The Multiversity

Alice lui pris la main et l’invita à la suivre vers l’extérieur. C’est vrai elle était l’esclave d’une princesse, mais surtout ici personne ne la connaissait. Sans sa maitresse, elle risquait d’être prise pour une intruse. Ce qui dans un monde peu connu et dans un château royal, était surement risqué. Après qu’Alice l’ai de nouveau embrassé, elle la guida vers l’extérieur. Mineko fut impressionné par la vue qui se présentait à elle. Un grand pont de pierre rejoignant la ville, puis la vue d’une autre partie plus bas. Le style était si différent de ce qu’elle connaissait, rien à voir avec la terre et son époque moderne. C’était beau à observer, puis Alice semblait heureuse de retrouvé chez elle. C’est certain que c’était surement un gros changement d’ambiance. En tout cas elle lui en parlait avec enthousiaste, après tout elle était la princesse des habitants de cette ville.

Après finalement lui avoir présenté cette vue incroyable, sa Maitresse repartie vers le château et Mineko la suivie de prés. Un homme s’approcha apportant alors un cheval, par reflexe, Mineko fit une courbette pour le salué, ignorant qui il était. C’était la première fois qu’elle voyait un cheval en vrais, c’était plus grand que ce qu’elle avait imaginé. Quand elle lui demanda si elle avait déjà fait du cheval, elle ut presque honte d’avoué…

-Euh non jamais…, c’est même le premier que je vois en vrais.

Sa Maitresse semblait en tout cas décidé de l’emmené, lui demandant de l’accompagné pour se changer. L’homme gardant le cheval en attendant. Une fois arrivé à une sorte de vestiaire, Mineko rentra avec Alice et comme demandé l’aida à se changer. La voir en petite tenue la fit légèrement rougir, mais après ce qu’elles avaient fait plutôt c’était rien, même si elle en sentie un léger frisson agréable. Es qu’elle-même ne devrais pas se changer aussi ? Mais semblerais que non, surement que la voir en jupe plaisait à sa maitresse. Mineko n’en dit rien et sortie avec sa maitresse revenant vers l’homme et le cheval. Alice l’embrassa de nouveau, lui disant alors qu’elle pouvait l’embrassé quand elle le souhaitait. Mineko avait déjà remarqué que ça maitresse semblait aimer embrassé. Mais pour le moment elle ne se sentait pas prendre ce genre d’initiative.

Alice monta avec aisance sur l’animal, puis lui tendit la main pour l’invité à monter aussi. Timidement, elle s’approcha du cheval, craignant un peu de lui faire mal ou même qu’il n’apprécie pas sa présence. Mais malgré sa carrure impressionnante, il était plutôt calme. Avec l’aide et les conseil d’Alice, elle finit par arrivé à monter s’accrochant quand même à elle de peur de chuté ensuite.

La monture se mit alors en marche traversant le pont. Mineko fut surprise de voir que ça secoué à ce point, mais surement que c’était normal pour une première chevauché. Surement excité de lui montrer tout ça, Alice lui laissa le choix de leur destination. Toujours cramponné à elle, Mineko ne savait pas vraiment quoi choisir ne connaissant pas se monde. Un sanctuaire de dragon ? Déjà qu’un cheval l’impressionnait, alors un dragon ? Mais ce n’était peut-être pas comme dans l’imaginaire, c’était peut-être que des gros lézards comme dans les iles ?

-Le sanctuaire ? Je ne sais pas, un chantier c’est peut-être mieux une fois fini ?

Mineko avait beau être son esclave, Alice avait plutôt tendance à la considérer comme une confidente, ou comme une amie. La jeune femme était en train de découvrir un tout nouvel environnement, un tout nouvel univers. Elle n’avait encore jamais monté à cheval, et, quand Éclipse s’ébroua, elle se crispa naturellement contre le corps de la Princesse, qui sourit doucement. Rejoignant l’autre côté du pont, elle laissa le soin à Mineko de choisir, et sa servante proposa d’aller voir le Sanctuaire. Alice acquiesça en hochant la tête.

« Soit ! On grimpe, donc ! »

Alice éperonna encore Éclipse. Elle était la seule cavalière de cet ancien destrier de guerre depuis de nombreuses années, et parvenait à apaiser Éclipse de manière très étrange. Un lien surnaturel semblait les unir, car aucun autre cavalier n’arrivait à monter Éclipse. Il était donc le cheval d’Alice, qu’elle utilisait pour tous ses déplacements à Sylvandell. Le destrier s’élança donc, remontant la haute-ville. Alice et Mineko croisèrent en chemin des gardes, des pèlerins, ou de simples résidents. Elle les saluait de la main, tout en croisant quelques résidences et manoirs. C’était l’aristocratie qui vivait ici, mais les Sylvandins venaient ici pour profiter des parcs publics, des fontaines, ou encore des aires de jeux. La partie basse de la capitale était malheureusement trop petite pour permettre ce genre d’infrastructures, alors les Sylvandins en avaient profité.

Tout en avançant, elles purent voir le nouveau Palais. Il était en pleine construction au milieu du plateau, et avançait plutôt bien. Les fondations avaient été posées, et les murs se dressaient. Plusieurs tours étaient là. Des ouvriers venaient de tout l’Empire, y compris des Orcs, plus solides que de simples humains. Des nains aidaient également à superviser la construction. Alice ne s’attarda toutefois pas outre mesure, et le cheval continua sa route vers les montagnes au fond du plateau.

Un dragon passa au-dessus d’elles, venant des montagnes, et vola dans les airs, une bonne centaine de mètres au-dessus d’eux.

« Ça, Mineko, c’est un dragon ! » crut bon de commenter Alice.

