The Multiversity

Sous les coups de reins puissants et soutenus de Katherine, Usagi ne put que jouir La F-Girl sentit avec délectation sa belle queue se tendre, et elle le masturba encore, secouant son membre dans des bruits spongieux Il jouit ensuite contre la porte, et soupira longuement, visiblement heureux… Et sembla indiquer à Katherine en avoir fini. La F-Girl sourit, et pinça l’un de ses tétons.

« Typique des hommes, hmmm… Tu viens de jouir, et tu penses que tout est fini ? Mais Maman Katherine a encore sa grosse queue nichée dans ton petit cul… »

Le rendez-vous d’Usagi avec Charlie allait devoir attendre que Katherine se vide en lui ! De toute façon, rien n’échappait à l’œil de Charlie ici ! Katherine grogna doucement, et continua à le sodomiser. UIsagi ne pouvait que constater combien chaque F-Girl était endurante. Le spectacle était très impressionnant, et Katherine continua à le baiser avec force. Usagi se faisait encore prendre, et sentit son érection revenir.

« J’adore défoncer les culs des mecs, hmmm… Tu es ma petite pédale, mon lapinou-chéri, ma petite salope personnelle ! »

Katherine arrivait dans la même phrase à mélanger le mignon et l’injure. Elle l’embrassa dans le creux du cou, puis finit par le retourner. Usagi pouvait lui faire face, sa queue remuant de haut en bas, la verge massive de Maman Katherine dans le cul. Elle l’embrassa alors, et continua à le prendre comme ça, debout. Usagi put même jouir une deuxième fois, éclaboussant le ventre de Maman Katherine. Katherine finit ensuite par jouir, inondant au bout d’une bonne demi-heure de sodomie intense le cul de son partenaire. Elle jouit abondamment dans son fondement, grognant sur place, bandant ses muscles, l’écrasant contre elle. Ses seins s’aplatirent sur son visage, et elle l’écrasa contre la porte vitrée, l’étouffant à moitié tout en se vidant copieusement en lui.

Maman Katherine se retira enfin du fondement déformé d’Usagi. L’eau avait cessé de couler dans la cabine, et elle soupira avec plaisir, avant de l’embrasser encore.

« Merci, Petit-Lapin… Ton délicieux petit cul risque encore de beaucoup servir, tu sais… »

Sur cette promesse, la porte s’ouvrit. Dehors, Usagi put voir que deux femmes l’attendaient, deux F-Guards. Elles étaient les assistantes et les agentes de sécurité des lieux, des femmes recouvertes d’une combinaison de latex. Elles avaient apporté ses vêtements, ainsi qu’une nouvelle culotte, consistant en une culotte noire en latex avec un plug anal rose.

« Tous les mâles doivent porter ça.
-  Nous allons vous habiller, et vous guider au bureau de Madame Zarast, pour votre rendez-vous. »

Il n’avait pas vraiment le choix. Elles lui enfilèrent sa culotte, puis le guidèrent, chacune en le tenant par la main, et l’habillèrent dans les vestiaires. Usagi fut habillé avec un beau costume blanc, et avait même une cravate. La culotte qu’il portait avait une autre particularité que le plug, elle s’ouvrait sur le devant en cas d’érection de son porteur. Une fois habillé, Usagi fut guidé. Les F-Guards furent interrompues en cours de route par une F-Girl qui palpa les fesses de l’une d’entre elles, la faisant gémir, et une autre se fit ensuite prendre par une autre F-Girl, qui la plaqua contre le mur, et la pénétra sans ménagement. L’intéressée gémit en se laissant faire, et une once d’envie se lut dans les yeux de l’autre, qu’elle réprima vite. Ici, les F-Girls faisaient la loi, et Usagi pouvait le constater à chaque moment.

Le duo rejoignit donc un ascenseur. La F-Guard qui le guidait se montrait un peu plus froide avec lui qu’avec les autres membres du personnel, sans doute en raison de sa masculinité.

« Les bureaux de Madame Zarast sont en-haut, au-dessus de la direction. »

Elle appuya sur un bouton, et l’ascenseur s’éleva. Sur un panneau tactile, une voix diffusait des annonces publicitaires sexuelles, vantant les produits commerciaux de la Fut-Corp. Straps-ons, pilules d’hermaphrodisme, combinaisons sexuelles… La Fut-Corp disposait de toute une gamme de produits dérivés. L’ascenseur s’arrêta ensuite, dans les derniers étages de la tour. Elles traversèrent un grand couloir aux murs roses, avec des tableaux érotiques, et rejoignirent une première porte qui menait au bureau de la secrétaire de Charlie. Celle-ci n’était toutefois pas là, ce qui interpella la F-Guard, qui toqua à la porte du bureau de Charlie… Laquelle s’entrouvrit…

…Et, une fois à l’intérieur, on put comprendre la raison de cette absence. Charlie Zarast était bien là, mais elle était occupée à sodomiser Roxy, sa secrétaire, contre la fenêtre. La F-Guard allait partir, mais la voix de Charlie résonna brusquement, dos tourné au duo.

« Ne pars pas, ma jolie. Installe notre invité devant mon bureau, sur l’un des fauteuils, et suce-le…
-  Maî-Maîtresse, je… Haaaa… »

Roxy avaitr du mal à parler, tandis que la puissante verge de Charlie, qui se tenait en sous-vêtements, la labourait avec force… Pour Usagi, le ton était donné !

Je pensais que Katherine avait eu son compte mais d’après elle je suis le seul à avoir eu mon plaisir pour l’instant. Mon rendez-vous allait devoir attendre qu’elle se vide en moi. Je me fais donc encore baiser avec force pendant de longues minutes, la F-Girl enfonçant profondément son membre viril dans mon cul de « petite pédale » comme elle dit. Au bout d’un moment elle me retourne pour que je lui fasse face pendant qu’elle me pilonne.

« Aaahhh... maman... Katherine... AAAHHH ! »

Je jouis une deuxième fois avant que Katherine ne fasse pareil, inondant mon cul avec son foutre tout en m’étouffant à moitié dans sa poitrine. Après ça elle me relâche et s’en va en me promettant que mon cul servira encore.

« Aaahhh... j’attends... ton retour... maman Katherine. »

Quand je sors de la douche, deux femmes entièrement vêtues de latex m’attendent avec les vêtements que je vais porter pour mon rendez-vous. Le costume et la cravate je comprends, mais quand je vois la culotte avec le plug anal rose je commence à me poser des questions... avant de me rappeler que tout ici tourne autour du sexe. Et en particulier la sodomie j’ai l’impression.

« Très bien, je vous suis. »

De toute façon, après avoir été baisé comme je l’ai été, ce n’est pas une culotte et un plug qui vont me refroidir. Les F-Guards m’accompagnent jusqu’aux vestiaires et m’habillent. Je frémis un peu en sentant le plug anal entrer dans mon fondement mais Katherine a bien préparé mon cul, il entre sans peine.

Une fois habillé je suis les F-Guards qui doivent m’escorter jusqu’au bureau de la directrice mais elles sont arrêtées en chemin par des F-Girls qui ont envie de les baiser. Elles n’ont même pas besoin de demander, elles prennent ce qu’elles veulent. Finalement je suis quand même amené jusqu’à l’ascenseur mais je sens bien que la femme qui m’accompagne est frustrée de ne pas avoir pu rester pour s’envoyer en l’air.

