The Multiversity

Quel pied, mais quel pied !!! Booette adorait sentir le cul de Bowsette s'écraser sur son visage, la sentir presser ses joues, son nez, ses yeux, son visage, oh oui, elle adorait sentir ce cul venait s'écraser sur elle avec passion et force. Elle n'avait pas mal, même quand sa chère Bowsette se relevait pour mieux lui écraser le visage, elle en couinait de plaisir ! Elle pourrait chercher à la tuer ainsi, elle ne ferait que l'amener au septième ciel. Étant aussi une Boo, mourir, ça lui était impossible. Il devait bien avoir un moyen, mais ce n'était pas un cul, aussi beau soit-il, qui aura raison d'elle. La reine spectrale adorait ce qui se passait. Elle qui était si pudique et vierge, elle basculait quand même plutôt vite dans ce monde inconnu. Peut-être cela avait un rapport à sa vie passé, mais n'en gardant aucun souvenir, elle ne pouvait pas dire.

Bien que Bowsette faisait le bonheur de Booette, elle voulait elle aussi s'amuser après avoir tâté une petite zone apparemment amusante. La reine se plaça entre ses jambes et déjà Booette avait honte ! Elle couinait plus de honte que de plaisir en se masquant le visage bien qu'elle écartait ses doigts pour voir ce qu'elle comptait lui faire ?

« Que-que-que... Tu c-compte f-f-faire quoi ? »

Voyant sa longue langue sortir, elle ne tardait pas à le savoir, car elle passait le long de sa fente, sur la culotte, ce qui la fit gémir et couiner à la fois, le plaisir était là, mais la situation était gênante. Plus que se faire écraser par une paire de fesses ? Booette ne pouvait de toute façon pas lui refuser cela et elle la laissait continuer, profitant de cela pour prendre plaisir à cette nouvelle vague alors que sa langue progressait en elle. Booette tremblait de plaisir, le bas de son corps était parfois pris de spasme tant le plaisir grimpait parfois en flèche et si jusque-là, la reine des Boos gémissait et couinait assez discrètement, quand Bowsette venait à s'attaquer à une certaine partie très sensible, sa voix ne pouvait rester enfouie dans sa gorge...

« Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!! »

C'était délicieux mais surprenant. Elle contempla plus en détail Bowsette, on aurait pu croire son regard effrayer, mais elle s'était faite peur toute seule. Elle avait crié si fort ? Houlala, cette honte...

« Non... ne me regarde pas.... »

Les joues toujours plus rouge, elle voudrait que la reine cesse de la regarder, mais elle ignorait pourquoi elle-même ne pouvait détacher son regard de sa future femme. La voir entre ses jambes avec sa grosse et longue langue, ça l'excitait... Bowsette avait peut-être trouvé la partie la plus sensible chez Booette ? En même temps, cela comptait normalement pour chaque femme, mais elle qui était vierge et inculte à se domaine, ça lui faisait beaucoup à apprendre en une seule fois. La reine des fantômes avait encore quelques surprises à réserver pour Bowsette, mais elle le découvrira bien assez vite... la reine des Boos était une femme fontaine mais attention, une vraie de vrai ! Quand elle aura son premier vrai orgasme, elle va jouir autant que si elle se vidait la vessie après une longue, très longue attente ! Mais comme Bowsette semblait aimer, ça va lui faire une raison de plus d'aimer sa petite fantômette. Attention cependant au jet, car elle va y aller avec plaisir !

Aussi agréable soit-il, le visage de Booette n’était pas la seule partie de son corps qui intéressait fortement Bowsette. La Reine koopa s’intéressait aussi fortement à sa délicieuse intimité, à cette ouverture intime. Tôt ou tard, la Reine boo allait y passer, et, évidemment, quand la langue reptilienne de Bowsette s’en approcha, Booette poussa un petit cri de panique en se cachant les yeux avec ses mains gantées. Une scène qui ne manqua pas d’amuser Bowsette, qui en gloussa doucement.

« Kuhuhu, tu es trop mignonne, ma Booette… »

Ne pas la regarder… Et puis quoi encore ? Bowsette se rapprocha encore, et s’amusa à mordiller la chair autour de l’ouverture de Booette. Elle titilla sa peau, et fit encore couiner Booette. Celle-ci poussait de courts cris stridents et suraigus en se dandinant nerveusement sur place. C’était exquis, tout simplement ! Bowsette gloussa à son tour, et pencha la tête sur le côté, avant de lécher encore, s’enfonçant cette fois dans son sexe. Elle sentit les parois intimes de Booette se serrer autour de sa langue, et frémit en sentant rapidement une fine membrane, son délicat hymen.

Bowsette se pinça délicatement les lèvres, et reprit ensuite ses caresses buccales. Sa langue s’enfonça encore en elle, remuant fortement. La Reine koopa s’amusait longuement, et continua à la lécher, faisant encore gémir Booette. Les minutes passèrent avec délice, tandis que Bowsette continuait à lécher, et que les cris de Booette s’atténuaient, remplacés par de longs et délicieux soupirs. C’était un son très agréable pour Bowsette, qui continuait à se frotter longuement.

« Là, là… Ça va mieux, hein ? Évidemment que je veux te regarder, Booette, je veux lire le désir sur ton visage… Je vais bien m’occuper de toi, ma chérie, je vais m’occuper de chaque parcelle de ton corps, de chaque partie, je ne vais rien te laisser… »

Oh oui, elle allait prendre grandement soin de sa belle Booette !

« Allez, dis-moi ce que tu ressens, Booette, je veux tout savoir… Est-ce que c’est agréable ? Est-ce que ça te fait du bien ? »

C'était incroyable ce qui se passait, c'était même très bon, mais Booette ne pouvait pas le dire tout haut, surtout quand Bowsette la regardait. Jamais une femme ne la mettait aussi mal à l'aise, elle qui depuis sa « naissance » était si confiante et dominait les autres – si on oublie ce nabot de Tastroff – la voilà soumise à elle. Cela ne lui déplaisait pas, mais sa nature de reine lui dictait que c'était mal, elle ne devait pas agir de la sorte ! Elle était reine bon sang ! Mais Bowsette aussi. La même qui était en train de lui lécher l'entrejambe et elle aimait sentir sa langue reptilienne en elle, remuant dans chaque recoin accessible. Elle en mouillait, elle se retenait de gémir, mais plus le temps passait et plus cette barrière s'écroulait doucement, car après tout, elle n'était pas mécontente de ce qui se passait. La reine spectrale avait beau se retenir, le plaisir fuyait de plus en plus de ses lèvres, et pas seulement celles entre ses jambes. Bowsette refusait en plus de ne pas la regarder, la qualifiant de mignonne, ce qui était gentil, mais ne la laissait pas à son aise, pour sûr.

