The Multiversity

Sarah Kerrigan était en train de s’amuser. Elle observait ses partenaires en train de sombrer. Ces Uatéennes arrogantes étaient maintenant ses salopes, et la Reine des Lames se plaisait à les baiser longuement. Avec les Xénoss, le sexe était toujours une séance qui s’étalait sur la durée, et c’était le cas ici. Sarah avait ramené Elvennya, l’une de ses Cérébrates, une ancienne elfe qui était depuis lors une superbe Xénos, et qui se faisait sodomiser par Ilinia, tout en pénétrant Ania. C’était un singulier spectacle, très agréable à voir pour Sarah, pendant que Rinko, elle, continuait à sodomiser Shield. Ensemble, les Uatéennes s’étaient totalement abandonnées au vice, au plaisir, en oubliant tout ce en quoi elles avaient cru. Ce spectacle était donc très excitant, faisant sourire Sarah à plusieurs reprises.

« Mes chéries, vous formez un tel spectacle... »

Sarah les observa encore. Ilinia était la plus en souffrance, car sa queue, bien grosse, l’empêchait de profiter pleinement. Elle devait sûrement avoir très mal, et continuait à sodomiser furieusement Elvennya, pour le plus grand plaisir de la Cérébrate, qui appréciait totalement cette séquence. Elle n’avait envie que d’une seule chose : poursuivre dans cette voie avec elles. La Reine des Lames pencha la tête sur le côté, et se racla la gorge.

Au bout de plusieurs minutes, Rinko se relâcha alors subitement. Sarah venait de l’influencer à se relâcher brusquement, et lui sourit ensuite.

« Approche, Rinko... »

La Uatéenne avait méchamment bourré le corps de Shield, à tel point que la jeune femme gisait encore un peu au sol. La verge de Rinko se rétracta, et elle grimpa donc sur les cuisses de Sarah, qui posa une main sur son cul, le palpant doucement, et avança son autre main, malaxant son sein, puis l’embrassa.

« Toi, Ilinia et Ania, vous êtes mes préférées... Mais, de ce joli trio de salopes, c’est toi qui les diriges, Rinko... Tu es donc très importante à mes yeux. »

Sa main pinça à nouveau son sein. En arrière-plan, Elvennya continuait à prendre Ania, et hurlait de plaisir, ses tentacules palpant le corps d’Ilinia. Sarah, elle, embrassa Rinko sur les lèvres.

« Je tiens donc à faire de toi la Capitaine de cette escouade, Rinko... Vous étiez la Section Delta-S. Maintenant, toi et tes salopes serez ma section... La section Kerrigan-S. »

La Reine des Lames lui sourit encore, et l’embrassa plus longuement, amenant le corps de Rinko à se lover tendrement contre le sien, sa délicieuse combinaison venant frotter et crisser contre son corps...

La douleur et le plaisir se mélangeaient, fessant autant souffrir que plaisir à Ilinia, limité dans ses mouvements, fouetter comme une salope, remuant avec mal, bien qu'elle fessait de son mieux. Son sexe, en plus du nœud à la base, avait pris du volume, encore plus profonde, plus sensible et douloureux, fessant tourner la tête à Ilinia, qui se perdait dans le blizzard de sensations, de douleur et de plaisir. Elle avait plus de notion de temps et d'espace, ne voyant que le dos et es cheveux dorée de sa maîtresse, l'enculant de tout son désir, oubliant le reste, ne voulant que jouissance et extase. Elle déplaça ses mains vers les seins de sa maîtresse, attrapant ses tétons, les pinçant doucement, tirant dessus, les roulant entre ses doigts, avant de prendre en pleine main ses seins pour les masser, amoureusement et sensuellement.

Ania, plongée dans une maelstrom de bonheur et d'extase, hurlait à l'envie à chaque pénétration, bave aux lèvres, langue pendante, main derrière la nuque de sa maîtresse, yeux hagard et perdu, parfaite représentation de la luxure et du plaisir, le temps et l'espace disparut pour elle. Chaque coup frappait son col de l'utérus, menaçant de le traverser, t-elle un bélier contre les portes d'une forteresse de désir. Chaque coup fessait voler Ania, tant physiquement que mentalement, son corps tremblant à chaque coup, ses seins ballottant de manière obscène, d'avant en arrière, sur les côtés ou s'enfonçant. Ses jambes remontèrent sur les hanches de sa maîtresse, avant de les autours de son bassin, repoussant un peu Ilinia, qui eu un peu de moins de marge, tirant doucement sur sa verge, ajoutant un peu plus de délice.

Rinko, lancinante et sadique, burinait le cul de  Shield de pénétration lourde et pleine d'ardeur, à grand goût de bélier, prenant de l'élan et frappant le cul de sa camarde le plus fort possible avec son bassin et le plus loin possible avec sa verge, fessant trembler son corps, son cul et ses seins, l'enfonçant sur la bite de sa maîtresse, le fessant gémir. Elle alternait parfois par des pénétrations rapide, claquant à grande vitesse le cul de son amie, et claquant son cul de sa main, susurrant des insultes amoureusement. Dominante de sa position, révélant sa nature perverse et dominatrice, dominé par ses pulsions et ses envies, maîtresse de ses pénétrations, esclaves des sensations qui en résulte. Elle ne voyait que le cul de sa camarade, ne voyant le décors, oubliant tout notion de temps, seule celle de passion dominant.

Shield n'était qu'une victime, étouffer par la luxure et la bite impérieuse de sa Reine, son esprit perdue dans un ouragan de plaisir, de sensations et de luxure. Subissant les assauts avec délectation, plus rien ne pouvait l’empêcher de sombrer, Shield n'était qu'une poupée subissant les désirs et les pulsions des autres. Elle gémissait, alors qu'elle étouffait quand la verge impérial s'aventurant profond dans sa gorge et son œsophage, haletait quand elle n'avait que le gland en bouche, le suçant, le léchant avec avidité et envie, comme une droguée en manque. Son corps ne fessait que subir, trop droguée et dépravé pour participer, se laissant devenir une réceptacle des pulsions de sa Reine et de sa camarade. A chaque pénétration de sa Reine, elle enchaînait les bruits humides, mou et dérangeant, mélodie de la dépravation.

Au final, la Reine finit par se vider, longuement, obligeant Shield à avaler à grand lampé et bruyamment, le fluide sacrée, abondante, chaud et crémeux, noyant les œufs dans un cocon blanc, parvenant à intensifier un peu les dimension du ventre gonfler par les œufs, bénissant la porté de Shield, la nourrissant de son fluide. Rinko continua encore à pénétré durement sa camarade, avant qu'elle ne lâche elle aussi, fulgurante et intense, continuant ses vas et viens, alors qu'elle jouissait, lachant des cries intense, perdant la notion d'espace, son esprit assommer par un puissant plaisir. Elle se vida pendant une minute, avant de s'écrouler contre sa camarade, sonné par cette extase intense et puissant. Devant la joie et l'intensité de son plaisir, jouissant dans un crie étouffer, Shield exprima l'intensité de son plaisir par une cascade de cyprine, avant de s'effondrer.

En même temps, Ania avait jouit aussi, inondant sa maîtresse d'une cyprine brûlante et abondante, une vrai femme fontaine, giclant de partout, lâchant encore plus de hurlement bestial. Seule Ilinia fut priver de cette extase infinie, payant encore son insolence par une frustration incisive, l'obligeant à se voué encore plus à la débauche pour pouvoir accéder à la libération.

« Approche, Rinko... »

Rinko se releva, usant des fesses de sa camarade sonné comme support. Elle se redressa, haletante mais restant fière pour sa Reine, son vit avait perdu de sa vigueur et se rétracta, avant qu'elle ne s'avance, roulant du cul, un déhanché provoquant une jambe devant l'autre, jusqu'à rejoindre sa Reine et qu'elle ne s'assoie sur ses augustes cuisses, levant une jambe pour les enjamber ses cuisses, offrant une belle vue sur son intimité, avant de s'y asseoir doucement, avec une joie non dissimuler, avant de s'avancer pour coller son intimité contre la puissante verge de sa Reine, tandis que cette dernière glissa ses mains contre sa combinaison, remontant vers ses fesses et ses seins, lui offrant une douce caresse, avant de masser un de ses seins. Elle finit par lui offrir un tendre baisé, auquel Rinko y répondit avec passion.


« Toi, Ilinia et Ania, vous êtes mes préférées... Mais, de ce joli trio de salopes, c’est toi qui les diriges, Rinko... Tu es donc très importante à mes yeux. »
-C'est un grand honneur ma Reine. Répondit Rinko, ses yeux brillant de plaisir, honoré de cette marque d'affection particulière à son égard. Je ferais tout pour me montré digne de votre attention !
« Je tiens donc à faire de toi la Capitaine de cette escouade, Rinko... Vous étiez la Section Delta-S. Maintenant, toi et tes salopes serez ma section... La section Kerrigan-S. »
-Merci ma Reine, merci ! La section Kerrigan-S vous est entièrement dévoué, corps et âme, quelque soit vos désirs et envie.

Elles partagèrent un nouveau baisé, et cette fois Rinko ne se retint pas, glissant sa langue contre celle de sa Reine, partageant sa bave et l’entraînant dans une danse sensuelle, y mettant toute sa fougue et sa passion. De ses mains, elle fit crisser sa combinaison contre les fesses de sa Maîtresse, palpant et massant sa croupe généreuse avant de glisser, fessant en sorte de bien faire criser sa combinaison, sur ses hanches, puis de remonter vers les seins, les prenant en pleine mains, puis elle pressa, doucement, fortement, jouant avec, sans jamais briser le baisé.

Elle se dandina sur place, frottant sa vulve contre la hampe de chair de sa Matriarche. Elle brisa le baisé et lécha les lèvres de sa Reine, de long en large, avant de se lever lentement et déplaça une main vers le sexe érigé de sa Reine, afin de la placer contre sa vulve. Son rôle était de lui faire plaisir, de la servir, elle se devait de faire plus. Elle se laissa descendre lentement, enfonçant peu à peu la lance de chair divine dans son sanctuaire de plaisir, soupira d'aise et de plaisir, jusqu'à atteindre la base, forçant un peu, accueillant toute la queue, cognant son utérus contre le gland. Elle roula du bassin, frottant la verge de ses parois vaginaux, levant un peu le bassin et redescendant lentement. Elle plongea à nouveau ses lèvres contres celle sa Reine, avant de les séparer après une longue minute.

