Page 3 sur 6

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 21:24
par Sarah Kerrigan
SARAH KERRIGAN
Juliette était comblée, maintenant. La tête basculée en arrière, ses yeux pouvaient voir ses collègues, toujours blotties dans leurs cocons, immobilisées et incapables de pouvoir se libérer. Leur rang se réduisait progressivement, s’amincissant au fur et à mesure qu’elles passaient toutes sur la table. Les deux tentacules s’enfonçaient lourdement dans la bouche de Juliette, et Sarah continua à lécher son intimité pendant plusieurs minutes, jusqu’à ce que Juliette en vienne à mouiller franchement. La Reine des Lames se releva lentement, un sourire sur le coin des lèvres, et les tentacules dans la bouche de Juliette continuèrent à remuer, jusqu’à jouir toutes les deux en elle, gonflant sa gorge, en jouissant violemment, crachant de nombreux filaments de sperme avant de se retirer, laissant sa bouche pleine, débordante de leur jus intime. Sarah souriait lentement, et le fauteuil remua à nouveau, surélevant la tête de Juliette. Ses lèvres dégoulinaient de sperme, et Kerrigan se pencha vers elle, tendant sa main pour caresser son menton, relevant un peu son visage.

Sarah lui souriait tendrement, et sa verge venait de pointer, frottant contre les cuisses de la femme.

« Tu es très belle ainsi, avec ce sperme dans ta bouche... Je vais te baiser maintenant, ma petite puce, d’accord ? »

Elle adoptait un ton doux, mais qui ne laissait pas entendre autre chose. C’était comme si elle annonçait une vérité inexpugnable. Elle posa sa griffe sur l’intimité de la femme, ouvrant sa combinaison, révélant ainsi l’accès à son sexe. Encore une fois, Sarah allait s’en taper une. Elle était encore suffisamment humaine pour se féliciter de son endurance, et suffisamment xénos pour apprécier la beauté de cette femme, pour savourer sa plastique magnifique, et son corps langoureux, tout en charmes et en volupté. Les aphrodisiaques avaient bien agi, titillant la partie de plaisir inconsciente qui sommeillait dans le corps de cette femme. C’était une partie de son esprit qui était devenue on ne peut plus consciente quand Sarah était devenue une Xénos, et elle n’avait aucune hésitation.

Ses mains se saisirent des hanches de la femme, et elle s’enfonça en elle, les glissant pour les appuyer sur sa combinaison. Sarah restait debout en la prenant, et donna des coups de reins, les jambes de Juliette filant à gauche et à droite de son corps. Elle avait l’habitude de s’allonger sur ses partenaires pour les prendre, mais, avec cette Juliette, elle voulait diversifier un peu son activité. Elle la prenait donc, s’enfonçant en elle, remuant de plus en plus fort, un sourire vorace sur les lèvres.

« Hum... Putain, ce que t’es bonne, ma chérie !! »

Elle continuait à la prendre, sans ménagement, la baisant sauvagement.
*
*  *
LE MONSTRE
Le Monstre disposait de nombreux outils supplémentaires pour arriver à ses objectifs. Il sentait quelque chose de différent avec cette nouvelle femme. Elle était grande, oui, mais il y avait, dans sa mentalité, dans sa personnalité, une sensation qu’il n’avait pas perçu chez ses autres amantes. Le Monstre n’était pas assez développé pour comprendre clairement ce sentiment, mais il savait qu’il l’agaçait. Il voulait des femmes consentantes, car sa philosophie était typiquement celle des Xénos. Pour lui, le sexe ne pouvait tout simplement pas être forcé, car elle n’était que l’expression du plaisir. Son aphrodisiaque n’avait pas eu l’effet escompté, et il opta désormais pour d’autres substances, y voyant là un défi supplémentaire.

La redoutable créature envoya une autre tentacule-seringue, et enfonça un psychotrope dans les veines de la femme, tout en continuant à la bourrer avec ses trois tentacules plantés dans son corps. Ils remuaient en elle comme des serpents, dans son vagin, dans son cul, et dans sa bouche, se tortillant en la pénétrant lourdement. D’autres tentacules l’enlaçaient à hauteur du ventre, et d’autres allèrent s’attaquer à ses seins, s’enroulant autour de leur poitrine en les pressant, des tentacules avalant ses tétons, leurs multiples langues glissant dessus pour les titiller et les presser, afin de diluer le plaisir dans le corps de la femme. Le Monstre faisait ce qu’il fallait, sans hésitation.

Rien ne pouvait l’arrêter, de toute manière.

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 21:25
par Ilinia
Le bruit de succion des tentacules entrant et sortant de la bouche et de la gorge de Juliette, ponctuer par ses gémissements de plaisir et de protestation, formait une ambiance malsaine, allant parfaitement avec la texture organique des murs. Celles qui étaient toujours coincer dans leurs alcôves, ne pouvaient que regarder avec dégoût la double fellation de Juliette et de sa gorge qui prenait du volume à chaque aller-retour des tentacules et de la bave mélangée au liquide visqueux que libérer les tentacules, coulant de sa bouche, glissant de ses lèvres. La pauvre pensait que l'annexienne ne ferrait que la baiser, avant de la jeter en pâture au monstre, mais cette dernière ne fessait que varier ses plaisirs.

Ce fut au bout d'un moment, les deux les tentacules éjaculèrent de concert, inondant la gorge de Juliette, remplissant sa bouche, gonflant ses joues, avant de gicler telle des vaques brisaient par les récifs, s'écrasant sur son visage, avant de couler de sa bouche comme du magma d'un volcan en éruption. Sa gorge était gonflé par les flots de sperme d'une tentacule situer à la pomme d’Adam, se vidant dans l'estomac, avant de se retirer avec l'autre de la bouche de Juliette, tout en larguant quelque gicler de sperme. Juliette ferma du mieux qu'elle put sa bouche, empêchant le sperme de se déverser sur elle, manquant de s'insinuer dans ses narines. Elle se résolue à avaler le surplus, afin de pouvoir contenir plus facilement le sperme dans sa bouche.

La table organique se manifesta une nouvelle fois, mettant sa tête dans une meilleurs positions, face à l'annexienne. Juliette recracha le sperme dans sa bouche, coulant quelque seconde de sa bouche, coulant le long de son menton et de sa gorge, avant de couler sur le côté. Mais sa bouche était encore tapisser de sperme et sa langue baigner encore dedans. Juliette usa de sa langue afin de racler sa bouche de font et comble afin de réunir le sperme. L'annexienne affirma qu'elle était plus belle comme ça, en même temps elle annonça qu'elle allait la baiser. Si Juliette n'était pas occuper à récurer sa bouche du sperme encore présent et que son intimité ne la démangeait pas autant à cause de l'aphrodisiaque en elle, elle l'aurait insulter tout en lui lançant un regard assassin. L'annexienne libéra l’accès à son intimité, posa ses mains sur ses hanche et....

Gurlp

Juliette avala sans le faire exprès le sperme dans sa bouche, sous la pénétration de l'annexienne, qui se frayait un chemin dans vagin plein de mouille, jusqu'à heurter son col de l'utérus, avant de le pilonner, cherchant à entré de force dans son utérus. Julietta eu du mal à retenir ses cries et gémissement de plaisir, et aussi de douleur, mais moins fort. Elle serrait les dents, mais c'était inutile face au coup de rein de l'annexienne, qui parvenait à la faire crier et gémir. Les autres étaient de plus en plus habituer à cette scène, espérant de passer la dernière. D'ailleurs certaines ne purent s’empêcher de penser de ce que fera l'annexienne à la prochaine qui y passera, après la double félation de Juliette.

Cette dernière se rapprochait à pas lent de l'orgasme, son corps tremblant sous les coups et le plaisir, l'aphrodisiaque encore présent. Elle avait beaucoup mouiller, permettant une lubrification de ses parois vaginaux efficace et parfaite, laissant glisser le membre viril de l'annexienne sans résistance, tout en étant étroit. Et cela dura encore de longue minute, de longue minutes à se faire lourdement baiser par l'annexienne qui, comme pour les autres, ne lui laissa aucun répit. Juliette n'était pas tomber dans l'état de Mixim, mais elle y était proche, son visage exprimant le même plaisir, mais ses yeux témoignant toujours de sa lucidité. Après quelque instant, Juliette finit par jouir, recouvrant la verge de sa cyprine, noyant le tout. Son visage exprima un intense et profond extase , suivit d'un long crie de plaisir et de satisfaction, s'abondonnant dans ce même plaisr que lui provoqua son orgasme.
----------------------------------------------------------------------------------------------------
Qu'es qui ce passe ? Shiranui avait été posséder par une terreur indescriptible, et maintenant elle avait disparue et elle se sentait... apaiser, perdant contact avec la réaliser quelque instant, elle se sentait bizarre, elle n'arrivait plus à se situer, les tentacules continuaient de la pénétrer, avec force et rapidité. Elle ressentait les sensations que l'annexienne avait appeler plaisir, pourtant il semblait... faible, ses sensations était faible, à cause des calmants que lui avait injecter le monstre. Les effets du calmant se diluèrent au bout de quelque minutes et ce fut l'aphrodisiaque que le monstre avait injecter avec les calmant qui prirent le relais, la prenant de vitesse l'empéchant de retourner dans une terreur abyssale. Cette fois Shiranui ne put rien faire fasse à la déferlante de plaisir qui s'abattait sur elle. Le plaisir semblait avoir été multiplier par cent, son corps céder et son esprit aussi, mais les deux régissaient comme le ferrait une vierge lors de sa toute première fois, timidement, gêner et pas sûr.

Les deux tentacules qui s’occuper de ses seins, et plus précisément de ses tétons, leur têtes c'étaient ouverte en des bouches, avant de gober ses tétons, les enfermant à l'intérieur, les recouvrant de mini-tentacule et les noyant dans une substance gluante. Shiranui ressentit la même sensations lors de sa première fois avec l'annexienne, si intense qu'elle ne savait pas si elle ressentait de la douleur ou du plaisir. Vaincue, Shiranui ne pouvait que céder au plaisir et de se laisser guider, ayant pour « aides » les tentacules qui la guider sur le bon chemin, continuant à entretenir son plaisir et à l’amplifier.

Le tentacule qui s'occupaient de sa bouche, jouit à grand dose, la bouche de Shiranui se remplit d'un coup, le sperme coula en cascade sur sa poitrine, la recouvrant entièrement avant de tomber dans le vide et sortie aussi de son nez. Le sperme fila de force dans sa gorge manquant de l'étouffer, remplissant son estomac. Le tentacule se retira et Shiranui toussa avec force, elle respirait avec force, elle releva la tête et avant qu'elle ne put dire quelque chose ou fermer sa bouche, le tentacule retourna dans sa bouche et reprit son travail. Les deux autres tentacules jouirent à leur tour, remplissant à ras bord son cul et son utérus, le surplus coulant le long de ses jambes. D'autres jouirent sur elle, la recouvrant et d'autre sous sa combinaison, fessant flotter ses seins dans le sperme. Ce fut pour Shiranui son entrée dans une longue et intense orgie.

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 21:25
par Sarah Kerrigan
SARAH KERRIGAN
Le coït était toujours aussi bon, comme une sorte de délicieuse libération, électrisant tout son corps. Sarah s’y abandonnait pleinement, jusqu’à ne faire plus qu’un avec la petite Juliette. Du sperme continuait à filer le long de sa bouche, salissant le bas de son visage, ainsi que le haut de son torse, glissant le long de ses seins. La Reine des Lames la pénétrait durement, sans relâche et sans ménagement, défonçant son corps d’avant en arrière, toujours dans les mêmes mouvements, de plus en plus frénétiques, de plus en plus forts et rapides. Ses pattes arachnéennes dans son dos se contractaient et se relâchaient, accompagnant les mouvements rapides et puissants de son corps. Ce qu’elle faisait était tellement bon, tellement jouissif ! Encore et encore, toujours la même chose, toujours ce plaisir vertigineux et intense qui s’emparait d’elle, remuant dans tout son corps, la dominant. Elle se sentait revivre, là, en pénétrant cette femme, elle en oubliait tout le reste, au profit d’un intense sentiment de bonheur, d’un intense sentiment d’accomplissement personnel.

Sa queue défonçait le petit vagin de cette salope qui était en train de jouir, ayant un bel orgasme. Encore une autre femme convaincue, encore une autre future amante. Les mains griffues de Sarah serraient ses cuisses, tenant le haut de ses jambes, s’enfonçant contre sa combinaison. Les liens qui retenaient Juliette se libérèrent brusquement, et Sarah, suivant son inspiration, l’attrapa par les cheveux, et la souleva, venant la plaquer contre son corps. L’une de ses mains se déplaça pour s’appuyer sur ses fesses, et elle l’embrassa, enfonçant sa langue dans cette bouche pleine de sperme, partageant ainsi avec Juliette le goût de ce liquide intime, tout en continuant à bourrer son corps. Ses pattes arachnéennes vinrent en effet se déplacer pour se glisser dans le dos de la femme, et s’appuyèrent dessus, aidant Kerrigan à pouvoir mieux la pénétrer.

« Hummm... Qu’est-ce que t’es bonne, ma chérie !! »

Ses aphrodisiaques avaient aidé Juliette à se détendre, et cette dernière était maintenant subjuguée, s’empalant le long de cette grosse verge qui lui défonçait joyeusement la chatte. Elle tapait contre les profondeurs de son intimité ruisselante de mouille, cette dernière filant le long de leurs jambes. Sarah haletait et gémissait, fermant parfois les yeux, avant d’aller lécher la joue de Juliette, ses doigts se crispant à ses cheveux. Son plaisir explosait, se focalisant le long de son membre turgescent, et ce qui finit par arriver arriva : l’orgasme explosa en elle, et elle s’y abandonna, déversant dans le corps de Juliette un foutre chaud et dégoulinant, jouissant à de longues reprises, balançant plusieurs giclées en elle. Elle jouit pendant plus d’une vingtaine de secondes, balançant son sperme par à-coups, une main sur les fesses de la femme, le pressant.

« Oooh, tu es tellement bonne, Juliette... Jouir en toi a été très agréable, ma puce... Et tu portes maintenant notre progéniture. Sois fière de toi, tu seras bientôt maman. »

Elle lui sourit, et l’embrassa tendrement sur les lèvres, comme pour la féliciter.
*
*  *
LE MONSTRE
La créature se faisait singulièrement plaisir, continuant à bourrer les corps de ces femmes. Dans sa mare à sperme, elles étaient en train de s’embrasser et de se câliner sans relâche, incapables de se fatiguer. Les drogues xénos permettaient d’accroître leur endurance, et elles ne pourraient s’arrêter que quand il ne resterait plus aucun souffle d’énergie en elles. Oh, non, elles ne mourraient pas, mais elles subiraient un coma instantané... Pour elles, le Paradis leur était déjà offert : sexe, sexe, sexe, et sexe... Plus elles jouissaient, plus elles avalaient de sperme, et plus leurs bébés se renforçaient, donnant ainsi naissance à de beaux Xénos. Leur quotidien se résumerait désormais uniquement à du sexe, sauf si la Reine en décidait autrement.

Il venait de généreusement jouir dans la bouche de la nouvelle arrivée, qui se laissait faire, peu à peu, s’abandonnant au plaisir. Il se conduisait délicatement avec elle... Pour autant qu’une créature xénos dénuée de réelles émotions puisse faire preuve de délicatesse. Il la déplaçait lentement, la faisant se tortiller dans tous les sens, afin d’entretenir les muscles de son organisme, tirant sur ses jambes, les étirant en arrière, faisant de même avec ses bras, tout en continuant à la baiser dans tous les sens possibles. Sodomie, coït, fellations, se mélangeaient aux frottements lascifs des tentacules sur et dans sa combinaison, étirant cette dernière, mais sans jamais voir à la rompre, afin que le plaisir reste toujours au rendez-vous.