Bien après des coups de langue, son plaisir s'échappait plus facilement, elle se contenait encore un peu mais ses soupirs s'échappaient sans trop de gêne alors que, bien que ses mains soit toujours sur son visage, elle observait toujours Bowsette entre ses cuisses et quand cette dernière remontait ses yeux vers elle, la tension grimpait en flèche, la rougeur de ses joues faisait oublier que sa peau était aussi pâle que celle d'une poupée de porcelaine.

« Maiiiiiiiiiiiiiiiiiiis... »

Cela fut sa seule réplique face à une Bowsette qui s'amusait à vouloir la contempler encore et encore pour savourer le plaisir lisible sur son visage. Et pire, elle demanda des détails sur ce qu'elle ressentait. Ses doigts se refermaient, masquant ses yeux de rubis alors qu'elle tentait de lui répondre, la panique en prime, retrouvant ainsi ses bégaiements et sa rougeur presque habituel pour Bowsette.

« J-je d-dois av... Avouer ! Q-que c'est hum... A... Agréable... J-j-j-j'aime sentir ta... mmhhh... ta lan-gue entre m-mes cuisses... »

C'était honteux ce qu'elle disait, elle n'arrivait pas à croire qu'elle disait cela à Bowsette. Mais d'un côté, elle sera sa femme, il est logique qu'elles passent par ce genre de chose, non ? Il va lui falloir juste un peu de temps, comme perdre cette habitude d'être si paniquée devant la reine koopa. Mais il y a encore du chemin à faire pour ça... Encartant doucement ses doigts pour voir Bowsette, elle l’apercevait à peine qu'elle voulait à nouveau se cacher, mais elle se forçait à affronter son regard, bien que toujours paniqué, pour une demande bien spéciale de la part de cette timide mais adorable reine spectrale.

« Bo-Bowsette... P-p-puis-je l-la v-v-v-voir ? »

Que voulait-elle voir ? Eh bien la reine n'avait-elle pas dit qu'elle voulait la prendre par-derrière afin de garder sa virginité vaginale pour le mariage ? Booette devait la voir pour appréhender ce qui pourrait bien arrivée sous peu, savoir ce qui risquait de venir en elle. Sa langue n'était pas très grande – comparé à Booette qui pouvait facilement allonger la sienne pour en faire un lasso – et ce fut plutôt agréable, il faut le reconnaître.

« Je... je dois s-savoir ce... ce qu-que a-avoir... en... en moi... »

Elle ne l'avait pas dit clairement, mais ainsi Bowsette devait bien se douter de ce qu'elle disait, sauf si elle avait une très mauvaise mémoire. Une chose est sûre, en voyant la bête, Booette risquait de prendre peur. Allait-elle refuser ou fuir ? Ça en revanche, c'est peu probable.

Bowsette sourit doucement, très amusée par les réactions extrêmement nerveuses de Booette. Sa petite Boo, si monstrueuse face à d’autres personnes, se transformait en une petite chiffe molle, qui se cacha les yeux des deux mains à l’idée d’avouer à sa fiancée qu’elle aimait beaucoup qu’elle lui lèche les cuisses. Repliant sa langue, Bowsette lui redonnait une forme normale, et vit Booette écarter timidement les doigts de ses yeux, avant de les rabattre à nouveau, toute paniquée. Un sourire amusé éclaira les lèvres de Bowsette, qui l’embrassa tendrement sur le front. Elle ne voulait clairement pas le brusquer, et embrassa ensuite ses doigts, les léchant également. Booette déglutit alors, et parvint, tant bien que mal, à demander à voir la verge de Bowsette… Ce membre épais qui allait la transpercer de part et d’autre, qui allait s’enfoncer en elle.

Nullement surprise par cette requête, Bowsette hocha la tête, et, quand Booette replia ses mains, elle en profita pour l’embrasser à nouveau sur la bouche. Surprise, Booette sursauta doucement, mais lui répondit délicatement. Elle cessa donc de titiller ses lèvres encore, et un mince filet de salive relia leurs bouches pendant quelques instants, que Bowsette éteignit d’un coup de langue. Elle lécha ensuite ses lèvres, et se redressa donc, faisant doucement craquer ses articulations dans son dos.

« Tes désirs sont des ordres, ma Booette… »

Elle lui sourit donc, avant de se relever. Debout devant Booette, Bowsette se concentra, et tira sur la fermeture Éclair de sa tunique, puis se concentra. Quand Bowser avait fait d’elle une Koopa, cette transformation avait aussi rendu Bowsette hermaphrodite, ce que sa partenaire allait vite remarquer. Bowsette se concentra donc, pinçant ses lèvres, et gémit quand son vagin se déforma. Sa verge jaillit alors, magnifique membre recouvert de cyprine, qui pendouilla avant de se redresser, tapant contre son ventre. Sa sortie déclencha un irrésistible frisson chez la Reine koopa, qui ferma les yeux en serrant les poings, sentant l’exquise vague la traverser. Booette avait une vue de premier plan sur ce membre turgescent, cette queue assoiffée qui ne demandait qu’à la pénétrer.

Bowsette rouvrit les yeux, et sourit donc, tout en se masturbant. Elle avait sorti sa verge « normale », sans les picots draconiques qui pouvaient parfois pointer sous l’effet des gènes koopas en elle. Le membre qui se dressait devant Booette était très attirant, et elle sourit doucement à sa partenaire, frissonnant un peu, des tremblements nerveux l’agitant de part en part.

« Là, là, viens, Booette… N’hésite pas à… À te familiariser avec ma verge, hummm… À la toucher, à la renifler, à l’embrasser, je… Je veux sentir tes délicieuses lèvres de timide souveraine se poser dessus, embrasser ma queue à plusieurs reprises, admirer cette verge qui… Qui va bientôt s’enfoncer en toi pour te remplir d’un bonheur incommensurable, hmmm… »

Oh oui, le plaisir promis serait tout simplement fabuleux !

Toujours aussi paniqué et désarmé face à Bowsette, la reine des fantômes osait à peine croiser son regard qu'elle sombrait déjà dans une panique qu'elle ne pouvait contrôler. Par chance, cela amusait la reine koopa qui lui trouvait un air mignon derrière cela, de quoi rassurer quelque part Booette. La grande reine fantôme qui, en soit n'était pas méchante. Elle se nourrissait de la peur d'autrui alors elle leur faisait peur et ce n'est que si cela ne fonctionnait pas qu'elle se nourrissait plus naturellement en mangeant les gens, littéralement. Mais face à Bowsette, peur ou non, elle ne pouvait se résoudre à lui faire du mal. L'amour, peut-être, mais aussi une petite voix en elle qui la forçait à ployer le genou plutôt que chercher à l'affronter. Déjà qu'elle avait fait une sacrée demande en voulant voir sa queue, sans être aussi direct, il ne faudrait pas trop secouer la pauvre reine spectrale. Bowsette finis par se redresser, se mettant à nue tout en se concentrant pour faire jaillir sa queue d'entre ses cuisses. Toujours à cacher son visage, Booette poussa un petit cri de surprise en la voyant jaillir et s'étirer pour venir heurter son ventre ! Mais... C'était bien trop gros pour aller en elle !!!

