Shani et Kim besognaient Iori avec passion. Pour la jeune femme, qui avait rejoint le lycée sans faire partie du personnel, c’était une « punition » intense ! Kim n’avait rien à envier à Shani en terme d’efficacité sexuelle. Iori put même sentir Kim redoubler de vigueur quand Saya commença à titiller son fondement. La Japonaise frémit, et mordilla le creux du cou de Saya, en bandant ses muscles. Shani et Kim étaient complémentaires, elles faisaient l’amour avec Iori avec une complémentarité et une symbiose qui portaient Iori aux nues. Celle-ci ahanait, gémissait, et, entre deux soupirs, rappelait à «
Madame Kim » qu’elle pouvait la baiser aussi longtemps qu’elle le voudrait. Le propos amusa Kim, qui embrassa alors Iori sur les lèvres.
«
Croyais-tu vraiment que j’envisageais autre chose, petite catin ? »
De son côté, Shani y allait aussi. Elle avait l’habitude de se faire prendre, plus que de pénétrer les autres, mais Iori n’y verrait pas la différence ! Secrétaire au lycée Jinmu, il fallait autant savoir s’offrir aux professeurs que de punir les élèves récalcitrants. Shani s’enfonçait donc dans le fondement de Iori, s’appuyant sur ses seins, et sentait peu à peu sa verge s’enfoncer jusqu’à la garde. Iori était finalement à la hauteur de ce qu’on pouvait imaginer des Seishi, elle tenait la route ! Évidemment, tout cela en ven ait à négliger la pauvre Saya, qui demanda alors si les secrétaires avaient des jouets pour elle.
Shani hocha la tête, et libéra l’une de ses mains des délicieux seins de Iori-chan, et désigna une porte à proximité.
«
Ce-Cette porte mène à notre réserve. Les jouets sexuels confisqués… Hmmm… Ils sont dans l’armoire à rideaux. La clef… »
Shani déplaça sa main, et ouvrit un tiroir, puis sortit une clef, qu’elle jeta vers Saya.
«
À-À toi de choisir, ma jolie… »
La curiosité de Saya allait vite être comblée. La porte menant à la réserve n’était pas verrouillée. À l’intérieur, il y avait une fenêtre murale sur la gauche, et, au centre, une longue rangée d’étagères de rangement, abritant des dossiers multiples. Des armoires et autres étagères s’étalaient aussi le long des murs. L’armoire à rideaux se trouvait sur la droite. C’était
une grosse armoire, les rideaux s’écartant sur la droite et sur la gauche en glissant sur un rail. On y rangeait normalement des dossiers ou des fournitures de bureau, mais, ici, il y avait de nombreux
sex toys. Tous étaient-ils vraiment confisqués ? Ou était-ce plutôt la réserve personnelle du secrétariat ? Saya put y voir de nombreux plugs, des vibromasseurs, des
strap-ons, des cravaches, des fouets, des colliers, des menottes… Dans un carton, des flacons étaient là, avec des étiquettes. On pouvait voir que les flacons venaient d’une firme appelée «
GEOSEX », et permettaient d’avoir une verge, d’intensifier le désir sexuel, de s’allaiter, etc…
Parmi les objets, d’autres venaient aussi de la fameuse firme GeoSex, bien qu’il portât un nom un peu différent : «
GEOTOY ». Il y avait notamment un
strap-on noir qui semblait venir d’un quelconque futur sexuel. L’appareil disposait de vibromasseurs internes, et Saya pourrait voir qu’il était posé sur une station de chargement. L’objet donnerait à son utilisatrice la sensation d’avoir une véritable verge, grâce à une nanotechnologie futuriste. L’appareil absorbait la mouille et l’utilisait à l’intérieur de sa verge artificielle pour la convertir en sperme. Il se reliait aux terminaisons nerveuses du corps, et, partant de là, au système nerveux de l’utilisatrice. Le nom de l’appareil était incrusté sur le côté et à l’intérieur : «
VIBROX 2000 ».
Quel appareil Saya allait-elle choisir ?