Re: Des Monstres et des Androgynes [Camille Marquise]
Posté : 22 sept. 2024 12:57
Le brave Camille allait vite constater que l’obstacle majeur allait être son endurance physique et sexuelle. Il allait devoir s’habituer au fait de devoir faire l’amour avec une femme beaucoup plus puissante et massive que lui, une femme qui n’hésitait pas à le punir, et à le prendre avec force. Et cela, pour Camille, était douloureux à endurer ! Il le fit d’ailleurs observer, ce qui amena chez Shaïra un léger grognement de désapprobation. Elle secoua la tête, et posa ses deux mains sur les hanches de Camille, s’en servant comme appui. À ce stade, il était très difficile pour elle de se retenir, de s’empêcher de jouir.
« Petit-Homme… Va apprendre à s’endurcir… D’ici là, Shaïra l’aidera… »
Shaïra avait un instinct reptilien et animal. Et, quand on couchait avec un animal, celui-ci ne s’arrêtait pas avant d’arriver à satiété. Pour autant, Shaïra n’était pas cruelle, alors l’un de ses serpents se déplaça rapidement, et planta ses crocs directement sur l’une des fesses de Camille. Naturellement, le jeune homme eut mal, puisque les dents s’enfoncèrent dans sa chair, mais un venin aphrodisiaque se diffusa ensuite. Un venin similaire à celui que Shaïra avait utilisé tantôt, mais qui avait aussi un effet anesthésiant, comme une sorte de morphine qui atténua la douleur. Camille sentit la vague remonter en lui, et la main de Shaïra empoigna ses cheveux humides, relevant sa tête.
Elle pouvait sentir l’aphrodisiaque agir, mais, sans la douleur, le plaisir perdrait en intensité. C’était la douleur qui était ce coup de fouet dont l’organisme avait besoin.
« Maman Shaïra formera son Petit-Homme, hmmm… Mais Maman Shaïra a besoin de jouir ! »
Avec l’effet anesthésiant du venin, Camille ne devrait plus rien sentir, si ce n’est être secoué d’avant en arrière. Shaïra finit par se crisper, et siffla ensuite, poussant un long hululement, sa langue reptilienne pointant hors de ses lèvres, avant de jouir. Son corps se redressa, et elle jouit longuement, sa verge semblant exploser dans le cul de Camille, libérant des chapelets de foutre. Elle tapissa ses parois de son jet crémeux, si bien que, quand elle se retira, Camille s’effondra sur le sol, probablement épuisé par cette débauche de sexe…
« Petit-Homme… Va apprendre à s’endurcir… D’ici là, Shaïra l’aidera… »
Shaïra avait un instinct reptilien et animal. Et, quand on couchait avec un animal, celui-ci ne s’arrêtait pas avant d’arriver à satiété. Pour autant, Shaïra n’était pas cruelle, alors l’un de ses serpents se déplaça rapidement, et planta ses crocs directement sur l’une des fesses de Camille. Naturellement, le jeune homme eut mal, puisque les dents s’enfoncèrent dans sa chair, mais un venin aphrodisiaque se diffusa ensuite. Un venin similaire à celui que Shaïra avait utilisé tantôt, mais qui avait aussi un effet anesthésiant, comme une sorte de morphine qui atténua la douleur. Camille sentit la vague remonter en lui, et la main de Shaïra empoigna ses cheveux humides, relevant sa tête.
Elle pouvait sentir l’aphrodisiaque agir, mais, sans la douleur, le plaisir perdrait en intensité. C’était la douleur qui était ce coup de fouet dont l’organisme avait besoin.
« Maman Shaïra formera son Petit-Homme, hmmm… Mais Maman Shaïra a besoin de jouir ! »
Avec l’effet anesthésiant du venin, Camille ne devrait plus rien sentir, si ce n’est être secoué d’avant en arrière. Shaïra finit par se crisper, et siffla ensuite, poussant un long hululement, sa langue reptilienne pointant hors de ses lèvres, avant de jouir. Son corps se redressa, et elle jouit longuement, sa verge semblant exploser dans le cul de Camille, libérant des chapelets de foutre. Elle tapissa ses parois de son jet crémeux, si bien que, quand elle se retira, Camille s’effondra sur le sol, probablement épuisé par cette débauche de sexe…