« Mais-mais-mais-mais ! »

La panique la gagnait plus que d'habitude alors que sa future femme se masturbait devant elle, l'invitant à venir la voir de plus près. De si près, c'est sûr qu'elle était grande, très grande ! Observant toujours cette girafe entre ses doigts, elle avait l'impression de n'être qu'une toute petite Booette ! Bien que peureuse face à ce colosse, elle en était aussi fascinée ! Son visage se heurtait au bâton de chair, créant en elle une drôle d'envie, qui dépassait doucement, mais sûrement la peur. Sa bouche pouvait s'ouvrir en grand donc elle en avait pas très peur de ce côté, mais Bowsette comptait l'enfoncer dans son orifice le plus étroit alors forcément... elle en avait un peu peur !

« Oooooooh... »

Son visage caressait sa queue alors que sa langue sortait doucement, venant entourer sa queue, de la base jusqu'au gland. Élastique, sa langue grandissait pour s'enrouler autour comme un serpent et la serrer. Un boa constrictor remplaçait sa langue, donnant une agréable sensation à sa future femme. Cela lui permettait de voir ce monstre s'élever toujours sous ses yeux, toujours plus haut et plus fort ! Mais comme le demandait Bowsette, Booette finissait par retirer ses mains, venant renifler sa queue, son nez frôlant sa peau humide avant de laisser ses lèvres la caresser de bas en haut. Elle avait pris la chose à l'envers. La langue, l'odeur et ses lèvres. Face à sa queue, la peureuse reine léchait sa belle bite, avec un visage si docile et soumise, la léchant comme une crème glacé en observant Bowsette depuis sa queue. Bien sûr, elle détournait ou fermait les yeux parfois, elle ne pouvait affronter son regard très longtemps sans sombrer à la panique ! Mais justement, maintenant qu'elle en avait, mine de rien, bien profiter, qu'allait-il se passer ? Elle avait sa petite idée, mais... ça faisait peur !

« Bow-Bowsette... je... je pense que j'y arriverais pas ! Elle... Elle est trop grosse pour rentrer en moi ! J'ignore co-comment sont les autres femmes m-mais pour moi, c'est bien trop p-petit et étroit ! Ton petit doigt pourrait... ren-rentrer... Mais pas... ça ! »

Elle qui était un fantôme, pouvait traverser les murs et se rendre intangible et qui, en plus, était quelque part, déjà morte, vu sa nature de Boo, elle avait peur de sa première fois anale... On pouvait être reine et être aussi très mignonne dans sa naïveté. Bowsette avait tiré un sacré gros lot !

Bowsette était naturellement très excitée par Booette. Savoir que cette Reine koopa, si terrible en extérieur, se montrait paradoxalement si docile face à elle… Comment ne pas être excitée ? Booette était magnifique, avec des formes épaisses et voluptueuses. La Reine l’observait en souriant, se pinçant même les lèvres. Maintenant que Bowsette avait déployé sa verge, il était difficile de la faire rentrer tant qu’elle ne se serait pas déchargée. Elle en était même plus ou moins incapable, alors il allait falloir que Booette assume ! Surprise devant la taille de ce membre, Booette s’agenouilla tout de même devant sa queue.

La Reine frémit quand la langue violette de Booette jaillit de sa bouche, et s’enroula autour de sa queue. C’était une longue langue reptilienne, que Booette avait transformé. Elle se mit ainsi à la masturber avec sa langue, tout en frottant son visage sur sa verge. Bowsette se pinça les lèvres en serrant les poings. Le désir se mit à exploser en elle. Avant de devenir Bowsette, elle n’avait jamais eu une verge. Elle ne savait même pas qu’elle pouvait faire ça, et le Professeur Tastroff avait été extrêmement surpris, assimilant cette mutation aux gènes potentiellement hermaphrodites des Koopas.

« Oooh, Booette, hmmm… On dirait qu’un serpent s’est enroulé sur ma queue, haaaa… »

Sa main caressait les cheveux de Booette, ses doigts se crispant parfois dessus. Tastroff n’avait pas réussi à résoudre ce problème, et, peu à peu, Bowsette avait appris à contrôler son plaisir, à retenir sa verge pour que Bowser puisse mieux la saillir. De fait, le Roi koopa avait été un amant formidable, et elle l’aurait conservé s’il ne s’était pas montré si imbu de lui-même, et voulant à ce point la dominer. Enfin, de fait, c’était lui qui l’avait jeté dehors, mais ça n’avait pas été pour déplaire à Bowsette, qui avait maintenant un nouveau domaine, et était sur un monde semblant infiniment plus intéressant que le Royaume Champignon !

Bowsette soupira donc, tandis que les coups de langue continuaient. En comprimant sa queue, Booette la faisait encore plus bander, et elle finit par se retirer. Sa langue reprit une forme normale, et, maintenant que la verge de Bowsette avait encore grossi, les beaux petits yeux de Booette s’écarquillèrent sous la surprise et la peur. En l’entendant, Bowsette sourit doucement, et posa sa main sur sa verge, venant tapoter le visage de sa concubine.

« Comment peux-tu oser refuser la verge de ta souveraine et future femme, Booette, hmm ? Ce que tu dis ressemble presque à un crime de lèse-majesté ! Je te fais un immense honneur ! »

Elle la taquinait un peu, bien sûr, mais, en même temps, il était si amusant de voir la belle Booette paniquer face à elle !

« Pas d’enfantillages, Booette ! Ta chatte sera parfaite pour ma queue, et, plus c’est serré, et mieux c’est ! »

Bowsette pouvait se montrer très autoritaire, mais c’était aussi comme ça qu’on l’aimait. Là où Peach avait toujours été dans la compassion et dans l’amour de son prochain, Bowsette, elle, était bien plus directive. Elle se déplaça donc, et se rapprocha du lit.

« Ça va te faire mal, mais c’est comme ça qu’on prend son pied. Tout ce que tu devras faire, c’est pousser de délicieux hurlements pour expulser toute cette souffrance en toi ! Et puis, tu es la Reine Booette, non ? Couche-toi sur le lit, et laisse-moi m’occuper du reste ! Tu peux me faire confiance, non ? Je te garantis que tu vas adorer ça, et que tu en redemanderas même ! Mais bon… Je te propose d’essayer pendant cinq minutes, et, si ça ne te plaît pas, on arrête. Qu’en penses-tu ? »

Mine de rien, Booette pouvait parfois être sacrément têtue, alors Bowsette se devait bien de faire des compromis !