Le Monstre prenait soin de ses invitées. C’était bien la preuve que c’était un bon hôte.

Non ?

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 21:26
par Ilinia
Elle avait prit plaisir à se faire prendre comme ça, la vitesse et la force ne prenant que de l'ampleur, jusqu'à la porter à l'extase, un extase exquis parvenant à mettre à bas sa résistance au plaisir qui n'avait fait que prendre de l'ampleur avant d'exploser, t-elle un barrage cédant à la pression de l'eau, noyant son esprit. Le corps secouait par les pénétrations, tremblant de plaisir t-elle un navire prit en pleine tempête ! La langue pendante, les yeux vers le ciel, la bave et du sperme sur les lèvres, gémissant comme une locomotive. Elle n'avait pas put résister, cédant comme Mixim, pourquoi ? Parce qu'elle adorait ce faire prendre comme ça, ajouter à ça l'aphrodisiaque qui l'avait pousser a ses retranchement et la double pénétration qui avait entamer sa résistance.

Mais elle avait encore l'esprit assez lucide, assez pour être surprit par la suite des événements quand elle avait fini par jouir, répandant sa cyprine, quand ses liens la libérèrent et que l'annexienne la souleva par ses cheveux, la plaquant contre son corps, l'empalant de force sur ça verge et de recommencer à pilonner le font de son vagin, s’écrasant sur son col de l'utérus, cherchant à le briser, à pénétrer le lieu qui l’empêche d'atteindre. L'annexienne partagea avec elle un baiser fougueux, mélangeant leurs langues, leur salives et le sperme encore présent dans sa bouche, le partageant. Elle sentie les excroissances de l'annexienne se mettre dans son dos, se refermant sur elle telles des mains squelettiques, la soutenant l’empêchant de tomber et elle sentit les mains de l'annexienne sur ses fesses, les pressant, ce qu'elle fit de même. Elle ne pensait pas, se lassant aller, laissant ce qui est pour elle une des meilleurs chose que puisse ressentir son corps l'envahir : le plaisir et l’extase.

« Hummm... Qu’est-ce que t’es bonne, ma chérie !! »

N'arrivant pas à parler convenablement, elle agit par ses pulsions, lui roulant une pelle, mélangeant à nouveau sa langue avec la sienne. Sous les coups puissant de l'annexienne, du plaisir intense qu'elle ressentait et de l'aphrodisiaque encore présent dans son organisme, elle jouit de nouveau, libérant une nouvelle vaque de cyprine, se répandant à nouveau sur la verge de l'annexienne, avant de couler de ses lèvres intimes, glissant le long de ses jambes, pendant mollement dans le vide, retenue que par les excroissances et les bras de l'annexienne ainsi que part sa verge qui remuer furieusement en elle. Et enfin, après de longue minutes à se faire prendre sauvagement, de sentir la verge remuer ses entrailles, menacer d'entrée dans son utérus, de gémir et de crier de plaisir, d'exprimer le plaisir que Juliette ressentait, l'annexienne finit par jouir, se déversant dans l'intimité de Juliette, remplissant l'utérus de son sperme. En même temps que les coup s’arrêtèrent, Juliette mit son front contre celui de l'annexienne, respirant avec peine, reprenant son souffle.

« Oooh, tu es tellement bonne, Juliette... Jouir en toi a été très agréable, ma puce... Et tu portes maintenant notre progéniture. Sois fière de toi, tu seras bientôt maman. »

Elle ne dit rien, il lui fallut plusieurs seconde pour que son esprit embrumer par le plaisir, ne parvienne à comprendre le sens des paroles de l'annexienne, encore quelque seconde pour qu'elle réalise de ce qui venait de se passer : elle s'était laisser aller à ses pulsions et qu'elle venait d'être mise enceinte. Elle voulue parler, lais elle ne trouvait pas les mots : la surprise ? Le dégoût ? La colère ? Difficile de comprendre ce qu'elle ressentait, partager par les trois envers elle même, surprise d'avoir laisser ses pulsions prendre le dessus, dégoutter par le fait qu'elle venait de prendre plaisir et qu'elle était enceinte et en colère car elle n'avait rien fait, elle s'était laisser avoir.

Rien ne c'est passer comme prévue, tout fut diffèrent, elle aurait put se maîtriser si l'annexienne l'avait prise comme Rinko ou Miyo, mais elle avait sans doute anticiper ce cas là. Elle ne savait pas, le mal était fait et elle subissait les conséquences de son geste. Elle baissa la tête de honte et de dégoût, voulant disparaître. Comme pour exaucer son souhait, des tentacules l'attrapèrent et elles l'emportèrent dans le conduit, menant au monstre et à ses camarades d'infortune.

Les autres ne la regardèrent pas, en ayant marre de regarder chacune de leur amies se faire amener sans rien pouvoir faire que de contempler leur viol et les tentacules les amener dans ce conduit. Maintenant une autres aller être choisit avant d'être violer puis donner au monstre, aucune ne se proposa, soit par peur, soit par dégoût, soit parce qu'elle ne voulait pas. L'annexienne devra faire un choix entre : Tirch, qui depuis le début était rester aussi calme et inexpressif qu'une statue, Mistrial qui semblait avoir un plan d'action, Jeanne qui était posséder par une rage meurtrier, Engiel qui ne rêvait que d'une chose, lui enfoncer un fusil dans le cul et de réduire ses boyaux en bouilles et les autres qui soit avaient envie de mourir soit qui cacher bien leur jeux et donc leur vrai intention.
----------------------------------------------------------------------------------------------------
Son corps répondait au plaisir qu'elle ressentait, mais son esprit peinait à agir fasse à ce plaisir. C'était trop pour elle, trop fort, trop intense, ne parvenant pas à agir en conséquence, laissant son corps tremblait de plaisir et de jouir abandonnement, elle ne fessait rien, écrasait par se plaisir. Elle ne savait pas comment agir, le plaisir occultait toute ses capacités, l’empêchant d'agir, se laissant écraser par l'intensité du plaisir qui la traverser. Elle n'était qu'une poupée pour le monstre, elle n'arrivait pas à répondre à ce plaisir. Par moment elle avait l'impression d'avoir mal a force d'avoir plaisir, tant par son intensité, que par le temps qu'elle le ressentait, ou parfois elle avait l’impression de sombré, que son esprit la quitter, remplacer par le plaisir. Shiranui était perdue, aussi bien dans le temps, que dans son esprit. Le sexe, une chose qu'elle venait de découvrir et qui se montrer dans sa toute puissance, elle n'était pas habituer à un t-elle état.

Le monstre se vida une nouvelle fois en elle, remplissant son utérus et ses boyaux, larguant des doses gargantuesques, débordant de ses trous, coulant de ses orifices. Celle dans sa bouche fut plus généreuse, mais Shiranui ne put qu'être forcer d'avaler ce liquide chaut et visqueux, collant à sa bouche et a ses parois buccales pour ne pas être étouffer. Le sperme coula de son nez, mais sortie principalement de sa bouche, le trop plein qu'elle ne pouvait avaler, la recouvrant une nouvelle fois de sperme.

Peu après, Juliette sortie à son tour du toboggan organique, qui contrairement aux autres, atterrie normalement, sans s'écraser part terre. Quand elle vit le monstre, ce n'est pas ça qui la choqua mais les innombrables tentacules qui gigotaient dans tous les sens et qui se rapprochait d'elle. Elle ne s’entendait pas du tout à un nombre aussi imposant de tentacules, croyant juste qu'ils y'aurait que trois ou quatre tentacule par fille, mais elle était très loin de la réalité.

Les tentacules l'attrapèrent, elle se laissa faire, car sa position n'avait pas changé, ça ne servait à rien de lutter. Comme pour les autres, des dizaines de tentacules envahirent sa combinaison, répandant leur liquide gluant, avant que deux tentacules ne s’occupent de sa poitrine, titillant ses tétons, pressant ses seins. Un tentacule pénétra son intimité, une autre sa bouche et la dernière déchira sa combinaison au niveau de son fondement avant de le lubrifier et d'y pénétrer.

A son tour, Juliette expérimenta la vitesse, la force et le rythme des tentacules ! Des choses qu'elle ne pouvait concevoir aux niveau humain, cela dépasser largement ce qu'elle avait put expérimenter avec des partenaires lors d'une soirée. Elle ne pouvait suivre le rythme, ni s'y habituer cela dépasser son expérience. Le plaisir grimpait, mais elle avait du mal à l'apprécier à sa juste valeur. Le monstre lui injecta de l'aphrodisiaque, l'affaiblissant à ce plaisir qui prit plus d'ampleur. Et comme les autres, elle apprécia son traitement petit à petit.

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 21:26
par Sarah Kerrigan
Après s’être abandonnée dans le corps de Juliette, et la voir être emportée par les tentacules dans un monde meilleur, Sarah pouvait désormais affirmer avoir perdu le fil, non seulement des heures depuis lesquelles elle baisait avec cette escouade, mais également du nombre. L’Annexienne était en train de justifier ses galons en forniquant avec toutes ces femmes. Elle releva la tête vers elles, les voyant trépigner d’impatience, de fureur, ou de dégoût. Aucune ne restait totalement indifférente, et, cette fois, il n’y en avait aucune pour se dévouer. Sarah laissa donc planer quelques minutes de repos. Elle méritait bien une petite pause, et elles aussi. Elles y passeraient toutes, mais Sarah voulait les regarder, elle voulait sentir leurs pensées, voir leur rage, ou l’inavouable désir qui, peut-être, commençait à perler en certaines d’entre elles. Son regard glissa sur Ilinia, lui rappelant la manière dont elle avait sodomisé cette dernière à Tekhos il y a plusieurs mois, et elle caressa brièvement l’idée de l’appeler... Avant de rejeter cette idée dans un coin de sa tête, de la conserver pour plus tard.

Dans le fond, ce qu’elle faisait était comme d’aller au marché. Elle avait un marché gratuit de belles femmes fortes en combinaison moulante en latex. Un fantasme de jeune garçon qui était en train de se réaliser. Impossible pour elles de s’évader, car elles étaient dans son antre, là où le pouvoir de Kerrigan était le plus fort, un pouvoir immense et névralgique qui s’abattait sur elles avec la force d’un ouragan. Son regard finit finalement par se porter sur Jeanne. Elle lui en voulait à mort depuis qu’elle avait pris la virginité de Shiranui, et sa rage ne cessait de s’accumuler, en se mélangeant probablement à une sorte de frustration inconsciente. Sarah, en tant que pure Xénos, ramenait toujours tout au sexe, car elle considérait que le sexe était la pulsion primale la plus partagée au sein de l’univers et de toutes les espèces vivantes du monde, la pulsion de vie et de plaisir fondamental.

« Très bien... Un peu de combat ne pourra pas me faire de mal... »

Elle savait que Jeanne n’avait qu’une envie : l’affronter. Kerrigan allait donc la maîtriser, puis la violer, et, avec un peu de chance, cette action suffirait à réfréner les ardeurs des autres Uatéennes ici présentes. Elle savait les humains têtus, et elle se doutait bien que certaines de ces femmes devaient encore naïvement penser avoir une chance d’échapper aux tentacules de la Reine des Lames. C’était un espoir qu’elle devait tuer dans l’œuf pour éviter des actes de rébellion insensés pendant qu’elle se faisait plaisir avec toutes ces femmes.

Après quelques secondes, elle prononça donc le nom de l’heureuse élue :

« JEANNE !! »

Les tentacules renforcés se retirèrent peu à peu, mais Jeanne ne fut pas conduite sur la table organique. Elle fut tout simplement relâchée, et tomba sur le sol, face à Kerrigan... Qui, pour le coup, avait replié sa verge, refermant ensuite ses plaques de chitine autour de son intimité.

« Tu vas voir que je suis gentille, Jeanne..., commença Sarah en lui souriant. Je vais te donner ton arme. »

Des tentacules supplémentaires déposèrent devant Jeanne sa lourde hache. Comme ça, le combat serait plus juste. Elle avait compris qu’un lien fort unissait Shiranui et Jeanne, et que Jeanne lui en voulait pour ça. Sarah esquissa un léger sourire amusé, moqueur, en croisant les bras.

« Je te comprends... Tu voulais la virginité de Shiranui pour toi, Jeanne ? Je te comprends, son intimité était vraiment étroite... Étroite comme seules les pures vierges peuvent l’être... Je continuerai à la baiser pendant des heures et des heures, jusqu’à ce qu’elle en oublie son propre nom... »

Les mots étaient comme la morsure d’un serpent, et Kerrigan savait les employer au mieux. Elle voulait surtout provoquer Jeanne, tout en soulevant l’ironie de leur relation. Shiranui n’avait jamais fait l’amour, mais elle avait appris à tuer, à massacrer, à éviscérer, à torturer, tout en ignorant absolument tout des choses de l’amour...

...Et c’était elle la cinglée ?

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 21:26
par Ilinia
Le silence s'était abattue dans la salle, remplaçant les habituels cries et gémissement de plaisir de celles qui passaient dans les mains de l'annexienne, oppressant annonciateur du futur choix de l'annexienne. La tension étaient palpable, la qu'elle sera choisit ? Chacune se posait cette question, certaines pas peur, d'autre pour se libérer de cette angoisse qui les prenaient. L'annexienne semblait les jauger, de lire dans leur pensées, entrain de déterminer la qu'elle aura l'honneur, ou l'horreur selon le point de vue, de se faire prendre. Aucune ne voulait, mais certaines le souhaitaient pour avoir l'opportunité de tenter une dernière action, d'autre pour en finir. Elles regardaient l'annexienne, se demandant ce qu'elle pensait, si elle avait fait son choix, mais qu'elle les fessaient encore attendre ou si son esprit pervers s'imaginer des scènes avec l'une d'elles. Elle regarda Ilinia, cette dernière se mit à trembler.

*Pas moi ! Pas moi* Pensa t-elle.

Le souvenir de sa sodomie avait hanter ses pensées, l’empêchant de se rassurer que cela n'arriverait plus, lui rappelant d’horrible souvenir. L'annexienne détourna son regard, ce qui soulagea Ilinia, croyant qu'elle avait exauçait son souhait, bien qu'elle en doutait. Chacune eu le droit à subir le regard de l'annexienne, devenant de potentielle choix. Et bien sûr l'inévitable question : pourquoi elles subissent ça.

« Très bien... Un peu de combat ne pourra pas me faire de mal... »

Cette réplique provoqua une vaque de surprise : se battre ? Même Tirch fut étonner, elle qui n'a pas hausser un sourcil face au viol de ses soldates, s’intéressant plus à comment battre l'annexienne. Mais pour Jeanne se fut une vraie plaisir, comprenant ce que voulait l'annexienne, se battre contre elle. Jeanne allait la massacrer, éparpiller chacun de ses morceaux dans la fourmilière. Et donc sans surprise pour elle, l'annexienne annonça Jeanne, qui fut libérer de ses liens renforcer et sa bouche libérer, ce qui ne manqua pas d’insuffler un semblant d'espoir pour les autres.