Elle continua ensuite sa route, et le cheval gravit ensuite le sentier menant au Sanctuaire. La zone était interdite aux touristes, car les dragons pouvaient se montrer très territoriaux, mais Alice était une Korvander, alors Mineko ne craignait absolument rien. Elles passèrent le petit fortin de la Griffe, dernier garde-poste, puis continuèrent l’ascension, longeant les flancs de la montagne, jusqu’à traverser un canyon. Des arbres commençaient à pousser ici et là, et Alice continua sur son chemin, rejoignant finalement le lieu promis…

Le Sanctuaire des Dragons. Un endroit apaisant situé sur un lac, avec un autel au centre.

« C’est à la base un sanctuaire elfique, expliqua Alice. Tous les couronnements des Korvander ont lieu ici depuis le Premier. »

Alice arrêta Éclipse, et descendit au sol. Elle aida ensuite Mineko à descendre, se retrouvant du coup lovée contre elle, et lui sourit à nouveau tendrement.

« Alors ? Qu’est-ce que tu en penses ? »

Mineko se tenais à Alice, peut-être même un peu trop fort. Elle n’avait pas du tout l’habitude de genre de voyage et craignait trop de tomber. Les décors de cette ambiance médiéval étaient à la vois étrange et intéressantes à ses yeux. Par contre elle était plutôt gênée quand elles croisèrent du monde. Alice leur princesse, leur souriait avec enthousiasme, mais ils devaient se demander qui pouvait être cette fille accrochée au dos de la princesse. Surtout qu’elle ignorais si sa tenue était ou non à la l’image de son statue.
Après un peu d’avancé, quand elle commença à s’habitué au secousse de la démarche du cheval, quand Mineko relâcha un peu sa Maitresse commençant  à sentir un peu plus alaise, une immense créature leur passa au-dessus. Un dragon ? Minéko senti un frisson de peur la parcourir, s’accrochant alors de plus belle à Alice. Une tel créature aurais aucun mal à les dévoré toutes les deux et surement même le cheval avec. Mais Alice lui confirma que c’était un dragon sur un ton tellement banal, qu’elle ne savait plus trop quoi pensé, mais pour autant rassuré.
Finalement à force de monté, elles arrivèrent à un lieu des plus impressionnant. Le genre d’endroit qu’on voyait dans les animes ou des films fantastiques, mais là c’était bien réelle. Elle ne fut même pas surprise qu’en Alice parla d’elfe, après tout elles avaient survécu à croisé un dragon. Alice l’aide à descendre restant très proche d’elle, lui demandant alors son avis sur tout ça.

-Je euh, c’est impressionnant…Je…je veux dire ça me parait tellement surréaliste tout ça. J’ai bien vue des espèce autre chez Maitresse Mélinda, mais là…

Elle en trouvait pas ses mots. Elle avait été émerveiller et effrayer en si peu de temps, qu’elle était un peu perdue. Mais une chose restait quand même certain à ses yeux.

-Mais c’est quand même magnifique, rien à voir avec la grande ville d’où je viens. Mais pour vous, c’est mon monde qui doit être si étrange.

Ici l’air était si différent, bien plus pur, moins mouvementé, les sons était différent aussi. Ici le fait d’être une esclave n’était surement pas choquant, alors que dans son monde…Puis elle était avec princesse, une vrais. Oui tout ça lui semblais surréaliste.

Mineko était sous le choc. Il est vrai que les dragons pouvaient être très impressionnants. Créatures massives et ailées, ils étaient les seigneurs du Ciel. Alice avait grandi avec eux depuis le début, depuis qu’elle était bébé. Si leurs rugissements avaient pu inquiéter Alice quand elle était plus petite, elle avait fini par s’y habituer, par s’y faire. Pour elle, c’était désormais naturel, et elle sourit quand Mineko, après avoir commencé à s’écarter d’elle, se resserra brusquement sur ses reins lorsque les deux femmes furent survolées par un dragon. Souriant doucement, Alice ne dit rien, et rejoignit tranquillement le Sanctuaire des Dragons.

Face au caractère majestueux des lieux, Mineko fut marquée, et dut admettre que l’endroit était « magnifique », n’ayant rien à voir avec l’endroit d’où elle venait. Alice sourit doucement.

« Très étrange, oui… Tu as le droit de me tutoyer quand nous sommes en privé, tu sais. Je suis ta Maîtresse, mais je souhaite aussi être ton amie. »

Alice descendit ensuite du cheval, et aida Mineko à descendre également. Si Alice était habituée depuis sa plus tendre enfance à grimper à cheval, ce n’était pas le cas de Mineko, alors elle l’aida à reposer ses jambes sur les fesses, attrapant ses hanches. Les deux femmes se retrouvèrent ainsi côte-à-côté, et Alice remonta sa main, déplaçant ses cheveux pour dévoiler son visage, et l’embrassa brièvement sur les lèvres.

Elle attrapa ensuite la main de Mineko dans la sienne, et marcha sur le pont en pierre menant au Sanctuaire.

« Le Japon abrite toutefois bien des sanctuaires aussi impressionnants que celui-là, si ce n’est davantage. J’ai été voir le sanctuaire d’Itsukushima, et j’ai été très impressionnée. »

Ce sanctuaire était mondialement connu des Terriens pour le torii qui s’y trouvait, et qui flottait sur l’eau. C’était même l’une des trois vues les plus célèbres du Japon, une attraction fascinante. Alice se déplaça jusqu’au cœur du sanctuaire, dans l’alcôve central. C’était ici qu’elle avait été bénie par le Patriarche. Elle frémit en sentant l’attraction magique des lieux. Ses doigts se serrèrent sur les doigts de Mineko.

La dernière fois qu’elle avait été ici, elle avait fait l’amour avec Melendil dans les flammes des dragons. Le feu extérieur ne faisait que réfléchir leur feu intérieur, une passion dévorante et jouissive qui les avait emportés dans une nuit de noces mémorable. Elle revint à elle, et sourit doucement à Mineko.