Autant Booette avait su apprécier lécher cette belle et longue queue délicieuse qui la faisait doucement mouiller. Rien que la voir si tendue et dure pour elle, ça ne la laissait pas indifférente, loin de là, elle adorait même voir Bowsette la dominer, ne pas la voir en reine, mais en « chose inférieure » à elle. Que ce soit juste le titre en dessous de Bowsette ou la pire catin du royaume, elle aimait cette idée que la reine koopa la domine. Elle avait beau être reine et aimer s'en vanter, face à elle, elle se savait inférieure et que dans l'intimité, la reine le souligne ne lui déplairait pas. Ça pourrait même lui plaire. Mais quand elle remarquait sa grande et grosse taille une fois son travail terminé et sans l'avoir littéralement sous les yeux, elle se rendait compte que ce serait trop gros ! Inutile d'avoir fait de longue et éprouvantes études pour se rendre compte qu'un tel engin ne pourrait pas aller dans un de ses trous ! Sa bouche, oui, c'était assez gros, et même en allant au bout, le trou de sa gorge permettrait de laisser passer cela quitte à avoir du mal à respirer. Mais bon, ça, c'était un détail, car elle était déjà morte.

Anus ou vagin, ça ne rentrerais pas, soyons logique ! Bon, côté vagin, ça irait déjà mieux mais Bowsette voulait passer par-là pour leur mariage, sauf si son excitation lui avait fait abandonner cette idée ? La reine lui tapotait le visage avec sa longue queue, ce qui lui donnait de légers frissons de plaisir alors qu'elle lui passait un savon. Ça aussi, ça lui plaisait bien !

« M-ma chaaaaaaatte ?! »

Écarquillant ses yeux en cherchant à se couvrir le visage de ses mains, ses lèvres tremblaient de peur et de surprise, peut-être même un peu de joie derrière sa panique affichée. Bowsette se rapprochait doucement, Booette reculait sur le lit, son corset laissait sa poitrine à l'air, alors qu'elle cherchait à masqué son intimité en serrant les cuisses, remontant une de ses jambes. Sa future femme cherchait à la rassurer, sans lui mentir. Ça allait faire mal, mais elle allait juste devoir crier pour en souffrir moins. Elle proposait même une période d'essai pour qu'elle voit si cela lui convenait ou non ? C'était plutôt un bon marché en soi. Booette gardait ce côté peureuse face à Bowsette, ses lèvres formaient une grimace appeuré, mais bien qu'elle le cachait, elle mouillait face à cette approche, ce rapport de force. Oui, Booette serait comblé avec la douceur de sa reine, mais elle le serait tout autant quand elle la dominera et la prendra sans demander son avis. Et encore, elle voyait là un sexe normal, quand elle verrait sa version koopa, avec des picots, elle en sera folle dingue de sa femme. C'était un geste noble que d'y aller en douceur pour commencer leur relation, mais la reine des Boos sera aux anges quand sa femme fera d'elle son jouet, se fichant bien de son avis, seul l'intérêt de Bowsette comptait.

Ses doigts se crispaient, saisissant la couverture, ne pouvant reculer plus que cela, sauf si elle passe à travers le lit et le mur évidemment, elle avalait sa salive, toujours en ayant les joues rouges, son cœur bien que mort battait la chamade.

« Je-je... te f-fait confiance... »

Doucement, sa cuisse se frottait à son autre cuisse s'écartait lentement, dévoilant son entrejambe humide, c'était déjà le cas avant, Bowsette y avait glisser sa langue reptilienne mais là, ses lèvres ressemblaient à une éponge, la moindre pression dessus, en ferait jaillir surement un petit jet de cyprine. Booette avait peur, mais elle était paradoxalement aussi très excitée ! C'est sa reine qui allait adorer la faire crier de plaisir !

Si Peach avait été une femme très patiente, ce n’était pas le cas de Bowsette, beaucoup plus autoritaire et directive. Elle soupira donc en voyant Booette paniquer. Bowsette se rapprocha d’elle, et Booette se coucha sur le lit. Nerveuse, la Reine koopa se cacha le visage en serrant ses cuisses. La Reine koopa soupira longuement, et la rejoignit ensuite. Elle avait dit ce qu’elle avait à dire, et il était maintenant temps de passer aux choses sérieuses. Elle se pencha donc vers elle, et attrapa les poignets de Booette, venant les plaquer sur le lit, juste au-dessus de sa tête. Son regard croisa le sien, et sa verge se frotta contre ses cuisses. Bowsette sourit malicieusement en croisant le regard de Booette, et l’embrassa alors.

« Arrête de gémir, Booette… N’oublie pas que tu es en face de ta Reine ! Oserais-tu douter de moi, hm ? »

Elle allait sans doute devoir se montrer un peu plus autoritaire avec Booette ! La jeune Reine boo semblait lui obéir instinctivement, et Bowsette fronça brièvement les sourcils, comme pour lui montrer qu’elle se fâchait. Booette se montra dès lors plus conciliante, et la verge de Bowsette caressa ses cuisses, remontant contre sa chatte. Elle déplaça sa main, et attrapa sa queue, pour mieux la guider. Elle soupira doucement, et se rapprocha. Sa verge heurta les lèvres intimes de la jeune femme, et elle soupira une nouvelle fois, sentant la résistance de cette chatte, l’étroitesse de ce con.

Son vit se frotta contre elle, et Bowsette soupira encore. Elle se tortilla sur place, et commença à forcer le passage.

« Hrrrmmm… !! »

La Reine koopa dut fermer les yeux en se mordillant les lèvres. Elle grogna donc, et commença à remuer, venant ensuite tout doucement percer l’hymen de sa partenaire, et sentit un frisson grisant la traverser. Bowsette rougissait sous l’effort, commençant peu à peu à réaliser quel pied cela allait être ce soir !

C'était tout naturel pour Booette de paniquer face à cela ! C'était sa première fois ! Et sa verge était immense ! En plus, Bowsette avait d'abord parlé de la prendre par-derrière pour garder le devant pour leur nuit de noce et maintenant, elle voulait la prendre par devant ? Elle avait mal entendue ? Elles étaient déjà marié par un procédé qu'elle ne connaissait pas ? Elle était perdue !!! Elle était intimidée par la reine Koopa qui se pencha sur elle, retirant ses mains de son visage pour les plaquer sur le lit alors qu'elle commençait à vouloir prendre les choses en mains. Comment ça ? Qu'avait-elle donc prévue du coup ? Face à ce ton, à ce regard, elle ne pouvait que lui obéir, malgré la grimace qui déformait ses lèvres, ses gémissements se firent plus discret alors que son énorme mandrin se rapprochait, s'enfonçant doucement en elle pour venir la pénétrer doucement... pour le moment. Car elle s'enfonçait de plus en plus, malgré la peur, elle observait Bowsette dans les yeux, au fur et à mesure que sa queue s'enfonçait, détruisant sa barrière naturelle, la douleur la traversait. Ce n'était pas une vive douleur, mais elle la ressentait malgré tout alors que son corps était de plus en plus envahi.