Pendant que l’ascenseur monte, une voix diffuse des annonces publicitaires sexuelles, vantant les produits commerciaux de la Fut-Corp. Straps-ons, pilules d’hermaphrodisme, combinaisons sexuelles… La Fut-Corp dispose de toute une gamme de produits dérivés. Je me demande si j’aurai l’occasion d’en essayer certains.

Une fois arrivé nous sortons de l’ascenseur et nous traversons un grand couloir aux murs roses. Ces murs sont décorés avec des tableaux érotiques très explicites, dont certains sont si bien faits qu’on dirait plus des photos que des tableaux. J’arrive à lire le désir et l’extase sur le visage des modèles. Nous passons la porte du bureau du secrétariat mais il n’y a personne. La F-Guard va toquer à la porte qui s’entrouvre et dévoile la présidente de Fut’Corp, Charlie Zarast, en sous-vêtements, occupée à sodomiser Roxy, sa secrétaire.

On tombe mal ou c’est toujours comme ça ici ?

La F-Guard allait partir mais sa patronne lui dit de m’installer devant son bureau et de me sucer. J’ai envie de répondre que ce n’est pas nécessaire mais je ne vais pas contredire ma future employeuse. Je laisse donc la F-Guard me faire asseoir sur le fauteuil en face du bureau et elle se met à genoux devant moi. En un éclair je me retrouve sans pantalon et elle caresse mon chibre par-dessus ma culotte.

« Hhhmmm... »

Il ne me faut pas longtemps pour avoir une érection et je découvre que ma culotte s’ouvre sur le devant quand je bande. Une fois érigé j’ai droit à une bonne fellation de la part de la F-Guard.

« Ooohhh... »

Et pendant que je reçois ce plaisir je réalise que cette culotte a une autre fonctionnalité surprise : le plug logé dans mes fesses commence doucement à vibrer. Un petit massage prostatique qui rend ce moment encore meilleur. Ne sachant pas quoi faire en attendant de jouir je regarde vers Charlie. La présidente de Fut-Corp est une femme splendide, mélangeant harmonieusement des attributs de charme féminins et masculins. J’ai du mal à me faire une idée vu qu’elle est en train de baiser mais le volume de sa poitrine et la rondeur de ses fesses doivent être proportionnels à la taille de sa bite. Et quand je vois la vigueur et l’énergie dont elle fait preuve, ainsi que la sueur qui perle sur sa peau... j’ai envie de la sentir en moi. J’ai envie qu’elle me défonce le cul comme elle le fait avec sa secrétaire en ce moment. Homme ou femme je m’en fiche, je veux qu’elle m’encule comme si j’étais sa pute.

« PPYYOONN ! »

Je finis par jouir dans la bouche de la F-Guard. J’espère qu’elle va continuer, j’ai encore envie de regarder Charlie faire l’amour.

La F-Guard s’attaqua donc à la verge d’Usagi. L’intéressé se mit à soupirer, ayant droit à un spectacle des plus alléchants… Du porno en direct ! Et quel porno… Devant lui, la puissante Charlie, « Tata Charlie », sodomisait avec force une autre F-Girl. Et on pouvait comprendre son excitation, car Charlie était l’une des plus puissantes F-Girls, l’une des plus endurantes… Elle était la patronne, après tout ! Et, pour une patronne, elle s’impliquait beaucoup dans son boulot. Roxy était son assistante, et ladite assistante se faisait régulièrement prendre par Charlie. Usagi pouvait ainsi constater l’omniprésence du sexe au sein de la Fut-Corp, mais cela ne semblait pas le gêner, bien au contraire. Ses yeux se détachèrent bien vite de la séduisante F-Guard occupée à le pomper pour se focaliser sur le spectacle offert devant lui. Le corps puissant et rutilant de Charlie remuait contre le corps de Roxy, malmenant cette dernière. Une beauté d’ébène qui ne portait plus que ses collants et un court bustier sur son ventre, entre ses seins et sa verge proéminente.

« Hmmm… !! »

Charlie faisait preuve d’une endurance incroyable, même pour une F-Girl. Pendant toute la période où la F-Guard s’attaqua au pénis d’Usagi, le suçant avec appétit, Charlie ne ralentit guère le rythme de ses coups de reins. Ce qu’elle faisait subir à Roxy était aussi délicieux qu’effrayant. Charlie n’hésitait pas à la gifler, à pincer ses seins, et l’amenait même à se redresser, venant l’embrasser. La F-Guard put ainsi sentir la verge d’Usagi se durcir. Même malgré tous les orgasmes qu’il avait eu, ici, au sein de la Fut-Corp, il retrouvait très rapidement sa virilité, sa superbe. La F-Guard le suça donc, encore et encore, relevant et abaissant sa tête, gémissant sur place. Sa combinaison crissait doucement tandis que, dans sa chatte, un gode vibrait chaudement. Elle disposait aussi d’un plug dans ses fesses, cela faisait partie des accessoires indispensables de la combinaison. Et, si Usagi était fasciné par le spectacle de Charlie, c’était aussi le cas des F-Guards, qui rêvaient toutes de se faire besogner comme ça.

Tata Charlie continuait donc, maltraitant le cul de Roxy, qui s’était mise à jouir contre la vitre, couinant et gémissant longuement. Usagi jouit également, et la F-Guard avala avec appétit son sperme. Elle sentit la queue d’Usagi décroître, et la libéra de sa bouche, venant lécher ce membre comme une glace, l’embrassant aussi. Sauf contrordre, la F-Guard comptait bien continuer à s’attaquer à cette queue. C’était sa mission, après tout ! Tandis qu’elle s’amusait, Charlie finit par reposer Roxy sur le bureau, et regarda alors Usagi. Sa secrétaire couinait en s’agrippant au rebord du bureau, et sentit les coups de reins puissants de Tata Charlie dans son cul, la faisant gémir encore.

« Alors… Hmmm… U-Usagi, c’est ça ? Tu as envie de devenir une fille, c’est bien ça ? Est-ce que ce que tu vois jusqu’ici te plaît ? Car, si tu rejoins notre programme… Hmmm… Ce sera désormais ton quotidien ! »

Une perspective sans doute très excitante, non ?

C’est comme se faire sucer en matant un porno. Et quel porno ! Charlie est d’une puissance et d’une vigueur redoutable, son corps bronzé et rutilant tape vigoureusement contre celui de Roxy à chaque coup de reins. Elle n’hésite à pincer les seins de sa secrétaire, à lui mettre des claques sur le cul, à la faire couiner comme une truie... Bientôt ce sera ça mon quotidien : me faire sauter sans retenue par les F-Girls, à toute heure et chaque jour selon leur bon vouloir. Tous mes orifices seront remplis par leur sperme chaud, elles me feront aussi utiliser mes mains et mes seins. Et en échange, je profiterai de tout le confort qu’une grande société uatienne peut offrir. En voyant comment Charlie s’y prend mes doutes et mes craintes précédentes s’évanouissent peu à peu. Je vais être bien ici.

Charlie finit par repousser Roxy sur son bureau et me demande si j’aime ce que je vois, ce qui sera mon futur quotidien si je décide de rejoindre leur programme.