-Que désirez-vous de plus, ma Reine ? Demanda humblement Rinko, le regard soumis, emprunt de respect et de désir.

Derrière elle, Shield se mit péniblement sur le dos, avalant le sperme dans sa bouche, haletant, perdu, le regard vide, sur un point inexistant, sa main allant machinalement vers sa vulve, commençant à se masturbé, l'envie et le manque commençant à naître. Autrefois une femme fière et forte, maintenant une femme bafoué et brisé.

Sarah frémit doucement quand Rinko la provoqua, et s’assit à califourchon sur elle. Très sensuelle, la Uatéenne se frotta contre son corps, et Sarah la caressa, faisant crisser sa combinaison. En sentant les lèvres intimes de la belle femme frotter contre son sexe, elle soupira encore, et son membre s’enfonça ensuite dans son vagin, s’y glissant doucement. La Reine des Lames y alla calmement, sans même chercher à la pénétrer, juste à savourer le con de cette femme, et à offrir à Rinko la sensation de son phallus en elle. La belle Uatéenne avait reçu la magnifique récompense d’être désignée Capitaine de sa nouvelle escouade. Elle gémissait contre elle, et Sarah observait avec plaisir ce corps. Comment regretter son ancienne vie dans ces conditions ? Comment regretter quoi que ce soit quand on avait une telle femme, en combinaison rose moulante, qui dansait sur vous, qui s’offrait à vous sans aucune résistance ? Sarah vivait continuellement une sorte de rêve éveillé, de stupre permanent.

Elle lui sourit donc, et caressa encore le cul de la jeune femme, faisant encore crisser sa combinaison, savourant cette sensation, le contact de sa queue se perdant en elle, remontant dans son corps, tandis que, instinctivement, sans même en avoir attendu l’ordre, Rinko commençait à danser sur le corps de sa Reine.

« Ce que je désire de plus ? Et bien... »

Il y avait effectivement quelque chose que Sarah voulait encore. La femme était très gourmande, et, pendant que Rinko dansait, ses ordres mentaux se diffusèrent. Ilinia et Ania apparurent ainsi, à droite et à gauche de Rinko, et vinrent soulager leur capitaine. Ilinia l’embrassa en pelotant l’un de ses seins, Ania la rejoignant pour s’attaquer à l’autre sein, leurs queues trempées venant caresser les cuisses de la jeune femme, qui alternait les baisers, sous les yeux ravis de leur Maîtresse. La Reine le observait avec une belle érection, appréciant le sentiment de joie induit par l’érection même, par ce membre tendu et durci.

Sarah les observa toutes les trois, déplaçant ses mains pour caresser les fesses d’Ilinia et d’Ania.

« Capitaine Rinko, je te présente tes deux adjointes : les Lieutenants Ilinia et Ania. Elles te seconderont dans la difficile tâche de mener l’Escouade Kerrigan-S pour vos futures missions. »

Car Sarah prévoyait de relâcher ces femmes. Elle n’envisageait pas de les laisser à vie comme pondeuses au sein de la Fourmilière, mais, avant de les relâcher dans la nature, il fallait qu’elles soient prêtes, qu’elles soient bien formées, afin d’éviter tout risque de rechute, de trahison. Sarah ne prendrait aucun risque de perdre ses concubines, et elle ne relâcherait l’Escouade Kerrigan-S qu’avec la certitude absolue qu’elles accompliront leur mission.

« Vos corps ne sont pas injectés par beaucoup de gènes xénoss, ce qui vous permettra d’échapper à bon nombre des détecteurs... Et de me ramener de nouvelles camarades pour les intégrer à votre escouade, hmmm... »

Le plaisir commençait à se diluer en elle. Comment résister à la vue exquise de ces trois femmes se frottant ensemble, et s’embrassant goulûment et sans relâche ? Pour la puissante Kerrigan, c’était tout simplement un spectacle exquis et indescriptible !

Tandis que Rinko offrait une petite danse à sa Reine, le temps qu'elle se décide, Ilinia, qui n'avait toujours pas eu l'orgasme divin, continua à se repentir de son audace par sa hargne, commençant à se montré moins timide, devenant plus brutale, la frustration ma poussant dans ses retranchements. De son côté Ania était au ange, toujours prise par la fille de leur Reine, après un orgasme des plus fulgurant, gémissant sans retenue, alors que les pénétrations provoquaient des bruits obscènes et presque glauque.

Finalement, Ilinia eu son orgasme libérateur, poussant un long crie de jouissance et d'extase, déversant un flot de foutre dans le cul de sa maîtresse, s'agrippant à ses seins pour tenir le coup, alors qu'elle jouit longtemps et généreusement. Au final son sexe reprit sa forme normale, libérant Ilinia, qui embrassa avec Ania, leur maîtresse, partageant un intense triple baiser. Jusqu'à ce qu'elles reçoivent un ordre de leur Reine. Elles délaissèrent Elvennya, après un dernier baiser, et se dirigèrent vers leur Reine.

Shield, tendit un bras vers eux, réclamant de l'attention ou un réflexe de son humanité voulant de l'aide auprès d'allier, se masturbant de l'autre, gémissant pitoyablement. Elle attira Elvennya, qui s'occupa d'elle à nouveau, remplaçant ses doigts par sa queue, qu'elle enfonça d'un coup, avant de jouer les marteaux piqueurs, renvoyant Shield dans un monde de plaisir, de crie et de gémissement.

Le trio se reforma, Ilinia et Ania de par et d'autre de Rinko, commençant à parcourir son corps de leur mains baladeuses, massant ses seins et ses fesses, l'embrassant de toute part. La Reine explora leur corps de son côté, passant ses mains sur leur fesses bombés.

« Capitaine Rinko, je te présente tes deux adjointes : les Lieutenants Ilinia et Ania. Elles te seconderont dans la difficile tâche de mener l’Escouade Kerrigan-S pour vos futures missions. »
-Nos... nos missions ? Répondit Rinko, perplexe.

Ses deux camarades furent tout autant interloqué. Elles n'avaient plus que de raison de vivre servir la Reine des Lames, tout n'était que ordre et luxure. Servir leur Reine n'était pas une mission, mais un devoir et une raison de vivre désormais. Ainsi parler de mission était curieux pour elles.

« Vos corps ne sont pas injectés par beaucoup de gènes xénos, ce qui vous permettra d’échapper à bon nombre des détecteurs... Et de me ramener de nouvelles camarades pour les intégrer à votre escouade, hmmm... »

Si la Reine des lames fut ravie de la vision lubrique que lui offraient ses concubines, la suite fut moins plaisant. Elles cessèrent, regardant bizarrement leur Reine, leur esprits... en proie à plusieurs sentiments. La possibilité de quitter la Fourmilière, de rejoindre Uatis. C'était une chose impensable, inimaginable et ça depuis le début. Elles s'étaient faite corrompre et avaient céder leur libre arbitre, leur esprit, leur vie à la Reine des Lames, parce qu'elle avait détruit toute forme d'espoir, de rebellions et de résistance, leur imposant sa volonté. Leur annoncer, après tout ce qu'elles avaient subit, qu'elles avaient la possibilité de rejoindre Uatis... fut comme une bouffé d'air frais, les esprits se libérant des brumes dont ils avaient décider de s'y perdre. Revoir leurs familles, leurs amies, le soleil, l'air, la liberté ! Tout cela les terrifièrent, les perturbèrent, leur firent plaisir, les inquiétèrent, que ce soit d'y retourner, ou de partir d'ici, mais aucun espoir. Comment elles pourraient espérer ?

-Pou...pourquoi ? Demanda Rinko d'une voix étrange, qui n'était pas la sienne, mais qui perdit ses mots, perdue.

La question n'était pas pour les raisons, elle le savait : ramener d'autres femmes. Ce que Rinko voulait dire sans trop le savoir c'était : pourquoi vous nous torturez avec ça ? Mais son esprit divisé entre sa soumission et sa nouvelle vie, voulant servir sa Reine, se heurtait à son reste d'humanité, qui avait resurgit, ne voulant plus souffrir. Pareil pour Ilinia, qui vint même à pleurer, sans trop savoir pourquoi, es que c'était le fait de pouvoir revoir ses mères ? Ou parce que le fond de son âme hurlait face à cette ignominie que lui infligeait la Reine ? Ania s'éloigna un peu, une main sur sa tête, tenant Rinko par l'épaule, un peut pâle comme si elle allait tomber, à force d'imaginer son retour à Uatis. Outre leurs parents, leur vie, leur amies, quelque chose les inquiétaient : le reste de la Section Delt S à Uatis. Que ce soit leur ancienne commandante Kakashi ou leur autres camarades, les revoir ne leur donner aucune envie comme si elles redoutaient quelque chose.

Elles n'étaient pas encore prêtes, même si très bien soumisses, cela ne faisaient pas si longtemps, qu'elles avaient changer... de vie. Des débris de leur ancienne vie étaient encore présent. Plongée dans une sorte de demi-cocon, immerger dans un tas de protubérance molle, gluante et suintant de l'aphrodisiaque, collant chaque parcelle de sa peau, ses bras sur les côtés, avaler par une masse grouillante ce tentacule, ses jambes écartés. Son regard perdue, son esprit noyer dans les vapeurs aphrodisiaque et la luxure, ne respirant que le stupre et la luxure, son corps parcourue de très léger choc électrique, mettant ses nerfs à vifs, décuplant ses sensations et sa sensibilité, incapable de pouvoir faire quoi que ce soit avec un corps aussi sensible à la moindre caresse. Shiranui était plonger dans un état de dépravation, ayant jouit de nombreuse fois, alors que ses nouvelles camarades, s'occuper chacune d'un de ses seins, aussi gros que leur tête, les malaxant, les léchant, les caressant, les suçant, fessant tout ce qui était possible avec, fessant perdre la tête à Shiranui. De leurs côtés, elles étaient pénétré par des tentacules.

Et alors que ses deux camarades n'avaient de cesses d'abuser du corps de Shiranui, la plongeant dans un maelstrom de sensations, Thorne, leur maîtresse, pilonnait l'intimité de la géante, fracassant son bassin contre celui de Shiranui, fessant trembler son corps et son esprit, la submergeant de sensations extrêmes, lui arrachant des cries et des gémissements à chaque coup, les sensations et le plaisir si puissant, à la limite de la douleur, surpassant ce que pouvait ressentir un humain normale. Le visage de Shiranui, gardait une trace d'innocence, malgré la grimace de plaisir qu'elle fessait, ses yeux presque révulsés, sa bouche ouverte en O, lui donnant un charme et un merveilleux vice.