« Uuuuuuuuuuuuuhhhh... »

Elle tentait de rester aussi silencieuse que possible, mais ce n'était pas si simple face à ce qui lui arrivait. Plus Bowsette s'enfonçait en elle et plus sa bouche s'ouvrait, sa langue venant en sortir de plus en plus. Elle faisait des efforts pour obéir à sa reine tout en faisant sortir cette douleur et les émotions en elle, mais ce n'était pas simple d'allier les deux. Elle se faisait prendre et si elle ne s'en ferait pas autant, elle pourrait constater combien s'était plutôt bon ce qui se passait. Un peu étroite, ça alternait entre douleur et plaisir pour le moment, mais cela ne lui déplaisait pas en réalité. Il fallait juste que la reine spectrale se fasse à cette idée, mais pour le moment, elle était juste un peu perdue dans bien trop de chose à la fois, difficile de faire le point sur une seule chose. Pour ça, il faudrait que Bowsette lui prenne la main pour la guider. Et encore, Booette serait capable de se perdre tant elle ressentait de choses actuellement.

« Mmmmmmmmuuuuuuuuuuhhhh.... aaaaaaaa-aaaaaah... Bo... Bowseeeeeeeette... »

C'était presque un appel à l'aide ça...

Bowsette avait initialement songé à préserver la virginité de Booette jusqu’au mariage, mais, vu comment celle-ci était nerveuse, et vu l’excitation que Bowsette ressentait, la Reine koopa ne pouvait pas non plus attendre ! Elle opta donc pour une pénétration vaginale, et vit le regard de Booette s’écarquiller. Le plaisir se lut ensuite dans son regard, tandis que sa bouche s’ouvrit en grand, libérant sa longue langue reptilienne. Bowsette gémit doucement, grognant en bandant ses muscles. Booette était très serrée, un corps parfait, mais quelle énergie ! Bowsette sentait sa verge se coincer en elle, peinant à ressortir. Elle se tortilla un peu sur place, filant en arrière, puis repartit en avant. Booette gémit encore, silencieusement, avant de pousser de longs soupirs. Sans rien dire, Bowsette se concentrait alors uniquement sur sa pénétration, consciente que sa partenaire était du genre tenace.

Elle observait encore sa promise, et vit celle-ci, entre deux soupirs, prononcer son nom. Elle sentait sa mouille jaillir autour de sa queue, et grogna encore. Son corps recula à nouveau, et elle gagna plusieurs centimètres, sentant petit à petit sa verge revenir, puis grogna encore, et donna un coup de reins supplémentaire. Booette remua sur le lit, sa mouille se mélangeaient à son sang virginal.

« Oooh, ma chérie… ! »

Bowsette sentait sa nervosité, visible dans son regard paniqué, dans ses yeux écarquillés. Elle sourit encore, consciente qu’elle allait devoir agir là-dessus. La Reine koopa ne pouvait pas laisser son amante paniquer, et continua à remuer en elle, sentant sa verge durcir encore, déformant progressivement les parois intimes de sa partenaire. Elle sentait sa nervosité, et opta donc pour une autre approche, en ralentissant le rythme, jusqu’à pouvoir ainsi s’assurer que Booette la regardait.

« Regarde-moi, Booette, hmmm… Pendant que je te fais l’amour… Je veux que tes yeux se fixent sur les miens. Regarde-moi, ma chérie, regarde ta Reine faire de toi une femme accomplie, ne cherche pas à lutter, haaaan… Contente-toi de me regarder ! »

Elle-même en fit de même, reprenant ensuite ses coups de reins, accélérant et s’enfonçant progressivement, au fur et à mesure que les parois vaginales de Booette se dilataient…

Est-ce que ça allait vite ou bien est-ce que Booette était simplement trop timide ? Difficile de trancher puisque face à Bowsette, la pauvre reine spectrale perdait tous ses moyens. Face à ses sbires, à son dragon, elle n'avait aucune peur et pouvait prouver toute sa grandeur, mais face à la jeune femme, impossible... Quelque chose en elle la poussait à se faire toute petite, à ne pas contrarier la reine Koopa. Si elle voulait sa virginité au mariage, soit, si elle la voulait maintenant, soit aussi. Elle la pénétrait, forçant le passage, lui causant une petite douleur suivi d'un petit saignement. Une des rares choses physique pouvant la faire saigner à dire vrai. Booette retenait ce cri, mais la douleur se lisait sur son visage tandis que sa future épouse la prenait avec force et passion, voulant lire sur elle tout ce plaisir. Elle lui demanda de la regarder dans les yeux pour ça, une tâche plus difficile qu'il n'en paraissait pour Booette qui perdait tous ses moyens face à sa future femme. Ses mains plaquées sur son visage, elle en écartait ses doigts pour la regarder, mais dés qu'elle croisait son regard, elle avait une folle envie de fermer les yeux, mais elle ne pouvait pas lui désobéir... C'était assez contradictoire...

« Uuuuuhhhhh... »

Elle grimaçait, de honte, de plaisir, de gêne, mais elle observait la belle blonde qui la surplombait, qui lui faisait l'amour et qui l'aimait. Oui, Bowsette ne la baisait pas juste par envie, pour assouvir sa domination, elle l'aimait. Que cela soit si évident ou que cet amour soit naissant, la reine koopa devait ressentir plus ou moins la même attirance pour cette autre reine que Booette envers elle. Sauf qu'elle, elle était aussi très intimidée par elle, chose que Bowsette n'était pas. Son corps la prenait, sa queue s'enfonçait en elle avec toujours plus de plaisir, de force, d'amour et de rapidité aussi.

« Haaaaaaaaaaa~ Bowseeeeeeette ! »

Toujours le visage en partie caché derrière ses mains, elle se laissait prendre, son corps froid se réchauffait doucement avec cette activité si plaisante, ce qui ne l'empêchait pas de toujours être si gênée. Ne le sera-t-elle plus un jour ? Telle est la grande question. Gênée ou non, cela ne l'empêchait pas d'aimer, de mouiller comme pas possible, son entrecuisse si serrée semblait doucement devenir plus simple. À mesure que la reine y faisait sa place, la cyprine y coulait à flots. Sous ses gémissements, ça coulait, rendant les efforts de Bowsette plus bruyant, ses coups de reins laissaient échapper un petit bruit humide qui rendait tout cela plus excitant encore. Sa langue pendait doucement hors de ses lèvres, preuve que le plaisir était très grand pour elle, mais la reine n'était pas aux bouts de ses surprises ! Le monde du sexe était très vaste, là, ce n'était que les premiers pas.

