Lissandre était déjà excitée à l’idée de rencontrer une famille nantie de sexe chevaleresque. Enfin, de sexe équin. Bref, l’excitation lui faisait perdre une partie de sa tête et elle commençait à mélanger les mots.

« Ah oui. Tu as peut-être raison. Tu sais, quand j’ai une idée en tête, je perds très vite la notion des choses ennuyantes. Les affaires, les hommes qui sont avec moi, tout ça. »

Il fallait qu’elle réfléchisse. Partir tout de suite ou revenir à l’auberge ? La réflexion n’en était qu’à son début quand elle réalisa que le majestueux centaure attendait patiemment le bon moment pour répondre à la question pertinente de la Neko.

Doryidas le centaure : « Tout va dépendre de la façon dont vous comptez vous y rendre, mesdames. Si vous êtes en possession de quelques-uns de mes cousins à l’intellect moins développé, et accompagné du guide que je suis, il ne suffira que de quelques heures. Une demi-journée tout au plus. »

Des chevaux, le majestueux centaure parlait de chevaux. Lissandre en avait, oui. Mais à l’auberge. Avec ses hommes. Avec les affaires de la neko. L’excitation redescendit d’un cran. Il le fallait pour s’occuper de ses tâches « administratives ».

« Très bien. Nous devons retourner à l’auberge. J’ai quelques tâches à traiter. Je n’en aurai pas pour longtemps. Nous nous donnons rendez-vous ici dans une bonne heure ? »

Doryidas le centaure : « Aux premières lueurs de l’aube, si vous le permettez. La nuit est tombée et je souhaite aller dormir. »

L’affaire était entendue. Les deux femmes saluèrent et regardèrent le majestueux centaure disparaitre deerrière les arbres. Ensuite, elles retournèrent à l’auberge. Lissandre donna ses ordres aux gens qui l’accompagnaient. Ils s’en allaient tous pour un nouveau chapitre à son aventure. Par contre, ils devraient partir six heures après elles deux. Lissandre introduisit à ce moment la neko qui l’accompagnait. « Pas touche ! » qu’elle lâcha aux quelques hommes lubriques qui parlait déjà d’une partouze. « Elle est mienne. Hi hi ! » qu’elle ajouta.

La nuit passa. Lissandre et Akisane rejoignirent Doryidas qui les attendaient déjà. Le centaure sembla échanger quelques mots avec le cheval. Un seul car Lissandre avait tenu à sentir le corps de sa petite chatte durant le voyage. Puis le signal fut donné et on n’entendit que le bruit des sabots au petit matin.

Akisane avait donc rappeler à Lissandre qu’elle n’était pas venus ici seul après tout. Lissandre reviens alors à la réalité, il est vrai que l’humaine semblait avoir tendance à l’emportement avec l’excitation. Elle organisa donc tout avec leur nouvel ami, puis il fut temps de rentré à l’auberge. Durant le trajet, Akisane en profita pour confirmer qu’elle resterait avec pour ce voyage et cette expérience, mais aussi elle proposa de rester sa soumise durant cette durée. Akisane prétexta que ça la rendait moins suspecte avec une maitresse, que libre pour son espèce, mais en vérité c’était surtout un teste personnel. Lissandre en était bien sûr ravie, après tout elle ne lui avait pas cacher l’envie de lui passer un collier et de la possédé vraiment comme esclave…La néko espérait surtout qu’a la fin elle accepte facilement de la laisser repartir.

Arrivé à l’auberge, elle fut présenté à l’escorte de l’humaine, en tant qu’esclave à son service. Déjà les hommes parlaient de partouze, prés à sa le partager en bonne esclave sexuelle et étrangement Akisane en fut plus excité que choqué. Mais Lissandre préviens qu’elle était à elle et semblait pas être à la partager pour le moment.
Ainsi elle retourna dans sa chambre, préparant ses affaires pour le lendemain, puis se coucha. Elle repensa au sexe massif qu’elle avait pris en elle et surtout au fait qu’elle l’avait reçu sans problème. C’était quand même étrange, comme l’humaine et même le centaure l’avait fait remarqué l’humaine pourtant plus grande qu’elle ne pourrait prendre un tel sexe en elle. Alors pourquoi elle-même avait pu ? Et pourquoi les deux l’avaient accepté naturellement ? Toute les nékos pouvait faire ça et elle-même l’ignorait ? Sa lui paraissait gros quand même…

Le lendemain Akisane se leva tôt comme prévue, pris son sac magique avec toutes ses affaire, bien que ça faisait pas grand-chose, puis descendis.

-Bonjour Maitresse, bien dormi ?

Akisane était prête pour cette étrange journée, et sa premier en tant qu’esclave à plein temps. Enfin volontaire, car si elle ne le sentait pas, Akisane était tout en prête à y mettre fin et à fuir. En espérant que Lissandre la laisserais et chercherais pas à l’attrapé pour l’asservir pour de bon.