Cela durait depuis quelques heures  des heures de luxure profonde, plongeant Shiranui dans un univers de sensations intense et sans fin. Elle rattrapait des années d'abstinence, sa nouvelle famille s'assurant de lui faire son éducation. Mais c'était si intense, si puissant, que Shiranui avait tournée de l'œil plus d'une fois, et on abusant de son corps, la réveillant avec une piqûre d'adrénaline quand il le fallait. Son corps était au-delà de ses capacités sensitives, Shiranui ne pouvait le supporter. Après un énième orgasme puissant, lui arracha un puissant crie d'extase, transperçant son esprit d'un plaisir intense et puissant, alors qu'elle était déjà a vif avec ses comparses qui s'occupaient de sa poitrine, elle lâcha prise, tournant à nouveau de l'œil. Son corps, malgré tout le plaisirs, réclamait une pause, une partie de sa conscience forçant le repos.

-Ooh elle s'est encore évanouie !!! Se plaignit Myra.
-Hihi, il lui faut plus d'entraînement ! Enchaîna Sasha.

En même temps, un tentacule sortie du fond du cocon et se planta dans le cou de Shiranui, lui injectant une nouvelle dose d'adrénaline pour la réveiller. Shiranui se réveilla brusquement, haletante, et différente. Elle arracha ses bras du cocon et saisit ses comparses au cou, et serra, les étranglant et chercha à libérer ses jambes. Son visage, ce n'était pas Shiranui. Un grand sourire démoniaque, un regard de haine et d'envie de meurtres, une soif de sang et un air fou.

-Tellement…. Plus.... Facile… . Souffla t-elle à la cérébrate. Ma sœur te plaît ?

Prenait-elle un risque en agissant ainsi ? Celui de voir les trois femmes se retourner contre elle… Ce qui se produisit rapidement. La perspective de retourner à Uatis City suscitait en elles des émotions contradictoires, mélange de peur, de surprise, d’angoisse, d’incompréhension… Et peut-être même d’espoir. Comme si, sous cette couche de perversion et de soumission, leurs anciennes personnalités de guerrières refaisaient surface. Pourquoi se risquer ainsi ? C’était en réalité assez simple à comprendre, quand on connaissait le fonctionnement de Kerrigan. Elle était une femme aventureuse, une femme qui aimait le risque. Et elle voyait en ces femmes un défi personnel. Elle avait réussi à les briser, et elle aurait sans doute pu s’en contenter, faire d’elles uniquement des pondeuses, ses délicieuses concubines… Mais Kerrigan en voulait plus, toujours plus. Son ambition était à la hauteur de ses talents, de nature à la propulser comme Reine de tout l'Astéroïde.

Pour ça, il fallait de l’ambition, et c’était pour ça qu’elle avait fait aux trois femmes cette proposition insolite. Devant leur refus, Kerrigan réagit bien rapidement, en revenant les prendre dans ses bras.

« Allons, allons, mes petites, que craignez-vous ? Que je vous abandonne ? Vous m’êtes bien trop précieuses pour ça. »

Avec un peu de télépathie et de suggestion mentale, Sarah pouvait tout à fait les amener à obéir. Elle ne pouvait pas totalement les briser, totalement les soumettre, mais elle y allait progressivement, faisant preuve d’un mélange de psychologie et de télékinésie pour obtenir ce qu’elle voulait. Il fallait y aller avec parcimonie, distiller doucement l’idée, puis rassurer ensuite ses protégées.

« Tout ce que je veux, c’est que vous fassiez partager votre bonheur auprès de vos anciennes camarades, qui vivaient comme vous dans l’illusion. N’êtes-vous pas heureuses ici ? Ce que vous vivez, mes chéries, c’est une utopie. Vous n’avez plus à vous préoccuper des soucis financiers, matériels, juste à profiter d’une vie jouissive, à vous vautrer dans le stupre et dans le sexe. N’est-ce pas là tout ce que vous souhaitez ? Votre définition du paradis ? Une félicité éternelle à vous complaire dans le sexe et les loisirs… »

Elles n’étaient pas encore suffisamment mûres, mais elles le deviendraient. Sarah misait beaucoup sur ces trois-là, car elles étaient ses premières concubines. Elles allaient devoir motiver les autres, et, peu à peu, Sarah continuait à les corrompre. Pour l’heure, elle ne comptait pas insister davantage, et retourna les embrasser, les palpant encore. Les trois se pressaient contre elle, entraînant une série de crissements et de frottements, les combinaisons moulantes se collant les unes aux autres. Un délicieux concert qui résonna très agréablement aux suaves oreilles de Kerrigan.

Elle n’allait pas précipiter inutilement les choses, car Kerrigan souhaitait encore rester proche des trois femmes. Sarah embrassa Ania, qui semblait être la plus affectée par ses déclarations, et lui adressa un léger sourire rassurant.

« Je vous aime, mes beautés, ne l’oubliez jamais. Rien ne pourra jamais nous séparer. Vous avez rejoint ma famille, et vous en ferez partie à jamais… »

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De son côté, Thorne était aux prises avec Shiranui, et la situation était beaucoup moins câline et affectueuse qu’avec Sarah. Thorne droguait et bourrait sans ménagement cette puissante femme. Dans sa combinaison noire moulante, celle-ci était une vraie poupée de latex, chacun des coups de reins de la dangereuse Cérébrate faisant crisser et remuer dans tous les sens le corps de Shiranui. Ce corps luisait furieusement et sensuellement à la lueur des cristaux et des plantes lumineuses des lieux, sans offrir aucun répit à la Uatéenne. À chaque fois qu’elle tombait dans les pommes, un tentacule la plantait, libérant en elle un puissant stimulant, une drogue forte et intensive.

« Là, voilà… Tu ne crois quand même pas que j’en aurais terminé si facilement avec toi, hum ? »

Et le bourrage se poursuivit. Suspendue par des tentacules, le corps massif de Shiranui subissait aussi les attouchements des deux esclaves de Thorne. Myra et Sasha léchaient et embrassaient sa combinaison, mordillant régulièrement ses tétons, gloussant sur place, frémissant et notant à chaque fois les orgasmes successifs de Shiranui, dont la mouille commençait à couler abondamment le long de ses cuisses, se déversant sur le sol.

Thorne griffait ses hanches en s’y appuyant fermement, amplifiant ses coups de reins, et grogna sur place. Elle se pinça les lèvres en jouissant encore, se relâchant dans le corps de Shiranui… Et c’est à moment, alors que sa queue noire était bien plantée en elle, que Thorne sentit le changement chez Shiranui. Celle-ci frémit doucement, avant de lui parler sur un ton… Inhabituel.

« Qu’est-ce que tu racontes encore ? Mais oui, ma chérie, je ne me lasse pas de ton corps, tu feras une magnifique pondeuse, avec ta constitution… Hmmm… »

Comme irrésistiblement attirée, Thorne continua donc son viol tout en se méfiant de ce subit changement dans l’allure de Shiranui, changement qui n’était peut-être que temporaire…

Devant leur réaction, l'annexienne les prit dans ses bras, comme une mère avec enfants, les rassurant, usant un peu de ses pouvoirs, réveillant leur nouvelle personnalités.

« Allons, allons, mes petites, que craignez-vous ? Que je vous abandonne ? Vous m’êtes bien trop précieuses pour ça. »

Les trois s'allongèrent et se blottir contre elle, comme des enfants en recherche de repères. Oui, c'est vrai, elles lui étaient précieuses, pourquoi craindre d'être abandonnée ? À moins qu'elles craignent autre chose ? Elles ne savaient plus, seule leur Reine comptait.

« Tout ce que je veux, c’est que vous fassiez partager votre bonheur auprès de vos anciennes camarades, qui vivaient comme vous dans l’illusion. N’êtes-vous pas heureuses ici ? Ce que vous vivez, mes chéries, c’est une utopie. Vous n’avez plus à vous préoccuper des soucis financiers, matériels, juste à profiter d’une vie jouissive, à vous vautrer dans le stupre et dans le sexe. N’est-ce pas là tout ce que vous souhaitez ? Votre définition du paradis ? Une félicité éternelle à vous complaire dans le sexe et les loisirs… »
-Merci maîtresse. Susurra Ania.
-C'est un honneur ma Reine ! Renchérit Rinko.
-On vous remerciera jamais assez. Répondit timidement Ilinia.

Elles ne purent qu'acquiescer, murmurant des remerciement, se frottant de manière obscène contre elle, reprenant leur doux rôles de douces concubines, soumisses et dociles, ne vivant que pour leur Reine. Leur esprits dépravés refit surface, et leur mains allèrent sur ses cuisses, ses hanches, ses seins ou son sexe. Et le couvrir le baisser de caresse, écrasant leur opulentes poitrines contre elle, de gros coussins moelleux. La pensée de s'en servir comme oreiller pour leur Reine traversa l'esprit de Rinko. Elle verra ça plus tard.

« Je vous aime, mes beautés, ne l’oubliez jamais. Rien ne pourra jamais nous séparer. Vous avez rejoint ma famille, et vous en ferez partie à jamais… »
-Ma Reine, vous ne pouvez pas nous faire plus grand plaisir. Minauda Rinko.

Tour à tour, elles embrassèrent leur Reine, se couchant sur elle, léchant sa langue et ses lèvres, avant de se coller à nouveau contre elle, se blottissant amoureusement contre son corps. « Qu’est-ce que tu racontes encore ? Mais oui, ma chérie, je ne me lasse pas de ton corps, tu feras une magnifique pondeuse, avec ta constitution… Hmmm… »
-Je crois que t'a pas comprit. Répondit Shiranui.

Ce fut rapide. Elle brisa la trachée de deux autres, rien de mortel, mais de quoi les étouffer si on ne les prenait pas en charge rapidement et elle parvint à ce dégager, déployant brusquement une force suffisante pour. Elle saisit la cérébrate au cou, et chercha, non pas à l'étrangler, mais à briser sa trachée.

-Je te parle de cette idiote de Shiranui ! Souffla Shiranui, un voix de haine et un regard de démence.