Bowsette se faisait plaisir, mais elle sentait toujours, chez Booette, une certaine nervosité, la crainte que tout cela ne soit pas réelle, ou lui échappe ? Bowsette n’aurait pas su trop dire ce qui se passait dans la tête de sa belle Booette, mais elle aimait la prendre. Elle s’unissait à elle, et lui donna ses ordres, des ordres que la jeune femme avait bien du mal à suivre ! Il s’agissait notamment de la regarder, mais la timide Booette continuait à cacher son visage derrière ses mains. La Reine koopa grogna alors, et embrassa les lèvres de Booette.

« Tes mains… Elles sont à une mauvaise place ! »

La Reine koopa en attrapa une, et sentit Booette sursauter, puis écarta la main de Booette.

« Je veux voir tes belles joues rougir, Booette, je veux voir tes lèvres, je veux voir le plaisir irradier sur ton visage magnifique… Tes mains, elles, elles ont leur place ailleurs. »

Plutôt directive, Bowsette faisait malgré tout preuve d’une certaine retenue, d’une certaine délicatesse… À sa manière. Elle n’avait aucune raison de se montrer violente envers Booette, mais elle se devait aussi de la former, une tâche que Bowsette prenait très à cœur. Elle déplaça donc la main de Booette vers le bas de son dos.

« Pose tes mains sur mes fesses, Booette, et ne les retire pas. Si tu dois crisper tes doigts, ce doit être sur mon postérieur, et pas sur ton visage. Je veux te voir jouir, je veux voir le bonheur se lire dans tes yeux ! »

Bowsette grogna alors, et attendit que Booette déplace son autre main. Du coup, elle avait ralenti le rythme, ce qui était assez frustrant, car sa queue la démangeait douloureusement, mais elle devait aussi penser au bonheur de Booette, et à sa formation sexuelle. Il fallait faire disparaître cette peur ridicule, cette crainte intempestive de faire l’amour.

« Déplace ton autre main, allez… Ou devrais-je en déduire que le fessier de ta Reine ne te tente pas ? Ce serait très malpoli, tu sais ! »

Elle savait comment lui parler pour obtenir gain de cause !

Bowsette n'en demandait pas beaucoup, mais pour Booette, c'était déjà trop ! Cette femme l'intimidait tellement, elle avait beau tout faire pour se montrer aimable, douce et aimante, Booette avait toujours une petite voix en elle qui lui disait de se méfier d'elle. Ce n'était pas vraiment de la peur, même si le jour où elle se mettra en colère, elle ne saura pas où se cacher, c'était comme un réflexe que de craindre la reine Koopa, se plier le genou devant elle, forcément ! Alors lui faire face... pour ne pas que cela arrive, Bowsette devait obligatoirement lui retirer ses mains elle-même. Ne serait-ce que quand elle avait écarté la première main, elle couinait déjà de gêne devant cette si belle femme qui lui faisait l'amour.

« Gniiiiiiiiii... »

Elle ralentissait le rythme, tenant toujours sa main écarter de son visage alors que Booette avait les lèvres tremblantes, ne pouvant se cacher face à elle. Mais la sublime reine ne tardait pas à venir poser sa main sur sa fesse, tandis qu'elle donnait de nouveaux ordres, voulant la voir jouir, sans être cachée, quitte à crisper ses mains sur son divin petit cul tout chaud. Sa première main glissa, savourant la peau douce et chaude de son fessier mais la seconde main tardait à venir alors que sa future femme dit une petite phrase en rien méchante, mais qui, chez Booette eut l'effet d'une menace. Pas question de lui manquer de respect ! Elle arriva si vite qu'elle lui avait presque donné une fessée, ce qui lui fit un peu peur.

« Gniiiiiiiii ! Pardon, je ne voulais pas !!!!! »

Toujours paniqué face à la sublime femme, elle profitait néanmoins de la chaleur de ses fesses, une chaleur si douce, comme sa peau, c'était si agréable. Ça lui rappelait pourquoi elle avait aimé la sentir poser ses fesses sur son visage, c'était si... magique. Toujours un peu paniqué, elle l'était cependant moins, mais avec Booette, il ne faudra guère longtemps pour qu'elle retrouve sa panique habituelle face à sa future épouse. Ses doigts passaient sur sa délicate peau, savourant chaque petit toucher avec ses mains, mais quand bien même caresser ses fesses était un plaisir coupable, il ne fallait pas oublier le principale.

« Mmmmh... Bowsette... Continue... s'il te plaît... »

Continuer de la prendre, évidemment. Elles devaient continuer et la reine Koopa devait remplir pour la première fois son intimité, ce n'était pas rien.

La nervosité de Booette était un pur régal, qui amusait beaucoup Bowsette ! La Reine koopa souriait lentement en la voyant si paniquée, elle qui avait terrorisé ses gardes... Booette était totalement désemparée face à elle, sans trop pouvoir se l'expliquer. Bowsette souriait encore face à elle, et frémit quand les mains de Booette se posèrent sur ses fesses. Rapidement pour la première, et plus lentement pour la seconde, que Booette mit du temps à descendre, avant de le faire précipitamment. Bowsette soupira doucement en sentant la main claquer son cul, et sourit à nouveau, croisant le regard de Booette. Elle soupira ensuite, sentant les doigts de Booette se crisper sur son postérieur, et sourit doucement face à elle.

« Dommage, j'aurai aimé que tu le veuilles... Palpe mes fesses, allez ! »

Bowsette aimait ça. Elle soupirait doucement, et remua d'avant en arrière,  sa belle verge caressant l'intimité de Booette. Elle se frottait contre elle, et la Reine koopa sourit encore, se pinçant à nouveau les lèvres quand les doigts de Booette jouèrent avec ses fesses. Avait-elle trouvé une faille chez Booette ? Un fantasme à exploiter pour pouvoir la perturber encore ? Bowsette sourit doucement, malicieusement. Puis, soudain, d'une petite voix fluette, ce fut Booette elle-même qui lui demanda de continuer.

La Reine koopa acquiesça doucement, restant toutefois silencieuse pendant quelques secondes, puis l'embrassa tendrement sur les lèvres. Elle se serra contre la jeune femme lors de ce baiser, puis se redressa ensuite un peu. Elle commença à déplacer sa verge, de haut en bas, et continua à la pénétrer, grognant doucement sur place. L'effort demandé était intense, et elle soupira une nouvelle fois, avant d'accélérer.

« Là, ma chérie, hmmm... Tu es si bonne, oooh, ma petite Booette... »

Elle s'enfonçait en elle, dilatant progressivement les parois intimes de la jeune femme, et poursuivit son office, jouant avec elle, s'unissant à Booette. Il était si bon de la voir rougir, si jouissif de la voir soupirer... Bowsette sourit tendrement, amusée par ce spectacle, et continua à s'unir en elle.

« Hmmm... Boo-Booette, haaaann... »

Plus le temps passait, et plus Bowsette s'enfonçait en elle, rapidement, amplifiant le mouvement, s'unissant à elle... Jusqu'à la faire jouir !