« Aaahhh... bien sûr que ça me plaît. Même cet entretien... est un bonheur. »

J’imagine que mêler le sexe aux activités d’entreprise est quelque chose de répandu à Uatis, mais je ne sais pas si d’autres sociétés font aussi bien que Fut’Corp. Se faire sucer par une beauté tout de latex vêtue pendant qu’on peut regarder la patronne baiser sa secrétaire... c’est vraiment le pied.

« J’ai hâte de vous rejoindre... pour pouvoir me faire baiser aussi bien... ooohhh... que Roxy. »

Puisque je suis là, je pourrais en profiter pour interroger la patronne au sujet de certaines choses. Après tout c’est censé être un entretien.

« J’aimerais juste vous poser... hhhmmm... quelques questions.
Les scientifiques de votre entreprise... devaient procéder à des analyses de sang... ooohhh... pour voir s’il n’y avait pas d’incompatibilité avec le F-Gen. Est-ce que vous savez... aaahhh... ce que ça a donné ?
Et si jamais... le F-Gen ne peut pas me changer en femme... est-ce que je pourrais au moins... devenir un F-Boy ? PPPYYYOOONNN ! »

Un autre orgasme. Décidément cette F-Guard est une redoutable suceuse.

« Depuis que je suis arrivé... des F-Girls m’ont baisé plusieurs fois. Être dans cette position avec un corps d’homme... c’est un plaisir différent... mais ça reste du plaisir. Si le F-Gen ne fonctionne pas comme espéré... j’aimerais quand même rester chez vous. »

Pour avoir une chance de coucher avec une beauté comme Charlie, je suis prêt à être un F-Boy.

Charlie faisait preuve d’une endurance incroyable, même pour une F-Girl ! Elle prenait Roxy avec vigueur, et ce spectacle était loin de laisser Usagi indifférent. Il avait beau avoir joui, le désir éclatait en lui, et, nerveux, il demanda à Charlie si son sang avait pu être examiné. Il expliqua en effet que son sang avait quelque chose de spécial, quelque chose qui pourrait potentiellement parasiter l’expérience visant à le changer en femme. Et, dans la droite lignée de cette demande, il indiqua être prêt à devenir un F-Boy si on ne pouvait pas le changer en fille, son seul souhait étant de pouvoir rester ici. Charlie, qui continuait à sodomiser sa secrétaire, sourit doucement, et attrapa les cheveux courts de Roxy, la forçant à relever la tête.

« Dis-moi, petite salope ?
-  Maî-Maîtresse, vous… Vous me prenez trop f-fort… ! »

Sa supplique amena comme réplique une grosse claque qui résonna sur son cul.

« Ne fais pas ta timide, sale chienne ! Est-ce que tu as bien amené les échantillons sanguins de notre invité au laboratoire ?
-  Haaaa… O-Oui, Maî-Maîtresse ! Co-Comme vous… Haaa… Comme v-vous l’avez de… De-Demandé !
-  C’est bien, tu n’es pas si incapable que ça, alors… »

Charlie l’embrassa sur le crâne, puis elle se redressa, et plaqua à nouveau le corps de Roxy contre le bureau, et donna des coups de reins plus violents dans son cul, faisant trembler le bureau, qui grinçait sous les puissants coups de reins de la F-Girl. Usagi finit par jouir, mais, avant que la F-Guard ne puisse avaler ce sperme, Charlie siffla, et lui intima de venir lui apporter ce liquide. Alors, docile et obéissante, l’intéressée se redressa. Bouche fermée, joues gonflées, elle contourna le bureau, et sentit la main de Charlie se poser rapidement sur ses fesses, giflant son cul avant de le pincer, pressant par ce biais le corps de la F-Guard contre elle. Charlie l’embrassa ensuite, penchant la tête vers elle, et la F-Guard put déverser le contenu de ce sperme dans la bouche de Charlie, qui prolongea ensuite volontiers le baiser.

Après avoir bu, Charlie repoussa la F-Guard, et fit signe à Usagi de se mettre à la place de la F-Guard, soit contre le corps de Charlie. Sans doute un peu nerveux, le jeune homme obtempéra, entendant les couinements et soupirs de Roxy. Et, quand il fut mis en position, il sentit à son tour la main ferme et agréable de Charlie se poser sur ses fesses.

« Un beau petit lapin comme toi… Aura toujours sa place ici… Que ce soit en lapine ou en lapin. Maintenant, demande à Roxy combien de temps le laboratoire va mettre… Et sois poli, c’est une pute, mais c’est ma pute. Pour toi, elle t’est supérieure, hmmm… »

Il allait donc devoir dire « Madame » et « s’il-vous-plaît »… Un peu de tenue, tout de même !

Quand je vois l’énergie et la passion que Charlie met dans sa baise, je me dis que je dois être embauché ici. Même si mes chances de pouvoir coucher avec la patronne sont minces, elles seront toujours plus grandes que si je refusais le poste parce que le F-Gen ne peut pas me transformer. Du coup, peu importe que je sois une femme ou un F-Boy, il faut que ça marche. La PDG interroge son assistante, qui confirme que mes échantillons de sang ont bien été analysés, puis elle se remet aussitôt à la baiser. Evidemment, devant un tel spectacle et la F-Guard qui continue à me sucer, je jouis une fois de plus.

« Aaahhh ! »

Mais cette fois la F-Guard n’avale pas tout immédiatement. A la place Charlie lui demande de lui amener mon sperme. Je la regarde pincer les fesses de son employée, presser son corps contre le sien et l’embrasser pour avaler le sperme.

Quoi qu’elle fasse, elle est sexy. Comment elle fait ?

Après ce baiser gluant Charlie me fait signe de venir à la place de la F-Guard. J’appréhende un peu de me retrouver si près d’une femme si sexy mais je ne réfléchis même pas avant d’obéir. Une fois installé je sens la main ferme de ma future patronne contre mes fesses et je couine un peu. Elle veut que je demande à Roxy combien de temps le laboratoire va mettre pour avoir des résultats, mais je dois le faire poliment. Les femmes et les F-Girls sont supérieures ici.

« Hhhmmm... d’accord.
Madame Roxy... est-ce que vous pouvez me dire... hhhmmm... combien de temps va mettre le laboratoire pour avoir les résultats... s’il-vous-plaît ? »

Je n’arrive pas à croire que ce soit un entretien. Je suis collée à la PDG de Fut’Corp qui me palpe les fesses pendant qu’elle baise sa secrétaire, mon érection est visible de tous grâce à la particularité de ma culotte et le plug que j’ai dans les fesses continue de vibrer. Franchement, le spectacle est tellement excitant vu d’aussi près que ça ne m’étonnerait pas si je jouissais juste en regardant.