« Je ne sais pas si tu le sens… La dernière fois que je suis venue ici, c’était à l’occasion de mon mariage… Je crois que… Tu te tiens là où mon mari a commencé à me faire l’amour. »

Mineko allait vite comprendre que, non seulement Alice n’avait pas froid aux yeux, mais qu’elle adorait la mettre en difficulté, et la voir rougir… Facétieuse Princesse !

Mineko était un peu perdu avec tout ça, se monde était si différent du sien, tout ça ressemblait plus à rêve qu’à la réalité. Pourtant tout était réelle, même sa Maitresse à côté. Alice en profita alors pour lui dire qu’elle pouvait la tutoyer en privé, bien qu’elle restait son esclave, sa Maitresse lui dit qu’elle souhaitait qu’elles soient aussi amies.  Minéko ignorait encore trop de chose de sa Maitresse et de ce qui l’attendait, mais de tel mot avait quand même un côté rassurant.

-Je…euh…enfin si c’est ce que tu souhaites, je veux bien être ton ami aussi.

Face à son admiration pour le décor fantastique autour d’elles, Alice répondit que le Japon avait aussi ses propres monuments. C’est vrai qu’il y avait aussi sur terre dans endroit merveilleux, mais pour elle ils étaient connue, normal, ici c’était comme être rentré dans un film digne des plus grande science-fiction.  Alice revient alors sur le lieu où elles se trouvait parlant alors qu’elle était venue la dernière fois ici suite à son mariage. Mineko avait du mal à réaliser qu’Alice qui devais avoir son Age était déjà marié. Comment ne pas être perdu avec toutes ses choses au final en dehors du normal d’une vie de Japonaise…Depuis qu’elle avait perdu sa famille et abandonné sa vie et sa liberté à Mélinda, plus rien lui semblait normal dans cette nouvelle vie. Mineko se mit alors à rougir quand Alice lui avoua qu’elle se tenais là où son mari et elle avait fait l’amour.

-Hein ! Ici ?

Elle était choquée, l’endroit semblait sacré, es qu’elle avait fait ça durant une sorte de cérémonie ? Quand même pas à la vue de tous ?

-Dans un lieu comme ça ? Pas au milieux des gens quand même ?

Alice pouffa doucement en voyant les yeux de Mineko s’écarquiller comme deux soucoupes. Coucher ici ?! Elle lui sourit doucement, et lui répondit rapidement :

« Non, voyons ! Enfin, nous l’avons fait sous l’œil d’un dragon, mais dans des circonstances particulières… Il nous avait soufflés dessus. Un feu spécial, divin, qui a enflammé nos sens. C’était le soir de mon mariage, comme une forme de consécration divine. Nous avons consommé le mariage une première fois ici, avec le feu du Dragon en nous. Mais nous avons pris l’habitude, en revenant prier dans ce sanctuaire, de célébrer à nouveau notre union, Melendil et moi. »

Alice avait même dissimulé sous une dalle un petit coffre abritant quelques jouets. Un jour, elle devrait sans doute s’en débarrasser, car elle n’osait imaginer ce que ses futurs descendants penseraient ou imagineraient le jour où, par inadvertance, cette cache serait découverte. La jeune Princesse se retourna vers Mineko en lui souriant à nouveau.

« Mais bon, ne sois pas si prude, je suis sûre que tu as dû voir des trucs beaucoup plus osés chez Mélinda. C’est elle qui m’a formé dans ce domaine ! »

Mélinda avait été pour Alice initialement sa mère de substitution, puis sa meilleure amie quand la petite tête blonde était devenue une adolescente, et finalement son amante.

« Enfin, je te propose de revenir au château, tu as vu ce que je voulais te montrer pour aujourd’hui. »

Les explications d’Alice sur ce qu’elle avait fait ici avec son mari semblait de plus en plus irréel. Si bien que Minéko préféra ne pas chercher à comprendre davantage pour le moment. Ses histoires de sanctuaire, de dragon, de feu, tout ça la dépassait complétement. Mélinda les avaient finalement formés toute les deux, mais vraiment de la même manière. Minéko avait été formé pour devenir l’esclave d’Alice, mais elle voyait où cette dernière voulait en venir. Des choses osés elle en avait vue, elle avait même été préparé à participé un jour, mais pour le moment elle restait vierge et on parlait quand même d’un lieu sacré. Peut-être qu’elle était encore trop influencée par la pensé terrienne à ce sujet.

Finalement Alice proposa de rentré de nouveau au château. Une promenade certes courte, mais pour quelqu’un extérieur à se monde, elle avait déjà ut pas mal de dose de surprise et découverte.

-D’accord, rentrons alors.

Elle regarda de nouveau le cheval, après une première balade elle en était déjà moins impressionné. Mais bon elle ne se voyait pas pour autant en faire sans Alice pour l’aidé, surtout si ce cheval n’était docile qu’avec elle.

-Du coup Alice, je te connaissais à peine sur terre comme élève, alors ici comme princesse…Enfin je voulais savoir, je dois m’attendre à rencontrer qui de ta famille ?

Elle savais qu’elle était marié et attendait un enfant, mais es qu’elle avait des frères et sœurs ? Des parents directs ou plusieurs générations ? Tout ça elle n’en savait rien. Ou du moins pas en détail.

Rien qu’à son regard, Alice sentit la surprise dans les yeux de Mineko. Il est vrai qu’Alice ignorait tout de la formation magique de Mineko. Elle ne pouvait toutefois concevoir que Mélinda ne lui en ait jamais parlé ! Alice décida donc de retourner vers son cheval, et Mineko la suivit, tout en l’interrogeant sur sa famille.