Bowsette se faisait toute une fois d'initiée sa future épouse aux joies du sexe, mais avant que la reine fantôme soit habituée à tout cela, le sexe comme juste côtoyer son épouse sans paniquer, ça ne se fera pas pour demain. Dans un sens, c'était peut-être un détail qui plaisait à Bowsette, donc, si elle tarde à se comporter normalement, tant mieux ? Enfin, elle aura bien l'occasion de voir cela plus tard, pour le moment, elle était occupée à sentir la reine Koopa la prendre, certes sans trop y aller pour le moment, elle était plutôt douce, étant donné que c'était sa première fois après tout. Elle sentait son corps l'écraser doucement, elle était heureuse, elle s'y plaisait même, mais elle aurait du mal à le reconnaître pleinement pour le moment, il ne faudrait pas lui en demander trop d'un coup après tout.

« Mmmmmhhhh haaaaaaa... »

Son corps chaud se réchauffait au sien, partageant sa chaleur corporelle à une femme qui était bien souvent trop froide même si ce n'était pas vraiment un problème ou un danger. Étant une Boo, elle était déjà « morte » alors c'était normal que son corps soit si froid, nul besoin de s'en inquiéter. De plus, elle aimait sentir ce poids l'écraser, elle trouvait ça... plutôt agréable. Elle était une Boo, elle pourrait se rendre intangible et ainsi, elle échappe au sexe, mais une chose en elle lui disait d'obéir à cette femme et une autre chose lui disait que le plaisir devant continuer. Sa langue bleue pendait doucement hors de ses lèvres, son souffle chaud expulsé, elle peinait à la regarder, chaque seconde que son regard croisait le sien, elle le détournait aussitôt pour regarder ailleurs. Suivant ses ordres, elle ne pouvait que tripoter ses jolies fesses, ses doigts pressant cette chair si tendre, il est vrai que c'était un véritable plaisir de pétrir cette zone, mais là encore, elle était tiraillée entre l'envie de continuer et une certaine forme de respect qui l'empêchait de trop en faire, que la douleur, même si dans certains cas, pourrais être agréable, était prohiber.

« Haaaaaaaaaa ! Haaaaaaaannnn ! »

Le plaisir grimpait de plus en plus, rendant les pensées difficile à contrôler et de plus, Bowsette mettait de plus en plus de cœur à l'ouvrage, ce qui avait tendance à la rendre folle, à moins que ce ne soit l'orgasme qui se rapprochait ? Car peu de temps après, quand son corps lui annonça la nouvelle, elle se cambrait en arrière, poussant un long cri de plaisir pendant que la cyprine jaillissait, éclaboussant les deux femmes alors que son corps froid se sentait revivre grâce à cet orgasme.

« Kyyyyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaannnnn !!!! »

Les yeux révulsés, elle se calma un peu, restant étendue sur le lit, tremblante de plaisir, écraser par sa future femme, Bowsette, qui prenait si bien soin d'elle...

Bowsette s'enfonçait avec appétit dans le corps de Booette. Dire que c'était elle, la terrible Booette... Celle qui avait terrorisé ses gardes, et qui était, face à elle, complètement écrasée, et totalement dominée. Elle sourit doucement en la voyant gémir, incapable de dire quoi que ce soit. Booette succombait doucement et fortement au corps de Bowsette. La Reine koopa s'imposait sur elle avec force et énergie, et elle sentit Booette jouir très rapidement. Mais quoi de moins surprenant ? Elle était vierge jusqu'à présent, après tout, et Bowsette sourit doucement, la sentant fondre devant elle. Booette croisait son regard avec envie, et la Reine koopa frémit lentement devant ses belles joues rouges.

« Tu es si belle, ma Booette... Tellement magnifique... » soupira-t-elle.

Elle le pensait sincèrement, et se pinça tendrement les lèvres en l'observant. Sa queue était toujours nichée en elle, mais Bowsette n'avait pas encore joui. Elle avait vu Booette tirer la langue sous l'effet du plaisir, cette vague immense qui l'avait fracassé et emmené voler dans le firmament du plaisir. Bowsette sentait sa queue s'enfoncer de plus en plus profondément, et se redressa ensuite.

« Retourne-toi, ma Booette... Je te veux à quatre pattes ! Observe-moi en regardant le miroir, regarde-moi baiser ton petit corps ! Tu es ma future femme, Booette, mais là, sur ce lit, tu es avant tout à moi ! »

Pas encore d'injures, Booette ne faisait que démarrer ce genre de choses, et Bowsette ne voulait pas l'effrayer d'entrée de jeu. Il était important d'y aller avec modération, au moins au début ! Soupirant lentement, Bowsette l'aida à se mettre en position, usant de ses mains pour soulever les hanches de sa partenaire. Une fois Booette en position, Bowsette caressa son bassin avec sa verge... Puis la pénétra à nouveau, grognant sur place, pinçant brièvement ses fesses, avant de commencer ses coups de reins.

« Hmmm... Ce que t'es bonne, bordel... Haaaan, quel pied ! »

Et elle savait que Booette en pensait la même chose !

Prise dans ce lit, Booette était un peu effrayé par cette première fois même si elle avait confiance en sa future épouse. Mais elle était aussi très heureuse de ressentir tant de nouvelles choses ! Tout ce plaisir, elle ne croyait pas qu'elle pouvait prendre un tel pied avec si peu de chose au final. Surtout que bon, Bowsette l'intimidait alors être si heureuse, avec elle, c'était assez contradictoire. Aussi contradictoire que le fait qu'elle l'aimait et qu'elle en avait peur aussi et pourtant, rien n'indiquait que la reine koopa était plus forte que la reine boo. Mais rien qu'à la regarder, elle avait peur, elle qui adorait pourtant faire peur aux autres ! Comme quoi. C'était assez étrange, car sans la connaître, une petite voix en elle lui disait de se méfier de Bowsette, qu'elle était à craindre alors qu'elle ne craignait rien ! Si seul son dragon serait venue à son manoir, elle n'aurait pas eu peur une seule seconde ! Ou pour son manoir peut-être, qu'il risque de prendre feu avec ce gros lézard dans les parages, mais elle et ses boos ? Zéro dose de peur ! Enfin, peut-être que ses boos auraient eu un peu peur, ils étaient facilement intimidables de face. Bowsette la prenait avec toujours plus de passion et d'amour avant de vouloir changer une chose, elle voulait la voir. Sans pour autant lui faire face, elle voulait qu'elles se place à face à un miroir pour que la reine fantôme puisse voir la reine koopa.