À ce stade, la seule chose qu’on pouvait raisonnablement sentir pour Roxy, c’était une jalousie dévorante et croissante. Le spectacle que Charlie offrait était assurément impressionnant ! Les F-Girls étaient des femmes très endurantes, mais il y avait aussi chez Charlie cette autorité naturelle, sexuelle, qu’elle imposait. Elle défonçait méthodiquement le cul de sa secrétaire, tout en étant capable de tenir un entretien. Elle n’était pas la patronne pour rien ! Charlie palpa les délicieuses fesses d’Usagi. Nerveux et gêné, le bunny boy se pressa contre Charlie, qui sentit avec délectation une belle érection déformer son sexe. Ce spectacle excitait plus que de raison le jeune homme, qui peinait à en trouver ses mots. Le bureau de Charlie s’emplissait du coup strident et puissant des coups de reins de Charlie, ponctué des couinements de Roxy, voire de ses hurlements quand Charlie n’hésitait pas à la gifler. De grosses claques bien sonores qui émoustillaient les F-Guards, qui espéraient juste se faire baiser ensuite par l’une des deux femmes. Car, même si elle tenait le rôle de soumise, Roxy n’en restait pas moins une F-Girl, qui pouvait vous défoncer le cul avec la même hargne que les F-Girls qu’Usagi avait déjà pu croiser !

Roxy couina doucement, et répondit à Usagi, entre deux soupirs :

« Je… Haaa… De-Demain, hmmm… U-Usagi devra… Hmmm… Maîtresse, votre queue est si grosse… »

Une fessée interrompit la tirade de Roxy.

« Pas de flatteries, salope, contente-toi de répondre à la question posée !
-  Oh… Pa-Pardon, Maîtresse ! Je… Haaa… Usagi devra dormir ici… Cette nuit… »

La main de Charlie se crispa sur l’une des fesses d’Usagi, et elle tourna sa tête vers lui, lui souriant alors tout doucement.

« C’est vrai, hmm… Tu es bien trop mignon pour qu’on te laisse partir si facilement. »

Les doigts de Charlie titillèrent ensuite son plug anal, et elle sourit brièvement.

« Et tu bandes encore… Tu es très endurant, mon mignon. Tata Charlie va te faire un cadeau… Viens téter mon sein, il est plein de lait. Quand j’en aurai fini avec Roxy, c’est toi que j’enculerai.
-  Haaa… »

Usagi n’aurait en soi aucune difficulté à accéder aux volumineux seins de la patronne. Charlie regarda ensuite la F-Guard, et, pour éviter une crise de jalousie, lui ordonna de venir lui téter l’autre sein. Celle-ci, qui mouillait sur place, se dépêcha de venir, tremblant elle aussi d’excitation.

« Elle, c’est Roxy qui va la baiser ensuite… Je suis curieuse de voir si mon petit bunny-boy va tenir plus longtemps que l’une de nos F-Guards… » soupira lentement Charlie.

Roxy a du mal à parler tandis qu’elle se fait baiser par sa patronne, et je la comprends. Entre deux compliments sur la taille du sexe de Charlie, elle m’explique que les résultats seront disponibles demain et que je dois rester ici cette nuit. Et Charlie, tout en me palpant les fesses, ajoute que je suis bien trop mignon pour qu’on me laisse partir.

« Hhhmmm... merci madame. »

Sur le coup j’hésite à l’appeler maîtresse mais je ne sais pas si ça serait bien vu. Par contre, quand elle me demande de venir téter le lait de son sein, je n’hésite pas une seconde et je me jette sur sa mamelle. La F-Guard qui m’a sucé un peu plus tôt vient sur l’autre mamelle. Après ça je me ferai prendre par la patronne tandis que la F-Guard se fera baiser par Roxy. Bref, cet entretien va prendre une tournure de partouze.

« Mmmhhh... »

Le lait de Charlie est délicieux. Chaque gorgée me donne envie d’en prendre une autre, et plus je bois plus je sens que j’ai chaud partout. Tout mon corps s’excite par le seul fait que je suis en train de téter ma future patronne. En plus elle continue à jouer avec mon plug anal, de quoi me faire bander encore plus fort. Je prends mon pied et je n’ai même pas encore la queue de Charlie dans le cul. Quand ça va arriver, je sens que je vais exploser.

J’espère qu’elle me donnera une fessée tout en me sodomisant. J’adore quand les futas font ça.

En tant que papillon au Lys je me suis déjà fait enculer plus d’une fois, et quand mes amantes se mettaient à me claquer les fesses tout en me prenant c’était toujours le pied intégral. Les sensations seront sûrement différentes avec un petit fessier d’homme plutôt qu’avec ma séduisante croupe rebondie de femme, mais je suis sûr que ça me plaira quand même.

Quand j’ai fini de boire au sein de Charlie, je sens que j’ai un peu la tête qui tourne. Il y a quelque chose dans ce lait qui trouble mes sens, et qui les exacerbe en même temps. Je sens mieux le parfum de la patronne, une odeur envoûtante mêlant fragrances florales et odeur primale de phéromones. Et quand sa main presse mon derrière, la sensation est plus forte qu’avant.

« Aaahhh... »

Je suis fin prêt à me faire prendre comme une lapine en chaleur.

Coucher avec Charlie était indéniablement un grand honneur, mais aussi quelque chose d’imposant et d’épuisant. Usagi était contre le corps de Charlie, et se mit à téter son sein avec appétit, ne tardant pas à y trouver son plaisir. Usagi frémissait contre elle, et la main de Charlie se crispa sur ses fesses, pressant sans vergogne son plug. Quelle recrue formidable ! Un amant fabuleux que Charlie souhaitait garder, assurément ! Elle soupirait donc en le sentant avaler son lait avec soif, avec envie, sa verge se redressant furieusement.

« Hmmm… Tu as l’air vraiment très excité, mon petit lapin. Le bon lait de Tata Charlie ne te laisse pas de marbre… »

Le même constat pouvait s’établir avec la F-Guard occupée à téter son autre sein. Celle-ci avait la chatte en feu, et devait être aussi impatiente que Usagi à l’idée de se faire prendre. Elle aurait droit à Roxy, et, même si celle-ci se faisait prendre par Charlie, elle n’en restait pas moins une F-Girl, une femme qui risquait même de se montrer plus énergique que Charlie, tant elle aurait besoin de rappeler son autorité aux F-Guards. De plus, elle se faisait soumettre devant un homme, ce qui restait tout de même une certaine forme d’humiliation !

Charlie soupira encore, et finit par s’abandonner dans le cul de Roxy. Un délicieux orgasme qui la traversa de part en part. Tout son corps se relâcha, et elle soupira en jouissant fortement, crachant sa semence dans l’agréable cul de sa partenaire.

« Ohh… ! »

Un sourire sur les lèvres, Charlie se retira du fondement de Roxy, et se retourna vers Usagi. Il avait bien bu son lait, et le jeune homme en était tout excité. Cette excitation, Charlie la percevait, et cela l’enivrait, la stimulait.

« Tu es prêt, mon mignon ? Parce que c’est à toi… »

Charlie lui sourit, et se montra soudain plus ferme. Sa main se raffermit sur le cul de Usagi, et elle le poussa sur le bureau, le couchant sur le ventre. Les deux solides mains de Charlie se posèrent ensuite sur son bassin, et elle soupira lentement en se mettant derrière lui. Sa main palpa ses fesses, et elle donna une belle gifle, qui fit sursauter Usagi. Le rythme était donné, et Charlie était bien décidée à agir comme elle l’entendait. Sa verge caressa le fondement de son partenaire, et elle frémit encore, titillant sa porte arrière.

« Je vais te défoncer le cul… » énonça-t-elle simplement.