Aucun tentacule ne vint la maîtriser, l'annexienne devait croire qu'elle n'avait aucune raison de s'inquiéter d'elle, ce qui renforça son envie de lui faire ravaler son arrogance. Mais elle ne chargea pas, cette immobilité forcer depuis des heures l'avait rendue raide. Elle joua des articulations, fessant bouger son corps pour chasser cette raideur. A la fin elle fit craquer ses doigts et s’apprêta à charger

« Tu vas voir que je suis gentille, Jeanne... Je vais te donner ton arme. »
-Hein ?

Jeanne n'arrivait pas à y croire : son arme ? Sa hache ? C'était a la fois une aubaine et impensable, ça sera bien plus facile pour elle de tuer l'annexienne, sans compter que l'endroit était bien espacé, assez pour qu'elle puise la manipuler. Des tentacules déposèrent sa hache à ses pieds, il manquait une partie, souvenir de sa bataille dans l'église, avant leur déclin. Elle la saisit, un sourire sauvage sur le visage, avant de la soulever d'une seule main et de faire quelque moulinet. Elle l'attrapa à deux mains et s’apprêta à charger quand l'annexienne se remit à parler.

« Je te comprends... Tu voulais la virginité de Shiranui pour toi, Jeanne ? Je te comprends, son intimité était vraiment étroite... Étroite comme seules les pures vierges peuvent l’être... Je continuerai à la baiser pendant des heures et des heures, jusqu’à ce qu’elle en oublie son propre nom... »

Jeanne stoppa ses mouvements, les laissant en suspend, parfaitement immobile. Son regard se verrouilla sur l'annexienne, son sourire carnassier avait disparue, dans ses yeux, une lueur bestiale, tout droit sortie de l'enfer, mélangeant l'envie de meurtre, de massacre, de la haine et de la rage. Cette lueur dans ses yeux prenait de l’ampleur, une veine apparue sur la temps de Jeanne, sa respiration était grave, lourde et rapide et un bon œil aurait put voir que des larmes se formaient. L'annexienne venait de blesser Jeanne au plus profond d'elle même, d'une blessure mille fois pire que si l'annexienne lui avait arracher le cœur. Ses camarades, pour la soutenir, remplirent leur pensées d'insulte ! L'annexienne venait de lui infliger une blessure qu'elle ne pourra jamais renfermer.

Elle poussa un rugissement de rage, avant de foncer la hache lever droit vers l'annexienne. Son attaque fut facile à éviter, mais tout aussi facile à deviner qu'elle aurait été assurément mortelle, elle frappa le sol, enfonçant sa hache dedans. Elle la retira et tenta une autre attaque, un fendant latéral, une attaque plus rapide que la précédente, elle faillit toucher l'annexienne, la ratant de peu. Elle ressentie un choc sur son épaule, mais cela ne suffit pas pour l’arrêter. Elle frappa une nouvelle fois, sa hache s’écrasant sur la table organique, la coupant en deux, elle redonna deux coup, avant de se rendre compte qu'elle frapper la table, tellement aveugler par la rage. Elle se mit dos à ses camarades, prête à frapper, regardant l'annexienne de toute sa haine.

Elle chargea une nouvelle fois l'annexienne et elle donna un coup par la gauche, elle rata sa cible, mais se lança emporté par l’élan de son coup, fessant un tour sur elle même, sa hache décrivant un cercle parfait. Elle se stoppa et chercha des yeux l'annexienne, avant de recevoir un coup dans le dos. Elle tituba un peu sous le choc, avant de se retourner, tentant de répliquer, elle reçu une autre attaque dans le ventre, mais cela ne parvint pas à stopper son attaque qui faillit couper le bras de l'annexienne. Jeanne semblait avoir ignorer l'attaque, car elle repartie aussitôt à l'attaque, sans montrer une quelconque gêne suite au coup. Elle abattit une nouvelle fois sa hache, manquant encore une fois sa cible, l'enfonçant profondément dans le sol, mais cela ne la ralentit pas, l'arrachant d'un coup dans un nouveau rugissement.

-CREVE SALOPERIE !

Elle tenta une nouvelle attaque. Elle ne lui pardonnera jamais, pas tant qu'elle sera en vie, elle avait insulter sa relation avec Shiranui, d'annoncer tranquillement qu'elle lui fera vivre un enfer jusqu'à ce qu'elle en perde la tête, elle ne pouvait tolérer cet affront ! S'en prendre à Shiranui c'est s'en prendre à elle ! Battant l'air de sa hache, elle fessait des mouliner avec, avant de frapper là où se trouver l'annexienne. Chacune de ses attaques était charger de haine et colère, frappant pour un bain de sang, guidé par des pulsions meurtrières et des envie de massacre, laissant la colère et la rage la guidé et non la raison.

-Arrête de bouger que je puisse repeindre cette salle de ton sang ! Dit-elle d'un voix qui témoignait de son envie pressante de la tuer, les yeux remplit d'une fureur qui viraient à la folie.

L'annexienne ne pouvait que ressentir toute la rage, la haine et la colère de Jeanne, elle ne pouvait que comprendre que Jeanne ne reculerais devant rien pour la tuer, quitte à en mourir ou à sacrifier ses amies ! Elle n'était que le réceptacle de la haine et de la rage, devenant l'avatar de sa propre haine. Ses coups, rapides et puissants, n'avait aucune coordination, ils étaient imprévisible, changeant de rythme à tout vas, dans la pur tradition du bourrin. Ses camarades étaient presque apeuré de son états, au grand jamais, elles l'avaient vue dans un états pareil, le viol et les insultes de l'annexienne l'avaient toucher aussi profondément que ça ?

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 21:27
par Sarah Kerrigan
La provocation, chez Sarah, était souvent gratuite, n’ayant aucun autre but que d’énerver son interlocuteur, afin de le rendre plus malléable à ses attaques psioniques. La colère était un excellent moyen de perdre le contrôle de soi, et, une fois ce contrôle perdu, le sujet devenait plus facilement sensible à de discrètes attaques mentales ayant pour but d’altérer sa perception de la réalité. Là où la personne pensait tirer sur une cible, il tirait en réalité des mètres à côté. Kerrigan était une experte de ce genre de méthodes, et, en la circonstance, son plan s’était avéré trop efficace. Jeanne était devenue trop efficace, trop mortelle, trop tueuse. Elle était comme une bête déchaînée, fendant l’air avec sa lourde hache, qu’elle manipulait sans peine, amenant Kerrigan à devoir l’esquiver. Sa rage annihilait la sensation de douleur, ce que la Reine put noter en feignant de la frapper avec ses pointes acérées. Jeanne était complètement furieuse, et toute tentative de contrôle mental serait vaine... Tout ça, Sarah l’avait plus ou moins prévu, car cette provocation-là, celle concernant Shiranui, elle, elle n’était pas gratuite. Sarah avait évidemment une idée derrière la tête.

Jeanne découpa la table organique en deux, faisant voler des morceaux dans tous les sens. Le lien que Jeanne ressentait pour Shiranui semblait être aussi fort que celui entre deux amants partageant une romance obsessionnelle. Il n’était pas étonnant que Shiranui soit si effacée avec une femme pareille, qui devait la surprotéger, à tel point qu’elle ne devait avoir aucune réelle autonomie, incapable de se projeter sans avoir l’avis de Jeanne... Et on osait dire que les Xénos étaient les seuls à dénigrer les « bienfaits » de l’individualisme ! Jeanne continuait à essayer de l’attaquer, et Sarah à esquiver, sans encore véritablement engager le combat. La pauvre Uatéenne ne pouvait absolument rien faire contre elle. Elle était comme un nourrisson cherchant à défier un tigre en brandissant son hochet. Son arme découpait du matériel, du décor, quelque chose d’aisément reconstructible.

« Arrête de bouger que je puisse repeindre cette salle de ton sang ! » hurla Jeanne.

Sarah, qui se déplaçait à l’aide d’une super-vitesse, s’arrêta devant la femme, un sourire vicieux sur les lèvres, le dos légèrement courbé, ses mains déployées à droite et à gauche de son corps.

« À tes ordres, mon chou... »

Jeanne se rua vers elle, les yeux étincelants de haine, et, alors qu’elle allait attaquer, Sarah passa aux choses sérieuses. Que la hache fasse un mouvement vertical ou horizontal, Sarah l’évita, et frappa avec sa force d’Annexienne l’estomac de Jeanne. Toute la rage du monde ne pouvait pas lutter contre les lois de la physique, et Jeanne fut violemment repoussée, s’envolant comme un fétu de paille, et rebondit sur le sol visqueux, roulant sur plusieurs mètres. Elle atterrit sur le dos, et des liens jaillirent alors, immobilisant provisoirement ses poignets et ses chevilles. Sarah apparut alors, et posa un pied sur le ventre de la femme.

Elle aurait tout à fait pu la tuer, mais ce n’était pas son objectif. Son sourire malicieux répondait à la lueur de haine et de rage meurtrière brûlant dans les yeux de Jeanne.

« Je vais te laisser le choix, Jeanne, et, comme je n’ai pas envie que tu m’interrompes... »

Jaillissant du sol, deux espèces de tentacules organiques recouvrirent le bas de son visage, notamment ses lèvres, l’empêchant de parler, mais pas de respirer, car son nez était encore à l’air libre.

« Shiranui ne m’offrira jamais un bon rendement, elle est trop... Trop pudique. Elle risque de devenir une poupée décérébrée, et ne m’apportera pas grand-chose. Toi, en revanche, tu es une femme pleine de ressources, vive, forte, et énergique... Avec toi, j’aurais de beaux bébés. »

Où voulait-elle en venir ? Sarah ignorait si Jeanne était encore en position de l’écouter, mais elle agissait pour, envoyant des ondes psioniques ayant pour but de l’amener à s’intéresser à sa proposition, si elle permettait de sauver Shiranui.

« Je peux guérir le corps de Shiranui, et remodeler ses souvenirs récents. Autrement dit, je peux la rendre à nouveau vierge et pure, innocente et inconsciente de ce qui s’est passé ici, et la relâcher... Je peux le faire, Jeanne, si tu acceptes de me servir... Si tu acceptes d’être mon amante sans jamais tenter de te rebeller. »

Elle retira son pied de son ventre, et les liens retenant Jeanne s’en allèrent. Sarah avait récupéré sa hache, et la balança aux pieds de Jeanne.

« À toi de voir si tu veux continuer un combat perdu d’avance contre moi ou offrir à Shiranui une nouvelle chance d’avoir droit à ce que tu estimes être une vie normale... »

C’était une expérience intéressante. Qu’est-ce qui était le plus fort chez Jeanne ? Son souci de protéger Shiranui, ou sa haine à l’encontre de Kerrigan ?

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 21:27
par Ilinia
Cette posture que prit la Reine des lames, en réponse à l'envie de Jeanne de faire couler son sang, l'avait pousser à foncer tête baisser, misant sur un puissant coup, voulant la couper en deux. Une fois que cette dernière fut à porter, Jeanne brandis sa hache et l'abattit verticalement, l'enfonçant profondément dans le sol, l'annexienne ayant éviter son attaque. Jeanne fut frapper au ventre, l'annexienne mettant toute sa force dans son coup, l'envoyant valser dans les airs, planant sur  quelques mètres avant d'atterrir violemment sur sol et de rouler sur le sol, jusqu'à enfin s’arrêter sur le dos. Le coup lui avait remuer les entrailles, couper la respiration et sans doute casser une ou deux côtes. La douleur lui tailladait le ventre, lui donnant envie de vomir.

Des tentacules jaillirent du sol et plaqua ses membres sur le sol, avant que ses bras ne s'enfonce dans la texture du sols, les bloquant de façon qu'elle ne puisse se libérer par sa force. Jeanne regarda l'annexienne s'avançait vers elle, dans une démarche de vainqueur, posant son pieds sur son torse, montrant sa supériorité. Jeanne avait les yeux flamboyant de haine. Elle serra les dents, grognant t-elle un bête, s'agitant sur ses liens pour se libérer. Mais contre tout ce dont croyait Jeanne, à savoir que l'annexienne allait la violer, elle lui parla d'un choix, avant que des tentacules ne viennent servir de bâillon, l’empêchant de pouvoir crier sa rage et sa haine, chose qu'elle allait faire avait que les tentacules n'interviennent.

« Shiranui ne m’offrira jamais un bon rendement, elle est trop... Trop pudique. Elle risque de devenir une poupée décérébrée, et ne m’apportera pas grand-chose. Toi, en revanche, tu es une femme pleine de ressources, vive, forte, et énergique... Avec toi, j’aurais de beaux bébés. »

Jeanne sentie de nouveau sentiments et émotions en elle, parvenant à calmer sa rage et sa haine : le dégoût, la répulsions, une pointe de crainte et un début d'inquiétude sur son sort. Et elle sentie autre chose dans sa tête, l'inquiétant encore plus sur le sort de Shiranui. Jeanne trouvait qu'il y avait quelque chose de pas nette dans ses paroles quelque chose n'allait pas à son goût.

« Je peux guérir le corps de Shiranui, et remodeler ses souvenirs récents. Autrement dit, je peux la rendre à nouveau vierge et pure, innocente et inconsciente de ce qui s’est passé ici, et la relâcher... Je peux le faire, Jeanne, si tu acceptes de me servir... Si tu acceptes d’être mon amante sans jamais tenter de te rebeller. »

Jeanne avait beaucoup de mal à y croire, ça semblait trop beau pour être vrai. Tellement de mal à y croire qu'elle en oublia sa colère. C'était aussi dur à y croire que d'éradiquer une bonne fois pour toute les xénos. Même si Jeanne a tendance à plus laisser ses émotions guidé ses actes, dont la colère, la soif de combat et la rage, elle sait agir par raison et intelligence et non part ses émotions. Ainsi, elle mit de côté son envie de tuer l'annexienne et considéra avec beaucoup d'attention les paroles de l'annexienne, cherchant une arnaque.

Baigner dans les discours démontrant les formiens comme des être retors, sans cœur, vicieuse et prêt à tout pour asservir Uatis, Jeanne se méfiait des paroles de l'annexienne, car combien de fois ont lui à répéter jusqu'à la nausée qu'il fallait jamais faire confiance à un formien quand bien même si celui ci affirme vouloir venir en aide ou être plein de bonne attention, car c'était le cas de l'annexienne pour Jeanne.

Cela dit, l'annexienne connaissait un point faible de Jeanne : Shiranui, et donc l'idée de pouvoir la sauver était trop tentant, quitte à mettre sa fierté de côté. Mais le risque que l'annexienne lui mente ou que Jeanne n'arrive pas à suivre les règles de l'annexienne, surtout pour le second cas qui était trop élever, étant une personne très peu disposer à se laisser faire et qu'elle aurait du mal à résister à l'envie de la frapper. Sans compter que l'annexienne était une ennemie qui comptait en faire ses esclaves. Jeanne se releva une fois libre de ses entraves et elle saisit d'une main sa hache que l'annexienne lui avait redonner. L’œil colérique et haineux, Jeanne se mit face à l'annexienne, quelques mètres les séparant, rien n'indiquant une future attaque ou une posture agressif. Jeanne devait être sur que l'annexienne ne cherche pas à la rouler, mais comment si prendre ? Comment être sûr ?

-Qu'es qui me prouve que tu dis la vérité ? Comment je peux être sur de t'es parole après tout ce que tu à fais ? Annonça Jeanne du voix impassible, teinté de rancœur.