La Reine des Lames avait inquiété ses concubines, ce qui était le signe qu’elles n’étaient pas encore prêtes. Rien de surprenant en soi, car elles étaient encore jeunes, et Sarah ne comptait pas les envoyer sur Uatis sans s’être pleinement assurée de leur soumission et de leur fidélité. En les ramenant en l’état à Uatis City, il y avait un risque pour qu’elles la trahissent, qu’elles se rappellent leur ancienne vie, et l’abandonnent. Pour éviter cela, il n’y avait pas cinquante manières de faire, et, tout en étant allongée, et en les sentant se frotter contre elle, Sarah libéra à nouveau sa verge. Les plaques chitineuses recouvrant son sexe s’écartèrent, et elle poussa un peu, faisant jaillir une verge violette, un phallus qui se dressa fièrement, et heurta les cuisses des concubines lovées contre elle.

Sarah leur sourit doucement, et caressa leurs visages.

« Pour vous témoigner mon amour, mes chéries, je vais vous engrosser toutes les trois. Vous allez fièrement porter nos bébés… Pas de simples larves, mais de vrais bébés ! »

Elle embrassa l’une des femmes. Des tentacules remuaient autour d’elles, et elle les observa toutes les trois, puis planta son regard sur Rinko. Elle était la chef de la nouvelle section Kerrigan-S, et il semblait donc normal de commencer par elle. Pendant ce temps, autour des quatre femmes, le décor changeait encore, prenant une apparence plus humaine. Leur lit se transforma en un grand lit humain circulaire, avec de la fine couverture en soie, tandis que des craquements de bois témoignèrent de la construction de murs, de poutres, d’une ossature bois… Puis il y eut des plaques de placo, et des murs en peinture rose qui se formèrent.

« Voilà votre chambre, mes beautés, là où nos enfants naîtront… »

N’était-ce pas merveilleux ? Magique ? Sarah les embrassa encore, puis fit signe à Rinko de s’allonger.

« Je vais commencer par toi, ma belle… » susurra la Reine.

Sur un ton mielleux, doucereux, elle se rapprocha de la femme. Ses mains glissèrent sur les résilles à hauteur des hanches de Rinko, et elle alla l’embrasser tendrement, goulûment, glissant ensuite sa main contre sa combinaison, libérant l’accès à son intimité, puis fourra son sexe en elle, venant la pénétrer, sans rompre son baiser, pressant fermement son corps contre le sien.

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L’imprévisible réaction de Shiranui surprit Thorne. En quelques secondes, cette monstrueuse créature docile se transformait en une sorte de femme hystérique, et serra ses solides mains sur sa gorge, tout en ayant attaqué les deux esclaves de Thorne. Immédiatement, la pièce se mit sur la défensive, et des tentacules jaillirent, s’enroulant autour des bras de la femme, cherchant à les retirer. Las, Shiranui avait une force phénoménale, et résistait donc à la pression, tandis que Thorne sifflait et crachait sur place, sentant la respiration lui manquer. Elle chercha à s’immiscer dans l’esprit de Shiranui, mais n’y vit que rage et fureur.

*Qu’est-ce que c’est que ce bordel ?!*

Sa Mère avait passé des jours à les soumettre, les unes après les autres. Shiranui avait été l’une des plus faciles à soumettre, et, visiblement, la Uatéenne avait quelques surprises qui avaient échappé aux détecteurs xénos. Se pinçant les lèvres, Thorne cherchait à reprendre le contrôle, et siffla encore, puis posa ses mains sur les poignets de Shiranui, cherchant à la repousser, à la retenir, lacérant sa chair.

« Lâ-Lâche-moi !! » haleta-t-elle.

Des créatures apparurent sur le mur, des monstres noirâtres et filandreux, des Xénomorphes. Devant la menace, l’un d’eux alla dans le dos de Shiranui, et attaqua rapidement… En enfonçant sa longue queue tranchante.

Celle-ci transperça violemment Shiranui, ressortant à hauteur de son estomac. Même avec sa force herculéenne, Shiraui écarquilla les yeux, et relâcha Thorne, qui tomba au sol, tandis que le Xénomorphe, en hurlant rageusement, souleva avec sa queue le corps massif de Shiranui, puis la balança contre le sol. Elle roula à terre, un trou dans le corps, laissant des filaments de sang. Thorne éternuait douloureusement en se relevant.

« Amenez les esclaves… Au bassin génétique… »

Thorne soupira encore, et se redressa laborieusement, la gorge toujours endolorie, et contempla Shiranui. Elle était bien tentée de la laisser mourir là… Mais se rappela que sa mère tenait à cette femme monstrueuse.

« Conduisez-là chez Abathur, il la soignera… »

À sa manière…

Elles se posèrent des questions, et dans un contexte de manipulation et de lavage de cerveaux, ce n'était jamais bon et aussi un signe que le sujet n'était pas encore assez atteint et formaté. Les laisser sans occupation ou les envoyer maintenant, aurait été une grave erreur. Un simple rappel suffisait alors. L'annexienne ressortit sa verge, frottant les cuisses des trois filles, excitant leur corps devenue bien plus sensible, faisant naître à nouveau le plaisir et plongeant à nouveaux leur esprit dans un flot de vice, de luxure et de fantasme, chacune voulant s'empaler sur cette verge, la sucer, goutter le précieux nectar de leur Reine. Elle accompagna ce geste avec des douces paroles : porter un vrai bébé de leur Reine. Leur esprit chassa, ou plutôt fuit, la réalité et le raisonnement, s’abandonnant dans cette vie bien plus agréable et simple, remplit de félicité et de bonheur, repoussant ce qu'il ne voulait pas réaliser.

La salle se mit à trembler. Shield et sa maîtresse disparue derrière un mur organique, tandis que de la matière se créa, formant morceau par morceau, une véritable maison. Un véritable lieu de vie humain, une anomalie dans un endroit pareil. 4 véritables murs de brique, de plâtre et de bois, un vrai toit et un vrai sol, abritant le cocon de La Reine et sa suite. Elles se retrouvèrent sur un grand lit, débordant de tissus et d'oreiller, les plus doux qui soit, de couleurs vives et éclatantes, rappelant ceux du nid de la Reine des Lames. Malheureusement, leur esprit ne put concevoir l'incongruité de la chose, ni voyant qu'un présent de leur Reine, leur propre lieu de luxure.

« Voilà votre chambre, mes beautés, là où nos enfants naîtront… »
-Magnifique Maîtresse ! Minauda Ilinia et Ania d'une même voix.
-Merci ma Reine ! Susurra Rinko en l'embrassant.

La terrible Reine des Lames poursuivit le baiser, avant de passer à Ilinia, puis à Ania, avant de faire un baiser commun, dans un gala obscène de succion, de langue et de bave. Quand elles eurent finit, plusieurs filament de bave les relier, et Rinko reçu le signe de s'allonger

« Je vais commencer par toi, ma belle… »

Cela sussita de la jalousie chez Ania et Ilinia, mais c'était le choix de leur Reine, elles devaient si plier. Rinko ressentait une grande fierté, la première à recevoir un vrai bébé de la Reine, c'était clairement une distinction, même si elle était consciente que c'était stupide de s'en félicité. Sa Reine vint se plaquer contre elle, libérant l'accès à son intimité, la pénétrant d'un coup... on pouvait pas parler de coup sec tellement Rinko était humide et mouillait. Un coup franc et profond, serait plus parlant. Un coup de bassin fluide, se plaquant contre Rinko, qui lâcha un râle de plaisir et de satisfaction. Elle enlaça sa Reine, répondant avec dévotion à son baiser, tandis qu'elle commença à se faire buriner.

De leur côté, Ania et Ilinia n'était pas sur le banc de touche, mais entrain de se toucher mutuellement, laissant le couple copuler, s'embrassant goulûment, voracement, baveusement, entre elles. Mais elles ne furent pas délaisser, car un gros tentacule se glissa entre les deux, recevant l'attention des deux femmes, tandis que des tentacules plus petits, se glissaient dans dans leur intimité. Des tentacules se glissèrent dans leur combinaison, rependant un liquide épais, s’épissant rapidement, jusqu'à recouvrir tout leur corps sous leur combinaison, formant comme une deuxième combinaison, purement organique.

Elle gardait la sensation du latex, mais elles baignaient dans un cocon interne à leur combinaison, cocon qui ne tarda pas à former des milliers de tentacules sur tout leur corps, les noyant dans un déluge de léchouille intensif, précis et secrétant un fluide épais pour les entretenir. N'importe qui serait pris de surprise par la réaction de Shiranui. Elle n'était plus soumisse au drogue, au plaisir, à la luxure. Un autre être venait d'agir, il lui aurait été impossible pour Shiranui de faire quoi que ce soit dans l'état qu'elle avait été il y a même pas une minute. Cette Shiranui était dans un autre état d'esprit : haine, rage, sadisme, massacre. Les denières chose qu'on pourrait retrouver chez la vrai. La pièce réagit, déployant des tentacules, mais Shiranui faisait preuve d'une force peu commune. Elle ria, un rire mauvais, sombre, emprunt de sadisme et de plaisir malsain, alors que la cerebrate se débattait, lui adressant un sourire carnassier et un regard... inhumain.

« Lâ-Lâche-moi !! » haleta-t-elle.
-Je te lâcherais pour me baigner dans ton cadavre. Susurra l'étrange Shiranui.

Quelque seconde passèrent, Shiranui se léchant les lèvres, avant qu'un bruit mouillé et mou ne transperce l'air, en même temps que Shiranui. Elle écarquilla les yeux et cracha du sang. Elle baissa la tête et vit la queue d'une xénophorme sortir de son ventre. Une terreur invisible s'empara d'elle.
*Oh non.. nonnonnonnon !!!! Ils l'ont encore meurtrie !*

Le coup lui avait fait relâcher la prise, ce qui facilita la tache à son agresseur qui l'envoya valser. Le sang coula presque à flot, Shiranui tentant maladroitement de stopper le sang, ravalant sans qu'on la voit, le sang dans sa bouche et celui de ses mains, d'une manière frénétique et paniqué. On se rapprochait d'elle, elle se retourna péniblement pour leur faire face, la gueule pleine de sang, le regard... complément fou.

« Conduisez-là chez Abathur, il la soignera… »
-A... moi... elle... ELLE EST A MOI !!!!!!!