Puis, en soupirant, Charlie s’enfonça en lui, commençant sa sodomie, en lui donnant une nouvelle fessée…

Après que Charlie ait joui dans le cul de Roxy, elle annonce que c’est mon tour. D’un geste ferme elle me pousse sur le bureau, me couchant sur le ventre, et je sens ses deux mains palper mes fesses. Quand elle me met une gifle sur le cul je sursaute en couinant, et quand sa verge vient caresser ma porte arrière je frémis tout en remuant mon derrière. Sa dernière phrase est aussi sobre que délicieuse pour mes oreilles : « Je vais te défoncer le cul ».

« Aaahhh... oui maîtresse... défoncez-moi le cul... mon cul de petite salope. »

Je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça, ça m’est venu tout seul. Et quand Charlie s’enfonce en moi, je jouis aussitôt.

« Aaahhh ! »

Je sens ma queue qui tressaute tout en crachant sa semence gluante sur le bureau. Et ce n’est que le début. Charlie me baise avec puissance et intensité, je sens sa verge imposante et veineuse qui va et vient dans mon fondement, et elle me donne des fessées en même temps. C’est le pied intégral et je n’ai même pas à faire quoi que ce soit. Je laisse ma patronne faire ce qu’elle veut de mon corps, le plaisir me submerge et me fait tourner la tête. Je sens que je n’ai plus les idées claires et j’enchaîne les orgasmes tandis que mes sens se troublent.

« Pyyoonn... pyyoonn... »

En tournant un peu la tête je crois voir la F-Guard qui m’a fait une fellation se faire prendre par Roxy. C’a l’air d’être aussi bon pour elle que ce que je reçois de Charlie.

Au bout d’un moment je perds la notion du temps. Je ne sais pas s’il s’est écoulé dix minutes, une heure ou plus, mais je suis euphorique. Et tant que Charlie continuera comme ça, je continuerai à prendre mon pied.

Entre les mains de Charlie, Usagi n’était plus qu’un vide-couilles, un fucktoy vivant. Il allait vite constater que Charlie était une F-Girl redoutable. Inépuisable, infatigable, elle semblait avoir six poumons en elle. La belle noire le sodomisa sans difficulté, et, au bout de plusieurs minutes, s’enfonça jusqu’à la garde dans son cul. La douleur devait en être presque anesthésiante, et Usagi s’affala sur le bureau, jouissant dessus, salissant le beau bureau de Charlie, mais aussi son ventre. Charlie avait commencé à parler, et elle se concentra ensuite sur sa sodomie, qui fut longue… Très longue. Charlie ne semblait jamais devoir s’arrêter, et elle défonça méthodiquement le cul d’Usagçi, giflant fortement son cul de temps en temps. Roxy et la F-Guard faisaient copieusement l’amour de leur côté, berçant Usagi dans un océan de stupre, un cocon de luxure intense. Charlie le sodomisait avec une passion brutale, et, après plusieurs minutes, elle tira sur les cheveux du lapin, soulevant son buste, et relâcha la pression sur ses cheveux, avant de serrer encore, tirant en arrière, faisant couiner Usagi, le sortant de ses douces rêveries pour instiller en lui une forte douleur.

« Hmmm… Te voilà ta place… Les hommes… Vous êtes mal éduqués… On vous élève en vous faisant croire que vous devez dominer, alors que… Votre place légitime est comme ça, à vous faire sodomiser comme des chiens. C’est ce que tu es, hmmm… Un chien, un petit-chien qui va aboyer pour sa Maîtresse… Aboie, espèce de tantouze ! »

Les insultes homophobes fusaient, pour renforcer le côté violent et brutal de cette sodomie. Elle le giflait encore, et se déplaça à nouveau, s’écrasant sur le corps d’Usagi. Elle le plaqua sur le bureau, ses lourds seins s’enfonçant dans son dos, et on aurait presque pu entendre le bureau craquer. Elle le retourna alors, et écarta ses jambes, le sodomisant encore, l’enculant avec force… Et étrangla ensuite Usagi. Ses deux mains se posèrent sur son cou, et elle serra en le baisant, son corps filant d’avant en arrière, soulevant légèrement le bureau. Elle relâcha la pression sur son cou, et pinça l’un de ses tétons, avant de le fesser encore, les jambes relevées d’Usagi se ballottant autour du bassin massif de Charlie. Parfois, Usagi n’arrivait même plus à ravaler sa salive. À chacun de ses orgasmes, elle changeait de position. Il jouit comme ça, éclaboussant le ventre de Charlie, qui le releva alors, et le plaqua contre la vitre, où elle le sodomisa encore, grognant dans son dos, le baisant debout.

*FWAP ! FWAP ! FWAP !*

On pouvait entendre le son des corps qui se heurtaient, de la chair qui claquait contre la chair, de la queue de Charlie qui s’enfonçait lourdement dans le fondement d’Usagi. Oh, quelle force, quelle puissance ! Elle le décolla encore de la fenêtre quand il jouit dessus, et le prit en levrette sur le tapis au milieu du grand bureau, lui maltraitant encore le fondement. Ce n’est qu’à ce moment que Charlie se mit à jouir en lui. Son corps se crispa et sa queue tressauta, relâchant d’épais monceaux de sperme dans le fondement d’Usagi. Il pouvait alors peut-être penser que Charlie en avait terminé, mais, au contraire, la F-Girl continua à le besogner, le sodomisant avec force, encore et encore. Roxy finit par se remettre sur pied, remettant sa chevelure en place, ses vêtements, et offrit à Charlie une cigarette, tandis qu’Usagi était retourné sur le bureau, ce faisant à nouveau prendre. Dehors, la journée s’était bien avancée, puisque, quand Usagi retourna sur la fenêtre, le soleil commençait à se coucher.

Usagi avait passé toute la journée à se faire baiser sans relâche, et Charlie grogna contre lui, jouissant une ultime fois dans son cul.

« Tu es encore éveillé ? Très impressionnant, petit lapin… Est-ce que tu te rappelles au moins ton nom ? » gloussa-t-elle, en lui caressant le cou.

Elle l’avait giflé, frappé, battu, étranglé, griffé, et même mordu. Et elle venait de jouir encore dans son cul, Usagi ne touchant plus le sol pendant l’ultime orgasme de Charlie, qui lui remplit le ventre avec force, jouissant jusqu’à l’épuisement et la saturation de son estomac, faisant même enfler ce dernier !

Entre les mains de Charlie je ne suis plus qu’un vide-couilles, un jouet sexuel sur pattes. Elle semble inépuisable ; j’ai l’impression qu’on baise depuis plus d’une heure mais elle ne s’arrête pas, c’est à peine si elle ralentit. Il y a tellement de douleur mais aussi tellement de plaisir, ça explose dans ma tête comme un feu d’artifice. En bonne adepte de la philosophie uatienne, elle me dit que je suis à ma place légitime quand je me fais sodomiser comme un chien, et elle me demande même d’aboyer.

« Aaahhh... Waf, waf ! Wooof ! »

Charlie me fait l’amour dans diverses positions et c’est toujours aussi intense, mais ensuite elle commence à me faire vraiment mal, comme quand elle me tire les cheveux ou quand elle m’étrangle. A ce moment-là je suis assez revenu à moi pour me dire que c’est flippant mais elle ne va jamais trop loin, elle me fait juste assez mal pour que ça ponctue mon plaisir. Ca doit être un jeu pour elle, une façon d’affirmer son autorité pendant qu’elle me baise. Au final on prend tous les deux notre pied et personne ne se blesse, alors ça va.