L'annexienne allait devoir être très convaincante, car Jeanne n'attendait qu'une occasion pour charger et qu'il serait sans doute difficile de la convaincre car Jeanne est une personne têtu et qui n'est pas très patiente, surtout dans ce genre de situation. Ses camarades furent surprises de la proposition de la Reine des Lames, si certaines espérer que Jeanne fasse le bon choix pour qu'au moins une d'entre elle soit libre, d'autre le redouter, car rien ne dit qu'une fois que Jeanne sera complètement à sa botte, elle ne va pas changer d'avis ou mentir et faire croire que Shiranui et bel et bien libre. Cela ne traversa pas l'esprit de Jeanne, pas plus de s'inquiéter de ce qui pourrait ce passer pour Shiranui une fois retourner à Uatis, chose qui hantait l'esprit de Schield, se focalisant plus sur le potentiel futur de Shiranui que sur l'instant présent.

Elle n'avait jamais entendu parler d'une quelconque soldat revenue de l’Astéroïde, à part dans les films ou BD, ne pouvant que se poser des questions : comment vivra t-elle sans les membres de la section Delta S, sans Jeanne ? Comment réagiront les autorités, Kakashi ou sa mère ? Schield voulait des réponses, réponses qu'elle redoutait plus que son avenir dans la fourmilière, car elle était sûre que ces réponses n'avaient rien de bons pour elles.

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 21:27
par Sarah Kerrigan
Contrairement aux autres animaux qui faisaient office d’Annexiens, Sarah, elle, savait se servir de sa matière grise. En un sens, les Xénos avaient une sorte de bestiale pureté, car ils étaient incapables de mentir, incapables de réfléchir à des plans détaillés, se contentant juste de suivre les ordres et leurs pulsions. Kerrigan, elle, était différente. La Reine des Lames avait avec elle cet esprit humain, ce magnifique esprit, si retors, si rebelle, et qui lui permettait, ici, de s’affirmer, afin de mieux réussir à tromper Jeanne, et à la placer dans une situation difficile. Sarah avait fait mouche avec sa proposition, et, devant l’incompréhension de la Uatéenne, elle s’écarta un peu, libérant le corps de la femme des tentacules venant l’immobiliser. Jeanne pouvait encore se battre, car Kerrigan lui avait remis sa hache énergétique. Cependant, la Uatéenne, malgré toute sa colère et sa rage, n’en avait plus envie. Dans sa tête sommeillait l’espoir que son sacrifice permette réellement de sauver Shiranui... Ah, l’amour ! Kerrigan se régalait de ce genre de sentiments. Jeanne hésitait, puis finit par rentrer dans le jeu de l’Annexienne, en demandant des garanties, des preuves.

Sarah haussa les épaules, et marcha un peu.

« La seule garantie que tu pourras avoir est sur sa sortie... Si tu acceptes, elle sera immédiatement repérée des tentacules de mon adorable petit monstre, et placée dans une cuve qui la soignera... Ensuite, elle sera déposée dans les tunnels entourant la Fourmilière, où une patrouille uatéenne viendra la récupérer. La garantie, ce sera toi et tes propres yeux. Je t’emmènerai dans ces tunnels, et tu verras par toi-même les Uatéennes emmener ta copine. »

C’était aussi simple que ça. Entre la Fourmilière et les bunkers tekhans, il existait une grande variété de tunnels et de galeries souterrains, des lignes construites par les Xénos et par les humaines, afin de pouvoir quadriller la zone. De nombreuses patrouilles s’y promenaient fréquemment, afin de repérer d’éventuels Xénos, des brèches possibles, des pistes... Contrairement à ce que les Uatéennes soupçonnaient, il arrivait parfois que des cibles parviennent à s’enfuir de la Fourmilière. Elles faisaient cependant ensuite l’objet d’un traitement militaire très confidentiel, ce qui faisait que le grand public n’était pas au courant. Elles étaient emmenées entre les mains des scientifiques de Novac, afin de s’assurer qu’elles ne soient pas des espèces de bombes à retardements, abritant dans leur organisme des cellules xénos. C’était toutefois rarissime, et l’armée préférait ne pas ébruiter ce genre de choses. Pour Kerrigan, c’était une forme de propagande, une manière de convaincre et d’accroître la haine de la population civile, afin que l’armée dispose d’un budget qui soit toujours plus conséquent.

Kerrigan cessa de marcher, et se retourna face à Jeanne. Ses plaques de chitine s’écartèrent à nouveau, dévoilant sa vulve, et sa verge pointa à nouveau, se redressant fièrement. Une verge légèrement trempée, humectée par la mouille de la femme. Elle avait déjà bouffé un certain nombre de chattes depuis le début de cette longue séance, mais c’était encore plus ex citant quand elle torturait ainsi, psychologiquement parlant, ses victimes, afin de les transformer en proies consentantes. Avec Jeanne, l’affaire semblait mal engagée, car, parmi tous les membres de cette escouade, Jeanne semblait clairement être celle ayant le plus envie de la réduire en bouillie. Le choix de Sarah était aussi stratégique. En réussissant à convaincre cette femme, elle espérait aussi affaiblir davantage le moral des autres Uatéennes, et ainsi réussir, peu à peu, à toutes les pervertir.

« Je n’ai aucune raison de te mentir, Jeanne... Si je voulais te prendre et t’enfanter, je l’aurais déjà fait. Je te propose ce marché uniquement pour gagner du temps. Si tu n’es pas d’accord, je te violerai, et je briserai ton esprit. Si tu acceptes, Shiranui sera libérée... Mais j’attends de toi que tu te dévoues sincèrement à ta tâche, alors, si tu veux me convaincre... Il faudra que nous commencions par faire l’amour comme si nous étions des amantes amoureuses l’une de l’autre. Fais-moi l’amour divinement, et je libérerai Shiranui. »

Sarah venait de poser ses conditions.

Il restait maintenant à voir si Jeanne les accepterait.

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 21:33
par Ilinia
Jeanne écouta attentivement les paroles de l'Annexienne, et ressentit une certaine peine a voir que l'annexienne avait un moyen de la convaincre de manière efficace, qui est d'assister à la libération de Shiranui. Mais elle persista à trouver un moyen déstabiliser l'annexienne, de la rendre incapable de tenir sa promesse, et elle ne pouvait que voir qu'elle n'avait rien comme argument pour contré ceux de l'annexienne, qui démontra une nouvelle fois sa brillante intelligence. Jeanne se rendit donc à l'évidence, l'annexienne était réellement prêtre à laisser partir Shiranui, tout dépendait d'elle maintenant, seul ses prochains mots déterminerait le destin de Shiranui, la liberté ou l'enfer ?

Et encore une fois Jeanne hésita encore, cette fois ce fut l’égoïsme et le sentiment de perdre une part d'elle même, une part de sa vie, se heurtant à sons envie de protéger celle qui lui avait permit d'avoir une chose dont elle fut privé de naissance, une sœur et une mère. Elle ne voulait pas se séparer de Shiranui tellement elle était attacher à elle, grâce à qui elle avait put avoir une meilleur vie. Mais elle ne parvint qu'a se dégoutter elle même. Ce fut à ce moment là que l'annexienne reprit la parole, lui décrivant l'aboutissement de chacune de ces décisions, les raisons de ce... marché et ce qu'il faudrait faire pour conclure se pacte et libéré Shiranui.

Jeanne lâcha sa hache, qui s'enfonça brièvement dans le sol avant de glisser sur le côté. Ce fut avec un regard qui aurait put être un reflet des enfers tout en serrant les mains si fortement quelle perça sa peau avec ses ongles, fessant couler un peu de sang et beaucoup de mal qu'elle prononça les mots suivants.

-J'accepte tes conditions, uniquement pour sauver ma sœur.

Même si le ton, la forme et l'apparence prétendaient le contraire, ses paroles étaient sincère tout comme le fait qu'elle s'était résignée à subir les humiliations que lui infligera l'annexienne. Même si l'idée de perdre sa virginité dans cette endroit et surtout au profit de cette femme lui donner aucune envie.

Mais l'annexienne lui avait dit que pour conclure leur marché elle devait lui faire l'amour avec passion comme si elles étaient amoureuse l'une de l'autre... c'était mal partie, car Jeanne n'avait pas beaucoup, pour pas dire aucune, connaissance sur l'amour entre d'eux personne, sauf l'amour fraternel, et que sa théorie et sa pratique sur le sexe se limité à la masturbation et qu'elle nourissait à son égard une haine profonde. Rien que d'y penser, Jeanne ne put s’empêcher de souffler d'exaspération. Elle allait devoir être le plus convainquant possible, sinon l'annexienne pourrait changer d'avis. Mais elle ne fit rien, ne sachant pas comment s'y prendre, cherchant comment débuter, et ce n'est pas les quelques pornos qu'elle à put voir qui vont l'aider.

Au final, elle avança vers l'annexienne, allant se mettre face à elle, elles avaient quelque centimètre de différence, mais cela n’empêcha pas Jeanne d'embrasser l'annexienne. Ce n'était pas un baiser : il n'y avait ni passion, ni envie et surtout ce n'était pas un baiser ! Elle posa juste ses lèvres sur celles de l'annexienne et ne fit rien d'autre, pas habituer à embrasser une fille sur la bouche, démontrant son manque astronomique d'expérience.

Bien évidement, le reste ne loupa pas un seul mot de la conversation ni de ce qu'elles voyaient, elles avaient toujours eu des doutes sur la relation fraternelle entre Jeanne et Shiranui, mais la révélation fut moins forte qu'elles l'auraient crue et si leur vision des choses n'avait pas changer, celle de Tirch vira sur la traîtrise et Schield était sur que l'annexienne mentait, elle mentait comme elle respirait, même pour gagner du temps elle ne laisserait pas partir une femme pour une autre, c'était illogique pour elle.

Pourquoi toute cette scène, uniquement pour s'assurer que Jeanne soit à sa botte ? Elle ne voulait pas perdre de temps, elle n'avait que ça du temps ! Pourquoi pas la violé et la briser directement comme elle a dit ? Pourquoi s’assurer de l’obéissance de Jeanne ? Pourquoi libérer Shiranui ? Qu'elle intérêt elle à a gagner ? Schield ne comprenait pas, durant sa carrière de chasseuse de prime ou dans la delta S, elle n'avait jamais eu peur de rien, ni des fous dangereux à abattre ou des risques en mission, mais cette annexienne lui fessait peur.

Elle ne connaît pas grand chose des formiens, mais elle était sur que cette annexienne devait faire partie des pires, elle n'arrivait pas à comprendre son jeu, elle semblait cherché plus que leur soumissions ou d'en faire des pondeuses. Pour Schield, l'annexienne cherchait à les briser, à les torturer psychologiquement, d'abuser de leur faiblesse, de s'en servir comme moyen de pression, de leur ôter tout espoir ! L'espoir, serais se ça qu'elle cherche ? Détruire toute forme d'espoir, de les briser un à un, de réduire à néant leurs espoirs et de les plonger dans un désespoir profond afin de mieux les briser et d'en faire ses pantins ? Serais se son plan ?

Jeanne était une source d'espoir, serais se là raison de vouloir la soumettre ? De montrer que même la plus forte d'entre elle ne peut que se plier devant elle et de briser ainsi cet espoir ? Mais elle semblait ne pas se douter que Jeanne était assez imprévisible, tôt ou tard sa rage refera surface. Et pour Mixim, cherchait elle à montrer qu'aucune ne pourra échapper à son destin ? Et si elle violait chacune d'entre elle une à une devant les autres, c'était pour abreuver cette inéluctable désespoir qui les habiter, de voir sans rien pouvoir faire que de pouvoir contempler la marche funèbre de leur destin vers elles et de se raccrocher à chaque bribe d'espoir qu'elles pouvaient trouver, que l'annexienne prendrait plaisir à réduire à néant devant elles.

Schield ne put imaginer ce qui ce passerait une fois tout espoir détruire, ni ce qu'elles feraient. Elle ne put que réaliser qu'une chose : quoi qu'elles fassent, l'annexienne sera vainqueur et fera de la section Delta S ses esclaves. Elles étaient condamner, condamner à être les esclaves des formiens. Elle réalisa que maintenant que toute lutte était inutile, l'annexienne était un adversaire trop fort, trop rusée et trop intelligent pour elles. C'était ça qui fessait peur à Schield, avoir pour adversaire, une ennemie surpuissante.

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 21:33
par Sarah Kerrigan
Jeanne semblait hésiter, peser le pour et le contre. Elle cherchait les petites lignes du contrat, les petits pièges, le traquenard… Les autres Uatéennes étaient également surprises, certaines ne comprenant pas du tout pourquoi Sarah tenait à libérer Shiranui. Kerrigan avait exposé ses conditions, et le temps sembla se suspendre aux lèvres et à la hache de Jeanne. Cette Uatéenne était probablement l’une de celles qui la haïssaient la plus, et, même si elle avait des raisons extrêmement personnelles de le faire, il n’en restait pas moins qu’elle rejoignait la tranche dure et hostile de l’escouade Delta. Si Sarah arrivait à la séduire, à la convaincre, alors toutes ces autres femmes se rallieraient à son autorité. C’était aussi simple que cela à comprendre. Un sourire victorieux éclaira donc les lèvres de Sarah quand Jeanne abandonna sa hache, acquiesçant aux conditions de Sarah, puis se rapprocha d’elle. Toute la tension continuait à être visible dans le corps de Jeanne, qui révéla alors être la sœur de Shiranui… Très certainement sa grande sœur, vu la manière dont elle la surprotégeait.

*Voilà qui explique tout…*

Jeanne se rapprocha d’elle, et Sarah écarta légèrement les bras. La Uatéenne se blottit lentement contre elle, n’ayant rien à dire, et apposa ses lèvres contre les siennes, lui offrant un tendre et humble baiser. C’était un simple frottement de lèvres, rien de plus, mais qui voulait tout dire. Sarah la laissa faire, et, quand Jeanne se retira, la main de Sarah se posa sur ses cheveux, s’appuyant dessus. Leurs nez se caressaient tendrement, et son autre main caressa les hanches de la femme, glissant sur sa peau, caressant tendrement son uniforme.

« Laisse-moi te montrer ce qu’est un vrai baiser, Jeanne… »

Sarah l’embrassa alors… Sérieusement. Sa bouche se plaqua à la sienne, deux de ses lèvres allèrent gober la lèvre inférieure de Jeanne, tirant dessus, avant de soulever la lèvre supérieure de la femme, permettant ainsi de creuser un trou par lequel sa langue s’enfonça en elle, glissant dans sa bouche. Elle alla chercher la langue de Jeanne, jouant avec elle, et son corps se blottit contre le sien. Sarah gémit de plaisir, et continua à l’embrasser, plutôt longuement. Ses doigts remuaient le long de ses cheveux, les caressant, et elle soupirait contre elle, yeux clos. Au bout d’una ssez long moment, Sarah rompit le baiser, et écarta un peu plus son visage, son corps restant cependant collé à celui de Jeanne. Sa verge, tendue, s’enfonçait contre l’uniforme de la femme. Il filait sous sa tunique pour heurter sa culotte blanche, remontant quand Sarah se pressait contre elle, sa verge devenant alors un bâton glissant entre le corps des deux femmes.

Plusieurs secondes passèrent, avant que Sarah ne lui sourit à nouveau, plus doucement :

« Bien… Je vais honorer ma part du marché, Jeanne, et tu pourras voir que tu peux me faire confiance. »

Sarah tendit sa main vers un mur, et ce dernier s’ouvrit alors, ne tardant pas à révéler le spectacle ahurissant du Monstre xénos, en train de défoncer joyeusement toutes les Uatéennes capturées. Sarah lança un ordre, et Shiranui ne tarda pas à apparaître. Elle était complètement sonnée, et fut lâchée sur une plateforme à proximité. La grande femme aux formes généreuses était complètement épuisée, semblant brisée, et, au bout de quelques instants, elle fut engloutie par le sol, disparaissant dans un tunnel qui venait de se créer sur place. Le mur se reforma alors, et un autre s’ouvrit, montrant alors une autre pièce.