« Oh… Et bien, il y a mon mari, pour commencer. Tu n’as jamais dû le voir, car il n’est jamais venu sur Terre. C’est Melendil, un Bas-elfe… »

Devant le regard circonspect de sa servante, Alice sourit à nouveau, consciente que Mineko ne devait pas savoir ce que cela voulait dire. Elle rajouta donc :

« Les Bas-elfes sont les elfes qui ont grandi dans des royaumes non-elfiques, souvent chez les royaumes humains. Ils sont donc souvent dédaignés par les Hauts-elfes, qui voient en eux des elfes viciés par les humains… »

Une petite explication qui permit ensuite à Alice de reprendre :

« Évidemment, il n’y a rien de tout ça chez mon époux. C’était un esclave, lui aussi. Mais, contrairement à toi, il était battu, humilié, exploité… Nous nous sommes aimés, et je l’ai anobli en l’épousant. Depuis lors, il fait tout son possible pour montrer qu’il est digne de son statut. C’est un homme droit et juste… Enfin, je ne suis sans doute pas très objective pour parler de lui, mais tu auras l’occasion de le voir tout à l’heure… »

Alice avançait lentement sur son cheval. Rien ne pressait, après tout, et, tandis qu’elle avançait, éperonnant de temps en temps Éclipse, elle mentionna donc le reste de sa famille.

« Enfin, il y a mon père… Le Roi. Tywill Korvander. C’est… C’est un homme très grand, très massif, et qui a une grosse voix. Cependant, il est régulièrement à la capitale, alors j’administre le pays en son absence. Tu sais, je vais bientôt être couronnée… Donc, tu risques surtout de me voir moi et Melendil… Si cela ne te déplaît pas trop, bien sûr ! »

Mineko se laissa guida pour monter le cheval et écouta la réponse à sa question sur la famille d’Alice. Elle lui parla donc de son mari en premier un elfe ? Devais-t-elle être surprise ? Pas vraiment après tout Mélinda était une vampire.

-Un bas elfe ?

L’explication d’Alice lui permit de mieux comprendre cette différence, une histoire de discrimination, comme il en existe tant partout. Ce qui était plus surprenant c’était d’apprendre qu’il était un esclave. Alice l’aimait et l’avait épousé pour lui rendre sa liberté. Un geste noble et surement surprenant pour beaucoup de monde. Surement qu’il ne lui avait jamais appartenu ou du moins pas de la même façon qu’elle, car si elle avait bien comprit elle était sa premier esclave.

-C’est une jolie histoire.

Son père était donc un roi à forte carrure, dans un monde comme celui-ci, il devait surement être imposant. Elle ne savait trop comment l’imaginé, comment il pourrait être avec elle ? En tout cas d’après Alice, c’était surtout elle et son mari qu’elle allait voir.

-Oh je m’y ferrais, après tout c’est toi que je dois servir maintenant.

Elle était un cadeau de Mélinda à son amie et devais s’en montré digne. SI elle commençait déjà à rejeter sa maitresse sans avoir rien fait, à quoi bon avoir accepté tout ça ?

Une jolie histoire… On pouvait dire ça comme ça, oui. Un joli conte de fées ! Melendil était devenu Prince, puis futur Roi. Un rôle que son époux prenait très à cœur. Il étudiait beaucoup. Pour devenir un Prince digne de ce nom, il fallait en effet se renseigner sur Sylvandell et sur Mijak, connaître les préoccupations de la population, et savoir comment organiser le royaume. De fait, les deux se voyaient souvent assez peu dans la journée, car ils étaient occupés, ce qui n’était pas pour satisfaire Alice, qui aimait bien sûr la proximité avec son époux. Elle y songeait tandis que le cheval les ramenait au Palais. Mineko lui rappela qu’elle était son esclave, et Alice lui sourit doucement en tournant la tête.

« C’est vrai… Et je vais prendre soin de toi.  Tu ne vas pas t’ennuyer ici, mais je pense que tu iras aussi sur Terre. Je m’y rends moins que je le voudrais, mais j’aime toujours autant me rendre dans votre lycée. »

Il n’y avait qu’Alice pour aimer étudier à l’école. Elle y voyait cela comme une activité ludique, susceptible de la distraire un peu, et surtout de lui faire apprendre des choses sur la Terre. Elle s’y rendait par l’intermédiaire de Mélinda, mais Alice se voyait bien aussi y aller de sa propre initiative, en compagnie de Mineko. Le cheval continuait de son côté à descendre, leur offrant une vue magnifique sur les hauteurs de Sylvandell. Le nouveau château royal s’instaurait avec fierté au milieu des hauts-plateaux, et on pouvait voir plusieurs dragons qui voletaient dans les airs.

« Les domestiques ont des chambres dans leurs quartiers, mais toi, tu es mon esclave… Donc, tu as une chambre dans mes quartiers. C’est toi qui te chargeras de l’entretien de ma chambre, et qui m’aideras à me coiffer et à m’habiller chaque matin. C’est une vie plutôt rêvée, non ? Pouvoir être chaque jour au contact d’une Princesse… Cela ressemble à ces contes de fées que les Terriens affectionnent tant ! »

Le retour au château se fit au clame durant la chevauché. Discutant en chemin, Minéko ut la confirmation qu’Alice aimais venir sur terre et surtout au lycée. C’était étrange, mais venant d’un autre monde il était évident qu’elles n’avaient pas la même façon de penser. Même si Minéko pouvait comprendre, après tout l’esclavage pour elle était une échappatoire, le lycée pour Alice était surement la même chose.

Alice lui parla de ce qu’elle allait faire pour elle, s’occupé de sa chambre, de l’habiller et autre. Elle avait même sa propre chambre maintenant. Alors finir esclave d’une princesse n’était pas tant un conte de fée, mais il est vrai que pas mal de mec aimerais être esclave d’une belle princesse blonde…

-Ça dépend pour qui. Mais pour le moment je vais pas me plaindre, après tout j’ai choisi cette vie.

Revenue devant le château, ça lui fit étrange de se dire que c’était chez elle maintenant. Déjà que manoir de Mélinda l’avait impressionné les premières fois, mais là un tel château…et pourtant un autre plus grand était en construction et qui sera aussi surement son futur foyer ? Sauf si Alice la vendait ou la donnait d’ici là. En tout cas, rien à voir avec le petit appartement où elle vivait à quatre avant avec sa famille, à l’époque où elle était heureuse.