Quand le sexe se termine la journée est déjà bien avancée. Charlie a joui une ultime fois dans mon cul et elle vient glousser dans mon oreille en me demandant si je me rappelle encore de mon nom.

« Aahh... aagghh... aaahhh... »

Je m’en rappelle mais je n’arrive plus à parler. Je suis dans un état second, incapable de bouger ou de m’exprimer, le ventre distendu par tout le sperme lâché par ces orgasmes de F-Girl à répétition, mais je suis encore conscient. A ce stade ça doit être un exploit. Même les nanites, qui sont censés être des armes de destruction massive, ne m’ont pas empêché d’être au bout du rouleau. Les F-Girls sont vraiment des prodiges... ou des monstres selon comment on voit la chose.

Dans mon état je suis à la merci de Charlie. Je suis curieux de voir ce qu’elle va faire de moi.

Charlie haletait fortement. Son corps était délicieusement en sueur, et elle devait bien admettre qu’elle s’était particulièrement fait plaisir avec lui ! Son petit lapin l’avait plutôt bien motivé, si bien que, quand elle commença enfin à ralentir le rythme, Usagi n’arrivait même plus à aligner deux mots. Charlie gloussa dans son dos, caressant sa peau, et l’embrassa dans le creux du cou.

« Ça ne fait rien, Usagi, je dois admettre que je me suis pas mal défoulée en toi… Ton cul est très agréable ! »

Charlie se retira alors, et Usagi sembla défaillir sur place. Il tomba au sol, n’arrivant même plus à tenir sur ses jambes. Charlie s’assit sur son fauteuil, et soupira longuement. Elle sortit alors une cigarette, et la fuma doucement, tandis que la porte finit par s’ouvrir. C’était Roxy, qui rougit doucement en regardant Charlie, puis Usagi, qui était couché devant Charlie. Celle-ci posa ses pieds sur son corps, soupirant lentement. Usagi était couché sur le dos, et, fort heureusement, Charlie était assise, de sorte qu’elle n’écrasait pas trop le torse d’Usagi.

« Oh… Il est encore…
-  Conscient ? Oui… Il est plus endurant qu’on ne pourrait le penser de prime abord…
-  Effectivement…
-  Alors, qu’est-ce que j’ai raté pendant que je m’occupais de mon petit lapin ? »

Roxy rougit en remuant ses doigts sur sa tablette, énonçant les quelques rendez-vous et réunions que Charlie avait manqué. Celle-ci soupira doucement, remuant ses pieds sur le corps d’Usagi, flattant notamment sa verge. Il allait lentement se réveiller, c’était sûr.

« En fait, rien de ce que j’ai raté ne me semble très intéressant…
-  Vous… Vous voulez encore le… »

Charlie gloussa doucement, puis se releva finalement. Elle se rapprocha d’un mini-frigo, et en sortit une bouteille.

« Tu veux te le taper, hein ? Petite perverse… »

La verge de Roxy durcit doucement. Charlie se rapprocha d’Usagi, et Roxy en fit de même. Les deux femmes le regardèrent, sans trop savoir s’il allait s’endormir ou se maintenir éveillé. La verge de Roxy durcissait sous sa minijupe de travail.

« Et bien, demande-lui… »

Roxy se pinça les lèvres, puis déploya sa verge, la faisant sortir des plis de sa minijupe. Elle se pencha vers Usagi, prenant une voix douce et chaleureuse.

« Petit-Usagi ? Viens me sucer… Cela te réveillera ! »

Mais y arriverait-il ? Ou allait-il s’endormir ? Cela, Charlie était incapable de le déterminer !

Dès que Charlie se retire je tombe de la table et je m’étale sur le sol, mes jambes n’ayant plus assez de force pour me maintenir. Je reste allongé sur le dos tandis que Charlie vient poser ses pieds sur mon torse tout en fumant. Roxy finit par revenir dans le bureau et énonce à sa patronne les quelques rendez-vous qu’elle a manqués tandis qu’elle s’amusait avec moi. Au début je suis trop largué pour prêter attention à ce qu’elles racontent mais quand Charlie commence à titiller ma verge avec ses pieds, je reprends peu à peu conscience.

« Hhhmmm… »

Je pensais que ce coït insatiable avec Charlie serait le point final de la journée et qu’ensuite j’aurais un peu de temps pour récupérer avant le début de la soirée, mais voilà que Roxy veut aussi coucher avec moi. Je la regarde enlever sa jupe de travail et dévoiler son mandrin puissant de F-Girl, puis elle se penche vers moi en m’ordonnant de la sucer.

« Hhhmmm… »

Vu l’état dans lequel je suis, réussir à me mettre en position est déjà un miracle. Une fois en face de la verge de Roxy j’ouvre la bouche et je prends timidement ce membre entre mes lèvres. Cette fellation n’est clairement pas au niveau de ce que je peux faire en temps normal, mais j’ai déjà été bien épuisé par Charlie alors je ne peux pas vraiment faire mieux. Je fais ce que je peux avec les forces qui me restent, en espérant réussir à garder les yeux ouverts assez longtemps pour donner à la F-Girl ce qu’elle veut. Mais déjà je sens que je suis en train de partir.

« Mmmhhh… »

Je croyais que sucer Roxy m’aiderait à me réveiller et à repartir de plus belle, mais on dirait que c’est en train d’avoir l’effet inverse. Décidément, pour quelqu’un supposé être une arme invincible je me fatigue vite quand il s’agit des F-Girls. A moins que ce ne soit juste Charlie qui soit exceptionnelle au point de me vider complétement en une après-midi.

Cela sonnerait visiblement comme le dernier exploit d’Usagi. Charlie devait bien admettre qu’elle s’était lâchée ! Elle restait assise sur son fauteuil, et fumait une cigarette pour reprendre ses esprits, tandis qu’Usagi, comme un automate, pompait le dard de Roxy, mais sans comprendre ce qu’il faisait. Il n’arrivait plus à ouvrir les yeux, et Roxy jouit en lui au bout de plusieurs minutes. Un coup final, qui amena Usagi à tomber mollement sur le sol, épuisé. Charlie sourit doucement, et posa son pied sur son torse.

« Reconduisez-le à sa chambre, le petit lapin aura bien travaillé. Ne t’inquiète pas, Roxy, tu pourras le baiser demain. »

Les F-Guards saisirent Usagi, et l’emmenèrent donc directement dans sa chambre…

- - - - - - - - -

Usagi dormit toute la nuit. Le contrecoup était impressionnant, et ce fut sans doute son estomac en plein gargouillis qui l’amena à se réveiller. Après tout, il n’avait pas mangé hier soir, et, après avoir été autant baisé, son corps avait besoin de nutriments.  Usagi put s’habiller avec les vêtements qui lui étaient offerts, à savoir un uniforme constitué d’un débardeur et d’un pantalon moulant avec une fermeture Éclair sur les fesses. En sortant, il constata qu’il était toujours au sein de la Fut-Room, et put rejoindre le réfectoire. Les gens le saluaient, et ce fut Peach qui vint s’asseoir à côté de lui, alors qu’il avait récupéré son plateau-repas. Pas d’uniforme pour Peach, qui sortait de la douche, et qui portait un court débardeur rose vif avec des bas-résilles et des chaussures à talons. Même s’il s’était nettoyé, on pouvait encore voir, dans son dos, au-dessus de ses fesses, des marqueurs noirs. Ils étaient regroupés par cinq, et on pouvait en compter 34.