Bowsette savait lui parler, sa future femme... cela lui fit chaud au cœur, elle était heureuse, quand elle lui disait lui appartenir, c'est entre les jambes que son plaisir frétillait. Elle couinait de plaisir en entendant cela, sa langue s'étirait hors de sa bouche, incontrôlable tant, ce plaisir était si inédit pour elle. Sa mouille coulait entre ses cuisses, tombant goutte à goutte sur les draps, elle se faisait prendre avec tellement de passion qu'elle avait du mal à réfléchir en continue plus de deux secondes.

« A toiiiiiiiiiiiii~ Toute à toiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiii ! »

Elle avait les yeux presque révulsés, car quand elle croisait le regard de Bowsette dans le miroir, elle avait toujours ce petit frisson qui lui dictait de détourner le regard, de se cacher, associer à une petite flamme dans son cœur qui la réchauffait. Drôle de combinaison, mais c'est ainsi ! Elle n'arrivait pas à bien parler face à la reine koopa et avec ce plaisir en elle, elle n'arrivait pas non plus à penser calmement et pourtant... elle en voulait plus, au fond d'elle, cette petite partie d'elle qui aimait Bowsette sans honte en voulait plus ! Elle voulait que la reine la prenne avec autant d'amour que d'autorité. Elle était amoureuse, oui, mais comment le dire, comment le lui faire comprendre ?

L’amour de Booette pour elle, Bowsette l’avait déjà remarqué, sans même que Booette ne lui fasse une longue et émouvante déclaration d’amour. Elle sentait son désir, son appétit, alors qu’elle continuait à la besogner. Sa solide queue s’enfonçait avec appétit dans sa chatte, venant la marteler, la besognant furieusement. Bowsette grognait longuement, et sourit en constatant combien Booette avait du mal à soutenir son regard. Même au miroir, elle détournait les yeux. Lorsque Bowsette nota cela, sa main remonta pour saisir les cheveux de Booette. L’autre se tenait toujours en appui sur ses hanches, et elle tira sur les cheveux de Booette.

« À moi, oui… Alors… Regarde-moi ! »

Qu’elle la craigne, c’était une bonne chose. Qu’elle la vénère, c’était même merveilleux… Mais, qu’elle panique à ce point, qu’elle tremble au point de ne pas oser la regarder, cela était bien plus fâcheux ! C’était quelque chose contre quoi Bowsette devait lutter. Elle devait pallier aux peurs de Booette, car, si elle laissait ce ver dans leur fruit, il finirait par se répandre, et par tout corrompre. Que Booette l’aime, oui ; qu’elle ait peur d’elle, non ! Elles étaient destinées à se marier, après tout ! Et que diraient les gens si la Reine boo apparaissait comme fragile face à Bowsette ?

Tout en grognant sur place, Bowsette continuait à la prendre. Sa verge s’enfonçait durement en elle, et elle gémit à nouveau.

« Ma future femme… Ne doit pas avoir peur de moi, Booette… Hmmmm… »

Oui, Booette devait avoir confiance en elle, car elle était destinée à l’épouser !

Booette avait naturellement peur de Bowsette en quelque sorte. En tant que reine, peu de choses lui faisaient peur contrairement à ses Boos, là ou observer un Boo le bloquait sur place, pour leur reine, il fallait que ce soit une personne qui en impose et c'est ce qu'était la reine koopa. Elle était bien trop intimidante pour elle, même si elle l'aimait, elle n'arrivait pas à voir outre, elle en avait peur, oui, mais car elle était trop éblouissante pour elle, voilà tout. C'était une chose qu'elle ne pouvait contrôler, même quand Bowsette le remarquait, la redressant un peu lui ordonnant presque de ne pas avoir peur, c'était compliqué...

« Mmmmmh, mais... haaaaa.... tu es trop... éblouissante... impressionnante... Tu m'en demandes haaaaan... troooooop... »

Il va falloir un petit temps d'adaptation pour cela, oui, cela ne se fera pas en un claquement de doigts, mais la reine fantôme était naturellement impressionné par cette dernière donc, compliqué comme demande. Son amour, sa dévotion était si grande que cela apportait forcément son lot d'intimidation. Avec ses mains, elle attrapait sa main près de sa tête pour apporter cette dernière sur sa joue, léchant le bout de ses doigts, osant affronter son regard, pour quelques secondes.

« C'est aussi de ta prestaaaaance, huuuum que je suis amoureuse.... Il faut bien cela pour huuum.... m'effrayer et t'aimer.... Sans ça... haaaaa... je ne serais pas ainsi... »

Disait-elle qu'elle l'aimait pour cette raison ? Possible, après tout, avant l'arrivée de Bowsette, elle était en colère et menaçait de tuer cette vulgaire fille qui avait fait du mal à l'un de ses Boos et en posant les yeux sur elle, elle a pris peur et à fuie dans sa chambre. L'amour naturel et l'amour par la grandeur. Ce n'est pas demain la veille qu'elle allait s'y habituer, mais c'est ainsi, à moins que Bowsette n'ait une botte secrète en réserve pour ça ?

Booette consentit finalement à lui expliquer, entre deux soupirs, pourquoi elle avait peur de Bowsette. Sa prestance, son aura… Elle lui expliqua ensuite que l’amour qu’elle ressentait pour elle n’était pas incompatible avec la peur qu’elle éprouvait, les deux se conjuguant pour former la dévotion de Booette. Bowsette pensait comprendre où sa concubine voulait en venir. Elle acquiesça doucement, et posa sa main sur les cheveux de Booette. Elle l’embrassa à nouveau, longuement, sa langue allant jouer avec la sienne, s’enfonçant avec appétit dans sa bouche.

« Hmmm… »

La Reine koopa comprenait ce que Booette essayait de lui dire, et la félicita par ce baiser, comme pour lui dire qu’elle n’avait pas à s’en faire, et que Bowsette s’occupait de tout. C’était ça, l’amour, et, à sa manière, Bowsette aimait sa femme. Elle l’embrassa donc joyeusement, tout en restant sur sa théorie. Intuitivement, Booette devait sentir en Bowsette les gènes koopa, la marque de Bowser, l’ancien maître des Boos, et cela devait donc nécessairement influer sur sa psyché.

Rompant encore le baiser, la jeune femme continuait son missionnaire. Sa puissante verge s’enfonçait douloureusement et profondément dans le corps de Booette, qui ne pouvait rien faire d’autre que subir et se laisser faire. Impossible de repousser sa Bowsette, ou de mettre fin à cette danse endiablée. La Reine koopa la prenait avec appétit et saveur, s’enfonçant régulièrement en elle.

« Mais… Hmmm… Pour les autres, tu dois rester la terrifiante Booette que tu es, haaaa… Je trouve ça très amusant. La terrible Booette qui tremble de peur et d’amour devant Bowsette. Je te veux aussi cruelle et dangereuse avec les autres que timide et inquiète devant moi, hmmm… Mon amour… »

Elle s’était légèrement redressée, bandant ses muscles, et continua à la prendre, régulièrement, puissamment…