-J’espère ne pas me perdre là-dedans, déjà qu’au Manoir j’ai ut du mal au début…

Elle dit ça avec un mélange d’humour et d’inquiétude. Au manoir, il y avait pas mal de monde et les filles aimais la taquiner ou l’aidé, mais elles étaient amicales et ça restait la terre. Ici, c’était un autre monde, un château et au lieu politique dans un lieu magique où elle ne connaissait pas encore bien les bases. Elle ne voulait pas faire de bêtise ou vexé des gens important par accident, mais quelque chose lui disait que cette situation amusait Alice.

Alice sourit doucement quand Mineko, devant le massif Palais, lui indiqua qu’elle risquait sans doute de s’y perdre.

« Et bien, j’espère pour toi que tu ne perdras pas, Mineko… Car l’une de tes principales fonctions, ce sera justement de me guider quand moi, je me perdrais ! »

On aurait pu croire à une remontrance au début de sa tirade, mais ce n’était visiblement qu’un trait d’humour. Alice traversa la grande cour centrale, et rejoignit les écuries. L’ancien Palais serait toujours utilisé, mais Alice avait désormais ses nouveaux quartiers. On pouvait voir encore des échafaudages construits ici et là. Le nouveau Palais n’était pas fini. Il fallait également édifier les murs, et cela prenait du temps. Avec un peu de chance, l’inauguration aura lieu lorsque les enfants d’Alice auront vu le jour ! Alice rejoignit donc les écuries, et laissa le cheval entre les mains des palefreniers. Elle attrapa ensuite la main de Mineko. Nerveuyse, celle-ci contemplait avec étonnement la massive structure. Depuis les écuries, elles rejoignirent un couloir qui menait au sein de l’aile centrale. Il y avait encore beaucoup d’ouvriers, maçons, artisans, menuisiers, peintres, qui travaillaient sur les différents éléments du Palais. Des humains, mais il y avait aussi des nains, et même des Orcs, qui soulevaient d’énormes poutres.

L’atrium central était composé d’une énorme statue au centre, une fontaine qui était encagée. Des sculpteurs elfiques taillaient avec talent le dragon doré, et l’atrium s’élevait jusqu’au plafond.

« Les plans ont été dessinés par des architectes nains. Cet atrium central avec ses mezzanines monte jusqu’au plafond. L’idée est de regrouper les différentes ailes et pièces du Palais autour de ce hall central. Il y a une verrière tout en haut. »

Alice se déplaça ensuite, saluant de la main les différents ouvriers. Elles rejoignirent une estrade surplombant l’atrium, où des individus parlaient entre eux. Il y avait un nain, qu’Alice présenta discrètement à Mineko. Répondant au nom de Karkaroff, il était un ingénieur nain de renom. Il fumait dans une pipe dorée devant des plans, parlant avec d’autres nains.

« Karkaroff est l’ingénieur-en-chef, le maître d’œuvre du projet… »

Il se retourna en voyant la Princesse venir, et un jet de fumée jaillit du bec de la pipe.

« Majesté… Que puis-je pour vous ?
-  Bonjour, Monsieur Karkaroff. Je vous présente Mineko Azumi, ma… Ma dame de compagnie, et assistante personnelle. »

Karkaroff la jaugea des pieds à la tête, et exhala encore un jet de fumée supplémentaire.

« Et bien, enchanté, Madame Azumi.
-  Vous aurez sans doute à faire avec elle si vous souhaitez me transmettre des informations, ou si je souhaite vous en transmettre.
-  Hum… Vous n’avez pas choisi la plus laide, si je peux me permettre, Votre Majesté. »

Alice rosit doucement en se raclant la gorge. Les nains faisaient preuve d’un franc-parler assez désarçonnant par moment.

« Hum… Où en sont les travaux ?
-  Ach ! Ça avance, Majesté… Nous devrions pouvoir tenir les délais, même s’il y a toujours des soucis qui apparaissent.
-  Ah bon ?
-  Avec la tempête qui est survenue la semaine dernière, des fissures sont apparues au niveau du mur d’enceinte Nord, des pierres se sont désolidarisées entre elles… On va devoir y travailler. »

La jeune Princesse hocha la tête. Karkaroff était plutôt compétent dans son genre. Il déposa sa pipe et lissa sa barbe avec ses épais doigts noueux.

« Enfin, ce n’est qu’un léger contretemps… Mais, dites-moi, Madame Azumi, comment devient-on l’assistante personnelle d’une Princesse aussi ravissante ? »

Mineko qui s’attendait à un retour au château, comprit alors que la route qu’elles suivait permettait pas de rejoindre le château, mais plutôt de descendre vers celui en construction qu’elles avaient contemplé plus haut. Me chantier était impressionnant, même si les dimensions n’avaient rien à envient à certain immeuble terrien. Mais ce qui attira l’œil de Mineko, ce n’était pas la pierre, mais ceux qui la travaillait. Des hommes plutôt petits, mais avec une musculature impressionnante qui étaient surement des nains ? Puis il y en avait d’autre…tellement grand ? Un corps puissant, une peau d’une autre couleur…ils lui faisaient peur. Elle-même qui n’était pas bien grande pour une humaine paraissait comme une brindille face à eux, les poutres dans leur bras étaient surement plusieurs plus lourd qu’elle.

Intimidé et pas très rassuré non plus, elle resta proche d’Alice qui était en ce monde la seule personne qu’elle connaissait, même si c’était sa Maitresse. Sortant de l’écurie, Alice et elle s’avançaient à travers le chantier, passant dans les zones sécurisées où elles gênaient le moins les ouvriers. Alice saluait tout le monde d’un signe de la main, ce qui était chaleureusement reçut par la travailleur, Minéko accompagnait d’une signe plus timide par politesse. Finalement elles arrivèrent devant un groupe de responsable. Alice lui présenta alors l’un des nains, un homme qui en imposait autant par se carrure que par le charisme qu’il dégageait. Entendant la voix de la princesse, Karkaroff se retourna et les approcha. Alice la présenta à l’ingénieur qui n’hésita pas alors à l’observé. Minéko se surprit à être moins gêné qu’elle l’aurait pensé, mais fut perturbé par le « Madame Azumi », c’était plutôt sa mère qu’on appelait comme ça…Par contre son « compliment » sur sa beauté la fit quand même rougir un peu.