« Salut, Usagi ! Tu es enfin réveillé, à ce que je vois ! Moi, je n’ai pas dormi cette nuit, ma maman m’a emmené dans un entrepôt d’hommes. À chaque fois que j’en faisais jouir cinq, elle me baisait ! »

Peach racontait cela avec naturel, et avec un certain entrain. Se faire baiser toute la nuit lui avait bien plu, et, visiblement, toute l’entreprise savait qu’Usagi avait couché avec Tata Charlie.

« Mange bien, et sache que tu es attendu à la direction, nous avons obtenu cette nuit les résultats de ton test sanguin, donc tu dois aller signer officiellement ton contrat avec la compagnie. »

Peach n’avait toutefois rien à dire concernant les résultats. Il proposa enfin à Usagi de l’accompagner, puisque celui-ci n’avait pas encore son badge. Une fois le repas terminé, Peach attrapa la main d’Usagi, et, d’une démarche innocente, presque enfantine, rejoignit les ascenseurs. Avec son badge, il débloqua l’accès aux étages de la direction.

« Le bureau où tu as été hier après-midi, celui de Tata Charlie, se trouve tout en-haut. Entre les étages de la Fut-Room et les appartements de Tata Charlie, il y a les étages de la direction. »

Les battants de l’ascenseur s’ouvrirent, et le duo entra. Peach n’avait aucune gêne à se balader presque totalement nu, et Usahi allait vite comprendre pourquoi. Ils se rapprochèrent des bureaux, et Usagi put voir une salle de détente en apparence normale, où une employée en baisait une autre, qui dansait sur elle.

« Ici, quand une employée monte en grade, elle reçoit un dérivé du F-Gen qui la dote d’une verge, et du droit de coucher quand elle veut avec les employées d’un grade inférieur au sien. Nous, les hommes, nous sommes au statut le plus bas possible, donc même une simple stagiaire a le droit de nous baiser quand elle veut. »

Leur traversée des bureaux risquait de ne pas être aussi anodine que ce qu’on pouvait croire de prime abord…

Je suce Roxy sans grande conviction mais le plaisir que je lui donne parvient à la faire jouir. Sa giclée de sperme dans ma bouche finit de me mettre K.O. Je suis déjà inconscient quand Charlie ordonne qu’on me ramène dans ma chambre.

Je me réveille le lendemain matin, agité par les gargouillis de mon estomac. N’ayant rien mangé hier soir, je suis en baisse de forme mais les nanites assurent le maintien de mon organisme. Honnêtement je pourrais me passer de nourriture et d’eau pendant des semaines sans risquer de mourir mais pourquoi se priver quand tout est offert ? Je vois qu’on m’a laissé des vêtements, à savoir un débardeur et un pantalon moulant avec une fermeture éclair sur les fesses. A la fois pratique et sexy. Je m’habille et me dirige vers le réfectoire de la Fut-room, demandant parfois mon chemin quand je me perds. Après avoir récupéré mon plateau-repas je vais m’assoir à table et Peach vient me rejoindre. Je devrais être surpris qu’il soit à moitié nu au milieu de la cafétéria mais je suppose qu’il me reste encore beaucoup de choses à découvrir sur le fonctionnement de Fut-Corp. Il me raconte qu’il a passé la nuit dans un entrepôt rempli d’hommes et qu’il s’est fait baiser sans relâche jusqu’à ce matin.

On a eu à peu près la même soirée… sauf que moi j’ai été épuisé par une seule personne.

Peach m’apprend aussi que les résultats de mon test sanguin sont arrivés dans la nuit et que je suis attendu pour signer mon contrat. En revanche il n’a rien à me dire sur les résultats en eux-mêmes.

S’ils veulent me faire signer, c’est que le F-Gen doit fonctionner sur moi… non ?

Je suis si impatient que je me dépêche d’avaler mon repas et je suis le F-Boy jusqu’à l’étage de la direction. On passe à côté d’une salle de pause où il m’explique que les employées qui montent en grade se voient dotées d’une verge et qu’on leur permet de coucher avec les employés des postes inférieurs, en sachant que les hommes sont au plus bas niveau possible.

« Je ne sais pas si je dois trouver ça plaisant… ou inquiétant. »

Je m’attendais à ce qu’on puisse rejoindre le bureau de Charlie directement mais voilà qu’en passant près de la salle de pause je me fais alpaguer par une F-Girl que je n’ai encore jamais vu.

« Tiens tiens, une nouvelle tête. Comment tu t’appelles mon beau ? »

« Euh… Usagi. Je m’appelle Usagi. »

« Usagi ? Oh ! Alors c’est toi le petit lapin qui vient d’arriver et qui a baisé avec notre patronne pendant des heures hier. C’est à cause de toi qu’on ne l’a pas vu à notre réunion. »

« Euh, je… désolé. »

« Ne t’excuse pas, ce n’est pas la première fois qu’elle nous fait ce coup-là. Et quand je vois comme tu es mignon… je comprends pourquoi elle a préféré s’occuper de ton petit cul que de venir assister à une réunion ennuyeuse. »

Elle m’entoure de ses bras et me plaque contre son corps avant de poser ses mains sur mes fesses, jouant avec la fermeture éclair de mon pantalon.

« On a dû t’expliquer les règles non ? Les F-Girls baisent qui elles veulent ici. Et là tout de suite… c’est toi que j’ai envie de baiser. »

« C’est à dire que… on m’attend pour signer mon contrat. »

« Charlie a raté notre réunion alors je lui emprunte son jouet. Ca remettra les pendules à l’heure. »

Je ne peux pas tellement protester. En tant qu’homme je suis tout en bas de la hiérarchie de l’entreprise et je ne peux pas dire non à une F-Girl. Il faudrait que quelqu’un d’aussi bien placé ou de plus haut placé intervienne. Mais d’ici là, je crois que je suis bon pour me faire prendre dans un bureau ou dans la salle de pause.

Usagi ne tarda pas à croiser une F-Girl, Bridget. Dans l’ambiance feutrée de la direction, il était difficile de louper Bridget, qui se déplaçait nue, à l’exception d’une veste aux couleurs d’un pays étranger, et d’un chapeau de call-girl. Elle était originaire des États-Unis, où, après un road trip au Japon à l’occasion de vacances, Bridget avait été capturée par des F-Girls. Sa vie avait ensuite singulièrement changé. Devenue esclave des F-Girls, elle avait ensuite accepté de devenir elle-même une F-Girl. Forte et élancée, Bridget ne reculait devant rien, et elle adorait défoncer des culs d’hommes ! Devenue F-Girl, elle avait transformé son petit-ami en F-Boy, pour pouvoir mieux le sodomiser ensuite. Elle était venue dans les bureaux de la direction, et sourit en tombant sur Usagi, le pelotant sans vergogne, et sans guère tenir compte de ses observations.