On pouvait voir de gros œufs rosâtres dans cette pièce, les œufs étant reliés au sol et au plafond par de grosses veines. Sarah laissa passer quelques secondes, puis continua à user de son pouvoir mental. Ce faisant, l’un des œufs s’ouvrit en deux, et on put voir, à l’intérieur, flottant dans un liquide amniotique, le corps nu de Shiranui. Pour rentrer, elle était passée par le nerf se situant au-dessus de l’œuf, nerf qui s’était alors ouvert et distendu afin d’accueillir le corps de la femme.

« Certaines Uatéennes ont inspecté ce genre d’œufs. Ce sont des incubateurs qui permettent de soigner les organismes allant dedans. »

Ces Uatéennes avaient trouvé ces gros œufs dans des Ruches qu’elles avaient ravagées.

« D’ici quelques heures, elle sera soignée. Ses tissus cellulaires seront cicatrisés, et son hymen restaurera. Si tu le veux, sa mémoire sera partiellement modifiée… À toi de voir, ma puce. »

Sarah referma le mur, puis son regard se reporta à nouveau vers Jeanne. La Reine des Lames avait assez parlé, et s’écarta un peu, avant de s’allonger sur la table au centre, cette espèce de table-lit sur laquelle elle avait déjà forniqué avec tant de Uatéennes.

« Retire ta culotte et viens t’empaler sur moi, ma belle… Car tu es désormais mon amante… Et crois-moi que tu ne regretteras rien de ce que tu vas vivre. »

Ça, c’était une chose qu’elle lui promettait clairement !

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 21:33
par Ilinia
Son baiser, Jeanne se retenait de ne pas vouloir en vomir, pas par le fait qu'il était plutôt simple, mais par le fait qu'elle la fait avec cette pourriture d'annexienne. Elle aurait plutôt voulue lui cracher dessus, mais Shiranui était le cadenas de ses envies de vengeance et meurtre, accomplissant donc de plein grès ce baiser et de se soumettre à l'annexienne. Durant leur baiser, Jeanne partagea son regard avec celui de l'annexienne, un regard de colère et de rage contre celui victorieux et lubrique de l'annexienne, du moins ce fut sa vision des chose. Leur nez se frottant, Jeanne essayait d'ignorée cette caresse improviser, qui était dans son enfance une caresse qu'elle fessait avec Shiranui leur manière de se dire bonjour dans leur enfance. Elle se retira après un moment, éloignant ses lèvres de celles de l'annexienne, sans s'attendre à ce que l'annexienne en reste là.

« Laisse-moi te montrer ce qu’est un vrai baiser, Jeanne… »

Jeanne avait vue juste. L'annexienne mit sa main derrière sa tête et alla l'embrasser, fougueusement, lui montrant ce qu'est un baiser et ce qu'il faut faire. Jeanne sentie les lèvres de l'annexienne gobaient sa lèvre inférieur l'emprisonnant entre les siennes, la suçant et tirant légèrement dessus, avant de soulever en ouvrant la bouche sa lèvre supérieure, glissant ainsi sa langue dans la bouche de Jeanne qui n'avait pas fermer sa bouche, mais dont l'envie brûlante de refermer de toutes ses forces ses dents sur cette langue qui se mélanger à la sienne, mélangeant leur salive. Mais à la place, elle serra les poings menaçant de se percer à nouveau la peau.

L'annexienne s'activait sur le baiser, baiser au quel Jeanne répondait sans la même ardeur, ni mettant pas beaucoup du sien, son esprit encore hostile. De ses mains, elle ne fit rien, mettant juste les doigts sur les hanches de l'annexienne pour faire bonne figure, mais dont l'envie de les mettre sur sa gorge était tentant, mais pas assez pour le faire. L'annexienne mit fin au baiser, retirant sa langue de sa bouche, un filer de bave reliant encore leur lèvres respectives. Mais ce ne fut pas pour autant que l'annexienne ne séparant d'elle, Jeanne sentie la verge de l'annexienne se frotter contre elle, se glissa sous sa culotte, se frottant à l'endroit où se situer son intimité, avant que l'annexienne ne la plaque entre leur corps. Elles restèrent ainsi quelque temps, Jeanne peinant à ne pas dégager l'annexienne d'un coup bien placer. Finalement l'annexienne lui sourit, un sourit qu'elle voudrait lui effacer.

« Bien… Je vais honorer ma part du marché, Jeanne, et tu pourras voir que tu peux me faire confiance. »
-J’espère bien.
*C'est ça, fais toi passer une bonne personne* Pensa Jeanne oubliant que l'annexienne pouvait entendre ses pensées.

Elle la regarda tendre la le bras, vers un murs. Celui-ci s'ouvrit dévoilant à toutes le calvaire de leur amies. Elles pouvaient contemplées l'immensité du monstre, ses milliers de tentacules qui pénétraient leurs amies, qui leurs jouissaient dessus, les remplissant de sperme. Ils leurs étaient impossibles de les discerner à cette distance, voir même de près, inonder de sperme, recouvertes de tentacules. Mais pas seulement, les bruits des tentacules, les cries de jouissances de leur camarades et l'odeur forte des fluides. Elles furent choquées, même Tirch, l'angoisse et la peur reprirent possession de leur esprits, et comme aux tout débuts elles paniquèrent à nouveau, refusant de devoir se faire prendre par l'annexienne et surtout de rencontrer ce monstre. Ce que subissaient leur amies, été pire que ce dont elles s'étaient imaginées.

Jeanne fut tout aussi choquer, mais son choc s'aggrava quand elle vit Shiranui se faire déposer sur une plate-forme. Cette dernière était recouverte de sperme, les cheveux complètement imbiber de sperme et du sperme coulant de sa bouche. Les yeux vides de présence d'esprit, respirant rapidement, elle était méconnaissable. Elle n'était plus la Shiranui toujours souriante, toujours contente, toujours enfantine. Elle était briser, bafoué et humilier.

Shiranui due remarquer la présence des autres, car malgré l'aphrodisiaque présent en grande quantité dans son corps et sa fatigue, elle parvint à ignorer le plaisir gargantuesque qu'elle ressentait et parvint à ressembler son esprit, de verser une larme de tendre faiblement un bras vers sa grande sœur et de bouger ses lèvres sans qu'aucun son n'en sorte, si n'est que de sperme et un souffle ardent, postillonnant du sperme. Mais elle ne put rien faire d'autre, car déjà le sol l'engloutie à nouveau.

Jeanne avait vue sa tentative de l'appeler, et s’apprêta à aller à son aide, quand le sol s'ouvrir sous elle afin de l'amener dans un quelconque endroit, ne laissant que pour dernière vision, celle d'une sœur violé et bafoué. Un nouveau mur s'ouvrit en même temps que l'autre se ferma, mettant fin à la vision du monstre tentaculaires et de leur pauvre camarades. L'autre ouverture dévoila une pièce remplit d’œuf rosâtre, assez gros pour contenir une personne entière, voir plus d'une personne. Devant leur yeux, un des œufs s'ouvrit comme une banane, dévoilant Shiranui, nue et flottant dans un liquide transparent. L'annexienne les rassura en leur décrivant la fonctionnalité de ses œufs et qu'elle pouvait modifier la mémoire de Shiranui, mais que cela dépendait de Jeanne.

Cette dernière ne l'écoutait pas, ni même ne remarqua que l'annexienne s'éloigna d'elle. Son esprit ne pouvant ôter de sa mémoire, ni de ses yeux, la vision de sœur et de ses camarades. Elle sera les poings, si forts qu'elle se perça à nouveau a peau et menaça de se casser une phalange si elle continuait. Ce ne fut pas la rage, ni la haine, ni la colère qui habita son esprit, mais le désespoir et la tristesse. Pendant un instant, elle voulue reprendre sa hache, mais avant qu'elle ne puisse faire un pas :

« Retire ta culotte et viens t’empaler sur moi, ma belle… Car tu es désormais mon amante… Et crois-moi que tu ne regretteras rien de ce que tu vas vivre. »

Ce fut un coup de couteau dans le cœur pour Jeanne, lui rappelant à quel point elle était impuissante. Ni les coups, ni les mots ne ferait dévier cette annexienne de son objectif, se moquant éperdument de ce que souhaite ses prisonnières. La seule chose qui retenait Jeanne de ne pas tenter une action si folle que l'annexienne n'aurait d'autre choix que de la tuer était Shiranui. C'est ainsi qu'avec des yeux dévoilant son profond dégoût pour l'annexienne, qu'elle retira le bas de sa tenue, dévoilant son intimité, qui à l'instar de ses camarades n'était pas rasée.

*Pour Shiranui* se dit elle

D'un pas mal-assurer, elle se dirigea vers l'annexienne, coucher sur la table. Elle déglutit et se fut avec appréhension, qu'elle se mit en amazone sur l'annexienne, debout sur ses genoux, la verge à l'entré de son intimité. Elle s’apprêtait s'enlever elle même sa virginité, elle hésitait encore. Une sueur froide coula sur sa tempe. Elle respira un grand coup et abaissa son corps sur la bite de l'Annexienne.

*Pour Shiranui* Répéta elle en même temps

Elle ne put retenir un crie, quand elle sentie cette engin la pénétrer. La verge avançait lentement dans son intimité, martyrisant ses parois intimes, trop étroites pour accueillirent un engin aussi épais pour une première fois et ce fut après quelques dizaines secondes que son hymen fut enfin déchirer. Jeanne avait mal, la douleur était forte, elle avait peur de déchirer son vagin, mais ce dernier résista et ce fut après un longue minutes, que ces parois commencèrent à s'adapter aux calibre du pénis. Et enfin, ce fut après une autre minutes, que la verge touche finalement le col de l'utérus, mais elle tentait de forcer le passage, pour faire entré le surplus de centimètres encore à l'extérieur, trop grande pour entrer entièrement dans le vagin. Jeanne avait les larmes aux yeux, c'était ça première fois, et pour ça première fois une verge bien plus grosse qu'elle n'aurait crue.

Elle resta comme ça un moment, se remettant de cette pénétration. Elle évita le regard de l'annexienne, elle mit ses mains sur le corps de l'annexienne au niveau de la taille, afin de s'aider avec ses jambes de se retirer. Retirer cette engin ne fut pas une mince affaire, le retour fut aussi pénible que l'aller, ses parois furent à nouveaux martyriser. Ce fut une fois que le bout de la verge arriva au limite de sortir de son intimité, que Jeanne s’arrêta et qu'elle recommença le manège inverse, se relaissant glisser dessus. Cette fois ce fut plus facile qu'avant, mais la pénétration fut quand même dur.

Et ainsi de suite, Jeanne allait lentement afin de s'habituer à la pénétration. Elle ignorait si cela plaisait à l'annexienne, mais elle s'en moquer, se concentrant pour l'instant sur ses allées et venues. Son intimité mouilla après un long moment, rendant la pénétration plus douce et facile. Le plaisir naissait, mais il n'était rien face aux dégoût de Jeanne.

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 21:33
par Sarah Kerrigan
La petite Jeanne était une femme pleine de passion, et, pour l’heure, sa passion s’exprimait par le biais d’une rage sans bornes à l’égard de Kerrigan. Elle avait vu dans quel état se trouvait Shiranui, et Jeanne, sa grande sœur, se refusait à l’accepter. Le tendre et fougueux baiser de Sarah n’y avait rien changé. Jeanne trichait. Sarah lui avait bien dit que Shiranui ne pourrait être libérée que si Jeanne parvenait à surmonter sa haine, et à se révéler docile et aimante, comme une véritable amante. Au lieu de ça, elle la fusillait du regard, avec une hypocrisie blessante.

*Et pourtant, je vais quand même honorer ma part du marché… Et on ose dire que je suis méchante. Ces humaines arrogantes sont des enfants bien capricieux, qui veulent le beurre et l’argent du beurre.*

Elle avait ordonné à Jeanne de venir s’empaler sur elle. Sa verge violette était bien dressée, tendue vers le plafond, et, lentement, la Uatéenne s’avança. Tout son esprit semblait être focalisé sur deux choses : sauver Shiranui, et ne pas tuer Kerrigan. Les deux pensées étaient liées, mais, alors qu’elle rejoignait la table, et qu’elle voyait cette verge grosse et bien juteuse, son esprit se focalisa alors, brièvement, sur autre chose, sur une autre pensée, que la redoutable ex-Psyker réussit à saisir : Jeanne était vierge. Un léger sourire perla sur les lèvres de Sarah. Elle allait donc perdre sa virginité ici… Et peut-être qu’elle réussirait à comprendre comment fonctionnait la Reine des Lames. Tout ce que ces femmes vivaient ici n’était qu’une leçon, une simple leçon destinée à leur montrer qu’elles étaient impuissantes face à elle, que leur existence en tant que soldates uatéennes était révolue, et que, si elles se rebellaient, Sarah avait amplement les moyens de les faire souffrir. Autrement dit, elle cherchait à leur montrer qui était le patron ici, et à qui elles devaient obéir sans sourciller.

Jeanne se posa sur son ventre, son intimité près de son sexe. Sarah esquissa un léger sourire, goguenard, et ne dit rien. Elle aurait pu conseiller Jeanne pour sa première fois, l’exciter préalablement, mais il fallait bien punir un peu cette sale chienne. Jeanne n’avait essayé que de la tuer depuis qu’elle était là, lui renvoyant perpétuellement un mur de haine et d’agressivité. Certes, à sa place ; Sarah aurait probablement pensé jadis de la même façon, mais les rôles étaient maintenant inversées. Kerrigan était curieuse de voir jusqu’où Jeanne irait… Sacrifierait-elle sa virginité pour sa petite sœur ? Ce lien était important, parfois le plus solide des liens. Sarah eut sa réponse en voyant Jeanne se redresser, puis faire glisser cette verge en elle. La douleur irradia dans tout le corps de la belle femme, qui ne tarda pas à poser ses mains sur la taille de Sarah. En retour, cette dernière agrippa ses belles petites fesses, et la laissa faire. Lentement, très lentement, Jeanne se faisait à la présence de ce chibre. Elle remuait lentement, et, ses parois étant sèches comme le puits d’un désert, elle ne ressentait que la douleur.

*Peut-être faut-il lui envoyer un aphrodisiaque ?*

C’était une piste possible, mais Kerrigan ne voulait pas non plus en abuser. Dans l’absolu, elle voulait que les expériences sexuelles soient authentiques, et, de toute manière, Jeanne méritait de souffrir un peu. Ces femmes devaient comprendre comment leur séjour ici allait fonctionner, en suivant le principe du bâton et de la carotte. Jeanne remuait lentement en elle, soupirant, gémissant presque, ravalant sa douleur derrière sa fierté. Sarah la laissait faire, soupirant faiblement. L’intimité de cette femme était terriblement étroite, rendant la pénétration encore plus agréable, encore plus intense. La Reine des Lames savourait cela, et laissait Jeanne se démener sur elle, remuant d’avant en arrière, enfonçant peu à peu cette queue dans son corps, revenant en arrière, puis en avant.