-Enchantée Monsieur Karkaroff

Alice en profita pour prendre des nouvelles de l’avancée du chantier. Rien que ce qu’elle lui avait présenté avec la statue du dragon plus tôt, montrait qu’il ne restait encore pas mal de chose à faire. Elle ne fut pas surprise d’entendre parler d’imprévue, mais c’était des choses courantes sur les chantiers et le nain ne semblait y voir une cause de retard conséquente. Puis alors de façon inattendu, le nain s’adressa à elle, lui demandant comment elle était devenue l’assistante de la princesse.

Rougissante un peu, elle réfléchit quoi lui dire. Elle ne pouvait quand même pas lui dire, en étant attaché et offerte en cadeau d’anniversaire par une amie de la princesse…

-Euh et bien, nous avons étudier ensemble  et c’est une amie qui m’a proposé alors à la princesse pour la soutenir.

Ce n’était techniquement pas un mensonge, après tout Alice et Mineko étudiait dans la même classe sur terre, puis c’était Mélinda qui l’avait offerte comme esclave à Alice. Sans trop en dire vraiment, elle avait répondu honnêtement à l’homme. Bien que vue que l’esclavage était normal dans ce monde, il en aurait surement pas été choqué. Mais Alice ne l’avait pas présenté comme tel, c’était surement pour une bonne raison.

-Je suis encore en formation et je viens de loin, j’ai donc encore beaucoup à apprendre sur ce pays. Mais c’est une occasion en or.

Alice sourit doucement devant la timidité de Mineko. Tout ça devait être assez incroyable pour elle, un peu comme ce qu’Alice avait ressenti la première fois qu’elle avait vu la Terre. Les mondes parallèles, quel concept fascinant ! Karkaroff n’en demanda pas davantage, et Alice, en compagnie de Mineko, examina un peu les plans, puis fit un petit tour du chantier. Elle prit Mineko par la main, et le duo s’avança.

« Nous sommes à la fin des travaux, alors on peut le visiter, et donner notre avis pour l’agencement… Tu as de la chance, tu assisteras à l’inauguration. »

Elle lui sourit doucement, et le duo visita un peu. Alice lui présenta surtout l’aile royale, qui était bien plus grande que celle du Château. Les pièces étaient encore vides, et assez glaciales. Mineko aurait droit à des appartements assez confortables.

« Officiellement, tu es mon esclave, lui rappela-t-elle, mais je préfère te voir comme mon amie… Ou ma demoiselle d’honneur. Et je connais bien Mélinda. Même si elle t’a offert à moi, au fond, c’est toujours elle que tu verras comme ta Maîtresse légitime. Alors, je ne compte pas te séparer d’elle. Donc, tu pourras continuer à aller sur Terre. En fait, ton emploi du temps sera assez libre. Je ne l’ai pas dit à Mélinda, mais j’ai déjà tout ce qu’il faut en serviteurs pour faire ma chambre, repasser mes vêtements, ou me coiffer. »

Mélinda lui avait offert Mineko pour se rapprocher d’elle, mais Alice avait déjà de quoi s’occuper. Elles finirent leur tour en rejoignant le hall, puis, alors qu’elles se dirigeaient vers l’écurie, Alice glissa sa main contre les fesses de Mineko, les palpant doucement.

« Et puis, il y a ça… Mais, là aussi, je ne souhaite pas te forcer, ma belle. Tout à l’heure, tu vas rencontrer mon mari. Sache que lui et moi, nous aimons jouer à des jeux de rôle. Tu verras vite que je n’ai pas vraiment l’étoffe d’une Maîtresse, parce que… »

Alice lui sourit alors, et se pencha vers elle, comme pour lui murmurer un secret dans le creux de l’oreille :

« J’adore quand lui et moi, on joue au Maître et à l’Esclave… Et je suis sûre qu’il aimera avoir deux esclaves rien que pour lui… »

Minéko resta avec Alice, restant plutôt discrète tant qu’on ne lui parlait pas directement. Après une coute discution autour de la fin de chantier, Alice lui pris la main et elles visitèrent un peu l’avancé de ce dernier. Vide tout meuble, l’ensemble paraissait si immense…Enfin il restait encore à faire et même la construction finie, il resterait le déménagement, ce n’était pas encore demain qu’elle allait vivre ici.

Alice lui rappela alors qu’elle comptait avant tout le voir comme une amie avant de la voir comme son esclave, même si elle était officiellement. C’est sûr qu’elle ne devait manqué de rien en tant que princesse. Puis alors Alice viens lui toucher les fesses, lui parlant de chose plus intime, surtout avec son homme. Rougissante un peu, Minéko lui répondit alors.

-Tu sais Mélinda m’a préparé à ça, c’est même pour ça qu’elle m’a offerte à toi. Je suis préparé à être avant tout ton esclave sexuelle. Pouvoir être soumise à tes coté ou reporté tes fantasmes sur moi. Et j’ai accepté ce rôle. Je serais ta servante, ton assistante et ton esclave sexuelle et je l’accepte. Tu sais-je devenue une esclave de mon plein grés, je ne suis pas forcé.

Minéko sans se libéré de la mains de sa maitresse sur ses fesses, se blottie contre elle en l’enlaçant.

-Alors c’est avec plaisir que je serais à tes coté pour servir d’esclave à ton homme.

Puis avec un sourire elle leva les yeux vers elle avant d’ajouté.