« Les hommes ne devraient servir qu’à ça… Nous honorer, être là quand nous avons besoin de baiser. »

Peach se pinça doucement les lèvres. Elle attrapa Usagi par la main, et le duo rejoignit les bureaux. C’était un grand open space avec des bureaux sur la gauche. Une grande baie vitrée à droite donnait sur la ville, et il y avait une mezzanine. Quand le duo s’avança, sur la rambarde de la mezzanine juste au-dessus, une secrétaire se faisait besogner par sa directrice. Ici, les managers évaluaient les performances sexuelles des employées, et tout le travail fait ne semblait être qu’une façade pour dissimuler des activités sexuelles régulières. Bridget guida Usagi jusqu’à l’un des bureaux à l’entrée, où il y avait des bannettes de papier. On y déposait le courrier avant qu’il ne soit distribué. Usagi se retrouva couché dessus, ses fesses tendues vers l’arrière, et eut droit à une première gifle. Devant lui, il pouvait voir une Futanari s’apprêter à pénétrer l’une de ses collègues, sous le regard d’une manager curieuse de noter leurs exploits individuels, et ainsi d’évaluer les salariées. Ici, une salariée répondait avec un micro au téléphone, tandis qu’une esclave la suçait avec appétit.

« F-Call, j’écoute… Bonjour, Madame, vous souhaitez prendre rendez-vous ? »

Le cliquetis des claviers se mélangeait aux sons de téléphone, le tout entrecoupés de soupirs, de claquements, de grognements. Au-dessus d’eux, la secrétaire se faisait insulter et gifler, la cadre tirant sur ses cheveux. Tout ici n’était que prétexte au sexe, et Bridget, en soupirant, commença à s’enfoncer dans le fondement d’Usagi. Elle abaissa la fermeture Éclair de son pantalon, puis le pénétra chaudement, en grognant et en gémissant longuement.

« Oh, ton petit cul est encore bien dilaté, mon beau lapin… Je vais tellement adorer ça ! »

Elle sourit joyeusement, et le fessa dans la foulée !

Bridget, la F-Girl qui m’a attrapé avant que je n’arrive au bureau de Charlie, me fait traverser l’open-space. Je peux voir que d’autres employés sont en train de se faire baiser, comme une secrétaire besognée par sa directrice ou une personne au téléphone prise par une collègue sous les yeux d’une manager. Finalement je me retrouve dans un bureau servant à stocker le courrier avant distribution et Bridget m’allonge dessus, mes fesses tendues vers elle et elle y met une première gifle.

« Aahh ! »

En face de moi je vois bien l’employée qui se fait baiser pendant qu’elle parle à une cliente au téléphone. C’est vraiment un environnement de travail très particulier. Puis je sens la F-Girl ouvrir la fermeture éclair de mon pantalon et enfoncer sa trique puissante dans mon fondement.

« Aaahhh ! »

Apparemment elle aime bien mon cul, elle commence à donner des coups de reins et des fessées en grognant et en gémissant. Comme les autres F-Girls elle fait preuve d’une fougue redoutable, je sens sa lance de chair turgescente pilonner mon anus sans relâche et mes fesses rougir sous ses claques. Je m’en veux un peu de faire attendre Charlie de la sorte, mais pour ma défense je n’ai pas vraiment eu le choix. Je pense qu’elle pourra le comprendre. En plus, me faire sauter par une F-Girl est toujours un plaisir et je ne peux pas le cacher.

« Ooohhh... ta queue est... si grosse... c’est... trop bon... ooouuuiii ! »

Je me demande où est passé Peach, je ne le vois pas autour de moi. Est-ce qu’il est allé voir Charlie ou est-ce qu’une autre F-Girl l’a attrapé et a décidé de se le faire dans un autre bureau ?

Ah, sodomiser un homme ! Y avait-il plus grand plaisir au monde ? Bridget aimait aussi se taper les femmes, bien sûr, mais il y avait un je-ne-sais-quoi avec les hommes qui rendait la chose encore plus excitante ! Bridget s’enfonçait avec appétit dans son cul, maltraitant ce postérieur avec force et passion. Elle titillait ainsi la prostate d’Usagi, qui se retrouva étalé sur le bureau, couché dessus. Bridget sourit doucement quand il commenta la qualité de sa verge.

« Oh, toi, tu sais comment parler aux femmes, mon petit lapin ! »

Bridget le retourna ensuite. Elle coucha Usagi sur le dos, et souleva ses jambes. Le jeune homme soupira, ses jambes se retrouvant au-dessus de son corps, maintenues à droite et à gauche de Bridget par les mains de la F-Girl, qui continua à le sodomiser. Il pouvait ainsi voir le visage ravi et concentré de Bridget, ses lèvres qui se pressaient à chaque fois qu’elle s’enfonçait après s’être reculée. Il pouvait la voir soupirer et gémir, son joli visage remuant d’avant en arrière, une frange recouvrant en partie celui-ci. Bridget soupira encore, avançant avec les jambes d’Usagi, les pliant lentement. Elle les rapprochait ainsi du visage d’Usagi, avant de relâcher la pression, de se reculer, et reprenait ses coups de reins. Usagi pouvait tourner la tête sur le côté, et il verrait ainsi Peach très occupé.

Ici, un jeune homme comme Peach ne restait jamais seul trop longtemps. Il était en train de sucer l’épaisse verge d’une femme à la peau noire, Megan, cadre au sein de l’entreprise. La puissante F-Girl enfonçait sa trique dans la bouche du jeune homme, le besognant avec force, en étant complètement nue. Un spectacle détonant au milieu de ce bureau. Les employées la filmaient, la photographiaient, ou se caressaient intimement, tandis que Peach se faisait ramoner la bouche, à la hauteur de ce que Bridget faisait subir en ce moment à Usagi…

Bridget aime la façon dont je lui parle quand elle me baise. Après m’avoir pris étalé sur le ventre, elle me retourne pour me coucher sur le dos et soulève mes jambes avant de reprendre la sodomie de plus belle, maintenant mes jambes près d’elle avec ses bras. Dans cette position je peux voir son visage ravi qui se contracte sous l’effet du plaisir chaque fois qu’elle s’enfonce en moi. Au bout de quelques minutes elle plie mes jambes pour les rapprocher de mon visage avant de continuer son office, désormais presque allongée entièrement sur moi.

« Aaahhh… ooouuuiii… je sens ta queue au fond de moi… qui me pilonne la prostate… Pppyyyooonnn ! »

Si elle aime les lapins qui couinent, elle va être servie. A côté de moi, Peach est lui aussi très occupé. Il s’est fait happer par une autre F-Girl à la peau noire et se fait besogner la bouche avec force. Tout autour de nous je peux voir des employées nous prendre en photo ou nous filmer avec leur téléphone, certains se caressant même intimement devant le spectacle.

Ca, ça va me changer… par rapport au Lys.

Au Lys, la plupart des clientes préfèrent être dans un cadre intime pour coucher avec les employées. Certaines apprécient de coucher au milieu de la foule mais elles sont assez rares. J’ai l’impression qu’ici c’est plutôt l’inverse, les F-Girls aiment attraper les filles qui leur plaisent à la volée et les sauter sur place. Je vais devoir m’habituer à être baisé en public.

« Aaahhh… regardez, tout le monde… regardez comme on nous baise bien. »

Quitte à être sauté devant les employés, autant leur offrir un spectacle digne de ce nom. Et si on fait assez de bruit, peut-être que Charlie viendra voir ce qui se passe. A moins qu’elle intervienne je doute que Bridget me lâche de sitôt.