Parler aurait pu la déconcentrer, d’autant plus que, peu à peu, le plaisir venait. Le vit de Sarah tapait contre son clitoris, s’enfonçant dans des zones érogènes sensibles, et, peu à peu, l’intimité de Jeanne se lubrifia plus facilement, se recouvrant de mouille, ce qui l’amena à remuer de plus en plus facilement, à glisser de plus en plus vite. À aucun moment, Sarah ne cherchait à l’arrêter, et lui avait laissé tout le temps d’agir, de danser sur elle, de remuer contre sa queue.

« Hummm… Oui, ma belle, vas-y… Perds ta virginité avec moi, et ta sœur… Sera libre, hummmm… »

Autant jouer sur la carte de la sœur, car Jeanne y était plus réceptive. Progressivement, les mains de Sarah se crispèrent autour des fesses de la femme, les malaxant, remuant un peu dessus. Jeanne dansait de plus en plus vite, allant crescendo. Les minutes qui s’écoulaient étaient sans importance, seul comptait le résultat final… Et il y avait fort à parier que Jeanne finirait par jouir. Pour la motiver, Sarah finit par déplacer l’une de ses mains, et vint empoigner l’un des seins de la femme, se crispant sur ce mont de chair, appuyant sur le téton, le pinçant entre deux doigts, tirent dessus, puis retourna le malaxer.

« Haaaannn… Vas-y, ma chérie, continue à danser, ne pense à rien, à rien d’autre qu’au plaisir… Danse, vas-y, danse, bébé… »

Il y avait en Jeanne un meilleur potentiel que chez Shiranui, et, si Sarah savait que ses Cérébrates ne comprendraient pas pourquoi elle allait probablement libérer Shiranui, Sarah, elle, suivait sa propre logique. Ce qu’elle dépensait avec sa main gauche, elle le regagnait dans la main droite. Shiranui partirait de son influence pour l’heure… Mais Sarah réfléchissait sur le long terme, ce qui faisait d’elle une manipulatrice si efficace. Elle avait amené Jeanne à s’empaler sur elle, et à lui faire l’amour.

Tôt ou tard, elle arriverait à récupérer Shiranui.

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 21:33
par Ilinia
« Hummm… Oui, ma belle, vas-y… Perds ta virginité avec moi, et ta sœur… Sera libre, hummmm… »

Et comme prévue, Jeanne mit un plus d’ardeur dans sa tache, mais pas pour le plaisir du sexe, mais le plaisir de libérer Shiranui.

De la douleur, se succéda le plaisir, au fur et à mesure que le temps passait, que les secondes s'écoulaient. Jeanne gagnait en rythme, son vagin s'adaptant à la présence du chibre énorme de la Reine des Lames. Elle ne fessait que ça, ses mains sur le bassins de l'annexienne, tandis que les siennes allèrent sur ses fesses, les pressant, les malaxant, arrachant des soupirs de gêne à Jeanne. Le plaisir irradier son intimité, gagnant son corps, mais Jeanne peu ouverte à une telle chose, ne parvenant guère à assimiler plaisir et coucher avec une formienne pour sauver Shiranui, ne parvenant n'ont plus à jouer son rôle d'amante passionner correctement. Comment oublier aussi facilement les insultes de l'annexienne sur Shiranui et tout ses actions contres elles ? C'était déjà un exploit qu'elle donne de son plein gré sa virginité à l'annexienne.

Elle levait son corps aussi rapidement que lui permettait sa position, avant de ce laisser tomber avec plus ou moins de force, sur la verge tendue, dont le bout heurtait à chaque fois le col de l'utérus, cherchant à enfoncer cette porte pour en pénétrer un sanctuaire inconnue. Sa mouille lubrifiant ses parois, laissant le bélier de la Reine pénétrait de force son antre, heurtant son clitoris, provoquant des explosions de plaisir intenses, écartant les parois désormais adapté à sa taille, le laissant glisser avec plaisir et rapidité, provoquant des sensations de plaisir tout le long, le frottement se faisant avec délice, avant d'heurtait le col de l'utérus, l’inébranlable gardien entre le chibre et une zone inaccessible.

Malgré le plaisir grandissant, Jeanne ne l'admettait toujours pas, malgré ses joues rouges, sa sueur sous l'effort, son souffle rapide et ardent, glissant le long de sa poitrine avant de se perdre sur l'annexienne, ses gémissement entre l'effort et le plaisir brisant le silence de la salle, sous les yeux de ses camarades, dont Goya, et des Xénos présents. Un plaisir qui ne demandait que d'être accepté, se fessant refuser par Jeanne, ne voulant pas, inconsciemment, s'avouer vaincue, de laisser ce plaisir la prendre. Elle résistait, ses yeux portant toujours une lueur de haine, ses pensées souhaitant réussir pour Shiranui, qu'elle sorte de cette enfer et d'autre plus sombre, l’accablant de reproche sur son impuissance.

Au bout d'un moment, une main de l'annexienne s'empara d'un de seins. Jeanne eu le souffle coupé un moment et son visage pris plus de couleur, son souffle devint plus rapide, ses gémissements plus accentuer sur le plaisir et survint son premier crie, quand l'annexienne commença à titiller son téton, le tirant ou le pinçant, avant de malaxer et de compresser son sein.

« Haaaannn… Vas-y, ma chérie, continue à danser, ne pense à rien, à rien d’autre qu’au plaisir… Danse, vas-y, danse, bébé… »

Le plaisir monta démesurément, l’empêchant de pouvoir répliquer, ce plaisir semblait être arriver à un stade critique, irradiant son esprit. Elle finit par un crie de plaisir, en même tant qu'elle se mit à jouir. Déboussoler, Jeanne ralentit considérablement son rythme, le plaisir trop intense, parvenant à la perturber. Elle haletait, la sueur coulant de ses tempes et son front, le souffle puissant et ardent, la bave perlant de ses lèvres entrouverte ou s'échapper ses halètement et gémissements. Son esprit scinder en deux, celle qui accepter ce plaisir et celle qui voyait toujours en l'annexienne un ennemi. Elle ne comprenait ce qui lui était arriver, elle avait laisser le plaisir prendre le pas sur elle.

Elle reprit lentement ses esprits, après avoir cesser d'aller et venir sur cette verge, réalisant qu'elle venait de prendre un plaisir fou. Pourquoi ? Parce que son corps avait envie de découvrit les joie du sexe ? Ou parce qu'elle ne sait jamais préoccuper de ça et qu'elle était donc plus sensible à aux sexes ? Elle ne savait pas, mais pour se rassurer, elle se dit que c'était pour Shiranui, uniquement pour elle qu'elle à fait ça et qu'elle ne méritait pas à un sort pareil !

Jeanne était d'une certaine manière vaincue, un autre espoir s'envola, tandis que persisté encore des bribes d'espoirs, que ce soit sur Mistrial, Tirch ou sur leur dernier atout.

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 21:34
par Sarah Kerrigan
Que pouvait-elle faire ? Jeanne essayait, tant bien que mal, de lutter contre les plaisirs qu’elle était en train de ressentir, de se dire qu’elle faisait ça uniquement pour Shiranui, uniquement pour sauver sa sœur… Mais le corps ne mentait pas, et les plaisirs que la femme était en train de ressentir indiquaient clairement le bonheur qu’elle ressentait. Jeanne ne pouvait pas se mentir à elle-même, ni à la Reine des Lames. Elle avait succombé. Elle aimait s’empaler sur le vit de Sarah, elle aimait se perdre contre elle, elle aimait cette sensation qui la traversait de part en part. Sa colère s’effaçait progressivement, et, sans le savoir, Jeanne était déjà dans le creux de la paume de Kerrigan. Elle ne pourrait jamais réussir à lutter efficacement contre elle, et, à chaque fois qu’elle voudrait se rebeller, à chaque fois qu’elle songerait à se révolter, son corps viendrait se rappeler à elle, viendrait lui rappeler les sensations qu’elle avait reçu. Dès lors, ce n’était maintenant plus qu’une question de temps avant que la Uatéenne ne s’abandonne définitivement au plaisir, et ne devienne sienne. Jeanne se dandinait sur son corps, gémissant, soupirant, couinant de plaisir, se frottant à elle, dandinant d’avant en arrière.

Les mains de Sarah se crispaient contre ses fesses, ou remontaient pour empoigner les lourds seins de la femme, pinçant son téton, malaxant sa peau nue et en sueur. Jeanne dansait de plus en plus vite, et, sous ce régime, son orgasme finit par arriver. Elle se largua contre la verge de Sarah, qui soupira de plaisir en sentant cette mouille affluer. Jeanne soupirait lentement, faiblement, et c’est sous ce traitement que la Reine des Lames atteignit, à son tour, l’orgasme, réglant son corps pour jouir en même temps qu’elle. C’était plus poétique, et son sperme se répandit généreusement dans le corps de la femme, se répandant dans ses entrailles, enfantant à son tour la belle Jeanne.

« Haaa… Tu es une très bonne amante, ma belle Jeanne. »

Un sourire heureux, quoique légèrement moqueur, vint se dessiner sur les lèvres de Kerrigan, qui resta allongée pendant encore quelques instants, caressant les hanches de Jeanne, laissant à l’intrépide et désormais docile Uatéenne le soin de reprendre ses esprits. Elle venait de jouir, de goûter au plaisir ultime, et Sarah, naturellement, allait honorer sa parole. Shiranui serait libérée, oui… Mais ce ne serait qu’une question de temps avant qu’elle ne revienne. La Reine des Lames réfléchissait sur le long terme, et, n’étant pas du genre à remettre en cause la perfection de ses plans, elle était convaincue que tout cela n’était que partie remise, et que, tôt ou tard, Shiranui lui reviendrait… Mieux, ce serait même grâce à Jeanne ! Car, en ce moment, Jeanne venait de découvrir le bonheur, un plaisir intense, profond, physique, corporel, un plaisir qui, par la suite, constituerait sa damnation.

Lentement, un tentacule s’approcha du plafond. Il était temps que le cycle se poursuive. Le tentacule violet vint s’enrouler autour de la nuque de Jeanne.

« Ne t’inquiète pas, Jeanne, je reviendrais te faire l’amour… Et tu verras par toi-même ta sœur retrouver sa liberté… »

Pour le moment… Mais inutile de lui révéler les véritables intentions de la Reine. Jeanne fut décollée du sol, et, le cas échéant, d’autres tentacules pouvaient toujours se déplacer pour la saisir, et l’emmener dans les innombrables tentacules du Monstre xénos, qui continuait à pénétrer les autres Uatéennes. Jeanne les rejoignit donc, poignets et chevilles immobilisés par des tentacules, tandis que deux autres s’enfoncèrent respectivement dans son vagin et son anus. D’autres vinrent lécher ses seins, s’enroulant autour d’eux pour les presser et les tirer dans tous les sens.

Sarah, de son côté, se redressa lentement, et observa les femmes restantes. Sa verge était recouverte de la mouille de Jeanne, et, dans un sourire mielleux, Sarah s’amusa à se masturber. Elle recueillit un peu de la cyprine de la femme, et s’en humecta les lèvres, conservant toujours sur son visage un sourire moqueur.

« Alors, Mesdames… Qui veut se faire engrosser et m’offrir sa mouille, maintenant ? »

Il restait encore bien du monde !

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 21:35
par Ilinia
Ce plaisir lui avait fait perdre la tête un moment, n'arrivant pas clairement à ce l'expliquer. Elle avait aimé, c'est tout, sûrement une part d'elle qui voulait découvrir le plaisir du sexe. Toujours est-il qu'elle se remit lentement de ses émotions, le plaisir toujours ardent, le visage encore rouge et le souffle aussi chaud. Elle était encore empaler sur la verge, le jus intime des deux femmes coulant lentement de sa fente et sous ses mouvement qui favorisaient leur évacuations, coulant sur le corps de l'annexienne. Et sans le demander, elle était sur que l'annexienne l'avait mit enceinte et donc qu'elle devra accoucher une des monstruosité. Si le plaisir n'avait pas aussi intense, si une part de son esprit n'avait pas céder à cette passion, longtemps que son esprit combatif l'aurait étrangler, du moins l'idée aurait traverser son esprit, l'aurait tenter, mais n'aurait sans doute pas céder.

Mais,cela n'était pas une raison d'oublier sa haine passé et ses envies de tuer, sommeillant en elle, enchaîner par ce pacte. Brisant le silence, l'annexienne complimenta leur relation d'amante, mais Jeanne ne dit rien, car n'ayant rien à dire et craignant qu'elle ne dise une connerie, se connaissant trop bien pour répondre à l'inverse de ce qu'elle devrait dire. Elle ne fit pas attention au sourire un peu moqueur de son... amante.

Elle resta ainsi, quelque instant, la verge toujours en elle, reprenant lentement de cette folle expérience, laissant les mains de l'annexienne parcourir ses hanches. Elle espérait qu'elle ne venait pas de créer une brèche en elle, une brèche que saurait profité la Reine des Lames. Elle se doutait de rien quand a son future et que cette brèche sera sans doute sa perte. Ignorant le plan réel de l'annexienne, elle était contente de son sacrifice, Shiranui sera libre ! Elle quittera cet endroit de cauchemar ! Mais elle n'était pas sotte au point de ne pas se douter que l'annexienne ne tiendrait sans doute pas parole, mais l'espoir de la voir partir était fort, trop fort.

Un tentacule vint s'enrouler autour de son coup, et Jeanne par réflexe, porta ses mains à son coup, agrippant le tentacule et s’apprêtant à la déchirer de ses mains. Mais elle ne le fit pas, se rendant compte que le tentacule ne chercha pas à l'étrangler.

« Ne t’inquiète pas, Jeanne, je reviendrais te faire l’amour… Et tu verras par toi-même ta sœur retrouver sa liberté… »
-J'l'espère bien. Répondit d'elle.

Elle ne se rendit pas compte que sa parole pouvait être comprise de la mauvaise façon, pouvant tout aussi bien parler de la promesse de l'annexienne qu'elle reviendra lui faire l'amour ou qu'elle pourra voir sa sœur se libérer, sa parole allant évidement pour l'autre promesse. Le tentacule tire, forçant Jeanne à se relever. Elle sentie une nouvelle fois la verge coulisser en elle, et ce fut avec un léger bruit gluant qu'elle sortit, libérant quelque flot de fluides, allant s'écraser sur l'annexienne. Elle descendit de la table, accompagner par d'autres tentacules. Elle savait où elle allait, mais elle ne fit rien, cela pourrait amener l'annexienne à changer d'avis et de rendre son sacrifice inutile.

Et tandis qu'elle allait rendre visite au monstre, l'annexienne en profitait pour se lever de la table, afin de savoir qu'elle sera sa futur proie. Les pauvres soldates ne purent que regarder l'annexienne se masturbait devant elles et de s'humecter les lèvres de la cyprine de Jeanne. L'annexienne suivit son petit rituel et demanda qui voudra être la prochaine pour se faire prendre et engrosser. Et comme pour les autre fois, aucune n'osa se dévouer, préférant s'abstenir de répondre. Une scène qui se répéte inlassablement, chacune refusant, quelqu'une voulant mais n'ayant pas le courage nécessaire ne se prononcèrent pas, soit pour en finir ou pour mettre en application leur dernière carte.

Cela pourrait duré longtemps, jusqu'à ce que l'annexienne ne doit choisir elle-même, si une des femmes ne se dévoua pas.