Shiranui se tenait elle même, défia du regard la cérébrate alors qu'elle se lécha les lèvres, récupérant le sang dessus, recroquevillée sur elle même. La blessure ne semblait pas la géner plus que ça.

-Elle est a moi !!! Tu ne l'aura jamais !!!

Shiranui convulsa légèrement, ses yeux se révulsant, avant que des cries de douleurs et de paniques ne jaillirent de sa bouche, en même temps que du sang. Terreur, panique, incompréhension... tout ceci ce bousculait dans sa tête. Elle regarda ses mains recouvert de sang, pleurant et souffrant. Que lui arrivait t-il ? Où était cette état extatique ? Ce maelstrom sans fin et sans fond de décadence et de luxure ? Brusquement elle perdit toute ses forces, et elle cessa de bouger, ses bras retombant.

-Maî... *koff*... tresse... pour... pourquoi ?... Je... *koff*... Je vous aie... déçu ?

La dernier vision qu'elle emporta avant de tourner de l'oeil, fut l'image de travers de Cerebrate lui jetant un regard acéré et noir. La dernière chose que son esprit enregistra, la peur absolue qu'elle ressentit envers la cérébrate ayant visiblement voulue la punir. Une peur qui la pousserait à faire plaisir sa maîtresse, non plus dans la soumission et l'ivresse d'un bonheur infinie, mais dans la soumission et la terreur d'échouer à lui faire plaisir et d'en payer le prix. Alors qu'elle était inconsciente, et qu'on la transportait, un sourire victorieux se forma fugacement, avant de disparaître.

Sarah aurait en soi pu se dédoubler, et générer deux clones d’elle-même pour jouer avec Ilinia et Ania, mais quelque chose en elle lui disait qu’elles préféraient plutôt l’originale. Il fallut donc choisir, et, des trois concubines, Sarah opta pour celle qui avait un peu le rôle de leader : la belle Rinko. De base, ses trois concubines pouvaient s’estimer heureuses, car elles étaient les amantes privilégiées de Sarah. Celle-ci les avait choisi parmi tout son lot d’esclaves, et leur avait même donnés une maison, une maison qui recevrait bien évidemment beaucoup de visite. Elles n’allaient jamais avoir à s’ennuyer, que ce soit pour satisfaire l’appétit insatiable de Sarah, ou du reste de sa famille. Kerrigan avait déjà beaucoup de Cérébrates, et ses filles étaient très assoiffées, partageant les fantasmes fétichistes de leur mère, ces mêmes fantasmes qui l’amenaient rarement à retirer les combinaisons de latex des Uatéennes qu’elle capturait. Elle ressentait clairement la déception d’Ilinia et d’Ania, mais cela ne l’empêcha nullement de pénétrer Rinko, qui eut un premier orgasme, presque instantanément, en sentant sa Reine s’insinuer en elle.

Chaque jour, après tout, Kerrigan raffermissait son emprise sur elles. Elle ne se contentait pas juste de les rendre amoureuses, elle les asservissait totalement. Dans leur sommeil, celles-ci recevaient des injonctions, des messages subliminaux destinés à percer la couche de leur inconscient, et à les inonder d’une adoration totale, une adulation similaire à celle de zélotes envers leurs divinités. En réalité, si Sarah s’amusait à les abandonner, il était probable qu’elles se suicideraient de désespoir. Mais une telle situation ne risquait pas d’arriver, fort heureusement.

Sarah pénétra donc Rinko, et l’embrassa à nouveau, posant ses mains sur ses épaules, s’appuyant dessus, et s’étala sur elle, la prenant en position du missionnaire, fourrant sa langue dans sa bouche. Elles partagèrent ensemble un onctueux baiser, se caressant mutuellement, Rinko venant à soupirer chaudement contre elle, se tortillant sur place, pour le plus grand plaisir de la Reine.

« Hmmm... »

Les lèvres de Rinko étaient délicieuses, tout comme le reste de son corps. La main de Sarah se déplaça pour s’appuyer sur son sein, le pinçant à travers sa combinaison, tandis qu’elle sentait la Uatéenne se presser contre elle. Les pattes arachéennes de Sarah se redressèrent, et s’apposèrent de part et d’autre, formant comme des appuis complémentaires, se pliant et se dépliant en harmonie avec les coups de reins de la Reine des Lames. Continuant doucement à gémir, Sarah mordilla les lèvres de son amante avant de rompre le baiser, s’enivrant de son odeur, de ses formes.

La main de Rinko se serrait sur ses cheveux, et Sarah commença à onduler.

Toutefois, elle n’avait pas oublié ses deux concubines, et le plafond libéra alors de multiples tentacules roses, légèrement humides, qui se rapprochèrent des deux femmes. Elles étaient occupées à s’embrasser mutuellement, à faire crisser le latex de leurs combinaisons, accompagnant ainsi Sarah dans ses mouvements, provoquant un très agréable arrière-son sonore. Loin de les refréner, la venue des tentacules les stimula encore. Ils s’enroulèrent autour de leurs bras, de leurs chevilles, les soulevant sans ménagement, tandis que d’autres se rapprochèrent encore. Un gros tentacule s’était glissé initialement entre elles, recueillant leurs baisers, avant de gonfler encore, et de subdiviser en deux tentacules phalliques bien épais, qui s’enfoncèrent dans leurs bouches, remuant sur place, tandis que d’autres vinrent les pénétrer, se glissant sous leur combinaison.

On pouvait ainsi voir, le long de leurs combinaisons de latex, de fines couches de tentacules, qui se masturbaient sur elles, tandis qu’elles étaient toutes les deux suspendues en l’air, les tentacules venant les pénétrer, puis les sodomiser ensuite, l’une à côté de l’autre. Elles commençaient à mouiller furieusement, tandis que les tentacules se mirent ensuite à jouir le long de leurs corps, répandant un sperme spécial, assez adhésif, qui se colla à leurs corps, retenus par leur peau et par le latex, s’étalant progressivement, les tentacules se retirant progressivement. Ce fut ainsi une véritable sous-couche de sperme qui se coinça entre le latex et leur peau, semblant se confondre avec le latex pour rendre la combinaison plus lubrifiante.

Sarah s’était également redressée, tout en continuant à prendre Rinko, et l’amena ainsi, en levant la tête, à voir ses deux partenaires.

« Toi aussi, tu vas y avoir droit, rassure-toi... Il est temps de vous perfectionner encore ! »

Autour de la verge de Sarah, de petits tentacules violets se détachèrent brusquement, et s’immiscèrent sous sa combinaison, avant d’enfler, répandant à leur tour le même sperme, longuement. Sarah prenait tout son temps, tout en besognant Rinko, la serrant par les hanches, sa solide queue la pénétrant furieusement, bourrant son con sans ménagement, se régalant des hurlements et des crispations de Rinko.

Les tentacules se retirèrent ensuite, tandis que les tentacules retenant Ilinia et Ania se rapprochèrent, déposant les deux femmes à droite et à gauche de la Reine des Lames. Souriant lentement, elle ralentit progressivement le rythme, juste pour que Rinko puisse la comprendre, tandis que sa main glissait sur le latex, et le griffait. Elle en déchira une lamelle, et, au bout de quelques secondes, le latex vint à se reconstituer.

« J’étudie la composition du latex uatéen depuis de nombreux mois, hmm... Ce sperme sur vous n’est pas que du simple sperme, c’est aussi un mélange... Un adhésif qui va scinder votre peau à celle de la combinaison, jusqu’à ce que votre corps interprète cette combinaison comme votre propre peau. »

Sarah sourit encore, et sa main glissa pour caresser le corps d’Ilinia, glissant sur sa peau, entre ses seins, puis sur son ventre.

« Bien sûr, cette combinaison est aussi très érogène... Croyez-moi, vous allez vous adorer frotter ensemble. Venez donc, mes chéries, venez vous frotter contre moi pendant que je baise votre sœur de latex ! »
« État corporel stabilisé. Mais état mental très instable. Analyses cérébrales en cours pour correspondance avec d’autres schémas préexistants. »

Peu de Xénos appréciaient l’antre du terrible technogénéticien Abathur. Véritable éminence grise de la Nuée, Abathur était un Xénos très particulier, aux ordres de Kerrigan, et faisant preuve d’une certaine forme de liberté. C’était lui qui avait créé la Reine des Lames, et qui, régulièrement, aidait Kerrigan à améliorer ses Xénos, ainsi que ses concubines. Le liquide de sperme adhésif que Sarah venait d’utiliser sur Rinko, Ilinia, et Ania, était ainsi issu des recherches d’Abathur.

Son antre ressemblait à une redoutable grotte verdâtre accessible par plusieurs couloirs. Un corps massif se tenait là, avec de multiples pinces et tentacules. Ce corps monolithique se dressait au sommet d’un amas de tentacules, de pinces, comme une sorte d’horrible excroissance se perdant dans toute la grotte. Son corps ressemblait à une sorte de gros bulbe grisâtre, sa tête hérissée de nombreuses pustules vertes, une face minuscule avec une gueule en forme de crevasse édentée se dressant sur place.

Silencieuse, Thorne restait dans un coin, tandis que, devant elle, Shiranui baignait dans un cocon verdâtre, flottant dans un liquide amniotique.

« Corps puissant, esprit instable... »

Si manipuler les gens étaient faciles, les Xénos avaient encore beaucoup de mal avec ce qu’Abathur appelait les « états mentaux instables ». Or, Shiranui était visiblement schizophrénique. Son ventre était soigné, et Abathur filait dans sa cervelle, utilisant des tentacules pour rejoindre ses synapses, trifouillant son cerveau à la recherche de ses souvenirs. La femme était fort heureusement dans le coma, tandis qu’Abathur, en sondant son passé, tâchait de diagnostiquer l’origine de sa schizophrénie.

Mais, à vrai dire, le technogénéticien de la Nuée aventurait ses griffes dans un domaine qu’il ne maîtrisait pas facilement !

Ania et Ilinia regardaient jalousement Rinko, se frottant entre elles, se caressant leur cul et se pinçant les seins. Elles s'embrassèrent goulûment et voracement, bavant outrageusement, alors que les tentacules les aidaient. Un nouveau tentacule se présenta, un énorme tentacule vinrent entre elles, glissant entre leur seins imposants. Elles le léchèrent avec avidité l'embrassèrent fiévreusement, avant qu'il ne scinde en deux qu'ils s'enfonce dans leur gorge sans ménagement, sécrétant un liquide épais pour donner plus de saveur, s'enfonçant bien loin en elles, avant de remuer intensément, provoquant moult bruit humide obscène, délicieux à entendre. Les tentacules les manipulèrent, restreignant leur mouvements, et levant leur tête, laissant aux gros tentacules le loisir de pilonner leur gorge, les déformants à l’extrême, avec amour et passion.