-Tu sais quand Mélinda ma attacher ainsi pour m’offrir à toi, j’étais quand même en partie excité. Je pense que Mélinda souhaite que tu sois ma Maitresse aussi pour se genre de situation. Après tout, je pense que l’un n’empêche pas l’autre ? Tu peux être toi-même être soumise, mais avoir ton esclave aussi ? Non ?

Elle n’en revenais pas de dire ça, elle savait que Mélinda souhaité développé le coté dominatrice d’Alice en plus de son côté soumise, mais Minéko ne pensais pas le vouloir aussi. Peut-être que voir tout ça au manoir, sans y touché directement lui avait donné envie et se rendre compte que maintenant sa Maitresse se retenais, lui en donnais encore plus l’envie ?

C’était au tour de Mineko de motiver Alice. Elle lui rappela qu’elle était volontairement devenue l’esclave de Mélinda, et qu’elle souhaitait accomplir tous ses fantasmes, tout en souhaitant surtout se faire dominer. Alice l’observa lentement, et frémit également, sentant une vague revenir en elle. Elle l’observa, et posa sa main sur le menton de Mineko, l’autre main se crispant sur ses fesses, et sourit alors, avant de l’embrasser.

« C’est d’accord… Tu vas vite comprendre qu’il y a deux facettes chez moi… Tu sais, lors de mon mariage, j’ai appris que j’étais la fille de la Déesse Lust. Son héritage m’a longtemps été scellé, mais, lors de mon mariage, la Déesse l’a pleinement réveillé. Il y a des éléments qui réveillent ce potentiel en moi, et où je deviens beaucoup plus dominatrice… Quand je porte ma tenue de dominatrice, par exemple. »

Alice se déplaça alors, tenant Mineko par la main, et elles rejoignirent la chambre à coucher, là où, plus tard, Mineko allait perdre sa virginité. L’idée d’être deux soumises s’effaça au profit d’une double domination à venir.

« Tu vas conserver ta tenue pour ce soir, moi et Melendil, nous allons te faire l’amour dedans… Et peut-être qu’on t’enfilera ensuite des tenues plus sensuelles… »

La Princesse lui sourit, et l’embrassa à nouveau, la plaquant contre le mur. Ce fut un baiser assez marqué, où sa langue s’enfonça dans la bouche de la jeune femme, une main remontant sur la cuisse de Mineko pour caresser encore ses fesses.

« On va te préparer pour ce soir… »

Alice se déplaça, et rejoignit sa penderie, où elle montra à Mineko une belle robe chinoise noire et dorée.

« Tu vas m’aider à l’enfiler, et, ensuite, tu porteras ceci pendant le repas à venir. »

La jeune femme avait sorti un petit écrin, et en sortit un léger plug anal doré. L’idée était de détendre son fondement pour pouvoir la prendre plus facilement le soir. Alice déposa le coffret sur une table, puis se déshabilla intégralement. Toute nue, elle se présenta à Mineko, et sourit doucement, avant de s’asseoir sur un fauteuil.

« Il faut m’enfiler des gants, des collants, ce string doré, et la robe… Comme tu vas t’arrêter pour me lécher les pieds, on va commencer par t’enfiler le plug. Montre-moi ton joli petit cul, ma chérie… »

Mineko n’avait plus qu’à rejoindre le lit puis Alice lui enfilerait le plug…

Minéko venais d’avoué son envie de se faire dominer par sa Maitresse. Après tout selon les lois de se monde, elle était une esclave officiellement et elle l’avait accepté de son plein gré. Le chemin du retour se fit donc en discutant de ça, Alice acceptant de la traité en amie, en servante et en esclave quand les circonstance s’y prêtait plus à l’un qu’à l’autre. Alice lui expliqua être la fille de Lust une déesse de la luxure et que depuis son mariage, elle devait plus dominatrice dans les bonne condition, c’était donc surement pour ça que Mélinda lui avait offerte une esclave.

Arrivé au château, la tenant par la Main, Alice la conduisit à sa chambre. Ainsi finalement il n’y aurait qu’elle de soumise ce soir et pour ça elles allaient se préparer. Minéko se laissa embrassé avec plaisir par sa Maitresse, alors qu’elles étaient finalement dans la chambre. Alice se décolla alors après caressé ses fesses et attrapa une robe qu’elle comptait mettre. Puis Alice lui montra alors une petite boite révélant un plug doré, lui disant qu’elle maintenant le porté et durant le repas. Méniko rougie un peu, mais l’idée lui plaisait bien aussi.

-D’accord Maitresse.

Ainsi elle regarda Alice se mettre nue dans toute sa beauté, puis s’installa dans un fauteuil et comptait lui mettre l’objet avant que Minéko s’occupe de l’habiller. Ainsi, elle s’avança montant sur le lit et se mit à quatre patte, les fesses vers Alice.

-Voilà Maitresse.

Elle lui fit alors un sourire et releva la jupe de sa tenue pour offrir ses fesses à soins de sa Maitresse.

Alice ne savait pas si elle serait une Maîtresse aussi talentueuse que Mélinda. Inconsciemment, elle essayait sans doute de suivre sa manière d’agir, ce mélange de douceur et de fermeté, ce zeste de perversité dans un gant d’élégance. Mais elle avait aussi sa propre méthode. Elle voyait Mineko autant comme une amie que comme son esclave, et Mineko allait devoir apprendre à gérer les différentes facettes de cette relation. Alice la traiterait autant comme son égale que comme sa soumise, ce qui pouvait prêter à confusion. Mais, pour l’heure, elle avait envie de jouer avec elle… À sa manière. Mineko la rejoignit donc, et grimpa sur le lit, lui présentant ses fesses. Nue, Alice sourit, et souleva sa jupe, révélant ainsi son beau postérieur. Elle caressa d’une main les fesses de Mineko, glissant sur sa peau, et la sentit doucement frémir. Comme on pouvait s’y attendre de la part d’une jeune femme formée par Mélinda, les rapports anaux ne devaient pas lui faire peur. Alice se mordilla les lèvres, hésitant à la sodomiser… Mais elle se rappela ce qu’elle avait dit à Mineko, et au fait qu’elle comptait attendre le retour de son mari ce soir pour qu’ils la prennent tous les deux. Alice y voyait comme une déclaration d’amour, et elle ne comptait pas revenir là-dessus !