*J'me dévoue, qu'on en finisse.*

C'était Mistrial, une des soldates membres du Delta 1, mais souvent chef d'une autre Delta. Rien n'aurait put prévoir qu'elle se dévouait, mais elle le fit. C'était aussi un des espoirs du reste de la Section Delta 1, pourquoi ? La raison rester obscure. Elle fut libérer de son alcôve, mais ce n'est pas pour autant que les tentacules laissèrent à l'air libre son bras bionique, qui était prisonnier de plusieurs tentacules. Sans qu'elle n'oppose de résistance. Elle se dirigea vers l'annexienne d'un pas tranquille. Elle était à quelque pas de l'annexienne, avant d'être prêt de l'annexienne. Elle s'arracha la tentacule qui bloquer sa bouche et contre tout attente, elle l'embrassa et elle l'attrapa par le bassin et se colla à elle.

Mais son bras bionique provoqua de petite explosion, avant qu'elle ne dégage son bras des tentacules, les plaques cachant le système biomécanique de son bras restant entre les tentacules. Elle avait retirer les plaques protectrice de son bras, lui permettant ainsi de se libérer. Mais ne fit rien d'autre que de passer son bras derrière la tête de l'annexienne, continuant son baiser. Après un petit moment, elle déplaça son bras bionique vers le milieux et serra le plus fort possible, de façon de se coller le plus possible à l'annexienne, sa verge frottant contre sa combinaison. L'annexienne remarquera que la prise était forte, bien trop forte. Mistrial mit fin au baiser et lui souffla dans l'oreille.

-J'espère que tu en a bien profiter pétasse !

Son bras bionique émit divers son, comme le bruit d'une machine sous pression, divers bruit de mécanisme s'emballant, se mettant en surchauffer. Mistrial libérer ses pensées, dévoilant qu'elle avait installer un système d'autodestruction sur son bras bionique, système qui se mettait en route. Elle n'avait pas mit d'explosif trop puissant, juste de quoi pourvoir envoyer du shrapnel dans la peau de l'annexienne et espérant pouvoir atteindre un organe vital avec.
----------------------------------------------------------------------------------------------------
Remontons le temps de quelque minute.

Jeanne fut à son tour mise dans le conduit, et glissa à son tour dans le toboggan. Mis à part le fait bas de son corps, sans compter ses pieds et mollet, était en contact directe avec la texture organique du toboggan, son bas laisser dans l'autre pièce, recueillant un peu de substance visqueuse, ne dérangea pas Jeanne, se disant que ce n'était rien comparer à ce qui va suivre. Et effet, avant même de sortir complètement du conduit, elle fut happée par des tentacules, bloquant ses membres, des tentacules suffisamment forte et résistante pour résister à sa force.

Rapidement, ce qui lui restait de sa combinaison fut envahit par des dizaines de tentacules, et ses peau mis à nue ne fut pas épargné, répandant la même bave. Deux grosses tentacules s'enroulèrent autour de ses seins, les pressant, les malaxant, les tirant, titillant ses tétons par des mini-tentacule, qui firent de même. Une tentacule épaisse, pénétra son intimité déjà visité par l'annexienne, mais la labourant avec plus de force, menaçant de briser son col de l'utérus, et d'une rapidité sans égale. Son fondement subit le même sort, en plus du fait que la tentacule alla profondément dans ses entrailles, les remuant violemment.

Elle ne put retenir un hurlement de douleur, se fessant rapidement taire par un dernier tentacule qui s'enfonça dans sa gorge, dépassant sa pomme d'Adam, allant se perdre dans l'œsophage, avant de remuer avec puissance et rapidité.

À son tour, elle subit le rythme vertigineux de la pénétration des tentacules, leur force, leur rapidité, leur ardeur, tout en pouvant admirer le triste état de ses camarades, se fessant noyer de sperme, étouffer et perforer par des tentacules. Les larmes lui vinrent au yeux, des larmes de peur et de désespoir, ne voulant pas finir comme elle. Mais elle ne pouvait que gémir devant son triste destin.

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 21:35
par Sarah Kerrigan
Comme d’habitude, les Uatéennes s’avérèrent très timides, n’osant pas se proposer, et il fallut bien plusieurs minutes avant que l’une d’elles ne finisse par se proposer… Mistrial se dévoua. C’était une belle Uatéenne avec une combinaison violette, une artificière. Une femme énergique, qui accepta de se joindre à elle. Sarah, qui en était sur le point de demander à Goya, hocha la tête, satisfaite, et les tentacules libérèrent la femme. Certains étaient encore enroulés autour de son bras bionique, car Sarah savait, par le biais de Goya, qui lui avait transmis tout ce qu’il y avait à savoir sur l’escouade, ce dont elle était capable. Mistrial tomba donc à même le sol, se releva, et marcha rapidement vers Sarah, surprenant rapidement cette dernière en l’enlaçant, et en l’embrassant.

Un soupir étouffé s’échappa des lèvres de la Reine des Lames, qui frémit de bonheur. Cependant, elle n’était pas suffisamment naïve pour se douter que Mistrial n’avait pas un plan, et la prise s’exerçant dans son dos en était la preuve. Mistrial, toute fière de son plan, avait oublié le problème majeur : Sarah était une télépathe. Mains posées sur les hanches de Mistrial, elle l’embrassait goulûment, profitant des lèvres généreusement offertes de la femme, sa verge venant retrouver sa raideur naturelle, se redressant pour caresser la combinaison violette de la femme, heurtant ses hanches.

Le baiser finit par se rompre, et Mistrial susurra dans l’oreille de Kerrigan :

« J'espère que tu en a bien profité pétasse ! »

Kerrigan sentit alors la prise de la femme s’aggraver. Une poigne solide, qui l’immobilisait contre elle, tandis que son bras bionique était en train d’exploser. Mistrial avait perdu son bras en faisant sauter un bâtiment dans une ancienne cité uatéenne, une cité qui abritait encore des traces d’infestation formienne. Alors qu’elle plaçait des bombes dans des endroits sensibles, des Formiens avaient précipitamment attaqué des Uatéennes, et Mistrial avait fait exploser la bombe plus rapidement que prévu. Elle avait été grièvement blessée. La chirurgie avait fait des merveilles sur son corps, mais aucune technologie chirurgicale n’avait pu sauver son bras, qui n’était plus qu’un tas de cendres. En contrepartie, elle avait été soignée, et elle comptait probablement se sacrifier.

« Oh oui, ma puce… Énormément. »

Sarah ne semblait nullement inquiète. Un sourire ornait même ses tendres lèvres. Le bras bionique devait alors exploser… Mais rien d’autre ne se produisit qu’une légère déflagration, comme si l’arme s’était enraillée. Sarah sursauta légèrement, et profita de l’effet de surprise pour frapper avec son crâne la tête de la Uatéenne, la sonnant… La sonnant suffisamment pour que Sarah génère autour d’elle une onde psionique, qui forme comme un bouclier d’énergie pure, l’enveloppant, repoussant Mistrial, qui rebondit sur le sol.

« Croyais-tu donc que j’allais te laisser avec une charge explosive suffisamment puissante dans le bras pour me tuer ? As-tu donc oublié que Goya m’a dit tout ce qu’elle savait sur vous ? Que je peux lire dans tes pensées ? Tu es dans mon antre, Mistrial… La charge explosive de ton bras a été diminuée par les tentacules qui étaient en toi, et qui ont fait rentrer de minuscules parasites dans ton bras synthétique. Il conserve toute sa puissance, mais, pour ce qui est de l’héroïque sacrifice… »

C’était le plan du désespoir. Alors que Mistrial voulait peut-être se relever, un énorme tentacule jaillit du plafond, et la frappa violemment sur le flanc, la faisant décoller du sol, où un autre tentacule s’enroula autour de sa taille, et serra fort, la faisant hurler de douleur. La charge explosive était bien là, toutefois. Moins puissante que ce que Mistrial pensait, elle s’était enfoncée dans le dos de la femme, répandant des morceaux de shrapnels qui avaient entaillé son dos, la faisant saigner.

Au bout de quelques instants, le gros tentacule relâcha Mistrial, qui tomba aux pieds de Sarah. Une patte formienne jaillit alors, et frappa Mistrial à la joue, l’envoyant finalement s’étaler sur le dos, où des tentacules supplémentaires jaillirent du sol, formant comme des griffes organiques qui saisirent les bras et les jambes de la Uatéenne, l’immobilisant contre le sol. Sarah se dressait au-dessus d’elle, et pencha lentement vers le corps de la femme, sa main venant tendrement caresser sa joue.

« J’admire sincèrement votre persévérance… »

Elle s’assit ensuite à califourchon sur le solide et gracieux corps de la jeune femme, son autre main venant caresser l’autre joue de la femme, griffant très délicatement sa peau.

« Vous faites honneur à votre patrie. Vous êtes aussi résistantes que je le fus quand on me vrilla l’esprit. J’étais aussi aveuglée et bornée que vous… Mais ne t’en fais pas, Mistrial, tu apprendras à désespérer… Et, dans les tréfonds de ta déprime, dans les effondrements de ton désespoir et de ta souffrance, je te rendrais l’espoir… Et tu seras mienne, petit ange… In. Té. Gra. Le. Ment. »

Elle ponctua cette phrase d’une petite tape du doigt sur son nez.

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 23:44
par Ilinia
Jouer au kamikaze ne l'avait jamais attirer, préférant créer des drones kamikaze, des mines-araignées, des grenades liquéfiants ou préparer une charge explosif pour vaporiser un immeuble. Les explosifs, son dada, passion transmit de mère en fille, famille qui à créer bon nombre d'explosif différent pour l'armée il fut un temps ou fournir quelque petite frappes ou criminel en explosif militaire. Les explosifs dans sont bras furent ce qu'elle fit de plus faible, trop d'explosif aurait rendue son bras délicat à manipuler, trop lourd et imposant. Elle espérait avec pouvoir percé les poumons ou le cœur de cette femme. D'ailleurs cette dernière lui répondit.

« Oh oui, ma puce… Énormément. »

Mistrial répliqua par un regard noir. Et telle un membre à part entière, elle activa l'autodestruction. Même si l'explosion parvint à détruire quelque morceau de son bras bionique, coupant son contrôle sur trois doigt et d'autre fils, ce ne fut en aucun cas ce dont à quoi s'attendait Mistrial. Son autodestruction aurait du détruire son bras, du moins l'avant bras, mais l'explosion ne causa que des dégât modérer, ne projetant pas à la vitesse voulue ses shrapnels, ne parvenant qu'a pénétrer la peau de quelques millimètres. Et pendant qu'elle contempla avec horreur que son attaque kamikaze avait échoué, l'annexienne lui asséna un coup de tête, la sonnant si bien que Mistrial faillit tomber à la renverse, commençant à tomber en arrière, avant de se sentir expulser, l'envoyant à terre.

« Croyais-tu donc que j’allais te laisser avec une charge explosive suffisamment puissante dans le bras pour me tuer ? As-tu donc oublié que Jade m’a dit tout ce qu’elle savait sur vous ? Que je peux lire dans tes pensées ? Tu es dans mon antre, Mistrial… La charge explosive de ton bras a été diminuée par les tentacules qui étaient en toi, et qui ont fait rentrer de minuscules parasites dans ton bras synthétique. Il conserve toute sa puissance, mais, pour ce qui est de l’héroïque sacrifice… »
-Aaah et..... bas tant pis... j'aurais tenter....Commença Mistrial avant de parler à voix basse. Putain de merde...

Elle n'avait pas penser à ça, ni au fait que son bras serait parasiter et plus précisément ses petites charges. Voulant se relever, une tentacule surgit et la frappa sans crie-égard, encaissant le coup sans avoir le temps de s'en protéger. Elle fut soulever du sol, et sentie un craquement, sans doute une de ses côtes qui c'était fêler, avant d'être attraper par la taille par un deuxième tentacule. Elle stoppa sa course et la serra si fort, qu'elle crue qu'elle allait être broyer et cria de douleur, voulant sans débarrasser, elle constata que son bras bionique était hors-service, de sa mains, seule l'index et le majeur fonctionnaient, le deuxième à moities et que l'articulation du coude émit un sons de protestation l’empêchant de pouvoir le plier complètement, juste à moities. Si elle n'avait pas retirer ses plaques agissant comme carrosserie et protection, les explosions n'aurait pas put les traverser et les dégât aurait été plus graves.

Puis après quelque instant, la tentacule la relâcha, le laissant tomber au pied de l'annexienne, avant qu'une autre tentacules ne la frappe au visage pour la mettre sur le dos. Quatre tentacules surgirent du sol, avant de s'abattre sur ses membres, la bloquant, et broyant un peu son bras bionique, qui émit un grincement de protestation. Mistrial regarda l'annexienne qui se dressait au dessus, la narguant de sa hauteur et de son échec. Elle lui caressa la joue en se penchant, et Mistrial secoua la tête pour y échapper.

« J’admire sincèrement votre persévérance… »
-Admire plutôt mon vagin, y a que ça qui t'intéresse salope ! Lui cracha Mistrial

Elle la regarda se mettre à califourchon sur son ventre, vaincu, son sacrifice inutile. Sans explosifs ou lance grenade, elle n'est pas très puissante et l'annexienne recommença ses caresses, avant de se remettre à parler.

« Vous faites honneur à votre patrie. Vous êtes aussi résistantes que je le fus quand on me vrilla l’esprit. J’étais aussi aveuglée et bornée que vous… Mais ne t’en fais pas, Mistrial, tu apprendras à désespérer… Et, dans les tréfonds de ta déprime, dans les effondrements de ton désespoir et de ta souffrance, je te rendrais l’espoir… Et tu seras mienne, petit ange… In. Té. Gra. Le. Ment. »

Ignorant la tape sur son nez, Mistrial enchaîna.

-Déjà arrête de me caresser, j'suis pas un putain d'ours en peluche et je ne suis pas, et très loin de l'être, ton ange ! Ensuite à part avoir un grande gueule et nous répéter ce qu'on sait déjà, tu peux pas changer de disque ou faire autre chose ? On sait qu'on va morfler et qu'on voudra rien d'autre que mourir, laisse nous au moins le plaisir d'essayer de te tuer ! Et mon honneur sur ma patrie tu peux te le foutre bien profond ! Je m'en fou de cette patrie ! Arrête de rabâcher qu'on est fidèle a nos serments et tout le bordel ! Si j'avais pas perdue mes camarades et mon bras, je serais toujours dans la contrebande d'explosif et de vendre mes joujoux aux racailles de Tekhos, le voilà mon honneur ! Hurla presque Mistrial, avant de lui cracher dessus.

Malgré sa position, Mistrial se montrait agressif et hostile. Sarah Kerrigan aurait pu être sa mère qu'elle l'aurait traiter de la même manière.

-Et je m'en branle complètement de ton vécu ou de ton combat pour rester humaine, t'es même pas humaine, alors n'essaye pas de partager tes sentiments avec nous ! Si j'essaye de te buter, c'est uniquement parce que c'est tout ce que je peux faire ! Ni pour Uatis, ni pour un quelconque serment de merde ! Continua Mistrial, le ton menaçant et colérique. Alors maintenant arrêter de faire chier et fait ce que tu veux faire depuis le début !

Voilà, tout est dit, Mistrial venait de crier sa rage et sa frustration, attendant que l'annexienne la pénètre.

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 23:44
par Sarah Kerrigan
Le postillon de Mistrial sur sa joue laissa Kerrigan totalement indifférente. Un sourire se contenta de perler sur ses lèvres violettes, tandis que Mistrial continuait à la haranguer. Elle voulait en finir, certifiant qu’elle n’était pas comme ce que Kerrigan pensait, et que l’Annexienne n’obtiendrait jamais ce qu’elle voulait. Quand Mistrial eut terminé sa longue phrase, la Reine des Lames souriait à nouveau, et sa main alla caresser la joue de la Uatéenne, griffant légèrement et tendrement sa peau.