Mais pour ne pas les délaisser de ce côté, des tentacules vinrent pénétrer leur cul et leur chatte, remuant furieusement, épais et gras. Une nouvelle fois, elles se perdirent dans leurs extases, leur esprits se vrillant encore une fois. Plaisir, sexe, extase et intensité. Elles jouissèrent puissamment une fois, leur cyprine brûlante dégoulinante sur le sol.

Rinko se faisait prendre intensément, hurlant son plaisir, ne refrénant aucune pulsion. Loin d'être passive, elle joua du bassin et de ses muscles du mieux qu'elle pouvait pour sa Reine. Comme pour ses consœurs, elle vrilla rapidement, plongeant plein pied dans l'extase et le plaisir intense. Tout n'était que plaisir. Quand sa Reine la releva, Rinko saisit ses fesses, les pétrissant avec amour, titillant sa rondelle avec plaisir.

« Toi aussi, tu vas y avoir droit, rassure-toi... Il est temps de vous perfectionner encore ! »
-Oh oui AANH mmh AAANNH! Mer...merveilleux ! Anmmh !

Elle sentit le liquide se répandre depuis son intimité. Elle sentit le fluide remonter ses cuisses et son ventre, se répandre sur ses fesse et gagner son dos. Elle gémit encore plus tout le long, jusqu'à ce que le produit finisse par arriver à son cou. Elle eu la sensation de baigner dans de l'huile, avant que la sensation disparaisse, pouvant sentir tout son corps, mais encore plus intensément qu'avant, ses nerfs et ses sens en exarques. Elle lâcha un puissant râle, partant en arrière, parcourue de spams de plaisir, lâchant un orgasme fulgurant, avant de ramener un temps soit peu son attention sur sa Reine.

Elle ralentie, ramenant ses deux comparses, tandis qu'elle coupa un petit bout de sa combinaison, lui arrachant de nouveaux de gémissement, tandis que sa Reine expliqua ce qu'elle venait de faire, alors que le morceaux repoussa. Ilinia et Ania virent leur bouche être libéré du tentacule, qui se vida généreusement juste avant, remplissant leur estomac d'une bonne charge, arrondisant un peu leur ventre, remplissant leur bouche et œsophage. Ilinia avala le plus gros, tandis que Ania ne put retenir le surplus, vidant sa bouche, tapissant sa poitrine de sperme. Une de ses mains fut libérer et elle entreprit de récolter le sperme de ses doigts, avant de les lécher.

« Bien sûr, cette combinaison est aussi très érogène... Croyez-moi, vous allez vous adorer frotter ensemble. Venez donc, mes chéries, venez vous frotter contre moi pendant que je baise votre sœur de latex ! »

Joignant le geste à la parole, elle caressa Ilinia du ventre au sein, lui arrachant plusieurs gémissement intensément, tendrement et langoureusement. Avec Ania, elles se collèrent contre leur Reine, afin de se frotter contre elle, toujours prisent et maintenue par les tentacules. Ania lécha la joue de sa Reine, laissant une belle trace de sperme, alors que Ilinia vint chercher sa bouche, voulant partager sa langue et le sperme dans sa bouche, un baiser torride et intense. Les deux saisirent un sein, pétrissant et caressant amoureusement ces monts de merveilles, leur autres mains sur ses fesses, les pétrissant avec Rinko.

-C'est ma place ! Plaisanta Rinko entre 3 gémissements, ses mains toujours sur les fesses de sa Reine.
-Tu as déjà sa queue ! Souffla Ania, en lui tirant sa langue.
-Partage un peu ! Ajouta Ilinia.
-En parlant de queue... Ajouta Ania en se léchant les lèvres.

Instinctivement, sa queue surgie d'entre ses lèvres intimes et de sa combinaison, venant se frotter contre la peau de sa Reine. Dans le même temps, sa combinaison se mit en mouvement et recouvra sa bite. Et l'effet érogène de la combinaison et fit son office. Du pré-sperme s'écoula déjà, le contacte du gland contre la peau de sa Reine lui fit comme un choc, lâchant une profonde plainte langoureuse.

-Oooooh !! Putain !!! Ilinia vite sors là !
-D'a... d'accord !

Ilinia fit pareil et lâcha un presque un petit crie, et lâcha presque un jet de sperme, bien plus sensible que Ania. C'était tellement intense ! Ania haleta, luttant pour ne pas jouir alors qu'elle se branla doucement. Tellement sensible ! Ania regarda finalement Rinko, se léchant les lèvres, la lueur mauvaise, suivit de Ilinia, le regard et le sourire fou, qui se masturba, lâchant encore quelque jets de sperme. Rinko eu un grand sourire, parvenant à contrôler ses cries et gémissement sous les coups de butoirs de sa Reine, mouillant sans vergogne.

-Vous me le paierez ! Dit elle en penchant sa tête en arrière. Venez mes salopes ! Dit elle en ouvrant grand la bouche.

Ilinia et Ania embrassèrent les joues de leur Reine, Ilinia lâcha un peu de sperme sur sa cuisse en même temps, sans faire attention, avant de se déplacer vers la tête de Rinko. Elle les suivit des yeux tour à tour. Ania bifla Rinko en riant, et lâchant un gémissement profond, la sensations décuplé, lâchant un peu de sperme.

-Ouch. C'est vilain ! Minauda Rinko, en se léchant la joue.
-Hihihi ! Fit Ania, alors qu'elle était parcourue de spam de plaisir, sourire béa.
-Ah moi ! Ah moi !

Ania laissa la place à Ilinia qui le fit aussi, et qui lâcha un petit crie de plaisir, et laissa une trace de sperme. Rinko lécha le sperme près de ses lèvres, le regard vicieux.

-Je risque pas d'oublier !
-Allez, finit les paroles, notre Reine veut de jolie bruit ! Annonça Ania avec un sourire enjoué. Fais nous de belle vocalise !

Dans un sschoollrrbb sonore et gluant, Ania s'enfonça avec entrain. Sa verge épaisse déforma la gorge de Rinko, pour les beaux yeux de leur Reine. Une gorge profonde et intense pour débuter.

-Glrkmmppffffrrr.... émit Rinko, de la bave coulant avec ses borborygmes .
-OOOOUMMMPPPFFF !!! Rajouta Ania. OH... OH ppuuuttaaaaainnnn !!!!! AAAAANNNNNH !

Ania jouit instantanément, se vida directement dans l'estomac de Rinko. Mais le sperme remonta dans la bouche de Rinko, jaillissant d'entre ses lèvres, et de son nez devant l'intensité du flot. Les sensations étaient... si puissante ! Tellement intense ! Sa langue, sa gorge, la bave, la chaleur ! Elle  Intense ! Elle chopa la tête de Rinko, et enfonça un peu plus sa bite, et lâcha une deuxième dose.

-Glrpfbfglr... Émit Rinko en saisissant les hanches de Ania.
-M... maîtresse... c'est... trop intense !!! Lâcha Ania, en pleine extase.

Elle parvenait pas à se contrôler, mais elle réussit à se retirer, se finissant sur le visage de Rinko, qui crachat plusieurs de jets de sperme avant de parvenir à respirer, elle avala goulument le sperme dans sa bouche. Mais avant qu'elle ne puisse faire quoi que soit.

SSCHOLRP

Ilinia s'engouffra dans la bouche de Rinko, Ania groggy par la déferlante de plaisir, perdu dans son extase, jouissant encore. Ilinia lâcha un plus profond râle d'extase, ses yeux se révulsant presque, bavant de plaisir, se vidant allégrement, se perdant dans l'extase.

-gllrrgppffmm... glurp... glorp... ! Gémit Rinko, avalant le sperme avec plaisir, se promettant de leur rendre coup pour coup, avec tout les délices qui vont avec.

Ilinia fut bousculer par Ania, qui la fit se retirer un peu, pour avoir juste la place pour enfoncé sa trique. Leur gland se frottèrent, leur arrachant un langoureux gémissement, suivit des onomatopées jouissif de Rinko, qui joui abondamment sur sa Reine, un flot de cyprine intense et brûlante. Une véritable inondation. Shiranui. Une belle source de problème, tant et si bien, qu'elle avait finit plusieurs fois entre les tentacules d'Abathur, à chaque fois, parce que son autre personnalité s'était manifestée, répondant à l'appel de l’inconscience, de sentiments que Shiranui ne pouvait ressentir. Dans un coma artificiel, mise à nue par cette chose, Shiranui n'était qu'une espèce de carte mémoire qu'Abathur piratait facilement. Mais, sans pouvoir l'expliquer, il pouvait déjà voir que son cerveau était plus lourd... en faite si, il pouvait. Il était plus dense. Certaine zone du cerveau, était comme... doublé, voir même occultée par cette zone en double.

En fouillant sa mémoire, Abathur ne verrait qu'une enfance malheureuse, rejetée par sa taille, sa rencontre avec Jeanne, sa grande sœur adoptive, ses moments de joie avec elle, puis son entré au collège, des filles qui commencèrent à la harceler dans les toilettes et le début des anomalies. En effet, la dernière vision des toilettes fut une des filles voulant la frapper, à qui se succéda par Shiranui sortant des toilettes, un peu perdue. Ces anomalies se répétèrent plusieurs fois, en cas de danger, de personne qui la menace, puis de plus en plus fréquent après son admission à la section Delta S, avant chaque combat, depuis sa dernière rencontre avec une femme dont elle avait visiblement pas enregistré le visage, ne laissant qu'un visage noir.

Des souvenirs manquant, aucune altération visible de la mémoire et du cerveaux. Sans doute les manifestations de sa double personnalité. Mais en fouillant son cerveaux, Abathur découvrit un deuxième lobe temporal, imbriqué dans le 1er. Et en le fouillant il tomba sur tout les moments que Shiranui n'avait pas enregistré, les filles des toilettes qu'elle passa à tabac, ceux qui la menacer se faire démonter, les massacres commit, le combat contre les xénophormes ou contre la Reine des Lames. Et des souvenir bien particulier, qui n'avait pas été détecter dans l'autre mémoire, tous lier à cet femme étrange, un médecin qui semblait conscient de l'état de Shiranui, mais surtout, comment faire pour ne pas briser la continuité des souvenirs de Shiranui. Et à chacun, il apprenait des choses.