« Tu as vraiment un joli petit cul, Mineko-chan… »

Souriant doucement, Alice embrassa ensuite chacune de ses fesses, puis écarta la culotte de Mineko. Elle approcha ensuite le plug doré, le suçota un peu, puis l’enfonça dans le fondement de la femme. Elle la sentit gémir doucement. L’appareil fut coincé un peu au début, et Alice dut forcer avec le pouce pour le faire coulisser en elle. Il rentra finalement, et s’arrêta à la pointe. Elle sourit, puis remit la culotte à sa place, et abaissa la jupe. On ne voyait pas du tout la boursouflure formée par la pointe arrière du plug. Alice sourit donc, fière de son œuvre, et appuya alors sur le plug, ce qui déclencha la fonction vibrante. Le jouet se mit à vibrer dans les fesses de Mineko, surprenant celle-ci. Alice lui sourit donc, et la coucha sur le dos.

Mineko était normalement supposée l’habiller à ce moment, mais rien ne pressait. Elle lui caressa la joue, et alla l’embrasser, en s’allongeant contre elle.

« C’est un plug vibrant… Je vais t’aider à t’y habituer… En commençant par te faire jouir, ma beauté. »

Nue, Alice se frottait au corps de Mineko, et glissa sa main sous sa minijupe, pour caresser le sexe de la jeune femme avec sa main, ses doigts glissant pour l’heure sur sa culotte, comme pour la titiller, la stimuler…

Mineko attendait donc sagement sur le lit à quatre patte, la jupe relevée que sa Maitresse s’approche. Alice se plaça alors à côté d’elle et commença à caresser doucement ses fesses. Mineko ut un léger frisson, mais d’excitation, puis elle sentie alors sa culotte baisser. Son cul ainsi exposé à sa maitresse, la fit rougir un peu, elle avait beau avoir déjà était attacher et exposé comme cadeau à ses yeux, elle éprouvait toujours une part de gêne naturel. Mais elle avait envie d’être dominé, d’être son esclave, surement que la savoir gentille le reste du temps la mettait en confiance. En tout cas cette envie gagnait du terrain.

-Merci Maitresse.

Elle sentie alors le fameux objet à l’entrée de ses fesses, puis sentie alors Alice le poussé pour le caller en elle. Minéko poussa alors un adorable gémissement, alors que l’objet se mit bien en place. Le sentir en elle était plus agréable qu’elle ne s’y attendait, puis elle senti alors l’objet se mettre à vibré, ce qui la surprit. Elle allait devoir le supporter comme ça, même pendant le diner, surement jusqu’à être offerte à son mari se soir. Sa culotte remise en place et l’objet toujours en elle, Minéko regarda sa Maitresse se mettre contre elle, lui expliquant qu’elle comptait bien jouer avec elle encore un peu.

-Hum, avec plaisir Maitresse.

Alice viens alors l’embrassé, puis passa alors sans gêne une mains sous sa jupe, commençant à caressé son sexe à travers sa culotte. Minéko gémie doucement, facilement excité par la situation, les caresses de sa maitresse, être en son pouvoir et les vibrations en même temps dans son cul.

-Hum c’est bon…je crois, que je vais aimez être votre esclave Maitresse.

Alice se dit que Mineko n’avait peut-être encore jamais dû avoir quoi que ce soit en elle. Mélinda avait tenu à la former en la gardant pure, comme un joli cadeau pour Alice. Elle esquissa donc un sourire quand elle entendit Mineko gémir au contact du plug dans son fondement. Elle l’inséra en elle, et le poussa ensuite lentement, jusqu’à l’extrémité. Alice appuya avec son pouce pour bien le positionner, et referma ensuite la culotte, non sans donner une petite tape sur les fesses de Mineko. Les joues rougies, la servante devait se faire à cet appareil qui remuait en elle, et Alice ne put que l’embrasser, se frottant à elle. Elle sourit quand Mineko lui signala qu’elle allait aimer être son esclave, mais mordilla alors la lèvre inférieure de Mineko, en crispant ses doigts contre sa chatte trempée.

« Tu le crois seulement ? » répondit Alice sur un ton malicieux.

Elle poussa alors Mineko. La jeune femme s’affala sur le lit, et sentit le plug remuer en elle quand elle heurta avec ses fesses le lit. Alice la rejoignit, s’allongeant contre elle, et retourna masturber la jeune femme. Elle la regardait avec un sourire sur le coin des lèvres, et une lueur de désir dans les yeux. La main humide, Alice la retira de la culotte de Mineko, et promena ses doigts sur les lèvres de sa jeune esclave, l’incitant ainsi à les suçoter.

« Tu m’as l’air bien impertinente, Mineko-chan… Je vais commencer par te punir pour ton manque de foi en ta Maîtresse. »

La jeune tête blonde se redressa alors, et retourna Mineko, la couchant sur le ventre.

« Remets-toi à quatre pattes, tu vas aller à con-fesse ! » glissa Alice.

Elle releva la jupe de Mineko, et l’enroula ensuite en la coinçant sous sa ceinture, révélant ainsi ses fesses. Alice retourna les malaxer toutes les deux, puis les pinça ensuite. Elle  récupéra ensuite le collier, le remit autour du cou de Mineko, avec une laisse, ainsi qu’une cravache dans l’autre main. Elle tira alors sur la laisse, relevant le dos de Mineko, et frappa l’une de ses fesses avec sa cravache.

« Qui est une vilaine esclave qui a besoin d’être éduquée par sa Maîtresse ? Hum ? Qui est-ce, ma Mineko-chan ?! » demanda-t-elle, tout en abattant une seconde fois sa cravache.