« Mais c’est ce que je suis en train de faire, ma chérie... »

Elle se pencha vers elle, et posa sa main sur son front, plaquant sa tête contre le sol. C’était un sol mouvant, dangereux, qui était comme un organisme vivant. Une sorte de gelée avança sur le cou de Mistrial, ainsi que sur la base de ses joues, bloquant son corps, l’empêchant de trop remuer la tête. Sarah l’embrassa alors sur les lèvres, délicieusement. Elle aurait pu provoquer Mistrial, elle aurait pu violer une autre Uatéenne pendant qu’elle droguait Mistrial, afin de la punir de sa provocation, mais Sarah savait y faire. Elle l’embrassa pendant quelques secondes, et rompit le baiser, soupirant tendrement, sa verge caressant l’uniforme moulant de la Uatéenne. L’artificière était en train de lui expliquer qu’elle ne se battait pas vraiment pour Tekhos, mais qu’elle était soldate parce qu’elle n’avait pas eu le choix. Kerrigan savait que l’armée offrait souvent, selon les infractions commises, aux prisonniers de purger leur peine en servant sous la bannière. C’était le cas ici, apparemment.

Sarah rompit donc le baiser, et posa ses mains sur les épaules de la femme, puis remua un peu son corps. Elle déplaça l’une de ses mains, et griffa son uniforme, libérant l’accès à son intimité.

« Bientôt, tu réaliseras toute la chance que tu as d’être ici, ma chérie... Et tu réaliseras ici que tu as d’autres fonctions que mourir... Surtout quand un a un corps aussi joli que le tien. Maintenant... Passons aux choses sérieuses. »

Elle pinça l’un de ses lourds seins, à hauteur du téton, et la pénétra ensuite. Comme d’habitude, sa verge se pilota d’elle-même. Des tentacules jaillirent de son sexe, se posant contre l’uniforme de la femme, faisant office de ventouse, permettant ainsi de rapprocher sa verge, qui s’enfonça d’elle-même dans l’intimité de la femme. C’était une belle queue, dure et tendue, et Sarah se mit à remuer, tout en malaxant le sein gauche de Misitrial, le pinçant à travers ce costume moulant. Son téton se mit à pointer, et elle le coinça entre deux doigts, déplaçant ce dernier, le remuant dans tous les sens. Tout en faisant cela, sa bouche venait embrasser son cou, embrassant, non pas directement sa peau, mais son uniforme, léchant tendrement ce dernier. Plus Sarah goûtait à ses femmes, et plus elle aimait ça... Sentir leur uniforme, ce mélange de cuir, de latex, et ces autres textures contre son corps, voilà qui était vraiment exquis. On aurait pu croire que la Reine des Lames aurait pu finir par se lasser, à force de butiner ainsi des culs et des corps, mais chaque nouvelle femme qui passait entre ses mains était comme une nouvelle expérience, et elle les baisait à chaque fois joyeusement, finissant par les tringler violemment.

L’énergie de Mistrial allait lui être utile, car elle allait avoir de quoi en revendre dans les moments à venir. Sarah la prenait, lourdement, passionnément, et il lui fallut un long quart d’heure de coups de reins intense pour qu’elle finisse par jouir, s’abandonnant en soupirant longuement dans son corps. La Reine des Lames se déversa dans son corps, longuement, joyeusement, balançant de multiples giclées de foutre.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »

Elle termina cet élan par un long et langoureux baiser sur la bouche de Mistrial, une main venant agripper ses cheveux, la gelée recouvrant partiellement sa tête se rétractant pour permettre à sa main de saisir les cheveux trempés de la femme, et de l’embrasser longuement. Un baiser sonore, claquant. Même si Mistrial la mordait, ceci ne ferait qu’exciter davantage Sarah, qui se pressait contre elle. Le baiser dura presque aussi longtemps que le coït, le corps de l’Annexienne ondulant lentement contre le sien. La femme ne s’y trompait pas. Bientôt, ces femmes qui la haïssaient allaient adorer la revoir. Mistrial n’avait absolument aucune idée de tout ce qui l’attendait là-derrière, de tout ce qu’elles allaient endurer... Et, rien qu’à y songer, Sarah en frissonnait de plaisir. Oh oui, ce serait un programme merveilleux !

Rompant le baiser, un mince filet de salive relia les deux femmes, que Sarah balaya d’un revers de sa langue. Elle se redressa ensuite, libérant le corps de la femme, en lui souriant à nouveau.

« Allez... Va donc jouer avec tes copines, Mistrial... »

Plutôt que d’envoyer un tentacule pour l’avaler, le sol se mit à l’avaler. Mistrial fut en effet progressivement recouverte par le sol, jusqu’à ce que ce dernier l’avale, confirmant, encore une fois, le caractère extrêmement organique et mouvant de la Fourmilière. Mistrial disparut, et fut emmenée vers le Monstre xénos.

Une de plus... Sarah se redressa donc, observant les jeunes femmes toujours immobilisées.

Qui serait la prochaine ?

Re: L'Antre de la Reine [Ilinia]

Posté : 27 sept. 2024 23:44
par Ilinia
« Mais c’est ce que je suis en train de faire, ma chérie... »

Abasourdit et énerver, voilà comment était Mistrial. Abasourdit par le fait que l'annexienne n'avait rien fait après qu'elle l'ait insulté et craché dessus, et énerver pour la même raison. Elle n'avait reçu en retour qu'un sourire et une réplique qu'elle jugea merdique. Un sourire qui pouvait être aussi bien goguenard, sadique ou victorieux que Mistrail ne savait pas le quels exactement et ça l'énerver. Elle pouvait au moins l'insulter, la menacer, lui lancer un regard noir ou qu'elle s'offusque ! Tout mais qu'elle fasse autre chose que de lui tirer un sourire de merde ! Mistrail n'arrivait pas à savoir comment réagir fasse à ce sourire, hésitant à lui crache dessus à nouveau car apparemment ça ne la dérange pas, se foutre de sa gueule peut être qu'elle réagirait ou l'insulter de toute les manière possible elle semble s'en foutre royalement !

Mistrial regarda sa bourrelle se pencher vers elle, se demandant ce qu'elle allait faire. Elle ne fit que plaquer sa tête sur le sol, ce qui la poussa à pousser un soupir d'exaspération, s'attendant à autre chose. Elle sentie quelque chose glisser sur sa tête et son cou, c'était visqueux et un peu chaud. Mistrial réalisa que ça venait du sol et que ça l’empêcher de bouger la tête, et ce fut à ce moment que l'annexienne l'embrasa. Mistrial fut exaspérait, énerver et dégoutter. Elle avait l’impression que l'annexienne la prenait pour une simple enfant, une personne qui ne savait pas ce qu'elle fessait et qui fallait dorloter. Elle ne pouvait se soustraire à ce baiser, bloquer et prise au dépourvue, elle ne répondit pas aux baisser, cherchant à ce faire vomir, sans y parvenir. Elle aurait presque envie de pleurer, cette femme ne fessait que jouer, alors que ses camarades et elle se battait pour vivre, pour rester libre et ne pas vivre dans cet enfer. Mais elles se battaient pour rien, juste pour l'amuser et lui donner envie.

Quand l'annexienne rompit le baiser, ce fut un soulagement pour Mistrial, même si la sentit remuer sur elle, ne lui plaisait pas. Elle crachat sur le côté, montrant ce qu'elle en pensait de ce baiser. Elle sentit la main de l'annexienne découper sa combinaison au niveau de son intimité.

« Bientôt, tu réaliseras toute la chance que tu as d’être ici, ma chérie... Et tu réaliseras ici que tu as d’autres fonctions que mourir... Surtout quand un a un corps aussi joli que le tien. Maintenant... Passons aux choses sérieuses. »
-Mais ta pas comprit ou.. oh et puis merde. Grogna Mistrial.

A ce moment, l'annexienne pinça un de ses tétons, en même temps qu'elle la pénétra d'un coup. Si les autres avaient eu mal avec l’imposante verge de l'annexienne, Mistrial n'émit aucun son, si ce n'est qu'un gémissement, suivit d'un souffle. Son vagin s'habitua rapidement au diamètre de l’intrus, preuve qu'elle avait sans doute connue une présence de même gabarit. L'annexienne allait voire que Mistrial allait être plus résistante que les autres, qui étaient trop sensible ou parce que ce fut leur première fois.

Mistrial n'était pas à sa première fois et savait plutôt bien se maîtriser durant ces moments, si sont corps pouvait céder, son esprit serait une autre affaire,. Mistrial ne prenait plaisir qu'avec ceux qu'elle apprécie et si elle à envie. Et en l’occurrence, l'annexienne n'avait aucun des deux. Mais cela ne l'empecher pas de s'enfoncer avec vigueur et ardeur au plus profond de Mistrial, sa bite touchant le col, le heurtant avec force, raclant les parois sec, les humidifiant par la quantité de mouille, de cyprine et de sperme qui était encore dessus, et par la mouille de Mistrial qui fessait de faible et timide apparition. Les coups de bassins soulevaient et secouer le corps de Mistrial, qui ne pouvait que grincer des dents pour ne pas hurler sa rage et ne pas pousser de gémissement, le plaisir naissant lentement et faiblement.

Son seins n'était pas laisser de côté, devant subir la torture que lui infligaient les doigts de l'annexienne, tirant dessus, le compressant, tournant dessus. Ses tétons se durcirent et pointèrent, celui entre les doigts de l'annexienne, subit d’incessant manège, allant à droite puis à gauche, s'enfoncer dans le seins, puis se tirer vers le plafond. Mistrial respirait rapidement et expirait lentement, gardant le contrôle de son corps, même si elle ne pouvait supprimer le plaisir, elle pouvait le contrôler. L'annexienne l'embrassa à nouveau, au cou cette fois, léchant son uniforme. Mistrial sentit la langue de l'annexienne a travers sa combinaison, ce qui était gênant, pourquoi es qu'elle avait des combinaison aussi fini et moulante ? Elle se posa pour la première fois cette question.

Et cela dura encore longtemps, Mistrial résista, ne poussa aucun crie, que des gémissement sous les coups, une souffle chaud, le corps secouer des pénétration dans son vagin lubrifier correctement par ça mouille après un moment. L'annexienne y allait avec toujours autant d'ardeur, comme à chaque soldates qui passaient. Puis après de longue minute, l'annexienne donna un dernier coup, le plus fort de tous, manquant de traverser son col, se vidant en Mistrial remplissant son utérus, sonn foutre heurtant la parois d'en face, avant de couler, et de recevoir un nouveau jet de foutre, s'écrasant dans le sperme déjà présent, le tout en hurlant. Mais Mistrial, elle, elle ne jouit pas.

L'annexienne embrassa à nouveau Mistrial, qui sentant la geler partir, tenta de se dérober au baiser, mais la mains de l'annexienne l'en empêcha et ayant plus de force qu'elle, Mistrial ne put s'y soustraire. Leur corps se frottant, la verge toujours en elle, telle une épée dans un fourreau, le baisser dura longtemps, Mistrial tenta de le briser, l'annexienne empêchant ses tentatives de fuites. Elle tenta même de mordre les lèvres de l'annexienne, mais qui rester hors de porter de ses dents, ses lèvres prisonnières de celles de l'annexienne. Ce fut après un long, très long moment que l'annexienne rompit le baiser, un filet de bave reliant les deux bouches, puis elle se retira d'elle, un filer de sperme reliant la verge et le vagin, avant de se rompre et revenir sur la verge t-elle un élastique.

« Allez... Va donc jouer avec tes copines, Mistrial... »
-Fou toi de ma gueule ! C'est pas un bac à sable où je vais que je sache !

S'attendant à voir les tentacules apparaître, Mistrial paniqua un peu quand elle se sentie disparaître dans le sol, de sentir cettte texture organique l'aspirer et la recouvrir lentement. Elle ne pouvait rien faire, elle ne pouvait pas ce débattre. Même si elle savait que l'annexienne ne cherchait pas à la tuer, cela ne l’empêcha d'avoir peur.

Toujours coincer dans leur alcôve, les autres regardèrent effarer Mistrial disparaître peu à peu dans le sol, ses membres disparaissant en premier, puis le bassin, les épaules, le ventre puis la tête, ne laissant que le buste, qui fut engloutit par le sol. Et comme à chaque fois, la même situation, l'annexienne attendit que l'une d'elles se dévouent. Mais cella ne viendra pas, l'annexienne pouvaient constater que les mentalité avaient changer. Au début elles étaient effrayer et apeurer, maintenant, elles sont terroriser et désespérer.

De l'espoir, il n'en rester que flamme, mais une flamme mourante sur le point d'expirer à tout moment, Tirch, un espoir qui tenait plus de l’illusion et du désespoir que de l'espoir lui même. Tirch commençait elle même à paniquer sur son sort, elle qui depuis le début était aussi insensible face au sort de ses camarades. Avant que Mistrial n'intervienne, l'espoir ne se reposer plus sur Mistrial ou Tirch, mais aussi sur des armes secrètes, du moins pour certaine. Quand l'annexienne dit à Mistrial qu'elle savait pour son bras et qu'elle diminuer la puissance, ces espoirs c'étaient évanouit, l'annexienne ayant sûrement retirer leur dernière armes.

Shield avait deux petites dague énergétique au avant bras, et Ilinia des couteaux de lancer dans des compartiment secret dans son armure au niveaux des mollets, contant s'en servir pour essaye de se suicider et d'emporter avec elles, d'autre de ses camarades. Aucune ne se dévoua, au bord des larmes, au portes du désespoir, laissant ainsi à l'annexienne le choix de sa futur proie.
----------------------------------------------------------------------------------------------------
Ce faire avaler par le sol fut une expérience bizarre et atroce, c'est comme-ci elle s'était faite avaler par un géant, et qu'elle glissait dans le colon. Elle ne voyait rien, elle était serré, n'ayant peu de place pour se déplacer, ne pouvant même pas mettre son bras sur son torse, mais elle glissait entre les parois. La glissade dura un moment, jusqu'à ce qu'elle soit expulser de force, de la texture organique. Elle tomba du plafond droit vers le monstre, dont les proportions remplissait entièrement la salle, si bien que Mistrail était déjà au cœur des tentacules avant de s'en rendre compte.

Et comme les autres, des dizaines de tentacules entrèrent dans son combinaison, deux grosses tentacules s'emparèrent de sa poitrine avant de commencer à les malmener, un autre pénétra son vagin et un dernier découpa sa combinaison pour atteindre son cul, dont le troue fut lubrifier, avant d'être pénétrer par une tentacule énorme, qui malmena ses entrailles. Mais aucune ne pénétra sa bouche, la qu'elle était solidement fermer, les dents serrer, si fort que Mistrial cherchait à les briser pas la pression. Une tentacule passa entre ses lèvres et tapa contre ses dents, cherchant à entrer dans sa bouche, sans succès. Pour rien au monde, Mistrial ouvrirait la bouche ! Même quand elle aperçut ses camarades, elle garda la bouche fermer respirant travers ses dents, pour ne pas à supporter l'odeur du sperme qui emplissait la salle.

Des aiguilles se plantèrent dans son cou, diffusant un aphrodisiaque, pour la faire céder. Mais Mistrial ne céda pas, gardant la bouche fermer. Pourquoi faisait t-elle ça ? Pourquoi ne pas abandonner ? Mistrial refuser d'abandonner, refuser de donner satisfaction, préférant mener un combat sans raisons et sans chance de réussite que d'abandonner pour les mêmes raisons.