Cette double personnalité se présentait comme étant la sœur de Shiranui, qu'elle détestait autant qu'elle appréciait Jeanne, qu'elle voulait protéger sa sœur de tout les danger, d'être son ange gardien. Que des choses qui permettait d'en savoir plus sur cette double Personnalité. Et un souvenir particulier ressurgir. Il faisait partie des premiers, après les premières manifestions, avec cette femme étrange. Souvenir du quel, elle la nomma Lucie et cessa de la voir comme une double personnalité.

« -Alors ? Comment va tu ?
-Arrête de provoquer mon réveil !!!
-Tu es bien plus intéressante que ta sœur. Surtout depuis les examens. Et tu es... une anomalie génétique unique.
-Quoi ?
-Ce n'est pas le cerveau de Shiranui qui s'invente une double personnalité. Juste le tiens qui agit !
-Hein ?
-Il arrive que quand une mère développe deux fœtus, ils fusionnent. On peut se retrouver avec des siamois, un enfant avec des déformations physique, des membres en trop ou des organes en trop ou un des embryons mort, vampirisé par l'autre. Mais dans de plus rare cas, le deux ne forme qu'un, formant des hermaphrodites et encore plus rare, que les deux soient conscient. Ce corps possède une fusion de vos corps, bien que le tiens semble plus chétif, ce qui explique votre physique et vos capacités. Muscle, os, chair et organe. Mais aussi vos cerveaux on fusionné. Tu t'es développée en même temps que Shiranui, vous partagez votre savoir, vos forces, mais tu regroupe ses pires facettes, et condense sa violence. Vous avez des zones en commun et certaine qui vous sont propre. Le cerveau de Shiranui est le principale, mais il laisse les commande au tien, quand les données que vous recevez implique une réaction que Shiranui est incapable de réaliser ou quand votre inconscience commune te réveille, comme système de défense. Nous allons avoir beaucoup d'examen. »

Deux être en un, deux consciences. Soit c'était biologiquement impossible, si bien que ce n'était absolument pas naturelle, et en sa qualité d'expert en biologie et génétique, Abathur pouvait conclure qu'il s'agissait là, à forte raison, d'expérience génétique morbide et contre-nature, qui avait du faire des centaines d'aberrations, et encore plus en mort. Et donc, que Uatis possédais un génie détraqué, se rapprochant du niveau des xénos dans la manipulation génétique.

Soit que c'était un coup du sort véritablement naturelle, un bug génétique, une anomalie qui n'arrive qu'une fois sur des milliards. Un cas unique et qui ne réapparaîtra pas avant des siècles selon toute probabilité. Peut être des conditions de vie particulières, car en fouillant dans les souvenirs de Shiranui, elle vivait non loin d'une zone industrielle et d'une usine chimique. Sans doute le développement des produits particuliers.

Shiranui avait été maté et maîtriser, maintenant il restait sa sœur.

Tirch et Shiranui, deux êtres décidément unique. Et toute deux, avait un point commun : cette étrange femme dont elles n'avaient pas enregistré le visage ni le nom, ni même comment elle venait à leur rencontre, comme si on avait sciemment occulté leur capacité de mémorisation.

La somptueuse orgie entre Sarah Kerrigan et les trois Uatéennes roses (Ilinia, Ania, et Rinko) se poursuivait avec une passion dévorante. Les trois Uatéennes commençaient pleinement à comprendre ce qui se passait ici, et comment leurs combinaisons fonctionnaient. Du moins, c’était surtout le cas pour Ania et Ilinia, puisqu’elles n’étaient pas en train de danser sur Sarah. Rinko s’était empalée sur la puissante verge de Sarah, qui sourit en voyant les deux Uatéennes déployer leurs propres verges. C’était comme un prolongement de leur clitoris, et, en sentant leur verge se frotter sur la combinaison en latex, elles gémirent, se rapprochant de l’orgasme. Fébriles et très excitées, elles allaient devoir s’habituer à cette combinaison érotique très spéciale.

La capacité d’adaptation et de reproduction des Xénos était particulièrement incroyable, et ces combinaisons faisaient partie des quelques ajouts cosmétiques que Sarah avait ajouté lors de son règne, comme un héritage de son penchant humain. Très envieuse d’essayer leurs membres, les deux poupées de latex se rapprochèrent de Rinko, et constatèrent, juste en la bifflant, combien leurs verges étaient sensibles !

« Hmmm… »

Allongée, Sarah vit Ania se positionner au-dessus d’elle, et fourrer sa verge dans la bouche de sa partenaire. La scène était très excitante, et amena sur les lèvres de Sarah un joyeux sourire. Incapable de résister pour l’heure à ce plaisir fulgurant, Ania jouit presque instantanément, mais constata aussi, sans doute à sa grande satisfaction, qu’elle se maintenait avec passion. Sa verge restait solide, intense, ce qui l’amena à jouir une nouvelle fois. Des bruits de déglutition délicieux accompagnaient leurs orgasmes, et Ilinia se prêta ensuite à ce savoureux exercice, le tout sous les yeux absolument ravis de la Reine.

La belle Ilinia ne tarda pas à jouir également, dans des bruits de déglutition intenses. Les trois filles jouaient entre elles, en venant presque à négliger leur puissante et belle Reine, qui finit par jouir dans la chatte de Rinko. Sarah se redressa ensuite, et se glissa entre les trois femmes, qui l’entouraient avec appétit.

« Toi aussi, Rinko… Déploie-moi ta belle verge… »

Elle caressa les visages d’Ilinia et d’Ania pour les motiver.

« Encouragez-là, vous deux… J’ai très envie que vous me pénétriez toutes les trois. »

Sarah était très gourmande, et elle n’allait rien faire pour démontrer l’inverse. Voir que les trois Uatéennes converties à sa cause commençaient à faire parler les fonctionnalités spéciales de leurs corps améliorés par les mutagènes qu’elles avaient reçues, cela ne pouvait que stimuler Sarah. Elle les observait avec appétit, sentant les verges se frotter à ses jambes.

« Je vous laisse choisir qui me prend où… Mais, ce qui est sûr, c’est que je vous veux toutes les trois en moi simultanément, mes amours ! »

Derrière son apparence affreuse et monstrueuse, Abathur était le technogénéticien de la Nuée de Kerrigan, un spécialiste du cerveau humain. C’était lui qui avait été l’instrument de l’Overmind, qui avait conçu le cocon ayant transformé Sarah Kerrigan en Reine des Lames. D’une cruelle froideur, Abathur était un scientifique pur, un Xéno très particulier. Même le sexe n’intéressait pas ce monstre, qui avait été créé pour être particulièrement hideux.  Spécialiste des manipulations génétiques et du cerveau humain, Abathur savait plusieurs choses sur les humains, et sur le rôle de la mémoire :

• La mémoire était gérée dans le cerveau humaine par un important système, extraordinairement complexe, impliquant 5 formes de mémoires, chacune étant dans des zones cérébrales différentes ;
• La mémoire ne s’effaçait jamais complètement. Le fait qu’une personne ne se rappelle pas de certains souvenirs ne signifiait pas que les souvenirs avaient disparu.

La mémoire des souvenirs, aussi appelée « mémoire épisodique », se situait dans plusieurs parties du cerveau : hippocampe, amygdale, néocortex, lobe préfrontal…  Abathur savait que certains souvenirs ne s’effaçaient jamais, dans le sens où ils revenaient toujours à l’esprit du sujet. Un cas typique était l’apprentissage de certaines manières. Parler, manger, s’habiller… Nager, faire du vélo. L’humain ayant appris cela en enfance ne l’oubliait jamais.

Mais les souvenirs ne pouvaient pas disparaître. Ils s’enfouissaient, et réagissaient parfois avec l’inconscient. Abathur aurait pu comparer la somme des souvenirs d’un sujet à une bibliothèque, une grande bibliothèque. Si on pouvait facilement accéder aux ouvrages proches du salon de lecture, les ouvrages situés tout au fond de la bibliothèque, dans l’obscurité, étaient inaccessibles, et ne revenaient que par bribes, par stimuli… Ce que Proust avait symbolisé avec sa madeleine, qui, en la faisant tremper dans du café, lui rappelait son enfance.

Abathur était relié au cerveau de Shiranui. Ce qu’il faisait, cette neurochirurgie mémorielle, même la Reine des Lames ne pouvait l’accomplir. Ses micro-tentacules étaient reliés aux synapses et aux neurones de la femme, partageant ses souvenirs, s’y faufilant sans vergogne pour son intimité, explorant tout… Jusqu’à identifier des périodes creuses, des zones de blocage.

C’est ainsi qu’Abathur finit par détecter des irrégularités dans la lecture cérébrale du sujet.

« Hippocampe du sujet anormalement élevé. Les tests de stimulation électriques indiquent une réactivité accrue du sujet, bien supérieure à la moyenne. Probabilité d’erreur dans les analyses cliniques des essais nulle. »

Il repéra ainsi des résidus, des amas cérébraux.

« Deuxième hippocampe repéré. Hippocampe plus petit qu’un hippocampe normal. Hypothèse : mémoire-fantôme. »

Jouant sur la mémoire et les stimuli sensoriels, on pouvait créer des agents doubles inconscients de leur situation en faisant en eux une personnalité fictive, trompeuse, dont lui-même n’avait pas conscience, jusqu’à ce qu’un stimuli spécial réveille la mémoire sensorielle en lui, et ne réveille sa « mémoire-fantôme ». La première conclusions d’Abathur se heurta néanmoins à des tropiques qui ne correspondaient pas à ceux qu’il avait en mémoire.

« Tissus de naissance identifiés… Tension nerveuse très élevée du sujet. »

Le technogénéticien analysait cela avec sa froideur inhabituelle, et sentait le sujet s’agiter sous lui. Elle était puissante, et commençait à remuer quand il aborda les souvenirs-fantômes. Il comprit vite que deux personnalités se battaient dans ce corps, un phénomène schizophrénique qu’il connaissait bien. Abathur décida rapidement de les dissocier, et appela « Shiranui-01 » la personnalité émergente, et « Shiranui-02 » cette personnalité enfouie, violente, fonctionnant comme un miroir de l’autre.

Il continua à agir, jusqu’à sentir le corps de Shiranui remuer sur place, jusqu’à réveiller Shiranui-02, s’immisçant dans ses souvenirs, essayant de trouver qui avait fabriqué ce mécanisme. Car une telle construction génétique n’était pas naturelle. Intrigué, Abathur continua donc ses recherches, essayant de débloquer des souvenirs… Ce qui lui permit de capter une image, un souvenir qui l’interpella…

L’Homme-En-Blanc.

Ilinia et Ania avait bien du mal à s'adapter à ses sensations hors-normes, parcourue de tremblement et spams de plaisir incontrôlé, leur orgasme fulgurant et intense, et généreux. Rinko eu bien du mal à avaler, le sperme giclant de son nez de se lèvres, s'écoulant jusqu'à ses seins et elle aussi avait du mal à ne peut être parcourue de spam de désir et de tremblement. Elle était baisé par sa Reine et surtout, même sa bouche était diablement sensible, plus qu'elle ne pouvait croire. De simple humaines n'auraient pus gérer ça et auraient supplié d’arrêter, qu'elles en avaient mal, qu'elles n'en pouvait plus. Mais notre trio avait remodeler, après avoir été brisé. Elles criaient, mais de plaisir. Plus ! Il en fallait plus !

Leur orgasme finit, elles se retirèrent, lâchant tout de même un dernier jets sur le visage de Rinko, maculant son beau visage, alors qu'elle avala ce qu'elle avait en bouche et se léchant les lèvres et remonta sa main pour récupérer le foutre s'écoulant de son menton et perdu sur son visage. Ania et Ilinia se soutenaient l'une et l'autre, leur verge avide toujours dur, dégoulinant de bave et de sperme. En même temps, leur Reine avait finit par jouir, provoquant un râle de satisfaction à Rinko, qui jouit une seconde fois, trempant à nouveau sa Reine et le lit sur le qu'elle était couché. Leur Reine contourna le lit, venant se mettre côté de ses concubines, caressant le menton de Ilinia et Ania, les emépchants de repartir à l'assaut de Rinko, qui se relava. Les trois femmes se frottèrent contre leur Reine, suçotant sa peau, se frottant de manière obscène contre elle. En même temps, Ania finit les traces de sperme sur le visage de Rinko en léchant, qui tentait de la repousser, voulant finir elle même et Ilinia les regarda, hésitante, pelotant plutôt leur fesses.

Mais leur maîtresse coupa court à leur petite chamaillerie, comme venant séparer ses chats qui se bataille entre ses bras. Elle demanda à Rinko de déployer sa verge, tout en masturbant ses deux camarades. Il ne fallut pas longtemps pour que Rinko déploie sa verge, la frottant d'une main et contre la hanche de sa maîtresse.

« Je vous laisse choisir qui me prend où… Mais, ce qui est sûr, c’est que je vous veux toutes les trois en moi simultanément, mes amours ! »
-Oh ouuii ! S'exclama Ilinia. Ah nous de faire plaisir à notre maîtresse !
-Miam. Fit Ania, en palpant les fesses de sa Reine. Je veux votre cul !
-Je prend votre intimité ! Je veux vous remplir de mon foutre !
-Quoi ?!... euh.... je... je prend votre bouche ! S'écria Ilinia.

Les trois femmes couchèrent donc leur Reine sur le lit. Ania s’installa d'abord sur le dos, cala sa reine sur elle et s'enfonça entre ses fesses, en lâchant une longue plainte de plaisir. Elle plaça ses jambes et fit rebondir un peu sa Reine avec quelque coups de reins, et attrapa les seins de sa Reine, les pétrissant. Rinko s'installa face à sa Maîtresse, et se mit d'abord à genoux et embrassa les lèvres intimes de sa Reine, et les léchas avec passion et gloutonnerie. Ilinia rejoignit donc l'autre bout du lit et invita sa Reine à se coucher. Elle présenta sa bite, la collant sur le visage avec une certaine réserve et timidité.

-Ma... Ma Reine... vous... vous pouvez lécher ma.... bite ?

Malgré qu'elle soit devenue une femme libidineuse décomplexé et sans tabou, elle avait toujours en elle, cette personnalités de timide, tout comme Rinko était la meneuse et Ania était la plus entreprenante. Un trio pour satisfaire leur Reine, en gardant une part de leur originalité pour ne pas être de bête poupée décérébré. Abathur faisait un bon travail, car à force de s'introduire dans les parties du cerveau de Shiranui-02 et de faire ses manipulations, il débloqua l'entièreté de la mémoire de cette dernière, brisant les manipulations mentale et rétablissant certaine connexions, du à des drogues et des hypnoses, au point de dévoiler la personne dont le visage était absent. C'était une femme, aux cheveux long et noir, l'air froid et hautain, qui lui était inconnue dans l'immédiat, mais il retrouva dans les tous premiers souvenir, l'identité de cette personne : Natacha Von Hertziel.

Et ces fameux souvenir, remontaient jusqu'aux 6 ans de Shiranui, où Natacha était son médecin traitant, dates aux premières manifestation de Shiranui-2. C'était tout les souvenirs bloqué, verrouillé, caché, que Abathur avait finir par remonter à travers tout les blocages mentales. Natacha, outre faire son véritable travail de médecin, elle était déjà sur Shiranui-2. Des examens cérébraux principalement, suivant l'évolution, faisant des injections et des séances pour lui faire oublier tout cela. Puis elle disparue de leur vie vers leur 10 ans, avant de réapparaître à la fondation de la Delta S, poursuivant ses analyses, faisant comme si elle ne l'avait jamais vue, prétextant être simplement là pour assurer leur bonne état de santé.

Elle dévoila rien de concret, juste du blabla scientifique devant pareille curiosité, comme évitant sciemment de donner des informations trop sensible. Abathur pouvait devenir que Natacha évitait que Shiranui-2 ne puisse garder en mémoire quoi que ce soit de compromettant, de sensible, car Natacha avait actuellement le même schéma de réflexion que Abathur, pour comprendre l'état de Shiranui, mais qu'elle était vaseuses, imprécise et qu'elle restait floue sur certaine partie. Une réflexion logique dirait que c'est pour que Shiranui-2 ne puisse rien tenter contre elle ou ne découvre quoi que ce soit.

Mais une réflexion plus fantasque, dirait qu'elle s'assurerait que personne ne puisse rien découvrir. C'est complètement idiot dira t-on. Mais on pouvait y penser, quand Natacha regardait droit dans les yeux Shiranui, en disant : « vous n'en saurez rien, pas avant que je le juge nécessaire, dans votre intérêt. »

En compagnie de ses trois concubines, Sarah était comblée. Ilinia, Rinko, et Ania… Ironiquement, le premier critère retenu par Kerrigan pour les choisir avait été leur combinaison. Des combinaisons roses, en harmonie avec la couleur violette de sa carapace chitineuse. Elle comptait les enfanter toutes les trois. C’était ce qu’elle avait annoncé, et ce qu’elle comptait faire. Couchée sur le lit, elle sourit doucement en voyant les trois femmes se déplacer. Elles devaient choisir les positions, et Sarah s’amusait beaucoup de voir qu’elle avait su conserver leurs personnalités tout en les convertissant à sa cause. Entre elles, il y avait Rinko qui les menait, Ania qui était perverse, et Ilinia qui suivait docilement. Même si les trois femmes étaient désormais délurées et appelées à faire régulièrement et frénétiquement l’amour, elles avaient développé entre elles une alchimie saine que Sarah comptait bien préserver. Elles choisirent donc, et Sarah se redressa, finissant à quatre pattes.

Ania palpait ses fesses, mais Rinko commença par se déplacer sous Sarah. Elle lui caressa les épaules, et les deux femmes s’embrassèrent brièvement, avant que des tentacules ne sortent de la chatte de Sarah. Ils s’enroulèrent autour de la verge de Rinko, et la guidèrent ainsi vers son intimité. Elle soupira en sentant ce membre massif s’enfoncer en elle, et, dans son dos, Ania palpa ses fesses, les écartant l’une de l’autre, avant de la pénétrer en soupirant.

« Hmmmm… Là, mes belles ! »

La Reine ne pouvait qu’aimer ça, bien sûr ! Et, devant elle, Ilinia se rapprocha, empoignant doucement ses cheveux. Plus gênée que les autres, elle demandait à sa Reine si celle-ci ne pouvait pas la lécher avant de la sucer. Sarah, sentant les deux verges remuer en elle, esquissa un léger sourire enjoué. Elle frotta son nez contre la verge d’Ilinia, et remonta sa langue dessus, la léchant doucement, avant de l’embrasser. Elle lécha donc ce joli membre, contre son visage.

« Tu-Tu aimes ça, hein, petite perverse ? Que je prenne mon temps avec toi… Moi, j’aime la sentir… Bien grosse et tendue… Comme ça ! »

Elle la lécha encore, la faisant se redresser, et frotta son visage dessus, jouant avec amour, s’amusant de cette belle queue assoiffée.
Abathur constata vite le conflit au sein de l’esprit de Shiranui. « Shiranui-02 », la personnalité douce de Shiranui, l’intéressait davantage que « Shiranui-01 » En sondant les souvenirs de Shiranui, il vit que cette femme géante avait subi une série de tests et d’expériences scientifiques et génétiques organisés par une scientifique uatéenne, Natacha Von Hertziel. Abathur essaya d’en savoir plus, mais la résistance de l’esprit de Shiranui était trop forte. Il avait déjà pu observer cela avec certains traumatismes violents. Aussi talentueux soit-il, Abathur se heurtait parfois à l’incroyable résistance du cerveau humain. Il constata vite que, s’il cherchait à forcer, il risquait de transformer Shiranui en légume, de déchirer son esprit, et de perdre également tous les éléments qu’il recherchait.

« Essai concluant. Libération du sujet. »

Le technogénéticien avait obtenu ce qu’il voulait, et les tentacules se retirèrent peu à peu du corps de Shiranui. Il la relâcha ensuite, et la femme tomba dans le bassin génétique qu’Abathur utilisait pour ses expériences. Shiranui se retrouva dans le bassin, et des tentacules supplémentaires l’attrapèrent, la ramenant en un endroit plus agréable.

Natacha Von Hertziel… Abathur diffuserait ces informations à sa Reine, elle en ferait grand usage.